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Justice pénal et communautés ethnoculturelles > Examen Final > Flashcards

Examen Final Flashcards

1
Q

Vrai ou Faux. Certains individus sont plus susceptibles de commettre certains types de crimes, ceci est un fait.

A

VRAI

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2
Q

Dire que certains GROUPES d’individus sont plus susceptibles que d’autres à commettre un crime ce n’est pas raciste. Expliquez ce que c’est.

A

Description du processus complexe qui explique les raisons de la différence entre ces deux groupes.

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3
Q

Nommez les 2 explications simplistes de la sur-représentation des minorités dans l’appareil de justice pénale.

A
  1. Il y a un traitement différentiel du système de justice pénale
  2. Il y a des différences en matière d’implication criminelle.
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4
Q

Qu’est-ce que le traitement différentiel de l’appareil de justice pénale (explication simpliste)

A

La théorie simpliste selon laquelle il y a des pratiques discriminatoires ou raciales des professionnels du système.

ex:
policiers 
juges
jury
agents de libération cond. 
par les agents correctionnels
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5
Q

Que représente la métaphore de l’entonnoir ?

A

La surreprésentation aux différentes étapes du processus judiciaire. L’entonnoir est plus ouvert pour les individus issu des groupes de minorités visibles.

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6
Q

L’une des explications simplistes dit que la cause probable de la sur-représentation des minorités visibles dans l’appareil de JP est le niveau d’implication élevé dans les crime graves ET on suppose que ce niveau d’implication criminelle est lié à la PERSONNALITÉ et à l’IDENTITÉ des indvidus. Quel serait l’explication moins simpliste de ce phénomène ?

A

Plutôt qu’expliquer le niveau d’implication élevé dans les crimes graves par la personnalité ou l’identité des individus, on peut faire le lien plutôt avec la PLACE qu’ils occupent dans le CONTEXTE SOCIAL. C’est ce qu’on appel les facteurs contextuels.

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7
Q

L’une des explications simplistes dit que la cause probable de la sur-représentation des minorités visibles dans l’appareil de JP est le TRAITEMENT DIFFÉRENTIEL par l’appareil de justice pénal. On part de l’hypothèse que les minorités sont sur-représentées en détention avant procès en raison d’une DÉCISION DISCRIMINATOIRE de la part du juge. Quel serait l’explication moins simpliste de ce phénomène ?

A

On pourrait plutôt lié la sur-représentation des minorités visibles dans l’app. de justice pénal par la manière dont ces groupes répondent à la situation, en tant qu’ACTEURS ACTIFS. C’est ce qu’on appel les facteurs comportementaux.

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8
Q

Vrai ou Faux. L’immigration a un impact sur la criminalité. FAUX.

A

FAUX. aucune incidence positive… et quelques fois incidence négative. Donc aucune explication ethnique.
Il faut analyser le CONTEXTE dans lequel vivent ces immigrants.

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9
Q

Nommez les deux théories des facteurs contextuels.

A
  1. Théorie de la désorganisation sociale.

2. Théorie de la tension.

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10
Q

Expliquez la théorie de la désorganisation sociale. (facteurs contextuels)

A

Il y a une corrélation entre la pauvreté et les quartiers criminogènes.

Dans une société organisée, les gens s’aident, d’éduque, intervienne.Dans la désorganisation sociale c’est le contraire.

-pas de respect pour la police, inéficacité des contrôle social formel et informel. Pas de surveillance informelle.

École de chicago, caractéristiques de la zone 2.

Caractéristiques macrosociales :

  • isolation sociale des TRULY DISADVANTAGED.
  • absence de MODÈLES SOCIAUX positifs.

Note: si un individu quitte la zone 2 , la criminalité ne le suit pas. Si on travail sur un quartier, la poche de criminalité se déplace, soit dans un autre quartier ou une autre zone.

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11
Q

Quelles sont les caractéristiques de la zone 2 de l’école de chicago dans la théorie de la désorganisation sociale ? (facteurs contextuels)

A
  • chomage (homme)
  • mobilité résidentielle
  • familles monoparentales
  • diversité ethnoculturelle
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12
Q

Expliquez la théorie de la tension. (facteurs contextuels)

A

Il y a une inégalité d’accès aux ressources (éducation, emploi, logement). Buts culturellement définis, des moyens culturellement acceptés par la culture dominante. Le fait que les dominants y ai accès et non les minorités crée une tension. Les pauvres veulent ce que les riches ont et décide de l’obtenir par l’illégalité.

Plus le faussé est grand entre pauvres et riches, plus la criminalité augmente.

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13
Q

Nommez les deux théories des facteurs comportementaux.

A
  1. Insatisfaction envers la police

4. Plaidoyer de culpabilité

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14
Q

(Facteurs comportementaux) On suppose qu’on ne tienne pas compte des décisions prises aux étapes précédentes du processus décisionnel.Sur base de quelles informations le juge prend sa décision ?

A

Facteurs de nature juridique
Facteurs de nature morale

C’est à dire évaluation négative par la police.

Attitude arrogante- Manque de coopération- Résistance physique.

C’est pourquoi il faut tenir compte des facteurs contextuels.

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15
Q

Expliquez l’insatisfaction envers la police. (Facteurs comportementaux)

A

Corrélation entre l’attitdue négative et les expérience passées.

Sentiment de traitement inéquitable
Qui conduit à une attitude critique et cynique
Laquelle peut être interprétée comme un manque de respect.

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16
Q

Expliquez le plaidoyer de culpabilité (Facteurs comportementaux)

A

Corrélation entre la sévérité de la peine et le non-plaidoyer.

Sentiment de traitement inéquitable.
Ce qui conduit à un refus de collaborer.
Ce qui donne l’impression d’une absence de responsabilisation.

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17
Q

Quel est le facteur lié à l’influence qui ne fait pas partie des explications simplistes ?

A

Le facteur de la peur.

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18
Q

Qu’est-ce que le facteur de la peur ?

A

Discours commun en matière de criminalité autour de la peur. Les médias vont nous dire de qui avoir peur.

Criminalité de rue (street crime) qui crée un ‘‘Autre criminel’ (individus méchant, pauvre qui attaquent victimes innocentes.)

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19
Q

Nommez les deux théories qui découlent du facteur de la peur.

A
  1. Discrimination indirecte des lois.

6. Profilage Racial par la police.

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20
Q

à quoi fait référence la théorie de l’autre criminel ? (Street crime)

A

Cela fait référence à la RACISATION DE LA CRIMINALITÉ–CRIMINALISATION DE LA RACE.

Groupe porteur d’une identité sociale ciblée par les mécanismes d’exclusion en raison de la racisation = processus de catégorisation sociale imposé par le groupe dominant par lequel certains groupes sont désignés comme différents.

RENFORCEMENT des INÉGALITÉS sociales , économiques et politiques.

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21
Q

Qu’est-ce que la criminalisation ?

A

Étiquetez une activité une personne ou un groupe comme criminel. On institutionnalise les groupes racisés.

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22
Q

Expliquez la discrimination indirecte des lois. (Facteur de la peur)

A

Corrélation réactive entre la panique morale et le populisme pénal.
Sur-représentation des minorités dans les prisons, ce qui alimente la crainte des blancs envers les minorités, ce qui a pour effet de :
INFLUENCER la CRÉATION et le CONTENU des lois.

Ce qui a pour effet d’ENTRETENIR la sur-représentation des minorités dans les prisons.

exemple : Guerre contre les drogues : détermination de la peine selon le type de drogue et la quantité. Plus sévère sur le crack, les plus grand consommateurs de cracks sont des noir.

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23
Q

Expliquez le profilage racial par la police. (Facteur de la peur)

A

Application différentielle de la loi.

Interpellation, fouilles, perquisitions, arrestations proactives
En raison de la race (profilage racial)
Plutôt qu’en raison de motifs basés sur le comportement. (profilage criminel)

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24
Q

Nommez les 6 facteurs qui peuvent jouer sur la propension au crime d’un individu. Certaines individus sont plus à risque de commettre des crimes.

A
  • FAMILLE
  • VICTIMISATION ANTÉRIEURE
  • ÉDUCATION (Drogue précoce et ou Agressivité précoce)
  • PAIRS (apprentissage du crime)
  • BESOINS (Pyramide de Maslow)
  • ENVIRONNEMENT / MILIEU (Theorie de l’immitation)

(Joue sur la courbe normale de la délinquance juvénile.)

Montée à 12 ans- pique à 16 ans - redescend vers 24 ans.

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25
Q

Vrai ou faux. Les théories simplistes tiennent compte du processus et de l’entrée dans l’appareil de justice pénal.

A

FAUX. Les théories simplistes ne tiennent pas compte de tout ce qui se cache derrière l’entrée dans l’appareil de justice pénale dont le processus. Elles restent dans l’appareil seulement.

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26
Q

Qu’est-ce que la différence en matière d’implication criminelle ?

A

Les membres des minorités sont NATURELLEMENT plus enclins à la criminalité et particulièrement à commettre le genre d’actes criminels qui donnent lieu à une incarcération.

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27
Q

Nommez les 3 points de la critical race theory.

A
  1. Le racisme est ordinaire
  2. Le système de pouvoir est orienté vers l’intérêt des blancs
  3. Le jeu de pouvoir entre les races est une construction sociale.
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28
Q

Expliquez en quoi le racisme est ordinaire. ( Critical race theory)

A

Il est difficile à enrayer et les règles d’égalité ne visent que les situations ÉVIDENTES. Le racisme est trop commun pour s’attarder à chaque cas, on s’attaque donc à ceux qui sont évidents.

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29
Q

Expliquez en quoi le système de pouvoir est orienté vers l’intérêt des blancs. (Critical race theory)

A

Le racisme et la discrimination jouent en faveur de l’élite blanche et doc cette tranche de la population n’a aucun intérêt à changer. (White power)

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30
Q

Expliquez en quoi le jeu de pouvoir entre les races est une construction sociale. (Critical race theory)

A

La racialisation de la criminalité et la criminalisation de la race produisent un traitement différentiel.

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31
Q

Qu’est-ce que le traitement différentiel ?

A

Le profilage dans un contexte général et le profilage racial. C’est un traitement qui est appliqué différemment d’un individu à l’autre ou d’un groupe à l’autre, en se basant sur certaines caractéristiques réelles ou perçues.

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32
Q

Expliquez ce qu’est le profilage dans un contexte général. (Traitement différentiel)

A

Le profilage dans un contexte général c’est la classication d’individus en fonction de leur caractéristiques que celles-ci soient :

  • Irréversibles
  • Variables

Exemple: assurance auto (plus cher pour les hommes)

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33
Q

L’analyse comportementale permet de faire un profilage. Elle établit des liens entre ____________ et ___________ . Nommez sa méthode en 3 étapes. (Traitement différentiel)

A

L’analyse comportementale permet de faire un profilage. Elle établit des liens entre DES TYPES DE COMPORTEMENTS et DES CARACTÉRISTIQUES INDIVIDUELLES. Sa méthode en 3 étapes :

  • Collecter et enregistrer les informations
  • Faire un lien entre les informations
  • Interpréter les liens

On formule des hypothèses sur le comportement des individus à partir de caractéristiques visibles.

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34
Q

Quels sont les risques du profilage. (Traitement différentiel)

A
  • Erreurs de corrélation (mauvaise interprétation)
  • Défaveur pour les exceptions
  • Discrimination élevée pour certains groupes
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35
Q

Quels sont les fondements du profilages racial ? (3) (Traitement différentiel)

A
  • Phénomène américain importé au Canada
  • Initialement en lien avec la lutte aux stupéfiants
  • Ensuite en lien avec la lutte au terrorisme
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36
Q

Vrai ou faux. Le profilage racial est un mythe. (Traitement différentiel)

A

Faux. Ce sont des arguments simplistes de dire qu’ils sont plus criminels et d’employer le discours du ‘‘NOUS’’ contre ‘‘EUX’’

Guy turcotte : Pathologie individuelle
50 cent : Trait ethnique

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37
Q

Donnez la définition du profilage racial. (traitement différentiel)

A

Toute action portée par une PERSONNE D’AUTORITÉ, pour des raisons de sûreté, sécurité , protection du public , qui repose sur des facteurs tels que la RACE , COULEUR, ORIGINE, ETHNIE … SANS MOTIF RÉEL ou SOUPÇON RAISONNABLE, et qui a pour EFFET d’exposer la personne à un examen ou un TRAITEMENT DIFFÉRENTIEL.

Peut aussi s’appliquer AUX MESURES appliquées de façon DISPROPORTIONNÉES.

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38
Q

La surveillance ciblée et disproportionnée des groupes racisés est une application INÉGALE de la loi. Cependant est-ce que cette méthode est efficace ?

A

NON. Cette méthode n’est pas efficace. C’est une approche prospective qui consiste à faire un lien entre :

  • Une activité criminelle particulière.
  • Un groupe défini par la population qui court alors plus de chance d’être INTERPELLÉ, ARRÊTÉ, CONDAMNÉ.
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39
Q

Pourquoi dit-on que le traitement différentiel dans le milieu policier (surveillance ciblée et disproportionnée des groupes racisés) fait que les minorités vont être traité de manière différentielle à toutes les étapes du système judiciaire ?

A

Car l’intervention policière (interpellation et arrestation) est la porte d’entrée dans l’appareil de justice pénale.

Quels sont les éléments déclencheur de l’intervention ?
MINORITÉ DOMINANTS
ini.policier 27% 13%
appels 911 65% 80%
Espaces public 43% 18%

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40
Q

Le profilage racial peut être exercé par une personne qui n’est pas en autorité. Vrai ou faux.

A

Faux. Dans ce cas il s’agit de discrimination.

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41
Q

En quoi la lutte à la criminalité et aux gang de rue est une surveillance ciblée et disproportionnée des groupes racisés.

A

Impact sur le volume et la qualité des contrôles d’identit des membres de groupes racisés est considérable (augmentation jusqu’à 25% dans MTL-NORD)

Justificatoin : taux de criminalité

CEPENDANT, les noirs ne sont responsables que de 10 à 20% des crimes mais sont inerpellés à raison de 40 % !

Les activités liées aux gangs de rue ne représente que 1,6% des actes criminels.

Exemple : SPVM: escouade avancée et éclipse.

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42
Q

Pourquoi ciblée les gangs de rues si seulement 1,6% des actes criminels ?

A
  • VISIBLES
  • PERCEPTION d’ampleur des citoyens.
  • REPRÉSENTÉS à 60% par les MÉDIAS !

Et les interpellations sont à 40% NÉGATIVES et n’ont donc aucun impact.

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43
Q

En quoi la lutte aux incivilités est une surveillance ciblée et disproportionnée des groupes racisés.

A

C’est une application arbitraire et disproportionnée de certains règlements
exemple entraver la circulation.

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44
Q

En quoi la sous-protection des victimes est une surveillance ciblée et disproportionnée des groupes racisés.

A

Quasi-absence des jeunes noirs parmi les victimes déclarées de crimes commis par les blancs.

Explications ?

  • L’agressivité va toujours ds le même sens ?
  • Les jeunes noirs sont méfiants envers la police?
  • La police ne prend pas au sérieux ce genre de plainte ?
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45
Q

Nommez les 4 CONDITIONS pour qu’un individu ait le SENTIMENT d’être traité ÉQUITABLEMENT.

A
  1. Avoir l’occasion de s’expliquer
  2. Être convaincu de la neutralité et de l’objectivité
  3. Être traité avec dignité
  4. Faire confiance aux motifs.

Si la 2 , 3 ,4 sont remplies , l’issue positive ou négative aura peu d’influence sur la satisfaction envers la police.

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46
Q

Quels sont les impacts du profilage racial aux niveaux de l’individu et le groupe racisé ciblé?

A
  • augmenter la prob. d’interpellation
  • développer une perception négative de lui-même et de l’extérieur
  • diminuer le sentiment d’appartenance au groupe majoritaire
  • augmenter le niveau de méfiance envers les institutions
  • Créer des changements d’attitudes inappropriées (étiquetage)
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47
Q

Quels sont les impacts du profilage racial aux niveaux de la communauté majoritaire ?

A
  • Dévlopper une perception négative du groupe ciblé

- Alimenter les préjugés raciaux

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48
Q

Quels sont les impacts du profilage racial sur les pratiques policières ?

A

-Diminuer la coopération en raison du manque de confiance.

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49
Q

Qu’est-ce qui rend le profilage CRIMINEL différent du profilage RACIAL ?

A

Il ne se base pas sur des stéréotypes
Il se fonde plutôt sur un COMPORTEMENT réel de la part d’une individu qui répond à un certains SIGNALEMENT.

CÀD des preuves objectives !

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50
Q

Nommez les 3 types de grand manquements dans le milieu policier.

A
  • Manquement ou omission concernant un devoir policier
  • Acte de nature discriminatoire
  • Acte occasionnant des blessure ou le décès
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51
Q

Quels sont les recours possibles pour un manquement ou une omission concernant un devoir policier ?

A

Code de déontologie des policiers

Imposition d’une sanction disciplinaire

52
Q

Quels sont les recours possibles pour un acte de nature discriminatoire dans le milieu policier ?

A

Charte des droits et libertés-Tribunal des droits de la personne
Recours en dommages et intérêts matériels, moraux ,punitifs.

53
Q

Quels sont les recours possibles pour un acte occasionnant des blessures ou le décès ?

A

Pol. min. en matière de décès ou blessures graves (acte policier)

Enquête ‘‘indépendante’’ par un autre corps de police rapport ransmis au directeur des poursuite criminelles et pénales
Poursuite criminelle contre le policier ou le corps de police.

54
Q

Les principaux éléments de preuve à rechercher comprennes :

1-Motifs de l’intevention , de l’interception, de l’arrestation,

2-Investigations non appropriées dans l’application d’une politique de prévention du crime.

3-Comportements inadéquats des personnes mises en cause.

Expliquez-les.

A

1-Il faut montrer que le racisme était L’INTENTION PREMIÈRE et que le traitement était DIFFÉRENT des normes et aucune autre motivations valables.
Pas nécessaire de démontrer l’INTENTION RACISTE.

2-Absence de description détaillé du suspect, investigation pro-active basé sur le sens de l’instinct.

Il faut des motifs valables.

3- Comportements harcelants , irrespectueux
Propos offensants à caractère discriminatoire
questions inappropriées ou posées sans raisons valables.

Ces éléments permettent à eux seuls de démontrer le caractère discriminatoire de l’intervntion ou permettent de démontrer la motivation première à caractère discriminatoire.

55
Q

Comment fait-on pour apprécier le caractère inadéquat des comportements ?

A

En comparant avec le traitement réservé aux individus non racisés.

56
Q

Qu’est-ce que les décisions inusitées des agents en situation d’autorité ?

A

Un élément de preuve recherché.
Une décision qui se démarque des pratiques NORMALES, qui peuvent prendre la forme d’un abus de pouvoir, d’un recours excessif de la force, d’une demande de renfort sans raison valable.

57
Q

Vrai ou faux. Le point de vue qui compte c’est celui de la victime et des témoins.

A

Il faut faire attention à la perception de la victime ou des témoins car ils ne connaissent pas les normes et les pratiques justifiées.

58
Q

Quels sont les arguments avancés par les policiers comme motif raisonnable pour justifier l’action ? (2)

A
  1. Le profilage criminel n’est pas du profilage racial.
    (Profilage basé sur des facteurs objectifs)

2.Le comportement agressif ou d’évitement du plaignant
(Normalité de ces comportements de la part des individus racisés

59
Q

Vrai ou faux. Malgré les législations relatives aux actes de racisme la discrimination raciale persiste dans notre société et le système de justice pénal se trouve au centre de l’attention concernant le rôle de l’état dans ces problématiques

A

VRAI.

60
Q

En quoi les juges n’ont pas de pouvoir décisionnel sur la ‘‘légitimité’ des cas qui leur sont soumis ?

A
  • Les circonstances qui conduisent à la criminalité
  • Les pratiques policières en matière d’interpellation et d’arrestation
  • Les décisions relatives à la libération avent procès.
61
Q

Le procès criminel et le processus de verdict sont des __________ des prinipes de _________

A

Le procès criminel et le processus de verdict sont des SYMBOLES des principes de JUSTICE

62
Q

Il y a deux niveaux de discrimination raciale dans le système de justice pénale. Nommez-les.

A
  • Discrimination Systémique

- Discrimination individuelle

63
Q

Quest-ce que la discrimination systémique ?

A

La discrimination raciale existe même en l’absence d’intention spécifique individuelle de causer un préjudice à un individu en particulier.

C’est ce qui a mené à la création de l’article 15 de la charte des droits.

64
Q

Qu’est-ce que la discrimination ?

A

partiques ou attitudes pour limiter les droits d’une individu, à avoir acces à des opportunités ou un service en raisons de caractéristiques qui lui sont attribuées. (plutôt que réelle).

Si un individu est brimé de manière disproportionnelle il y a discrimination.

65
Q

Vrai ou faux. Le code criminel et le code de procédure pénale sont neutres donc il y a une égalité de la loi.

A

Faux. L’égalité de la loi est une fiction sociale car il y a une sur-représentation des minorités visibles dans l’appareil de justice pénale.

66
Q

Que dit la recherche sur la discrimination systémique ?

A

Ça dépend de la recherche.

  1. Pas de lien entre race et sévérité quand on prend en compte tous les facteurs. Peine sur base de facteurs légaux.
  2. Dans certains cas il y a de la discrimination par les juges , négativement et positivement. Donc ça s’annule.

3.Certains facteurs légaux légitimes ont des éléments discriminatoires. Notamment évaluation à réhabilition ou peine en collectivité.
Condition social on un impact.

67
Q

Nommez les deux grands problèmes que l’on trouve par rapport au traitement différentiel en matière de sentence en justice pénal.

A
  1. Renforcement des inégalités sociales.
    (Sur-représentation du groupe minoritaire démontre existence d’une discrimination systémique de l’app. de justice pénale)
  2. Crédibilité
    Les minorités ont l’imression, à tort ou à raison, que la détermination de la peine est guidée par des biais discriminatoires.
68
Q

Vrai ou faux. Les résultats correctoinnels pour les minorités visibles sont moins bons.

A

FAUX. Les résultats correctionnels pour les minorités visibles sont meilleurs, 5% des détenus des minorités bisibles ont été incarcérés de nouveau dans les 2 années suivant la première incarcération.

Note: Cependant moins bon pour les noirs qui sont sur-représentés au recours à la force et à l’isolement.

69
Q

Nomez les 3 méthodes utiliser come traitement différentiel par les agents correctionnels.

A

1-Discriminer de manière indirecte (méthode subtile)
2-Étiqueter comme membre de gang de rue
3-Porter actes disciplinaires de nature discrétionnaire.

70
Q

Expliquez la discrimination de manière indirecte. (Traitement diff. par les agents correctionnels)

A

-Ignorer - exclure

Impact : accroissement du sentiment de marginalisation et d’exclusion

71
Q

Expliquez l’étiquetage comme membre de gang de rue. (Traitement diff. par les agents correctionnels)

A

Étiquette certains individus comme membre de gang de rue par une simple perception.

impact :

  • classification de sécurité
  • participation aux programmes
  • attribution des tâches
  • recommandations de libération conditionnelle
72
Q

Expliquez l’application d’actes disciplinaires de nature discrétionnaire de nature discrétionnaire
(Traitement diff. par les agents correctionnels)

A

En raison de la nature expressive des détenus de certaines origines ethniques qui peut être interprétée comme agressive ou irrespectueuse ?

73
Q

Vrai ou faux. Les détenus de race noire sont sur-représentés dans les catégories d’infractions qui exigent une preuve de l’infraction.

A

Faux. Les détenus de race noire sont sous-représentés dans les catégories d’infractions qui exigent une PREUVE de l’infraction.

74
Q

Quelles sont les étapes d’intervention en vertu de la LPJ ?

A
  • réception et traitement du signalement
  • évaluation
  • orientation et choix des mesures de protection
  • mise en place des mesures
  • révision
  • fin de l’intervention
75
Q

La surreprésentation peut être causé par la pauvreté qui augmente les risques de négligence et donc de signalement.

Indicateurs de négligence = indicateurs de pauvreté
Lorsque les parents d’un enfant ne répondent pas à ses besoins fondamentaux :

A
  • sur le plan physique
  • sur le plan de la santé
  • sur le plan éducatif
76
Q

Vrai ou faux. Les enfants noir sont surreprésentés dans le signalement à la DPJ. (Signalement)

A

Vrai. Les enfants noirs sont sur-représentés et les enfants blancs et autres minorités sont sous-représentés.

77
Q

Pour quels raisons les enfants noir sont-ils en majorité signalés et ceux des autres groupes ? (Signalement)

A

Noirs : abus physique souvent associés aux méthodes disciplinaires et aux normes éducatives du groupe minoritaire.

78
Q

Quelle différence y-a-t-il quant aux mesures prescrites en protection de la jeunesse au enfants de minorités ? (Évaluation, orientation et application des mesures)

A

Les ‘‘noirs’’ et autres minorités visibles, requièrent des services de MOINDRE ampleur (placement) que les blancs.
Car le risque psychosocial est plus élevé dans les famille blanche car associe à des facteurs variés (age de la mere , monoparentalité , violence familiale, antécédents jud,,,)

79
Q

Restes 2 diapos à faire

A

page 9

80
Q

Nommez les 2 explications du traitement différentiel en protection de la jeunesse

A
  1. Le rôle des préjugés

2. Les rôle de la défavorisation

81
Q

Expliquez comment on peut expliquer le traitement différentiel en protection de la jeunesse par le rôle des préjugés.

A

Rôle joué par le profilage racial à la PORTE D’ENTRÉE .. d’ailleurs les familles blanches sont signalées par un citoyen alors que les familles noires sont signalées par des SOURCES PROFESSIONNELLES.

Pourquoi ?

  • méthodes punitives et éducatives jugées hâtivement sur base de préjugés non fondés car écart de définition des mauvais traitements ?
  • Identification des signes de pauvreté plus ‘‘facile’’ dans les familles ‘‘noires’’ ?
82
Q

Expliquez comment on peut expliquer le traitement différentiel en protection de la jeunesse par les rôles de la défavorisation.

A
  • Importance de ne pas chercher l’expliciation exclusivement dans les modèles éducatifs parentaux
  • Tenir compte des facteurs ‘‘traditionnels’’ de défavorisation et d’inégalités socioéconomiques.
83
Q

Qu’est-ce qu’une activité terroriste ?

A

Acte , action ou omission , au canada ou à l’étranger
Au nom d’un but , d’un objectif ou d’une cause de nature politique religieuse ou idéologique.

Qui a pour but d’INTIMIDER ou de CONTRAINDRE.

C’est de l’intimidation à grande échelle.

84
Q

À quoi vise les activité terroriste ?

A 
1-Blessures grave ou la mort.
2-Mettre en danger 
3-Compromettre gravement la santé ou la sécurité
4-Dommages matériels
5-Perturber les services essentiels
85
Q

Vrai ou faux. Le Terrorisme est une philosophie politique comme l’arnachisme ou le marxisme.

A

Faux. C’st l’utilisation systématique de L’INTIMIDATION, et de la VIOLENCE afin d,atteindre des OBJECTIFS POLITIQUES.

86
Q

Qu’est-ce qui caractérise une activité terroriste ? À quoi ça ressemble ?

A
  • Actes prémédités
  • Cible un large public
  • Attaque sans discrimination
  • Franchit les limites définies par la société
  • Vise à influencer le comportement politique
87
Q

Quels sont les 2 principes du terrorisme ?

A
  1. Faire le plus de victimes possible

2. Faire le plus gros dommage possible

88
Q

Vrai ou faux. Les activités terroristes change le quotidien de millions de Nord-Américains.

A

Vrai. Il change des aspects

  • Politiques (Nouvelles lois plus sévères)
  • Énconomiques (Crash boursier, baisse du roulement)
  • Social (Sentiment d’insécurité)
  • Psychologique
89
Q

Vrai ou faux. Le profil type d’un terroriste est un immigrant occidental qui se convertie ou un syrien musulman.

A

Faux. Il n’y a pas de profil type du terroriste. Surtout aujourd’hui, le terrorisme peut prendre toutes sortes de formes.

90
Q

Qu’est-ce que le Fondamentalisme ?

A

Prône un retour aux sources (principes originels)
Nie la médiation d’une autorité religieuse.
Haine du présent
Nostalgie e l’âge d’or
Obsession de la pureté

91
Q

Qu’est-ce que l’intégrisme ?

A

Milieu catholique français

Condamne le modernisme par le pape et revendique l’intégrité de la loi.

92
Q

Qu’est-ce que l’islamisme ?

A

Mouvement politique et religieux prônant l’expansion et le respect de l’islam. Appuyé sur l’exemple du prophet Mohamet.
Vise l’islamisation complète.

93
Q

Qu’est-ce que le radicalisme ?

A

Agir à la racine de quelquechose
Expression d’une pensée en totale opposition avec la mentalité dominante dans une société donnée (Gandhi)
Le radicalisme est relatif.
Son action est généralement collective pas nécessairement violente.

94
Q

Qu’est-ce que l’extrémisme ?

A

Volonté d’accepter le recours à la violence, sans pour autant passer à l’acte.
Tous les extrémistes sont radicaux, mais pas tous les radicaux sont extrémistes !

95
Q

Nommez les 5 types de groupes terroristes

A

NIPOP

National (ethnique et séparatiste)
Idéologique (la droite ou la gauche)
Politico-religieux (incluant les fondamentalistes)
Objectif unique ( une seule motivation)
Parrainés par l’État et soutenus par l’État (‘‘State sponsored’’)

96
Q

Quelle est la combinaison parfaite pour une bonne radicalisation ?

A
  • Processus individuels
  • Relations interersonnelles
  • Circonstances socio-politiques et culturelles

Facteurs de vulnérabilités.

97
Q

Nommez les 6 étages de la radicalisationde l’approche en escalier de Moghaddam.

A

0-Insatisfaction (Insatisfaction/frustration face à INJUSTICE)
1-Analyse (Analyse des options pour combattre injust.)
2-Déplacement de l’agression (Acceptation de la voie illégale)
3-Adhésion Idéologique (Adoption de la voie illégale premier contact avec l’organisme)
4-Endoctrinement (Solidification de l’idéologie,légitimation)
5-Acte Terroriste (Neutralisation des mécanismes internes de contrôle + passage à l’acte)

98
Q

À partir de quelle étape le processus de radicalisation est presque irréversible ?

A

Étape 3- Adhésion idéologique (Adoption de la voie illégale premier contact avec l’organisme)

99
Q

Nommez les 6 indicateurs de radicalisation.

A
  • Habitudes : abandonner loisir,arrêter de fumer
  • Relations: isolement
  • Comportement : Nouveaux rituels,cyber-comportement
  • Idéologie : Rejet valeurs nationales, pertes de nuance
  • Apparence : modification de l’app. phys.
  • Identité : changement de nom
100
Q

Qu’est-ce que la communication interculturelle ?

A
  • deux personnes
  • de cultures différentes
  • en interaction
  • et négociant un SIGNIFIÉ COMMUN.

Communiquer et comprendre.

101
Q

Vrai ou Faux. Pour atteindre une bonne communication interculturelle il faut passer d’une vision mono-culturelle à une vision interculturelle.

A

VRAI

102
Q

Donnez les 3 conditions à la mise en place de mécanismes de communication interculturelle :

A

1 Se percevoir comme un ÊTRE CULTUREL et comprendre les différents NIVEAUXculturels

  1. Mieux CONNAÎTRE les personnes des communautés ethnoculturelles.
  2. Acquérir des habiletés de COMMUNICATION interculturelle.
103
Q

Qu’est-ce que la culture ?

A

Les façons de PENSER , de VOIR , de DIRE , et de FAIRE spécifiques à un groupe situé dans l’espace et le temps.

104
Q

Qu’est-ce que l’enculturation ?

A

Transmisssion d’une génération à l’autre, de manière consciente ou inconsciente, malgré les changements d’espace, afin de maintenir dans le temps, des modèles de comportements.

105
Q

Qu’est-ce que le phénomène de DIFFUSION lorsqu’on parle de culture ?

A

Transfert d’une trait culturel d’une société à une autre.

Exemple : L’influence de la culture États-unienne sur le reste du monde est un effet de diffusion.

106
Q

Nommez les 3 niveaux culturels de la métaphore de l’arbre de Kalpana Das.

A
  1. Culture Morphologique (Feuilles/Branches)
  2. Culture structurelle (Tronc)
  3. Culture mythique (Racines)
107
Q

Expliquez le niveau morphologique de la métaphore de l’arbre de Kalpana Das.

A

Dimension OBSERVABLE , associé à des COMPORTEMENTS , que les individus ont la possibilité de TRANSFORMER lorsque les contextes sont FAVORABLES.

108
Q

Expliquez le niveau structurelle de la métaphore de l’arbre de Kalpana Das.

A

Dimension qui n’est PAS OBSERVABLE DIRECTEMENT, car les logiques qui conditionnent les RAPPORTS HUMAINS, ne sont pas visibles.

109
Q

Expliquez le niveau mythique de la métaphore de l’arbre de Kalpana Das.

A

Dimension qui permet de dégager les CONNAISSANCSE PROFONDES, d’un groupe humain que l’on ne peut PAS OBSERVER, car elles sont souvent ENFOUIES, au plus profond de nous. Cette dimension ne PEUT PAS ÊTRE TRANSFORMÉE malgré le temps qui passe.

110
Q

Qu’est-ce que l’immigration clandestine ou trafic de migrants?

A

Le fait d’assurer, afin d’en tirer ( directement ou indirectement) un avantage financier ou un autre avantage matériel, l’entrée illégale dans un État d’une personne qui n’est pas un ressortissant ni un résident permanent de cet État.

111
Q

Définissez les 3 parties de la traite de personne.

A
  1. Actions : recrutement , transport , transfert , hébergement, ou accueil de personnes (inclut l’immigration clandestine ou trafic de migrant)
  2. Moyens :
    - Par la MENACE , la FORCE ou la CONTRAINTE
    - Par la FRAUDE la TROMPERIE, L’ABUS D’AUTORITÉ
    - L’offre ou l’acceptation de PAIEMENTS ou AVANTAGES
  3. Obtenir le consentement d’une personne ayant autorité sur un autre AUX FINS D’EXPLOITATION.

Il s’agit d’un processus.

112
Q

Faites la distinction entre TRAFIC et TRAITE.

A 
TRAFIC                             TRAITE
TYPE 
COSENT.
TYPE CRIM.
VICTIME.
DURÉE.
ÉTENDUE.
113
Q

Quels sont les 4 formes de traite de personne ?

A
  1. Exploitation sexuelle
  2. Travaux forcés
  3. Esclavage
  4. Commerce d’organes
114
Q

Vrai ou faux. Les victimes de la traite sont autant de sexe masculin que de sexe féminin.

A

Faux. 75% sont des femmes.

115
Q

Vrai ou faux. La traite est pratiquée dans tous les pays du monde.

A

VRAI

116
Q

Vrai ou faux. La traite rapporte par année environ 5 millions de $.

A

Faux. Elle rapporte environ 32 MILLIARDS de $

117
Q

Vrai ou Faux , la traite affecte environ 4 millions de personnes.

A

Faux. Le trafic affecte environ 21 millions de personnes.

118
Q

En termes de victimes. Quels sont les facteurs de VULNÉRABILITÉ au niveau SOCIO-ÉCONOMIQUE?

A
  • Femmes et enfants autochtones
  • Migrants (clandestin notamment)
  • Nouveaux arrivants
  • Adolescent(e)s en fugue
  • Enfant sous protection
  • Femmes en changement de vie
119
Q

Quel est le profil-type pour la traite de personne ?

A

Jeunes femmes de 12 à 25 ans, de la classe moyenne qui sont recrutées par de jeunes hommes qui leur promettent l’amour.

120
Q

Quelles sont les méthodes de recrutement au niveau national ?

A

Promesses d’AMOUR : par des jeunes hommes responsables du recrutement dans les gangs de rue

Organisation CRIMINELLE : avec une possible participation des ‘‘anciennes victimes’’ dans le recrutement des nouvelles cibles.

SCÉNARIO type national : recrutement par un amoureux ou recrutement dans les lieux publics.

121
Q

Quelles sont les méthodes de recrutement au niveau international ?

A
  • Agences d’emploi et de placement
  • Annonces de journal
  • Rapport personnel et dépendance
  • Barons de la pègre ou fonctionnaires corrompus.
  • Scénario type : Offre d’emploi ou d’éducation , information sur les occasions au canada (argent,bien, fuite) , implication de la famille pour les frais.
122
Q

Qu’est-ce que le plan d’action des 4 P ?

A
  • Prévention : sensibilisation , recherche et formation.
  • Protection : compréhension et prise de mesures pour répondre aux besoins spécifiques des victimes : permis de séjour temp. et protection des témoins/aide au témoignage des victimes.
  • Poursuite : Par la législation et l’appui aux organismes d’exécution des lois. C.Cr. (art 279.01 à 04 + autre dispos) + Loi sur l’immigration.
  • Partenariat.
123
Q

Qu’elle est la principale source d’exploitation ?

A

L’exploitation sexuelle.

Europe de l’est (21-38 ans)

  • agences d’escortes et les bars
  • par le crime organisé de l’europe de l’est

Origine Asiatique (20-46 ans)

  • dans les salons de massage et les bordels
  • par le crime organisé asiatique
  • via un recrutement domestique ou internat.

Canada (14-25 ans)
-dans les bars de danseuses.

124
Q

Nommez les caractéristiques du travail forcé des ressortissants étrangers.

A

> Philippines, inde, pologne, chine , mexique , éthiopie.

Industries : alimentation, technologies, restaurants, vente au détail, domestique.

Pas de crime organisé, plutôt des individus.

-Utilisation abusive du programme de travailleurs temporaires.

125
Q

Faites la distinction entre traite internationale et traite domestique.

A

Traite internationale : Se produit par le transfert d’un pays à l’autre.

Traite domestique : Se produit par l’exploitation de personnes dans leur pays d’origine. (Traite nationale)

Justice pénal et communautés ethnoculturelles (1 decks)

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