Examen Final Flashcards

1
Q

Vrai ou faux. La violence conjugale peut être situationnelle ou individuelle.

A

Vrai.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Quels sont les trois types et formes que peuvent prendre la violence conjugale ?

A
  1. violence physique (recours à la force)
  2. violence sexuelle (coercition physique ou non)
  3. violence psychologique (menaces, insultes, contraintes, humiliation, manipulation)
    - violence sociale (interdiction ou restrictions sociales)
    - violence économique (interdiction ou suppression monétaire)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Il y a trois grandes théories et modèles explicatifs de la violence conjugale, nommez-les.

A
  1. Théorie de l’apprentissage social
  2. Théorie de l’attachement
  3. Théories féministes

Selon la theorie utilisé, les actions apportés pour le même problème vont être différentes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Expliquez la théorie de l’apprentissage social :

A

la violence conjugale s’apprend comme tout le reste. Sans interventions, sur un geste mauvais, perpétuation du geste, une famille ou c’est ‘‘bienvu’’ va influencé l’enfant à l’être aussi.

Environnement —> individu.

*Bcp d’enfants dans ces milieus ne reproduisent pas.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Expliquez la théorie de l’attachement :

A

Témoin de violence conjugale, la mère moins sure d’elle même, moins d’attention à l’enfant, l’enfant voit donc la mère inférieure à l’homme et va reproduire la violence envers la minorité.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Expliquez la théorie féministe :

A

Les femmes sont toutes hyper-contrôlées par leur mari il faut donc briser le cycle car elles arrivent pas à le faire. Les données de ces théories sont souvent prisent sur des femmes dans des cas extrêmes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Vrai ou faux.

Un seul facteur influence l’émergence de la violence conjugale dans un couple.

A

Faux.

C’est faux qu’un seul facteur influence l’émergence de la violence conjugale dans un couple. C’est souvent plusieurs facteurs de risques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Nommez les deux catégories de facteurs influençant la violence conjugale.

A

1-Facteurs personnels et biographiques

2- Facteurs socio-démographiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Expliquez ce que sont les facteurs personnels et biographiques.

A

TRAITS de personnalité
-colérique-hostile-faible d’estime-personnalité limite-antisocial-
HISTOIRE d’abus familiaux et/ou violence interparentale.
CONSOMMATION drogue/alcool/médicaments
ANTÉCÉDANTS (Judiciaires)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Expliquez ce que sont les facteurs socio-démographiques.

A

-Âge:
groupe à risque (16-24) diminue avec l’âge
-Statut socio-économique :
Augmente les risques de victimisation et d’action violence conjugale.
-Statut marital:
Union livre vs. Mariage (+officiel+engagé+diff.séparer)
Famille recomposée ou sans enfants(+interchangeable)
-Cas de violence conjugale antérieur/répétés :
Victimisation mutliple élevée
Isolement sociale
Séparation (instance de séparation favorise la violence)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quels sont les facteurs de risque pour les HOMICIDES conjugaux.

A
  1. Menace antérieure
  2. Présence d’arme à feu
  3. Tentative d’étranglement antérieure
  4. Jalousie et contrôle des activités
  5. Violence augmente en fréquence et en gravité
  6. Relations sexuelles forcées/ non-consentantes
  7. Abus de drogues et d’alcool
  8. Cas de violence conjugale lorsque la femme était enceinte.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Quelles sont les actions préventives de niveau primaire (pop. géné.) possibles pour la violence conjugale?

A

Prévention primaire (Universelle)

Promotion des relations amoureuses saines et non-violentes. Mon corps c’est mon corps.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quelles sont les actions préventives de niveau secondaire (pop. à risque.) possibles pour la violence conjugale?

A

Prévention secondaire (Sélective)

Dépistage des signes de violence conjugale par les médecins chez les femmes enceintes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quelles sont les actions préventives de niveau tertiaire (pop. criminalisée) possibles pour la violence conjugale?

A

Prévention tertiaire (Spécifique)

Intervention policière en matière de violence conjugale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Vrai ou faux. Peu de pays ont une infraction officielle de violence conjugale.

A

VRAI.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Expliquez le contexte d’émergence de la prise en charge de la violence conjugale.

A

Prise en charge inégale et variable au cours des 40 dernières années:

  • Historiquement : approche de non-intervention (Car la ‘‘chicane’’ était considérée comme privée).
  • Début 70’: mouvements féministes et de défense des victimes forcent à réexaminer cette approche.
  • Début 80’ : modèle thérapeutique -> modèle formel et punitif.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Deux politiques sont en oeuvre au Canada pour contrer la violence conjugale, quelles sont-elles?

A

-Politique d’inculpation :
Porter accusation n’est plus la simple responsabilité de la victime.
Augmenter les dénonciations (enlever les tabous)
Diminuer la récidive (injonction)

-Politique de poursuite :
Favoriser la participation de la victime
Réduire le taux d’abandon des poursuites.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Étude de Sherman ‘‘Policing domestic violence’’

A

Sujet : Violence conjugale

  • Prob. Hausse
  • Augmentation des appels à la police
  • Récidive importante
  • Traitement relativement inefficaces.

Conséquence: Les policiers ne savent pas comment agir face à des appels de VC.

3 perspective importante à l’époque (80’s) :

-Perspective traditionnelle
Prob. familiaux privés , pas le rôle de la police. Récidive anyway.

-Perspective clinique
Situation de crise , requiert médiateur , éviter l’arrestation qui pourrait envenimer le problème et la relation.

-Perspective féministe
Arrestation favorisée du conjoint ou conjointe.
Les femmes ont besoins d’aide pour s’en sortir.

Intervention policière > Étude Shermann & Beck Mineapolis

Étude randomisée sur l’impact de la police en VC

Cpt de l’auteur surveillé pendant 6 mois.

3 choix aléatoire random.

  1. Perspect. Traditionnelle - Séparation pendant +heures
  2. Perspect. Clinique - Formation en médiation interv.
  3. Perspect. Féministe - Arrestation (jusqu’à 1 semaine)

Résultat : L’arrestation plus efficace.

Réponse : on augmente les arrestations drastiquement, la VC augmente elle aussi , réponse trop hative basée sur 1 étude.

Dans une autre étude 50% arrestation augmente recidiv. l’autre diminue.

Les gens réagissent pas tous de la même manière
+ à perdre = - susceptible de recommencer.

Environnement où l’arrestation est mal vue.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quel est le résultat de l’étude de Felson en 2005 , intervention policière pour violence conjugale ?

A

Intervention policière contribue à diminuer le risque de récidive.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Quelles solution apporte Hemmer et Griffith ? (2000) g-b

A

Intervention graduelle

1er niv:

  • lettre à la victime
  • lettre à l’agresseur
  • surveillance policière

2eme niv:

  • Visite à domicile d’une policier
  • Surveillance en cocon.
  • 2eme avertissment envoyé à l’agresseur

3eme niv:

  • Visite à domicile d’un policier spécialisé
  • alarme portative

Résultat : Fréquence des VC futur diminue intervalle entre les signalements grandit.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Donnez des exemples d’actions préventives prouvées efficaces dans le cadre de violence conjugale :

A

-Sensibiliser les citoyens et les victimes à signaler les cas de VC à la police.
Intervention policière = dissuasive
Empêcher l’escalade.

  • Intervention graduelle en fonction des signalements et du niveau de risque.
  • Désarmer l’agresseur
  • Réseau et support de la victime. (Briser l’isolement)
  • Agir rapidement. (Favorise aussi la dénonciation)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Vrai ou faux. La maltraitance et la délinquance vont de pair.

A

Faux.

Attention aux étiquette, maltraitance et délinquance ne vont pas de pair.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

Qu’est-ce que l’antériorité du clinique sur le juridiciaire ?

A

Quand le signalement est reçu, il y a un dossier d’enquête qui est formée. On commence par une évaluation sociale (clinique) avant d’appliquer des mesures (judiciaire pour clinique).

Les mesures : DPJ ou Judiciaire.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

Lors d’une cueillette d’information dans le cadre de protection de la jeunesse il faut chercher dans 3 domaines différents, nommez-les.

A
  1. Examen littéraire
  2. Besoins Usagés
  3. Besoins intervenants
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Lorsque l’on travail en prévention développementale, qu’elle est la notion primordiale pour une intervention efficace ?

A

Agir en amont, mieux repérer , connaissance des services depuis longtemps.

Plus tôt , mieux c’est.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Puisque plusieurs jeunes sont aux prises avec plusieurs problématiques, quelle genre d’intervention est-il préférable d’appliquer ?

A

Un intervention d’individualisation, changer les paradigmes et appliquer de nouvelle pratiques de réadaptation. Agir au cas par cas.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Donnez un exemple de facteurs de risque & de protection, ainsi qu’un exemple de facteur protection seulement.

A

Facteurs de risque & de protection : La stabilité de la sit.
Facteur de protection : Inclusion sociale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

De quelle manière faut-il organiser les services ?

A

Prévention secondaire développementale et situationnelle, distinguer les FR criminogènes et les FP adaptatif développementaux.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Expliquez ce qu’est le projet Elmira.

A

Un projet de prévention développementale axé sur les femmes enceintes. On veut voir si le soutient moral et pratique des femmes enceinte à risque peut aider le développement de leurs enfants.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Nommez les trois catégorie de prévention :

A

1- Prévention situationnelle (axée sur la situation)
2-Prévention individuelle (axée sur la sociabilisation)
3-Prévention mixte (communautaire)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

La prévention individuelle porte sur :

A

Les délinquants potentiels et sur leur propension au crime.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

La prévention sociale est :

A

inclue dans la prévention individuelle, elle joue sur la sociabilité des gens, c’est une prévention primaire, avant qu’ils dévient. Atteint la population au complet.

-Sensibilisation/promotion
sur le violence conjugale, les abus sexuels, on ne rencontre pas les victimes mais on promeut au sein de la population générale.

Les impacts arrivent très tard, et c’est difficile de voir qu’est-ce qui influence vraiment, quels facteurs ?

Exemple : Mon corps c’est mon corps.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

La prévention développementale est :

A

Une prévention de perspective longitudinale (c’est long), chaque étape de vie a ses facteurs de risque.

Décrire et comprendre les stages de développement, tenir compte de l’âge au moment de l’intervention.

Intervenir avant que ne s’enracine certains patrons du comportement et réduire la criminalité adulte.

*: Modifier les facteurs de risques, développement de facteurs de protection. Avoir un impact sur la capacité de l’individu à s’ajuster et faire face à de nouvelels étapes développementales.

Fluctue selon les étape du développement de l’enfant.

  • Grosses : Intervention sur les parents , compétence parentale, situation socio-économique, pré-périnataux.
  • 2 à 5 ans : Intervention sur les parents, économie , environnement, fonctions pschologiques , habiletés parentales, pré-périnataux.
  • 6 à 12 ans: Intervention à l’école, Situation économique, environnement, fonctions psy. , habiletés parentales, sociabilisation , pré-périnataux.
  • 13 à 17 ans : Intervention sur les pairs, sociabilisation, économique , environnement , fonction psy, habiletés parentales, sociabilisation, pré-périnataux.
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Nommez certains facteurs de risque dans la prévention développementale :

A
  • Individuels : hyperactif , impulsif.
  • Pairs : amis déviants, milieu criminogène.
  • Famille : surveillance , violence , négligence, criminalité.
  • Milieu : désorganisation sociale, réseaux sociaux, armes à feu.

-École : absentéisme.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

Qu’est-ce que les paramètres descriptif du développement ?

A

À qui on a à faire quand on rencontre un délinquant ?

Début : âge du premier délit
Persistance : durée de l’activité criminelle
Diversité : nombre de différents type de délits.
Fréquence : nombre de délits commis.
Fin : âge du dernier délit

Développement car pas statique.

36
Q

Placer les différents type d’intervention en ordre d’efficacité :

A
  1. Famille à risque (majorité car efficace) +++
  2. Enfants et tempérament difficile et trouble de conduite. ++
  3. Enfants délinquants. +
  4. Ado délinquants chronique, sérieuse violence. -
  5. Criminel adulte –
37
Q

Expliquez ce qu’est le programme SNAP.

A

Stop now and plan.

  • Cocerne les enfants faisant l’objet d’un signalement pour un délit mais n’ayant pas l’âge pour la reponsabilité criminelle.
  • Les policiers utilisent leur pouvoir discrétionnaire pour informer les parents et informer la directe de la protection de la jeunesse (si l’enfant en a besoin)
  • Message de conscientisation envoyé aux jeunes.
  • Cognitivo-comportementale : résolution de problème, maîtrise de soi (présentisme) réorienter.

(Marche encore aujourd’hui)

38
Q

Vrai ou faux. Selon la prévention communautaire, l’aménagement à lui seul n’est pas assez efficace.

A

VRAI.

39
Q

Le prévention communautaire est :

A

Une approche complémentaire aux autres approches.

Développe la cohésion sociale, le sentiment d’appartenance, la participation résidentielle, notion de vie de quartier.

40
Q

La prévention communautaire agit sur :

A

Fréquence de type de crimes particulier (pas de criminalité générale)
Le sentiment de peur.
Déterioration d’un quartier (sit.)
Anomie, manque de contrôle social et de cohésion (indiv.)
Anomie = maque d’attachement aux normes sociales et aux valeurs sociales.

41
Q

Plusieurs types d’actions sont possibles en prévention communautaire, donnez-en des exemples:

A
Surveillance de quartier (plus courant) 
Aménagement de quartier
Police communautaire
Actions sur/pour les jeunes
Actions de supp. communautaire (médiation, ass. victime et témoins)
42
Q

Qu’est-ce que la surveillance de quartier ?

A

Un aspect très important de la prévention comm. très présent depuis les années 1970
A but de s’attaquer à des problèmes communs de quartier.
Peut venir d’une vol. de quartier, informelle ou peut être formel (moins souvent)
Forme de contrôle social (informelle)
Groupes de surveillance deviennent les yeux et les oreilles de la police.

43
Q

Donnez des exemples de surveillance de quartier vu en classe.

A

1-Guardians Angels, Fondé en 1979 par Curtis Sliwa.
Curtis décide de s’impliquer personnellement pour faire diminuer la criminalité dans le bronx (NY).

  • Prend une partie du travail de la police de manière informelle.

Commence par un groupe de 13 hommes qui font de la surveillance informelle dans le métro, les rues, etc.

Peuvent pas arrêter formel, mais peuvent immobiliser. Le simple fait de les voir dissuade.

2-Parent secours

Foyer-refuge
assure la sécurité des clientèles vulnérables (enfants ainés)

Promouvoir la prévention par l’information et la sensibilisation.

44
Q

Est-ce que les Guardians Angels (surveillance de quartier) sont efficaces ?

A

Dans les faits, peu d’études évaluatives rigoureuses.
Mais peu d’impact sur le taux de criminalité, travail plus sur le sentiment de sécurité que sur la réelle baisse de criminalité.

45
Q

Il y a deux mesures pouvant servir à mesurer l’impact de la prévention communautaire. Quelles sont ces mesures ?

A
  1. Impact sur la cohésion sociale et la notion de territorialité
  2. Impact sur la criminalité et sent. de peur.
46
Q

Qu’est-ce que l’impact sur la cohésion sociale et la notion de territorialité ? (Mesure de prévention comm.)

A

Plus ou moins facile à évaluer.
Attitude positive envers la police car elle s’implique plus,
Résultats mixtes :
-Augmente la cohésion , diminue l’anonymat / diminue dans d’autres.

-Aucun changement.

47
Q

Qu’est-ce que l’impact sur la criminalité et le sentiment de peur ? (Mesure de prévention comm.)

A

Criminalité
Réduction attendue de certains types de crime : propriété et vol de sacoche. Pcq on peut mieux intervenir.
Dans les métas-analyses : Baisse significative du taux de certains types de crime.

Sondages de victimisation diminue le biais du taux de reportabilité.

Le sentiment de peur diminue, les citoyens sont plus portés à reporter les crimes, une attitude favorable envers la patrouille et les surveillant s’accentue, augmentation du sentiment de sécurité et du sentiment d’autonomisation des citoyens (empowerment)

Impact informel : pas d’impact sur la criminalité.

48
Q

Quel problème peut amener une augmentation du taux de reportabilité ?

A

Difficile de voir le véritable impact car + de crime rapporté. Ne veut pas dire qu’il y a plus de crime mais que la sensibilisation a eu plus d’effet peut-être.

49
Q

En quoi la surveillance de quartier pourrait-elle être irréaliste ?

A

Les quartiers qui en ont le plus de besoin sont souvent ceux qui seront moins enclins à poser des gestes concrets. La cohésion sociale est basse.

Pourrait expliquer certains impacts faibles :

Sentiment de peur -Isolement - Baisse de la cohésion - augmentation de la criminalité - Sentiment de peur…..

50
Q

Qu’est-ce que la police communautaire ?

A

Mission : maintenir l’ordre , protéger la pop. et contrôler le crime.

Réponse typique au crime ne s’attaquent pas aux causes du crime.

Doit être + proactive et doit améliorer son image. Possible en sollicitant la collaboration et implicite de la police.

Répondre au besoin (sentiment de sécu. des citoyens)
Rapp police au citoyen, implication du citoyen
Collaboration mutuelle.
Social en avant plan
Intelligence led policing. (built around the assessment and management of risk)

Rapprochement entre policiers et citoyens. Partenariat avec institutions locales, mieux ancrer dans société. intervention policière modernisées, orientées vers la résolution de problèmes, proactif, plutot que réactif.
Plus de prévention.

51
Q

Quel est l’efficacité et l’impact de la police communautaire ?

A

Difficile à évaluer, études quasi-inexistantes dûr à quantifier.
-surtout évaluation de processus.
Compilation du nombre de policiers engagé, plus ou moins efficace.

52
Q

Quels sont les trois niveaux d’intervention ?

A
  • Primaire : visant la population générale
  • Secondaire : Visant la population à risque
  • Tertiaire : Visant la population délinquante
53
Q

Qu’est-ce que la réhabilitation ?

A

Traiter et éduquer les délinquants pour réduire le risque de récidive et favoriser la réinsertion. Niveau tertiaire visant surtout l’individu.

54
Q

Pourquoi certains disent que la réhabilitation n’est pas de la prévention ?

A

Actions punitives / non-volontaire

La prévention doit être non-coercitive et avant le crime.

55
Q

Faites la différence entre la dissuasion générale , la dissuasion spécifique , la neutralisation générale et la neutralisation spécifique.

A

Dissuasion générale : Dissuader la population générale de passer dans les actes anti-sociaux et la criminalité. Une idée générale qui démotive et évite le passage à l’acte.

Dissuasion spécifique/sélective : sous-groupe qui a déjà passé à l’acte, éviter la récidive. Travailler sur le calcul coût-bénéfice.

Neutralisation Générale : même sentence à tous les délinquants qui ont commis le même crime. Varie selon le type de crime commis.

Neutralisation spécifique : Éléments plus violents , récidive , délinquants dangereux. Donc peine plus sévère.

56
Q

Qu’est-ce qui semble mieux marcher entre la dissuasion générale et la dissuasion spécifique ?

A

La dissuasion générale.

Ce qui est certain c’est qu’il doit y avoir présence de :
Sévérité (important si la peine est plus bénéfique que le gain)
Célérité
Certitude (avoir de réelle conséquences)

57
Q

Vrai ou faux. L’effet de programme de réhabilitation sur le taux de récidive de fait pas consensus ?

A

Vrai

Majorité des études : impact négligeable, impact positif sur l’éducation, l’adaptation , l’attitude …

Criminalité peu d’impact.

Certains soutiennent que : certains programmes ont des répercussions positives sur certains types d’individus. Marche pas tout le temps, mais quand ça marche c’est sur le même genre de personnes :

  • individus avec faible problématique et souvent plus motivés
  • Impact souvent à court terme
  • Programmes qui misent sur plusieurs facteurs sont plus efficaces : cap. profess. , dév. sexu. , cap. sociales.
58
Q

Quels sont les programmes qui marchent le mieux en réhabilitation ?

A

Traitement des compétences interpersonnelles : académisation , trouver un emploi.

Intervention congnitive-comportementale : facteurs de risque cognitifs : percep. police, des drogues, de la criminalité.

Programme communautaire de support et d’aide à la réinsertion : groupe de travailleurs pour suivit et aide (agent de prob. psy, travailleurs soc.)

59
Q

Il est très important d’avoir une certaine rigueur méthodologique. Quel est le moyen le plus efficace pour y arriver ?

A

Méta-analyse (l’étude des études) Importance de la mesure analysée.

60
Q

Qu’est-ce que la prévention dans une optique de réduction des méfaits ?

A

Réduire les conséquences puisqu’on ne peut pas retirer le crime.

Stratégie visant des personnes et des groupes afin de réduire les dommages relié à certains comportement.

  • Légaliser la prostitution pour l’encadrer, réduire le danger. *Amsterdam
  • Toxicomanie , légalisation de la marijuana pour réduire la victimisation , il n’y a pas vraiment de victime en réalité c’est plus une norme social. C’est la dépendance qui peut faire des conséquence.
  • Projet Insite : au lieu de s’injecter un peu n’importe ou avec un peu n’importe quoi on empêche pas que tu te pique mais on le fait de façon salubre et supervisé. Permet aussi de discuster, intervenir, guider vers traitement.
61
Q

Quelles sont les erreurs courantes lors de l’élaboration et l’implantation d’un programme de prévention ?

A

Faible conn. / mauvaise compréhension du problème. Si on comprend mal l’impact on l’ac mal cerner. Le prog va avoir des mauvaises bases.

62
Q

Quelle est la procédure à suivre pour l’élaboration et l’implantation d’un plan d’action ?

A

Mobilisation : Dresser la carte des acteurs existance d’une concertation.

Diagnostic : portrait du milieu

Plan d’action : plan d’action

63
Q

Qu’est-ce que la mobilisation dans la procédure de l’élaboration et l’implantation d’un plan d’action ?

A

Existance d’une concertation, d’autres persones qui pensent que c’est une problématique.

64
Q

Qu’est-ce que le diagnostic dans la procédure de l’élaboration et l’implantation d’un plan d’action ?

A
  1. Déterminer l’importance du problème :
    - problème criminel : activités délinquantes spécifiques et locales qui frappe une catégorie de biens ou de personnes et dont l’intensité est telle qu’elle suscite une demande de solution.

-S’entendre sur l’existence d’un problème nécess. une action : prob. réel ? Ampleur ? Plaintes, stats, analyse , sondage ? crime mapping ? Décision formelle ?

  • Consciencius sur l’existence et la gravité/fréquence progression du crime.
    2. Déterminer la circonstance (qui , quand , quoi ,ou)

Quoi = Spécification de la nature du délit. (Cambriolage, résidentiel ? Commercial ? Degré de risque , fréquence.

Où / Quand = Analyse spacio-temporelle : crime national, grandre-allée , UL , région , province , rue bar … Cartographier le crime.

Qui = Profil des auteurs (antécédants, âges , complices)
Profils cibles, victimes. (access. vulnérabilité)
Profil type ? Profilage. Lieu-type, caractéristique type ? (valeur/Inertie/vulnérabilité/accessibilité)

Comment :
-tactiques / modus operandi = manière de commettre le crime.

3.Cause probable (pourquoi)
Pourquoi ce type de délit à cet endroit ?
Type | Endroit | Lié à … | Conditions aggravantes, atténuantes ? | Événements récents en rapport ?

Causes lointaines et rapprochées : sur quelles causes pouvons nous réellement agir ?

Théories criminologiques (recensions des écrits) consulter des spécialistes et gens du milieu. Allez voir les personnes SUR LE TERRAIN et les experts de D’AUTRES MILIEUX

Permet d’expliquer pourquoi un programme fonctionne ou non.

4.Solutions possibles ? (Stratégie déjà mise en place?)

Analyse des contrôles sociaux déjà en palce
Stratégie de mises en place ailleurs ? Méta-analyse
Solutions qui peuvent agir sur plus d’un problème ?

S’informer sur le passé avant d’agir dans le futur.

On doit prioriser certaines problématiques , mais on peut tout de même tenter de faire une pierre deux coups.

65
Q

Qu’est-ce que la méta-analyse ?

A

Évaluation d’une famille de programmes pour une problématique commune.

66
Q

Sur quoi portait l’étude de Deslauriers & Beauregard ?

A

Étude du modus operandi de délinquants sexuels.

6 scripts typiques :

  • À la maison de la victime : Par infraction / Invitation
  • À l’extérieur : avec violence / sans violence
  • Lieu public social : à l’intérieur / à l’extérieur

Résultats :

Diversité de l’agir à même d’un type de crime.

L’endroit où le crime a lieu influence la façon d’agir du délinquant

Peu de distinctions agresseurs d’adultes agresseurs d’enfants.

Nécessité d’Avoir des interventions ‘‘sur mesure’’ adaptés pour chaue type et sous type de crime.

67
Q

Qu’est-ce que le plan d’action

A
  • Formuler les buts visés : simple et précis opur favoriser l’efficacité.
  • Fixer les objectifs pour chacun des buts :clairs , spécifique et mesurables.
  • Déterminer les stratégies d’actions : Cible (environnement ou individu) , Niveau D’intervention (primaire, secondaire, tertiaire), Durée de l’intervention

Critères essentiels au plan d’action :

  • Fasabilité : réaliste , tient compte des ressources dispo.
  • Efficacité (approuvé par d’autres)
  • Acceptabilité ( Soutient population, communauté, gens visés)
  • Collaboration/partenariat (implication e personne durée plus efficacité)
  • Complémentarité ( Ajoute à ce qui est déjà en place)
68
Q

Qu’est-ce que l’implantation ? (Dernière étape)

A
  • Mise en place des stratégies
  • Respect des critères de mise en oeuvre/stratégies
  • Concentration/Intensité des moyens
  • Partenariat / S’assurer de l’intérêt et du support continu des collaborateurs.
69
Q

L’évaluation du programme en général vise à :

A
  • Le programme a-t-il atteint son but parfois plus long. (diff de mesurer réellement les retombés. (ex : prév. développementale)
  • Rendre visible l’invisible, réduire la criminalité le non-événement donnée comparatives.
  • Importance d’avoir des objectifs précis.
70
Q

Pourquoi l’évaluation ?

A

Connaître les retombés réelles des stratégies mises en place

Savoir ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas et pourquoi : comment améliorer.

Assure une certaine qualité et réduit le ‘‘laisser-aller’’

Permet la reconnaissance/ la pérennité (et les changements de certaines pratiques sociales)

71
Q

Quelles sont les deux façons d’évaluer ?

A

++À priori : Équipe formé à la base (practiciens & chercheurs) pour mettre en place un prog. de prévention, de A à Z. L’évaluation est donc partie intégrante de la mse en place du prog.

+À postériori : Mesurer l’impact du programme de prévention après sa mise en place par du monde différent. Plus difficile de savoir pourquoi parce que les personnes sont différentes.

72
Q

3 types d’évaluations :

A

-Évaluation de l’impact (par défaut)
Quels changements après la mise en place

-Évaluation du processus :
Buts et objectifs respectés ? support ? Formation..
Qualité du programme , la forme.

-Évaluation coût-bénéfice :
Is it worth $ ? Est-ce que les bénéfices découlants du programme sont plus important que les coûts engendrés ?

73
Q

3 modèles d’évaluation + bonus :

A

() Avec mesure simple après le projet
()Avec mesure avant et après le projet
(
)Avec mesure avant/après + groupe contrôle
(BONUS) Randomisation des unités de façon aléatoire associé à un groupe où à l’autre (GC OU GE) Randomiser les mesures d’expérimentation.

*Rigueur valeur complexité

74
Q

Éléments de base pour une bonne évaluation :

A
  1. Avant/après minimum 2 analyses
  2. Mesure et dénonbbrmment systématique de la fréquence du délit/prob. visé. (Ex: Stats police, inventaire des pertes, présence absence)
  3. Mesurer la qualité de l’intervention (interroger , citoyens , policiers , intervenants)
  4. Données comparative (ex: délit contrôle/ expérimental)
75
Q

Problèmes associés à l’évaluation d’un plan d’intervention.

A

Durée d’implantation et prise de mesures associé au type de prévention (développementale, individuel)

Déplacement ( des délinquants innoves, secteurs adjacents comme groupe contrôle)

Taux de reportabilité. (Sensibilisation augmente le taux de repport de crime, augmente la criminalité ? non , plus grande stimulation du public)

76
Q

Expliquez quel était le projet de surveillance de quartier de seattle :

A

Problématique : cambriolage , citoyens sérieusement préoccupés.

Diagnostic : infraction de nature duimentaire, fenêtre ouverte ou porte non-vérouillée , voleurs arrêtés : -19ans.
Impact faible des patrouilles de police en place.
10% d’arrestation/ recouvrement des biens.
crimes résolus : présence d’un témoin.

Plan d’action : Réduire les cambriolages des hot-spots.

  • Inspection de sécurité de 30% des foyers
  • forme des équipes de surveillance des quartiers
  • Fournir aux citoyens des infos gén. au sujet des cambriolages (médias)

Évaluation :
Sur 40% des foyers rejoint par l’intervention
-65% sur GE et -5% sur GC pas de déplacement , augmentation du taux de cambriolages rapportés.

77
Q

(R) La prévention de la criminalité c’est :

A

De multiples facettes, multiples définitions, vision plus ou moins puriste, qu’est-ce qui est ou qui n’est pas de la prévention.

On pourrait comparer la prévention à un éléphant et la décrire comme 3 aveugles qui essai de le définir par le toucher. Le but étant de montrer différentes parties de la prévention, avoir un portrait plus général.

78
Q

(R) Aucun doute que la prévention de la criminalité est efficace, cependant …

A

L’impact de la prévention varie en fonction du lieu du moment et de l’approche utilisée.

  • Il n’existe pas une action précise efficace pour toutes les situations.
  • Certaines actions/approches plus appropriées pour certains problèmes et certains endroit.

Chaque situation requiert son action spécifique

Une même action peut viser plusieurs niveaux de prévention. (ex : primaire secondaire tertiaire)

Parfois difficile de trancher de façon claire.

  • importance de trouver des solution adaptés
  • Importance de bien cibler la problématique et les objectifs visés. .
79
Q

(R) Prévention axée sur la situation :

A

Primaire : aménagement d’un batiment avant qu’il y ait un problème , dans son architecture.

Secondaire : Agir sur un lieu à risque selon l’environnement.

Tertiaire : PLus rare agir sur un bâtiment déjà criminel.

80
Q

(R) Prévention axée sur l’individu :

A

Primaire : population générale , sensibilisation.

Secondaire : absentéisme , école cible les jeunes à risque.

Tertiaire : Réhabilitation Réinsertion socialisation.

Développementale : rarement tertiaire voir jamais , enfant général ou à risque à cause du contexte.

81
Q

(R) Prévention mixte ou communautaire.

A

Primaire : Neighbour hood watch, quand pas encore de problème.

Secondaire : Gardian Angels, milieu à risque, police communautaire.

Tertiaire : Logements pour réinsertion, support libération conditionnelle , infrastructure physique pour aider à ça.
FORCE 7.

82
Q

(R) Vrai ou faux . Il y a eu un avancement au cours des dernières années mais il reste encore beaucoup à faire.

A

Vrai.

  • Focus encore largement mis sur la réponse au crime plutôt que la prévention.
  • Sys. de justice pénale reste encore le joueur le plus important dans la prévention de la criminalité.
  • Difficulté de faire participer les citoyens ceux qui en ont le plus besoin en veulent le moins.
83
Q

Vrai ou faux. Il y a plus d’évaluations pour la prévention situationnelle.

A

Vrai , c’est plus facile de déterminer et de mesurer l’impact.

84
Q

Ce qui fonctionne en prévention situationnelle.

A
\+Surveillance: 
Par les personnes
Équipements de surveillance
Mesures de détection
Amélioration de la visibilité

+Empêchements physiques au délit

+Contrôle d’accès

+Détournement des délinquant de leurs cibles
Aménagement des routes et trajets
Séparer les adversaires
Gérer les horaires

+Influence coût-bénéfice
Réduction des sommes d’argent
Burinage des objets
Nettoyage rapide des graffitis (Théorie de la vitre brisée)

+Contrôle des instruments facilitant
Répression de la possession illégale d’armes à feu.
Patrouilles de police ciblées

85
Q

Ce qui fonctionne en prévention individuelle :

A

+Milieu scolaire :
Chapitre 6 , violence à l’école , absentéisme, réduit pas nécess la criminalité à long termes mais améliore la structure scolaire. ‘’ Bonne école’’

+Prévention développementale = efficace
Évaluation possible, mais à long termes.

+Prévention niveau tertiaire
Mesure communautaires et méthodes alternatives, surveillance électronique = en augmentation.

86
Q

Ce qui fonctionne en prévention communautaire:

A

+Quasi-inexistance d’études évaluatives rigoureuses.
Surtout des évaluations du processus.

+Difficulté d’évaluer l’efficacité réelle au niveau de la criminalité.
Réduction du sentiment de peur
Augmentation de la cohésion sociale

87
Q

Prévention individuel primaire = social

A

VRAI !!