Examen final Flashcards
L’écoute active
Définition
L’écoute active est une technique de communication qui consiste à utiliser le questionnement et la reformulation afin de s’assurer que l’on a compris au mieux le message de son interlocuteur et de lui démontrer
La reformulation dans l’écoute active
Pour s’assurer de bien comprendre les propos de la personne ; la rassurer et la mettre à l’aise pour qu’elle continue de s’ouvrir
L’écoute active
Développeur + caractéristique
- Développer par le psychologue américains Carl Rogers, l’initiateur des techniques non dirrectives
- L’approche se caractérise par la manifestation d’un respect et une confiance chaleureuse envers l’interlocuteur, pour qu’il brise ses défenses et s’exprime librement (lien de confiance, confidencialité et respect)
Technique non-directive : pour ne pas être la cause de l’échec
L’écoute active
émotionnels vs intellectuels
- Pour Rogers, les contenus émotionnels d’une situation sont plus importants que les contenus intellectuels
- Il faut porter son attention du côté du “coeur” et non de la raison
Le contenu intellectuels peut apporter de la manipulation de certains
L’écoute active
Technique utilisé
Selon Rogers, quelle que soit la technique que l’on utilise, elle ne sert à rien si “l’écoutant” ne met pas en place une attitude mêlée d’authenticité et de compréhension, sans chercher à interpréter et/ou juger
L’écoute active
Le respect strict de 5 impératifs selon Rogers
- L’accueil
- Être centré sur ce que l’autre vit et non sur ce qu’il dit
- S’intéresser à l’autre plus qu’au problème lui-même
- Montrer à l’autre qu’on le respecte
- Être un véritable miroir
4 : dans un contexte d’autorité et de relation d’aide
L’accueil
Dans l’écoute active
Savoir accepter l’autre comme il est. C’est une attitude empreinte de respect et de considération pour favoriser la confiance et manifester un réel intérêt. C’est considérer l’autre comme la personne la plus importante au monde, mais sans arrière-pensée, c’est-à-dire sans en attendre un retour
Être centré sur ce que l’autre vit et non sur ce qu’il dit
Dans l’écoute active
C’est aller au-delà des faits pour s’ouvrir à la façon dont l’autre ressent les choses aves “ses tripes”
S’intéresser à l’autre plus qu’au problème lui-même
Dans l’écoute active
Plutôt que de voir le problème en soi, il s’agit de voir le problème du point de vue de l’autre. Si on prend le chômage comme exemple, certaines personnes le vivent comme un échec, d’autres comme une sanction, etc.
Montrer à l’autre qu’on le respecte
Dans l’écoute active
C’est donner à l’autre l’assurance que l’on respecte sa manière de vivre ou de voir les choses sans empiéter sur son domaine et sans se transformer en apprenti psychologue qui “voit” dans l’inconscient de l’autre
Faire attention de ne pas toujours retourner dans les éléments du crime
Être un véritable miroir
Dans l’écoute active
Il s’agit, non pas d’interpréter “votre problème c’est cela”, mais de se faire l’écho de ce qu’il resent : “ainsi, vous ressentez profondément que…”. Tout l’art est ici de mettre en relief les sentiments qui accompagnent les mots de l’autre
Attitudes fondamentales selon Rogerss
Dans l’écoute active
- non-directivité
- l’empathie
La non-directivité
Dans l’écoute active
L’essentiel de son approche est d’être centré sur “l’autre” sans toutefois mettre de la pression ou influencer l’attitude de l’autre
Laisser l’individu arriver à ses propres conclusions
Le client détient les solutions à ses problèmes
Dans l’écoute active
Selon Rogers, le “conseiller” ne doit pas conseiller ni interpréter, mais créer les conditions pour que le “client” règle lui-même son problème car, selon lui, la personne qui consulte détient les solutions à ses problèmes
Être non-directif
Dans l’écoute active
- Cela ne veut pas dire être inactif ou non-impliqué
- Il s’agit plutôt de “sentir avec” l’autre, car cela est plus important que de partager une idée
L’empathie
Dans l’écoute active
- “La capacité de s’inscrire dans le monde subjectif d’autrui pour le comprendre de l’intérieur”
- C’est “vouloir vivre le monde intérieur de l’autre comme si c’était notre monde à nous”
- Cette attitude d’acceptation inconditionnelle donne une chance d’exposer pleinement son propos
- Elle laisse à autrui le temps de son expression, la possibilité de dire
- La positivité de cette attitude libère une énergie qui pourra être aisément réinvestie dans la tâche à accomplir
- L’absence de défenses réciproques permet d’accorder au discours un maximum d’attention, afin qu’il puisse être partagé et compris
Modèle transthéorique de changement
Étape
- Entrée : précontemplation
- Contemplation
- Détermination (peut avoir un retour à 1 ou sortie temporaire)
- Action
- Maintenance (sortie permanente)
- Chute ou rechute
Le modèle transthéorique de changement
L’approche du modèle et “fondateurs”
Un modèle d’approche comportementale introduit par les psychologues James O. Prochaska et Carlo C. DiClemente à la fin des années 1970
L’approche du modèle transthéorique
Selon les fondateurs, les personnes aux prises avec un problème de dépendance passeraient par une série de stades de changement, soit la précontemplation, la contemplation, la détermination, l’action, le maintien et possiblement même la rechute
La pré-contemplation
Dans l’approche transthéorique
- Avant que l’individu réalise qu’il a un problème
- Le patient ne pense pas avoir de problème
- Il n’envisage pas de changer de comportement, dont il ressent essentiellement les bénéfices (quelque chose le garde/le pousse a continuer)
- Les bénéfices peuvent être moindre, mais assez fort pour garder l’individu
La contemplation
Dans l’approche transthéorique
- À ce stade commence à se manifester l’ambivalence
- Le patient envisage un changement de comportement mais il hésite à renoncer aux bénéfices de la situation actuelle
- On parle alors de balance décisionnelle, qui amène à comparer les pour et les contre d’un changement avec ceux de son comportement actuel
- Souvent à la suite d’une mauvaise expérience ex. une menace de diverce/de congédimment
La décision
Dans l’approche transthéorique
- Le patient passe dans une période ou il décide de faire des changements
- Cette phase est très labile et difficile à déterminer
La préparation/détermination
Dans l’approche transthéorique
- Le patient se sent prêt à démarer la phase d’action dans un futur proche ; il détermine des décisions et commence à les mettre en place dans le temps
- Le patient devrait lui-même faire les démarches pour aller chercher l’aide
L’action
Dans l’approche transthéorique
- Le changement est engagé vers des modifications de son style de vie
- Les difficultés sont importantes
- Le soutien et l’encouragement sont nécessaire
- La dépendance va être travaillé dans un contexte ex. la thérapie
Le maintien
Dans l’approche tranthéorique
- À cette phase de consolidation, il convient de rester prudent car les tentations sont nombreuses de retourner au comportement problématique
- Le problème n’est jamais complètement réglé, on peut maintenir une phase, mais jamais retourner “sans maladie”
La rechute
Dans l’approche transthéorique
- La rechute est possible et fait partie du processus normal de changement
- Ce n’est pas une manifestation pathologique mais un temps peut-être nécessaire à la réussite finale du processus
La sortie permanente
Dans l’approche transthéorique
- Ce stade marque la réussite finale du processus dans lequel la personne consolide le stade de maintien
- Dans un contexte de dépendance, il s’agit du maintien
Induire un passage au stade suivant
Dans l’approche transthéorique
Dans cette approche, à chaque stade le thérapeute devrait adapter son discours aux représentations du patient sur son comportement problématique, de façon à induire un passage au stade suivant
L’approche motivationnelle
Dans l’approche transthéorique
Cette description des processus de changement a connu un grand succès, mais a peu été validée et tend à laisser la place plus spécifiquement motivationnelle sur le changement
Le “discours-changement”
Dans l’approche transthéorique
Celle-ci s’appuie sur le renforcement de la motivation par un travail conscient de l’intervenant pour faire émerger puis renforcer le “discours-changement” qui est l’étape préparant sa mise en oeuvre
Faible niveau de motivation
Dans l’approche transthéorique
- La personne se trouve au niveau de la pré-contemplation/contemplation
- Les méthode utilisés doivent donc être adapté
Le deuil
Dre. Elisabeth Kübler-Ross
- Kübler-Ross, est une psychiatre et une psychologue, pionnière de l’approche des “soins paliatifs” pour les personnes en fin de vie
- Elle est reconnue pour sa théorisation des différents stades par lesquels passe une personne qui apprend sa mort prochaine
- Elle s’est intéressé également aux expériences de mort imminente
- Selon Kübler-Ross dans Les derniers Instansts de la vie (1969), après un diagnostic de maladie terminale, on observe “cinq phases du mourir”
- Initialement elle a appliqué ces étapes à toute forme de perte catastrophique
- Cela comprend également la mort d’un cher, le divorce, la toxicomanie ou même l’infertilité
Les cinq étapes du deuil
- Le déni
- La colère
- Le marchandase ou la négociation (souvent avec une entité plus grande)
- La dépression
- L’acceptation
Il ny a aucun temps prédéterminée pour chaque étapes
La négociation
Dans les étapes de deuil
“C’est impossible” Dans le cas d’une séparation ou de la perte d’un proche, tu peux avoir tendance à nier ce qui arrive. Tu ne veux pas croire que c’est vrai. Dis-toi qu’il est normal d’être sous le choc et de ne pas avoir d’émotions sur le coup
Étape de “déni”
La colère
Dans les étapes de deuil
- “L’autre n’avait pas le droit de partir” À ce moment, tu ressens beacoup de colère, de frustration, d’injustice et d’incompréhension. Tu perçois le départ ou la perte de l’autre comme une trahison et un abandon. Tu peux avoir tendance à déplacer ta colère sur tes amis, ta famille
- De la colère envers les autres, principalement
- La résiliance aide à passer à travers
- La colère est normal. Par contre, l’agression physique ou verbale d’autres personnes n’est pas un moyen acceptable pour exprimer la colère ; parler et pleurer de rage est acceptable
Le marchandage ou la négociation
Dans les étapes de deuil
” C’est trop difficile, je ferais n’importe quoi pour que l’autre revienne” Si la phase de la colère n’a pas permis de revenir calme, la phase du marchandase/de la négociation entre en scène. La personne confrontée à cet évènement va tenter par tous les moyens de rétablir la situationtelle qu’elle était initialement. Tous les types de comportements vont accompagner cette phase : les questionnements, discussions, explications, tractations, voire le chantage si la situation ne semble pas se rétablir
Une des phase les plus courte
La dépression
Dans les étapes de deuil
” Je n’ai pas le goût de rien” Tu es triste, en proie au malheur et tu pleures beaucoup. Tu as l’impression d’avoir perdu une partie de toi-même et c’est normal. Tout est une question d’équilibre; il est important de t’accorder du temps pour pleurer, mais tu dois aussi continuer tes activités afin de te changer les idées. Tu dois pas perdre de vue toutes les personnes que tu aimes et qui sont encore autour de toi
L’acceptation
Dans les étapes de deuil
” J’y pense encore parfois, mais je m’en sors” Enfin, tu acceptes la perte de l’être cher. En l’acceptant, tu es capable de garder les beaux moments, mais aussi les moins bons. Tu commences à avoir plus confiance en toi, tu te sens mieux et l’avenir ne semple pas aussi noir qu’avant. Quelqu’un personnelement affectée aura plus de difficulté à passer à traver. Les personnes qui n’accepte pas sont ceux qui souffrent. Tu as de nouveaux rêves, tu es capable d’avoir du plaisir. Tu constates que cette épreuve peut te renforcer
La pyramide des besoins
Selon Maslow
- Besoin physiologique
- Besoin de sécurité
- Besoin d’appartenance
- Besoin d’estime
- Besoin de s’accomplir
Les motivations
Selon Maslow
Selon le psychologue américain, Abraham Maslow, les motivations d’une personne résultent souvent de l’insatisfactionde certains de ses besoins
Plus une personne est libéré tôt, moins le risque de récidive et vis-versa
Classement des besoins
Selon Maslow
La pyramide place les besoins humains en ordre d’importance. Ce classement correspond à l’ordre dans lequel ils apparaissent à l’individu ; la satisfaction des besoin d’un niveau engendrant les besoins du niveau suivant. L’idée est qu’on ne peut pas agir sur les motivations “supérieures” d’une personnes qu’à la condition expresse que ses motivations primaires soient satisfaites
Les besoins physiologiques
Selon Maslow
- Les besoins physiologiques sont des besoins directement liés à la survie de l’individu
- Ce sont typiquement des besoins concrets (manger, boire, se vêtir, se reproduire, etc.)
- Ces besoins sont satisfaits pour la majorité d’entre nous, toutefois nous ne portons pas sur ces besoins la même appréciation
- Cette différence d’appréciation peut engendrer une situation qui sera jugée non satisfaisante pour la personne et à son tour le besoin à satisfaire fera naître une motivation pour la personne
Les besoins de sécurité
Selon Maslow
- Les besoins de sécurité proviennent de l’aspiration de chacun d’entre nous à être protégé physiquement et moralement
- Ce sont des besoins complexes dans la mesure où ils recouvrent une part objective - non sécurité et celle de notre famille - et une part subjective liée à nos craintes, nos peurs et nos anticipations qu’elles soient rationnelles ou non
- Sécurité d’un abris, des revenus, des ressources, contre la violence, morale, psychologique, stabilité familiale/affective, médicale/sociale, santé, etc.
Les besoins d’appartenance
Selon Maslow
- Les besoins d’appartenance correspondant aux besoins d’amour et de relations des personnes
- Ce sont les besoins d’appartenance à un groupe qu’il soit social, relationnel ou statutaire
- Le premier groupe d’appartenance est la famille
- Les besoins sociaux sont les besoins d’intégration à un groupe
- Chaque personne peut appartenir à plusieurs groupes identifiés
- Ce sont les besoins d’aimer et d’être aimé, avoir des relation intime, avoir des amis, faire partie intégrante d’un groupe cohésif, se sentir accepté, ne pas se sentir seul ou rejeté
Les besoins d’estime
Selon Maslow
- Les besoins d’estime correspondent aux besoins de considération, de réputation et de reconnaissance, de gloire, de ce qu’on est par les autres ou par un groupe d’appartenance
- La mesure de l’estime peut aussi être liée aux gratifications accordées à la personne
- C’est aussi le besoin de respect de soi-même et de confiance en soi
Les besoins d’auto-accomplissement
Selon Maslow
- Les besoins d’auto-accomplissement correspond au besoin de se réaliser, d’exploiter et de mettre en valeur son potentiel dans tous les domaines de la vie
- Ce besoin peut prendre des formes différentes selon les individus
- C’est aussi le sentiment qu’à une personne de faire quelque chose de sa vie
- Cela peut être le besoin d’étudier, d’en apprendre toujours plus, de développer ses compétences et ses connaissances personnelles, de créer, d’inventer, de faire, etc.
Un modèle à relativiser
La pyramide de Maslow
- La pyramide de Maslow est l’une des théories de motivation les plus enseignées, notamment dans les cours de management
- Cependant, la classification des besoins de manière hiérarchique, qui impose de satisfaire un besoin avant d’atteindre le suivant n’est pas aujourd’hui plus considérée comme valable, un individu pouvant être plus sensible à un besoin particulier, indépendamment de la satisfaction ou non des besoins inférieurs
Le stress
Holmes et Rahe
- L’usage du mot “stress” est devenu tellement commun que nous l’utilisons dans toutes les situations
- Le stress provient de l’ingénerie
- Il s’agit d’une pression indu, c’est normal et peut même être bon
- La gestion et la résiliance est ce qui fait la différence dans le stress
L’échelle de Homes et Rahe
Évaluation des éventuels impacts négatifs du stress
- L’échelle de Holmes et Rahe sur les impacts sur la santé d’évènements générateurs de stress, fut créée en 1970 aux États-Unis par les psychiatres Thomas Holmes et Richard Rahe, pour permettre d’évaluer le niveau de stress que l’on est susceptible de subir en fonction des évènements de sa vie
- Chaque évènement potentiellement générateur de stress est associé à un nombre plus ou moins élevé de points en fonction de sa capacité à engendrer du stress
- Plus nous avons vécu cet évènement au cours des 12 derniers mois, plus son score sera important
Score et conséquences
Échelle de Holmes et Rahe
- Les études statistiques que Holmes et Rahe ont menées montrent ainsi que les personnes exposées au stress pendant 12 mois ont une propabilité plus élevée d’avoir des troubles de santé en fonction du nombre de points totals ;
- Entre 150 et 200 points : 37% des personnes ont un ou plusieurs troubles graves
- Entre 200 et 300 points : le chiffre passe à 50%
- Supérieur à 300 points : le chiffre passe à 80%
Contraintes
Échelle de Holmes et Rahe
- Il faut garder en tête que ce ne sont que des moyennes et des facteurs de risques statistiques
- L’échelle ne prend pas en compte les différences individuelles de réaction aux situations stressantes
Analyser les résultats : un score en haut de 300
Échelle de Holmes et Rahe
- Si le score dépasse 300 au cours des 12 derniers mois, les risques de présenter dans un avenir proche un trouble important sont très élevés
- La personne à probablement traversé des situations très traumatisantes et il ne faut pas hésiter à accepter de se faire aider par un professionnel
- Les risques diminuent au fur et à mesure que le nombre de point diminu
Analyser les résultats : un score entre 100 et 300
Échelle de Holmes et Rahe
- Un score entre 100 et 300 reste élevé et les impacts potentiels sur le bien-être et santé sont toujours statistiquements significatifs
- Il faut que la personne prenne soin d’elle, améliore son hygiène de vie au quotidien en étant accompagné d’un naturopathe au besoin
Analyser les résultats : un score en dessous de 100
Échelle de Holmes et Rahe
- Un score en dessous de 100, les risques sont moins significatifs
- Cela ne doit pas empêcher de prendre soins de soi au quotidien
La clientèle fédérale
La clientèle fédérale au Canada est de plus en plus vieille. Cependant, une condition médicale chez un détenu ne signifie pas une sortie de prison
Les jeunes contrevenants
Significations
- Ils s’agit des persommes entre 12 ans et 17 ans
- Aucune accusation est possible pour une personne de 12 ans et moins
- La couronne à le droit de demander de traité un jeune comme un adulte dans les cas grave
- À 18 ans, le dossier criminel n’est pas effacé, mais mis de côté
- L’historique judiciaire ne peut pas être admis avant le prononcer de la sentence (pour ne pas causer de préjudice possible)
L’estime de soi
- On entend souvent parler de l’estime de soi dans les divers médias et elle fait partie de notre vocabulaire courant surtout quand on parle d’éducation, mais l’estime de soi n’est pas un concept récent
- Selon le “World Council for Self Esteem”, l’estime de soi c’est la conscience de la valeur personnelle quon se reconnaît dans différents domaines
- C’est aussi un ensemble d’attitude et de croyance qui nous permettent de faire face au monde
- Une personne qui s’estime se traite avec bienveillance et se sent digne d’être aimée et d’être heureuse
L’estime de soi
De William James
- La première personne qui en a parlé est le psychologue américain William James en 1890 quand il a inventé cette formule:
Estime de soi = succès/ambitions - L’estime de soi représente un facteur dynamique
- Il y a des liens sémantiques entre ces termes et l’estime de soi, mais celle-ci est plus fondamentale dans le développement de la personne
Estime de soi et grandiosité et narcissmes
- L’estime de soi et la grandiosité/l’omnipuissance ne sont pas des synonymes
- Également l’estime de soi n’est pas équivalent au narcissisme
Concept de soi
René L’Écuyer
Selon René L’Écuyer (1994), le concept de soi réfère “à la façon dont la persomme se perçoit, à un ensemble de caractéristiques, de traits personnels, de rôles et de valeurs, etc. ce que la personne s’attribue et reconnaît comme faisant partie d’elle-même, à l’expérience intime d’être et de se reconnaître en dépit des changements”
Concept de soi
Définition
- Le concept de soi est essentiellement le sentiment d’une identité personnelle
- Il implique le sentiment d’une continuité fonctionnelle
- Il constitue certainement un enjeu majeur durant l’adolescence (période très difficile de changement)
Concept de soi et estime de soi
Il faut se CONNAÎTRE (concept de soi) avant de se RECONNAÎTRE (estime de soi)