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EXAMEN Flashcards

1
Q

V/F
Un système d’information est un ensemble organisé de plusieurs composantes ou ressources, incluant des technologies de l’information qui possède 4 fonctions de base soit créer et collecter les informations, traiter les informations, conserver les informations et communiquer les informations.

A

VRAI

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2
Q

VRAI/F
Les SI sont des outils qui ne permettent pas d’atteindre des degrés supérieurs d’efficience et de productivité, et la rentabilité.

A

Faux

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3
Q

Parmi les valeur d’affaires potentiels des systèmes d’information dans les organisations, on retrouve en particulier :

A. l’augmentation de la productivité
B. l’augmentation des ventes
C. la réduction des coûts
D. l’améliorer la performance environnementale
E. le positionnement supérieur à long terme
F. Toutes ces réponses

A

Toutes ces réponses

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4
Q

Parmi les éléments suivants, quel est l’élément principal qui a permis de réduire drastiquement les coûts des organisations opérant au niveau mondial?

A. Les technologies pour les réseaux
B. Les investissements dans les actifs organisationnels complémentaires
C. Internet
D. La croissance du contenu numérique

A

C. internet

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5
Q

V/F
L’implantation d’un nouveau système d’information dans une organisation se résume à l’installation de nouvelle composantes matérielles et logicielles dans l’organisation.

A

Faux

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6
Q

V/F
Lorsque l’on parle des employés qui développent, surveillent et maintiennent des activités essentielles pour assurer les opérations quotidiennes de l’entreprise, on parle du niveau tactique.

A

Faux

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7
Q

V/F
On parle de décision structurée lorsque l’on parle de situations où les processus existants permettent de discriminer les solutions possibles.

A

Vrai

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8
Q

On peut dire que les systèmes d’information pour dirigeants (SID) :

A. Fournissent des informations pertinentes résumées/rapports sur les performances actuelles de l’organisation à partir des données fournies par les STT
B. Fournissent généralement des réponses à des questions courantes prédéfinies auxquelles correspond une procédure de réponse préétablie
C. Peuvent effectuer la modélisation et l’analyse d’une grande quantité de données provenant de sources externes et internes
D. Possèdent peu de flexibilité et de capacité analytique

A

C. Peuvent effectuer la modélisation et l’analyse d’une grande quantité de données provenant de sources externes et internes

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9
Q

Quel type de gestionnaire est le plus susceptible d’utiliser un système d’information qui capture les transactions courantes d’une organisation?

A. Gestionnaire du niveau stratégique de gestion
B. Gestionnaire du niveau opérationnel de gestion
C. Gestionnaire du niveau intermédiaire de gestion
D. Gestionnaire du niveau supérieur de gestion

A

B. Gestionnaire du niveau opérationnel de gestion

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10
Q

V/F
Les systèmes d’information de gestion (SIG) sont spécifiquement conçus pour aider à la prise de décisions non routinières.

A

Faux

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11
Q

V/F

Les services Web permettent aux différentes applications de partager des données et services.

A

Vrai

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12
Q

V/F
Un logiciel qui permet à l’organisation de centraliser ses données, de les gérer efficacement et d’en permettre l’accès au moyen de programmes d’application est un SGBD.

A

Vrai

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13
Q

V/F
La gestion des connaissances est un processus par lequel une organisation génère de la valeur à partir de ses biens et actifs intellectuels.

A

Vrai

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14
Q

V/F
La gestion d’ensemble de la disponibilité, de la convivialité, de l’intégrité et de la sécurité des données d’une entreprise fait partie de la gouvernance des données.

A

Vrai

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15
Q

V/F

Les données converties pour correspondre à un contexte cohérent et utile sont des connaissances.

A

Faux

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16
Q

Dans un entrepôt de données, les données :

A. sont organisées par sujet plutôt que par fonction intégrées
B. sont collectées de plusieurs sources et réunies dans un ensemble logique et cohérent
C. sont horodatées selon une période précise
D. ne changent jamais dès qu’elles y sont stockées
E. toutes ces réponses

A

E. toutes ces réponses

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17
Q

Parmi les avantages d’un site Web dynamique, on retrouve :

A. Un développement facile
B. Une meilleure gestion du contenu
C. Une possibilité d’extension
D. Les risques d’erreurs humaines réduits
E. Des coûts de production et de mise à jour réduits
F. Toutes ces réponses

A

E. toutes ces réponses

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18
Q

Parmi les avantages de la BD relationnelle, on retrouve :

A. un manque de flexibilité à répondre aux changements des besoins organisationnels
B. une certaine rigidité et une performance légèrement supérieure
C. la minimisation des données redondantes
D. une moins bonne intégrité (qualité) des données
E. aucune de ces réponses

A

C. la minimisation des données redondantes

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19
Q

Parmi ses avantages, un groupware permet de :

A. Faciliter la communication (plus rapide, claire et convaincante)
B. Favoriser le télétravail
C. Réduire les coûts de transport
D. Favoriser le partage de l’expertise
E. Permettre de former des groupes d’individus sans les rassembler physiquement
F. Permettre d’économiser temps et argent relativement à la coordination d’une équipe de travail
G. Toutes ces réponses

A

G. toutes ces réponses

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20
Q

Une information permettant de poser une action est une connaissance. Cette définition nécessite que la personne doive :

A. comprendre l’information dont elle dispose
B. être capable de tirer des conclusions à partir de l’information
C. être capable de mettre l’information en application
D. Toutes ces réponses

A

D. toutes ces réponses

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21
Q

Les problèmes d’éthique sont souvent dus aux tendances technologiques parmi lesquelles on retrouve :

A. Le cout de stockage des données baisse rapidement
B. L’analyse des données se raffine
C. Le réseautage et Internet progressent
D. L’anonymat (en certains cas)
E. Toutes ces réponses
A

E. toutes ces réponses

22
Q

Parmi cette liste tirée des dix principes de la Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques (LPRPDE), lequel n’en est pas un :
A. Responsabilité
B. Détermination des fins de la collecte des renseignements
C. Utilisation sans consentement
D. Limitation de la collecte
E. Limitation de l’utilisation, de la communication et de la conservation

A

C. utilisation sans consentement

23
Q

Trouver l’intrus. L’éthique regroupe :

A. Des principes (du bien et du mal)
B. Des normes qui encadrent le comportement de chacun (comme des agents moraux libres)
C. Des règles (comme les lois et les règlements)

A

C. Des règles

24
Q

L’impératif catégorique de Kant nous dit :
A. Qu’il ne faut pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas qu’on nous fasse
B. Qu’il faut choisir l’action la plus bénéfique pour l’ensemble des parties concernées
C. Que si une action n’est pas juste pour quiconque, elle n’est juste pour personne
D. Qu’il faut choisir l’action dont les conséquences en cas d’échec sont les moins nocives et coûteuses pour l’ensemble des parties concernées

A

C. Que si une action n’est pas juste pour quiconque, elle n’est juste pour personne

25
Q

Parmi les technologies courantes de surveillance d’Internet, on retrouve :
A. Les témoins (« cookie »)
B. Les logiciels d’enregistrement de frappe, enregistreur de frappe (« key logger »)
C. Les logiciels publicitaires (« adware » )
D. Les logiciels espions (« spyware , sneakware, stealthware»)
E. Toutes ces réponses

A

E. toutes ces réponses

26
Q

Parmi les menaces à la sécurité de l’information, laquelle n’en est pas une :
A. Une mystification (« spoofing »)
B. Un logiciel espion (« spyware »)
C. Un programme renifleur (« sniffer »)
D. Un contrôle d’accès
E. Une altération de paquet (« packet tampering »)
F. L’hameçonnage (« phishing »)

A

D. Un contrôle d’accès

27
Q

Lequel de ces éléments n’est pas une étape de formulation d’un plan de sécurité de l’information:
A. Élaborer la politique de sécurité de l’information
B. Décrire les mécanismes de mise en œuvre et d’évaluation du plan
C. Communiquer la politique de sécurité de l’information
D. Cerner les ressources d’information et les risques qui y sont liés
E. Vérifier et réévaluer les risques
F. Obtenir l’appui des parties prenantes

A

B. Décrire les mécanismes de mise en œuvre et d’évaluation du plan

28
Q 
La technologie peut contribuer à l’amélioration de la sécurité de l’information par:
A.	L’authentification et l’autorisation
B.	La prévention et la résistance
C.	La détection et la réponse
D.	Toutes ces réponses
A

D. Toutes ces réponses

29
Q

Parmi les principaux services et outils de l’Internet, on retrouve:

A. Le World Wide Web (www)
B. Le courrier électronique
C. Le transfert de fichiers (ftp)
D. La messagerie instantanée
E.La voix sur IP
F. Les réseaux privés virtuels (RPV, ou « VPN »)
G. Toutes ces réponses
A

G. Toutes ces réponses

30
Q

L’internet est :
A. un réseau informatique centralisé
B. un réseau informatique unique et décentralisé
C. un réseau public mondial de réseaux informatiques dont la gestion est centralisée en un lieu sur la planète
D. un réseau public mondial de réseaux informatiques
E. Toutes ces réponses

A

D. un réseau public mondial de réseaux informatiques

31
Q 
Trouver l’intrus. Le Web 2.0 offre des services permettant de collaborer, de partager de l’information et de créer du contenu, de nouvelles applications et de nouveaux services comme
A. Les blogues,
B. Les wikis
C. Les fils RSS
D. Les applications monolithiques
E. Les réseaux sociaux
A

D. Les applications monolithiques

32
Q

Trouver l’intrus. Parmi les composantes d’un réseau simple, on retrouve :
A. Un ordinateur personnel avec une carte réseau
B. Un poste de travail individuel hébergeant le système d’exploitation réseau
C. Un concentrateur (« hub »): qui relie les composantes d’un réseau
D. Un commutateur (« switch »): filtre les données afin de déterminer où et comment les données seront acheminées
E. Un routeur: achemine les paquets de données d’un réseau à un autre réseau

A

B. Un poste de travail individuel hébergeant le système d’exploitation réseau

33
Q

Parmi les défis et les inconvénients des réseaux privés virtuels (RPV ou « VPN ») et des réseaux à valeur ajoutée (RVA ou « VAN »), on retrouve:

A. Ils ne gèrent que certains types de données
B. Ils n’apportent qu’un soutien limité à l’intégration des processus d’affaires en temps réel
C. Ils sont relativement chers et complexes à mettre en œuvre
D. Toutes ces réponses

A

D. Toutes ces réponses

34
Q 
Dans l'infonuagique, il existe plusieurs modèles de service. Lequel n'en est pas un :
A. SaaS
B. PaaS
C. IpsS
D. IaaS
A

C. IpsS

35
Q 
Parmi ces modèles de déploiement, lequel n'est pas un modèle de déploiement de l'infonuagique :
A.	Virtuel
B.	Public
C.	Privé
D.	Hybride
A

A. Virtuel

36
Q 
Parmi les services basés sur la localisation (SBL), on retrouve :
A.	Les services d’urgence
B.	Les services de navigation
C.	Les services de suivi
D.	La publicité géolocalisée
E.	Les services de sécurité
F.	Toutes ces réponses
A

F. toutes ces réponses

37
Q

Trouver l’intrus. Parmi les défis que l’on retrouve au niveau des réseaux sans fil, on retrouve :

A. La protection contre le vol
B. La protection des connexions filaires
C. La protection des appareils mobiles contre les virus
D. Le traitement des préoccupations de confidentialité liées à l’IDRF (RFID) et aux services basés sur la localisation (SBL)

A

B. La protection des connexions filaires

38
Q 
Trouver l’intrus. Parmi les éléments d’un dossier d’affaires, on retrouve :
A.	Le résumé exécutif
B.	La définition du problème
C.	L’aperçu du projet
D.	Le plan stratégique
E.	L’alignement stratégique
F.	L’analyse financière
G.	L’analyse des alternatives
H.	Les approbations
A

D. Le plan stratégique

39
Q

Quel outil ou technique ne fait pas partie des outils ou technique de la gestion de projet :
A. Une charte de projet
B. Le modèle conceptuel de données
C. Un plan de projet
D. PERT chart : graphique de la méthode de programmation optimale
E. Diagramme de Gantt

A

B. Le modèle conceptuel de données

40
Q

Laquelle de ces méthodes n’est pas considérée comme une méthode agile
A. La méthodologie de développement rapide d’application, ou prototypage rapide
B. La méthode en cascade
C. La méthodologie de programmation extrême
D. La méthodologie du processus unifié rationnel
E. La méthode de gestion par sprints (« Scrum »)
F. Aucune de ces réponses

A

B. La méthode en cascade

41
Q

V/F
Un projet est une initiative temporaire entreprise pour la création d’un produit ou service unique dans le but par exemple de développer un nouveau système d’information, d’améliorer un système d’information existant ou d’améliorer/remplacer l’infrastructure TI de l’organisation.

A

Vrai

42
Q

V/F
L’ensemble des processus assurant l’utilisation efficace et efficiente des TI pour permettre à une organisation d’atteindre ses objectifs constitue la gouvernance des TI

A

Vrai

43
Q

V/F
La méthode de développement du cycle de vie maintient une division très formelle du travail entre les utilisateurs finaux et les spécialistes des systèmes d’information lors du développement d’un système.

A

Vrai

44
Q

V/F
Un système d’entreprise est un ensemble de modules logiciels intégrés se référant à une base de données centrale commune et qui supporte plusieurs fonctions et processus d’affaires importants dans l’organisation que l’on nomme aussi système de gestion intégré ou « progiciels de gestion intégrés (PGI) » si acheté sur le marché.

A

Vrai

45
Q

V/F
La logistique collaborative, les stocks gérés par les fournisseurs et les échanges privés sont des exemples d’intégration de l’information au niveau des systèmes de gestion de la chaîne d’approvisionnement (GCA).

A

Faux

46
Q

Parmi les autres éléments qui nécessitent un dossier d’affaires complet et robuste, on retrouve le besoin suivant :

A. Déterminer les priorités parmi les investissements différents
B. Identifier comment la combinaison de TI et des changements aux processus d’affaires livreront des avantages identifiés
C. Assurer l’engagement de la haute direction
D. Créer une base pour vérifier si les bénéfices escomptés sont effectivement réalisés
E. Toutes ces réponses

A

E. Toutes ces réponses

47
Q

Un système d’information qui intègre tous les services et toutes les fonctions d’une organisation en un seul SI est:

A. un SI fonctionnel
B. un SI multifonctionnel
C. un prototype
D. un progiciel

A

D. un progiciel

48
Q

Parmi ces étapes, laquelle n’est pas une étape du processus d’innovation :

A. la transition
B. l’obtention des autorisations
C. l’essai limité
D. la preuve de concept

A

B. L’obtention des autorisations

49
Q

Quelle méthode de développement de systèmes d’information se caractérise par l’accélération significative de la phase de conception initiale et la définition des besoins informationnels ainsi que par l’implication des utilisateurs à un niveau très intense?

A. Méthode de développement rapide d’applications (DRA)
B. Méthode de développement par l’utilisateur final
C. Méthode du prototypage
D. Méthode de développement conjoint (en collaboration)

A

D. Méthode de développement conjoint (en collaboration)

50
Q

Quelle est la méthode de développement de systèmes d’information qui consiste à développer un design préliminaire, le tester, l’améliorer et le tester à nouveau ?

A. La méthode du processus cyclique de développement
B. La méthode itérative de développement
C. L’approche du prototypage
D. La méthode de développement du cycle de vie

A

C. L’approche du prototypage

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