Examen 2 Flashcards
(Roussillon) C’est en quelque sorte le préalable à un abord psychopathologique qui privilégie l’intelligibilité et l’approche compréhensive de la “souffrance humaine”, de son “pathos”. Une bonne représentation d’ensemble de quelle théorie ?
De la théorie de la construction de la psyché et de son évolution historique. Ça nous a en effet semblé nécessaire pour que les formes de la souffrance psychopathologique que nous aborderons ensuite prennent place et sens au sein d’une histoire de la subjectivité et de la subjectivation.
(Roussillon) Quelle que soit la difficulté du projet - ce n’est pas un hasard s’il n’y a pas d’ouvrage qui présente une représentation d’ensemble de l’histoire de la structuration de la psyché et de la subjectivité- , il nous a semblé indispensable d’en proposer une, et ce, en dépit des inévitables imperfections d’un tel modèle. Nous partons donc de l’hypothèse selon laquelle quoi?
Selon laquelle il y a une ou des “logiques” de leurs enchainement et articulation, qui résultent autant du sujet lui-même, héros de l’histoire, que de l’évolution de sa rencontre avec son environnement humain, ses parents principalement, et tous ceux avec qui il se construit.
(Roussillon) Roussillon propose donc une représentation théorique, c’est-à-dire formée des outils et des concepts qui lui paraissent fondamentaux, pour rendre possible l’élaboration de modèles, ou plutôt d’un ensemble de conceptions et d’hypothèses, destinées à accroitre l’intelligibilité de la vie psychique. La démarche qu’il propose n’est donc pas “cumulative”, elle est plutôt quoi?
Elle se veut une recherche du sens du mouvement d’ensemble, une exploration dans laquelle on approfondit progressivement la compréhension de la logique de la psyché, et de la subjectivité humaine qui l’organise. Elle procédera donc dans un mouvement de complexification progressive de la compréhension.
(Roussillon) La théorie choisie par les auteurs de cet ouvrage est laquelle ?
La métapsychologie psychanalytique, c’est-à-dire une conception de la vie et de l’évolution psychique issue de la pratique psychanalytique et du travail de théorisation de Freud et de ses principaux successeurs français et anglo-saxons.
(Roussillon) Dans le concert actuel des conceptions qui se confrontent en psychopathologie et en psychologie clinique, seule la métapsychologie psychanalytique semble offrir à Roussillon une conception d’ensemble de la vie psychique. Pourquoi ?
Car elle seule peut “couvrir” tous les aspects et les manifestations de celles-ci, du fonctionnement le plus créatif au plus détérioré, elle seule permet de déboucher sur une pratique clinique respectueuse du sujet humain dans sa complexité et sa diversité.
(Roussillon) Elle reste d’ailleurs la théorie référentielle de la majeure partie des cliniciens, et ce aussi bien dans les domaines de quoi?
Les domaines des prises en charge individuelles, du bébé au grand âge, que dans les divers modes d’approches thérapeutiques groupale, familiale ou institutionnelle qu’ils mettent en place.
(Roussillon) La métapsychologie psychanalytique n’est pas le tout de la psychanalyse. La psychanalyse est une pratique, laquelle se déroule au sein d’un dispositif particulier. Lequel ?
Le dispositif psychanalytique divan-fauteuil (par extension, ce dispositif a ensuite été adapté pour la prise en charge de l’enfant, du bébé et les thérapies familiale, groupale et institutionnelle.
(Roussillon) Cette pratique repose sur quoi?
Sur une méthode d’exploration de la vie psychique, “l’association libre adressé” à un autre sujet, règle fondamentale qui recommande à l’analysant de “dire tout ce qui lui vient à l’esprit”. Tout, c’est-à-dire pensées, émotions , sensations. Tout, c’est-à-dire même ce qui lui parait illogique, immoral, asocial ou insensé.
(Roussillon) C’est à partir de cette pratique et de l’utilisation de cette méthode que la psychanalyse a dégagé un ensemble de principes. Quel ensemble de principes, lois et concepts compose la “métapsychologie psychanalytique”?
L’ensemble de fonctionnement de la vie psychique, un ensemble de lois et de concepts, articulés entre eux et qui forment une représentation cohérente de la réalité et de la vie psychique.
(Roussillon) Le premier concept de “fondement” de la métapsychologie, celui sans lequel l’ensemble de l’édifice théorique n’a aucun sens, est lequel ?
C’est celui de réalité psychique. Cela signifie que la vie psychique, et la “matière” spécifique qui l’habite, se donne bien comme une réalité, une réalité qui présente la même consistance que les autres formes de celle-ci, même si elle n’en a pas la même “matière”.
(Roussillon) Pour bien comprendre une telle affirmation, un rappel des différents niveaux de réalité ne sera sans doute pas inutile. Pour dire vite et aller à l’essentiel, on peut différencier trois niveaux, trois “ordres” de réalités emboités. Lesquels ?
- La réalité “matérielle”, qui vaut pour tous les corps animés comme inanimés.
- Au sein de celle-ci se détache un deuxième ordre de réalité, qui a ses lois propres - mêmes si celles-ci ne sont pas incompatibles avec celles de la réalité matérielle - : la réalité “biologique”, qui ne concerne, elle, que les organismes vivants.
- Enfin, certaines propriétés spécifiques de la réalité “biologique”, caractérisées par la réflexivité, détachent aussi un ensemble suffisamment autonome pour être distingué, c’est la réalité “psychique”.
(Roussillon) La réalité matérielle concerne quoi?
Concerne les corps vivants ou inanimés. Elle concerne tous les corps en tant qu’ils sont “matière”, et soumis aux lois de la matière. Par exemple, tous les corps tombent vers la Terre selon la loi de l’attraction universelle dégagée par Newton. Une pierre, un oiseau, un homme tombe avec la même vitesse potentielle, subissent en tout cas la même attraction de la part de la Terre. Cela ne dépend pas de leur nature biologique particulier ni même de leur réalité psychique.
(Roussillon) Décrit la réalité biologique ?
Certains corps du domaine matériel, les corps animés, ont développé des propriétés particulières qui permettent de définir un champ suffisamment singulier au sein de la réalité matérielle, pour mériter d’être spécifié. Ces corps ont développé la capacité de produire un environnement propre, autonome, autodéterminé, au sen duquel des lois de fonctionnement spécifique peuvent être sélectionnées et se développer. Ces organismes sont bien en relation avec le monde extérieur, mais ils font subir tout ce qui rentre ou sort de leur membrane des transformations spécifiques en fonction du maintien de leur organisation interne. Ils peuvent ainsi développer des capacités particulières.
(Roussillon) Nous voyons donc que la caractéristique centrale de la réalité biologique, de la vie, c’est sa capacité d’auto-organisation, d’autoproduction et d’autoreproduction, ce que je résumerais d’un terme. Lequel ?
Sa capacité “auto”.
(Roussillon) Décrit la réalité psychique ?
C’est un cas particulier de réalité biologique. On a pu la définir historiquement, dans la philosophie et dans les premières formes de la psychologie, par la conscience. Le vivant non seulement s’autorégule, mais il peut aussi développer une “conscience” de cette auto-régulation, c’est-à-dire une capacité à réfléchir sa capacité “auto”, une capacité “autoréflexive”.
(Roussillon) Ce qui caractérise ce niveau de réalité est un processus “auto-méta”, ou encore la “pensée réflexive”. Nommes trois manière de commencer à approcher la réalité psychique?
Pensée, processus auto-méta et réflexivité
(Roussillon) Mais la propriété que les les philosophes n’avaient attribuée qu’à la seule conscience, les psychanalystes d’abord, les psychologues et même les biologistes ensuite l’attribuent maintenant, au-delà de la conscience, à quoi?
Aux activités psychiques en général, c’est-à-dire aussi à celles qui ne sont pas conscientes, et même à celles que les psychanalystes ont appelés inconscientes, et qui forment un cas particulier des capacités non conscientes.
(Roussillon) Qu’est-ce qui échappe à la conscience, mais contribue à donner sa consistance et sa forme à la réalité psychique.
Toute une série de processus réflexifs (auto-méta) et toute une série de processus de “pensée”
(Roussillon) La réalité et l’objectivité sont souvent opposées à quoi?
à la subjectivité, qui apparait alors comme moins consistante, plus labile, soumise aux caprices du moment.
(Roussillon) Dès l’origine des découvertes de Freud, la psychopathologie d’orientation psychanalytique plaide pour l’objectivité des phénomènes et processus psychiques qui agissent dans la vie psychique, même si ceux-ci sont inconscients et perceptiblement indécelables. La force de l’attraction universelle non plus n’est pas visible, pourquoi?
elle n’est pas décelable, si ce n’est par ses effets sur la chute des corps, mais cela ne l’empêche pas d’être objective.
(Roussillon) L’utilisation du concept de réalité pour désigner la psyché n’est donc pas sans enjeux. Pourquoi?
il vise à se démarquer de la menace de dépréciation ou de déni contenue dans des termes comme “imaginaire” ou “fantasme”.
(Roussillon) En utilisant le terme de réalité psychique, Rousillon insiste sur quoi?
Sur sa consistance propre, sa résistance propre, son autonomie propre.
(Roussillon) La réalité psychique est aussi ce sur quoi l’on bute, ce qu’on ne peut négliger sans conséquences. C’est l’une des réalités fondamentales de l’être humain. On nait, on vit, on meurt, on tue, on jouit en rapport avec la réalité psychique. On signifie le monde et la vie en fonction d’elle - pas seulement en fonction d’elle, mais aussi essentiellement en fonction d’elle. Comme nous l’avons dit, il s’agit d’une réalité objective, c’est à dire quoi?
Qu’elle a ses principes, contraintes, lois et effets propres, qui conditionnent la manière dont on “vit” les évènements, dont on appréhende les relations, dont on leur donne un sens particulier. Elle est objectivement agissante; elle donne leur couleur, leur gout, leur forme spécifique aux contenus psychiques. Elle “produit” la représentation que nous pouvons nous construire de ce qui se passe en nous ou dans nos relations aux autres. Mais c’est une réalité complexe, qui possède une partie consciente et une large partie inconsciente, inconnue de la perception directe, et néanmoins active : une partie qui peut être immédiatement appréhendée par la conscience, qui est l’organe de “perception” de ce qui se produit en nous. Et une partie difficile à appréhender, inconsciente, qu’il faut repérer à ses signes propres, dont il faut déduire la présence à partir de ses effets, et reconduire les processus cachés pour la rendre intelligible (exemple : acte manqué).
(Roussillon) Même si elle comporte de larges parties inconscientes, la réalité psychique est néanmoins quoi?
Organisée, et même plusieurs fois “organisée”, par différents types de processus. Elle est organisée par notre rationalité - ce que Freud a appelé les “processus secondaires” - , mais aussi par l’irrationnel - ce que Freud a nommé les “processus primaires”.
(Roussillon) La réalité psychique possède ainsi quoi?
Un inévitable ombilic, un point d’échappée radicale, qui interdit de penser qu’elle peut être connue et comprise, saisie, en totalité. Il reste, et sans doute restera toujours, une zone d’ombre, un point d’énigme interne.
(Roussillon) Cependant, ce constat nous blesse. Nous nous défendons alors contre l’échappée qu’il impose, l’énigme interne qu’il représente, les processus inconscients et la perte de maitrise qu’il implique, ainsi que contre la blessure qu’il inflige à notre narcissique. Nommes la première défense ?
Une première défense consiste à tenter de “disqualifier” la zone d’ombre de notre fonctionnement psychique, cette part inconnue énigmatique de nous-mêmes. Nous tentons de l’ignorer, de la refouler, comme si elle n’existait pas, nous élevons des défenses, des protections qui s’exercent contre son existence même.
(Roussillon) Nomme la deuxième défense ?
Dans une deuxième défense, nous tentons d’obturer, de suturer la brèche qu’elle représente soit avec des raisons, des rationalisations qui visent à réduire ou à en faire disparaitre le caractère énigmatique, soit avec des explications des psychologies qui utilisent des données qui nous semblent objectives. Nous évoquons alors, à l’avenant, la fatigue, le tempérament, l’hérédité, le caractère, etc. Autant d’explications qui ne sont pas nécessairement impertinentes, mais qui sont utilisées avant tout pour tenter de recouvrir l’énigme de son sens ou de sa manifestation inconnue.
(Roussillon) Nomme la troisième défense ?
Enfin, de guerre lasse, not nous décidons à accepter la manifestation et la question, nous pouvons chercher à aborder et à comprendre les particularités de cet autre monde qui nous habite, de cette “autre scène” que nous abritons dans les profondeurs de notre vie interne , et commencer à tenter de construire des représentations du sens caché.
(Roussillon) Quel est le seul organe dont nous disposons pour connaitre ce qui se trame dans notre fors intérieur?
La conscience. Elle est limitée, mais elle peut organiser la représentation de sa limite, celle de ce qui lui échappe, la représentation d’un inconscient, et, sur ce fond, commencer à l’explorer. La reconnaissance de l’existence d’une partie inconsciente de notre vie psychique est le premier pas de l’interrogation sur son sens ; c’est le premier temps de la levée de la censure qui s’exerce contre sa représentation consciente, le premier moment de son exploration.
(Purven/Jessika) Quelle est la définition d’une libre association ?
En psychanalyse, méthode par laquelle le patient tente de rendre compte à l’analyste de tout ce qui lui vient à l’esprit sans filtrer ses pensées. La libre association rencontre la résistance du patient.
(Purven/Jessika) La théorie de la personnalité de Freud est essentiellement une théorie sur quoi?
Sur le psychisme humain (ou vie psychique), un modèle scientifique de l’architecture globale des structures et processus mentaux.
(Purven/Jessika)Freud considère le corps comme quoi?
Comme un système d’énergie mécanique. Puisque l’esprit est une partie du corps humain, il est donc lui aussi un système d’énergie mécanique et l’énergie psychique est générée par l’énergie physique produite par le corps.
(Purven/Jessika) Quelle est la définition d’un système d’énergie ?
Conception Freudienne de la personnalité selon laquelle celle-ci résulterait de l’interaction de diverses forces (ex. les pulsions sexuelles et les pulsions du moi) ou sources d’énergie
(Purven/Jessika)La conception Freudienne de l’énergie psychique s’articule autour de trois idées principales. Nomme la première idée?
La première est que nous ne disposons que d’une quantité d’énergie limitée. Ainsi, si nous utilisons une certaine quantité d’énergie pour une activité particulière, il en restera moins pour d’autres activités. L’énergie investie dans des activités culturelles ne peut être investie dans des activités sexuelles, et inversement.
(Purven/Jessika) La conception Freudienne de l’énergie psychique s’articule autour de trois idées principales. Nomme la deuxième idée?
La deuxième idée est que lorsque l’énergie qui s’exprime par une certaine voie est bloquée, elle ne disparait pas pour autant : elle trouvera une autre voie offrant moins de résistance.
(Purven/Jessika) La conception Freudienne de l’énergie psychique s’articule autour de trois idées principales. Nomme la troisième idée?
La troisième idée, fondamentale dans le système d’énergie Freudien, est que l’appareil psychique fonctionne dans le but de maintenir à un niveau aussi bas que possible ou, tout au moins, aussi constant que possible, la quantité d’excitation qu’il contient. Les besoins du corps créent sur le plan psychique un état de tension ressenti comme du déplaisir que la personne tente de réduire pour retrouver un état de quiétude interne.
(Purven/Jessika) Le but de tout comportement est quoi?
Le plaisir, qui résulte de la réduction de la tension et de la libération de l’énergie. La théorie de la personnalité de Freud dont il est question dans le présent chapitre est essentiellement un modèle détaillé des structures et des processus de la personnalité qui sont à l’origine de ce flux dynamique d’énergie psychique.
(Purven/Jessika) Quelle est la définition de catharsis ?
C’est une technique permettant de se libérer de ses émotions grâce à la parole.
(Purven/Jessika) Anna O. elle même est tombée par hasard sur le traitement qui pouvait la guérir. Pourquoi ?
Elle a découvert que le fait de retrouver l’évènement traumatique à l’origine du trouble pouvait la soulager de ses symptômes. Si elle pouvait ramener à la conscience cet évènement et revivre l’émotion originale qu’elle avait ressentie alors, le symptôme s’atténuerait et pourrait même disparaitre.
(Purven/Jessika) Le concept de catharsis a contribué à améliorer notre compréhension de l’esprit humain de deux façons. Lesquelles ?
Premièrement, il confirmait la vision de Freud voulant que l’esprit est un système d’énergie. C’est en effet la libération de cette énergie associée à des souvenirs depuis longtemps enfouis qui entraine une amélioration de l’état du patient.
Deuxièmement, avant de vivre l’expérience cathartique, les patients de Freud semblaient ignorer que leurs symptômes avaient leur origine dans des contenus psychiques. Ils avaient complètement oublié ces évènements traumatiques alors que les symptômes liés à cet évènement, eux, se manifestaient. C’est à dire que le contenu mental dont on a aucune conscience est constamment actif dans notre esprit.
(Purven/Jessika) Lorsque l’énergie psychique ne peut être libérée, elle ne disparait pas pour autant. Comme le suggère le principe de la conservation de l’énergie, cette énergie est conservée (SÉRIEUX??). Ainsi, l’énergie qui normalement devrait servir à la satisfaction de la pulsion sexuelle, mais qui est inhibée, peut être canalisée dans d’autres activités. De nombreuses activités - dont, selon Freud, les activités associées à al production culturelle - sont quoi?
l’expression d’une énergie sexuelle ou agressive qui n’a pu s’exprimer directement.
(Roussillon) Les caractéristiques de la réalité psychique qui viennent d’être esquissée aboutissent à l’idée que la réalité psychique est quoi?
Un objet hypercomplexe, comme dit E. Morin, ce qui signifie que l’on ne peut prétendre en donner une théorie exhaustive, et que l’on ne peut l’appréhender que sous des formes réduites.
(Roussillon) Les théories réduisent leur objet, elles ne peuvent pas faire autrement, et l’on ne peut leur reprocher l’inévitable. La question de l’intérêt des théories, de leur pertinence est quoi?
C’est plutôt de savoir quel niveau de réduction est tolérable, ou à partir de quel niveau de réduction on perd l’essentiel.
(Roussillon) La métapsychologie psychanalytique représente quoi?
L’effort le plus conséquent à l’heure actuelle pour proposer une théorie d’ensemble des faits psychiques qui limite le plus possible cette réduction, grâce à la référence à une vie psychique inconsciente et à la reconnaissance du conflit psychique. Cependant, elle ne saurait rendre compte de tout.
(Roussillon) Comme vu précédemment, la métapsychologie psychanalytique se présente comme un ensemble de principes, de lois, de concepts qui tentent de décrire le cours des évènements psychiques aussi bien normal que pathologique. Quel est son enjeu?
De permettre de composer des hypothèses et des modèles qui accroissent le plus possible notre intelligibilité des faits psychiques.
(Roussillon) Les hypothèses et modèles que propose la métapsychologie psychanalytique ont pourtant fait leurs preuves depuis maintenant plus d’un siècle, même si ce ne sont que des manières de quoi?
de se représenter le fonctionnement de la psyché, des conceptions dynamique de celui-ci.