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Violences sexuelles > examen > Flashcards

examen Flashcards

1
Q

Qui suis-je : état de bien-être physique, émotionnel, mental et social associé à la sexualité. Elle ne consiste pas uniquement en l’absence de maladie, de dysfonction ou d’infirmité. Elle a besoin d’une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelle qui apportent du plaisir en toute sécurité et sans contraintes, discrimination ou violence. Afin de l’atteindre de de la maintenir, les droits sexuels de toutes les personnes doivent être respectés, protégés et assurés.

A

La santé sexuelle

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2
Q

Qu’est-ce que démontre les orientations gouvernementales en matière d’AS ?

A

Que malgré le tabou en lien avec cette problématique, elles demeurent un problème social d’importance ayant des répercussions sur les personnes victimes, leur famille, leur entourage et l’ensemble de la société.

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3
Q

Quelle est la définition d’un AS ?

A

C’est un geste à caractère sexuel avec ou sans contact physique commis par un individu sans le consentement de la personne visée ou par une manipulation affective ou par du chantage.

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4
Q

Une AS est un acte visant à assujettir une autre personne à ses propres désirs par …

A

un abus de pouvoir, l’utilisation de la force ou de la contrainte, sous la menace implicite ou explicite

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5
Q

Quels sont les droits fondamentaux auxquels l’AS porte atteinte

A

l’intégrité physique et psychologique, la sécurité de la personne

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6
Q

Quelle nuance y a-t-il à faire lors d’une inconduite sexuelle

A

une transgression à des règles

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7
Q

Quelle nuance y a-t-il à faire lors d’une exploitation sexuelle

A

il y a du profit

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8
Q

Quelle nuance y a-t-il à faire lors de coercition sexuelle

A

Il y a tactique pour contraindre la victime aux actes sexuels

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9
Q

Quels sont les 3 éléments fondamentaux devant être prouvés par une personne harcelée sexuelle

A

un comportement à caractère sexuel non désiré, qui se manifeste de façon répétée, qui a des conséquences néfastes sur la victime

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10
Q

Qu’est-ce que la violence conjugale ?

A

Une dynamique de prise de contrôle et de domination envers son/sa partenaire

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11
Q

Qu’est-ce que la violence conjugale brime ?

A

La personnalité et la liberté de la personne qui la subit

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12
Q

Quelles formes peut prendre la violence conjugale ?

A

Agression psychologique, verbales, physiques et sexuelles, acte de domination économique

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13
Q

Qui suis-je : tout comportement au sein d’une relation qui cause un préjudice ou une souffrance physique, psychologique ou sexuelle aux personnes qui font partie de cette relation, y compris des actes d’agression physique, des rapports sexuels forcés, entre autres, des formes de coercitions sexuelles, de la violence psychologique et des comportements autoritaires ou tyranniques

A

viol conjugal

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14
Q

V-F Il faut s’inquiété si un enfant fait des jeux d’exploration sexuelle

A

Faux, c’est normal dans le développement de l’enfant de vouloir découvrir sa sexualité.

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15
Q

Quels sont les signes d’un comportement sexuel problématique chez un enfant ?

A

interfère sur le développement, dépasse largement le comportement sain, autostimulation excessive, préoccupation exagérée pour la nudité ou images sexuelles, attouchements aux organes génitaux, sollicitations pour des relations sexuelles, fréquence élevée, enfant âge ou de niveau de développement différent, présence de coercition, manipulation, agression, souffrance physique ou émotive, persistance malgré interaction d’un adulte

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16
Q

Comment déterminer qu’un comportement sexuel est inadéquat chez l’adulte ?

A

Se référer à la loi et au DSM5

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17
Q

Qui suis-je : accord volontaire à l’activité sexuelle

A

consentement

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18
Q

V-F Les enfants dévoilent davantage l’AS la journée qu’elle est arrivée que les adultes

A

Faux, les adultes ont davantage tendance à dévoiler la journée de l’AS que les enfants

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19
Q

V-F le beau-père est plus susceptible d’AS sur un enfant de leur famille que le père biologique

A

Vrai

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20
Q

V-F Le groupe adulte le plus victime d’AS est les femmes de 20 à 30 ans

A

Faux, ce sont celles de 18 à 24 ans

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21
Q

V-F Le groupe le plus représenté d’auteurs d’AS est les jeunes de moins de 18 ans

A

Vrai

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22
Q

Quel changement y a-t-il eu au Code criminel en matière d’infractions sexuelles en 1980 ?

A

il n’est plus nécessaire qu’il y ait eu un témoin

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23
Q

En 83, la définition du viol change, quels sont les changements ?

A

Il est maintenant question d’AS, donc c’est un geste violent et pas nécessairement sexuel, il n’y a pas nécessairement eu de pénétration hétérosexuelle, il y a reconnaissance de l’AS en contexte conjugal

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24
Q

Qu’est-ce qui est apparu en 80-85 afin de soutenir les intervenants multidisciplinaires dans les interventions d’urgence auprès de victimes ?

A

les premières trousses médicolégales

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25
Q

V-F Au sens légal, toute AS est fondamentalement une voie de fait au sens du Code criminel

A

Vrai

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26
Q

V-F Le harcèlement sexuel est une infraction au Code criminel

A

Faux, il n’est pas considéré comme tel s’il n’y a pas eu de contact

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27
Q

Quels sont les raison de croire que la sécurité ou le développement d’un enfant est compromis ?

A

Abandon, négligence, abus physique, mauvais traitement psychologique, abus sexuel, lors qu’il présente des troubles du comportement sérieux

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28
Q

LSJPA s’adresse à qui ?

A

Les adolescents entre 12 et 18 ans

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29
Q

Quel est l’objectif de la LSJPA

A

Assurer la protection de la société, reconnaître les droits et les besoins des victimes, responsabiliser le jeune contrevenant, prévenir la récidive et réadapter le jeune

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30
Q

Quels sont les critères pour que le consentement sexuel soit valide en présence de VIH

A

la personne a une charge indétectable ou faible, il y a utilisation d’un condom et c’est une pénétration vaginale

31
Q

V-F Il y a un profil type du pédophile, du violeur, etc.

A

Faux, il y a une diversité de profils

32
Q

Pédophilie, c’est …

A

attirance sexuelle pour un enfant prépubaire

33
Q

Korophilie, c’est …

A

attirance sexuelle envers une fille ayant atteint le stade de puberté

34
Q

Kourosphilie, éphébophilie, hébéphilie, c’est …

A

attirance sexuelle envers un garçon ayant atteint le stade de la puberté

35
Q

3A de la PJ qui résume les raisons de l’utilisation

A

accessible, abordable et anonyme

36
Q

Pour les consommateurs de PJ qui ne passent pas à l’acte, quels sont leurs caractéristiques

A

problème de régulation sexuelle, sexe est un outil de gestion des émotions, consomment moins de substances, plus de conflits conjugaux, plus docile et coopératifs

37
Q

Quelles sont les caractéristiques des hommes qui commettent une violence sexuelle sur des enfants ?

A

Malaise quant aux relations adultes, faible estime personnelle, faibles habiletés sociales

38
Q

Quelles sont les caractéristiques des hommes qui commettent une violence sexuelle sur des adultes ?

A

adhésion au mythe du viol, forte identification aux stéréotypes masculins, vision négative de la femme

39
Q

quels sont les composantes de la chaîne délictuel ?

A

personnalité, facteurs prédisposants, facteurs précipitants, facteurs perpétuants, besoins insatisfaits, choix apparemment anodins, situation à haut risque, fantasmes déviants, délit

40
Q

Quels sont les étapes liés à la réalité post-délit ?

A

Arrestation, enquête, évaluation multidisciplinaire, sentence, détention, victimes indirectes, désir de réparation

41
Q

facteurs de risque de l’AS envers l’enfant

A

sexe, âge, structure familiale, handicap physique ou intellectuel, alcoolisme/toxicomanie dans la famille, victimisation antérieure

42
Q

facteurs de risque de l’AS envers l’adulte

A

dépendance financière, victimisation sexuelle antérieure, sévérité de la violence physique, âge (avant 30 et après 50)

43
Q

quelles variables entraînent davantage de conséquences graves pour l’enfant

A

l’âge au moment de l’abus, la gravité des actes commis, chronicité des gestes commis, lien avec l’auteur, présence d’une figure parentale qui a mis fin aux gestes

44
Q

V-F Il y a un cycle victime-agresseur

A

Faux, le lien n’est toujours pas claire, mais l’agression dans l’enfance est un facteur de risque

45
Q

V-F La trousse médicolégale doit être fait dans les 5 jours suivants l’AS

A

Vrai

46
Q

V-F La trousse peut permettre l’identification de l’agresseur même si la victime ne le connaît pas

A

Vrai, comme elle est transmis à la Banque nationale des données génétiques du Canada

47
Q

Combien de temps la trousse est conservée

A

14 jours

48
Q

Quels sont les étapes du modèle des préconditions de Finkelhor dans le cas d’AS d’enfant

A

Motivation d’agresser, surmonter les inhibitions internes, surmonter les inhibitions externes, surmonter les résistances de la victime

49
Q

3 trajectoires de conso de PJ

A

Conso sans passage à l’acte, conso puis passage à l’acte, passage à l’acte puis conso

50
Q

Quelles sont les fonctions des typologies d’auteurs

A

mieux comprendre l’étiologie (causes), développer un langage commun, mieux comprendre l’évolution de l’individu, identifier des facteurs de risque dans le but d’intégrer des stratégies de prévention

51
Q

Modèle d’AS d’enfant : Classification de Knight a 2 axes à quoi font-ils références

A

le degré de fixation et la quantité de contact avec les enfants

52
Q

Il y a 4 types sur l’axe 1 de la classification d’AS d’enfant

A

fixation élevée et compétences sociables faibles, f é et cs é, f f et cs f, f f et cs é

53
Q

Il y a 6 sous-types d’AS d’enfant

A

motivation interpersonnelle (relation perçue comme mutuelle), motivation narcissique (majoritairement coït avec but orgasme), type exploiteur (aucune érotisation de la violence, présence de séduction), sadique diffus (érotisation de l’agression), non-sadique agressif (violence non érotisée mais si AS précède actes de violence), sadique (excité par la peur et la souffrance)

54
Q

Quelles sont les 3 motivations au viol selon le modèle pour AS sur femmes adultes

A

colère, sexualité et antisocialité

55
Q

Quels sont les 4 types de conso de PJ

A

l’explorateur, le pervers solitaire, le pervers organisé, le polymorphe

56
Q

Facteur individuel mettant à risque d’une AS en lien avec l’âge

A

âgé entre 6 et 11 ans pour intra et entre 12 et 17 pour extra

57
Q

Quelles sont les 4 dynamiques traumagéniques ? (conséquences de l’AS)

A

la stigmatisation (blâme), la trahison, l’impuissance, la sexualisation traumatisante

58
Q

Quelles réactions favorise le traumatisme vicariant

A

les contres-transferts

59
Q

V-F La fatigue de compassion est une forme de traumatisme vicariant

A

vrai

60
Q

Qui suis-je : impact sur sa vision de la vie et de ses valeurs sur l’intervention

A

conscience de soi

61
Q

qui suis-je : un savoir-faire général qui permet d’accomplir et de réussir certaines tâches particulières

A

habileté

62
Q

De quoi une victime a besoin ?

A

de protection, d’être entendue, d’être crue, d’être informée, de parler du dévoilement

63
Q

De quoi a besoin un auteur ?

A

accueil-écoute et respect, voir son passé comme une explication, ne pas s’arrêter au geste, voir l’individu, d’être responsabilisé, informé, ventilé, briser l’isolement

64
Q

V-F Le SAPROF est un outil pour évaluer les risques et besoins des auteurs

A

faux, il sert à évaluer les facteurs de protection contre la violence et d’identifier des cibles de traitements

65
Q

quels sont les 4 principes de la thérapie spécifique à l’AS

A

expression et ventilations des émotions, clarification des croyances erronées, prévention de la revictimisation, diminution du sentiment de stignatisation

66
Q

Qui suis-je : vise à soutenir la personne par des rencontres qui peuvent être régulières ou ponctuelles, permettant à la personne de s’exprimer sur des difficultés

A

rencontre d’accompagnement

67
Q

Qui suis-je : vise à soutenir la personne dans le but de maintenir ou de consolider les acquis et les stratégies d’adaptation en ciblant les forces et les ressources dans le cadre de rencontres ou d’activités régulières ou ponctuelles

A

Intervention de soutien

68
Q

Il y a 3 phases en intervention de situation de crise quelles sont-elles

A

l’état d’équilibre (émotions surpasse la capacité de raisonner, mais adaptation possible), état de vulnérabilité (mécanisme d’adaptation habituel ne suffise plus), état de crise (déséquilibre douloureux où fonctionner est difficile)

69
Q

V-F Un dévoilement se fait lorsqu’il y a plainte à la police seulement

A

Faux, on parle de dévoilement quand la personne confie à quiconque la situation

70
Q

V-F le modèle de vie saine mise sur les forces de l’individu

A

vrai

71
Q

De quel principe part le modèle de vie saine

A

que l’être humain cherche à combler des besoins fondamentaux et que l’agression survient quand certains ne sont pas comblés

72
Q

V-F Lorsque l’auteur est en chute, il va repasser à l’acte

A

faux, il faut en parler parce que lorsqu’il est en chute, il faut se retirer en adoptant des stratégies alternatives saines et dédramatiser cette étape

73
Q

Sur quoi repose le RBR

A

risque (qui doit être traité), besoin (ce qui doit être traité), réceptivité (comment doit se faire le traitement)

Violences sexuelles (1 decks)

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