Examen final Flashcards

1
Q

Comment les codes et les usages conversationnels d’une langue s’acquièrent-ils?

A

Par la médiation d’un professeur qui va expliquer les textes écrits. L’accès aux œuvres du passé ne peut être fait que par l’expérience sociale. Les codes doivent être enseignés, appris.

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2
Q

Selon Vigner, trois composantes majeures interviennent dans l’élaboration du discours en L2. Lesquelles?

A
Composante personnelle (dépend de l’énonciateur et de la façon dont il élabore son discours;
Composante interpersonnelle;
Composante impersonnelle (l’ensemble des conventions qui s’imposent de l’extérieur aux deux locuteurs et qui régissent l’échange, la part du collectif dans l’individuel (registre de langue)
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3
Q

Comparer ; la langue d’origine à la langue maternelle et à la langue seconde.

A

Langue d’origine : Désigne, de façon assez vague, la L en usage dans le milieu de vie originel, sans que l’on sache toujours s’il s’agit du milieu familial ou du pays.
Langue maternelle : Ambigu. Se rapporte à la L apprise au contact de la mère. Apprentissage qui se fait naturellement, sans support de l’écrit, sans référence à la règle. Peut aussi être la L de la mère-patrie et n’est pas toujours la L maternelle du pays.
Langue seconde : Toute L qui n’est pas la L principale d’éducation ou la langue nationale.

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4
Q

Les classes d’enfants de migrants sont-elles homogènes? Expliquez votre réponse.

A

Elles sont loin d’être homogènes du point de vue linguistique. On a souvent plusieurs nationalités et il y a aussi différents usages et parlers d’une même langue.

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5
Q

Identifier trois éléments qui peuvent contribuer à faciliter l’apprentissage d’une L2 dans une classe bi- ou plurilingue.

A
  • Comparer les manuels du pays d’origine vs pays d’accueil
  • Présenter des films du pays d’origine avec sous-titres en français
  • Comparer les systèmes d’écriture des langues
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6
Q

Comment pouvons-nous éviter de considérer les élèves comme de purs récepteurs?

A

Le considérer comme porté par une relation particulière au monde, nourrie par les formes de l’imaginaire de sa sphère culturelle première. Il faut solliciter ces ressources. Ne pas faire un enseignement du rupture en ignorant ces savoir, mais plutôt les exploiter dans une approche comparatiste et contrastive, dans un traitement interculturel.

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7
Q

Expliquer le rôle de l’oral dans une classe de L2.

A

L’oral est premier et l’écrit est second. Cependant, même si nous travaillons généralement à l’oral, il est difficile de travailler sur l’oral lui-même.

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8
Q

D’après l’auteur, le traitement de l’oral tient-il un rôle prioritaire par rapport à l’écrit? Notre méthodologie est-elle la même ici, au Québec?

A

C’est la condition d’une entrée pertinente dans la langue. Elle permet d’interpréter l’environnement sonore dans lequel évolue le sujet, d’établir un lien entre l’oral et l’écrit, elle assure l’acquisition du système écrit de la L.

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9
Q

Pourquoi l’enseignement de la prononciation est-il si complexe?

A

C’est un domaine marqué par une grande variabilité, toutes les réalisations se caractérisent par une grande instabilité et une grande fugacité (débit rapide et difficile d’y revenir.)

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10
Q

Nommer les techniques de correction phonétique qui sont identifiées dans ce chapitre.

A

Méthode articulatoire : Produire des sons à partir du positionnement des lèvres, de la circulation de l’air dans la bouche, de l’usage de la langue et du palais.
Approches contrastives et conditionnement : Travailler sur les contrastes en L1 et L2 avec correction systématique.
Paires minimales et oppositions phonologiques : Travailler sur les oppositions sourde/sonore et sur les nasales dans des mots de sens différent (Vent/Vin)
Approche verbo-tonale et contextes facilitants : Créer des contextes facilitants pour les sons qui n’existent pas dans la L1 de l’élève.

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11
Q

Sélectionner cinq recommandations de la relation entre l’oral et l’écrit. Expliquez en quoi chacune consiste.

A
  • Ne pas tarder à faire la correction phonétique, sans respecter strictement la préalabilité de l’oral
  • Distinguer les approches selon l’âge du public. La flexibilité auditive et phonétique varie selon l’âge.
  • Tirer parti du contexte général d’apprentissage. Le milieu est riche pour la francophonie. Travailler sur la musique, tenter d’imiter…
  • La compréhension orale est la plus importante et la moins bien travaillée.
  • Sensibiliser les élèves à la bonne prononciation, car c’est un facteur de réussite de l’échange.
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12
Q

Qu’est-ce que l’interaction orale?

A

C’est un vecteur de l’apprentissage. On apprend une langue par l’usage et la prise de parole, l’échange en situation permettra à l’élève d’intérioriser un certain nombre de formes de la langue. L’interaction orale, en dépit du désordre apparent qui la caractérise, obéit à un certain nombre de règles, elles-mêmes régies par un certain nombre de conventions d’ordre socioculturel, dans la relation de l’enfant à l’adulte, de l’élève au professeur, d’une relation entre familiers ou d’une relation formelle.

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13
Q

Expliquer ce qu’est le dialogue pédagogique.

A

Permet de mettre les formes de la langue en situation et de se servir des éléments de la situation comme support d’inférence pour accéder à un premier niveau de compréhension des énoncés. Permet de travailler sur les formes de l’oral, sur des éléments propres à la matière sonore, d’approcher des formes de langue liées à la situation d’échange et travailler sur des composantes culturelles de l’échange.

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14
Q

Pourquoi la compréhension de l’oral est-elle fondamentale pour le ENA?

A

Parce qu’il doit suivre des cours magistraux toute la semaine et que la compréhension y est fondamentale. Ils doivent fournir de gros efforts, qui génèrent une fatigue et une incompréhension, même partielle, peut être très dommageable.

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15
Q

Comment peut-on, comme enseignant, oraliser l’écrit?

A
  • Élaborer un canevas détaillé non rédigé de façon à interdire la lecture en continu
  • Réécrire/modifier un texte écrit pour l’oraliser. Facilite l’audition/compréhension
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16
Q

Expliquer en quoi consistent les deux grands facteurs que nous devons prendre en considération lors de l’apprentissage de la lecture chez nos élèves.

A
  • Le niveau d’entrée dans le système éducatif (rattrapage ou non)
  • La compétence à l’écrit dans sa L1
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17
Q

Identifier au moins cinq stratégies de lecture, évoquées dans ce chapitre, susceptibles d’aider l’élève à comprendre un texte.

A
  • Travail sur la classification, les listes, l’ordre alphabétique, les hiérarchisations lexicales, les titres et leur syntaxe.
  • Étudier l’image des textes selon la nature des supports
  • Écoute de textes lus et reformulation orale
  • Comparaison de textes entre eux, similiarités/différences
  • Lire des textes longs à partir d’ouvrages bilingues
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18
Q

Comment l’enseignant de FLS peut-il utiliser la lecture pour changer la ‘signification des mondes représentés’ et ‘engager d’autres types d’inférences?

A

Il doit apprendre aux élèves à

a) élaborer le scénario à partir des mots de sens plein et du lexique principal du texte;
b) rétablir l’info implicite;
c) confirmer les inférences ainsi établies avec les éléments de suite du texte;
d) situer le scénario dans un schéma narratif;
e) entreprendre une lecture au pas à pas en s’aidant de la syntaxe, morphologie, orthographe, ponctuation, c’est-à-dire de l’ensemble des indices graphiques, pour aller dans le détail de l’info et sa représentation.

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19
Q

Quels sont les facteurs qui contribuent à la difficulté à écrire des ENA?

A
  • L’apprenant n’est pas un adulte expert dans sa langue d’origine. Il ne peut pas faire de transfert
  • L’apprenant est un enfant/ado. Sa compétence rédactionnelle est en cours d’acquisition
  • La capacité à écrire requiert un seuil de compétence minimum dans la L2. Une compétence suffisante à l’oral est nécessaire au passage à l’écrit.
  • Pour bien écrire, il faut savoir automatiser certaines opérations. L’ENA a besoin de toute son attention.
  • Dans des milieux où la relation au langage est d’abord orale, il est difficile de faire la transition vers un travail écrit.
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20
Q

Identifier les trois étapes d’écriture selon la piagétienne Emilia Ferreiro.

A
  • Étape présyllabique : l’enfant cherche à distinguer l’écriture du dessin, selon des tracés arbitraires qui peuvent simuler l’écriture.
  • Étape syllabique : La lettre note une syllabe d’un mot entendu. L’enfant tente d’approcher une relation entre la forme sonore du mot et sa représentation graphique.
  • Étape alphabétique : L’enfant saisit que la lettre représente un phonème de la L et que l’ordre d’écriture correspond à l’ordre de l’oral.
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21
Q

Quels intérêts y-a-t-il à utiliser le modèle du processus d’écriture proposé par Flower et Hayes?

A

Il permet de situer l’ensemble des activités dans un système de relation de nature séquentielle des opérations qui se succèdent dans un certain ordre et interactive certaines opérations pouvant avoir un effet en retour sur des opérations déjà engagées.

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22
Q

Choisir cinq activités de progression des difficultés pour l’enseignement de l’écrit. Décrire en quoi elles consistent.

A
  • Le fonctionnement du code écrit : écrire son nom, copier des mots, faire une dictée…
  • Découper les mots et le texte : Proposer des mots sans espace et demander de les séparer. Demander de séparer un texte en paragraphes.
  • Copier un texte : dictée, copier un texte lu…
  • Élaborer un texte : à partir d’un texte à trous, d’un texte puzzle, d’un canevas, d’un récit imagé.
  • Variations structurelles : amplification (multiplication des détails à partir de lexiques), réduction (éliminer le superflu), prolongation (écrire la suite), ellipse (replacer les actions dans le texte)
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23
Q

Selon Geva (2006), parmi les résultats récents en recherche sur la lecture, un cadre dit « universel » semble se dégager pour les aspects suivants :

A
  • le développement des habiletés à lire le mot dans différentes langues;
  • quand la lecture se développe dans une langue, il y a corrélation avec l’autre langue;
  • Si = difficultés à décoder et à épeler en L1, mêmes difficultés en L2;
  • la conscience phonologique et la rapidité à nommer = différences individuelles et sont associées à des difficultés de lectures en L1;
  • les habiletés à traiter l’information peuvent prédire les habiletés à décoder et à épeler dans les 2 langues.
24
Q

Quels sont les types d’élèves selon Vigner?

A

1) l’élève qui ne sait ni lire ni écrire dans aucune autre langue (parce qu’il a 5 ou 6 ans ou parce qu’il n’a pas été scolarisé antérieurement);
2) l’élève sait lire et écrire, mais dans une écriture non alphabétique;
3) l’élève sait lire et écrire dans une autre écriture alphabétique.

25
Q

La compréhension du texte implique plusieurs composantes. Lesquelles?

A

1) le traitement du lexique;
2) la morphologie;
3) la syntaxe;
4) l’organisation du texte

26
Q

Place de la compréhension dans l’activité de lecture. Gaonac’h propose d’envisager la lecture en 2 temps, lesquels?

A

1) une phase consacrée à l’approche du texte dans sa dimension graphique (repérage des niveaux d’organisation de base)
2) une phase consacrée à l’analyse du sens du texte.

27
Q

Comprendre les textes : comment s’organise l’approche proposée pour le primaire?

A

L’album raconte une histoire à 2 niveaux d’expression, à savoir
1) la succession des images
2) le texte.
L’image = représentation parallèle de l’histoire racontée au moyen d’un langage écrit (aide à mettre en place le vocabulaire).

28
Q

Comment s’organise l’approche de la lecture avec des élèves non lecteurs?

A
  • 1) approche orale à partir des images (de couverture et du récit);
  • 2) on identifie les personnages, les lieux, les actions;
  • 3) on fait parler les élèves sur les images;
  • 4) on vérifie la capacité des élèves à faire des hypothèses de sens et on les aide à les verbaliser;
  • 5) le prof écrit au tableau ce que disent les élèves;
  • 6) quand l’élève commence à disposer des premiers repères, on va établir une relation entre l’image et le mot oral, puis entre le mot oral et le mot écrit;
  • 7) on s’interroge sur l’image des principaux personnages, sur les connotations qui leur sont attachées;
    8) on demandera aux élèves s’ils connaissent des histoires analogues.
29
Q

Comment s’organise l’approche de la lecture avec les élèves lecteurs?

A
  • 1) après la lecture des images et le repérage des mots-clés, on travaillera sur les éléments de reprise et de continuité.
  • 2)Par exemple, les verbes qui vont avec chacun des noms se rapportant aux personnages; la succession des verbes définissant l’espace d’action de chacun des personnages; les noms de lieux et leur évolution dans l’histoire; les changements d’états, depuis la situation initiale jusqu’à la finale.
  • 3) ensuite on s’interroge sur le sens de l’histoire;
  • 4) on se demande si dans les contes ou récits relevant de leur univers de référence culturelle, ils connaissent de telles histoires.
30
Q

Qu’Est-ce que lire dans le cadre de l’approche communicative?

A

C’est chercher du sens.

31
Q

Quelle est l’importance de la motivation dans le cadre de l’approche communicative?

A

On lit parce qu’on a une raison de le faire, on veut comprendre le message de l’auteur.

32
Q

Quel est l’objectif de la lecture dans le cadre de l’approche communicative?

A

Amener l’apprenant à comprendre différents types de textes dans le cadre de situations de lecture qui correspondent à ses besoins et à ses intérêts. D’où l’importance de choisir des textes appropriés.

33
Q

Pour développer la compétence «Lire des textes variés », soit la capacité de comprendre différents types de textes, il est nécessaire de développer des habiletés chez l’apprenant qui font appel à …?

A
  • l’intention de lecture,
  • la compréhension
  • la vérification.
34
Q

Qu’Est-ce que la pré-lecture? Quel est son but?

A

Avant toute activité de lecture, l’apprenant doit avoir une intention de lecture. Ceci signifie qu’en plus de désirer lire un texte donné, il fait une activité qui va le disposer mentalement à trouver du sens pour ce qu’il lit. Cette façon de procéder va l’amener à faire des hypothèses à propos du sens du texte, à partir d’éléments visuels, graphiques, etc. On peut aussi recourir à un texte préparatoire plus simple.

35
Q

Qu’Est-ce que la compréhension? Quel est son but?

A

Par la suite, l’enseignant propose de lire le texte et de trouver dans le texte un certain nombre de renseignements. Ceci a pour conséquence qu’en lisant le texte, les élèves ont un but précis qui guide leur lecture; ils n’ont pas à s’arrêter à des détails.
En d’autres mots, ils lisent en essayant de trouver des réponses à des questions posées par l’enseignant.

36
Q

Qu’Est-ce que la vérification? Quel est son but?

A

Une fois la lecture terminée, les élèves sont appelés à faire un retour sur leur compréhension. Ceci signifie que l’enseignant va vérifier avec eux s’ils ont bien compris tous les éléments (par exemple, les informations, les consignes, les sentiments ou les opinions contenues dans le texte). Si certains éléments n’ont pas été bien compris, l’enseignant amène les élèves à relire les passages incompris.

37
Q

Quelles sont les caractéristiques de la langue à l’oral?

A
  • Compréhension (écouter) vs expression (parler)
  • Outils de communication: système linguistique (son, lexique, grammaire, fonctions) dans un contexte socio-culturel
  • Variation linguistique
  • Observée dans le temps, l’espace, les échanges langagiers
  • Comportements langagiers varient selon les paramètres de la situation de communication
38
Q

L’intention de communication comprend deux domaines, lesquels? Donnez des exemples.

A

1- Réalisations linguistiques.
Ex: Salut vs bonjour vs yo
2- Paramètre de la situation de communication
Ex: rôle du locuteur, statut de l’interlocuteur, lieu, moment, état psycho

39
Q

Quelles sont les compétences liées à l’expression orale?

Autres que celles du MELS

A
  • Compétence linguistique
  • Compétence de communication
  • Compétence stratégique
  • Compétence socio-linguistique, etc.
40
Q

Qu’as-tu à dire sur l’écrit et l’école?

A
  • L’apprenant de L2 doit s’approprier l’oral d’abord

- Les formes scolaires de l’oral ne sont pas bien codifiées comme celles de l’écrit

41
Q

Quoi enseigner à l’oral?

A
LINGUISTIQUE:
-Lexique
-Morphologie 
-Syntaxe
VOCAL:
-Prosodie (rythme, intonation, accent, pause)
PARALINGUISTIQUE
-Gestes
-Mimiques
-Postures
42
Q

Comment enseigner les éléments linguistiques de l’oral?

A

Manuels

43
Q

Comment enseigner les éléments vocaux de l’oral?

A

Activités de discrimination

Activités de production

44
Q

Comment enseigner les éléments paralinguistiques de l’oral?

A

Activités d’imitation

Activités de théâtre

45
Q

Quels sont les 3 types de document sonores?

A

Fabriqué
Semi-authentique
Authentique

46
Q

L’enseignement de l’oral: commencer par l’écoute. Quelle est la démarche proposée?

A

Travailler un élément à la fois.

  1. le “Quoi” :
    - éléments prosodiques,
    - rythme, intonation, accent, pause, ton
  2. le “Comment” :
    - nuances véhiculées par chacun de ces éléments
47
Q

Donnez un exemple de comment travailler l’intonation.

A

Réalisations
Vous?
Vous.
Vous!

Nuances
Est-ce vous?
À votre tour
C’est vraiment vous!

48
Q

Donnez un exemple de comment travailler l’accent.

A

Réalisations
TU fais la vaisselle

Nuances
Pas moi!

49
Q

Donnez un exemple de comment travailler le rythme.

A

Réalisations
Il est énormément bête
Il est énorme et m’embête

Nuances
Dépend du rythme

50
Q

Donnez un exemple de comment travailler le ton.

A

Vocabulaire et ton varient. Donner une liste de vocabulaire sur les tons.

51
Q

Selon le CECR, l’oral implique des activités de…?

A

Compréhension
Interaction
Production

52
Q

En lien avec le CECR, donne des exemples d’activités en lien avec la compréhension.

A

Instructions orales
Message oral
Émission de radio, télé, films
Cours

53
Q

En lien avec le CECR, donne des exemples d’activités en lien avec l’interaction.

A

Échanges
Conversations
Discussions
Rencontres formelles

54
Q

En lien avec le CECR, donne des exemples d’activités en lien avec la production.

A

Monologue

Parler à un public

55
Q

Comment exploiter la compréhension de textes oraux?

A

Repérer/compréhension globale
Identifier/rechercher des infos précises
Identifier l’organisation du texte oral
Écouter/essayer de reproduire

56
Q

Comment exploiter l’expression de textes oraux?

A

Jeux de rôles

  • Présenter le contexte, les éléments de langue, préparer dialogues et les jeux de rôles
  • Rétroactions et commentaires, récapitulation, dégager les règles