Examen final Flashcards

1
Q

La schizophrénie est caractérisée par 3 phases principales. Lesquelles ?

A

1- Prodrome
2- Phase active
3- Phase résiduelle

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2
Q

L’apparition du trouble se fait après 25 ans la majorité du temps. VRAI ou FAUX ?

A

Faux : 75% des cas se déclarent avant 25 ans

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3
Q

Le prodrome est caractérisé par quel type de symptômes ?

A
  • Symptômes négatifs (pertes)
  • Symptômes non-spécifiques
  • Retrait social progressif
  • Réduction des performances scolaires
  • Bizarreries comportementales (difficulté à vivre avec les autres ; difficultés de concentration ; manque de motivation ; réponses émotionnelles inadaptées ; questions religieuses ou philosophiques

** peuvent durer des semaines ou des mois

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4
Q

Le prodrome permet rapidement d’identifier le diagnostic de schizophrénie. VRAI ou FAUX ?

A

FAUX : le diagnostic est difficile à établir en prodrome.

** les changements cognitifs sont donc probables, mais difficile à prouver

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5
Q

La phase aigue (active ou psychotique) se caractérise par quel type de symptômes ?

A
  • Symptômes positifs (ajouts)
  • Idées délirantes
  • Hallucinations
  • Perturbation marquée des pensées, du comportement et des sensations
  • Moment typique de la première consultation et de l’établissement du DX
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6
Q

La schizophrénie est dangereuse pour les personnes qui cotoient ceux qui en sont atteints ? VRAI ou FAUX

A

FAUX : la majorité des schizo n’ont pas de comportements violents
–> il y a toutefois 2 facteurs de risque associés à la violence : toxicomanie active et paranoïa

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7
Q

La phase résiduelle se caractérise par quel type de symptômes ?

A
  • Par une version atténuée des deux autres phases
  • Ressemblent aux symptômes de la phase prodromique
  • Symptômes négatifs
  • Formes atténuées de symptômes positifs
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8
Q

Le rôle de la médication est hyper important dans la phase résiduelle. Pourquoi ?

A

Effet positif : elle prévient la rechute vers une phase active & elle permet de contrôler les symptômes positifs

Effet négatif : elle a des effets secondaires, incluant des symptômes négatifs
** il faut donc faire attention aux troubles de l’humeur et idées suicidaires

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9
Q

Les symptômes positifs se traduisent par quel type d’impact ?

A
  • Apparition de problèmes dans la pensée
  • Surtout présents dans la phase aigue de la maladie
  • Idées délirantes
  • Hallucinations
  • Discours désorganisé
  • Comportement désorganisé
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10
Q

Les symptômes négatifs se traduisent par quel type d’impact ?

A
  • Perte ou diminutions fonctionnelles

- Présentes au long cours et associées à des diminutions au plan du fonctionnement cognitif

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11
Q

Qu’est-ce qu’une idée délirante ?

A
  • Une croyance persistante qui implique une interprétation de perceptions ou d’expérience
  • La conviction par rapport à ces croyances est très élevée (s’il y a un peut-être, c’est pas une idée délirante)
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12
Q

Le DSM-4 mettait l’emphase sur le caractère erronné de la croyance. Pourquoi le DSM-5 ne reprend-il pas ce critère ?

A

Parce qu’il est difficile d’établir si une croyance est vraiment non-véridique

** on s’intéresse donc plus à la rigidité de la croyance en dépit de preuves contraires évidentes
(difficile de faire la différence d’avec une idée affirmée avec force –> les comportements des idées délirantes sont souvent extrêmes, risqués et sans nuance. Cela traduit une conviction)

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13
Q

Qu’est-ce qu’une hallucination ?

A
  • Perception sensorielle qui procure la même sensation immédiate de réalité qu’une perception réelle, mais en l’absence de stimulation externe de l’organe
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14
Q

La personne est toujours consciente qu’elle a une hallucination. VRAI ou FAUX ?

A

FAUX : elle peut ou non en être consciente

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15
Q

Les hallucinations ne sont pas toujours le signe d’un trouble de la pensée. VRAI ou FAUX ?

A

VRAI : hallucinations hypnagogiques et hypnopompiques ; syndrome de Charles Bonnet

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16
Q

Les hallucinations visuelles et somesthésiques sont plus souvent associées à des intoxications tandis que les hallucinations auditives (verbales) sont plus fréquentes dans les troubles de la pensée. VRAI OU FAUX ?

A

VRAI

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17
Q

Le discours désorganisé se traduit comment ?

A

La désorganisation de la pensée se déduit à travers le discours de la personne

  • -> passer d’un sujet à l’autre
  • -> ne pas répondre aux questions posées ou incapacité d’interrompre le flux verbal
  • -> réponses incohérentes avec la question
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18
Q

La catatonie peut se retrouver dans quel type de symptôme positif ?

A

Comportement désorganisé

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19
Q

Le comportement désorganisé se traduisent comment ?

A

Cpts inadéquats
Cpts atypiques
Cpts inefficaces pour l’atteinte des buts
Peuvent aussi être socialement répréhensibles

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20
Q

Pourquoi est-ce qu’on dit que les symptômes positifs ne sont pas notre terrain de jeu ?

A

Parce qu’ils sont réglés uniquement par la médication ou l’internement

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21
Q

Pourquoi est-ce que les symptômes négatifs sont notre terrain de jeu ?

A

Ensemble de symptômes plus subtils, mais qui ont un impact sur le fonctionnement (notamment le fonctionnement social)

Il faut donc identifier ces symptômes parce qu’ils sont un frein important à l’adaptation psychosociale et à l’adhésion au traitement

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22
Q

Quelles sont les manifestations des symptômes négatifs ?

A
  • Diminution marquée de la motivation
  • Labilité émotionnelle
  • Diminution des capacités langagières (débit lent, manque de mots, réponses courtes, peut aller jusqu’à mutisme)
  • Bradykinésie (ralentissement des mouvements)
  • Akinésie (absence de mouvement)
  • Désintérêts pour les activités sociales ou isolement
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23
Q

Le DX de schizophrénie doit présenter des caractéristiques essentielles. Lesquelles ?

A
  • Au moins 2 symptômes (incluant obligatoirement des idées délirantes ou des hallucinations)
  • Ces symptômes doivent durer depuis au moins 1 mois
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24
Q

Le critère C concernant la durée pour un diagnostic de schizophrénie indique quoi ?

A

Que les SIGNES doivent persister depuis au moins 6 mois
Dont 1 mois où il y a présence des SYMPTÔMES du critère A (hallucinations, idées délirantes, discours désorganisé, comportement désorganisé, symptômes négatifs)

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25
Q

8 dimensions sont évaluées par le clinicien au niveau de la sévérité de la schizophrénie. Nommes-en 5

A
1- Hallucinations
2- Délire
3- Langage désorganisé
4- Comportements désorganisés 
5- Cognition altérée
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26
Q

Qu’en est-il du taux de rechute de la schizophrénie ?

A

Il est typiquement élevé (70% à 80% de rechute sur 5 ans)
- L’arrêt hâtif de la médication est associé à un taux de rechute élevé

** Attention toutefois, ce n’est pas parce qu’il y a prise de médication qu’il n’y aura pas de rechute (ya rien pour empêcher la rechute)

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27
Q

La prévention de la rechute est souvent appuyée par quoi ?

A
  • Des interventions psychosociales où on travaille à reconnaître les signes précurseurs d’une rechute
  • On favorise également beaucoup l’adhésion au traitement et la régulation de l’humeur

**(pareil comme bipolarité)

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28
Q

Le trouble schizophréniforme se différencie en quoi de la schizophrénie ?

A

Il n’atteint pas le critère “temps” de la schizophrénie.

  • -> phréniforme = au moins 1 mois, mais moins de 6 mois (incluant les 3 phases)
  • -> phrénie = persiste depuis 6 mois (avec au moins 1 mois où il y a les 5 symptômes)
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29
Q

Qu’est-ce que le trouble schizoaffectif ?

A

A. période ininterrompue de la maladie pendant laquelle un épisode dépressif ou manique a eu lieu en même temps que les symptômes du critère A de la schizophrénie

–> B. au cours de cette période, des idées délirantes ou des hallucinations ont eu lieu pendant au moins 2 semaines en l’absencce de symptômes thymiques marqués

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30
Q

Le trouble psychotique bref se différencie en quoi du trouble schizophréniforme et de la schizophrénie ?

A

Au niveau du critère “temps” :

  • -> Psychotique bref = au moins un jour, mais moins d’un mois ; puis retour complet au fonctionnement prémorbide
  • -> Schizophrénie = 6 mois, avec au moins 1 mois où il y a les symptômes du critère A
  • -> Schizophréniforme = les 3 phases durent au moins 1 mois, mais moins de 6 mois

Au niveau des symptômes du critère A aussi :
–> trouble psychotique bref n’a pas de symptômes négatifs

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31
Q

Qu’est-ce qui caractérise spécifiquement le trouble délirant ?

A
  • La personne ne présente pas d’altération marquée dans son fonctionnement
  • Elle n’a pas de singularités ou de bizarreries manifestes du comportement
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32
Q

Les symptômes du trouble délirant doivent être présents depuis 6 mois. VRAI ou FAUX

A

FAUX. Pendant 1 mois, il y a présence une ou plusieurs idées délirantes
–> les hallucinations ne sont pas au premier plan et sont en rapport avec le thème délirant (j’ai l’impression hallucinatoire d’être infectée par des bibittes.. c’est associé à mon délire de contamination)

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33
Q

La schizophrénie permet tout de même aux personnes atteintes de fonctionner normalement. VRAI ou FAUX

A

FAUX : le critère B mentionne qu’il doit y avoir un dysfonctionnement social ou au niveau des activités

  • il doit y avoir un niveau fonctionnel inférieur dans des domaines tels que le travail, les relations interpersonnelles ou les soins personnels
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34
Q

Hubert a un diagnostic de trouble psychotique bref depuis 2 mois. Qu’en pensez-vous ?

A

Il y a une erreur, car le libellé de trouble psychotique bref ne peut pas durer plus d’un mois

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35
Q

Votre ami vous dit que son ami Roger, qui est gardien de prison à Donnaconna a vu plein de gars essayer de se suicider avec des manières tout aussi affreuses les une que les autres, comme avec un trombone. Ainsi, il pense qu’il s’est endurçi et que ça ne lui fait plus aucun dommage de voir des choses du genre. Il en a tellement vu pareil ! Qu’en pensez-vous ?

A

Il n’y a aucune immunité contre les troubles liés à des traumatismes. Justement, je suis d’autant plus à risque, si je suis fréquemment confrontée à des évènements traumatiques
(la présence d’un historique de traumatismes passés est un facteur de risque pour développer un trouble subséquent)

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36
Q

Une des conditions pour obtenir un DX d’état de stress post-traumatique est le fait d’y avoir été exposé. De quelle façon ?

A

Exposée

  • à la mort ou des menaces de mort
  • à une blessure grave ou menace de blessure grave
  • à un délit sexuel ou une menace de délit sexuel

De plusieurs formes :

  • Vivre l’évènement soi-même
  • Être témoin de l’évènement
  • Apprendre que ça s’est produit à un ami ou un parent
  • Vivre de façon répétée ou extrême des détails aversifs
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37
Q

De quoi parle-t-on lorsqu’on mentionne que l’état de stress post-traumatique entraîne des intrusions ?

A

1- Souvenirs récurrents et intrusifs générant de la détresse
2- Rêves perturbants récurrents dont le contenu et l’Affect sont liés à l’évènement
3- Réactions dissociatives où l’individu se sent ou agit comme si l’évènement se produisait (elle fige et revit l’évènement)
4- Détresse intense et prolongée à des stimuli internes ou externes associés à l’évènement
5- Réactions physiologiques à des stimuli internes ou externes associés à l’évènement

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38
Q

En quoi peuvent se traduire les altérations cognitives et émotionnelles en lien avec l’état de stress post-traumatique ?

A

1- Perception négatives de soi, du monde ou de l’avenir
2- Incapacité de se rappeler un aspect important de l’`évènement
3- Distorsions cognitives relatives aux causes ou conséquences de l’évènement menant la personne à se blâmer ou blâmer autrui
4- État émotionnel négatif persistant (peur, colère, honte, culpabilité)
5- Diminution de l’intérêt ou de la participation pour les activités significatives
6- Sentiment de détachement ou d’éloignement envers autrui
7- Incapacité persistante de ressentir des émotions

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39
Q

L’état de stress post-traumatique entraîne des symptômes persistants (au moins 2) d’activation neuro-végétative. Qu’est-ce que c’est ça ?

A
  • Irritabilité, crises de colère, agression verbale/physique envers des personnes ou objets
  • Comportements auto-destructeurs ou imprudents
  • Hypervigilance
  • Réactions de sursaut exagérée
  • Problèmes de concentration
  • Problèmes de sommeil
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40
Q

La perturbation associée à un état de stress post-traumatique doit durer plus de 2semaines. VRAI ou FAUX.

A

Non seulement elle doit durer plus de 2 semaines, elle doit perdurer depuis plus de 1 mois

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41
Q

Plus le traumatisme survient tôt dans la vie…

A

Plus le risque d’un état de stress post-traumatique augmente

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42
Q

J’ai en suivi : Marie est atteinte de dépression depuis 1 an. Elle vient tout juste d’être victime d’une attaque à main armée dans une banque. Le voleur voulait prendre sa sacoche. Qu’est-ce qui devrait résonner dans ma tête ?

A

Les personnes déjà aux prises avec une problématique de santé mentale (trouble panique, dépression, TOC) sont plus à risque de subir un état de stress post-traumatique s’ils sont exposés à un évènement stressant

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43
Q

La réaction lors d’un évènement stressant est peu intéressante à s’attarder, car c’est un peu plus tard que la personne ressentira des effets d’un état de stress post-traumatique. VRAI ou FAUX

A

FAUX : la réaction lors de l’évènement peut prédire une part du risque de développer un trouble :

  • sévérité de la situation
  • blessures associées
  • violence interpersonnelle
  • dissociation lors de l’évènement (c’est comme si c’est pas moi qui le vit)
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44
Q

Qu’en est-il du risque suicidaire chez les gens atteint de stress post-traumatique ?

A

Le risque de passage à l’acte est plus élevé pour ce groupe

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45
Q

La majorité des cas de SPT sont diagnostiqués dans les 3 mois suivant l’évènement traumatisant. VRAI ou FAUX

A

VRAI

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46
Q

Quelles sont les 3 principales différences entre état de stress post-traumatique et l’état de stress aigu ?

A

1- La durée

  • -> stress aigu = minimum 3 jours et maximum 1 mois
  • -> SPT = plus de 1 mois

2- La proximité temporelle de l’évènement traumatisant

  • -> stress aigu = les symptômes doivent survenir peu de temps après l’évènement
  • -> SPT = il peut s’écouler plusieurs mois avant d’avoir des symptômes

3- La présentation des symptômes

  • -> stress aigu = il n’est pas nécessaire d’avoir au moins un symptôme dans chacune des catégories (intrusion, évitement, altération cognitive, activation neuro-végétative)
  • -> SPT = au moins un dans chaque (dont altération cognitive et activation neuro-végétative qui en prennent 2)
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47
Q

L’état de stress aigu peut évoluer en stress post-traumatique. VRAI ou FAUX

A

VRAI ; mais la relation n’est PAS assurée

48
Q

Dans quel contexte est-ce que la grande latitude des critères du trouble de l’adaptation sont-ils plutôt pratiques ?

A
  • Quand un daignostic est requis pour obtenir des soins ou accéder à des services
  • Quand le clinicien constate une altération du fonctionnement, sans l’atteinte des critères plus spécifiques d’un autre trouble
  • Quand le libellé “trouble de l’adaptation” est plus facilement accepté par le patient qu’un autre trouble
49
Q

Quels sont les critères d’atteinte d’un trouble de l’adaptation ?

A
  1. Symptômes émotionnels et comportementaux en réponse à un stresseur identifiable et ce, dans les 3 mois suivant la survenue de ce stresseur
  2. Les symptômes sont cliniquement significatifs et entraîne au moins un des deux critères :
    a) détresse significative et disproportionnée par rapport à la sévérité ou l’intensité du stresseur
    b) altération significative du fonctionnement
  3. Lorsque le stresseur (ou ses conséquences) est terminé, les symptômes ne demeurent pas plus que 6 mois
50
Q

Que faut-il spécifier dans le cas d’un trouble de l’adaptation ?

A
  • Humeur dépressive
  • Humeur anxieuse
  • Humeur mixte
  • Perturbation des émotions et de la conduite
  • Non-spécifié
51
Q

Rollande a un diagnostic de trouble de l’adaptation depuis 2 ans depuis que son chien Pouchi est mort. Qu’en pensez-vous ?

A

Il faudrait réévaluer son diagnostic, parce que les symptômes dûs au stresseur ne sont pas supposés persister plus que 6 mois.

52
Q

Que doit-on prioriser dans le cas d’un trouble de l’Adaptation au niveau des interventions?

A

Interventions psychosociales et bien évaluer avant de commencer :

  • l’évènement déclencheur
  • les facteurs de maintien (parfois des stratégies d’adapt peuvent devenir une raison pour que le trouble demeure)
  • les stratégies d’adaptation
  • les ressources de l’individu et ses objectifs
53
Q

Et la médication pour un trouble de l’adaptation ??

A

Typiquement on n’en donne pas (parce que ça aide pas la personne à se mobiliser, à se donner des stratégies), MAIS

Ça peut être une béquille en attendant que les choses se replacent et que la personne puisse se mobiliser)

  • *la béquille ne doit pas être permanente (1 semaine max)
  • -> on fait un deal avec la personne, je te donne une semaine de Rx mais je m’attends à ce que tu te mobilise, sinon on s’orientera vers d’autres services
54
Q

Quels sont les critères d’atteinte d’une anorexie

A

1- Restriction de l’apport énergétique par rapport aux besoins, ce qui conduit à un poids corporel significativement faible (inférieur au minimum normal)

2- Peur intense de prendre du poids ou comportements interférant avec la prise de poids, malgré un poids qui est déjà sous la normale

3- Altération de la perception du poids ou de la forme de son corps. Influence de excessive du poids ou de la forme corporelle sur l’estime de soi ou déni de la gravité de la maigreur

55
Q

Que faut-il spécifier dans le cas d’une anorexie ?

A
  • Type restrictif
  • Type avec crise de boulimie/vomissements ou prise de purgatifs
  • ET le poids
56
Q

Quels sont les signes comportementaux d’une anorexie ?

A
  • Évitement d’aliments riches ; diètes ; calcul de calories
  • Vêtements amples
  • Excuses répétées
  • Évite de manger en public
  • Comportements de compensation rigides et exagérés
57
Q

Quels sont les signes physiques de dénutrition ?

A
  • Épuisement ; léthargie
  • Intolérance au froid ; fatigue et faiblesse
  • Lanugo
  • Aménorrhée ou retard de la ménarche
  • Douleur abdominale ; constipation
  • Symptômes de purgation (face dorsale de la main)
58
Q

Quelle est la fenêtre la plus à risque de présenter une anorexie ?

A

Après la puberté et avant 40 ans

59
Q

Le risque de décès des femmes atteintes d’anorexie est-il semblable à celui des femmes non-atteintes?

A

NON : 10 fois plus élevé chez les femmes atteintes

60
Q

Qu’est-ce qui différencie l’anorexie de la majorité des autres troubles du DSM ?

A
  • N’a pas d’altération du fonctionnement

- N’a pas de facteur “temps” non plus (c’est plus par rapport au poids)

61
Q

Quels sont les facteurs de risque de développer une anorexie ?

A
  • Tempérament (anxiété et traits obsessionnels dans l’enfance) –> perfectionnisme ; attentes élevées ; rigidité
  • Environnement (facteur culturel et facteur occupationnel –> industrie de la mode)
  • Génétique et physiologique (si ma mère a été anorexique, j’ai plus de chances ; mais aussi, si mes parents à ne pas manger de dessert ou à se préoccuper de son poids)
62
Q

Les crises de boulimie doivent répondre à deux critères. Lesquels ?

A
  • Absorption, pendant une période de temps limité d’une quantité de nourriture largement supérieure à ce que la plupart des gens absorberaient dans les mêmes circonstances et dans une période de temps similaire
  • Sentiment de perte de contrôle sur le comportement alimentaire pendant la crise
63
Q

Quelle est la fréquence des crises de boulimie et des comportements compensatoires ?

A

Douvent survenir au moins 1 fois par semaine, pendant 3 mois

64
Q

Au niveau des pensées, qu’est-ce qui est influencé par le corps ?

A

L’Estime de soi est influencé de manière excessive par le poids ou la forme du corps

65
Q

Que faut-il spécifier dans une boulimie ?

A

La fréquence des comportements purgatoires

66
Q

Qu’est-ce qui est associé aux crises de boulimie ?

A

Des comportements compensatoires inappropriés et récurrents visant à prévenir la prise de poids

  • vomissements
  • emploi abusif de laxatifs
  • diurétiques
  • exercice excessif
  • jeûne
67
Q

Les crises sont habituellement planifiées, mais sinon qu’est-ce qui peut prédire celles-ci ?

A

Un affect négatif

  • stresseurs interpersonnels
  • restriction alimentaire
  • image négative de soi ou pensées négatives
  • ennui ou isolement
68
Q

L’IMC est à l’anorexie, ce que … est à la boulimie

A

le nombre de crises

69
Q

Qu’en est-il de la comobidité de la boulimie ?

A

Elle est très fréquente : la majorité des boulimiques atteignent aussi les critères d’un autre trouble :

  • bipolaire
  • dépression
  • anxiété
  • trouble de personnalité
  • toxicomanie (alcool et stimulants)
70
Q

Si on traite la boulimie, qu’arrive-t-il avec le trouble secondaire ?

A

Les symptômes du trouble secondaire tendent à diminuer dans les mois suivant le traitement de la boulimie

71
Q

Dans le trouble hyperphagique, quels sont les critères qui sont associés aux épisodes alimentaires ?

A
  • Manger beaucoup plus rapidement que la normale
  • Manger jusqu’à se sentir mal à l’aise
  • Manger seul, parce que la personne se sent mal à l’aise de sa consommation
  • Se sentir dégoûté de soi-même, dépressif ou coupable après avoir mangé
  • Manger de grandes quantités sans ressentir la faim
72
Q

Qu’en est-il du reste des critères associés au trouble hyperphagique ?

A
  • Il y a une détresse marquée en ce qui concerne la frénésie alimentaire
  • Fréquence : au moins une fois par semaine, pendant 3 mois
  • La frénésie alimentaire n’est PAS associée à des comportements compensatoires inappropriés
73
Q

Que faut-il spécifier dans le cas d’une hyperphagie boulimique ?

A

La fréquence hebdomadaire des crises hyperphagiques

  • 1-3
  • 4-7
  • 8-13
  • 14 et plus
74
Q

Qu’en est-il du ratio homme-femmes dans l’hyperphagie boulimique ?

A

C’est celui qui est le moins fortement biaisé vers les femmes (même s’il n’y a pas nécessairement plus d’hommes que de femmes)

75
Q

VRAI ou FAUX ? L’âge moyen de consultation est plus avancé dans la boulimique que dans les 2 autres troubles alimentaires

A

FAUX : c’est le trouble hyperphagique qui présente l’âge de consultation le plus avancé

76
Q

Dans lequel des troubles alimentaires est-ce que le taux de rémission est-il le plus favorable ?

A

Trouble hyperphagique

77
Q

Que doit-on avoir en tête pour le traitement des TCA

A
  • Suivi médical nécessaire (plusieurs problèmes métaboliques peuvent survenir ; parfois même l’hospitalisation)
  • Intervention spécialisées recommandées (clinique des TCA)
  • Gestion des stresseurs psychosociaux et évaluation du fonctionnement (académique, social et implication sportive)
  • Influence du milieu familial (stratégies autoritaires et rigides = possible facteur de maintien)
  • Risque suicidaire
  • Préserver un lien de confiance
  • Attention au consentement et réévaluer la progression du trouble
78
Q

Quelles sont les explications biologiques des TCA ?

A

Biologique :
- possible vulnérabilité des circuits de dépendance (dopamine) et des circuits qui sont en charge des rythmes biologiques comme la faim (sérotonine)

Composantes génétique :

  • facteur de risque, mais pas de gène dominant
  • anorexie = difficile de différencier la génétique des pratiques parentales
79
Q

La pharmacothérapie est-elle efficace pour tous les troubles alimentaires ?

A

NON :

  • pour l’anorexie, il n’y a pas de preuves d’efficacité
  • pour les deux autres toutefois, il semble y avoir une efficacité des ISRS, tricycliques, antiémétiques et anticonvulsiviant
80
Q

Pourquoi est-il important de s’attarder aux critères des troubles liés à une substance dans le cadre d’une bonne évaluation ?

A

Parce que l’effet des substances est souvent un critère pour le diagnostic différentiel

81
Q

Quels sont les exemples de dépendances comportementales et peut-on actuellement être atteint de ce trouble?

A
  • magasinage
  • comportements sexuels
  • internet et autres jeux en ligne

–> on ne peut pas en être atteint car ce ne sont que des propositions qui pourraient être ajoutées au DSM et qui ne sont pas encore intégrées

82
Q

Les substances sont classées en … classes ?

A

10 classes :

  • alcool
  • caféine
  • cannabis
  • opiacés
  • solvants
  • sédatifs
  • tabac
  • etc
83
Q

Quel est le libellé du trouble liés à des substances et autres dépendances ?

A

Trouble de l’usage de (telle) substance

84
Q

À quoi le trouble lié à des substances faisait-il référence dans le DSM-4 ?

A

Abus et dépendance

85
Q

Qu’est-ce qui est commun à chacune des substances dans le DSM-5

A

Les critères référant à :
- l’intoxication (développement de changements comportementaux ou psychologiques réversibles et associés à la substance)

  • le sevrage (développement de problèmes comportementaux - avec composantes physiologiques et cognitives concomitantes causés par la cessation ou la diminution de la prise d’une substance qui a été consommée longtemps ou en grande quantité)
86
Q

Quel est le critère A du trouble (alcool, par exemple) lié à une substance ?

A

Patron d’usage problématique de l’alcool menant à un dysfonctionnement ou une détresse significatifs, comme en témoignent 2 des symptômes suivants :
1- alcool consommé en plus grande quantité ou plus longtemps que prévu
2- effort infructueux pour diminuer ou contrôler la conso

3- envie ou désir fort de consommer
4- une part importante du temps est consacrée à obtenir, utiliser et récupérer après l’usage

5- usage récurrent menant à une incapacité de remplir un rôle important
6- persistance dans la conso malgré des problèmes sociaux causés ou exacerbés par la conso

7- réduction des activités sociales, professionnelles ou récréatives causées par la consommation
8- usage récurrent de la substance dans un contexte dangereux
9- maintien de la consommation malgré la conscience qu’elle cause ou exacerbe des problèmes physiques ou psychologiques

10- tolérance, tel que défini par l’un des critères suivants :
a) besoin de quantité plus grande pour obtenir l’effet désiré
b) diminution marquée de l’effet suite à un usage répété
11- Sevrage, tel que défini par l’un ou l’autre des critères suivants :
a) symptômes de sevrage
b) prise d’alcool ou de substance appariée pour apaiser ou éviter le sevrage

87
Q

Qu’est-ce qu’un symptôme somatique ?

A

Symptôme physique spécifique (douleur diffuse ou foccale = plus fréquent) ou non-spécifique (ex : fatigue)

Les symptômes physiques peuvent faire partie d’une condition médicale ou ne pas être médicalement expliqués

88
Q

En quoi est-ce que les symptômes somatiques peuvent s’avérer un trouble mental ?

A

Il y a des soucis, des pensées ou des comportements excessifs associés aux symptômes somatiques
–> temps et énergie alloués à penser au symptôme, anxiété)

Il y a des impacts fonctionnels :
- problèmes

89
Q

Combien de temps les symptômes somatiques durent-ils ?

A

Plus de 6 mois

90
Q

Pourquoi la personnalité paranoïde ne peut-elle pas être une situation hostile réelle ?

A

Le conflit réel n’implique peu ou pas d’effet en dehors du conflit ; tandis qu’une personnalité paranoïde aura des conflits dans plusieurs relations et contextes

91
Q

Quelle est la principale caractéristique qui permet de distinguer un trouble personnalité paranoïde ?

A

LA méfiance envers autrui ; accompagnée d’interprétations d’intentions hostiles

92
Q

Pourquoi la personnalité schizoïde ne peut-elle pas être une phobie sociale ?

A

Le phobique social VEUT entrer en relation et redoute le jugement d’autrui
Tandis que le schizoide ne CHERCHE PAS à entrer en relation et n’EST PAS ou peu affecté par le jugement d’autrui

93
Q

Pourquoi le schizoide ne peut-il pas être un trouble sexuel ?

A

Le trouble sexuel n’est pas expliqué par un désintérêt pour autrui ou l’absence de relations amicales

94
Q

Pourquoi il ne faut pas confondre le schizoide et le trouble autistique ?

A

L’autisme est généralement accompagné de stéréotypies et d’un dysfonctionnement des habiletés sociales plus important encore que le shizoide
Les problèmes cognitifs sont également plus propres à l’autisme

95
Q

Comment fait-on pour distinguer l’introversion de la personnalité schizoide ?

A

Introversion nne signifie pas un désintérêt pour autrui

96
Q

Quelle est la principale caractéristique qui permet de distinguer le schizoide ?

A

Le détachement social et la restriction de la variété des émotions dans les contextes interpersonnels

97
Q

Qu’est-ce qui permet de différencier la personnalité schizotypique d’un trouble psychotique ou trouble de la pensée ?

A

Le psychotique a des croyances beaucoup plus intenses ; aigues et il présente une désorganisation beaucoup plus importante

98
Q

À quoi faut-il faire attention lorsqu’un soupçonne qqun provenant d’une autre culture d’avoir une personnalité schizotypique ?

A

Les croyances que l’on peut considérer comme bizarres ne le sont peut être pas pour eux
(les croyances normatives ne sont pas considérées comme inhabituelles)

99
Q

Quelle est la caractéristique principale qui permet de distinguer une personnalité schizotypique ?

A

L’inconfort dans les relations proches et des croyances et comportements atypiques

100
Q

Qu’est-ce qui permet de distinguer la personnalité anti-sociale d’une toxicomanie ?

A

Ils peuvent être concomitants, mais pas toujours

101
Q

Est-ce que comportements anti-sociaux veulent nécessairement dire personnalité anti-sociale ?

A

NON : certains criminels ne sont pas antisociaux et présentent des remords pour leurs gestes

102
Q

Quelle est la caractéristique qui permet de distinguer la personnalité antisociale des autres troubles ?

A

À la différence des autres troubles, l’anti-social présente une bonne capacité d’habiletés sociales
–> il ne présente pas nécessairement d’indifférence sociale

103
Q

Les troubles de l’humeur et le trouble bipolaire peuvent ressembler en plusieurs points à la personnalité limite. Qu’est-ce qui les distingue ?

A
  • La dépression présente de l’irritabilité ; des fluctuations de l’humeur et des idéations suicidaires, ce qui n’est pas nécessairement le cas des TPL
  • La dysphorie prémenstruelle présente de la colère et de l’irritabilité ainsi que des conflits
  • La manie entraîne des cpts risqués ; une réactivité de l’humeur ; des crises intenses et des conflits
104
Q

Quelle est la caractéristique principale qui permet de distinguer la personnalité antisociale ?

A

Difficile : le TPL partage des caractéristiques avec tous les troubles, presque

105
Q

Pourquoi la personnalité histrionique n’est-elle pas un délire érotomaniaque ?

A

Le délire est plus intense ; moins rationnel ; plus désorganisé et il est limité dans le temps
–> l’histrionique a plusieurs flammes alors que le délire n’est axé que sur une seule personne

106
Q

Pourquoi il ne faut pas mélanger l’extroversion avec le trouble de personnalité histrionique ?

A

L’extroversion n’implique pas nécessairement des conflits ET l’individu peut très bien évaluer l’intensité de ses relations ET l’extroverti n’implique pas nécessairement une relation de séduction

107
Q

Quelle est la principale caractéristique qui permet de distinguer la personnalité histrionique ?

A

L’expression émotionnelle exagérée et la recherche d’attention

108
Q

Pourquoi il ne faut pas prendre un épisode maniaque pour une personnalité narcissique ?

A

1- La manie est circonscrite dans le temps

2- La manie est accompagnée de changements au niveau de l’humeur ou du fonctionnement

109
Q

En quoi la personnalité narcissique se dinstingue-t-elle d’un rôle social ou professionnel ?

A

Certains rôles qui demandent un certain sentiment de grandeur (ex: juge), mais dans ce cas, les manifestations de grandeurs se passent uniquement dans le cadre de ce rôle et non pas à l’épicerie

110
Q

Quelle est la caractéristique principale qui permet de distinguer un trouble de personnalité narcissique

A

Sentiment d’importance et de grandeur accompagné d’un besoin d’admiration et d’un manque d’empathie

111
Q

Pourquoi une personnalité évitante n’est pas un trouble anxieux (anxiété sociale) ?

A

La personne évitante tend à être réservée avec pratiquement TOUTES ses fréquentations, ce qui a un impact sur les relations amicales et amoureuses ; cela est moins important dans l’anxiété sociale

112
Q

Quelle est la caractéristique principale qui permet de distinguer la personnalité évitante ?

A

L’inhibition sociale (et non un désintérêt social)
Un sentiment d’inadéquation
Hypersensibilité à l’évaluation négative

113
Q

Le trouble de personnalité dépendante est à ne pas confondre avec un trouble anxieux. En quoi sont-ils différents ?

A

Le dépendant peut manifester de l’anxiété, mais celle-ci est tournée vers la peur du rejet par autrui

114
Q

Une situation de handicap peut ressembler à une personnalité dépendante. Comment les distinguer ?

A

Le trouble de personnalité doit témoigner un caractère excessif considérant l’âge et l’état de l’individu
–> la personne handicapée devrait dépendre de façon cohérente avec sa réalité

115
Q

Quelle est la principale caractéristique qui permet de distinguer la personnalité dépendante ?

A

Le besoin d’être pris en charge accompagné d’une indécision

116
Q

TOC et POC sont deux termes semblable, comment les distinguer ?

A

La POC ne présente pas de réelles obsessions et compulsions (juste une grande préoccupation pour les détails)

Et la rigidité de la personnalité peut être importante, mais elle n’atteint pas le niveau de détresse de l’obsession

117
Q

Quelle est la caractéristique principale permettant de distinguer la personnalité obsessionnelle compulsive ?

A
  • La préoccupation pour l’ordre
  • Un réseau social pauvre qui s’explique, non pas par la gêne ou par un désintérêt pour autrui, mais bien par un surinvestissement dans le travail ou par des conflits issus de la rigidité