Examen final Flashcards

1
Q

En quoi consiste la confrontation?

A

Mettre en présence deux versions ou deux perceptions du même fait, afin de les comparer et de retenir la plus valide.

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2
Q

Qu’est-ce que la confrontation vise?

A

La confrontation vise les comportements ou les conséquence, et non la personne.

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3
Q

Comment pourrait-on décrire la confrontation?

A

Affirmative, engagée, responsable et non agressive.

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4
Q

Quels sont les buts de la confrontation?

A

Réduire les distorsions, permettre une vision plus juste, diminuer les résistances et faciliter les changements.

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5
Q

Quelles sont les cibles de la confrontation?

A

Attitudes ancrées;
Comportements intérieurs et façons de penser;
Comportements extérieurs et façons d’agir;
Divergences paroles, pensées et actions;
Comportements et attitudes des autres.

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6
Q

Quels sont les effets possibles de la confrontation?

A

La confusion;
La négation;
La fausse acceptation;
La véritable acceptation.

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7
Q

Nommez trois règles de base de la confrontation.

A

Être attentif à ses motivations comme intervenant;
Relation de confiance et alliance établie;
Être exempt de jugements;
Centrer sur un exemple spécifique;
Élément et non sur la personne elle-même;
La personne est prête à recevoir cette confrontation;
Éviter de bombarder la personne avec deux ou trois confrontations à la suite.

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8
Q

Comment pourrait-on décrire l’interprétation?

A

Le chercheur propose une signification possible de ce qui a été exprimé par le client/l’aidé. Vise la compréhension.

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9
Q

Quelle est la différence entre l’interprétation et le reflet?

A

Lors du reflet, l’hypothèse concerne les sentiments alors que lors de l’interprétation, l’hypothèse concerne la compréhension.

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10
Q

Quels sont les quatre type d’interprétation?

A

Liens entre des éléments sans rapport apparent;
Mécanisme d’adaptation inconscient;
“Affaires non réglées”;
Recours à une théorie.

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11
Q

Qu’est-ce que l’universalisation?

A

Lier l’expérience du client à celles des autres. Lui permettre d’apprivoiser des émotions difficiles en faisant ressortir le caractère commun à tout être humain dans ces circonstances.

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12
Q

Nommer 4 buts de l’universalisation.

A

N’est pas seul;
Dédramatiser;
Accepter ce qui es difficile;
Sortir de l’isolement;
Se joindre à d’autres qui vivent une situation semblable.

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13
Q

Pouvez-vous me définir la technique du recadrage?

A

Aborder une situation sous un nouvel angle, une nouvelle perspective, un éclairage nouveau, élargir le point de vue, replacer les choses dans leur contexte, surmonter le blocage.

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14
Q

Nommer deux buts du recadrage.

A

Amener une signification différente et un changement d’attitude ou de perception;
Voir des alternatives;
Souligner les aspects positifs;
Approfondir la compréhension;
Favoriser la prise de conscience.

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15
Q

Pouvez-vous me définir ce qu’est le renforcement?

A

Appuyer fortement, maintenir ou affaiblir la fréquence d’apparition d’un comportement.

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16
Q

Quels sont les deux types de renforcements.

A

Le renforcement positif;
Le renforcement négatif.

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17
Q

Expliquez-moi ce qu’est le renforcement positif.

A

C’est l’ajout d’un stimulus agréable.

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18
Q

Expliquez-moi ce qu’est le renforcement négatif.

A

C’est le retrait d’un stimulus négatif.

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19
Q

Donnez un exemple de renforcement positif.

A

Féliciter le client lorsqu’il effectue la tâche, trouver ensemble un renforcement.

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20
Q

Donner un exemple de renforcement négatif.

A

Cesser de crier = réponse positive

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21
Q

À quel moment des attitudes de défense peuvent apparaître chez le client?

A

Ces attitudes apparaissent chez une personne lorsque cette dernière perçoit ou anticipe une menace dans ses communications interpersonnelles.

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22
Q

Comment le client peut réagir lorsqu’il est sur la défensive?

A

Le client peut devenir de moins en moins capable de percevoir adéquatement de que les autres lui communiquent.

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23
Q

Qu’est-ce que des attitudes de défense provenant du client peut amener lors d’une entrevue en criminologie?

A

Ceci peut amener une perte d’efficacité et de la distorsion dans la communication interpersonnelle.

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24
Q

Comment apparaissent les attitudes de support lors d’une entrevue en criminologie?

A

Ces attitudes apparaissent chez une personne lorsqu’un climat de confiance et de respect est présent.

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25
Q

Quels avantages les attitudes de support peuvent-elles avoir sur l’entrevue?

A

La personne se sent en sécurité;
Elle se sent à l’aise de communique ses craintes, ses défenses sont réduites;
La personne peut alors consacrer toute son énergie à son activité;
Ça augmente l’efficacité de la communication interpersonnelle et ça diminue la distorsion possible dans les perceptions.

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26
Q

Quels sont les deux types climat? (intervenant)

A

Le climat de défense;
Le climat de support.

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27
Q

Quels sont les 6 concepts essentiels au climat de défense? (intervenant)

A

1- Evaluation
2- Contrôle
3- Stratégie
4- Neutralité
5- Supériorité
6- Rigidité

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28
Q

Quels sont les 6 concepts essentiels au climat de support? (intervenant)

A

1- Description
2- Centrée sur la résolution du problème
3- Spontanéité
4- Empathie
5- Égalité
6- Flexibilité

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29
Q

Comment peut-on définir le concept de l’évaluation, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude où vous êtes évaluatif, où vous jugez l’autre, que ce soir par
contenu verbal ou non-verbal (ton de la voix, geste).

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30
Q

Comment peut-on définir le concept du contrôle, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude où vous essayez d’influencer quelqu’un d’autre pour qu’il
change une attitude ou un comportement dans le but d’imposer vos valeurs,
votre point de vue et/ou votre solution du problème.

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31
Q

Comment peut-on définir le concept de la stratégie, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude où vous jouez un rôle, où vous cachez de
l’information, où vos motivations n’apparaissent pas clairement, et ceci dans
le but d’amener l’autre à votre décision.

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32
Q

Comment peut-on définir le concept de la neutralité, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude qui se caractérise par une absence d’implication, vous êtes ni
pour, ni contre.

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33
Q

Comment peut-on définir le concept de la supériorité, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude où vous communiquez à l’autre que vous vous sentez
supérieur, c’est-à-dire en position de pouvoir, d’autorité par rapport à l’autre.

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34
Q

Comment peut-on définir le concept de la rigidité, qui est essentiel au climat de défense?

A

Attitude qui présuppose que vous connaissez toutes les réponses et
que vous n’avez pas besoin des informations ni des opinions de l’autre.

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35
Q

Comment peut-on définir le concept de la description, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous communiquez en vous tenant à décrire l’information que vous possédez. Vous évitez l’interprétation.

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36
Q

Comment peut-on définir le concept de la spontanéité, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous démontrez de la franchise,
de l’honnêteté et de la simplicité.

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37
Q

Comment peut-on définir le concept “centré sur la résolution de problème”, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous démontrez à l’autre
votre désir de collaborer en définissant mutuellement le problème et sa
recherche de solution sans avoir en tête de solution prédéterminée ni de
méthode à imposer. Pas de désir de contrôle caché. Vous suscitez alors
l’échange mutuel.

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38
Q

Comment peut-on définir le concept de l’empathie, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous manifestez de la considération et de la compréhension envers l’autre. Vous faites de l’écoute active.

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39
Q

Comment peut-on définir le concept de l’égalité, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous êtes ouvert à la participation dans un climat de confiance et de respect et où vous attachez peu d’importance à ce qui vous distingue.

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40
Q

Comment peut-on définir le concept de la flexibilité, qui est essentiel au climat de support?

A

Attitude où vous affirmez vos affaires, mais où vous êtes aussi ouvert à les remettre en question.

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41
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Cette fois-ci, vous trouvez qu’elle commet une grosse erreur…. »

A

Reflet

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42
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « C’est tellement contraire aux valeurs que vous lui avez transmises que vous sentez la responsabilité d’intervenir comme quand elle était jeune. »

A

Interprétation

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43
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Moi aussi, je trouverais ça délicat si j’étais dans votre situation. Je me sentirais partagée entre mes valeurs personnelles et le respect des choix de l’autre. »

A

Révélation de soi

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44
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « En discutant ensemble, on devrait trouver une façon de résoudre votre problème. »

A

Soutien/Support

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45
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Cette fois-ci, vous vous dites qu’elle ne doit plus avoir tout son jugement…. »

A

Interprétation

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46
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Si votre fille était devant vous, qu’est-ce que vous auriez envie de lui dire ? »

A

Focalisation

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47
Q

Mise en situation. « Ma fille divorcée sort avec un homme marié. J’ai toujours fait confiance à son jugement, mais là, je ne peux pas accepter ça. Il faut que je lui parle, mais j’ai peur de sa réaction. »
Intervenant. « Quand vous êtes-vous aperçue de cette liaison ? »

A

Question fermée

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48
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « T’es-tu toujours senti comme ça, ou est-ce que c’est récent ? »

A

Question double/Multiple

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49
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « As-tu pensé faire un exercice de relaxation juste avant ? Par exemple, prendre de grandes respirations et te dire que tout va
bien aller… »

A

Recherche de solution

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50
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Je me suis longtemps senti comme ça, moi aussi, jusqu’au jour où j’ai réalisé que je n’étais pas plus bête que les autres. »

A

Révélation de soi

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51
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Se pourrait-il que tu tiennes à être toujours accepté ? Que tu aies peur d’être rejeté par le groupe si tu ne dis pas la bonne
chose ? »

A

Interprétation

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52
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Peux-tu me dire quels sont les risques que tu cours dans un groupe ? »

A

Confrontation

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53
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Peux-tu donner un exemple d’une situation récente où tu t’es trouvé mal à l’aise dans un groupe ? »

A

Focalisation

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54
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Tu sembles être une personne équilibrée. Tu devrais pouvoir t’en sortir assez facilement. »

A

Soutiens

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55
Q

Mise en situation. « Quand je suis dans un groupe, je me sens vite mal à l’aise. Avec quelques amis, ça va, je suis plutôt spontané.
Mais dans un groupe, je me fige. Je ne sais pas quoi faire avec ce blocage-là. »
Intervenant. « Quand il y plus de trois ou quatre personnes autour de toi, tu te sens observé et ça te bloque…. »

A

Reflet

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56
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « En quelque sorte, vous avez envie de le mettre à la porte. »

A

Confrontation

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57
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Vous ne lui demandez pas de partir parce que, même s’il est majeur, vous vous sentez encore responsable de lui. »

A

Interprétation

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58
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Ça doit être pénible à vivre comme situation. »

A

Soutien

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59
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Vous avez hâte qu’il parte, mais vous n’osez pas le lui dire … »

A

Reflet

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60
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Qu’est-ce que vous prévoyez de faire ? »

A

Focalisation

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61
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Savez-vous qu’il existe des programmes spéciaux pour aider à reprendre les études ? »

A

Recherche de solution

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62
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Est-ce que votre fils a déjà exprimé l’idée d’aller vivre en appartement ? »

A

Question fermée

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63
Q

Mise en situation. « Notre fils de 22 ans est en décrochage scolaire et il vit encore chez nous. Il nous emprunte continuellement de l’argent, il amène ses amis manger à la maison et écouter
de la musique très forte à n’importe quelle heure … On se demande combien de temps ça va durer … »
Intervenant. « Je vous trouve héroïque d’endurer ça. En même temps, j’ai l’impression que ça aiderait votre fils si vous lui mettiez les limites claires. »

A

Implication

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64
Q

Qu’elle est la façon la plus puissante d’intervenir/l’outil majeur de l’intervention?

A

Le silence est une intervention significative et non une absence d’intervention.

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65
Q

Qu’est-ce que ça peut apporter au client lorsque l’aidant s’abstient d’intervenir verbalement?

A

Permet de réfléchir, organiser sa pensée et préparer une réponse cohérente.
Sur le plan émotif, permet de se reprendre en main et de recouvrer son calme.
Donner la parole à son interlocuteur.
Garder le contrôle de l’entrevue.

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66
Q

Qu’est-ce que ça peut apporter à l’intervenant lorsque ce dernier s’abstient d’intervenir verbalement?

A

Communiquer son empathie.
Faciliter l’exploration du problème.
Laisser à l’aider la responsabilité de son problème.

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67
Q

Quelle est la définition du silence?

A

Comportement non verbal initié par l’aidant ou par l’aidé qui a une signification dans le déroulement de la rencontre et qui fait partie de la communication interpersonnelle.

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68
Q

Qu’est-ce qu’est la règle du “quatre ou cinq pour un” et qu’est-ce qu’elle implique?

A

Quatre ou cinq interventions pour un silence.
Cette règle implique que pour plusieurs auteurs, les silences devraient être plus fréquents que les interventions verbales.

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69
Q

Vrai ou faux. Il appartient à l’aidant de bien comprendre le message et de manifester à l’autre personne ce qu’il a compris.

A

Vrai.

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70
Q

Le silence est aussi révélateur que quoi?

A

Le silence est aussi révélateur et important que le langage verbal (mots) et non verbal (gestes).

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71
Q

Quels sont les eux types de silence?

A

Le silence vide et le silence plein.

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72
Q

Qu’est-ce qu’est un silence vide?

A

C’est un vrai silence. L’arrêt de l’expression des émotions. À ce moment, il n’y a pas de réflexion de la part de la personne. Présence de désintérêt.

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73
Q

Qu’est-ce qu’est un silence plein?

A

C’est un faux silence. Ce type de silence est nécessaire et indispensable à
l’approfondissement et à l’implication.
Le travail de réflexion continue quand même. La personne demeure active même s’il n’y a rien qui se dit.

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74
Q

La signification d’un silence est fortement liée à quoi?

A

À la personne qui l’initie.
Au contexte dans lequel il se manifeste.
Aux signaux et indicateurs non verbaux qui l’accompagnent (postures, expressions faciales, gestes, signes de tête, soupir, bâillement, etc.).

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75
Q

En quoi consiste le décodage dans les situations de silence?

A

Savoir que certains silences sont initiés par l’aidant
alors que d’autres sont initiés par l’aidé. Il est aussi important de comprendre ce qui se cache derrière un silence.

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76
Q

Nommez les types de silences initiés par l’aidant.

A

Silence de compréhension empathique.
Silence d’encouragement.
Silence de préparation
Silence attentif.
Silence de respect.

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77
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de compréhension empathique?

A

On souhaite signifier à quelqu’un qu’on l’accueil et qu’on le comprend - comprendre le monde subjectif de la personne - émotions, questions…

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78
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’encouragement?

A

On souhaite encourager quelqu’un à poursuivre l’exploration de ses sentiments, ou de communiquer ses sentiments (l’émotivité moins grande que dans la compréhension empathique) - Permet au client de l’aider à poursuivre ses réflexions, trouver ses mots.

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79
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de préparation?

A

Le silence pour nous permettre de choisir l’avenue que nous allons prendre, le chemin, le silence doit être court et productif 30sec (pour l’intervenant) - souvent quand quelqu’un nous lance quelque chose mais qu’on ne voulait pas aller là mais que si on n’y va pas, on va peut-être manquer quelque chose alors on décide d’y aller.

80
Q

Qu’est-ce qu’est le silence attentif?

A

Démontrer à l’autre qu’on est là, démontre position d’ouverture envers l’autre.

81
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de respect?

A

Donner le temps à la personne en face de nous à réfléchir.

82
Q

Nommez les silences initiés par l’aidé.

A

Silence d’approfondissement.
Silence d’appropriation.
Silence de détente.
Silence de détresse.
Silence de retenue d’informations.
Silence de résistance.
Silence de provocation (défi).
Silence de mépris.
Silence d’embarras.
Silence de colère.
Silence de douleur.
Silence d’ennui.
Silence d’obstination.
Silence de punition (bouderie).

83
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’approfondissement?

A

Permet à la personne de poursuivre sa réflexion à l’intérieur d’elle, fait progresser sa réflexion.

84
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’appriopriation?

A

Laisser le temps au client de s’approprier ses pensées et ses émotions pour pouvoir poursuivre et faciliter l’expression.

85
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de détente?

A

La personne fait une pause après un long discours, la laisser se reposer, la permettre de reprendre sur elle, pause momentanée.

86
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de détresse?

A

L’accueillir et l’amener plus loin lorsque la personne n’est pas capable de demander de l’aide (comment je peux t’aider?).

87
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de retenue d’informations?

A

Un sujet dont la personne ne veut pas parler, elle retiens de l’information - ex : elle ne veut pas délatter.

88
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de résistance?

A

La personne ne veut pas exprimer ses émotions, notamment parce que ça lui fait peur- admettre qu’on a un problème c’est d’admettre qu’il faut qu’on change…

89
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de provocation (défi)?

A

La personne veut provoquer une réaction émotive en démontrant qu’elle ne veut rien savoir de l’intervenant.

90
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de mépris?

A

La personne est méprisante face à vous (n’arrive pas souvent) - la personne ne vous considère pas assez digne ou compétant pour l’entrevue, donc elle considère qu’elle n’a rien à vous dire - comment y répondre : qu’est-ce qui fait aujourd’hui que tu n’as pas le désir de me parler? est-ce que j’ai fait quelque chose qui te dérange? Parle-moi de tes inquiétude?

91
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’embarras?

A

La personne n’est pas à l’aise avec le sujet dont on parle - pour répondre à cela, on fait un silence de compréhension/empathique ou même un reflet.

92
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de colère?

A

Il arrête de communiquer avec vous parce qu’il vit des grosses émotions et arrête de parler parce qu’il sait que sinon il va faire un acting out/exploser.

93
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de douleur?

A

La personne arrête de parler parce que ce qu’elle vit en ce moment c’est trop douloureux, se rappeler du passé qui fait mal, douleur des souvenirs que la personne vit - l’intervenant donne la marche de manœuvre, lui laisse le temps de reprendre un peu sur elle.

94
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’ennui?

A

Silence vide, silence sans intérêt, regarde ailleurs et au plafond.

95
Q

Qu’est-ce qu’est le silence d’obstination?

A

“J’ai raison, t’as pas raison” - être en mesure de l’amener plus loin dans sa réflexion - silence vide.

96
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de punition (bouderie)?

A

La personne arrête de parler puisque vous n’avez pas répondu à ses attentes (ex : demande d’un privilège mais ne l’accorde pas).

97
Q

Nommez les silences initiés soit par l’aidant ou par l’aidé.

A

Silence de réflexion.
Silence de prise de conscience.
Silence de vécu émotionnel.
Silence de recherche.
Silence d’hésitation.
Silence de vide.
Silence de prise de contrôle.
Silence de timidité (d’anxiété).
Silence de discontinuité.
Silence de retenue d’émotions.
Silence de refus.
Silence de ralentissement.
Silence de pause.

98
Q

Qu’est-ce que le silence de réflexion?

A

On veut organiser notre pensée, mettre de l’ordre dans nos idées, permettre d’aller plus loin.

99
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de prise de conscience?

A

Des fois lorsque la personne parle, vous aller prendre conscience des choses que l’aidé à vécu - lien qu’on fait dans notre tête nous amène plus loin.

100
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de vécu émotionnel?

A

La personne se laisse le temps de vivre des émotions suite à une discussion - il faut vivre les émotions sans se laisser envahir par elles.

101
Q

Qu’est-ce que le silence de recherche?

A

Cherche à trouver son file d’idée, “qu’est-ce que je voulais dire déjà?”, blanc de mémoire qui arrive plus quand on est fatigué - pas vide.

102
Q

Qu’est-ce que le silence d’hésitation?

A

La personne exprime un doute ou une incertitude.

103
Q

Qu’est-ce que le silence de vide?

A

Pas de son pas d’image dans la tête de l’autre, la personne vous regarde mais ne vous regarde pas vraiment, elle est dans la lune.

104
Q

Qu’est-ce que le silence de prise de contrôle?

A

La personne va arrêter de parler parce qu’elle considère qu’elle en a assez dis donc elle veut donner la parole à l’autre.

105
Q

Qu’est-ce que le silence de timidité (d’anxiété)?

A

La personne mal à l’aise dans des propos qu’elle peut avoir, dans un sujet en particulier - anxiété lorsque l’aidé a été victime lui-même.

106
Q

Qu’est-ce que le silence de discontinuité?

A

Lorsque quelqu’un arrête de parler pour permettre à l’autre de prendre la parole - ex pose une question et attend réponse.

107
Q

Qu’est-ce que le silence de retenue d’émotions?

A

La personne va se taire par peur de perdre le contrôle de ses émotions.

108
Q

Qu’est-ce que le silence de refus?

A

La personne ne veut pas coopérer.

109
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de ralentissement?

A

Ralentir le rythme de l’entrevue pour ne pas se rendre à une certaine discussion, pour que les buts de l’intervenant ne soient pas atteints.

110
Q

Qu’est-ce qu’est le silence de pause?

A

La personne va arrêter de parler à un moment donné parce qu’elle a exprimé quelque chose de gros et qu’elle a besoin de se ramasser.

111
Q

Les réactions possibles suite à un silence sont intimement liées à quoi?

A

La réaction suite à un silence est intimement liée à la signification de celui-ci dans le
déroulement de la rencontre (silence plein ou silence vide).

112
Q

Quelles réactions sont-elles possibles à la suite d’un silence?

A

Respecter le silence (l’accepter et le supporter).
Faire un encouragement de portée limitée (« hum … hum », répétition des derniers mots,
signe de tête, etc.).
Reformuler le dernier énoncé.
Faire un résumé.
Utiliser un comportement non verbal invitant à poursuivre.
Demander à la personne la signification du silence.
Explorer avec la personne la signification du silence.
Terminer la rencontre.

113
Q

Qu’est-ce qu’est la résistance?

A

Tous les moyens utilisés par l’aidé pour éviter de ressentir et d’exprimer les sentiments, souvenirs ou idées qui le menacent, et donc pour éviter ou retarder les prises de conscience douloureuses.
Ou…
Un mécanisme de régulation…une question de temps…

114
Q

Nommez des sources de la résistance.

A

Atteinte à l’image de soi.
Peur du rejet.
Gains reliés au statu quo.
Réaction à prise de conscience.
Désir d’autonomie.
Erreur de l’aidant.

115
Q

Quelles sont les réactions possibles de l’intervenant face à la résistance de l’aidé?

A

Ne pas intervenir…. mais noter.
Offrir un soutien léger.
Accepter le fait ou apporter des diversions temporaires.
Se centrer sur la résistance.
Prévenir la résistance.

116
Q

Quelle est la différence entre quelqu’un qui fait preuve de résistance et quelqu’un de non volontaire?

A

La personne qui fait preuve de résistance est une personne qui a de la misère à parler d’elle alors qu’une personne non volontaire est quelqu’un qui ne veut rien savoir des intervenants et des ressources.

117
Q

Qu’est-ce qu’est la résistance aux changements?

A

La peur du changement (ou le confort du connu) est le point central de ce type de
résistance. Il faut insuffler l’espoir qu’il est possible de
changer et que ces changements vont amener des aspects positifs.

118
Q

Qu’est-ce qu’est la formulation du problème?

A

La formulation du problème est un processus par lequel l’aidant organise et interprète les informations verbales et non verbales émises par l’aidé, pour en arriver à saisir l’essentiel du vécu de ce dernier.

119
Q

La formulation d’un problème est une habileté mettant en œuvre quelles différentes opérations mentales?

A

Déduction à partir de ce que l’aidé exprime.
Interprétation de sa situation à l’aide de connaissances en psychologie.
Rapprochement avec le vécu similaire d’autres aidés.
Parfois de l’intuition.

120
Q

Quelles sont les cinq habiletés liées à la formulation d’un problème?

A

Organiser l’information disponible (En utilisant ce qu’on voit et ce qu’on entend).
Utiliser ses connaissances (et en s’aidant de ses connaissances et de son expérience).
Dégager le problème réel (on cerne le cœur du problème).
Donner du pouvoir à l’aidé (que l’on formule en veillant à donner à l’aider de l’emprise sur ce problème).
Être à la fois précis et concis (tout en se représentant mentalement le tout d’une
façon brève et précise).

121
Q

Quelles sont les raisons d’avoir un
groupe au lieu de faire de l’individuel ?

A

Pour le partage

122
Q

Quels sont les avantages de faire de l’intervention individuelle?

A

Personnalisation
Permet d’aborder le vécu du client
Meilleure connaissance du client
Possibilité de cerner les besoins spécifiques
Respect du rythme du client
Meilleur contact
Relation privilégiée

123
Q

Quels sont les inconvénients de faire de l’intervention individuelle?

A

Pas de confrontation avec d’autres clients
Absence de dynamique de groupe
Risque d’enseignement peu structuré
Risque d’incompatibilité avec un client difficile
Lassitude due à la répétition
Prend trop de temps

124
Q

Quels sont les avantages de faire de l’intervention de groupe?

A

Échanges d’expériences entre clients
Confrontations de points de vue
Convivialité
Rupture du sentiment d’isolement
Soutien émotionnel
Stimulation des apprentissages
Apprentissages expérientiels par
« situations problèmes »
Gain de temps

125
Q

Quels sont les inconvénients de faire de l’intervention de groupe?

A

Clients trop hétérogènes
Difficulté de faire participer les participants
Inhibition des clients à s’exprimer
Difficulté d’accorder de l’attention à chacun
Difficulté à gérer un groupe
Horaires fixes des cours

126
Q

En quoi consiste l’intervention de groupe?

A

L’intervention de groupe est une méthode qui s’appuie sur le potentiel d’aide mutuelle présent dans un groupe et sur une démarche structurée visant à aider les membres à satisfaire leurs besoins socio-émotifs ou à accomplir certaines tâches afin d’acquérir du pouvoir.

127
Q

Quels sont les quatre critères importants pour faire de l’intervention de groupe?

A
  1. Aider les membres du groupe à construire un système d’aide mutuelle.
  2. Comprendre et utiliser les processus de groupe tout en aidant les membres à en faire autant.
  3. Faire en sorte que les membres soient le plus autonomes possible.
  4. À la fin de l’intervention, doit permettre aux membres de prendre conscience de ce qu’ils ont vécu au sein du groupe afin qu’ils puissent utiliser leur expérience dans d’autres situations.
128
Q

Comment pourrait-on décrire ce qu’est l’aide mutuelle?

A

Quand les membres d’un groupe parviennent à s’aider tout en aidant les
autres.
Axé sur la canalisation des forces et sur l’optimisation du potentiel du
groupe.
A lieu entre deux ou plusieurs membres qui sont considérés tant comme
AIDANT qu’AIDÉ POTENTIEL.
Donc les participants d’un groupe s’apportent du soutien en vue de
réaliser leurs tâches communes.

129
Q

Quelles sont les trois tâches à réaliser pour être en mesure de faire de l’aide mutuelle?

A
  1. La canalisation des forces des membres
  2. L’initiation des membres à l’autoréflexion et à l’autoréférence
  3. La formation du groupe
130
Q

Quelles sont les composantes de l’aide mutuelle?

A
  1. Le partage d’information
  2. La confrontation d’idée
  3. La discussion des sujets tabous
  4. Tous dans le même bateau
  5. Le soutien émotionnel
  6. L’aide à la résolution des problèmes individuels
  7. Les demandes mutuelles
  8. L’expérimentation des façons d’être et de faire
  9. La force du nombre
131
Q

Quelles sont les visées de l’intervention de groupe?

A
  1. La réadaptation
  2. Le développement personnel
  3. La réinsertion sociale
  4. La résolution de problèmes
  5. L’acquisition de valeurs sociales
  6. La socialisation
  7. La prévention
  8. L’action sociale
132
Q

Quels sont les deux critères pour avoir un groupe d’intervention?

A
  1. Le groupe a une cible commune.
  2. Il y a une interaction entre les membres du groupe.
133
Q

Quels sont les deux types de groupe?

A
  1. Le groupe de tâche.
  2. Le groupe de développement.
134
Q

En quoi consiste un groupe de tâche?

A

Sont constitués pour s’acquitter d’une mission, fonctionnement sur la base de rôles assignés et de procédures formelles.
Donnent lieu à des communications centrées sur la tâche avec une faible transparence des membres quant à leur vie personnelle.
Sont évalués en fonction de l’accomplissement d’un mandat ou d’une tâche commune.

135
Q

Quels sont les besoins que peuvent comblés les groupes de tâche?

A

Les besoins des clients
Les besoins de l’organisme
Les besoins de la communauté

136
Q

En quoi consiste un groupe de développement?

A

Formés pour répondre aux besoins personnels des membres, fonctionnent sur la base de rôles informels (sauf
quelques exceptions).
S’appuient sur des procédures flexibles donnent lieu à une communication ouverte qui laisse place à une grande
transparence, mais qui exige en contrepartie une grande discrétion sur ce qui se passe dans le groupe.
Fondent l’évaluation de leur efficacité sur l’atteinte des objectifs fixés de façon individuelle.

137
Q

Quels sont les cinq types de groupe de développement?

A

Groupe de thérapie
Groupe de soutien
Groupe d’éducation
Groupe de croissance
Groupe de socialisation

138
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de thérapie?

A

Met l’accent sur la réadaptation, vise le changement de comportement

139
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de soutien?

A

Amener les personnes à faire face à un événement stressant, faire face à des difficultés

140
Q

Qu’est-ce qu’un groupe d’éducation?

A

Pour aider les membres à acquérir des nouvelles connaissances

141
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de croissance?

A

Ex :rencontre de couple - pour évoluer, avancer - développer une meilleure connaissance de soi-même

142
Q

Qu’est-ce qu’un groupe de socialisation?

A

Permettre à la personne de s’ouvrir aux autres

143
Q

L’animation demande trois composantes importantes en intervention. Qu’elles sont-elles?

A

Savoir
Savoir faire
Savoir être

144
Q

Quels sont les qualités d’un bon animateur?

A

Confiant
Enthousiaste
Respectueux des gens
Faire confiance aux participants
Disponible et accueillant
Écouter les personnes

145
Q

Quelle est l’attitude la plus importante pour un animateur?

A

L’écoute. L’écoute est très certainement l’attitude la plus importante à développer pour un animateur. Sans elle, les autres attitudes n’auront qu’une influence minime sur l’ambiance du groupe.

145
Q

Quelle est l’attitude la plus importante pour un animateur?

A

L’écoute. L’écoute est très certainement l’attitude la plus importante à développer pour un animateur. Sans elle, les autres attitudes n’auront qu’une influence minime sur l’ambiance du groupe.

146
Q

Comment pourrait-on décrire le concept d’habileté en intervention de groupe?

A

Ensemble de gestes posés avec adresse et
dextérité dans l’intention d’aider le groupe à progresser vers la satisfaction de ses besoins socio-émotifs et la réalisation de la cible commune.

147
Q

Quelles sont les 6 modalités importantes pour les groupes de développement?

A
  1. Favoriser la constitution d’une entité groupale
  2. Mettre en place les paramètres de fonctionnement du groupe
  3. Dynamiser la réalisation de la tâche
  4. Enrichir la communication
  5. Faciliter le passage des moments difficiles
  6. Favoriser l’établissement d’un climat positif
148
Q

Quelles sont les trois dimensions importantes pour l’animation d’une réunion?

A

Contenu
Procédure
Socio-affectif

149
Q

Pour l’animation d’une réunion, en quoi consiste le contenu?

A

Concerne les besoins exprimés, aux buts et aux objectifs, de même qu’aux idées
et aux opinions.
L’animateur doit :
1. Définir : préciser l’objectif et veiller à ce que les idées soient comprises
2. Reformuler : utiliser d’autres termes pour que les idées soient comprises par
tous
3. Faire des liens : Permet de recentrer la discussion sur ses éléments essentiels
4. Résumer : Permet de réorienter le travail au besoin.

150
Q

Pour l’animation d’une réunion, en quoi consiste la procédure?

A

L’animateur exerce une certaine fonction de contrôle :
1. Suscite : favorise la participation des membres silencieux
2. Réfrène : aide les membres plus volubiles à mieux gérer leur temps
3. Sensibilise au temps : pour maximiser et respecter l’échéancier
4. Donne la parole : de façon formelle ou informelle selon la procédure établie

151
Q

Pour l’animation d’une réunion, en consiste l’aspect socio-affectif?

A

Fait référence à la vie affective du groupe et au maintien d’un climat favorable à la discussion.
L’animateur doit :
1. Accueille : en adoptant une attitude chaleureuse
2. Solidarise : encourage les membres
3. Objective : en séparant le contenu de sa charge émotive ou en reformulant ce qui a été dit avec plus subjectivité pour éviter les oppositions non productives
4. Suscite la verbalisation : en permettant aux membres d’exprimer ce qu’ils ressentent

152
Q

Quels sont les trois facteurs importants concernant l’animation d’une réunion?

A

Facteurs d’ordre personnel
Facteurs liés au développement professionnel
Facteurs environnementaux

153
Q

En quoi consiste les facteurs d’ordre personnel?

A

Avoir du plaisir à animer est plus susceptible de développer les habiletés nécessaires que de redouter les interactions générées par un groupe et qui a peur de perdre le contrôle ou de perdre son prestige.

154
Q

En quoi consiste les facteurs liés au développement professionnel?

A

Avoir une formation sur l’intervention
de groupe est un facteur favorisant la mise en œuvre et les habiletés utiles. La formation doit être théorique et pratique.

155
Q

En quoi consiste les facteurs environnementaux?

A

Concernent la valeur accordée à l’intervention de groupe par les établissements (enseignements et employeur). La perception d’un soutien de
l’organisme et la disponibilité des installations sont importantes.

156
Q

Pourriez-vous m’expliquer la différence entre empathie et sympathie?

A

Empathie vs sympathie (il faut prendre soin de nous - il faut se mettre à une certaine distance, il faut être éthique avec nous même)

157
Q

Vrai ou faux. En intervention de crise, ça peut aider de prendre une pause.

A

Vrai. En intervention de crise, ça peut aider de prendre une pause pour revenir dans un autre état d’esprit.

158
Q

Quels sont les composantes du savoir être, en quoi ça consiste?

A

Empathie : sensibilité, écoute, saine distance, respect, tolérance
Authenticité/congruence
Ouverture, souplesse
Être tolérant face au stress et face à l’ambiguïté.

159
Q

Pouvez-vous nommez des types de crise et expliquer en quoi elles consistent?

A

Crises traumatiques : événement
Crises psychosociales : divorce
Crise psychopathologique : crise psychotique

160
Q

Quels sont les résultats possibles à la suite d’une intervention de crise?

A

En santé : vie active et entourée
Rétablissement : suivi psychiatrique et traitement
Stabilité précaire : Troubles de comportement (toxicomanie), suicidaire, troubles anxieux
En déséquilibre : psychose, dépression, trouble de la personnalité

161
Q

En quoi consiste l’état d’équilibre du modèle de crise selon Caplan?

A

Mécanisme d’adaptation efficace qui font diminuer le stress. Degré de confort qui est là même s’il y a des hauts et des bas.

162
Q

Quand est-ce que l’état de vulnérabilité survient dans le modèle de crise selon Caplan?

A

Lorsque les mécanismes d’adaptation son inefficaces.

163
Q

Combien de temps peut durer un état de crise dans le modèle de crise selon Caplan?

A

4 à 6 semaines.

164
Q

Combien de temps peu durer une période de crise aigüe dans le modèle de crise selon Caplan?

A

De 24 à 48 heures.

165
Q

Comment pourrait-on définir la crise?

A

Une période relativement courte de
déséquilibre psychologique chez une
personne…
Confrontée à un événement qui représente un problème important pour elle…
Et qu’elle ne peut fuir ni résoudre avec ses
ressources habituelles.

166
Q

En quoi consiste le retour à l’équilibre?

A

L’apparition et la durée d’une crise dépendent:
De la perception de l’événement déclencheur et de sa situation;
Du soutien disponible;
De l’efficacité des stratégies d’adaptation.

167
Q

Nommez des exemples de crises psychosociales.

A

Deuil, nouvel emploi, déménagement, avoir 50 ans, difficultés liées à l’emploi, rupture amoureuse, conflit relationnel, échec.

168
Q

Quel est l’objectif d’intervention lors de crises psychosociales?

A

Retour de la personne à un niveau
de fonctionnement préexistant à la crise.

169
Q

Nommez des exemples de crises psychopathologiques.

A

Manie, fragilités liées à un trouble de la
personnalité, dépression, psychose,
dépendance.

170
Q

Quel est l’objectif d’intervention lors de crises psychopathologiques?

A

Arrêter la détérioration de l’état de la personne en crise.

171
Q

Nommez des exemples de crises psychotraumatiques.

A

Décès subit d’un proche, annonce
d’une maladie grave, accident, suicide d’un
proche, acte criminel, guerre, catastrophe
naturelle.

172
Q

Quel est l’objectif d’intervention lors de crises psychotraumatiques.

A

Assurer la sécurité de la personne en crise.

173
Q

L’intervention est centrée sur…

A

Ici et maintenant.

174
Q

Quelles sont les étapes et les stratégies d’intervention?

A
  1. Créer un lien de confiance et susciter
    l’engagement;
  2. Évaluer la sévérité des symptômes et la
    dangerosité;
  3. Favoriser l’expression des émotions;
  4. Comprendre la situation de crise et formuler la crise;
  5. Convenir d’un plan d’action et mobiliser le réseau social et les ressources de la personne;
  6. Mettre en place un filet de sécurité;
  7. Effectuer le suivi après la crise.
175
Q

Quels sont les défis de l’intervention-évaluation?

A

L’art de doser les questions d’évaluation et de suivre le vécu.
Rythme, accueil des émotions,
Silences, chronologie

176
Q

Que se passe-t-il de l’évaluation à l’intervention?

A

Identifier le type de crise;
Rapidement, se faire un portrait de l’état et vérifier les éléments de sécurité;
Cerner la situation.

177
Q

Comment pourrait-on décrire la posture de l’intervenant?

A

La création du lien de confiance ne relève pas d’une technique, mais plutôt de la sensibilité et de la mise de l’avant des qualités personnelles du clinicien.

178
Q

Lors d’une intervention, en quoi consiste l’étape de l’accueil/contact?

A

Établir un contact chaleureux, positif, vrai, sécurisant:
Utiliser un ton de voix calme;
Prendre le temps qu’il faut;
Opter pour une posture bienveillante;
Écouter avec intérêt sincère;
Agir dans la confidentialité;
Demeurer prévisible.

179
Q

Quelles genres de question sont à poser lors de l’évaluation de la désorganisation?

A

Quel est l’événement précipitant?
Comment réagit-elle à l’événement?
Y a-t-il des éléments de dangerosité?
Quel est le niveau de fonctionnement, et d’énergie?
Impacts sur le sommeil, l’alimentation, le travail?
Présente-t-elle des symptômes psychiatriques liés à un trouble mental?
Est-elle orientée dans le temps et l’espace?
Comment se manifestent la crise, les émotions?
Comment est son apparence physique, l’état des lieux ?

180
Q

En quoi consiste l’évaluation des risques et de la dangerosité?

A

Idées suicidaires/homicidaires (intention et menaces, plan arrêté, moyen accessible, létalité du moyen);
Niveau de fonctionnement/de désorganisation;
Raisons de vivres, pertes, espoir, détresse;
État physique/capacité à prendre soin de soi;
Antécédents psychiatriques et état mental;
Impulsivité/niveau de contrôle, imprévisibilité;
Consommation, intoxication/ comportements à risques;
* Collaboration, consentement, capacités;
* Affect, humeur, pensée, perceptions, motivations, comportements, attitudes;
* Autocritique et jugement;
* Contexte, milieu de vie, entourage.

181
Q

Comment faut-il intervenir pour désamorcer la crise?

A

Être témoins de la souffrance, faire preuve d’écoute, d’encouragement, de soutien et transmettre l’espoir;
Favoriser l’expression des émotions, normaliser, mettre des mots sur les émotions;
Formuler la crise et valider sa compréhension (mots, situer sur le schéma, trouver un sens);
Respecter la priorité identifiée par la personne;
Résorber la crise par la résolution de problème;
Faire appel aux solutions, ressources et mécanismes d’adaptation qui ont déjà fonctionnés pour la personne et ouvrir à de nouvelles possibilités;
Relativiser les perceptions et défaire les distorsions (jamais, tout, personne);
Souligner les forces;
Offrir de l’orientation et des repères;
Occupation, tâches, changement d’idées, relaxation.

182
Q

Comment faut-il conclure une intervention?

A

Convenir d’un plan d’action avec la personne:
* Quoi mettre en place pour être en sécurité et se donner du temps;
* Échanger sur les pistes de solutions;
* Mobiliser le réseau social et les ressources de la personne;
* Prendre soin de soi;
* Référence vers des ressources spécialisées (aide à l’emploi, etc.);
Mettre en place un filet de sécurité:
* Impliquer le réseau naturel;
* Ressources de crise, hôpitaux, suivi, policiers, judiciarisation, P38;
* Éloigner le moyen, prendre des ententes, travailler le volontariat;
* Concertation;
Effectuer le suivi après la crise:
* Vérifier l’impact de l’intervention;
* Se soucier de l’évolution;
* Proactivité

183
Q

Qu’est-ce qu’une crise?

A

Présence d’un événement perturbant qui
déclenche un processus face auquel l’individu n’a pas les ressources suffisantes, à un moment précis, pour gérer adéquatement les changements qu’entraîne cet événement dans sa vie.

184
Q

Comment peut-on décrire la crise dans le langage populaire?

A

Il faut éviter de conclure que toute réaction intense est nécessairement une crise. Par exemple, si un individu pique une colère, ce n’est pas nécessairement une crise. Ça peut justement être un moyen d’adaptation qui l’empêche de tomber dans la crise et qui permet de le garder en équilibre.

185
Q

Quel est le cadre conceptuel sur lequel on doit se reposer pour déterminer s’il y a crise?

A

Évènements et stress sont insuffisants à constituer un état de crise. On ne peut pas se baser sur la situation puisque tous vivent les choses différemment ;
La crise résulte toujours de l’interaction entre l’événement et l’évaluation qu’en fait la personne (contexte personnel) ;
La crise émerge quand le stress est perçu comme une menace (à son état d’équilibre), une difficulté insurmontable.

186
Q

En intervention de crise, on se concentre principalement sur deux choses. Quelles sont-elles?

A

L’événement qui a provoqué la crise : on ne va pas dans le passé comme dans l’intervention plus traditionnelle. On travaille spécifiquement sur l’événement précis.
Incapacité de la personne à y faire face adéquatement : on regarde son incapacité actuelle à gérer son équilibre. La personne a des capacités de gestion, mais à ce moment précis ses stratégies sont inadaptées.

187
Q

En quoi consiste l’état d’équilibre/d’homéostasie?

A

Confrontation à un événement stressant.
On commence à utiliser des stratégies d’adaptation une par une (un peu comme essai et erreur).

188
Q

En quoi consiste l’état de vulnérabilité?

A

On commence à être en déséquilibre.
Épuisement du répertoire de réponses efficaces.
Affaiblissement des capacités à faire face à la situation.
Évaluation de plus en plus négative de la situation.
Les sentiments négatifs font augmenter la tension chez l’individu. La négativité se
tourne vers la personne elle-même.
Les émotions embrouillent ses perceptions (rationalité).

189
Q

En quoi consiste l’état de crise?

A

On se met donc à utiliser des solutions plus ou moins adéquates (et socialement
moins acceptables). Par exemple, consommation de drogues ou d’alcool, comportements agressifs, boulimie. Ça peut diminuer temporairement la tension, mais ce n’est pas une solution permanente. Ça crée des conflits puisque ce ne sont pas des stratégies adaptées,
donc ça contribue à maintenir la tension.
Solutions infructueuses ou échecs répétés ou événement supplémentaire. On bascule dans la période de crise : phase aiguë, passage à l’acte, récupération.

190
Q

Lorsqu’on parle de crise, que veut dire la phase aigüe?

A

L’événement déclencheur de la crise survient. La montée en intensité de la crise varie fortement selon le type de crise.

191
Q

Lorsqu’on parle de crise, que veut dire le passage à l’acte?

A

C’est un agir (fuite, comportement autoagressif, hétéroagressif) : suicide, automutilation.

192
Q

Lorsqu’on parle de crise, que veut dire la récupération?

A

Parce que la personne a réussi à réduire un peu de tension. C’est une période un peu plus calme. On a libéré de la tension. Ça devient un peu plus tolérable.

193
Q

Quels sont les trois types de la résolution de la crise?

A

Positive : peut amener la personne plus loin, personne utilise des stratégies pour retourner à un état positif, montrer qu’elle est capable de gérer.
Neutre : moyen d’évitement pour ne pas affronter la crise (ex : deuil), on fait juste reporter.
Négative : ascension de tension, stratégies utilisées de manière inadéquat, résolution partielle à la négative, pas réglé la crise ce n’est que partie remise.

194
Q

Quelles sont les différentes stratégie d’adaptation? Nommez des exemples.

A

Stratégies comportementales : faire du sport, manger, alcool, faire un activité (positif ou négatif selon l’activité).
Stratégies affectives : discuter, s’exprimer, dire ce qui ne va pas (difficile à faire, difficile de demander de l’aide).
Stratégies cognitives : établir des plans d’action pour arriver à diminuer la crise, diminuer les risques que la crise reviennent.

195
Q

Comment pourrait-on décrire le stress?

A

Le stress est un problème réel qui peut
entrainer des troubles physiques, émotionnels et comportementaux.
Descripteur de stress positif
Descripteur de stress excessif