examen fin de session Flashcards

1
Q

vrai ou faux ; il y a une dichotomie dans la conceptualisation de l’orgamse?

A

vrai : notion du désir

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Q

définition de l’orgamse de la femme (2004)

A

“un pic de plaisir intense et transitoire, associé à un état de conscience altérée, typiquement accompagné de contractions involontaires et rythmées de la musculature striée pelvipérinéale, ainsi que de contractions utérines et anales, combiné à une myotonie induite par l’état de vasocongestion des organes génitaux, le tout typiquement associé à une sensation de bien-être et de satisfaction ” Meston

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3
Q

définition de l’orgasme masculin (2004)

A

« le traitement cérébral de la stimulation sensorielle issue du nerf pudendal provoquée par une pression accrue sur l’urètre postérieur, mais aussi de la stimulation sensorielle du colliculus séminal ainsi que des contractions combinées du bulbe urétral et des glandes sexuelles accessoires » McMahon

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4
Q

quelle est la définition de l’orgasme de Wagner et al. (1977)

A

Descriptions qualitatives de l’orgasme “identiques” entre des hommes et des femmes

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5
Q

différence entre l’orgasme clitoridien vs. L’orgasme vaginal

A

c’est toute la structure clitoro-urétro-vaginale qui s’engorge et qui est stimulée donc difficile de dire ca vient de ou l’orgasme (impossible d’identifier)

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6
Q

Les personnes blessées médullaires (paraplégie, tétraplégie) peuvent ils avoir des orgasmes en dépit de leurs lésions neurologiques complètes?

A

oui –> autre passage neurologique permet d’atteindre l’orgasme.

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7
Q

Definition théorico-empiriques de l’orgamse : McMahon et al., 2004 & Meston et al. (2004)

A

définitions différentes selon les sexes mais manque de distinction entre l’orgasme et l’excitation sexuelle intense

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8
Q

Les résultats des études de neuro-imagerie de l’orgasme sont..

A

contradictoires

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9
Q

quelles sont des exemples en lien avec l’orgasme pour les composantes :
bio
sexuel
perceptuel
affective

A

Bio = Une réaction corporelle
Sexuelle : Une notion de plaisir
Perceptuel = Sensation de lâcher prise / relâchement
Affective = État de plénitude / feu d’artifice / connection a l’autre

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10
Q

Lorsqu’une personne se présente avec des difficultés orgasmiques nous devons étudier (6 composantes)

A
  • Composante neuro-physiologique
  • Composante endocrinienne
  • Composante cardio-vasculaire
  • Composante perceptuelle
  • Composante cognitive-affective
  • Composante relationnelle
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11
Q

Pourquoi faut-il s’intérresser a la composante cardio-vasculaire lors de difficulté orgasmique?

A

Cardio-vasculaire —> les personnes ayant eu un infarctus craignent parfois d’avoir un orgasme par peur de déclencher un autre infarctus et le système cardio-vasculaire est responsable de la réponse sexuelle ce qui peut avoir un impact sur l’orgasme

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12
Q

Pourquoi faut-il s’intérresser a la composante perceptuelle lors de difficulté orgasmique?

A

perceptuelle = comment je percoit l’orgasme et la sexualité
Travailler le focus attentionnel, l’érotisme, comment je percoit l’orgasme

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13
Q

quelle sont les 3 questionnaires utiles lors de troubles de l’orgasme?

A

ORS (expérience subjective)
BSO (réponse physiologique)
FSDS-DAO (frustration)

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14
Q

quelles sont les implications nécessaire pour l’éjaculation féminine?

A

tonicité du plancher pelvien, intensité des orgasmes, aisance à vivre des orgasmes.

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15
Q

y a-t-il un consensus sur ce qu’est l’éjaculation féminine?

A

non

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16
Q

quelles sont les connaissances actuels sur l’orgasme multiple?

A

se produit majoritairement en couple, étudier majoritairement auprès des femmes, en moyenne 3 orgasmes

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17
Q

Que dit la littérature sur la simulation de l’orgasme (faker de venir) ?

A

Expension de la littérature depuis 2012, majoritairement étudier auprès des femmes, 55% des femmes aurait simuler l’orgasme au moins une fois

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18
Q

Quelles sont les trois profils de motivation a simuler l’orgasme?

A
  1. Dynamique interne de la personne (La personne personnes s’aperçois qu’elle “n’atteindra pas” l’orgasme : feindre l’orgasme permet d’éviter les affects inconfortables associés avec cette expérience )
  2. Facteurs situationnels (La personne est fatiguée, s’ennuie, veut mettre un terme à l’interaction sexuelle en cours : feindre permet de raccourcir l’interaction sexuelle)
  3. Facteurs interpersonnels (la feinte de l’orgasme est associée à l’importance que la personne attribue à la perception qu’à son partenaire de son plaisir :feinte vise à protéger la dynamique relationnelle)
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19
Q

quelques facts sur le trouble de l’orgasme chez la femme

A
  • Il s’agit du 2ième motif de consultation le plus fréquent
  • Prévalence : 11 à 41%
  • Seulement la moitié des personnes ayant des difficultés orgasmiques rapportent de la détresse (donc cote pas pour diagnostique)
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20
Q

les 3 profils de la clientèle qui consulte pour trouble de l’orgasme

A
  1. “High somatic/high psychological” : + haut niveau de détresse et attributions internes (juge que c’est de sa faute)
  2. “Partner-related reasons” : + bas niveau de détresse et attributions externes (mon partenaire me stimule mal)
  3. Moderate psychological/low somatic” : bas niveau de détresse, + bas niveau de désir (je m’en fou un peu)
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21
Q

quel est le critères diagnostiques A du trouble de l’orgasme chez la femme

A

Retard marqué pour parvenir à l’obtention de l’orgasme ou diminution marquée de la fréquence ou absence d’orgasme.

ET/OU

Diminution marquée dans l’intensité des sensations orgasmiques.

75% du temps

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22
Q

Causes pharmacologiques du trouble de l’orgasme

A

LES TRAITEMENT PAR ANTIDÉPRESSEURS DE TYPE ISRS –> le ISRS inhibe la recapture de sérotonine

sérotonine = inhibition des réflexe sexuelle —> donc ça prend plus de temps pour stimuler et retarde l’orgasme

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23
Q

pistes d’intervention pour le trouble de l’orgasme (6)

A
  1. éducation sexuelle
  2. consolider la régulation affective
  3. exploration de la dynamique de couple
  4. sensibilisation corporelle
  5. la masturbation dirigée
  6. Thérapie TCC basée sur la présence attentive
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24
Q

en éducation sexuelle en intervention ont aborde quoi?

A

les attentes sexuels (ex. : latence orgasmique) et assouplir les croyances (ex.: synchronicité des orgasmes, etc.), et

Modalité thérapeutique: psychoéducation sur l’anatomo- neurophysiologie de la réponse sexuelle, la responsabilité du plaisir de l’autre, bibliothérapie, OMG YES, etc.

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25
Q

en relationnel clinique, qu’est-ce quon peut faire comme intervention pour consolider la régulation affective?

A

diminuer l’anxiété de performance

Modalité thérapeutique: intégrer les notions de présence attentive, de défusion cognitive, les stratégies DBT, etc.

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26
Q

en intervention qu’est-ce qu’il faut explorer en lien avec la dynamique du couple?

A

comprendre la fonction du symptôme au sein du couple, évaluer la capacité de résilience du couple (résolution de conflits, etc.), préparer la mise en place d’exercices (ex.: sensate focus, masturbation dirigée), s’informer pour savoir pourquoi une personne vient avec ou sans son partenaire

27
Q

que signifie la sensibilisation corporelle et quel modalité thérapeutique peut etre utiliser?

A

favoriser une (ré)intégration du corps (corporéité), la (re)découverte du plaisir

Modalité thérapeutique: sensate focus, activités de présence attentive, travail de respiration diaphragmatique, etc.

28
Q

en quoi consiste la masturbation dirigé?

A

Favoriser le plaisir et la connaissance de son corps.
Approche basée sur le principe de désensibilisation systématique.
(souvent associé avec un manque de familiarité du corps et un manque d’aisance a toucher le corps)

29
Q

est-ce que la masturbation dirigée est efficace?

A

oui : 60 à 90% des femmes deviennent orgasmique via la masturbation et 33 à 85 % avec partenaire

30
Q

quels sont les trois éléments communs au conceptualisation de l’éjculation prématurée?

A
  1. Courte latence d’éjaculation
  2. Faible perception d’efficacité personnelle ou de contrôle sur le moment de l’éjaculation
  3. Détresse et difficultés interpersonnelles associées à l’éjaculation précoce
31
Q

Quel est la moyenne de la latence d’éjaculation dans la population ?

A

2 minutes à 10 minutes

32
Q

est-ce que le MBCT ou le TCC est supérieur (plus efficace) en intervention?

A

MBCT : car on travaille avec la personne pour quelle accepte la douleur / accueillir les pensées négative tandis que le TCC permet de changer la pensée.

La MBCT est plus efficace mais nécessite un accompagnement pour aide rla personne a acceuillir ls affects négatif et les tolérer.

33
Q

L’éjaculation prématurée est divisé en deux type :

A

EP Objective: critères dx DSM-V & ICD-11
EP Subjective : IL NE S’AGIT PAS D’UNE DS mais de la perception de la personne

34
Q

est-ce que la latence éjaculatoire est controverse?

A

oui, le CIM ne l’utilise pas comme critère diagnostique

35
Q

Qu’est-ce qui affecte le controle éjaculatoire?

A
  • L’âge de la personne (augmente avec l’âge)
  • La durée relationnelle ( + capable de retarder avec partenaire de longue durée)
  • Le temps écoulé depuis la dernière activité/relation sexuelle ( + difficile de contrôler l’éjaculation si cela fait longtemps)
36
Q

critère diagnostique A de l’éjaculation prématurée

A

Trouble de l’éjaculation persistant ou répété survenant pendant le rapport sexuel avec une [ou un] partenaire, approximativement dans la minute suivant la pénétration vaginale, et avant que la personne ne souhaite éjaculer

37
Q

questionnaire utile pour l’éjaculation prématurée

A

IIEF

38
Q

Que faut-il évaluer en lien avec l’éjaculation prématurée?

A
  • ÉVALUER LE DEGRÉ DE CONTRÔLE
    (Quel est votre degré de contrôle sur l’éjaculation? Est-ce que ce degré de contrôle varie selon les contextes/circonstances ?)
  • ÉVALUER LA LATENCE ÉJACULATOIRE
    (Combien de temps environ dure votre érection avant l’éjaculation? Évaluer la fonction érectile.)
  • ÉVALUER LE RÉPERTOIRE SEXUEL, LA SENSIBILITÉ (Quels sont les types de stimulation qui déclenchent votre ejaculation? )
  • ÉVALUER LA COMORBIDITÉ SEXUELLE (érection, orgasme, plaisir)
    (Comment ça se passe sur le plan érectile? Quelle est la qualité de vos érections? )
39
Q

facteurs biologique de l’éjaculation prématurée

A
  • Rôle de la sérotonine et de l’ocytocine (Sérotonine = ralentie / inhibe les reflexe sexuelle)
  • Hyperthyroïdie (La thyroïde vient débalancer les réflexes sexuels)
  • Trouble prostatique (grosse prostate = peut causer éjaculation plus rapide car plus de sensibilité)
  • Sensibilité pénienne (plus de stimulation donc éjaculation précoce)
40
Q

Selon la conceptualisation psychodynamique de l’ÉP, elle serait la manifestation de…

A

d’émotions hostiles inconscientes vers la femme ou d’un trouble psychosomatique

L’ANXIÉTÉ est au coeur de la conceptualisation psychodynamique

41
Q

Selon la conceptualisation cognitivo-comportementale de l’ÉP, elle serait la manifestation de…

A

d’apprentissages précoces (première expérience présser) ou d’un manque de conscience sensorielle sexuelle (s’excite facilement)

42
Q

traitement de l’éjaculation prématurée par des antidépresseurs de type ISRS

A
  • remède miracle (simple et rien a faire)
  • Effets visibles après 1 à 3 semaines.
  • désavantage : baisse du désir, et effets secondaire de la médication
43
Q

les deux modalité thérapeutiques pour favoriser le controle éjaculatoire

A

Modalité thérapeutique #1 : la pression pénienne (Squeeze technique) de Masters & Johnson (1970)

Modalité thérapeutique #2 : technique départ-arrêt (start-stop technique) de Semans (1956)

44
Q

critère diagnostique A de l’éjaculation retardée

A
  • Retard marqué à l’éjaculation
    ET/OU
  • Absence ou diminution marquée de la fréquence de l’éjaculation

éprouvés 75-100 % durant l’activité sexuelle avec un[.e] partenaire et sans que le sujet ne souhaite retarder l’éjaculation

45
Q

quoi évaluer en lien avec l’éjaculation retardée?

A
  1. les habitudes masturbatoires (fréquence, type de stimulation, différences entre seule et avec partenaire, temps pour atteindre l’orgasme)
  2. la latence éjaculatoire / le controle (combien de temps dure l’érection, après combien de temps tu trouves que cest trop long, quel contexte améliore la latence)
46
Q

facteurs pharmacologique de l’éjaculation retardée

A

prise d’antidépresseur –> baisse du désir donc éjaculation retardée

47
Q

facteurs biologique de l’éjaculation retardée

A
  • niveau de testostérone faible
  • hypothyroidie (plus grande latence)
  • baisse de la sensibilité pénienne (causer par blessure de la moelle épinière, masturbation excessive qui cause une diminution de la sensibilité, l’âge qui diminue la sensibilité)
48
Q

étiologie psycho-sexologique de l’éjaculation retardée : la masturbation

A
  • disparité entre la sexualité seule et dyadique (excitation insuffisante avec partenaire)
  • haute fréquence masturbatoire (période réfractaire)
  • Idiosyncratic masturbatory style» (style masturbatoire difficile a recréer avec partanire)
49
Q

définition vulvodynie

A

Terme général désignant la douleur vulvaire chronique et inexpliquée, avec des symptômes de brûlure, de démangeaisons

50
Q

définition Dyspareunie profonde

A

douleur inexpliqué plus loin dans le vagin, utérus,

51
Q

prévalence douleur génito-pelvienne (DGP)

A

10-30% des femmes adultes
très stigmatiser par les médecins
plusieurs diagnostique adéquate et frustration chez les femmes atteinte

52
Q

pourquoi les femmes atteinte de DGP sont frustré

A

o 40% percevaient être stigmatisées par leur médecin
- Un manque de soutien pourrait donc contribuer aux sentiments d’isolement et d’invalidation qui seraient souvent vécus par ces femmes.
o Besoin d’écoute et sentiment de frustration causé par la trajectoire complexe et longue du traitement.

53
Q

vaginisme

A

vagin bloqué par des spasme musculaire involontaire qui ferme l’entrée du vagin donc cause douleur –> pas capable d’avoir de pénétration

54
Q

dysparunie

A

plancher pelvien très musclé qui cause certaines douleurs lors de pénétration  mal pendant la pénétration

55
Q

critère diagnostic A de la douleur génito pelvienne

A

Difficultés persistentes ou récurrentes avec un ou plusieurs des critères suivants :
1. Pénétration vaginale pendant la relation sexuelle.
2. Douleur vulvo-vaginale ou pelvienne marquée pendant la relation sexuelle ou lors des tentatives de pénétration
3. Peur ou anxiété marquée d’une douleur vulvo-vaginale ou pelvienne par anticipation, pendant ou resultant de la pénétration vaginale
4. Tension ou crispation marquée de la musculature du plancher pelvien au cours des tentatives de pénétration vaginale

56
Q

que faut-il questionner en lien avec la douleur (aspect biomédicale)

A

o Historique d’ITSS, vaginites à répétition, prise de contraceptif hormonal, grossesse/accouchement, miction, etc.
 ITSS = inflammation, vaginose = champignon, vaginite = inflammation et douleur, contraceptif peut diminuer sensibilité de la vulve

57
Q

évaluation gynécologique de la douleur

A
  • Test de sensibilité vulvaire :
  • Test du coton-tige → pression sur différentes aires de la vulve et du vestibule
  • Culture vaginale pour éliminer de possibles infections
  • Tester 3 modalité sensorielle : toucher léger, pression et vibration
58
Q

les deux distortions cognitive dune personne vec douleur génito-pelvienne

A

 Catastrophisation : mécanisme de défense / distorsion cognitive qui nous amène à envisager le pire de chaque situation
 Si la personne est en hypervigilance = amygdale en feu, cortex préfrontal activer —> donc pas dans le moment présent et pas connecter aux sensations qui peuvent être agréable (impossible d’élargir le répertoire de sensation) et donc plus concentré sur la douleur

59
Q

Deux profils de la régulation affective en contexte de DGP avec partenaire

A
  1. Profil sollicitant = bienveillante, défensive, va essayer d’être vigilent des signaux de douleur de l’autre
  2. Profil soutenant : à l’écoute de l’autre mais moins vigilent pour demander si c’est correcte ce qu’il fait à son partenaire (moins alerte) meilleure régulation affective, plus dans le moment présent
60
Q

traitement DGP

A
  • médicament ou crème topic
  • anti-dépresseur / anti-inflamatoire
  • physiothérapie périnéle
  • Vestibulectomie
61
Q

lecture basson

A

the relationship between depression and sexual dysfontion. It highlights the shared underlying psychological vulnerability that can lead to sexual dysfunctions, depression, and anxiety disorders.
The document also highlights the importance of psychological therapies, such as cognitive behavioral therapy (CBT) and mindfulness-based cognitive therapy (MBCT), in addressing women’s sexual dysfunctions associated with depression and anxiety disorders.

62
Q

texte douleur génito-pelvienne femme en couple

A

ce document met en lumière l’importance des facteurs interpersonnels dans la compréhension des dysfonctionnements sexuels chez les femmes, en particulier dans le contexte de la douleur pelvienne. Il propose un modèle de régulation émotionnelle interpersonnelle qui met en évidence les interactions complexes entre les facteurs distaux et proximaux, offrant ainsi des pistes pour une compréhension plus approfondie et des interventions plus efficaces dans ce domaine.

Le modèle suggère que les difficultés de régulation émotionnelle des couples, telles que la suppression émotionnelle ou l’évitement, sont associées à une plus grande douleur et à une moins bonne adaptation, tandis que des stratégies plus adaptatives, comme la réévaluation émotionnelle, sont liées à un meilleur ajustement.

63
Q
A