Examen du 13 décembre 2016 Flashcards

1
Q

La loi C-89, adoptée en 1988, introduit le mot « victime » au C. Cr. Il existe six objectifs concrets derrière l’introduction de ce mot dans le Code. Nommez-en trois.

A

1) Favoriser le dédommagement / l’indemnisation des victimes.
2) Introduire la suramende compensatoire.
3) Introduire la déclaration de la victime.
4) Limiter les déplacements des victimes.
5) Favoriser le retour rapide des biens à leur propriétaire.
6) Accroître la protection de la vie privée des victimes.

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2
Q

Quels sont les trois droits (vrais et inaliénables) de la victime?

A

1) Droit de porter plainte.
2) Droit de protéger sa personne (légitime défense).
3) Droit de défendre ses biens et sa demeure.

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3
Q

Quels sont les trois devoirs de la victime?

A

1) Se présenter devant la Cour si elle y est convoquée.
2) Répondre aux questions qu’on lui pose (sinon, elle est vue comme un témoin hostile).
3) Dire la vérité devant le tribunal (sinon, on l’accuse de parjure).

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4
Q

Il existe six façons de faciliter les témoignages des victimes. Nommez-en trois.

A

1) Créer des espaces spécifiques.
2) Créer des accueils spécifiques.
3) Éviter les assignations inutiles.
4) Prêter attention aux témoins vulnérables.
5) Protéger les témoins.
6) Indemniser les témoins.

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5
Q

Qu’est-ce que le BOFVAC? (Année de création, personne qui le préside, à quoi il sert, etc.)

A

Créé en 2007 et actuellement présidé par Sue O’Sullivan, le BOFVAC est le Bureau de l’Ombudsman Fédéral des Victimes d’Actes Criminels. On peut comparer l’Ombudsman au Défenseur des Droits de certains pays, puisque celui-ci s’assure que les droits des personnes qu’il représente soient respectés. Indépendant des deux ministères au Canada, le BOFVAC a le pouvoir de prendre les suggestions des victimes et de les transmettre à qui de droit.

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6
Q

Quelle a été la réaction des professionnels face à la publication, en 2015, de la Charte Canadienne des Droits des Victimes (CCDV)?

A

Ce fut une énorme déception! La CCDV ne fait que reprendre des textes et des mesures qui existent déjà et, en plus, elle ne donne pas de nouveaux droits garantis aux victimes ; ceux-ci demeurent des égards et, derechef, la victime d’acte criminelle reste soumise au pouvoir discrétionnaire des différents acteurs du système de justice.

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7
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : La plainte.

A

Droit d’être accueillie, écoutée et crue.

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8
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : L’enquête policière.

A

La victime est généralement bien traitée par les policiers.

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9
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : La dénonciation.

A

Devoir de collaborer et droit à l’information (pas de droits au sens juridique).

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10
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : La comparution.

A

La présence de la victime est facultative (non-requise).

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11
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : L’enquête sur la remise en liberté / le cautionnement.

A

La victime n’a pas de droits, sauf celui d’être protégé. Elle peut, dans certains cas, exprimer ses volontés.

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12
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : La négociation de plaidoyer.

A

Elle peut en être informée, mais pas toujours.

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13
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : L’enquête préliminaire.

A

La victime obtient sa première place officielle : le témoin!

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14
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : Le procès.

A

1) Les mesures concernant la propriété des biens (une preuve photographique / de valeurs d’un bien / de droit de propriété suffit).
2) Les mesures pour faciliter le témoignage (faire sortir le public, huis-clos, interdiction de communication).
3) La protection du jeune témoin (14 ans et moins présumé habile à témoigner, mais possibilité de faire une évaluation psychiatrique).
4) Les exceptions aux règles de présentation de la preuve (témoignage hors-salle, sur vidéo, présence d’une personne de confiance).
5) Le contre-interrogatoire (si l’accusé assume sa propre défense, il peut ne pas être autorisé de contre-interroger la victime).
6) Les règles spécifiques applicables dans certaines situations (accès au dossier médical, usage du passé sexuel de la victime).

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15
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : Le prononcé de la peine

A

RENVERSEMENT DE SITUATION : on veut connaître l’état exact de la victime, en détails, pour pouvoir déterminer la meilleure peine à donner. La victime parle au « je » (phénoménologique). Introduction de la déclaration de la victime.

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16
Q

DROITS DES VICTIMES DANS LES GRANDES ÉTAPES DU PROCÈS (la place qu’on leur donne) : La sanction.

A

1) Suramende compensatoire : 30% de l’amende existante, 100$ si IPDCPS et 200$ si IPVMA).
2) Ordonnance de dédommagement : L’accusé donne de l’argent à la victime.

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17
Q

Quelle est la différence entre la responsabilité contractuelle et la responsabilité extracontractuelle?

A

La responsabilité contractuelle relève d’un contrat que l’individu s’impose en toute connaissance de cause tandis que la responsabilité extracontractuelle relève d’une action ou d’une omission.

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18
Q

Quelle est la différence entre la responsabilité civile et la responsabilité pénale?

A

La responsabilité civile découle des lois qui proscrivent certains comportements et qui s’imposent automatiquement à l’individu, ce qui fait qu’on ne regarde pas le caractère volontaire de l’acte, tandis que la responsabilité pénale se base essentiellement sur le caractère volontaire de l’acte qui influe sur la gravité de celui-ci.

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19
Q

Pourquoi le droit civil ne tient-il pas compte de l’intention dolosive (coupable)?

A

Car le caractère volontaire de l’acte est toujours pris en compte en tant que facteur aggravant et qu’il est possible de s’assurer pour les actes involontaires.

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20
Q

En droit civil, quel est l’âge du discernement?

A

7 ans.

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21
Q

En droit civil, quel est l’âge de la responsabilité pénale?

A

12 ans.

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22
Q

Quelles sont les quatre conditions pour engager la responsabilité civile de quelqu’un?

A

1) La capacité de discernement de l’auteur.
2) L’exigence d’une faute.
3) L’exigence d’un préjudice.
4) Lien de causalité entre la faute et le préjudice.

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23
Q

Que doit-on vérifier pour mesurer la gravité du préjudice?

A

1) Le préjudice est directement causé par la faute.
2) Le préjudice est certain.
3) Le préjudice est légitime.
4) Le préjudice est cessible à ses héritiers.

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24
Q

Quels sont les problèmes liés à la méthode de calcul de l’indemnisation?

A

1) Calculer l’incalculable (solatium doloris : douleur résultant du deuil).
2) Délais de prescription pour envoyer les procédures (3 ans pour dommages matériels et décès de la victime, 10 ans pour dommages physiques, 30 ans pour ACS et violence conjugale).

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25
Q

Nommez les deux défauts du système civil.

A

1) Entre en conflit avec les autres régimes d’indemnisation.

2) Coûts de la procédure et enjeux propres à la preuve.

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26
Q

Quelle clientèle est visée par la LSJPA?

A

Jeunes de 12 à 18 ans.

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27
Q

VRAI ou FAUX : l’accusé est au centre de la loi et des considérations de la LSJPA.

A

Faux. C’est la victime qui l’est!

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28
Q

Quelles sont les trois sanctions extrajudiciaires?

A

1) Mesure envers la victime.
2) Travaux communautaires.
3) Mesure de développement des habiletés sociales.

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29
Q

Que se passe-t-il si l’adolescent est judiciarisé en LSJPA?

A

La victime perd une très grosse partie de ses droits et de sa centralité puisque l’affaire aura désormais de nombreuses similitudes avec les procédure criminelle.

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30
Q

Qu’est-ce que la justice réparatrice / restaurative?

A

Mode de justice reconnu partout qui inclut les personnes concernées par un événement précis (crime / conflit) de leur propre gré. Elle ne vise en aucun cas à prévenir la récidive, à accorder le pardon ou à changer les personnes / leurs visions du crime.

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31
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime non rapporté, “peu grave”, auteur connu ou inconnu.

A

Oui.

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32
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime non rapporté, “grave”, auteur connu ou inconnu.

A

Non.

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33
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime poursuivi, “peu grave”, auteur adolescent.

A

Oui.

34
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime poursuivi, “grave”, auteur adolescent.

A

Non.

35
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime poursuivi, “peu grave”, auteur adulte.

A

Non.

36
Q

POSSIBILITÉS DE RENCONTRE DE DIALOGUE : crime poursuivi, “grave”, auteur adulte.

A

Oui, mais seulement au Québec.

37
Q

Quelles sont les quatre responsabilités de la CLCC et du SCC envers les victimes?

A

1) Informer les victimes de leurs droits.
2) Enregistrer les victimes.
3) Donner des notifications aux victimes.
4) Gérer les demandes des victimes quant à leur sécurité.

38
Q

Comment est-ce que la LSCMLC définit la victime?

A

Toute personne qui a des dommages physiques / affectifs suite à l’acte commis pas le détenu, mais aussi toute personne qui aurait souffert du comportement du détenu ou qui aurait porté plainte / dénoncé ses actes.

39
Q

Qu’est-ce que la LSCMLC permet aux victimes?

A

1) Obtention de certains renseignements sur le détenu.
2) Information des décisions rendues par la SCC et la CLCC.
3) Communication d’informations pouvant servir à la prise de décisions.

40
Q

Quelles sont les trois conditions dans lesquelles la victime peut obtenir des renseignements?

A

1) Elle doit être enregistrée.
2) Information en continu tout au long de la peine.
3) Une tierce personne peut être mandatée pour la réception de l’information.

41
Q

Nommez trois informations qui sont disponibles À TOUS.

A

1) Nom du délinquant.
2) Infraction dont il a été trouvé coupable.
3) Durée de la peine.

42
Q

Nommez trois informations qui sont disponibles à la VICTIME si elle est enregistrée.

A

1) Âge du délinquant.
2) Date de l’audience de la CLCC.
3) Nom du pénitencier.
4) Lieu du pénitencier.

43
Q

Quelle est la restriction au droit à l’information?

A

Si l’information donnée compromet la sécurité, la réinsertion sociale ou l’anonymat du délinquant. Toutefois, cela est ignoré si l’on juge qu’il en va du bien-être de la victime.

44
Q

Qui ne peut PAS assister aux audiences de la CLCC?

A

Les mineurs.

45
Q

LIVAC (1er mars 1972) indemnise quatre catégories de personnes. Qui sont-elles?

A

1) Les victimes blessées d’actes criminels.
2) Les personnes blessées en tentant d’empêcher un acte criminel.
3) Les personnes à charge d’une victime tuée.
4) Les proches d’une victime survivante.

46
Q

Quelles sont les six contraintes à l’indemnisation de LIVAC?

A

1) Acte criminel contre la personne.
2) Québec, après 1972.
3) Interdit par un texte de loi.
4) DÉCLARÉ À LIVAC AU PLUS TARD 2 ANS APRÈS.
5) Blessure résulte du crime.
6) Victime majeure.

47
Q

Quels sont les deux services pour lesquels LIVAC paie sur une période donnée?

A

1) Assistance médicale.

2) Frais de réadaptation.

48
Q

Quelles sont les exclusions automatiques de LIVAC?

A

1) Peut être indemnisé par un autre régime.
2) La victime a participé à la faute.
3) Il n’y a pas de preuve de l’acte / de la blessure.

49
Q

Nommez trois caractéristiques de l’intervenant en victimologie.

A

1) Ne nuit pas.
2) Connaît ses propres limites.
3) Sait guider la victime vers les secteurs d’aide dont elle a besoin.
4) Connaît le contexte légal, éthique et comportementale en relation d’aide.
5) Sait situer la victime dans le système judiciaire et administratif.

50
Q

Nommez trois caractéristiques de l’intervention après le crime.

A

1) Prise de contact.
2) Sécurité et confort.
3) Aide pratique.
4) Collecte d’informations.
5) Connaissance des protocoles à appliquer.

51
Q

Quels sont deux éléments qui composent le rôle de l’intervenant en victimologie?

A

1) Inscrit son intervention dans un réseau.
2) Communique avec la victime.
3) Offrir un soutien continu.
4) Offrir un soutien adéquat.
5) Offrir un suivi.

52
Q

Nommez cinq risques pouvant découler d’une mauvaise intervention.

A

1) Anxiété.
2) Perte de confiance.
3) Refus de consulter à nouveau.
4) Fermeture à l’aide.
5) Difficulté à entrer en relation.

53
Q

Qu’est-ce qui compose les trois étapes de la relation d’aide?

A

AVANT : établir le contact / la confiance, sécuriser la victime.
PENDANT : ventiler les émotions, comprendre le problème, offrir des pistes de solution, être à l’écoute.
APRÈS : mettre fin à la relation, rester à l’écoute.

54
Q

Nommez deux caractéristiques du fonctionnement des CAVAC.

A

1) Intervention de première ligne.
2) 24/7.
3) Basé sur ces valeurs : équité, compréhension, dignité, respect de la vie privée, courtoisie.

55
Q

Comment les CAVAC se financent-ils?

A

Autofinancement, FAVAC, suramende compensatoire et produits de la criminalité.

56
Q

Quels sont les cinq services du CAVAC?

A

1) Intervention post-traumatique (psychosociojudiciaire).
2) Information sur les droits et les recours.
3) Assistance pour remplir les formulaires.
4) Accompagnement au tribunal.
5) Guider vers des sources d’aide adéquate.

57
Q

Quelles sont les cinq grandes familles de l’intervention?

A

1) Les ordres / associations professionnelles.
2) Le service public.
3) Les centres de référence.
4) Les groupes d’entraide.
5) L’intervention individuelle / de groupe / familiale.

58
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Pourquoi les services ne s’adressent qu’aux femmes / aux adolescentes?

A

Car il s’agit de la clientèle la plus touchée.

59
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Quelle est l’approche préconisée chez Viol-Secours?

A

L’approché féministe.

60
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Qu’est-ce qu’une agression à caractère sexuel?

A

Il s’agit d’un geste à caractère sexuel, avec ou sans contact physique et sans consentement, qui vise à assujettir une autre personne à ses propres désirs par un abus de pouvoir / de force, une contrainte ou une menace qui porte atteinte à la sécurité et à l’intégrité physique et psychologique.

61
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Qu’est-ce qu’un consentement valide?

A

Libre, éclairé, clair et renouvelé.

62
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Donnez un exemple de clientèle plus vulnérable aux agressions sexuelles.

A

Les femmes handicapées physiquement, les femmes ayant une déficience intellectuelle, les femmes marginalisées, les femmes autochtones, etc.

63
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : VRAI ou FAUX : il existe un type précis d’agresseur, ce n’est jamais un homme dit “moyen”.

A

Faux ; l’agresseur peut être n’importe qui et il se tient souvent dans la moyenne.

64
Q

CONFÉRENCE VIOL-SECOURS : Pourquoi est-ce complexe de dévoiler l’agression sexuelle?

A

Crainte de représailles, impression de solitude, sentiment de culpabilité, sentiment de responsabilité, sentiment de honte, peur de ne pas être crue, etc.

65
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Quels sont les objectifs de l’INAVEM?

A

1) Définir / évaluer les missions d’aide aux victimes.
2) Coordonner / soutenir les associations.
3) Informer / sensibiliser les professionnels et le public.

66
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Quels sont les principes de l’INAVEM?

A

Gratuité, confidentialité et respect.

67
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Quelles sont les conditions de l’INAVEM pour être une victime?

A

1) Infraction.
2) Préjudice.
3) Lien de causalité.

68
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Nommez quelques droits de la victime.

A

Droit d’être … écoutée, reconnue, prise en considération, assistée, protégée, aidée, respectée, etc.

69
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Qui est-ce qui indemnise en France?

A

Le FGTI (Fonds de Garantie des victimes des actes de Terrorisme et d’autres Infractions).

70
Q

CONFÉRENCE OLIVIA MONS : Qu’est-ce qu’un BAV?

A

Bureau d’Aide aux Victimes.

71
Q

QUESTION DE LECTURE : Qu’est-ce qu’un rapport prédécisionnel?

A

Il s’agit d’une évaluation concernant un adolescent qui a été déclaré coupable d’une infraction.

72
Q

QUESTION DE LECTURE : Quelles sont les trois façons de réduire le potentiel traumatique du contacte avec le système de justice pénale?

A

1) Les services à la victimes et aux défenseurs de celle-ci.
2) La déclaration de la victime.
3) La justice restauratrice.

73
Q

QUESTION DE LECTURE : Faites la différence entre le système inquisitoire et le système accusatoire.

A

Dans le système inquisitoire, le juge est en contrôle et procède à l’investigation, ce qui fait que la victime à l’impression d’être plus entendue puisque celui-ci semble plus serviable. Dans le système accusatoire, le juge est passif et ne pose pas de question, ce qui fait que la victime a l’impression de ne pas pouvoir dire sa version des faits.

74
Q

QUESTION DE LECTURE : Quels sont les trois types de besoins des victimes?

A

Informationnels, émotionnels et tangibles.

75
Q

QUESTION DE LECTURE : Quels sont les quatre types de justice qui ont pour priorité les besoins des victimes?

A

Distributive, procédurale, informationnelle et interpersonnelle.

76
Q

QUESTION DE LECTURE : Comment justifie-t-on LIVAC?

A

1) L’État doit protéger ses citoyens.

2) L’État doit répondre des actes de ses citoyens.

77
Q

QUESTION DE LECTURE : VRAI ou FAUX : le Québec démontre un attachement à la solidarité sociale?

A

Vrai.

78
Q

QUESTION DE LECTURE : Associez la région (FR ou QC) avec le type de droits (égards ou devoirs).

A

QC : Droits-égards.

FR : Droits-devoirs.

79
Q

QUESTION DE LECTURE : Qu’est-ce que la croyance du monde juste?

A

C’est une croyance qui assume que, dans la vie, tout le monde reçoit ce qu’il mérite. Incidemment, celle-ci contribue à encourager de nombreux mythes liés aux agressions sexuelles.

80
Q

QUESTION DE LECTURE : Quels sont les trois droits fondamentaux de la victime?

A

1) Droit d’être reconnu.
2) Droit d’être réparé.
3) Droit d’être accompagné.

81
Q

QUESTION DE LECTURE : Que faire pour augmenter l’usage des services offerts aux victimes?

A

1) Éducation publique.
2) Nombre adéquat d’employés qualifiés.
3) Diversification des types de services.