Examen de mi session Flashcards
Definition sexualité en santé de l’OMS?
- Intégration des aspects somatiques, émotionnels, intellectuels et sociaux du bien-être sexuel, de façon à enrichir la personnalité, la communication et l’amour
- Pas seulement l’absence de maladies ou de dysfonctions
6 (ou 7) caractéristiques personnelles essentielles pour développer une sexualité en santé
- Maturité
- Honnêteté et intégrité
- Capacité d’intégration
- Désir, image corporelle et distorsions
- Capacité d’intimité, d’engagement et de différenciation
- Empathie, compassion et compréhension
- Plaisir
3 dimensions du triangle de Sternberg (1986)
Passion ; Engagement ; Intimité.
Système nerveux divisé en deux systèmes dont l’un se subdivise?
1.Système nerveux central (cerveau, cervelet et moelle épinière)
- Système nerveux périphérique (nerfs sensitifs et moteurs issus de la moelle et du tronc cérébral)
a) Système nerveux somatique
b) Système nerveux autonome
- sympathique (activation)
- parasympathique (calme)
erection = sympathique ou parasympathique?
interaction entre les 2
ejaculation = sympathique ou parasympathique?
plus sympathique
2 centre medullaires du système nerveux?
- Centre réflexogène → involontaire ; spontané
2. Centre psychogène → excitation cérébrale
Les muscles du plancher pelvien jouent-ils un rôle important dans la réponse sexuelle, tant chez l’homme que chez la femme ?
OUI: ♀ orgasmiques ont des muscles pubo-coccygiens
plus forts que des ♀ anorgasmiques.
MAIS lien pas direct: reéducation perinéale augmente pas forcement la chance d’avoir des orgasmes chez femme non orgasmique
4 etapes de la reponse sexuelle
- L’excitation
- Le plateau
- L’orgasme
- La résolution
(4. 1 La période réfractaire)
Master & Johnson: avantages de leur etude
Etude empirique
Pour les femmes, déloger le mythe de Freud sur l’orgasme vaginale.
Pour les hommes, déloger les mythes sur la taille du pénis
modèle linéaire facile a comprendre et à évaluer
Master & Johnson: limites de leur etude
Échantillons non-représentatifs: biais de sélection, participants bénévoles très ouverts d’esprit, très éduqués
Biais des chercheurs
Modèle uniquement physiologique
Risque à utiliser ces résultats comme étant la norme absolue.
2 modèles de Kaplan
- Biphasique: Excitation → orgasme
2. Triphasique: Desir → excitation → orgasme
5 étapes du modèle de Zilbergeld et Ellison (variables physio et subjectives)
- Intérêt (désir)
- Excitation
- Préparation physique
- Orgasme
- Satisfaction
4 etapes du Feedback loop
- Signal (interne/externe)
- Evaluation
- Interet
- Reponse
influence ménopause sur sexualité
Baisse du désir sexuel.
Baisse d’excitation sexuelle.
Atrophie vulvovaginale
Orgasme plus long a atteindre, moins long et moins intense
MAIS capacité d’avoir des orgasmes multiples demeure
influence andropause sur sexualité
Plus grand besoin de stimulation directe, et plus longue.
Plus difficile à avoir et maintenir une érection.
Diminution de la durée et de l’intensité de l’orgasme.
Diminution de la quantité de sperme dans l’éjaculat.
Plus longue période réfractaire.
4 approche psychothérapeutiques
a) Cognitivo-comportemental → Comportements et cognitions désadaptées.
b) Existentielle-humaniste → Compréhension et l’acceptation des expériences de vie sexuelle.
c) Psychodynamique → Traitement conflits internes.
d) Systémique → Traitement des relations et de la communication dysfonctionnelle.
Un script sexuel est un scheme cognitif structuré qui orientent et perfectionnent l’action?
VRAI
3 niveau de scripts sex
1) Les scénarios culturels
2) Le niveau interpersonnel
3) Le niveau intrapsychique
Difference entre paraphilies et dysfonctions sexuelles
paraphillie: objet sex inhabituel
dysfonction: cpts sex inadéquat avec objet habituel
Selon CIM, les dysfonctions sex sont différents types de difficultés à avoir une relation sexuelle du type souhaité.
VRAI
La souffrance marquée est-elle importante lors d’un disgnostic?
OUI detresse personnelle importante MAIS si ça derange couple ce n’est pas suffissant, il faut que ça te derange toi
Dysfonction sex chez la femme dans le DSM V
Sexual Interest/Arousal Disorder (SIAD) : Trouble de l’excitabilité/intérêt sexuel
Female Orgasmic Disorder (FOD) : Trouble orgasmique de la femme
Genito-Pelvic Pain/Penetration Disorder (GPPD): Douleurs génitales-pelviennes/troubles associés à la pénétration
Désir sexuel hypoactif + trouble de l’excitation sexuelle = SIAD, quel sont les changement du DSM IV au DSM V?
- Trouble de l’excitation sexuelle était limité à la lubrification
- Trouble du désir sexuel était limité au désir
DSM V: Le problème est l’absence de réponse aux stimulus sexuels
Difference entre dyspareunie et vaginisme + changement du DSM IV au DSM V
Dyspareunie = douleur génitale (pendant pénetration) Vaginisime = spasme involontaire (pas de pénétration possible)
DSM V : trouble de la douleurs, plus de différentiation
L’aversion Sex maintenue dans le DSM V?
NON, mais phobie sex ajouté dans liste des phobies
Dysfonctions sex chez l’homme dans le DSM V
Erectile dysfunction : Dysfonction érectile
Premature ejaculation : Éjaculation prématurée
Hypoactive sexual desire : Désir sexuel hypoactif
L’avantage du DSM V est qu’il existe beaucoup d’etudes permettant de vérifier la validité, fidélité et l’accord inter-juge?
FAUX
Critique du DSM V
- critère subjectifs et arbitraires
- manque d’etude sur fidelité, validité, accord inter juge
- vision dichotomique de la sex (dysfonction ou pas dysfonction)
Type de dysfonction sex dans CIM
- Absence ou perte de désir
- Aversion sexuelle et manque de plaisir sexuel
- Échec de la réponse génitale
- Dysfonctionement orgasmique
- Éjaculation précoce
- Vaginisme psychogène
- Dyspareunie psychogène
- Activité sexuelle excessive
8 Etapes d’une evaluation
- probleme/difficulté/motif actuel et priorité
- histoire de vie
- aspects interpersonnels
- aspect intra-personnells (santé mentale, schemas, attachement)
- contextes socio-culturels
- santé phbysique
- demander la liste de tous les medicaments et poser des questions specifiques sur le consommation d’alchool et drogues
- attentes et motivations
12 Questionnaires d’evaluation
- mesure globale de satisfaction sex
- fonctionnement sex
- echelle d’exp sex
- index de fonction sex de la femme
- index de focntion erectile de l’homme
- questionnaire d’ajustement dyadique (DAS)
- Échelle révisée des stratégies de conflits conjugaux
- Échelle de consommation compulsive de pornographie
- Questionnaire sur les expériences d’attachement amoureux
- Inventaire de Dépression de Beck (BDI)
- Inventaire des symptômes psychiatriques (ISP)
- Inventaire des capacités du soi
Le questionnaire d’ajustement dyadique (DAS) est le plus utilisé pour différencier les couples qui sont en détresse des couples qui ne vivent pas de détresse?
VRAI
Echelle:
- 110 et + : satisfaction conjugale
- entre 91 et 109: certains insatisfaction modéré
- 90 et - : detresse conjugale
4 facteurs du DAS
satisfaction general, cohésion, consensus et manifestation d’affection
2 dimensions d’attachement amoureux
anxiete d’abandon et evitement de l’intimité
4 styles d’attachement
sécurisant, préoccupé, détaché, craintif
Que permet le bilan?
Renforcer l’alliance thérapeutique
Optimisation des processus d’obtention d’un consentement éclairé
Augmentation de l’espoir, estime, motivation
Diminution des sx
Défis (obstacle a l’intervention ou au traitement ou a l’atteinte des objectifs)
Étapes : rappel motifs, description des problèmes, gravité, aspect positif, causes
Quelles sont les étapes du bilan?
rappel motifs description de notre compréhension des difficultés/causes/étiologies mise en relief résilience et aspects positifs/forces plan d’action entente sur les objectifs et moyens cadre thérapeutique.
Pourquoi historiquement le désir n’était pas considéré comme une phase particulière?
Pas calculable
Definition de l’aversion sex et manque de plaisir sex selon CIM-10
Perspective d’une relation sexuelle déclenche peur ou anxiété telle que toute activité est évités, ou réponses sexuelles normales et orgasme ressenti mais absence de plaisir
Critère A pour trouble de l’interet de l’excitation sex chez la femme (DSM V)
Critère A. Aucun/Faible intérêt manifesté par au moins 3 des éléments suivant:
- Peu/pas d’intérêt pour les activités sexuelles.
- Peu/pas de pensées OU fantaisies sexuelles/érotiques.
- Peu/pas d’initiation d’activités sexuelles, ET typiquement non-réceptive aux tentatives de l’autre.
- Peu/pas de plaisir/excitation pendant les rapports sexuels, lors des ou de presque tous les rapports sexuels.
- Peu/pas d’intérêt/excitation sexuel en réponse aux stimuli sexuels/érotiques internes ou externes.
- Peu/pas de sensations génitales OU non-génitales lors des rapports sexuels, tous ou presque tous.
Critère B, C et D pour trouble de l’interet de l’excitation sex chez la femme
Critère B: Durée minimum 6 mois
Critère C: symptome en A causent une détresse significative chez l’individu.
Critère D: Pas mieux expliqué par un troubles non-sexuels OU en conséquence d’une détresse relationnelle ou autre stress significatif OU des effets de médicaments/subsances OU autre condition médicale.
Critère A et B pour trouble du desir hypoactif chez l’homme
A) Présence d’une déficience (ou absence) persistante et récurrente de pensées ou de fantasmes sexuels/érotiques et du désir de s’engager dans une activité sexuelle.
B) Le jugement de la présence d’une déficience revient au clinicien, qui estime les facteurs pouvant affecter le fonctionnement sexuel, comme l’âge et le contexte socioculturel.
Que doit-on spécifier en établissant dignostic d’un DS?
- primaire (de tout temps) vs secondaire (acquis)
- généralisé vs situationnel
- faible, modérée ou sévère
Prévalence baisse du désir chez F et H
35-41% des F rapporte manque de désir sexuel dans le dernier mois
10% des F pour 6 mois
15% chez les H, selon l’âge (6% des ♂ de 18 à 24 ans et 41% des ♂ de 66 à 74 )
2% des hommes de 16 à 44 pour 6 mois
Quels sont les éléments de base à évaluer dans le cas d’une baisse du desir pour les 2 partenaire?
Durée
Fréquence actuelle
Fréquence souhaitée
Refus
Fréquence de tous actes sexuels (masturbation, relations sexuelles, etc.)
Fréquence des fantasmes, idées, pensées
Fréquence d’initiation
2 types de comorbidité
co-morbidité fonctionnelle et co-morbidité emotionnelle
7 principes du modèle systémique de Schnarch
- Différenciation
- Le désir élevé et le désir faible = positions dans un système plutôt que le résultat d’un problème individuel
- Le partenaire ayant le moins de désir contrôle la fréquence des relations sex et les moments ponctuels où elles ont lieu
- Les jeux sexuels des couples sont négociation des degrés et types d’intimité, d’érotisme et de sens
- Les conflits majeurs inévitables dans relations à long terme + contribuent au développement
- tolérance à l’anxiété précède réduction de l’anxiété
- conflits et problèmes liés au désir, lorsque bien utilisés, mènent vers AUTO-VALIDATION
4 etapes du Sensate Focus
- Caresses
- organes génitales
- soutenue
- pénétration
4 objectifs du sensate focus/sensibilisation corporelle
- Relaxation ;
- Développement de l’intimité physique ;
- Communication au sujet de la sexualité ;
- Réapprentissage.
Freud prétend que l’orgasme vaginale serait plus mature que l’orgasme clitoridien, et Master & Johnson confirment sa théorie?
FAUX Master & Johnson ne trouvent aucune difference physiologique entre les orgasmes vaginaux et clitoridiens
2 types d’orgasmes possible selon Signer (1973)
Orgasme Vulvaire et utérin
Type d’orgasme possibles pour les hommes
orgasme par coït / masturbation, ou par pénétration anale
Qui “découvre” le point G?
Ernest Gräfenberg (1940)
Autre nom du point G
complexe clitoro-urétro-vaginal
Prévalence multiorgasme
Kinsey: 14% des femmes
Athanasiou, Shave et Travis: 16% des femmes
Gebhard et Johnson: 9% des hommes et des femmes
Critères DSM V trouble de l’orgasme chez la femme
A. L’un (ou les deux) des critères suivants sont éprouvés lors d’au moins 75% des activités sexuelles :
- Retard marqué pour parvenir à l’obtention de l’orgasme ou diminution marquée de la fréquence ou absence d’orgasme.
- Diminution marquée dans l’intensité des sensations orgasmiques.
Critères CIM dysfonction orgasmique chez homme et femme
L’orgasme ne survient pas ou est nettement retardé
Comprend l’anorgasmie psychogène et l’inhibition de l’orgasme chez la femme ou chez l’homme.
Prévalence trouble de l’orgasme chez les femmes
22 à 28 % tous âges confondus (Laumann et al., 1999).
Environ 10% des femmes n’expérimentent jamais l’orgasme (APA, 2013).
Population générale : 5% des femmes correspondent aux critères DSM, alors que 35% rapportent au moins un évènement de difficulté avec leur fonction orgasmique (Clayton, 2007).
Lors d’une evalution d’un potentiel trouble de l’orgasme que doit-on specifier?
Stimulation (adequat ou non)
définition de l’orgasme (subjectif)
détresse
Traitements pour anorgasmie primaire
Masturbation dirigée et thérapie cognitive-comportementale.
Traitements pour anorgasmie secondaire
Traitement plus complexe.
Moins d’études.
Taux de succès plus faibles.
4 Facteurs reliés au trouble de l’orgasme selon Kaplan
- Facteurs immédiats (comportementaux).
- Facteurs liés à l’apprentissage.
- Facteurs intra psychiques et développementaux.
- Facteurs relationnels.
Programme de masturbation dirigée
- Regarder son corps dans le miroir.
- Regarder ses organes génitaux dans le
miroir. - Technique de relaxation.
- Toucher les organes génitaux.
- Auto-stimulation manuelle.
Facteurs de risque biologiques liés au trouble de l’orgasme
- Musculature du plancher pelvien.
- Maladies affectant le système nerveux.
- Hormones.
- Antidépresseurs (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine – ISRS).
- Alcool
Facteurs de risque psychosociaux liés au trouble de l’orgasme
- Distraction cognitive.
- Mode de stimulation et
fantasmique rigide. - Faible satisfaction sexuelle.
- Éducation, statut marital, âge, génération.
- Statut socio-économique.
- Expérience sexuelle.
- Anxiéte
- Evenement stressants
- Hisotorique d’abus emotionnel ou sexuel
- Element culturels
- Enjeux de santé
- Surcontrole de soi
Facteurs de protection liés au trouble de l’orgasme selon Masters et Johnson
S’autoriser à avoir du plaisir.
S’autoriser à vivre sa sexualité.
Capacité à se détendre.
La masturbation dirigée vise à améliorer la conscience du corps et de ses sensations chez les femmes vivant avec un trouble orgasmique, et à explorer les zones érogènes à l’aide de toucher et caresses, et de masturbation, seules et avec son/sa partenair?
VRAI
Les 12 étapes de la masturbation dirigée
- Engagement personnel (démystification, vision plus realiste)
- Apprendre a se connaitre
- Explorer par le toucher
- Decouverte du plaisir par le toucher
- La concentration sur son plaisir par le toucher (muscle pelvien, sensation physique)
- Se rapprocher du but (jeu de l’orgasme)
- Utilisation vibrateur
- Partager ses découvertes avec son/sa/ses partenaire(s) sexuel(s)
- Faire plaisir à l’autre
- Le coït, une autre forme de plaisir mutuel (démystification sexualité =/= coït nécessaire)
- Valorisation
- Bilan + suivi ponctuel
Pourquoi le trouble de l’érection est la DS la plus etudié?
obsession penetration, observable, medicament, reproduction, symbolique de la masculinité
Critère A DSMV trouble de l’erection
Au moins l’un des 3 critères, au moins 75% du temps. Lors d’activités sexuelles avec partenaire :
- Difficulté marquée à parvenir à une érection lors de l’activité sexuelle
- Difficulté marquée à parvenir à maintenir l’érection jusqu’à l’achèvement de l’acte sexuel
- Diminution marquée de la rigidité érectile
Prevalence trouble érectile chez hommes
3/4 des hommes qui se presente en clinique
- 7 à 18%, tous âges confondus
- 18% chez les 50-59 ans
- 52% chez un groupe d’hommes de 40 à 70 ans
Vers quel âge la prévalence de troubles erectile est la plus forte?
55-65 ans
Facteurs biomédicaux liés au trouble de l’erection
- Problèmes neurologiques
- Diabète
- Problèmes cardiovasculaires
- Problèmes endocriniens
- Arthrite
Facteur psychosociaux liés au trouble de l’erection
• Faible statut socioéconomique • Abus sexuel • Agression sexuelle • Anxiété de performance • Stress généralisé et stress aigu • Dépression • Interférence cognitive • Conflits relationnels • Secondaire à un trouble du désir ou à un trouble d’éjaculation précoce • Manque de connaissances au sujet de la sexualité
12 mythes de Zilbergeld
- homme ne peuvent pas ressentir d’emotions negative
- performance qui compte
- H = leader dans relation sex
- homme toujours vouloir relation sex et etre pret
- tout contact doit etre nécessairement mené à relation sex
- Homme doit durer tout la nuit
- trop masturbation = mauvais
- avec partenaire, plus besoin de ressentir masturbation
- sex = penetration
- sex = erection
- bon sex: progression linéraire et mène toujours a l’orgasme
- si fantasme sur quelqu’un d’autre = pas heureux avec partenaire actuel
Interventions biomédicales pour les trouble de l’erection
- Injections intracaverneuses (prostaglandine E1)
- Injections de testostérone
- Yohimbine (produit naturel, aphrodisiaque)
- MUSE (dans uretre, prostaglandine)
- Implants de prothèses péniennes (semi-rigides ou gonflables)
- Chirugie : revascularisation des artères péniennes et ligature des veines péniennes
- Pompes
Principaux medicaments pour les trouble de l’erection
- Viagra (sildenafil)
- Cialis (tadalafil)
- Levitra (vardénafil)
→ inhibte phosphodiestérase de type 5, relachement muscles, vasocongestion, ameliore mecanique
Quels sont les objectifs de la sexothérapie selon Masters et Johnson?
- Éliminer peur de l’échec
- Transformer le rôle habituel de spectateur en celui d’acteur
- Éliminer craintes que la femme éprouve pour son partenaire
4 composantes essentielles de la sexothérapie
- Éducation sexuelle
- Restructuration cognitive
- Exercices de sensibilisation corporelle (sensate focus)
- Stratégies d’intervention visant la relation de couple (approches cognitivo-comportementale ou systémique)