Examen fin de session Flashcards

1
Q

Qu’est ce que l’identité de genre ?

A

Fait référence au sentiment d’être un homme ou une femme.

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Q

Selon la sexoanalyse, quels sont les différences entre le processus de développement de l’identité de genre du garçon et celui de la fille?

A

2 étapes chez le garçon : Il doit se désidentifier de sa mère pour couper tout féminin en lui pour ensuite s’identifier à son père. Alors que chez la fille, c’est un processus continu sans rupture identificatoire.

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3
Q

Certains hommes qui ont une vulnérabilité dans leur identité masculine vont développer des comportements défensifs servent à consolider leur masculinité.
Nommez en 4.

A
  1. Compulsion sexuelle
  2. Homophobie
  3. Rapport de domination avec les femmes : Séduction compulsive
  4. Difficulté à vivre l’intimité
  5. Toxicomanie, autonomie excessive.
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4
Q

Définir le mot “Sexe”

A

Fait référence à la dimension biologique concernant les différences physiques entre les hommes et les femmes.

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5
Q

Quels sont les 6 niveaux du processus biologique prénatal menant à la différenciation sexuelle?

A
  1. Sexe chromosomique ou génétique
  2. Sexe gonadique
  3. Sexe hormonal
  4. Structures génitales internes
  5. Organes génitaux externes
  6. Différenciation sexuelle du cerveau
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6
Q

Définir le mot “intersexué”

A

Terme qui remplace hermaphrodite pour désigner une personne qui possède les caractéristiques biologiques des deux sexes.

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7
Q

Nommez 5 agents de socialisation qui influencent le développement des rôles sexuels.

A
  1. Parents
  2. Pairs
  3. École et manuels scolaires
  4. Télévision
  5. Religion
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8
Q

Les attentes en matière de rôles sexuels (scénarios de genre) influencent la façon dont les parents réagissent avec leurs enfants. VRAI OU FAUX

A

VRAI !!! Même si un nombre grandissant de parents tentent de ne pas inculquer à leurs enfants des stéréotypes sexuels, nombreux sont ceux qui ont de manière inconsciente des comportements éducatifs différenciés selon le sexe de l’enfant.

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9
Q

Vers qu’elle âge est-ce que la plupart des enfants ont acquis un sentiment d’appartenance à un sexe ?

A

3 ans

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10
Q

Les études longitudinales auprès des enfants intersexués ont démontré que l’identité de genre (ou sentiment d’appartenance à un sexe) est neutre au moment de la naissance et que ce sont les expériences liées à l’apprentissage social qui la définissent. VRAI OU FAUX

A

FAUX !!!Plusieurs enfants intersexués de sexe chromosomique masculin ayant été élevés en filles ont développé une identité de genre masculine malgré leur éducation. Ceci confirme que l’identité de genre est le produit à la fois de facteurs biologiques et de l’apprentissage social.

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11
Q

Définir le mot “transsexuel”

A

Personne qui s’identifie à un sexe autre que celui assigné à sa naissance.

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12
Q

La plupart des transsexuels présentent une anomalie survenue lors du processus de différenciation sexuelle prénatale, soit au niveau du sexe chromosomique, du sexe hormonal ou des organes génitaux. VRAI OU FAUX

A

FAUX

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13
Q

Plusieurs théories ont tenté de déterminer l’étiologie du transsexualisme, mais aucune preuve n’a permis de trancher la question. VRAI OU FAUX

A

VRAI

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14
Q

Les différences structurelles des hémisphères du cerveau et du corps calleux n’expliquent pas à elles-seules les différences d’habiletés cognitives entre les sexes. VRAI OU FAUX

A

VRAI. Il ne faut pas négliger les facteurs psychosociaux, notamment en ce qui a trait à la valorisation sociale de certaines habiletés en fonction du sexe.

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15
Q

VRAI OU FAUX? Au cours des dernières années, l’écart qui sépare le nombre d’hommes et le nombre de femmes qui présentent un trouble d’abus de substances a rétréci de façon importante.

A

VRAI

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16
Q

VRAI OU FAUX? Malgré le fait que les femmes consomment de plus en plus d’alcool, les hommes en consomment et en abusent de façon beaucoup plus prononcée que les femmes.

A

VRAI

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17
Q

Expliquez en quoi de manière générale, la motivation initiale à consommer des substances psychoactives est différente chez les hommes et les femmes.

A

Hommes : Euphorie, décupler énergie ou stimuler la concentration
Femmes : Auto-médicamentation pour la dépression, l’anxiété, la douleur chronique, choc post-traumatique.

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18
Q

VRAI OU FAUX? L’intervalle de temps entre l’initiation à l’usage d’alcool et le début de problèmes sérieux incluant l’admission à un programme de traitement, est plus court chez les hommes que chez les femmes.

A

FAUX

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19
Q

VRAI OU FAUX? Les femmes souffrant de dépendance démontrent une plus grande incidence d’autres troubles psychiatriques comme la dépression et le syndrome de stress post-traumatique.

A

VRAI

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20
Q

VRAI OU FAUX? Les hommes consomment davantage de stimulants que les femmes.

A

FAUX

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21
Q

VRAI OU FAUX ? Comparativement aux hommes, les femmes UDI sont beaucoup plus susceptibles d’être initiées à l’injection d’héroïne par leur partenaire sexuel.

A

VRAI

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22
Q

VRAI OU FAUX ? Les hommes développent une dépendance plus rapidement que les femmes après l’usage initial de tabac.

A

FAUX

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23
Q

VRAI OU FAUX? Les femmes qui consomment de la marijuana de manière quotidienne, ont commencé à consommer à un plus jeune âge que les hommes qui consomment aussi quotidiennement.

A

FAUX

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24
Q

VRAI OU FAUX? Les femmes ont moins tendance à entrer en traitement de désintoxication que les hommes.

A

VRAI

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25
Q

Définir ce qu’est un “stéréotype sexuel”

A

Fait référence aux comportements estimés normaux pour une personne en raison de son appartenance à un autre sexe.

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26
Q

Définir le mot “Androgyne”

A

Personne dont le comportement et la personnalité présentent des caractéristiques connotées masculines ou féminines.

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27
Q

Définir “Asexualité”

A

Absence d’attirance sexuelle pour l’un ou l’autre des deux sexes.

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28
Q

Définir “Fluidité sexuelle”

A

Variabilité dans l’investissement et l’attirance envers des personnes de son sexe et du sexe opposé à différentes périodes et situations de la vie.

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29
Q

VRAI OU FAUX : L’orientation sexuelle est déterminée génétiquement.

A

FAUX

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30
Q

VRAI OU FAUX : L’orientation sexuelle d’une personne est un élément de son identité qui se consolide à l’adolescence et demeure stable dans le temps.

A

FAUX

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31
Q

VRAI OU FAUX : Les personnes qui adhèrent aux stéréotypes sexuels traditionnels sont généralement plus homophobes que les autres.

A

VRAI

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32
Q

Identifiez 4 facteurs de risques spécifiques aux personnes homosexuelles ou bisexuelles face à la toxicomanie.

A
  1. Homophobie intériorisée
  2. Discrimination et marginalisation
  3. Plus grand isolement social
  4. Stress relié au coming-out à la famille,amis…
  5. Substances utilisés pour les relations sexuelles
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33
Q

Qu’est ce que “l’homophobie intériorisée”?

A

La haine de soi qu’une personne homosexuelle pi bisexuelle éprouve car elle a intégré la vision négative qui découle de l’homophobie encore présente dans la société.

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34
Q

Que signifie le sigle LGBTQ

A

Lesbiennes, gais, bisexuelles, transcende et questionnement

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35
Q

VRAI ou FAUX? Selon les études, l’acceptation parentale joue un rôle mineur dans l’épanouissement des personnes gais, lesbiennes ou bisexuelles.

A

FAUX

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36
Q

VRAI OU FAUX? Les études concernant les taux de prévalence à vie de l’usage de substances psychoactives chez les hommes gais ne permettent pas de conclure à une différence significative avec la population masculine hétérosexuelle ?

A

FAUX

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37
Q

VRAI OU FAUX? Les études sur la situation des personnes bisexuelles confirment que l’usage de substances psychoactives est plus important dans cette population que dans la population générale.

A

VRAI

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38
Q

Nommez un facteur de protection contre l’abus de substance présent dans la population générale qui ne s’applique pas dans le cas des membres d’une minorité sexuelle.

A

L’âge

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39
Q

Qu’est-ce qui explique le problème d’accès aux services sociaux et de santé observé pour la population LGBT ?

A

La stigmatisation

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40
Q

VRAI ou FAUX? Les études rapportent que, comparativement aux femmes hétérosexuelles, les femmes lesbiennes commencent à consommer des substances psychoactives à un plus jeune âge.

A

VRAI

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41
Q

Donnez deux caractéristiques qui distinguent la manière de consommer des HARSAH comparativement aux adultes de la population générale.

A

Ils consomment une plus grande variété de substances et ont davantage d’épisodes de consommation élevée ou excessive.

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42
Q

Les affirmations suivantes sont des caractéristiques spécifiques à la clientèle des HARSAH. Identifiez celle qui est fausse.

A.Ils consomment plus souvent dans des contextes d’activités sexuelles.

B.Ils ont une plus grande tolérance face à la consommation à risque.

C.Ils ont un profil de consommation plus complexe.

D.Ils reçoivent davantage de diagnostic de Trouble d’utilisation de substances.

E.Ils tardent à utiliser les services de réadaptation.

A

D

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43
Q

Qu’est ce que le CHEM SEX?

A

C’est un ensemble de pratiques, spécifiques à certains homosexuels masculins, qui consistent à consommer des produits psychoactifs dans le cadre de sessions sexuelles.

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44
Q

Quelles sont les phases de la réponse sexuelle définit par Kaplan?

A

Désir, excitation, orgasme

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45
Q

Quels sont les quatre motifs précis qui poussent les gens à utiliser une substance dite aphrodisiaque?

A

Activer le désir
amplifier la réponse sexuelle
augmenter la performance
le rajeunissement

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46
Q

Que fait la dopamine sur la sexualité?

A

Favorise la réponse sexuelle

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47
Q

Que fait la sérotonine sur la sexualité?

A

Inhibe la réponse sexuelle

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48
Q

Que fait la testostérone sur la sexualité?

A

C’est lié au désir sexuel chez l’homme et la femme

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49
Q

Que fait l’oestrogène sur la sexualité?

A

Lubrification féminine

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50
Q

Que fait l’ocytocine sur la sexualité?

A

Associé au sentiment amoureux

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51
Q

Sur quelle phase de la réponse sexuelle les médicaments tels que le Viagra, le Cialis et le Lévitra agissent-ils?

A

L’excitation

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52
Q

VRAI OU FAUX : Lorsqu’une femme est incapable d’obtenir un orgasme durant la pénétration il s’agit d’une dysfonction sexuelle.

A

FAUX

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53
Q

Quelle substance est le plus fréquemment impliquée dans des situations d’agressions sexuelles?

A

L’alcool

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54
Q

VRAI OU FAUX? Chez la femme, la consommation d’alcool améliore la lubrification.

A

FAUX

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55
Q

Quelle est la principale source de référence en ce qui concerne la classification des dysfonctions sexuelles (difficultés sexuelles)?

A

DSM-5

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56
Q

Nommez trois facteurs particulièrement importants à prendre en considération lors de l’évaluation des dysfonctions sexuelles (difficultés sexuelles).

A
  • Âge
  • Sexe
  • Contexte culturel
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57
Q

Lors de l’évaluation d’une difficulté sexuelle, quelles dimensions spécifiques de cette difficulté doivent être questionnées ?

A
  • Durée
  • Contexte
  • Fréquence
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58
Q

Quel était, pour Masters et Johnson ainsi que pour Kaplan, le principal facteur psychologique responsable des troubles de la réponse sexuelle.

A

L’anxiété

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59
Q

Par quel mécanisme les antidépresseurs de type ISRS, causent-ils des effets indésirables sur la fonction sexuelle ?

A

En augmentant la sérotonine

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60
Q

Quelle est la dysfonction sexuelle (difficulté sexuelle) la plus fréquente chez l’homme?

A

L’éjaculation rapide

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61
Q

VRAI ou FAUX? Le vaginisme est une difficulté sexuelle majoritairement causée par des facteurs d’ordre physiologique ?

A

FAUX

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62
Q

Quelles sont les deux principales causes de l’anorgasmie chez la femme ?

A
  • Manque de connaissance

- Apprentissage négatif

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63
Q

Quelles sont les principales causes physiologiques du trouble de l’érection ?

A
  • Alcool
  • Drogues
  • Médicaments
  • Âge
  • Obésité
  • Mauvaise santé
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64
Q

Vrai ou Faux : Il a été démontré scientifiquement que les personnes qui souffrent de compulsion sexuelle ont un taux de testostérone plus élevé que les autres.

A

FAUX

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65
Q

Vrai ou Faux. Certaines substances (drogues ou médication) peuvent induire des obsessions et des compulsions sexuelles en raison de leur effet sur la dopamine.

A

VRAI

66
Q

Vrai ou Faux. Dans la population générale, l’anxiété et la dépression vont habituellement entraîner une perte d’intérêt pour la sexualité, qui se traduit par une diminution des comportements sexuels. Chez les personnes dépendantes à la sexualité, on constate au contraire une augmentation des comportements sexuels durant les périodes d’anxiété et de dépression.

A

VRAI

67
Q

Vrai ou Faux. Les études ont démontré que la majorité des dépendants sexuels ont un style d’attachement sécurisé.

A

FAUX

68
Q

Vrai ou Faux. La majorité des compulsifs sexuels ont des comportements paraphiliques.

A

FAUX

69
Q

Quelle approche thérapeutique est la plus utilisée dans le traitement du trouble hypersexuel?

A

Cognitive-comportementale

70
Q

Quel outil, utilisé dans le traitement des dépendances, pourriez-vous utiliser auprès des personnes souffrant de trouble hypersexuel pour les aider à identifier les déclencheurs de leurs comportements sexuels compulsifs?

A

Le cycle de l’assuétude

71
Q

Identifier 3 des facteurs psychologiques ou sociaux pouvant expliquer le dévelloppement d’un trouble hypersexuel.

A
  • Les troubles d’attachement
  • les événements sexuels marquants
  • certains schémas cognitifs
  • l’intériorisation de normes sociosexuelles répressives ou rigides
  • l’homophobie
  • l’accès facile et l’exposition précoce à la pornographie sur Internet
72
Q

Quelles sont les six dimensions de l’intimité selon Brehm et ses collaborateurs (2002) ?

A
  • Les connaissances
  • Bienveillance
  • I’interdépendance
  • Réciprocité
  • Confiance
  • Engagement.
73
Q

Quel est le facteur qui distingue les différents types d’interactions sexuelles vécues en dehors du modèle conjugal, qui foisonnent ces dernières années chez les 18-25 ans ?

A

Le degré d’engagement

74
Q

Nommer les trois composantes de l’amour accompli, la forme la plus valorisante des expériences amoureuses selon Sternberg.

A
  • Intimité
  • Passion
  • Engagement
75
Q

Après avoir analysé soigneusement les histoires d’amour de centaines de couples, Sternberg conclut que ce n’est pas l’intégration des composantes qu’il a identifié qui assure le bonheur conjugal, mais plutôt …

A

Une concordance dans les attentes des partenaires et une plus grande compatibilité dans les rôles.

76
Q

Quel est le facteur sur lequel se basent les chercheurs pour distinguer les différents types d’interactions sexuelles dans le cadre de relations hétérosexuelles non amoureuses qui foisonnent ces dernières années.

A

Le degré d’engagement

77
Q

Parmi les différentes relations hookup, lesquelles sont le plus souvent favorisées par l’alcool et la fréquentation d’endroits où l’on en consomme ?

A

Les relations sexuelles avec des étrangers

78
Q

Plusieurs auteurs ont écrit sur les attitudes qui favorisent l’établissement d’une relation de couple satisfaisante. Quelles sont-elles?

A
  • Conserver une vision réaliste du couple
  • travailler sur l’estime de soi
  • maintenir des sentiments positifs
79
Q

Identifier deux comportements toxiques pour la relation amoureuse qui sont l’illustration d’un style d’attachement anxieux.

A
  • Dépendance affective

- Jalousie

80
Q

Quelles sont les variables individuelles qui rendent vulnérable à la jalousie?

A
  • La dépendance affective
  • le sentiment de ne pas convenir à l’autre
  • une faible estime de soi
  • la perception d’une valeur élevée du conjoint par rapport à la sienne
  • un désir d’exclusivité sexuelle
  • le style d’attachement.
81
Q

Quelle étape du développement de l’enfant conditionnent nos attentes, pensées, émotions et stratégies dans l’approche d’un partenaire amoureux ?

A

L’attachement

82
Q

Quelles sont les deux grandes dimensions qui sont à la base de la typologie des styles d’attachement chez l’adulte ?

A
  • L’anxiété d’abandon

- L’évitement de l’intimité

83
Q

Quelles sont les étapes de la vie de couple selon Salomé (1995)?

A
  1. Fusion
  2. Différenciation
  3. Confrontation
  4. Respect
84
Q

Soulignac et ses collaborateurs, dans l’article “Couple et abus de substances”, décrivent différents types de couples selon ce que la consommation de substances a comme fonction dans l’économie conjugale. Quelles sont les deux principales fonctions mises en lumière par les auteurs?

A

La consommation de substances est tantôt une tentative de nourrir l’espace du couple (le NOUS), tantôt une tentative de créer un espace propre (le JE).

85
Q

Vrai ou Faux? L’agression sexuelle est le crime le plus dénoncé.

A

FAUX

86
Q

Vrai ou Faux? Plus jeune est la victime au moment de l’agression sexuelle, plus forte est la probabilité que son agresseur soit un parent ou une connaissance.

A

VRAI

87
Q

Vrai ou Faux? L’ensemble des victimes d’agression sexuelle souffrent de graves difficultés émotionnelles et physiques qui les empêchent de fonctionner dans la société.

A

FAUX

88
Q

Vrai ou Faux? Parmi les personnes toxicomanes, on retrouve davantage de victimes d’abus sexuel que dans la population générale.

A

VRAI

89
Q

Expliquez un des mythes spécifiques aux agressions sexuelles envers les hommes, qui empêchent souvent ces derniers de dénoncer.

A

Mythe de l’autonomie masculine: les hommes sont forts et capables de se défendre; si j’ai été victime, je ne suis pas un homme.
Mythe de l’homosexualité: si un homme a été attiré par moi, c’est que je suis efféminé ou homosexuel.

90
Q

Quel est l’élément central de la définition de l’agression sexuelle? Autrement dit, qu’est-ce qui permet de déterminer s’il y a agression sexuelle ou non?

A

L’absence de consentement libre et éclairé. N’oubliez pas que l’âge du consentement sexuel est maintenant de 16 ans au Québec. De plus, on ne peut considérer qu’une personne intoxiquée a donné son consentement.

91
Q

Nommez 4 caractéristiques des personnes toxicomanes ayant vécu un abus sexuel, comparativement aux personnes toxicomanes qui n’ont pas été abusées.

A

Elles ont commencé à consommer à un plus jeune âge, donc consomment depuis plus longtemps, consomment une plus grande variété de substances, ont fait davantage d’overdoses, présentent plus de comorbidité (dépression, tentatives de suicide), ont plus de troubles de santé physique, ont un moins bon fonctionnement social, ont plus d’antécédents d’impulsivité, sont plus sujets à la prostitution, aux arrestations et à la violence au sein du couple, ont un niveau d’éducation et un revenu annuel inférieur et vivent plus souvent seules.

92
Q

Expliquez 2 des impacts possibles du vécu d’abus sexuel sur le processus de thérapie pour abus de substances?

A

Taux d’abandon de la thérapie plus élevé; Taux d’abstinence post-traitement plus bas; Rechutent plus rapidement après le traitement; Persistent à consommer plus d’une substance, consomment en plus grande quantité; Un an après la fin du traitement: plus de difficultés sur les plans psychologique, médical, familial, légal et de l’emploi. Le retour de symptômes lorsque la substance servait d’automédication, la plus grande méfiance qui nuit à l’alliance thérapeutique et le soutien social moindre qui peut nuire au rétablissement.

93
Q

Les victimes d’abus sexuel utilisent des stratégies d’adaptation (de coping) suite à l’événement. Quelles sont les stratégies qui semblent être néfastes à long terme?

A

Les stratégies d’évitement : Le déni, la minimisation, la fuite ou la dissociation.

94
Q

Face à une personne qui a été victime d’abus sexuel, il peut être tentant de l’inciter à dénoncer son agresseur. Nous savons toutefois que le fait de dénoncer ne garantit pas le mieux-être de la victime par la suite. Quelles sont les variables reliées à la dénonciation qui auront un impact sur le niveau d’adaptation de la victime?

A

Le choix conscient de révéler: le fait de décider pour soi-même est très important dans le processus de guérison d’une victime qui n’a pas eu de pouvoir lors de l’abus.
La réponse reçue à la révélation: le fait d’être crue et supportée par des proches fait toute la différence dans le rétablissement de la victime.

95
Q

Parmi les conséquences fréquentes des agressions sexuelles, laquelle peut affecter le développement de l’alliance thérapeutique et augmenter l’isolement social des personnes toxicomanes ayant vécu un abus sexuel.

A

La méfiance

96
Q

Quelles sont les trois infractions qui ont été jugées inconstitutionnelles par la cour suprême du Canada en 2013 dans l’arrêt Bedford?

A
  • L’interdiction de tenir une maison de débauche
  • de vivre des fruits de la prostitution (proxénétisme)
  • celle de communiquer aux fins de prostitution (sollicitations).
97
Q

Pour quelle raison ces infractions ont-elles été jugées inconstitutionnelles?

A

Il a été considéré que les 3 lois du Code criminel augmentaient les risques de préjudice auxquels sont exposées les prostituées au point où elles portaient atteinte au droit à la sécurité de leur personne. (Charte canadienne des droits et libertés).

98
Q

Quelle approche législative reflète la loi C-36?

A

Néo-Abolitionnisme

99
Q

Quel est le changement de paradigme illustré par l’adoption de la loi C-36?

A

Avant, le Canada percevait la prostitution comme une « nuisance » (abolitionnisme). Avec la loi C-36, le Canada reconnaît que la prostitution est une forme d’exploitation sexuelle (néo-abolitionnisme).

100
Q

Quel est l’objectif général de cette loi?

A

Réduire la demande de prostitution en vue de décourager quiconque de s’y livrer et d’y participer, et ultimement de l’abolir dans la plus grande mesure possible.

101
Q

Les objectifs spécifiques du projet de loi C-36 découlent des conclusions d’études qui, entre autres, ont démontré que le fait de commencer à se livrer à la prostitution et de continuer de s’y livrer est influencé par une variété de facteurs socio-économiques. Nommez ces facteurs.

A

La pauvreté, la vie de jeunesse, le manque d’éducation, l’expérience de violence sexuelle et d’autres formes de violence au cours de l’enfance et la dépendance aux drogues.

102
Q

Vrai ou Faux ? La loi C-36 interdit la vente de services sexuels

A

FAUX

103
Q

Vrai ou Faux. Les sentences prévues dans la loi C-36 pour l’achat de services sexuels sont plus sévères lorsque la victime a moins de 18 ans que lorsque la victime a plus de 18 ans.

A

VRAI

104
Q

Vrai ou Faux. Un homme qui est payé par une travailleuse du sexe pour la conduire d’un lieu de prostitution à un autre, peut être accusé d’inciter une personne à se prostituer en vertu de la loi C-36.

A

FAUX

105
Q

Vrai ou Faux. Un homme qui sollicite une prostituée sur la rue commet une infraction en vertu de la loi C-36.

A

VRAI

106
Q

Vrai ou Faux. Un homme dont le conjoint est travailleur du sexe peut être accusé de vivre des produits de la prostitution en vertu de la loi C-36.

A

FAUX

107
Q

Vrai ou Faux. Une revue spécialisée qui publie l’annonce d’un homme qui offre des massages érotiques commet une infraction en vertu de la loi C-36

A

VRAI

108
Q

Vrai ou Faux. La masturbation lors d’un massage intégral n’est pas considéré comme une infraction selon la loi C-36.

A

FAUX

109
Q

Vrai ou Faux. Un homme qui reçoit de l’argent en échange de services sexuels commet une infraction en vertu de la loi C-36.

A

FAUX

110
Q

Vrai ou Faux. Une femme qui offre ses services sexuels à un homme près d’un terrain de jeux commet une infraction en vertu de la loi C-36.

A

VRAI

111
Q

Vrai ou Faux. Des femmes qui se regroupent pour exercer la prostitution dans un appartement peuvent être accusées de tenir une maison de débauche en vertu de la loi C-36.

A

FAUX

112
Q

Quels sont les trois types de trajectoires qui ressortent de l’étude de Bertrand et Nadeau?

A

Se prostituer pour consommer, consommer pour se prostituer et la prostitution comme accident de parcours.

113
Q

Vrai ou faux. La majorité des femmes toxicomanes se prostitue.

A

FAUX

114
Q

Comparativement aux femmes toxicomanes, les femmes toxicomanes qui se prostituent …

A
  • Présentent plus de risque d’avoir été incarcéré
  • Sont plus nombreuses à s’avoir injecté de l’héroïne ou de la cocaïne
  • Ont plus de difficultés à avoir accès aux services pour leur abus de substances
  • Elles sont moins âgées
  • Concernant l’alcool, il n’y a pas de différences
115
Q

Parmi les femmes qui se prostituent, celles qui sont toxicomanes …

A
  • Se prostitues moins souvent en agence d’escorte que dans la rue.
116
Q

Vrai ou Faux? Dans le cas des femmes qui consomment pour se prostituer, un arrêt de consommation permet souvent un arrêt de la prostitution?

A

FAUX

117
Q

Vrai ou Faux? Dans le cas des femmes qui sont en traitement pour leur toxicomanie et qui se prostituaient pour consommer, une rechute signifie souvent le retour à la prostitution.

A

VRAI

118
Q

Les femmes qui se prostituent vont rarement vers les ressources d’aide. Quels contextes les conduisent le plus souvent à demander de l’aide?

A

Un état de crise accidentel qui amène un contact avec une salle d’urgence ou le système de justice.

119
Q

Vrai ou Faux? Contrairement aux femmes, la majorité des hommes qui se prostituent n’ont pas de proxénètes.

A

VRAI

120
Q

Vrai ou Faux? Comparativement aux femmes, les hommes qui se prostituent vivent peu de violence dans le cadre de leur travail.

A

FAUX

121
Q

Quelle problématique sexuelle spécifique, qu’on ne retrouve pas chez les femmes, peut conduire un jeune homme vers la prostitution?

A

Homophobie intériorisée

122
Q

Énumérez les 8 populations qui sont particulièrement touchées par lʼune ou lʼautre des ITSS (groupes plus à risque).

A

Les jeunes de 15 à 24 ans, les jeunes en difficultés, les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH), les utilisateurs de drogues injectables (UDI), les Autochtones, les personnes originaires de régions où le VIH est endémique, les personnes incarcérées et les travailleuses et travailleurs du sexe.

123
Q

Parmi quel groupe retrouve-t-on le plus de personnes infectées par une ITSS?

A

Les jeunes de 15 à 24 ans

124
Q

Parmi l’ensemble des ITSS, (déclaration obligatoire ou non) quelles sont les deux plus fréquentes dans la population générale?

A
  • Herpès

- Virus du Papillome humain

125
Q

Quelle est l’ITSS à déclaration obligatoire la plus répandue au Québec?

A

Chlamydia

126
Q

Malgré que le discours préventif soit bien intégré au plan cognitif et rationnel chez les jeunes québécois, ceux si ne semblent pas capable de l’incorporer dans l’exercice de leur sexualité. Quels enjeux peuvent expliquer ce phénomène?

A
  • Affectifs

- Interractionnels

127
Q

Vrai ou Faux? Les antibiotiques pour traiter la gonorrhée, la chlamydiose et la syphilis sont disponibles gratuitement.

A

VRAI

128
Q

uelle est l’ITSS dont le mode de transmission est principalement lʼutilisation de drogues par injection?

A

Hépatite C

129
Q

Parmi quel groupe à risque retrouve-t-on le pourcentage le plus élevé de nouveaux diagnostics d’infection par le VIH?

A

HARSAH—homosexuels—hommes homosexuels—hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes—gais

130
Q

Vrai ou Faux? Il existe un traitement pour guérir l’herpès.

A

FAUX

131
Q

Vrai ou Faux? Selon les estimations, la transmission du VIH se fait majoritairement par le partage de seringues contaminées.

A

FAUX

132
Q

Dans le but de lutter contre la propagation des ITSS, le MSSS du Québec a adopté une approche de réduction des méfaits auprès des UDI. Nommer les services qui leurs sont offerts ?

A

Fourniture de matériel de consommation (seringues stériles, stericups, ampoules d’eau, pipes destinées à la consommation de crack).
Traitement de substitution pour la dépendance aux opioïdes (méthadone, buprénorphine).
Information, éducation et communication sur la consommation sécuritaire et référence des usagers de drogues vers des soins médicaux et des services sociaux.
Travail de proximité et d’autosupport, par et pour les usagers.
Services d’injection supervisée (SIS).

133
Q

Qu’est-ce qui, au cours des dix dernières années, a entraîné la banalisation des ITSS, la diminution de la prévention sur le terrain et par la même occasion, la recrudescence de ces infections?

A

L’avènement des médications (trithérapies) permettant de diminuer les symptômes du VIH ce qui a entraîner une certaine banalisation des ITSS.

134
Q

Maladie que l’on croyait éradiquée mais qui connait une explosion depuis 10 ans. Elle touche surtout les hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH).

A

Syphilis

135
Q

Infection bactérienne qui donne des symptômes inflammatoires et qui touche particulièrement les hommes.

A

Gonorrhé

136
Q

Quelles sont les deux ITSS pour lesquelles il existe un vaccin?

A

VPH et Hépatite B

137
Q

ITSS qui affaiblit le système immunitaire, ce qui favorise le développement d’infections opportunistes (pneumonie, tuberculose, etc.).

A

VPH

138
Q

Chaque année, près de 25% des utilisateurs de drogues injectables (UDI) sont infectés par cette ITSS.

A

Hépatite C

139
Q

Vrai ou Faux ? La consommation d’alcool avant les relations sexuelles est la principale cause des relations sexuelles non protégées ?

A

FAUX

140
Q

Vrai ou Faux? Le traitement d’un trouble lié aux substances s’accompagne d’une diminution des pratiques sexuelles non sécuritaires.

A

VRAI

141
Q

Vrai ou Faux? La transmission du VIH de l’homme à la femme est plus élevée que l’inverse.

A

VRAI

142
Q

L’étude de Nadeau, Truchon et Biron, a démontré que la prise de risque des personnes toxicomanes peut être expliquée par l’interaction de quatre obstacles à des comportements préventifs. Parmi les choix suivants identifiez celui qui n’en est pas un.

A

Manque de connaissance sur les modes de transmissions

143
Q

Les croyances qui diminuent le sentiment d’efficacité personnelle constituent un obstacle à l’adoption de comportements sécuritaires. Les auteurs ont mis en lumière que ces croyances sont spécifiques à chaque sexe étant donné le contexte personnel et socioculturel qui leur est propre. Qu’est-ce qui diminue le sentiment d’efficacité personnel chez les femmes?

A

La peur de perdre leur partenaire

144
Q

Qu’est-ce qui diminue le sentiment d’efficacité personnel chez les hommes?

A

La peur de ne pas avoir d’érection

145
Q

Vrai ou Faux? Le stress lié au fait de passer un test de dépistage du VIH favorise la prise de conscience du risque et l’adoption de comportements sécuritaires.

A

FAUX

146
Q

Au Québec, à partir de quel âge la loi reconnait à une personne la capacité de consentir à avoir des relations sexuelles.

A

16 ans

147
Q

Quel est le facteur clé qui permet de définir ce qu’est une agression sexuelle

A

Absence de consentement éclairé

148
Q

VRAI OU FAUX : 14 et 15 ans: Capacité de consentir à une activité sexuelle avec un partenaire qui n’a pas plus de cinq ans qu’eux.

A

VRAI

149
Q

VRAI OU FAUX : 12 et 13 ans: Capacité de consentir à une activité sexuelle avec un autre jeune de moins de deux ans leur aîné.

A

VRAI

150
Q

VRAI OU FAUX : L’âge légal du consentement à la prostitution est de 18 ans.

A

VRAI

151
Q

VRAI OU FAUX : L’âge légal du consentement pour les relations sexuelles avec des personnes en situation d’autorité ou de confiance est de 18 ans.

A

VRAI

152
Q

Quels sont les deux facteurs que l’on retrouve spécifiquement chez les agresseurs sexuels et qui permettent d’expliquer l’agression sexuelle ?

A
  • Intérêt sexuel déviant

- Distorsions cognitives

153
Q

Vrai ou Faux? La majorité des agresseurs sexuels ont été abusés sexuellement durant leur enfance.

A

FAUX

154
Q

La majorité des agresseurs sexuels judiciarisés vont récidiver (commettent une autre agression sexuelle) un jour ou l’autre.

A

FAUX

155
Q

Vrai ou Faux? La toxicomanie est un facteur de risque de récidive chez les agresseurs sexuels.

A

VRAI

156
Q

VRAI OU FAUX : Les fausses allégations d’abus sexuel provenant des enfants constituent un fléau de plus en plus fréquent dans notre société, particulièrement en cas de divorce.

A

FAUX

157
Q

VRAI OU FAUX : Les agressions sexuelles sont des gestes impulsifs provoqués par des pulsions sexuelles incontrôlables.

A

FAUX

158
Q

VRAI OU FAUX La majorité des agresseurs d’enfants n’utilisent ni les menaces, ni la coercition physique pour arriver à leur fin.

A

VRAI

159
Q

Quelle est la substance la plus fréquemment impliquée dans des situations d’agressions sexuelles.

A

Alcool

160
Q

Expliquez pourquoi la stigmatisation envers les agresseurs sexuels peut augmenter leur risque de récidive ?

A

La stigmatisation augmente leur isolement, diminue leur réseau social et augmente leurs émotions négatives.

161
Q

Les études réalisées auprès des personnes incarcérées pour un délit sexuel ont permis de dégager le profil des agresseurs sexuels. Parmi les affirmations suivantes, identifiez l’affirmation qui est fausse.

A

La majorité à agressé des jeunes de 13 à 17 ans.

162
Q

Des études ont permis de démontrer que parmi adolescents ayant commis des actes délinquants, ceux qui ont commis des agressions sexuelles ont des caractéristiques spécifiques. Parmi les affirmations suivantes, laquelle n’est pas une caractéristique qui distingue les adolescents agresseurs sexuels.

A

Ils ont plus souvent grandi dans un milieu familial dysfonctionnel