examen Flashcards

1
Q

Quel est la nature du problème lors du mode de régulation éthique ?

A

comportements qui ne peuvent se justifier à la lumière des valeurs partagées

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2
Q

Quel est la nature du problème lors du mode de régulation déontologie ?

A

comportement qui vont à l’encontre des règles et des normes fixées dans les codes de conduite

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3
Q

Quel est la nature du problème lors du mode de régulation droit ?

A

comportement contraire à la loi

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4
Q

Quel est la nature du problème lors du mode de régulation moeurs ?

A

comportements contraires aux moeurs, aux conventions ou aux pratiques usuelles

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5
Q

Quel est la nature du problème lors du mode de régulation morale ?

A

comportements immoraux ou amoureux c-à-d contraires aux prémisses énoncées dans les textes normatifs

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6
Q

Quel est le rôle de l’éthique ?

A

permet la résolution pratique de problématique nouvelle ou inhabituelle / fournis des arguments de réflexion et de discussion / prises de décisions individuelles, directement liées au jugement de chacun / s’inscrit dans une logique préventive

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7
Q

Quand utilise-t-on l’éthique ?

A

lorsque les lois et codes déontologiques n’apportent aucune réponse à la problématique / lorsque les codes nuisent au jugement professionnel et empêchent les discussion entre collègues / lorsque les codes sont mal adaptés pour certains contextes culturels / lorsqu’il y a un dilemme un conflit de valeur

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8
Q

Quels sont les 3 tâches de l’éthique professionnelle ?

A

1 reconnaitre la réalité et l’importance des individus dont la vie est affectée par nos actions professionnelles 2 comprendre la nature de nos relations et de nos interventions professionnelles 3 affirmer notre responsabilité

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9
Q

Qu’est-ce qui peut empêcher l’éthique de s’actualiser ?

A

le gros bon sens et l’objectivité, les valeurs et principes moraux, l’importance accordée aux circonstances, le bénéfice à retirer

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10
Q

Quels sont les différents types de raisonnement ?

A

spontané, déductif, normatif, stratégique, casuistique et éthique

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11
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement spontané ?

A

présent chez tous les professionnels, surgit rapidement, survient dans l’urgence, gros bon sens, action orientée en fonction de l’instinct professionnel

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12
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement déductif ?

A

conclusion logiquement déduite à partir de deux prémisses initiales

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13
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement normatif ?

A

implique autorité, en fonction des règles-codes déterminant le devoir-être et devoir-faire, conduites déterminées par des obligations morales-juridiques-culturelles-déontologiques, crainte de la sanction

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14
Q

Quelles sont les limites du raisonnement normatif ?

A

perte de sens de l’action, action fait par automatisme-conformisme-peur de sanction, perception de la déontologie comme une règlementation rigide-repoussante

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15
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement stratégique ?

A

objectif d’efficacité et performance, la fin justifie les moyens, fait perdre de vue le souci de l’autre-les conséquences négatives-l’intérêt public

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16
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement casuistique ?

A

procède à partir d’une norme générale d’action, raisonnement élaboré dans la situation et il n’y aura pas d’application systématique de la règle-norme dans le contexte où se pose la décision à prendre, il y a interprétation de la norme (pas le droit de tuer, exception en légitime défense)

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17
Q

Quelles sont les caractéristiques propres au raisonnement éthique ?

A

situation plus difficile-inhabituelle, implication plus grande, survient lorsque manque de référence-normes présentes non pertinentes-normes conflictuelles-place à interprétation, perspective autorégulatoire

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18
Q

Pourquoi utiliser le processus réflexif dans la délibération éthique ?

A

réfléchir aux raisons qui justifient nos actions, confronter à une situation nouvelle-problématique-inhabituelle, tient compte des facteurs cognitifs et émotifs impliqués dans la situation, mène à des décisions plus analytiques et moins déductives, il y a un impact de la routine sur nos actions

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19
Q

Qu’est-ce que la démarche pragmatique ?

A

c’est une façon de résoudre les dilemmes éthiques qui utilisent la reflexion et la délibération, fait émerger une réponse à partir de notre compréhension de la réalité sur le terrain, mise de côté de la règle-norme pour mieux la contextualiser et l’appliquer le cas échéant, démarche qui vise à identifier le conflit normatif et à équilibrer les influences normatives

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20
Q

Qu’est-ce que la démarche dialogue ?

A

favorise la prise de décision par le dialogue, devient une quête de la meilleure solution, pas de norme au point de départ-mais plutôt une action, meilleure solution est pour tous les acteurs impliqués

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21
Q

Quels sont les 4 phases de la grille de délibération ?

A

1 prise de conscience de la situation 2 clarification des valeurs conflictuelles 3 prise de décision raisonnable 4 établissement d’un dialogue avec les parties impliquées

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22
Q

Quelle concept va avec cette définition : désigne un ensemble de caractéristiques décrivant un objet, un être, un comportement. Elle repose sur un consensus et s’applique à toutes les personnes concernées. C’est l’ensemble des règles de conduite qui s’imposent à un groupe social. Ensemble de principes, codes, règles, procédures servant de référence.

A

norme

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23
Q

Quelle concept va avec cette définition : ensemble des règles en vigueur dans une société donnée, qui sont sanctionnées, au besoin, par un autorité juridictionnelle

A

lois et règlement

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24
Q

Quelle concept va avec cette définition : prescriptions ou systèmes de prescriptions régulant les activités humaines dans une société

A

loi

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25
Q

Quelle concept va avec cette définition : prérogative reconnue à une personne dans son intérêt. Faculté humaine de pouvoir exiger certaines conditions de l’existence et de disposer de certaines ressources selon ses besoins tout en se confirmant aux principes, lois et règles morales d’une société

A

droit

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26
Q

Quelle concept va avec cette définition : Ensemble des règles de conduite et de valeurs fondées sur une distinction entre le bien et le mal qui sont proposées ou imposées à un individu ou à un groupe. Conforme aux règles, valeurs, mieux et principes admis dans un milieu.

A

morale

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27
Q

Quelle concept va avec cette définition : principe qui oriente l’action d’un individu, d’un groupe ou d’une organisation en société. Certitude fondamentale, consciente et durable qu’une manière d’être ou d’agir qu’un idéal ou un fin constitue un objet hautement désirable pour la personne ou pour la société

A

valeurs

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28
Q

Quelle concept va avec cette définition : respect des manières de faire

A

moeurs

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29
Q

Quelle concept va avec cette définition : Ensemble des règles et des devoirs qui régissent une profession ou une fonction, la conduite de ceux qui l’exercent, les rapports entre ceux-ci et leurs clients ou le public, habituellement définis par un ordre professionnel. Une morale professionnelle encadrée dans un code.

A

déontologie

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30
Q

Quelle concept va avec cette définition : Discipline de la philosophie ayant pour objet l’examen des principes moraux en regard de ce qui est jugé souhaitable et qui sont à la base de la conduite d’un individu ou d’un groupe.

A

éthique

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31
Q

Quel est l’objet de l’étique ?

A

c’est le développement du jugement pour identifier ou établir des critères nous permettant d’agir en accord avec une ou plusieurs valeurs dans une situation spécifique afin de faire le choix d’un comportement adéquat

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32
Q

Sur quoi porte l’éthique ?

A

la prise en compte des valeurs et des normes dans la formulation d’un jugement éclairé et l’élaboration d’une action appropriée

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33
Q

à quoi fait penser : norme morale

A

valable pour tous, conception du bien vs mal

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34
Q

à quoi fait penser : déontologique

A

valable pour un groupe, règles sur comportements et conduites

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35
Q

à quoi fait penser : éthique

A

valable pour moi-même, ma conception du bien

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36
Q

qui suis-je ? Je dicte la conduite, précise le comportement attendu, suis sécurisant, rigide et fixe, demande à être interprété selon les contexte et peut déresponsabiliser

A

normes

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37
Q

qui suis-je ? j’inspire et motive l’action, encrée dans les convictions et les motivations profondes, fait partie de l’identité, souple et adaptable selon les contextes, interprétation multiple et actualisation nuancée, laisse place à la responsabilité

A

valeurs

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38
Q

qui suis-je ? réflexion, renvoie à des valeurs agissantes, s’applique en situation singulière, conséquence, jugement, autonomie, responsabilité, engagement, se construit dans le rapport à l’autre, interprétation de la norme

A

éthique

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39
Q

qui suis-je ? règle, application de la norme, renvoie à des valeurs, des principes, s’applique à une situation générale, sanctions, devoirs, obligations, obéissance, adhésion, conformité à la norme

A

déontologie et droit

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40
Q

Pourquoi l’éthique ?

A

pcq il y a une tendance chez les professionnels à s’en remettre à leur propre système de valeurs au moment de prendre une décision ; il y a une tendance à vouloir éviter une véritable démarche réflexive ou l’exercice du jugement professionnel

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41
Q

Quel est le rôle de l’éthique ?

A

permet la résolution pratique de problématique nouvelle ou inhabituelle, fournis des arguments de réflexion et de discussion

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42
Q

Quand est-ce qu’il faut utiliser l’éthique ?

A

lorsque les lois et les codes de déontologie n’apporte aucune réponse à la problématique ; lorsque les codes nuisent au jugement professionnels et à la discussions entre collègue ; lorsque les codes sont mal adaptés aux contextes culturels ; lorsqu’il y a un dilemme, conflit de valeur

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43
Q

Quels sont les 3 tâches distinctes de l’éthique ?

A

1 reconnaître la réalité et l’importance des individus dont la vie est affectée par nos actions professionnelles
2 comprendre la nature de nos relations et de nos interventions professionnelles
3 affirmer notre responsabilité

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44
Q

Qu’est-ce qui peut empêcher l’éthique de s’actualiser ?

A

le bon sens et l’objectivité, les valeurs et principes moraux, l’importance accordée aux circonstances, le bénéfice à retirer

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45
Q

Quels sont les 6 types de raisonnement possible ?

A

spontané, déductif, normatif, stratégique, casuistique, éthique

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46
Q

Quels sont les limites du raisonnement normatif ?

A

perte de sens de l’action, action faite par automatisme conformisme ou peur de la sanction, perception de la déontologie comme une règlementation rigide et repoussante

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47
Q

Lors du raisonnement spontané, l’action est orienté vers quoi ?

A

l’instinct du professionnel

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48
Q

à partir de quoi le raisonnement déductif se fait-il ?

A

déduction à partir de deux prémisses

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49
Q

En fonction de quoi est fait le raisonnement normatif ?

A

des règles, codes qui déterminent un devoir-être et devoir-faire ; conduite déterminée par des obligations morales, juridiques, culturelles, déontologiques

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50
Q

Quel est l’objectif du raisonnement stratégique ?

A

l’efficacité et la performance

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51
Q

Qu’est-ce que le raisonnement stratégique fait perdre de vue ?

A

le souci de l’autre, les conséquences négatives, l’intérêt public

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52
Q

Comment se fait le raisonnement casuistique ?

A

il s’élabore dans la situation, il n’y aura pas d’application systématique de la règle/norme dans le contexte ou se pose la décision à prendre, il y a interprétation de la norme

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53
Q

Dans quels contextes survient le raisonnement éthique ?

A

manque de référence, normes présentes non-pertinentes, normes présentes conflictuelles ou place à interprétation

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54
Q

Pourquoi utiliser le processus réflexif dans la délibération éthique ?

A

réfléchir aux actions qui justifient nos actions, confronter à une situation nouvelle, tient compte des facteurs cognitifs et émotifs impliqués dans la situation, mène à des décisions plus analytiques et moins déductives

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55
Q

Qu’est-ce que la démarche pragmatique ?

A

façon de résoudre les dilemmes éthiques qui utilisent la réflexion et la délibération cherchant la meilleure solution

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56
Q

Quelle est la théorie de la vertu ?

A

prudence dans la décision ; mettre de côté les valeurs personnelles

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57
Q

quelle est la théorie de l’éthique du caring

A

mets l’accent sur le souci de l’autre, le partenariat avec le patient

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58
Q

Qu’est-ce que les théories déontologiques ?

A

fondées sur le respect de la personne et son autonomie

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59
Q

quelles sont les théories téléologiques

A

fondées sur les finalités et les buts à poursuivre

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60
Q

quelles sont les théories utilitaristes

A

considèrent les conséquences qui découlent d’une action

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61
Q

quelle sont les théories de la justice ?

A

point de vue égalitaire, égalité des droits

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62
Q

Quelles sont les 4 phases de la délibération éthique ?

A

1 prise de conscience de la situation 2 clarification des valeurs conflictuelles 3 prise de décision raisonnable 4 établissement d’un dialogue avec les parties impliquées

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63
Q

quels sont les critères pour être un professionnel ?

A

membre d’un ordre professionnel, compétent, a un jugement, a une responsabilité professionnelle

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64
Q

qu’est-ce que le savoir ?

A

connaissances spécialisées et rigoureuses

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65
Q

qu’est-ce que le savoir-faire

A

habileté, aptitude

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66
Q

qu’est-ce que le savoir être

A

attitude

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67
Q

qui suis-je ? activité décisionnelle dirigée ou un processus de résolution de problèmes réalisé dans l’intérêt du client

A

jugement professionnel

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68
Q

Quelles sont les caractéristiques d’un jugement professionnel ?

A

mène à une prise de décision, s’appuie sur des fondements/politiques/règlements/normes/cadres, décision prise en fonction des intentions des visées et des expertises, suppose la possibilité de revoir-valider-ajuster-remettre en question-confirmer ses décisions, interaction avec autrui pour plus de cohérence

69
Q

Quels sont les 3 points dont le professionnel doit se préoccuper en lien avec le jugement professionnel ?

A

1 personnes affectées par ses actions professionnelles 2 nature des relations et des interventions réaliser 3 responsabilité en tant que professionnel

70
Q

quelle est la responsabilité professionnelle ?

A

décision, mise en place des interventions et suivis assurer, évaluation des résultats

71
Q

lors de professionnalisme, que faut-il considéré ?

A

les attentes du client, les valeurs de la profession et les respecter, le maintien de la crédibilité de profession

72
Q

Qui suis-je ? savoir faire relationnel, façon de savoir comment se comporter, trouver la conduite appropriée à l’emploi considéré, c’est-à-dire adopter les comportements et attitudes attendus dans une situation donné

A

savoir-être

73
Q

le savoir-être se manifeste dans 4 thématiques lesquelles ?

A

l’attitude, les responsabilités, les relations et l’action

74
Q

Qui suis-je ? points de référence dans la vie sexuelle et dans les conceptions qui permettent d’envisager des phénomènes reliés au domaine de la sexualité

A

valeurs sexuelles

75
Q

Qui suis-je ? agis comme de véritables normes, ancrée et intégrée profondément chez la personne, inspire presque automatiquement les conduites et décisions de la personne, entièrement assumée dans les faits et gestes de la personne

A

valeurs de référence

76
Q

Qui suis-je ? représentent les idéaux, les finalités de l’existence, les buts ultimes, leurs contenus renvoient à des fins de l’existence

A

valeurs terminales

77
Q

Qui suis-je ? sont en quelque sorte des moyens d’existence, des voies de réalisation de l’être humaine, leurs contenus réfèrent à des modalité d’être ou d’agir

A

valeurs instrumentales

78
Q

quelles sont les 3 caractéristiques de la relation professionnelle ?

A

1 relation au savoir 2 relation ou un service est fourni à l’autre 3 relation qui s’inscrit dans l’autonomie du jugement professionnel

79
Q

quels sont les rôles du client dans le processus de changement ?

A

liberté et responsabilité d’un choix éclairé, assumer une part du contrôle et participer au processus d’aide, liberté d’utiliser ou non l’information - les suggestions - les avis donnés

80
Q

quels sont les rôles du sexologue dans le processus de changement ?

A

définir et maintenir une relation professionnelle -thérapeutique, prendre conscience de ses propres besoins comme aidant - de ses besoins non comblés, maintenir un certain degré d’objectivité émotionnelle - de perspective - de distance, utilisation de contrat, faciliter le développement d’une alliance, utiliser des techniques et connaissances dans les limites de sa compétence

81
Q

quelles sont les variables du sexologue qui influencent le processus d’aide ?

A

les valeurs, l’orientation théorique / approche, la compétence professionnelle, sensibilité à la diversité et à la culture

82
Q

Quels sont le rôle et les responsabilités des ordres professionnels ?

A

1 contrôler la compétence et l’intégrité des membres 2 surveiller l’exercice de la profession 3 règlementer l’exercice 4 gérer le processus disciplinaire 5 favoriser le développement de la profession 6 contrôler l’exercice illégale de la profession et l’usurpation du titre 7 produire un rapport annuel

83
Q

quels sont les trois éléments devant être réunis afin que la responsabilité d’un professionnel soit en cause ?

A

faute, dommage et lien très la faute et le dommage

84
Q

Qui est-ce qui peut faire de la psychothérapie ?

A

médecin, infirmière. psychologue, TS, conseiller d’orientation, ergothérapeute, psychoéducateur, sexologue

85
Q

qui est-ce qui délivre le permet de psychothérapeute ?

A

Ordre des psychologues du Québec

86
Q

Quelles est la définition de la psychothérapie ?

A

un traitement psychologique pour un trouble mental, des perturbations comportementales ou pour tout autre problème entrainant une souffrance ou une détresse psychologique qui a pour but de favoriser chez le client des changements significatifs dans son fonctionnement cognitif, émotionnel ou comportemental, dans son système interpersonnel, dans sa personnalité ou dans son état de santé. Ce traitement va au-delà d’un aide visant à faire face aux difficultés courantes ou d’un rapport de conseils ou de soutient

87
Q

Qu’est-ce qui n’est pas de la psychothérapie ?

A

rencontre d’accompagnement, intervention de soutien, intervention conjugale et familiale, éducation psychologique, réadaptation, suivi clinique, coaching, intervention de crise

88
Q

qui suis-je ? vise à soutenir la personne par des rencontres qui peuvent être régulières ou ponctuelles, permettant à la personne de s’exprimer sur des difficultés

A

rencontre d’accompagnement

89
Q

qui suis-je ? vise à soutenir la personne dans le but de maintenir et de consolider les acquis et les stratégies d’adaptation en ciblant les forces et les ressources dans le cadre de rencontres ou d’activité régulière et ponctuelle

A

intervention de soutien

90
Q

qui suis-je ? vise à promouvoir et à soutenir le fonctionnement optimal du couple ou de la famille par l’intermédiaire d’entretiens impliquant souvent l’ensemble de ses membres

A

intervention conjugale et familiale

91
Q

qui suis-je ? vise un apprentissage par l’information et l’éducation de la personne

A

éducation psychologique

92
Q

qui suis-je ? vise à aider la personne à composer avec les symptômes d’une maladie ou à améliorer les habiletés. Il s’adresse à des personnes qui présentent des perturbations comportementales ou tout autre problème entrainant une souffrance ou une détresse psychologique ou des problèmes de santé incluant des troubles mentaux

A

réadaptation

93
Q

qui suis-je ? consiste en des rencontres qui permettent l’actualisation d’un plan d’intervention disciplinaire

A

suivi clinique

94
Q

qui suis-je ? vise l’actualisation du potentiel par le développement de talents, ressources ou habiletés de personne qui ne sont ni en détresse ni en souffrance, mais qui exprime des besoins particuliers en matières de réalisations personnelles ou professionnelles

A

coaching

95
Q

qui suis-je ? consiste en un intervention immédiate, brève et directive qui se module selon le type de crise, les caractéristiques de la personne et celles de son entourage. elle vise à stabiliser l’état de la personne ou de son environnement en lien avec la situation de crise

A

intervention de crise

96
Q

Quelles sont les activités de l’OPSQ ?

A

délivrer le permis de sexologue, délivrer les attestation pour l’évaluation des troubles sexuels, s’assurer de la qualité des services offerts (formation continue et inspection professionnelle), recevoir les demandes du public en regard des allégations d’infractions au code de déontologie, surveiller l’utilisation illégale du titre et les pratique illégales, adopter des règlements et s’assurer du respect des règlements par les membres, favoriser l’accès au public des sexologues compétents, assurer et maintenir des relations avec d’autres organismes professionnels - gouvernementaux - socioéconomique

97
Q

Quelles est la première activité réservée et partagée du sexologue ?

A

évaluer le comportement et le développement sexuels de la personne, déterminer, recommander et effectuer des interventions et des traitements dans le but de favoriser un meilleur équilibre sexuel chez l’être humain en interaction avec son environnement

98
Q

V-F : les éléments d’information, de promotion de la santé, de prévention du suicide et de la maladie, des accidents et des problèmes sociaux auprès des individus, familles et collectivités font partie de l’exercice de la profession de sexologue dans la mesure ou ils sont reliés à des activités professionnelles.

A

vrai

99
Q

quelle est la 2e activité réservée et partagée du sexologue ?

A

évaluer les troubles sexuels lorsqu’un attention de formation lui est délivrée par l’Ordre

100
Q

quelle est la 3e activité réservée et partagée du sexologue ?

A

évaluer une personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologie attesté par un diagnostic ou pour une évaluation effectuée par un professionnel habilité

101
Q

quelle est la 4e activité réservée et partagée du sexologue ?

A

évaluer un adolescent dans le cadre d’une décision du tribunal en application e la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents

102
Q

quelle est la 5e activité réservée et partagée du sexologue ?

A

exercice de la psychothérapie lorsqu’un permis lui est délivré par l’ordre des psychologues du Québec

103
Q

Qui suis-je ? Ensemble des règles et devoirs qui régissent une profession ou une fonction, la conduite de ceux qui l’exercent, les rapports entre ceux-ci et leurs clients ou le public

A

déontologie

104
Q

Quels sont les 2 fondements des principes déontologiques en lien avec le client ?

A

Cela donne droit à la confidentialité et au consentment libre et éclairé

105
Q

Quels sont les 4 fondements des principes déontologiques en lien avec le sexologue ?

A

Il a l’obligation du respect du secret professionnel, du maintien des frontières, du maintien de ses compétences et de la conscience de sa responsabilité professionnelle

106
Q

Quels sont les 3 raisons d’être du code de déontologie ?

A

Art.38 du code des professions, énoncer règles de conduites et les devoirs des membres, soutenir la confiance du public envers la profession

107
Q

Pourquoi le consentement ?

A

mets les bases à la relation de confiance, c’est une façon d’impliquer le client dans le processus, protège l’autonomie et l’intégrité du client

108
Q

Qu’est-ce que comprends le consentement libre et éclairé ?

A

l’information, la décision volontaire, la capacité du blient à prendre une décision

109
Q

Quels sont les deux types de consentement ?

A

Explicite (le client prend rendez-vous, il consent à venir vous rencontrer), implicite (signature)

110
Q

V ou F Le formulaire de consentement est un contrat et donc le client ne peut pas le révoqué

A

faux

111
Q

Quand tenir un dossier ?

A

Quand ça touche l’intégrité de la personne, ça relève du champ d’exercices et de la compétence du sexologue, suppose la collecte ou la révélation d’informations confidentielles, s’inscrit dans un projet structuré

112
Q

pour qui tenir un dossier ?

A

chaque client qui recourt à ses services

113
Q

V ou F dans le cas de suivi familiale où il y a des rencontres individuelles, il faut tenir un dossier pour chacun des membres de la famille et un dossier pour la famille en soi

A

vrai

114
Q

Quelles sont les situations obligeant pour le sexologue de tenir un dossier ?

A

psychothérapie, relation d’aide, intervention individuelle, intervention de groupe, supervision de stagiaire, évaluation sexologique, expertise, conseiller clinique, consultant

115
Q

Pourquoi tenir un dossier ?

A

source de renseignements, outils de communication, instrument pour la recherche-l’enseignement-compilation statistique, instrument d’évaluation de la qualité des services rendus.

116
Q

V ou F Il faut signer tout ce qui est déposé au dossier, mais la date n’est pas nécessairement importante

A

faux dater et signer tout document

117
Q

Quelles sont les situations où il y a possibilité de préjudice en lien avec le dossier ?

A

l’information peut s’interpréter ou induire en erreur, elle n’est pas vérifier, elle n’est pas pertinente, elle n’est pas accessible au client ou n’est pas respectueuse du client

118
Q

Comment éviter les préjudices en lien avec le dossier ?

A

indiquer le mandat clairement, indiquer dans quel état se trouve le client lors de la rencontre, pas de généralisation, s’assurer du lien entre le mandat et le contexte dans lequel le client se présente

119
Q

Qui suis-je ? Données qui ont été analysées, validées, appréciées ou expliquées

A

donnée interprétées

120
Q

Quelles sont les 6 caractéristiques dont doivent avoir les notes évolutives ?

A

complète, exactes, organisées en fonction des thèmes, concises, pertinentes, interprétées

121
Q

V ou F Le sexologue est tenu de conserver le dossier pendant au moins 3 ans

A

faux, au moins 5 ans

122
Q

V ou F Le dossier parallèle est strictement interdit

A

vrai

123
Q

qui suis-je ? un seul dossier pour tous les professionnels du milieu

A

dossier centralisé

124
Q

qui suis-je ? Un autre dossier tenu par le professionnel en plus du dossier centralisé

A

dossier parallèle

125
Q

qui suis-je ? une copie du dossier existant

A

copie conforme

126
Q

Qui suis-je ? Lorsque le sexologue cesse de rendre des services professionnels à un client avant la fin de la réalisation de la prestation convenue

A

cessation de services

127
Q

qui suis-je ? moment où le sexologue cesse ses activité professionnelles. Ce peut être au moment de la retraite ou un congé de maladie ou un congé parental

A

cessation d’exercice

128
Q

V ou F Lorsque l’on n’est plus inscrit au tablea des memebres, on ne peut pas rester en possession des dossiers

A

vrai

129
Q

V ou F Le cessionnaire peut être n’importe qui

A

faux, il fait que ce soit un sexologue inscrit au tableau de l’OPSQ

130
Q

V ou F Le cessionnaire est gardien des dossiers et en assure la confidentialité et la conservation ; un avis sera envoyé à chaque client

A

vrai

131
Q

À quoi est lier le témoin de fait ?

A

reception d’un subpoena d’un client ou ancien client, obligation de se présenter, apporter les documents mentionnés sur le subpoena, le secret professionnel s’applique pour tous ces documents, aucune opinion émise il ne faut que relater les faits

132
Q

À quoi est lier le témoin de expert ?

A

mettre à profit de la Cour ses connaissances et habiletés sur le sujet en présentant le résultat de son évaluation, peut être appelé à se prononcer sur des faits (donner son opinion, formuler des recommandations, interpréter des données)

133
Q

qu’est-ce que le secret professionnel ?

A

tout renseignement de nature confidentielle qui vient à la connaissance du sexologue dans l’exercice de sa profession

134
Q

Qui est tenu au secret professionnel ?

A

tout membre d’un ordre professionnel reconnu selon le Code des professions et pour qui la loi impose ce devoir & personne employée dans un établissement de santé (obligation de confidentialité)

135
Q

V ou F Une personne qui n’est pas membre d’un ordre professionnel, mais qui dispense des services n’est pas tenue au secret professionnel

A

vrai

136
Q

V ou F si l’on reçoit une confidence lors d’une animation cette information doit être protégée

A

vrai

137
Q

V ou F Lorsque le client signe une autorisation de divulgation ou lorsque la loi l’ordonne il est possible d’être relevé du secret professionnel

A

vrai

138
Q

Qu’est-ce que la divulgation discrétionnaire d’information confidentielle ?

A

c’est lorsque l’on est autorisé à le faire, soi par la loi ou le client, mais on décide de si on le fait ou non

139
Q

Qu’est-ce que la divulgation obligatoire ?

A

tenue de divulguer, on transmet ce qui est demandé

140
Q

V ou F Un dévoilement par votre client d’un acte criminel qu’il a perpétré il y a quelque année est un motif raisonnable pour briser le secret professionnel

A

faux, ce sont seulement les actes criminels qui se préparent qui peuvent être dévoilés

141
Q

Lors de situation de danger entraînant un bris du secret professionnel, à qui est-il possible de communiquer le renseignement sans délai

A

toute personne susceptible de venir en aide au client

142
Q

qui suis-je ? Ensemble des règles à suivre, des responsabilités du professionnel et du client qui sont établies dans l’intervention.

A

cadre

143
Q

quels sont les avantages d’un cadre et des frontières

A

favorise une structure sécuritaire dans la relation professionnelle, favorise la coopération, le lien de confiance, l’alliance thérapeutique, respecte les principes éthiques suivants (autonomie et autodétermination, éviter de nuire, équité et fidélité)

144
Q

Quels sont les enjeux liés au cadre et aux frontières ?

A

la manière d’établir le cadre dépend du sexologue, le cadre dépend du sexologue - de l’institution - du lieu de travail - des règlements, consentement éclairé permet d’établir le cadre, responsabilité du sexologue de maintenir le cadre

145
Q

V ou F le sexologue peut prendre pour acquis que le client connait le cadre du sexologue

A

faux

146
Q

quels sont les éléments pouvant rendre le cadre plus difficile à respecter ?

A

clientèle ayant des difficultés à respecter les limites, enjeux du sexologue, interaction entre le milieu et le contexte de l’intervention, philosophie du milieu

147
Q

Qui suis-je ?exercice de sa profession avec objectivité. faire abstraction de toute intervention d’un tiers qui pourrait influencer son jugement professionnel et causer préjudice

A

indépendance professionnelle

148
Q

qui suis-je ? intervention du sexologue qui vise à favoriser ses intérêts à lui ou ceux d’un tiers au détriment de ceux de son client. Situation ou le jugement du sexologue et sa loyauté envers le client peuvent en être défavorablement affecté

A

conflit d’intérêt

149
Q

quels sont les 3 types de conflit d’intérêt ?

A

conflit réel, conflit apparent et conflit potentiel

150
Q

quels sont les 3 nature des conflit d’intérêt ?

A

en rapport avec l’argent, en rapport avec l’information, en rapport avec l’influence

151
Q

qui suis-je ? dualité de rôle joué auprès du client, conflit entre deux fonctions professionnelles, double mandat réalisé simultanément ou successivement auprès du client, comporte un risque potentiel de conflit d’intérêt, implique la perte de l’indépendance professionnelle

A

conflit de rôle

152
Q

V ou F le conflit de rôle est un type de conflit d’intérêt

A

vrai

153
Q

quels sont les cause d’un conflit d’intérêt ?

A

confusion du client de sa perception du professionnel, bris de confiance dans la relation professionnelle, perte de l’indépendance professionnelle

154
Q

Qu’est-ce que l’inconduite à caractère sexuel implique ?

A

réprobation générale, manquement à la relation professionnelle, confusion de rôle, conflit d’intérêt, abus de pouvoir, mauvaise gestion du contre transfert, répercussion négative sur le client

155
Q

quelles sont les 3 raisons pour interdire l’inconduite sexuelle ?

A

vulnérabilité du client, intérêts du professionnel placés devant ceux du client, conséquences néfastes sur le client

156
Q

Quelles sont les éléments à considérer lors de la fin d’une relation professionnelle afin de débuter une relation personnelle ?

A

nature de la problématique traitée, durée des services, vulnérabilité du client, possibilité qu’il puisse recourir à nouveau à vos services

157
Q

quels sont les 3 critères fondamentaux liés à la crédibilité ?

A

personnalité d’un individu, compétences, expertise

158
Q

le critère lié à la crédibilité personnalité de l’individu inclus 7 éléments, quels sont ils ?

A

respect des engagements, modestie, intégrité, responsabilité sociale, rationalisme-objectivité, authenticité, communication-sociabilité

159
Q

le critère lié à la crédibilité compétences inclus 5 éléments, quels sont ils ?

A

orientation vers les résultats, intelligence sociale, habiletés intellectuelles, qualité décisionnelle, analyse-jugement clinique

160
Q

le critère lié à la crédibilité expertise inclus 6 éléments, quels sont ils ?

A

éducation et certification, réalisations antérieures, compréhension de l’organisation et du secteur d’activité, amélioration continue, réseau, expérience

161
Q

qui suis-je ? englobe notre conduite au travail ainsi que notre apparence générale

A

image professionnelle

162
Q

V ou F Il est possible d’utiliser un témoignage comme publicité

A

faux, cela fait un bris de confidentialité

163
Q

V ou F il est possible d’utiliser le symbole de l’ordre pour la publicité

A

vrai en s’assurant que ce symbole est conforme à l’original

164
Q

V ou F il est possible de recommander un produit qui n’est pas relié au domaine de la sexologie

A

faux

165
Q

V ou F lorsque l’on a plus besoin de la publication, il est possible de la jeté

A

faux, il faut attendre 3 ans

166
Q

V ou F il est possible d’utiliser les réseaux sociaux pour publicité

A

vrai, mais toujours faire attention à l’image projetée par ce que l’on publie et partage

167
Q

quelles sont les frontières en lien avec l’utilisation des réseaux sociaux ?

A

séparer vie professionnelle et personnelle, ne pas accepter de client comme ami fb, réseaux sociaux sont des espaces publics

168
Q

quels sont les 6 avantages de la consultation en ligne ?

A

anonymat, commodité, efficacité du temps, accessibilité, rentabilité, facile à essayer

169
Q

quels sont les 6 limites de la consultation en ligne ?

A

certaines problématiques à éviter, communication, environnement, indice non-verbaux, sécurité, technologie