Examen final Flashcards
En quoi consiste la confrontation?
Mettre en présence deux versions ou deux perceptions du même fait, afin de les comparer et de retenir la plus valide.
Qu’est-ce que la confrontation vise?
La confrontation vise les comportements ou les conséquence, et non la personne.
Comment pourrait-on décrire la confrontation?
Affirmative, engagée, responsable et non agressive.
Quels sont les buts de la confrontation?
Réduire les distorsions, permettre une vision plus juste, diminuer les résistances et faciliter les changements.
Quelles sont les cibles de la confrontation?
Attitudes ancrées;
Comportements intérieurs et façons de penser;
Comportements extérieurs et façons d’agir;
Divergences paroles, pensées et actions;
Comportements et attitudes des autres.
Quels sont les effets possibles de la confrontation?
La confusion;
La négation;
La fausse acceptation;
La véritable acceptation.
Nommez trois règles de base de la confrontation.
Être attentif à ses motivations comme intervenant;
Relation de confiance et alliance établie;
Être exempt de jugements;
Centrer sur un exemple spécifique;
Élément et non sur la personne elle-même;
La personne est prête à recevoir cette confrontation;
Éviter de bombarder la personne avec deux ou trois confrontations à la suite.
Comment pourrait-on décrire l’interprétation?
Le chercheur propose une signification possible de ce qui a été exprimé par le client/l’aidé. Vise la compréhension.
Quelle est la différence entre l’interprétation et le reflet?
Lors du reflet, l’hypothèse concerne les sentiments alors que lors de l’interprétation, l’hypothèse concerne la compréhension.
Quels sont les quatre type d’interprétation?
Liens entre des éléments sans rapport apparent;
Mécanisme d’adaptation inconscient;
“Affaires non réglées”;
Recours à une théorie.
Qu’est-ce que l’universalisation?
Lier l’expérience du client à celles des autres. Lui permettre d’apprivoiser des émotions difficiles en faisant ressortir le caractère commun à tout être humain dans ces circonstances.
Nommer 4 buts de l’universalisation.
N’est pas seul;
Dédramatiser;
Accepter ce qui es difficile;
Sortir de l’isolement;
Se joindre à d’autres qui vivent une situation semblable.
Pouvez-vous me définir la technique du recadrage?
Aborder une situation sous un nouvel angle, une nouvelle perspective, un éclairage nouveau, élargir le point de vue, replacer les choses dans leur contexte, surmonter le blocage.
Nommer deux buts du recadrage.
Amener une signification différente et un changement d’attitude ou de perception;
Voir des alternatives;
Souligner les aspects positifs;
Approfondir la compréhension;
Favoriser la prise de conscience.
Pouvez-vous me définir ce qu’est le renforcement?
Appuyer fortement, maintenir ou affaiblir la fréquence d’apparition d’un comportement.
Quels sont les deux types de renforcements.
Le renforcement positif;
Le renforcement négatif.
Expliquez-moi ce qu’est le renforcement positif.
C’est l’ajout d’un stimulus agréable.
Expliquez-moi ce qu’est le renforcement négatif.
C’est le retrait d’un stimulus négatif.
Donnez un exemple de renforcement positif.
Féliciter le client lorsqu’il effectue la tâche, trouver ensemble un renforcement.
Donner un exemple de renforcement négatif.
Cesser de crier = réponse positive
À quel moment des attitudes de défense peuvent apparaître chez le client?
Ces attitudes apparaissent chez une personne lorsque cette dernière perçoit ou anticipe une menace dans ses communications interpersonnelles.
Comment le client peut réagir lorsqu’il est sur la défensive?
Le client peut devenir de moins en moins capable de percevoir adéquatement de que les autres lui communiquent.
Qu’est-ce que des attitudes de défense provenant du client peut amener lors d’une entrevue en criminologie?
Ceci peut amener une perte d’efficacité et de la distorsion dans la communication interpersonnelle.
Comment apparaissent les attitudes de support lors d’une entrevue en criminologie?
Ces attitudes apparaissent chez une personne lorsqu’un climat de confiance et de respect est présent.
Quels avantages les attitudes de support peuvent-elles avoir sur l’entrevue?
La personne se sent en sécurité;
Elle se sent à l’aise de communique ses craintes, ses défenses sont réduites;
La personne peut alors consacrer toute son énergie à son activité;
Ça augmente l’efficacité de la communication interpersonnelle et ça diminue la distorsion possible dans les perceptions.
Quels sont les deux types climat? (intervenant)
Le climat de défense;
Le climat de support.
Quels sont les 6 concepts essentiels au climat de défense? (intervenant)
1- Evaluation
2- Contrôle
3- Stratégie
4- Neutralité
5- Supériorité
6- Rigidité
Quels sont les 6 concepts essentiels au climat de support? (intervenant)
1- Description
2- Centrée sur la résolution du problème
3- Spontanéité
4- Empathie
5- Égalité
6- Flexibilité
Comment peut-on définir le concept de l’évaluation, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude où vous êtes évaluatif, où vous jugez l’autre, que ce soir par
contenu verbal ou non-verbal (ton de la voix, geste).
Comment peut-on définir le concept du contrôle, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude où vous essayez d’influencer quelqu’un d’autre pour qu’il
change une attitude ou un comportement dans le but d’imposer vos valeurs,
votre point de vue et/ou votre solution du problème.
Comment peut-on définir le concept de la stratégie, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude où vous jouez un rôle, où vous cachez de
l’information, où vos motivations n’apparaissent pas clairement, et ceci dans
le but d’amener l’autre à votre décision.
Comment peut-on définir le concept de la neutralité, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude qui se caractérise par une absence d’implication, vous êtes ni
pour, ni contre.
Comment peut-on définir le concept de la supériorité, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude où vous communiquez à l’autre que vous vous sentez
supérieur, c’est-à-dire en position de pouvoir, d’autorité par rapport à l’autre.
Comment peut-on définir le concept de la rigidité, qui est essentiel au climat de défense?
Attitude qui présuppose que vous connaissez toutes les réponses et
que vous n’avez pas besoin des informations ni des opinions de l’autre.
Comment peut-on définir le concept de la description, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous communiquez en vous tenant à décrire l’information que vous possédez. Vous évitez l’interprétation.
Comment peut-on définir le concept de la spontanéité, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous démontrez de la franchise,
de l’honnêteté et de la simplicité.
Comment peut-on définir le concept “centré sur la résolution de problème”, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous démontrez à l’autre
votre désir de collaborer en définissant mutuellement le problème et sa
recherche de solution sans avoir en tête de solution prédéterminée ni de
méthode à imposer. Pas de désir de contrôle caché. Vous suscitez alors
l’échange mutuel.
Comment peut-on définir le concept de l’empathie, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous manifestez de la considération et de la compréhension envers l’autre. Vous faites de l’écoute active.
Comment peut-on définir le concept de l’égalité, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous êtes ouvert à la participation dans un climat de confiance et de respect et où vous attachez peu d’importance à ce qui vous distingue.
Comment peut-on définir le concept de la flexibilité, qui est essentiel au climat de support?
Attitude où vous affirmez vos affaires, mais où vous êtes aussi ouvert à les remettre en question.
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Cette fois-ci, vous trouvez qu’elle commet une grosse erreur…. »
Reflet
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « C’est tellement contraire aux valeurs que vous lui avez transmises que vous sentez la responsabilité d’intervenir comme quand elle était jeune. »
Interprétation
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Moi aussi, je trouverais ça délicat si j’étais dans votre situation. Je me sentirais partagée entre mes valeurs personnelles et le respect des choix de l’autre. »
Révélation de soi
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « En discutant ensemble, on devrait trouver une façon de résoudre votre problème. »
Soutien/Support
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Cette fois-ci, vous vous dites qu’elle ne doit plus avoir tout son jugement…. »
Interprétation
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Si votre fille était devant vous, qu’est-ce que vous auriez envie de lui dire ? »
Focalisation
Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Quand vous êtes-vous aperçue de cette liaison ? »
Question fermée
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « T’es-tu toujours senti comme ça, ou est-ce que c’est récent ? »
Question double/Multiple
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « As-tu pensé faire un exercice de relaxation juste avant ? Par exemple, prendre de grandes respirations et te dire que tout va
bien aller… »
Recherche de solution
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Je me suis longtemps senti comme ça, moi aussi, jusqu’au jour où j’ai réalisé que je n’étais pas plus bête que les autres. »
Révélation de soi
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Se pourrait-il que tu tiennes à être toujours accepté ? Que tu aies peur d’être rejeté par le groupe si tu ne dis pas la bonne
chose ? »
Interprétation
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Peux-tu me dire quels sont les risques que tu cours dans un groupe ? »
Confrontation
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Peux-tu donner un exemple d’une situation récente où tu t’es trouvé mal à l’aise dans un groupe ? »
Focalisation
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Tu sembles être une personne équilibrée. Tu devrais pouvoir t’en sortir assez facilement. »
Soutiens
Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Quand il y plus de trois ou quatre personnes autour de toi, tu te sens observé et ça te bloque…. »
Reflet
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « En quelque sorte, vous avez envie de le mettre à la porte. »
Confrontation
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Vous ne lui demandez pas de partir parce que, même s’il est majeur, vous vous sentez encore responsable de lui. »
Interprétation
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Ça doit être pénible à vivre comme situation. »
Soutien
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Vous avez hâte qu’il parte, mais vous n’osez pas le lui dire … »
Reflet
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Qu’est-ce que vous prévoyez de faire ? »
Focalisation
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Savez-vous qu’il existe des programmes spéciaux pour aider à reprendre les études ? »
Recherche de solution
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Est-ce que votre fils a déjà exprimé l’idée d’aller vivre en appartement ? »
Question fermée
Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Je vous trouve héroïque d’endurer ça. En même temps, j’ai l’impression que ça aiderait votre fils si vous lui mettiez les limites claires. »
Implication
Qu’elle est la façon la plus puissante d’intervenir/l’outil majeur de l’intervention?
Le silence est une intervention significative et non une absence d’intervention.
Qu’est-ce que ça peut apporter au client lorsque l’aidant s’abstient d’intervenir verbalement?
Permet de réfléchir, organiser sa pensée et préparer une réponse cohérente.
Sur le plan émotif, permet de se reprendre en main et de recouvrer son calme.
Donner la parole à son interlocuteur.
Garder le contrôle de l’entrevue.
Qu’est-ce que ça peut apporter à l’intervenant lorsque ce dernier s’abstient d’intervenir verbalement?
Communiquer son empathie.
Faciliter l’exploration du problème.
Laisser à l’aider la responsabilité de son problème.
Quelle est la définition du silence?
Comportement non verbal initié par l’aidant ou par l’aidé qui a une signification dans le déroulement de la rencontre et qui fait partie de la communication interpersonnelle.
Qu’est-ce qu’est la règle du “quatre ou cinq pour un” et qu’est-ce qu’elle implique?
Quatre ou cinq interventions pour un silence.
Cette règle implique que pour plusieurs auteurs, les silences devraient être plus fréquents que les interventions verbales.
Vrai ou faux. Il appartient à l’aidant de bien comprendre le message et de manifester à l’autre personne ce qu’il a compris.
Vrai.
Le silence est aussi révélateur que quoi?
Le silence est aussi révélateur et important que le langage verbal (mots) et non verbal (gestes).
Quels sont les eux types de silence?
Le silence vide et le silence plein.
Qu’est-ce qu’est un silence vide?
C’est un vrai silence. L’arrêt de l’expression des émotions. À ce moment, il n’y a pas de réflexion de la part de la personne. Présence de désintérêt.
Qu’est-ce qu’est un silence plein?
C’est un faux silence. Ce type de silence est nécessaire et indispensable à
l’approfondissement et à l’implication.
Le travail de réflexion continue quand même. La personne demeure active même s’il n’y a rien qui se dit.
La signification d’un silence est fortement liée à quoi?
À la personne qui l’initie.
Au contexte dans lequel il se manifeste.
Aux signaux et indicateurs non verbaux qui l’accompagnent (postures, expressions faciales, gestes, signes de tête, soupir, bâillement, etc.).
En quoi consiste le décodage dans les situations de silence?
Savoir que certains silences sont initiés par l’aidant
alors que d’autres sont initiés par l’aidé. Il est aussi important de comprendre ce qui se cache derrière un silence.
Nommez les types de silences initiés par l’aidant.
Silence de compréhension empathique.
Silence d’encouragement.
Silence de préparation
Silence attentif.
Silence de respect.
Qu’est-ce qu’est le silence de compréhension empathique?
On souhaite signifier à quelqu’un qu’on l’accueil et qu’on le comprend - comprendre le monde subjectif de la personne - émotions, questions…
Qu’est-ce qu’est le silence d’encouragement?
On souhaite encourager quelqu’un à poursuivre l’exploration de ses sentiments, ou de communiquer ses sentiments (l’émotivité moins grande que dans la compréhension empathique) - Permet au client de l’aider à poursuivre ses réflexions, trouver ses mots.