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Psychologie > Examen 2 - Session 1 : Etats De Conscience + Apprentissage Par Conditionnement Et Social > Flashcards

Examen 2 - Session 1 : Etats De Conscience + Apprentissage Par Conditionnement Et Social Flashcards

1
Q

Conscience définition

A

Phénomène par lequel l’individu a une connaissance directe de lui mm et de son environn (dedans et dehors)

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2
Q

États de conscience définition

A

État général de réactivité aux stimuli internes ou externes qui dépend de l’intégration (assimilation) du SNC & qui influe sur la façon dont la personne est en relation avec elle mm et son environnement

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3
Q

Nommer les différents types d’états de conscience ainsi que ses sous-types

A

Veille = normale ou induite par (la méditation, les psycho tropes et l’hypnose)
Sommeil = lent, paradoxal ou hypnose
Inconscience = sous anesthésie, coma ou état végétatif

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4
Q

Différents degrés d’attention en état de veille

A

Attention diffuse (être dans la lune, pensée vagabonde) -> attention moyenne -> attention élevée -> attention involontaire (réacquiert peu d’investissement ex: mouv appris automatisés)

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5
Q

Rythme circadien définition

A

Rythme biologique d’une périodicité de 24h à l’instar de l’alternance jour-nuit (veille-sommeil)

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6
Q

Horloge biologique définition

A

Ensemble des mécanismes biochimiques et physiologiques qui règle le rythme selon lequel évoluent certaines activités biologiques au cours d’une période donnée

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7
Q

Ce qui peut perturber le rythme circadien et l’horloge biologique + ex de personnes au rythme circadien perturbé

A

Certains gènes (gros vs petit dormeur)
Variation de lumière (melatonine : neurhormone sécrétée qd soleil se couche qui permet de s’endormir mais pas d’améliorer la qualité du sommeil -> trop de melatonine donnée à un enfant réduit/ralenti sa croissance)
Lumière bleue : DEL (éclairage des rues, maisons, etc) & écrans
— ——
Ex de personnes : voyageurs transmeridiens - travailleurs de nuit - changement d’horaire fréquent (ex: ambulanciers/infirmieres/pompiers/etc)

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8
Q

2 Indicateurs physiologiques qui aident à suivre le rythme circadien

A
  • température du corps (+ élevée en après midi et en début de soirée)
  • concentration melatonin
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9
Q

Problèmes liés aux perturbations du rythme circadien

A

Difficulté à dormir, fatigué, problèmes d’appétit et de digestion, maux de tête, irritabilité, difficultés de concentration

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10
Q

Veille définition

A

État d’une personne qui débute au moment où elle se réveille et qui persiste jusqu’à ce qu’elle se rendorme , tombe inconsciente ou décéde

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11
Q

Rôle dans le sommeil de l’hypothalamus

A

Horloge réglant le rythme circadien est située dans l’hypothalamus

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12
Q

Rôle dans le sommeil de la formation réticulée

A

Filtre des stimuli externes et internes non-menaçants pour la survie

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13
Q

Rôle dans le sommeil du cortex cérébral

A

Très actif lors des rêves du sommeil paradoxal

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14
Q

Sommaire déroulement typique d’une nuit de sommeil (graphique diagramme à bande et diagrammes circulaires)

A

Généralement = 4 paliers sommeil paradoxal - 6 petits paliers sommeil léger or les 4 premières h puis 3 plus longs paliers pour les 4 dernières - sommeil profond a lieu dans les 4 premières heures + un dernier petit palier à la 6e heure mais
Jeune enfant = légèrement plus de sommeil non MOR que MOR & + sommeil que veille
Adulte = + veille que sommeil / environ deux fois plus de sommeil non MOR que MOR
Prsn âgée = définitivement + éveillé que endormi / vrm pas bcp de sommeil MOR

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15
Q

Sommeil léger (pourcentage + caracteristiques)

A

50%
Plusieurs cycles durant la nuit
Facile de se réveiller
Rêves mais oubli rapide

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16
Q

Sommeil profond (pourcentage + caracteristiques)

A

20-25%
+ long au début de la nuit
Récupération du corps
Reconsolidation (mémoire)
Si grand effort physique = + long

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17
Q

Effet de rebondissement

A

Tendance à passé + de TMPS que la normale ds un stade de sommeil dont on a été privé (récupération)

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18
Q

Sommeil paradoxal (pourcentage + caracteristiques)

A

20-25%
Perte de tout tonus musculaire - paralysie
Erection & lubrification
Augmentation générale des fréquences cardiaques et respiratoires, de la pression artérielle, du métabolisme et de la température
Mouvement oculaires rapides (MOR)
Rêves = capable de s’en rappeler
Si grande tache de concentration = + longue durée (apprentissage)
50% chz nourrissons

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19
Q

Nommer deux types de fonctions du sommeil

A

Biologiques et cognitives

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20
Q

Nommer fonctions biologiques du sommeil

A

Récupération physique (muscles, peau, os, système immunitaire)
Hormone de croissance
Régulation glycémie et du poids
Élimination des toxines (ex: cerveau)
Régulation de l’humeur + stress

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21
Q

Nommer fonctions cognitives sommeil

A

Faire le ménage / apprentissage / mémoire

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22
Q

Nommer les 5 fonctions des rêves

A

Exutoire - protectrice - gestion des émotions - efficacité cognitive - adaptation sociale

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23
Q

Expliquer fonction exutoire des rêves

A

Pulsions, désirs refoulés (Freud) -> les faire sortir ds reve

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24
Q

Expliquer fonction protectrice des rêves

A

Simulation des menaces pour survie (théorie anthropologique)

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25
Q

Expliquer fonction gestion des émotions des rêves

A

Évitement (apprendre à éviter les situations qui pourraient être difficiles sur le plan émotionnel ou amener à reproduire les comportements appropriés) & émotions négatives (apprendre à mieux les gérer)

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26
Q

Expliquer fonction efficacité cognitive des rêves

A

Mettre de l’ordre dans les souvenirs & renforcer les associations utiles en rejouant les situations d’apprentissage & trouver des solutions (ex: exercice de planche à neige ou morceau de guitare difficile à jouer)
Seule théorie prouvée scientifiquement

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27
Q

Expliquer fonction adaptation sociale des rêves

A

Développer certaines habiletés sociales, surtout l’empathie (neurones miroirs très actifs lors rêves = neurones qui permettent de se mettre à la place des autres)

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28
Q

Insomnie (pourcentage + définition)

A

10-20%
Difficulté d’endormissement, réveils fréquents, prolongés ou trop tôt
Cause des difficultés de concentration/memoire/humeur/problèmes physiques

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29
Q

Narcolepsie (pourcentage + définition)

A

0,02-0,04%
Endormissement ou envie irrépressible de dormir lors période normale de veille, fatigue hallucinations, irritabilité

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30
Q

Cataplexie (définition)

A

Perte complète de tonus musculaire liée à des émotions
Cause exacte inconnue mais hérédité

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31
Q

Apnée du sommeil (pourcentage + définition)

A

6-7%
Arrêter de respirer pendant sommeil
Manque oxygène pdt nuit = néfaste pour santé physique & mentale (liée à depression’
Cause = obésité

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32
Q

Parasomnie définition + exemples

A

Troubles qui ne perturbent pas le déroulement ni la qualité du sommeil mais qui peuvent nuire au dormeur ou souvent à son entourage (moins problématiques)
Ex: somnambulisme - somniloquie - terreurs nocturnes - cauchemars - trouble du comportement en sommeil paradoxal - paralysie du sommeil

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33
Q

Somnambulisme et somniloquie (pourcentage (ensemble) et définition (chaque))

A

1-5%
+ chez enfants et ados
Relies aux périodes de stress
Somnambulisme = bouger dans sommeil / généralement dans sommeil profond mais peut être ds tt phases du sommeil
Somniloquie = parler ou émettre sons dans sommeil / au cours du sommeil lent ou paradoxal

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34
Q

Terreurs nocturnes définition

A

Réveil brusque, agitation, signes de frayeurs, activation corporelle élevée
Au cours du sommeil profond
Ne laisse aucun souvenir

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35
Q

Cauchemars définition

A

Rêve effrayant
Revient parfois souvent
Survient habituellement lors sommeil paradoxal
Associé à émotions négatives assez fortes pour réveiller le dormeur + pas de difficulté à s’en rappeler

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36
Q

Trouble du comportement en sommeil paradoxal définition

A

Rêve agité (sans paralysie du sommeil) -> agit les rêves

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37
Q

Paralysie du sommeil définition

A

Paralysie musculaire avant de s’endormir ou au réveil mais conscience -> peut générer des hallucinations pour make sense of it

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38
Q

Méditation définition

A

Façon volontaire d’induire un état de conscience en visant une acuité (concentration) accrue de la conscience de soi & de l’environnement

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39
Q

Différentes formes de médiation

A
  1. En mouvement (ex: yoga)
  2. En posture stable
    -> méditation concentration:
    Concentration sur un élément précis (ex: respiration, scan corporel, bruit comme bol tibétain)
    -> méditation réceptive/pleine conscience
    Concentration sur tous les sens/pensees/emotions sans s’y accrocher ou de laisser
    submerger (laisser les pensées défiler sans s’en soucier)
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40
Q

Effets méditation pleine conscience = plasticité cérébrale (capacité du cerveau à se modifier)

A

Activation des structures neurales de zones reliées à l’attention, à la mémoire et à une meilleure régulation émotionnelle (système nerveux autonome : sympathique)
Augmentation ondes thêta dans cortex frontal = experienced émotionnelles positives
Flexibilité mentale & créativité
Mémoire & concentration (augmentation matière grise)
Empathie, conscience de soi & autres, altruisme

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41
Q

Hypnose définition

A

État de conscience caractérisé par une sensibilité accrue aux suggestions (gestes, perceptions, impressions, souvenirs)
Ente veille et sommeil car tu te rappelez de certains détails mais pas tous (slm ce sur quoi tu es concentre)

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42
Q

Induction définition

A

Processus par lequel une personne est amenée dans un état hypnotique (ex: objet)

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43
Q

Suggestibilité hypnotique (10%-80%-10% meaning - definition - QUESTCE que l’échelle de Stanford)

A

Suggestib hypnotique : phénomène selon lequel une personne en état d’hypnose est sensible aux suggestions d’un hypnotiseur
10% = pas hypnostisable / 80 = hypnotisable avec effort / 10 = très hypnotisable
Échelle de Stanford = l’échelle de susceptibilité à l’hypnose / psychométrique (méthode quantitative en psycho)

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44
Q

Théorie psycho-bio-sociales de la suggestibilité hypnotique (nommer chaque facteur)

A

Bio: système nerveux, gènes et tempérament (réactivité aux stimuli)
Psycho : attentes et croyances
Sociales: rôles et statuts sociaux de l’hypnotiseur (ex: médecin) / culture (rituels) / croyances sociales

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45
Q

Applications de l’hypnose (nommer les 3)

A
  1. Récupération des souvenirs (attention aux suggestions)
  2. Traitements thérapeutiques : obésité, phobie, insomnie, douleur, anxiété, etc
  3. Hypnosédation (dentise, intervention cardiaque, accouchement)
46
Q

Risques hypnose (nommer les 2)

A
  1. Crédibilité indue : faits fictifs, faux souvenirs
  2. Dangers de manipulation (+ ou - vrai selon prof) -> la personne ne va pas faire qqch allant à l’encontre de ses valeurs
47
Q

Psychotrope : substance qui agit sur le SNC (donc cerveau) et modifie… (nommer les plus consommés)

A

Modifie:
- degré de vigilance (sensations, perceptions, attention)
-Humeur (émotions)
-processus cognitifs (pensees, interprétations, mémoire, etc)
-Comportements

Les + consommées : pot, alcool, caféine, nicotine

48
Q

Dépresseur (effet général + autres effets possibles)

A

Effet général: ralentissement de l’activité du SNC / favorise relaxation et sommeil
Autres effets possibles: baisse inhibitions / baisse maitrise des fonctions cognitives et motrices

49
Q

Dépresseur exemples

A
  • alcool
  • tranquillisants de type sédatif et hypnotique (srt benzodiazepines)
  • sub volatiles (ex: essence à moteur, vernis à ongle, colle)
  • GHB
  • opiacés (srt héroïne & morphine, aussi méthadone)
50
Q

Stimulant (effet général + autres effets possibles)

A

Général: activation accrue des fonctions normalement sous gestion du système nerveux sympathique
Autres: sentiment d’euphorie / impression de puissance (sexuelle, motrice ou intellectuelle) / augmentation degré d’attention et concentration / angoisse et panique

51
Q

Stimulant exemples

A

Stimulants mineurs : caféine (café, thé, cacao, boissons énergisantes) + nicotine
Majeurs: amphétamines, cocaine (dont crack et ses derives)

52
Q

Effet agoniste

A

Prendre deux substances de mm catégorie

53
Q

Effet antagoniste

A

Prendre deux substances qui ont effets contraires (pr «balancer»)

54
Q

Perturbateurs effet généraux + spécialité

A

Généraux: hallucination, sentiment intense de conscience de soi, déficits moteurs & cognitifs
Spécialité: effet variant bcp + d’une personne à un autre que autres classes
Effet variant considérablement selon le type de sub

55
Q

Perturbateur exemples

A
  • cannabis et haschisch
  • hallucinogènes de type
    LSD (ex: mescaline)
    Stimulant (ex: MDMA ou ecstasy, nexus)
    Anesthésique dissociatif (ketamine, PCP ou angel dust)
56
Q

Médicaments psychothérapeutiques ou psychoactifs effet général

A

Général: disparition ou atténuation d’une souffrance psychologique

57
Q

Meds psychothérapeutiques/ psycho actifs exemples

A

Antidépresseurs
Antipsychotiques
Stabilisateurs de l’humeur

58
Q

Dépendance définition (+ nommer deux sous types)

A

État decoulant de la consommation de psychotropes qui se manifeste par la recherche et l’utilisation de drogue de façon répétée, chronique et presque irrépressible malgré les impacts négatifs importants (psycho-bio-sociaux) sur la personne et sur son entourage

Dépendance physique et psychologique qui vont souvent ensemble

59
Q

Dépendance psychologique définition

A

Ressentir les effets pour soulager un malaise psychologique (automédication) ex: alcool & trouble anxieux, insomnie, dépression

60
Q

Dépendance physique définition

A

Ressentir les effets pour soulager un malaise physique se manifestant par l’apparition du syndrome de sevrage au moment de l’arrêt brusque de la consommation du produti

61
Q

Tolérance définition

A

Besoin de qtite de + en + grande le ressentir le mm effet

62
Q

Toxicomanie définition

A

Conso quasi quotidienne , recherche prioritaire, avant besoins fondamentaux (ex: manger, boire, dormir, hygiène, socialiser)

63
Q

Syndrome de sevrage définition

A

Réactions physiques pénibles lors de l’arrêt brusque (ex: méthadone)

64
Q

Raisons pour lesquelles on commence à consommer

A

Pour satisfaire sa curiosité, s’amuser, se détendre, vivre des expériences différentes, combattre la timidité, fuir la solitude, appartenir à un groupe, défier l’autorité, soulager un mal-être ou une douleur physique

65
Q

Facteurs de RISQUES de dépendance sociaux (exemples)

A

Famille
Exclusion sociale
Relations difficiles
Difficultés scolaires
Pauvreté
Facteurs culturels (accessibilité, publicité)

66
Q

Facteurs de RISQUES de dépendance psychologiques (exemples)

A

Traumatismes
Différences individuelles (tempérament (disposition générale de l’humeur et de la sensibilité dans relation avec soi et environnement = stimuli) difficile, complication périnatales, estime de soi, personnalité)
Traits de personnalité lié à dépendance : impulsivité, recherche de sensations fortes, traits oppositionnels (tester les limites = défis)

67
Q

Facteurs de RISQUES de dépendance biologiques exemples

A

Activation circuit de récompense : dopamine et apprentissage des cpts ayant effets agreables
type de produit consomme (certains entraînent dépendance rapide et forte (ex: héroïne et morphine) d’autre non ou très graduelle) (pic dopaminergique)
prédispositions héréditaires (gènes rendant un individu plus vulnérable à la dépendance à une substance qu’un autre / effet + grand)

68
Q

Apprentissage définition

A

Modification relativement durable du comportement & des processus mentaux qui résulte de l’expérience / processus qui conduit à des modifications du comportement
Durable = fait désormais partie du répertoire comportementale de l’organisme

69
Q

Conditionnements définition

A

Forme d’apprentissage dans laquelle un organisme en vient à adopter un comportement dans une situation où il ne le faisait pas auparavant suite à une exposition à des conditions particulières (inverse = aussi possible)

70
Q

Quelle est l’approche scientifique qui a élaboré les principes d’apprentissage par conditionnement

A

Le béhaviorisme = l’étude scientifique du comportement (behavior)

71
Q

Sensibilisation définition

A

Forme d’apprentissage ou l’organisme vient à réagir de + en + à un stimulus constant

72
Q

Habituation définition

A

Forme d’apprentissage ou l’organisme en vient à ne pas réagir à un stimulus constant (ex: bruit ventilateur)

73
Q

Principes de base du béhaviorisme

A

Instance sur le comportement OBSERVABLE : donc ≠ de mentalisation/introspection
Source du comportement : pas dans l’individu mais dans l’environnement (stimuli)
Tt s’apprend et tt se désapprend (ex: peurs, dégoûts, phobies, dépression, comportements aggressifs ou amoureux)

74
Q

Conditionnements répondant/classique définition

A

La réponse de l’organisme (INBOLONTAIRE/REFELEXE) est déclenchée & contrôlée par le stimulus qui la PRÉCÈDE
Stimulus vient AVANT la réponse
Forme d’apprentissage dans laquelle un organisme est amené à réagir à un stimulus par une réponse qu’il ne fournissait pas auparavant

75
Q

Stimulus (S) définition + exemples

A

Agent observable et mesurable qui affecte l’organisme (corps)
Ex: lumière, musique, claque, mots doux, etc

76
Q

Réponse (R) definition + exemples

A

Comportement de l’organisme déclenché par un stimulus
Ex: dilatation pupille, bien-etre, sourire, coup de poing, etc

77
Q

Stimulus neutre (SN) Definitiom

A

Stimulus qui ne provoque pas au départ la réponse qu’on veut soumettre au conditionnement

78
Q

Stimulus inconditionnel (SI) définition

A

Stimulus qui provoque dès le départ la réponse qu’on veut soumettre au cond

79
Q

Réponse inconditionnelle (RI) définition

A

Réponse provoquée initialement par le stimulus incond

80
Q

1ere etape conditionnement répondant : AVANT cond

A

SI = RI
SN ≠ RI

81
Q

2e etape cond répondant : PDT

A

SN + SI = RI
répéter plusieurs fois

82
Q

Stimulus conditionnel (SC) def

A

Stimulus initialement neutre qui a pour effet de provoquer une réponse après avoir été associé au stimulus inconditionnel qui au départ provoquait cette réponse

83
Q

Réponse conditionnelle (RC) def

A

Réponse provoquee à la fin de la procédure par le stimulus conditionnel

84
Q

3e etape cond répondant = APRÈS

A

SC = RC

85
Q

Schéma qui résume la procédure du conditionnement répondant

A

SI -> RI
SN + SI -> RI
SC -> RC

86
Q

Généralisation définition + «schéma» pr cond REPONDSNT

A

tendance d’une réponse conditionnelle à se manifester en réaction à des stimuli similaires au stimulus conditionnel initial
SC = RC
éléments similaires = RC

87
Q

Discrimination def + «schéma» pr cond RÉPONDANT

A

Phenom selon lequel on amène un organisme à ne répondre qu’à un stimulus conditionnel déterminer et ≠ a un autre qui lui ressemble
SC = RC
éléments similaires discriminés ≠ RC

88
Q

Extinction def + «schéma» pour cond RÉPONDANT

A

disparition graduelle d’une réponse due au fait que le stimulus inconditionnel ne suit plus le stimulus conditionnel
SC = RC
après certains tmps
SC ≠ RC

89
Q

Récupération spontanée: def + «schéma» pr cond REPONDSNT

A

réapparition d’une réponse précédemment éteinte qui survient lorsque après une période de délai, on présente de nouveau le stimulus conditionnel
SC ≠ RC
SC = RC

90
Q

Conditionnement opérant définition

A

Un comportement opérant est déployé par l’organisme (donc VOLONTAIRE) et suivi d’événements (CONSÉQUENCES)
Conséquences génèrent le nouvel apprentissage
Un organisme est amené à modifier son comportement en fonction de ce qui survient après que le comportement a été manifeste

91
Q

Renforcement (récompense) def + deux façons de faire

A

AUGMENTE probabilité de répétition/apparition d’une réponse
- ajouter un stimulus appetitif (que lon veut)
- retirer un stimulus aversion (que l’on veut pas)

92
Q

Punition def + deux façons de faire

A

DIMINUE tjrs la probabilité d’apparition d’une réponse
- ajouter un stimulus aversif
- retirer un stimulus appétitif

93
Q

Loi de l’effet

A

Un comportement tend à se reproduire ou à disparaître selon qu’il est récompensé ou puni

94
Q

Notion de positif ou négatif

A

Rien à voir avec bien ou mal
J’ajoute ou je retire
Punition comme renforcement peut être positif ou négatif

95
Q

Renforcement positif def + ex

A

Augmentation du comportement ciblé
Ajout d’un stimulus appétitif
Donner des frites prcq été sage

96
Q

Renforcement négatif def + ex

A

Augmentation du comportement ciblé
Retirer stimulus aversif
Retirer corvée quotidienne prcq été sage

97
Q

Punition positive def + exemple

A

Diminution du comportement ciblé
Ajout d’un stimulus aversif
Donner des corvées prcq été tannant

98
Q

Punition négative def + ex

A

Diminution du comportement ciblé
Retirer un stimulus appétitif
Retirer des frites prcq été tannant

99
Q

Généralisation définition pour cond OPÉRANT

A

Tendance d’un comportement à se manifester lorsqu’un organisme se trouve dans une situation semblable à celle où s’était fait l’apprentissage initial

100
Q

Discrimination def pour cond OPERANT

A

Phénomène selon lequel on amène un organisme à ne répondre qua un stimulus discriminatif déterminé, et non à un autre qui lui ressemble
Ex: stimulus discrimination = signaux routiers

101
Q

Extinction def pour cond OPERANT

A

Disparition graduelle d’une réponse due au fait que cette dernière n’est plus renforcée

102
Q

Récupération spontanée def pour cond OPERANT

A

Réapparition d’une réponse précédemment éteinte qui survient lorsque, après une période de délai, on place de nouveau l’organisme dans la situation où il avait appris la réponse

103
Q

Application cliniques béhaviorales utilisées en thérapie (juste nommer)

A

Faconnement
Économie de jetons
Désensibilisation systématique (contre-conditionnement)
Exposition

104
Q

Façonnement définition

A

Pour cond opérant
Technique consistant à renforcer, par approximations successives, des comportements de rapprochant de + en + de la réponse desiree (graduel)

105
Q

Économie de jetons def

A

Pour cond opérant
Méthode de renforcement positif
Utiliser un système de récompense pour gérer les comportements inadaptés
Les bons comportements rapportent des jetons (renforçateurs secondaires) qui peuvent être échangés à la longue (voir le progrès) contre une récompense (renforçateurs primaires) comme bonbons ou jouets

106
Q

Désensibilisation systématique def + ex

A

Pour cond répondant
Va avec exposition
Relaxation : contre-conditionnement
Exposition progressive pour affaiblir une réponse anxieuse face à un objet photogène (trauma/phobie) en associant celui-ci à une réaction de détente
Ex: peur ascenseur-> aller de plus en plus proche de celui-ci

107
Q

Exposition def + exemple

A

Pour le cond REPONDANT
va tjrs avec désensibilisation systématique
Mettre fin à l’évitement
Ex: thérapie d’exposition visant à guérir une phobie
Leur ascenseur = directement rentrer dedans

108
Q

Comparaison entre cond classique et opérant (réponse / procédure suivie / façon de contrôler le comportement)

A

Rep: classique -> provoquée par un stimulus
opérant -> produite spontanément par l’organisme
Procédure : classique -> pairage entre deux stimuli survenant AVANT la réponse
Opérant -> présentation/retrait d’un stimulus survenant APRÈS la réponse
Façon de contrôler comportement : classique -> par ce qui précède le comportement
opérant -> pas ce qui suit le comportement

109
Q

Apprentissage social & cognitif : ajouts au béhaviorisme traditionnel

A
  • individu en tant qu’agent ACTIF de son développement
  • à l’intérieur de la boite noir (cortex cérébral) -> processus cognitifs (médiateur entre l’environnement & le comportement)
  • on apprend aussi sans renforcements -> imitation de modèles (apprentissage sociale)
    Modèles = exemples de comportements (parents, fratrie, celebs, TV, etc)
110
Q

Apprentissage social - bandura
Par l’apprentissage par observation on apprend…

A
  • selon ce qui arrive aux modèles observés
  • par imitation différée : reproduire un comportement vécu ou observé dans son quotidien (ex: jouer à la mama, au prof, apprendre à parler, etc)
  • par des processus cognitifs : construit une conception de la réalité en observant ces modèles
111
Q

Expérience classique de bandura : apprentissage de l’agressivité (expliquer déroulement de l’expérience)

A
  1. Les enfants jouent ds salle ou se trouvent des poupées
  2. S’assurer que des réponses comportementales aggressive ne font pas déjà partie du répertoire naturel des enfants (variable contaminante)
  3. TOUS les enfants voient un modèle qui martyrise les jouets
  4. Groupe 1 : modèle = renforce/recompensé
    Groupe 2 : modèle = puni
    Groupe 3 : modèle = ni puni ni renforcé
  5. Conclusion : le seul groupe qui n’a pas imité le modèle = groupe 2

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