examen final Flashcards

1
Q

nommer les 3 périodes et dates

A

antiquité ( -7000 à 476) , moyen âge (476- 1400) et époque contemporaine (1400 - ajd)

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2
Q

décrire la période antiquité

A

Première époque (7000 ans av. j.-c.) : tolère toutes les formes de sexualité, vénération des femmes

Deuxième époque (3000 à 300 ans av. J.-C.) : tolérance de l’homosexualité, la femme est une dangereuse séductrice, mais a le pouvoir de donner la vie (on la vénère et on la craint en même temps)

Troisième époque (1000 ans av. J.C. – 100 après j.c.) :valorisation du célibat et de la virginité. La femme est inférieure à l’homme, elle appartient à son mari, doit lui être fidèle. Reproduction très valorisée.

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3
Q

décrire moyen âge

A

4e époque (4e siècle apres j.c.): la femme appartient à l’homme. Influence de l’église et le christianisme : Le sexe devient un pêché, il est accepté seulement à l’intérieur du mariage et pour la procréation. L’homosexualité devient un pêché.

5e époque (9-14e siècle) : toutes relations autres que vaginal et pour la recréation est un crime contre la nature, la femme est responsable de maladie, son désir est insatiable, elle est une sorcière.

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4
Q

décrire époque contemporaine

A

6e époque : 15-16e siècle : chasse aux sorcières, pire époque pour les femmes et leur sexualité .16e siècle , angleterre henry VIII rend la sodomie punissable par la mort.

7e époque (17-18 e siècle) : fin de la chasse aux sorcières, début de la science. 1792 mary wollstonecraft publie un livre sur le droit des femmes et leur satisfaction sexuelle. Filles du roi au Québec pour décourager les mariages interraciaux, l’église perd graduellement son emprise sur la sexualité. Masturbation est un pêché = folie

8e époque : 19e siècle : conception de la femme fragile et pure, maitresse de la maison. Époque du romantisme. Psychiatre krafft-ebing, fondateur de la sexologie moderne.
L’homosexualité est criminalisée et considérée comme une maladie mentale
Loi inégale en matière de séparation.

9e époque (1900-1950) : la femme asexuée, elle a pas de désir, cache son intérêt
1917 droit de vote accordé aux femmes au Canada
1940 droit de vote accordé aux femmes au Québec

10e époque (1950 à ajd) :
l’inégalité entre les sexes en matière de séparation légale est abolie
On perçoit maintenant les femmes comme des êtres sexués.
1969 le code criminel autorise la vente et la production de produits contraceptifs
Bill omnibus de Pierre E. Trudeau, 1967-1968 : réforme du code criminel, décriminalise l’Avortement, les relations buccogénitales, les pratiques homosexuelles et le divorce.
Planification des naissances
1973 : l’homosexualité est retirée du dsm
1983 : modification des lois pour que toutes les sortes d’agressions sexuelles sont reconnues, pas seulement la pénétration. Et ajout qu’il peut avoir agression sexuelle à l’intérieur du mariage. + il n’y a plus de temps limite pour porter plainte pour une agression

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5
Q

décrire bill omnibus

A

Bill omnibus de Pierre E. Trudeau, 1967-1968 : réforme du code criminel, décriminalise l’Avortement, les relations buccogénitales, les pratiques homosexuelles et le divorce.
décriminalise l’homosexualité

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6
Q

décire 1983

A

1983 : modification des lois pour que toutes les sortes d’agressions sexuelles sont reconnues, pas seulement la pénétration. Et ajout qu’il peut avoir agression sexuelle à l’intérieur du mariage. + il n’y a plus de temps limite pour porter plainte pour une agression

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7
Q

décrire le consentement

A

12-13 ans peut consentir avec moins de 2 ans de plus, 14-15 peut consentir a moins de 5 ans, 16 ans consentement tout le monde, 18 anal

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8
Q

décrire le droit de vote des femmes

A

1917 droit de vote accordé aux femmes au Canada
1940 droit de vote accordé aux femmes au Québec

Mary guerin lajoie propage le mouvement féministe. Terese casgrain permet le droit de vote des femmes.

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9
Q

décrire les recherchers de kinsey masters et johnson

A

Les femmes sont des être sexuées, elle retire du plaisir de l’Acte sexuel. Les hommes cherchent a avoir une relation sexuelle en donnant de la tendresse, calin … Les femmes cherche de la tendresse, intimité et affection en ayant une relation sexuelle.

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10
Q

décrire les recherches de laumann gagnon et al

A

Enquête faite d’Entrevues et questionnaires. Le comportement sexuel est sculpté par des facteurs sociaux ( médias, pairs, partenaires, normal/anormal)
L’éducation joue un rôle important dans la fréquence des activités auto-érotiques.
Les hommes sont plus satisfaits dans la dimension physique et émotionnelle que les femmes. + masturbation = + de relations sexuelles
Les femmes ont tendance à se préoccuper de l’aspect affectif, du sentiment amoureux. Tandis que les hommes différencient plus amour et relation sexuelle.

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11
Q

qu’Est ce que les recherches féministes amènent de plus

A

Permet de donner la parole aux femmes. Les féministes soutiennent que la recherches est majoritairement faites par des hommes, et qu’ils ont une vision étroite de la sexualité centrée sur la pénétration. Cela limite les connaissances de la sexualité féminine et la dévalorise.

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12
Q

échantillon aléatoire et échantillon représentatif

A

Échantillon aléatoire : sous-ensemble d’une population choisir au hasard.
Échantillon représentatif : échantillon permettant la représentation la plus fidèle possible d’une population cible.

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13
Q

étude de cas

A

Les chercheurs étudient en profondeur un sujet ou un nombre restreint de sujets
avantage :
-flexibilité dans la collecte des données
-exploration en profondeur de comportements, de pensées et de sentiments

désavantages :
-généralisation limitée des résultats
-exactitude des données limitée par le caract`re faillible de la mémoire humaine
Non adaptée à tous les genres de questions de recherche

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14
Q

enquête

A

Des données sur les attitudes et les comportements sexuels sont recueillies chez des populations relativement nombreuses au moyen de questionnaires ou d’entrevues

avantages:
- permet de recueillir rapidement et à relativement bon marché de grandes quantités de données
- permet de recueillir des données sur plus de personnes qu’Avec l’étude en laboratoire ou l’étude de cas

Problèmes de :
Non-réponse
Biais démographique
Autosélection
Inexactitude des réponses
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15
Q

observation directe

A

Les chercheurs observent et enregistrent les réactions des participants

avantages:
- élime presque toute possibilité de falsification des données
- l’enregistrement des comportements peut être conservé sur une vidéocassette, un support magnétique ou numérique

désavantage:
le comportement des sujets peut être influencé par la présence de l’observateur ou par la nature artificielle du lieu d’observation

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16
Q

méthode expérimentale

A

Les sujets sont soumis à des stimuli dans des conditions contrôlées permettant de mesurer leurs réactions de façon fiable

avantages:

  • fournit un environnement propice permettant le contrôle des variables pertinentes
  • adaptée à la découverte de relations causales entre des variables

désavantage:
Le coté artificiel de l’environnement de laboratoire peut biaiser ou influencer de façon négative les réactions des sujets

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17
Q

qu’Est-ce que les théories évolutionnistes et leur but

A

L’approche évolutionniste se demande pourquoi un comportement existe et non comment. Toujours basées sur la reproduction. Le but de la sexualité était la reproduction donc l’adultère était normal.

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18
Q

qu’Est ce que la sélection sexuelle

A

La sélection sexuelle (mendel et darwin) s’opère par les habiletés des organismes à s’approprier une partenaire ou un partenaire pour se reproduire. 2 façons : la sélection intersexuelle implique la selection du mâle par la femelle ; la sélection intrasexuelle implique une compétition entre les mâles afin d’avoir accès aux femelles. Plus il y a de compétition entre les mâles, plus les attributs physiologiques seront accentués. Cela crée une plus grande différence entre les mâles et les femelles.

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19
Q

quelle théorie ont créé mendel et darwin

A

la sélection sexuelle

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20
Q

qu’Est ce que la théorie de l’investissement parental

A

La théorie de l’investissement parental (trivers): la différence entre les sexes dépend du temps et des énergies que chacun consacre à la progéniture. Plus il y a de différences dans ce temps entre les sexes, plus il y aura des différences sexuelles. Si les mâles consacrent peu de temps aux petits, la femelle sera plus sélective, ce qui entrainera davantage de compétition entre les mâles, et, par conséquent, davantage de différences dans la morphologie, les ornementations et les couleurs.

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21
Q

qu’Est ce que le dimorphisme sexuel

A

Le dimorphisme sexuel : lorsque l’espèce est polygame, la différence entre la grosseur moyenne du mâle et celle de la femelle est plus grande. Ils semblent que les hommes soient plus enclins à l’infidélité, tandis que les femmes sont plus discriminantes.

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22
Q

qu’Est ce que la compétition des spermatozoides

A

La compétition des spermatozoïdes (bellis et baker) : les animaux ayant de gros testicules, il y a davantage de promiscuité sexuelle chez les femelles. Plus les testicules sont gros, plus le mâle a de spermatozoïdes, plus il a de chance de se reproduire. Tandis que les animaux avec de petites testicules sont plus monogame, ils n’ont pas besoin de produire beaucoup de spermatozoïdes, puisqu’il y a pas de compétition des spermatozoïdes. L’homme se situe entre les deux ce qui suggère que les femmes aient été un peu infidèles.

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23
Q

qui sont les auteurs de la compétition des spermatozoide

A

bellis et baker

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24
Q

trivers a élaboré quelle théorie

A

investissement parental

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25
Q

qu’est ce que Symons a dit dans son film

A

tendance à l’infidélité pendant la période d’ovulation

les femmes ont évolué dans le but d’être réceptives aux désirs sexuels de l’homme et non prendre des initiatives

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26
Q

qu’ESt-ce qui nourrit le principe du ca dans la théorie spychanalytique ?

quel principe régit le ca

A

• Théorie psychanalytique (freud)

Ça : pulsions du plaisir, spontanné;
Nourrit par l’agressivité et la sexualité ;
Régit par le principe du plaisir;
Ne se soucit pas des conséquences;
Reste souvent dans l’imaginaire érotique, dans les fantasmes.
Ex : exhibitionniste se sent envahi par un besoin d’être vu et reconnu

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27
Q

qu’ESt-ce qui nourrit le principe du moi dans la théorie psychanalytique ?

quel principe régit le moi

A

Moi : tiens compte des contraintes du monde réel, des normes et de l’étiquette sociale. Semi-conscient, principe de réalité.

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28
Q

qu’ESt-ce qui nourrit le principe du surmoi dans la théorie psychanalytique ?

quel principe régit le surmoi

A

Surmoi : nécessaire au bon fonctionnement ; équilibre entre le ça et moi, dépend du conscient. Aide à avoir une intelligence émotionnelle (La satisfaction de ses besoins tout en étant capable de répondre à ceux de l’autre) Principe de perfection

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29
Q

qu’Est ce que le refoulement

A

Les mécanismes de défense selon l’approche analytique :

-le refoulement : pour empêcher de faire des mauvais choix , refouler ses désirs et penser

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30
Q

qu’est-ce que la sublimation

A

-la sublimation : remplacer le comportement sexuel par un autre plus acceptable ex, la danse est une forme de sublimation de la sexualité. Comportement passif/agressif. Ex : la criminalité est une forme de sublimation pour la colère

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31
Q

qu’Est-ce que la projection

A

-la projection : projeter nos sentiments sur les autres, très visibles dans les critiques excessives. Ex : l’homme qui voit plusieurs femmes en mêmes temps devient très jaloux, car il croit que la femme aussi le fait.

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32
Q

nommer 3 mécanismes de défenses selon l’approche analytique

A

projection
sublimation
refoulement

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33
Q

auteur de l’approche behavioriste

A

• Théorie de l’apprentissage

Behavioristes (john watson) : 2 théories

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34
Q

théorie de l’Apprentissage social

A
  • le conditionnement classique : phénomène d’association. Un objet neutre peut acquérir une valeur érotique lorsqu’il est associé à une activité qui donne du plaisir.
  • le conditionnement opérant : le comportement se modifie selon une punition, une récompense ou l’indifférence. La valorisation est un phénomène de renforcement positif, favorise l’intensification du comportement.

La plupart des déviances s’expliquent par la théorie de l’apprentissage et les touchers affectifs dans l’enfance. Sans ces touchers, l’enfant vit une carence dans les stimulations du plaisir. Par exemple, un enfant carencé peut obtenir du plaisir lorsqu’un objet touche son corps.

35
Q

théorie de l’apprentissage social

A

• Théorie de l’apprentissage social.

Albert banduras
Le comportements liés à la sexualité peut être appris sans l’aide d’un renforcement direct, mais simplement par l’observation des autres et des évènements. Imitation, socialisation et conditionnement.
Les expériences antérieures, les influences des pairs, les normes sociales, les événements biologiques, les expériences sexuelles et les stimuli dans l’environnement sont étudiés dans cette théorie.

36
Q

qu’Est ce qui est étudié dans la théorie de l’apprentissage

A

Les expériences antérieures, les influences des pairs, les normes sociales, les événements biologiques, les expériences sexuelles et les stimuli dans l’environnement sont étudiés dans cette théorie.

37
Q

qui est l’auteur de la théorie de l’apprentissage

A

albert banduras

38
Q

décrire amour-passion et amour-amitié

A

Amour-passion : état de fusion intense avec l’autre. Dure de quelques mois à 2 ans.
Amour-amitié :type d’amour caractérisé par une bienveillante tendresse et un attachement profond reposant sur une connaissance intime de l’être aimé. Vouloir d’engagement

39
Q

quels facteurs ont de l’importance dans le développement de l’attirance

A

On sait que plusieurs facteurs ont souvent une grande importance, dont la proximité, la familiarité, la ressemblance, l’humour, la réciprocité et l’attirance physique.

40
Q

décrire le triangle de sternberg

A

Triangle de l’amour de Sternberg :intimité, passion et engagement

41
Q

5 modes de communication selon chapman

A

5 modes de communication pour manifester son amour :

  • les paroles valorisantes
  • les moments de qualités
  • les cadeaux, gestes attentionnés
  • les services rendus
  • le toucher physique
42
Q

nommer des conditions favorables au développement de l’intimité

A

Conditions favorables à l’intimité :
L’engagement
Le dévoilement de soi et la communication = pas accumuler de problèmes
L’estime de soi = mettre ses limites
Identifier ses besoins et connaitre ceux de mon partenaire
La satisfaction des besoins individuels et de couple
La sexualité = plaisir= rapprochement
Avoir des projets communs = engagement et intimité

43
Q
  1. Identifier les étapes d’une saine communication ainsi que les obstacles.
A

Avant la conversation :
1. identifier le but à atteindre, mon besoin. Est-il positif ou négatif ?
2. identifier l’émotion que je vis
3. penser à la formulation, ce que je veux dire et comment je vais le dire
pendant :
4. vérifier la disponibilité de l’autre
5. annoncer le sujet en mentionnant la peur et l’hésitation reliée
6. parler en je, nommer les émotions, être clair et bref
7. reporter à plus tard si la conversation dégénère
8. vérifier la compréhension du message
9. faire une résumé de ce que l’autre dit, essayer de comprendre l’autre
10. faire une demande claire et s’excuser si nécessaire
11. recherche et proposition de solutions
12. je choisi un sujet à la fois
13. remercier et valoriser

44
Q

décrire l’échangisme

A

Échangisme : échange de partenaires mariés pour relations sexuelles (pas vraiment d’affection)

les principales motivations pour cette pratique sont le désir de variété et la réalisation de fantasmes.

45
Q

décrire le mariage

A

Mariage : les personnes mariées sont plus heureuses et en meilleure santé physique et psychologique que les gens non mariés. Les personnes dont le mariage est dysfonctionnel ont une moins bonne santé que ceux dont le mariage est harmonieux. Symbole d’une meilleure stabilité, d’Engagement à long terme, peu diminuer le désir sexuel

46
Q

influence de la naissance des enfants

A

L’arrivée des enfants constitue un défi important pour les couples. La satisfaction conjugale diminue de 42% avec la naissance du premier enfant et décroit graduellement avec chaque nouvel enfant. L’admiration et maintenir activement le sentiment amoureux permet de rester heureux.

47
Q

décrire la cohabitation

A

Cohabitation (union libre) : les principales motivations sont le désir de passer plus de temps ensemble et l’Aspect pratique.

48
Q

mariage ouvert / polyamour

A

mariage dans lequel les 2 conjoints ont d’un commun accord des contacts intimes avec d’autres personnes et entre eux. + relation affective

49
Q

nommer les formes de violence familiale

A

Violence familiale :
Peut prendre plusieurs formes : physique, psychologique, sexuelle, économique ou contrôle de type coercitif
25% des victimes sont dans un contexte de violence conjugale.
49 % des victimes sont des femmes
51 % sont d’autres membres de la famille.
Critères de violence psychologique ou physique dans une relation de couple :
1. Rendre l’autre dépendant
2. Diminuer l’estime de soi
3. Isoler la personne

50
Q

% des victimes de violence familiale qui sont dans un contexte de violence conjugale

A

25%

51
Q

% des victimes de violence familiale qui des femmes

A

49

52
Q

% des victimes de violence familiale qui sont d’autres membres de la famille

A

51

53
Q

étapes (conditions) pour la violence psycho ou physique dans le couple

A

Critères de violence psychologique ou physique dans une relation de couple :

  1. Rendre l’autre dépendant
  2. Diminuer l’estime de soi
  3. Isoler la personne
54
Q

raisons d’une rupture

A

Rupture :
Peut amener des distorsions cognitives quant à sa propre valeur.
Quand il n’y a plus d’admiration envers l’autre, cela détériore l’attachement amoureux et est souvent signe de la fin de la relation
L’infidélité n’est pas nécessairement une insatisfaction dans la relation de couple, mais peut être un souhait de briser la monotonie, rehausser sa vie sexuelle et émotive par la nouveauté, vivre un défi, l’interdit, une excitation dans la variété, une recherche de valorisation.

55
Q

conséquences d’une rupture

A
Conséquences : 
Divorce, rupture 
Sentiment de rejet, colère, honte et jalousie 
Peine, déception, amertume
Diminution de l’estime de soi
Trouble de l’intimité du couple 
Trouble sexuels 
États dépressifs
Dépendances 
Inquiétudes financières
Maux physiques, troubles de snté, perte ou gain de poids
Isolement
Absence du contact physique, du plaisir sexuel 
Désir de vengeance
56
Q

avantages d’une rupture

A

Avantages :
Soulagement par la rupture d’une relation dysfonctionnelle
Fin d’une souffrance dans le couple
Rehaussement de l’estime de soi
Joie de vivre
Épanouissement sexuel, personnel et professionnelle
Début d’une nouvelle relation amoureuse
Introduction dans le couple de nouvelles pratiques sexuelles
Regain de confiance en soi
Nouvelle vie sociale
Vie sexuelle plus satisfaisante

57
Q

nommer les troubles du désir

A

trouble du désir sexuel hypoactif : manque d’intérêt sexuel avant et pendant l’activité sexuelle. Plus les femmes que les hommes
Trouble de l’aversion sexuelle : peur extrême et irrationnelle de toute activité sexuelle
Dysharmonie sexuelle : pas de connexion entre 2 personnes

58
Q

nommer les douleurs sexuelles

A

• douleurs sexuelles (vaginisme et dyspareunie)

dyspareunie : douleur ou inconfort pendant le coït. Féminine : manque d’excitation / lubrification, infection. Masculine : infection / mauvais hygiène, peyronie, prépuce trop serré chez les hommes non circoncis

vaginisme : fortes contractions involontaires des muscles du premier tiers du vagin lors des relations sexuelles. Historique de relation douloureuse = réaction conditionnée et involontaire

59
Q

nommer les troubles de l’orgasme

A

• troubles de l’orgasme

trouble de l’orgasme féminin / masculin
éjaculation précoce

60
Q

nommer les troubles de l’excitation

A

• troubles de l’excitation (érection, lubrification)

trouble de l’excitation chez la femme : incapacité d’obtenir ou de maintenir une lubrification-engorgement sur le plan génital
trouble de l’érection
trouble subjectif de l’excitation sexuelle chez les femmes : absence ou diminution des sensations subjectives
trouble de l’excitation sexuelle persistante : excitation spontanée et non désirée

61
Q
  1. Nommer les facteurs impliqués dans les difficultés sexuelles;
A

Facteurs physiologiques : diabète, cancer , médication , handicap,
Facteurs culturels : pression et angoisse de la performance , égalité entre les sexes, stéréotypes de la société
Facteurs individuels : image de soi, difficultés d’ordre affectif, agression sexuelle
Facteurs relationnels : communication déficiente, manque d’Affection, orientation sexuelle

62
Q

nommer les différents déficits

A

Les déficits cognitifs (distorsions cognitives) : toutes les croyances erronées sur la sexualité qui entrainent des fausses perceptions ou des attentes irréalistes par rapport à l’homme ou la femme. Manque de connaissances /stéréotypes

Les déficits sensoriels :

  • la non exploration de soi ou de son partenaire des zones érogènes autres que les organes génitaux.
  • incapacité à se faire caresser en raison de privation du toucher dans l’enfance, d’une éducation sexuelle répressive ou due à des traumatismes qui ont menacé l’intégrité du corps.
  • ne voir que l’orgasme comme finalité dans la relation sexuelle.

Les déficits affectifs :
Le style d’attachement peut entrainer des troubles relationnels et sexuels.
Craintes de l’abandon risque de créer une dépendance affective, possessivité et jalousie.
Craintes des relations intimes, de l’engagement issues de blessures antérieures ou de besoins affectifs non comblés.
Les jeux de pouvoir et l’hostilité amènent des conflits et des luttes de pouvoir, une sexualité orientée vers la performance, peu d’expression affectives, déviances sexuelles ou violence conjugale.
L’hostilité, la honte, la culpabilité et la crainte d’être mal compris, jugé ou critiqué et les différentes peurs limitent l’Expression des désirs et la satisfaction des besoins. Elles nuisent au rapprochement des partenaires (peurs de ce que l’autre va penser, comment il va réagir).

63
Q

causes des troubles sexuels

A

Étiologie des troubles sexuels :
Entrave la satisfaction sexuelle de manière persistante et répétitive.
Trouble sexuel d’ordre primaire (de tout temps) ou d’ordre secondaire (acquis)

Causes lointaines ( facteurs provenant de l’enfance ou l’adolescence, plus difficile à traiter car structuré)

  • traumatismes dans l’enfance ou l’adolescence
  • expérience difficile en famille d’accueil
  • manque de contacts physiques et de valorisation ou contacts intrusifs
  • manque d’amour
  • manque d’éducation sexuelle
  • négligence = trouble d’attachement rend la thérapie beaucoup plus longue

Causes immédiates ( facteurs récents ou durant l’âge adulte)

  • anxiété de performance
  • ignorance de son anatomie ou celle de son partenaire
  • attentes irréalistes
  • consommation de pornographie, cyberdépendance
  • grossesse
  • infidélité
64
Q

Identifier les effets des médicaments et des maladies sur la réponse sexuelle :

A

Les maladies chroniques s’attaquent au système nerveux, hormonal et circulatoire. Les médicaments peuvent avoir des effets négatifs sur le désir et la réponse sexuelle .

65
Q

qu’est ce que le trouble du désir sexuel hypoactif

A

trouble du désir sexuel hypoactif : manque d’intérêt sexuel avant et pendant l’activité sexuelle. Plus les femmes que les hommes

66
Q

qu’est ce que Trouble de l’aversion sexuelle

A

: peur extrême et irrationnelle de toute activité sexuelle

67
Q

qu’est ce que Dysharmonie sexuelle

A

: pas de connexion entre 2 personnes

68
Q

qu’est ce que trouble de l’excitation chez la femme

A

: incapacité d’obtenir ou de maintenir une lubrification-engorgement sur le plan génital

69
Q

qu’est ce que trouble de l’excitation sexuelle persistante

A

: excitation spontanée et non désirée

70
Q

qu’est ce que trouble subjectif de l’excitation sexuelle chez les femmes

A

: absence ou diminution des sensations subjectives

71
Q

dyspareunie

A

dyspareunie : douleur ou inconfort pendant le coït. Féminine : manque d’excitation / lubrification, infection. Masculine : infection / mauvais hygiène, peyronie, prépuce trop serré chez les hommes non circoncis

72
Q

vagisnisme

A

fortes contractions involontaires des muscles du premier tiers du vagin lors des relations sexuelles. Historique de relation douloureuse = réaction conditionnée et involontaire

73
Q

facteurs physiologiques dans les diff. sexuelles

A

Facteurs physiologiques : diabète, cancer , médication , handicap,

74
Q

facteurs culturels dans les diff. sexuelles

A

Facteurs culturels : pression et angoisse de la performance , égalité entre les sexes, stéréotypes de la société

75
Q

facteurs individuels dans les diff. sexuelles

A

Facteurs individuels : image de soi, difficultés d’ordre affectif, agression sexuelle

76
Q

facteurs relationnels dans les diff. sexuelles

A

Facteurs relationnels : communication déficiente, manque d’Affection, orientation sexuelle

77
Q

déficits cognitifs

A

Les déficits cognitifs (distorsions cognitives) : toutes les croyances erronées sur la sexualité qui entrainent des fausses perceptions ou des attentes irréalistes par rapport à l’homme ou la femme. Manque de connaissances /stéréotypes

78
Q

déficits sensoriels

A

Les déficits sensoriels :

  • la non exploration de soi ou de son partenaire des zones érogènes autres que les organes génitaux.
  • incapacité à se faire caresser en raison de privation du toucher dans l’enfance, d’une éducation sexuelle répressive ou due à des traumatismes qui ont menacé l’intégrité du corps.
  • ne voir que l’orgasme comme finalité dans la relation sexuelle.
79
Q

déficits affectifs

A

Les déficits affectifs :
Le style d’attachement peut entrainer des troubles relationnels et sexuels.
Craintes de l’abandon risque de créer une dépendance affective, possessivité et jalousie.
Craintes des relations intimes, de l’engagement issues de blessures antérieures ou de besoins affectifs non comblés.
Les jeux de pouvoir et l’hostilité amènent des conflits et des luttes de pouvoir, une sexualité orientée vers la performance, peu d’expression affectives, déviances sexuelles ou violence conjugale.
L’hostilité, la honte, la culpabilité et la crainte d’être mal compris, jugé ou critiqué et les différentes peurs limitent l’Expression des désirs et la satisfaction des besoins. Elles nuisent au rapprochement des partenaires (peurs de ce que l’autre va penser, comment il va réagir).

80
Q

causes lointaines des troubles sexuels

A

Causes lointaines ( facteurs provenant de l’enfance ou l’adolescence, plus difficile à traiter car structuré)

  • traumatismes dans l’enfance ou l’adolescence
  • expérience difficile en famille d’accueil
  • manque de contacts physiques et de valorisation ou contacts intrusifs
  • manque d’amour
  • manque d’éducation sexuelle
  • négligence = trouble d’attachement rend la thérapie beaucoup plus longue
81
Q

causes immédiates des troubles sexuels

A

Causes immédiates ( facteurs récents ou durant l’âge adulte)

  • anxiété de performance
  • ignorance de son anatomie ou celle de son partenaire
  • attentes irréalistes
  • consommation de pornographie, cyberdépendance
  • grossesse
  • infidélité
82
Q

différence entre causes immédiates et causes lointaines des troubles sexuels

A

facteurs provenant de l’enfance ou l’adolescence, plus difficile à traiter car structuré

facteurs récents ou durant l’âge adulte

83
Q

différence entre trouble sexuel d’ordre primaire et d’ordre secondaire

A

Trouble sexuel d’ordre primaire (de tout temps) ou d’ordre secondaire (acquis)