examen 2 Flashcards

1
Q

pourquoi un cadre?

A
  • Impossible de travailler sans cadre
  • Permet d’établir un espace sécuritaire et structuré pour
    permettre le changement
  • Protection du client et du thérapeute
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2
Q

Éléments de base du thérapeute

A
  • Honoraire : 120 à 180$ (selon OPQ)
  • Politique d’annulation ou d’absence
  • Confidentialité
  • Méthode de travail
  • Consentement libre et éclairé
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3
Q

respecter temps de la seance (comment terminer une séance?)

A
  • Truc: délicatement refermer un thème 5-10min avant la fin.
  • Permet au client de « redescendre» physiologiquement dernière minute
  • Tolérer l’incomplétude
  • Tolérer les émotions difficiles du client. Ex: peine, colère, gêne, frustration…
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4
Q

syndrome poignée de porte

A

thème important ressort à la fin de la séance

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5
Q

à l’extérieur des séances: rencontre fortuite

A
  • Réfléchir à comment on se comporte à l’extérieur.
  • Visibilité sur les médias
    sociaux
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6
Q

à l’extérieur des séances: info externe

A

Ne pas faire de recherche sur un client sans autorisation explicite et sans justification
clinique.

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7
Q

style d’évaluateur actif

A
  • Interventions fréquentes pour reformuler, résumer ou clarifier. => Dialogue
    -Diff. d’une exploration ouverte où on laisse le patient se déployer
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8
Q

style d’évaluateur directif

A

Information nécessaire + temps limité = questions ciblées
Éviter:
* Long silence
* Digressions
* Retour dans le passé trop minutieux

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9
Q

forme d’évaluation brève

A

Première séance plus longue (1h30 – 2h00). Parfois plus long selon complexité (2-3 séances max)

Grandes lignes du problème, de l’histoire et du plan de traitement

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10
Q

forme d’évaluation structurée

A

Hospitalier: Plan prédéterminé. L’évaluateur ne fait pas nécessairement l’intervention.

Privé : plan semi-structuré est préférable. L’évaluateur est aussi l’intervenant.

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11
Q

objectif d’évaluation

A
  1. alliance thérapeutique
  2. Se procurer l’information nécessaire pour bien comprendre la problématique
  3. motivation, les attentes.
  4. plan de traitement structuré avec des objectifs précis et limités
  5. Fournir des explications claires au patient et s’assurer de sa collaboration

4 et 5 = bilan d’évaluation avec patient

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12
Q

alliance thérapeutique

A

qualité du lien affectif entre le psychothérapeute et le patient ainsi qu’à leur accord mutuel sur les tâches et objectifs de la thérapie

thérapeute = flexible, honnête, respectueux, fiable, confiant, chaleureux, intéressé et ouvert

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13
Q

particularités alliances
(enfants et couples)

A

Enfant → amené par un tiers = alliance partagée

Couple/famille → parfois en conflit ou désaccord = alliance partagée + partialité multidirectionnelle

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14
Q

Alliance thérapeutique: pièges relationnels

A
  • Convaincre le patient
  • Débattre
  • Minimiser un problème réaliste
  • Travailler à la place du patient
  • Aller trop vite
  • Aller trop lentement
  • Etc.
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15
Q

Informations cliniques: motif de consultation

A

-pourquoi la personne est là
- situer le problème
-origine de la demande (explicite ou implicite)

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16
Q

Informations cliniques: histoire du problème

A

origine: Quand est-ce que ça a commencé ? Depuis quand ? Évènements qui ont déclenché le problème ?

évolution : Quelle a été l’évolution ? Fluctuation ? Situations qui déclenchent le problème

symptomes actuels: Nature, fréquence, intensité, durée, impact

traitements/solutions passés: Psychothérapie, pharmacothérapie, solutions non cliniques

ampleur: répercussion sur les différentes sphères de la vie

conséquence: Qu’est-ce qui arrive lorsque le problème survient ?

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17
Q

Informations cliniques: analyse fonctionnelle

A

SECCA (Cottraux, 1985): Stimulus, Émotions, Cognitions, Comportement, Anticipation.

Déterminer pour une séquence de comportements donnés
* facteurs de déclenchement (antécédents)
* facteurs de maintien (conséquences)

Se baser sur :
* plusieurs sources d’informations
* jugement clinique du psychothérapeute

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18
Q

Informations cliniques: complémentaire

A
  • Histoire développementale
  • Structure familiale
  • Histoire de couple
  • Habitudes de vie
  • Événement de vie marquant
    etc.
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19
Q

Motivation du patient

A

intrinsèque ou extrinsèque? amorce? ambivalence au changement? etc.
* Les patients peuvent être à différentes étapes dans la compréhension du problème
Ex de Q?: « pourquoi maintenant? »;
« qu’est-ce qui vous amène à venir
consulter en psychothérapie»

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20
Q

Question de la baguette magique

A

Si j’avais une baguette magique et que je pouvais faire disparaitre tous vos problèmes, comment votre vie aurait changé?

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21
Q

Plan de traitement structuré
objectifs précis et limités?

A

Objectifs précis :
* Éviter les formulations vagues
* Quantifier les progrès

Objectifs limités :
* En ƒ des ressources, motivation et du temps disponible du patient
* Privilégier des objectifs court terme si défaut de motivation/ressource
* Ajustement du plan de traitement au besoin

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22
Q

explications claires

A

Partage de notre compréhension clinique et de notre objectif de traitement.
* Dialogue pour avoir une direction commune
* Ø nécessaire de tout expliquer
* Hypothèse travail ≠ réalité
* Sens du jargon n’est pas nécessairement
similaire pour un patient (ex.: narcissisme)(certaines formulations peuvent être invalidantes)

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23
Q

évaluation continue

A

évaluation n’est jamais complètement finie

le client peut dévoiler des infos qui peuvent avoir un gros impact seulement après plusieurs séances

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24
Q

Validation empathique

A

BASE de tout processus psychothérapeutique: Validation d’une expérience subjective (surtout les états affectifs) et du contexte qui l’accompagne.
* Permet une reprise de contact avec l’expérience
* Analogue à l’écoute active
* Facilite les interventions confrontantes qui visent le changement (ex.: restructuration cognitive)

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25
Q

Psychoéducation

A

Explication de mécanismes psychologiques
* Normalise ou déstigmatise
* Peut être validant
* Peut faciliter l’insight et la mentalisation
* Peut renforcer l’alliance
* Met les difficultés en perspective

ATTENTION: utiliser avec parcimonie pour les patients qui sont bons dans l’intellectualisation

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26
Q

Restructuration cognitive

A

Règle générale
Identification des pensées dysfonctionnelles et exploration de pensées/croyances plus fonctionnelles

Différentes techniques
1. Colonnes de Beck
2. Questionnement socratique
3. Balance décisionnelle
4. Flèche descendante
5. Expérience comportementale

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27
Q

Restructuration cognitive: ce qu’elle n’est pas

A

-Discours moralisateur : incitation à suivre notre code moral ou de notre groupe, notre religion, notre société, etc.
-Autosuggestion ou hétérosuggestion : s’encourager à atteindre un état par la pensée (la suggestion).
-Pensée positive: voir le côté positif en ignorant le côté nég.
-Exhortation: faire appel à la volonté ou à la détermination

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28
Q

flèche descendante

A

penser au pire scénario qui pourrait arriver
augmenter petit à petit la gravité qu’une situation pourrait avoir

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29
Q

travaux à domicile

A

But: passage à l’action en dehors des séances. Permet de nouveaux apprentissages (beaucoup d’expositions).
Critères: (1) motivation du client; (2) précis et limité; (3) concret et mesurable

Exemples de travail à domicile: bibliothérapie, Expérience comportementale, Hiérarchie
d’exposition, Affirmation de soi, pleine conscience
4 trucs importants
1. Ne pas oublier les travaux qu’on a prescrits
2. Début des travaux pendant la séance
3. Renforcement positif
4. Prendre des notes

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30
Q

fin du suivi

A

Raison pour finir un suivi
* Objectifs atteints
* Fin du mandat de 15 séances (publique)
* Monétaire (privé) Phase de détachement
* Plus un suivi est long, plus on annonce la fin à l’avance
* Adresser les craintes
* Consolider les acquis

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31
Q

bilan de la thérapie

A
  • Réévaluation des mesures du début (symptômes)
  • Révision du changement
  • Révision des objectifs
  • Mise en perspective du chemin parcouru
  • Révision de ce qui a été aidant et moins aidant
  • Renforce les apprentissages et l’alliance
  • Avec quoi est-ce que le client repart?
  • Qu’est-ce qui a changé en lui? (ex.: meilleure mentalisation)
  • Outils concrets? (Ex: présence attentive)
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32
Q

Prévention des rechutes

A
  1. Révision des causes potentielles de rechute
    * Signes objectifs extérieurs (ex.: tension au travail)
  2. Reconnaitre les signes avant-coureurs
    * Signes subjectifs intérieurs (ex.: symptômes, pensés…)
  3. Mesures concrètes à prendre
    * Construction d’un plan avec le patient (autothérapie)
  4. Conduite en cas de rechute
    * Révision des traitements antérieurs
    * Investiguer le contexte de la rechute Uti le:

Planification d’un suivi de consolidation des acquis (~6mois plus tard).

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33
Q

première ligne

A

-troubles graves et persistants, surtout des personnes déjà stabilisées
-troubles légers

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34
Q

deuxième ligne

A

-troubles à +longs termes (comme troubles de personnalité, anxieux, humeur,etc.)
-troubles qui nécessitent des traitements un peu + spécialisés

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35
Q

3e ligne

A

surspécialisé, violence

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36
Q

Pratique privé

A

Plusieurs modèles
1. Clinique psychiatrique générale
2. Clinique spécialisée (Ex: sommeil)
3. Votre propre clinique

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37
Q

Pratique publique

A

salaire plus bas que privé, mais certains avantages sociaux peuvent compenser, comme cotisation de pension.
moins de patients/jour

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38
Q

supervision =

A

Acte réservé
Le superviseur est le gardien de la profession
2 objectifs
- Assurer la sécurité des patients
- Encadrement des cliniciens en herbe

Peu encadré
Peu de formation ou d’éducation continue Manque d’auto-évaluation systématique des
compétences du superviseur

La supervision basée sur les compétences est un modèle à suivre.
Les étudiants qui ont reçu une supervision
basée sur les compétences valorisent et
bénéficient plus de la supervision

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39
Q

8 perles

A
  1. Vous n’êtes pas responsable du résultat… juste du processus.

2.La thérapie est de la science appliquée avec art

3.La thérapie n’a pas besoin d’être compliquée.

  1. Vous n’avez pas besoin de changer les gens… juste de les accompagner un moment dans leur vie… de cheminer avec eux
  2. Sans lien thérapeutique la thérapie ne peut avancer

6.Les patients ne savent pas ce que vous savez… et ce que vous ne savez pas

  1. Plusieurs chemins peuvent conduire au même résultat
  2. La méthode socratique n’est pas une façon sournoise de convaincre vos patients que vous avez raison.
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40
Q

Attentes du patient

A

thérapie, changement, thérapeute…
* Les attentes peuvent être floues, irréalistes, trop modestes ou démesurées.
* Ex de Q? : « Quelles sont vos attentes par rapport à la thérapie? » ; « Quelles sont vos attentes par rapport à moi? »

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41
Q

Qu’est-ce que vivre dans le moment présent?

A

Être conscient ce qui se passe à l’externe et à l’interne sur le moment même. Pas trop se soucier du futur et du passé.

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42
Q

Qu’est-ce que la méditation?

A

Prendre du temps pour se recentrer
Pas nécessairement relaxation.
Pleine conscience parfois calmant, parfois non. On peut en faire dans des moments difficiles.

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43
Q

évitement expérientiel

A

Les psychopathologies découlent d’un refus ou d’une suppression de l’émotion
Suppression entraine un effet rebond
Solution => pleine conscience

On a de la difficulté à vivre les moments difficiles
Émotion= sensations physiques, expériences, pensées intolérables
Effet rebond = si on tente de les eviter, elles reviendront encore plus fortes.
Faut accepter les situations désagréables et les métaboliser afin de mieux vivre avec.

44
Q

pleine conscience

A

Mindfulness as nonjudgmental awareness and similarly includes actively or purposefully allowing experiences (thoughts, emotions, desires, urges, sensations, etc.) to occur without attempting to change or alter, block or suppress them.

On peut ressentir et prendre conscience de qqch sans nécessairement agir dessus.

45
Q

Acceptance (rx client face à ses émotions)

A

Se concentrer sur le contact avec des événements auparavant évités

“focuses on increased “contact” with previously avoided “private events” (internal experiences).”

46
Q

pleine conscience: définition opérationnelle

A

process of regulating attention in order to bring a quality of non- elaborative awareness to current experience and a quality of relating to one’s experience within an orientation of curiosity, experiential openness, and acceptance

Non- elaborative awarness = élaboration non verbale. On prend les choses comme elles sont, on n’élabore pas dessus

47
Q

pleine conscience ds notre société

A

But principal = reduire les souffrances

Presence attentive permet d’éviter réactions trop émotionnelles
Peut aider ds la vie de tous les jours

48
Q

troisième vague

A
  • Emphase sur la relation affect-cognition (rapport aux émotions)
    (métacognition) plutôt que les cognitions (contenu)
  • Méthodes de présence attentive et d’acceptation
49
Q

Racines Bouddhistes

A
  • Émerge il y a 2600 ans avec les
    enseignements du Bouddha
    historique: Siddhārtha Gautama * Étudie les lois de la nature et du
    fonctionnement de l’esprit. * Découvre un moyen de se libérer des souffrances, notamment, par la pratique systématique de la « pleine conscience».

Tout le monde serait capable d’atteindre l’état d’éveil.
Va aller voir maîtres spirituels pour mieux comprendre comment vivre avec la souffrance.

Parfois, pleine conscience = utilisée pour la non violence.

50
Q

signification Bouddha

A

éveillé

51
Q

troisième vague: acceptation

A

Acceptation = pas si désirable que ca, aspect plus transitoire qui va permettre le changement. changement = plus visé

Certaines situations auront des acceptations radicales. On comprend que le changement est possible, mais il y a d’autres aspects à traiter avant de pouvoir permettre le changement. Permet moins d’évitement experienciel

52
Q

TCC standard: acceptation

A

Accent sur le changement: situation ou pensée, comportement, émotion suivant une situation

Acceptation? => seulement quand la situation est particulièrement difficile à changer. Difficile, car le changement est très désirable.
Résultat: non-acceptation / non-changement

53
Q

Origine de la souffrance

A
  • viendrait de « l’ ignorance » (Dalaï Lama)
  • « Ignorance » = absence de conscience, de
    reconnaissance des forces qui vont régir
    nos comportements, sentiments, pensées
    et perceptions

On est ignorant de ce qui est en train de nous arriver. Comment la nature nous influence. Si on le comprend, il y a moins de chance de tomber des les pièges de l’ignorance.

  1. Ignorance
  2. Craving
  3. Aversion.
54
Q

Trois caractéristiques de l’existence humaine

A
  1. Inévitabilité de la souffrance
  2. Impermanence
  3. Illusion de soi
  • Nécessité de prendre conscience, d’observer et d’accepter ces trois caractéristiques
  • Apprentissage expérientiel de ces caractéristiques au travers de la présence attentive
    Faut les observer et les accepter
55
Q

L’inévitabilité de la souffrance

A

L’existence humaine implique inévitablement de la souffrance.
Souffrance ≠ douleur
Souffrance = douleur x résistances
Souffrance = réaction ou attitude de résistance qu’on a face aux situations variées. Les formes de résistance:
* Aversion ou Évitement: ne pas aimer ce qu’il se passe
* Attachement ou Acharnement ( craving): associé à qqch qui est agréable

Va dépendendre de notre réaction à la douleur. Va créer ou non la souffrance.
Ne pas accepter engendre aversion et peut alors créer souffrance.
Peut être aussi créer par l’absence d’un plaisir

Évite pas complètement souffrance, mais devient plus tolérable

56
Q

L’impermanence

A

Nature transitoire, fluide changeante de tous les phénomènes de la vie: internes et externes.
EX: Émotions, pensées, idéologie, société, le pont
Champlain, le baccalauréat en psychologie, ma poutine à 20$ à la banquise, etc.

Les choses ne sont pas fixes, stables et durables Attachement à l’illusion de permanence = souffrance
Faut accepter que les choses ne sont pas permanentes

Les choses vont apparaître et disparaître, faut les prendre quand elles viennent et accepter qu’elles ne resteront pas éternellement.

Tout le monde n’a pas les mêmes limites, meme environnement, trauma, etc. peuvent créer rigidité mentale = plus difficile d’accepter impermanance.

Émotions désagréables sont prises comme elles sont, on ne les amplifie pas

57
Q

L’illusion de soi

A

Tout phénomène, le soi confondu, prend forme grâce à l’interdépendance qui existe entre toutes choses. Pratique de la présence attentive permet de déconstruire le concept de soi rigide, biaisé et fixe
* Construction d’un soi fluide, présent, de moment
en moment, et qui s’éloigne du récit cognitif.
* Permet d’ouvrir le registre des expériences plutôt que de les restreindre au récit du soi (peut être fait par la pleine conscience

permet un jugement global sur soi

58
Q

4 fondements de la pleine conscience

A
  1. Corps
  2. Sentiments (- 0 +)
  3. L’esprit
  4. Objets de conscience
59
Q

traitement de l’info: descendant (top-down)

A

Construction des perceptions + interprétations de la situation en fonction des souvenirs/concepts et conditionnements passés. Donne un sens dans le présent. ADAPTATIF, MAIS…
Peut aussi empecher de voir certaines choses, met des volets
On a une idée préconcue de ce qu’on chercher
C’est + concentré sur le futur et le passé (on prends en compte les infos acquises ds passé)

60
Q

traitement de l’info: ascendant (bottom-up)

A

prise de contact avec le corps, les sensations et les émotions

61
Q

pleine conscience du corps

A

Objectif : attention dirigée uniquement sur l’expérience physique sensorielle du corps, sans jugement.
Technique: respiration, balayage corporel, présence attentive pour des activités quotidiennes (marche, manger, etc).
Permet: flexibilité du traitement d’information. Activation du SNP et syst. vagal.

62
Q

Pleine conscience des sentiments

A

Pleine conscience du corps => sensations
Neutre/Désagréable/Agréable
1. Deux réactions : aversion ou attachement 2.

Objectif: prendre conscience de
1. Expérience (- 0 +) négatif/neutre/positif
2. Attitude d’aversion ou d’attachement.
3. ne pas les alimenter

Prendre conscience de l’expérience telle quelle est
On doit s’en rendre compte et s’en détacher

63
Q

Pleine conscience de l’esprit (mind) et des objets de conscience

A

Objectif: prendre conscience:
1. Différent mode de l’esprit
2. L’écart entre la réalité et sa représentation
3. Changer la relation aux pensées

64
Q

esprit (mind)

A

conscience et observation u phénomène de la conscience elle-même

65
Q

objet de conscience

A

conscience des objets présents dans notre champ de conscience

+précis, +concret
peuvent affecter l’esprit

66
Q
  1. Mode récit
    2.Mode comparatif:
  2. Mode préférentiel
A
  1. Fabrication d’histoires en lien avec le moment présent
  2. Comparaison entre expériences présentes et passées
  3. Jugement de la valeur de l’expérience

en prendre conscience permet éventuellement de s’en détacher

67
Q

Réduction de la réactivité émotionnelle

A
  • Cognition = phénomène naturel observable qui se produit dans un contexte
  • Observer les pensées comme des pensées

La pensée qui est émerge = phénomène naturel. Faut l’observer comme elle est et ne pas les laisser te submerger. Ne pas croire qu’elles sont réalité

68
Q

Acceptation et tolérance des expériences difficiles ( distress tolerance)

A

PROBLÈME : usage de solution court-
terme pour diminuer la douleur => plus de
problèmes long terme
* Ex: comportement suicidaire, prise de
substance, comportements compulsifs, rester au lit plutôt que d’aller à l’école.

SOLUTION: tolérance aux expériences
difficiles et douloureuses

Détresse engendre comportement compulsifs nocifs

69
Q

Acceptation radicale

A

« La réalité est TELLE qu’elle est »

  • RÉSULTAT: moins de lamentation du passé
    et d’effort de fuir la réalité du moment
    présent. => plus d’engagement significatif
    dans le présent

On ne tente pas de la changer, on l’accepte comme elle est. Acceptation radicale permet d’etre plus conscient du présent

70
Q

Caractéristiques communes des IBPC:
changement du rapport aux expériences cognitives/émotionnelles

A
  • Acceptation, ouverture, compassion (soi/autres)
  • Flexibilité attentionnelle (pas de rigidité)
  • Défusion cognitive (ACT) (pas fusionner avec)
  • Régulation émotionnelle
  • Moins d’évitement expérientiel
71
Q

Caractéristiques communes des IBPC: meilleure conscience

A
  • Des lois naturelles qui régissent l’expérience
  • Des attitudes et des conditionnements pour s’en libérer et voir plus clairement
72
Q

MBSR: Mindfulness Based Stress Reduction (Jon Kabat-Zinn)

A
  • Programme de réduction du stress
  • Douleurs chroniques, anxiété, psoriasis,
    dépression, problème de sommeil
  • Programme de 8 semaines
  • 8 séances hebdomadaires de 2 h 30
  • 45 min d’exercices par jour 6j/semaine
  • Groupe jusqu’à 15 patients

assez exigent

73
Q

MBCT : Thérapie cognitive basée sur la pleine conscience
(Zindel Segal, Mark Wiliams, John Teasdale)

A

Contexte : prévention de la rechute dépressive
* 8 séances en groupe de 2 h + 4 séances de rappel chaque 2 mois
* 45 min d’exercices par jour 6 j/semaine
* Intervention de 1re ligne pour les dépressions récurrentes (selon Canadian Network for Mood and Anxiety treatments)
* Efficacité
-Traitement complémentaire pour les dépressions résistantes
-Trouble bipolaire
- Trouble alimentaire
- Trouble d’anxiété sociale
- Fibromyalgie, etc.

Tcc qui integre elements de la pleine conscience

Permet de changer rapport aux cognitions et de mieux gerer les rechutes

74
Q

DBT : Thérapie comportementale dialectique (Marsha Linehan)

A
  • Contexte : suicidalité, automutilation, et TPL
  • Combinaison de stratégies comportementale et
    acceptation.
  • Groupe hebdomadaire pendant 2 ans
  • Efficace pour les TPL et, dépression, abus de
    substance, trouble alimentaire, et les problèmes
    familiaux et de couple.
75
Q

ACT
(Steven C. Hayes)

A
  • Racines béhaviorales et en contextualisme (prend en considération le contexte de la personne)
    Principales causes de la souffrance:
  • Évitement expérientiel
  • fusion cognitive

Solutions:
* Acceptation de l’expérience
* Développement de la flexibilité cognitive
* Engagement dans des comportements porteurs de sens qui sont alignés avec nos valeurs (spécifique à ACT)

Culture n’aide pas nécessairement l’acceptation

76
Q

Pleine conscience: troubles sexuel (plus souvent chez les femmes)

Lori A. Brotto

A

Différentes difficultés sexuelles féminines peuvent bénéficier d’une IBPC
* Trouble d’intérêt et désir sexuel (F), Trouble d’orgasme (F), altération des sensations en lien avec un enjeu médical (ex: chirurgie, cancer), trauma, etc.

Éléments propres à la sexualité féminine
* Spontaneous (désir spontané) VS responsive desire (plus present chez les femmes)
* Concordance sexuelle

Responsive desire = . Souvent est influencé par contexte

77
Q

Spontaneous and Responsive desire

A
  • Femmes: 15% S, 30% R, 50% S+R
  • Le contexte est important
  • L’attention aux amorces érotiques est importante, d’autant plus chez la femme.
78
Q

Concordance sexuelle (plus chez les hommes)

A
  • F = 0,26; H = 0,66
  • L’excitation génitale et excitation subjective sexuelle ne concorde pas autant chez les femmes
79
Q

Troubles sexuels (F):
Bénéfice de la présence attentive

A
  • Faible désire: amélioration du désire sexuelle, de l’activation (arousal) sexuelle, l’orgasme, la
    satisfaction sexuelle et l’humeur
  • Moins de distractibilité => augmentation de la
    réponse sexuelle
  • Meilleure concordance pour l’excitation
    génitale-subjective (corps-esprit). Changer le rapport à l’expérience
  • Meilleure conscience intéroceptive
80
Q

Histoire TPL
Marsha Linehan

A
  • Création dans les années 80
  • Comportements suicidaires chroniques
  • Trouble de personnalité limite (TPL)
  • Vécu personnel de Linehan
  • Autodiagnostic de TPL (elle s’est auto diagnostiqué tpl. Au debut on l’avait diagnostiqué schizophrène)
  • Thérapie intégrative : techniques cognitives, béhaviorales et pleine conscience, philosophie Zen et dialectique

bcp de difficulté à gérer ses émotions

TPL= à la limite entre bipolaire et perte de contact avec réalité
Approche juste validante ne fonctionne pas. Faut un équilibre entre validation acceptation.

81
Q

TPL: Critères diagnostiques du DSM-5

A

1) Efforts frénétiques pour éviter les abandons réels ou imaginaires
2) Relations interpersonnelles instables et intenses
3) Instabilité persistante de l’image ou du sens de soi
4) Impulsivité dans au moins deux contextes dommageables
5) Récurrence des gestes ou menaces suicidaires/automutilation
6) Instabilité affective due à une réactivité marquée de l’humeur (symptômes obligatoire pour avoir diagnostique)
7) Sentiment chronique de vide intérieur
8) Épisode de colère intense ou difficulté à contrôler la colère
9) Idéation paranoïde transitoire ou de symptômes dissociatifs graves (perte de conscience de la réalité)

82
Q

Différents niveaux de dérégulation

A
  1. Émotionnelle: incompréhension des émotions
    *intense, change rapidement, impulsive
  2. Relationnelle: peut y avoir période de fusion, qqun se fait idéaliser et apres rejeté; clivage (noir/blanc)
    * intense, chaotique, haut et bas, clivage rapide
  3. Soi
    * confusion sur ses propres croyances, buts et
    valeurs.
    * difficulté à comprendre sa propre identité
  4. Comportements : bcp d’évitement expérientiel
    * comportement impulsif: évitement
    d’émotions intense, automutilation
    * Comportements risqués : usage de substance,
    vol, relations sexuelles risquée, destruction
  5. Cognitive
    * dissociation
83
Q

Dysrégulation émotionnelle =

A

vulnérabilité émotionnelle + incapacité à
= réguler ses émotions

Interaction
prédisposition biologique de vulnérabilité
émotionnelle X Environnement invalidant

EX d’environnements invalidants :
* Poor fit
* Chaotic home
* Abusive home

84
Q

Vulnérabilité émotionnelle

A
  • Prédisposition biologique
  • Plus grande sensibilité émotionnelle : + activation et désactivation
85
Q

Incapacité à réguler ses émotions

A

Difficulté dans l’identification, la
compréhension et l’expression des émotions

S’il n’y a pas eu apprentissage à gérer émotions, c’est possible de l’apprendre. Plus difficile à l’âge adulte car il y a eu des mécanismes de défenses implantés qu’il faut déconstruire

86
Q

Poor fit =

A

temperament colle pas avec les valeurs familiales. Ex: aimer l’art dans une famille qui valorise science. Devient invalidant pour l’enfant. Certaine rigidité émotionnelle au sein de la famille

87
Q

Chaotic home =

A

les parents apporte leur propre trauma, lorsque situation désagréable arrive, leur réaction devient invalidant . les parents reproduisent ce qu’ils ont vecu et ca devient un milieu insecurisant pour l’enfant.

88
Q

Milieu invalidant :

A

tendance à nier les demandes de l’enfant et de reagir de manière imprévisible. Ces comportements sont constants.

Ex: minimiser les émotions de l’enfant

89
Q

Abusive home =

A

abus qui se passe dans la famille et les proches invalide l’événement.

90
Q

DBT : Objectifs de traitement

A
  1. Pensée dialectique : il existe un entre 2 qui permet de mieux comprendre la réalité. Permet plus de nuances. pas de clivage
  2. Comportements cibles
    - Sécurité (suicide): on veut que le patient se sente en sécurité, sans sécurité, on ne peut pas apprendre
    - Comportements interférents avec la thérapie (comportements qui viennent nuire à la santé de la personne)
    - Comportements interférents avec la qualité
    de vie
91
Q

Philosophie dialectique
Hegel (1770 - 1831)

*voir diapo 6!!!!

A
  • La réalité = parties interdépendantes
    définies par le système dans son
    ensemble
  • Va au-delà de la pensée dichotomique

interaction entre
thèse: je fais des erreurs = je ne vaux rien
antithèse:
synthèse: les erreurs ne définissent pas la valeur, on peut apprendre de nos erreurs

Synthese peut devenir aussi une these. C’est une recherche d’équilibre.
Prendre conscience de l’ensemble des problèmes

92
Q

Philosophie dialectique
acceptation ←→ changement

A

Ce qui arrive est vrai (acceptation), mais qu’est-ce qu’on peut faire pour l’améliorer (changement)
Faut un équilibre entre les 2

93
Q

Stratégies utilisées (1)

A

Validation
* Reconnaissance des expériences du patient et
compréhension du contexte
Valider intention derrière un comportement, mais pas le comportement en tant que tel
6 niveaux :
1. Écoute et observation
2. Reformulation
3. Reflet et validation des expériences
4. Reconnaissance du contexte qui explique le
comportement (histoire + biologie = apprentissage). Essayer de refleter ce que la personne n’arrive pas à expliquer elle-même
5. Reconnaissance de la validité du comportement
6. Authenticité radicale

94
Q

Stratégies utilisées (2)

A

Dialectique
-Mise en évidence des tensions dialectiques Résolution de problème
-Analyse en chaîne
Stratégies stylistiques
-Communication réciproque et irrévérencieuse (les reponses sont complètement en décalage avec ce que dit la personne pour que la personne se rend compte de l’absurdité de ce qu’elle dit)
Stratégies de gestion de cas
-Stratégies de consultation auprès du patient
L’intervention environnementale
-La consultation des thérapeutes

95
Q

compétence : pleine conscience

A

porter une attention intentionnelle dans le moment présent, et sans jugement

96
Q

compétence: tolérance à la détresse

A

capacité de tolérer un état émotionnel/physique désagréable ou douloureux
survivre à une crise sans l’exacerber

Acceptation radicale = accepter la réalité meme si elle est désagréable. Arreter de se battre contre la réalité. Il faut que ca soit clair. Manière de transformer douleur intolérable en douleur tolérable

97
Q

compétence : régulation émotionnelle

*voir diapo 27

A

exercer un controle sur ses comportements impulsifs et modulater l’intensité des émotions

Emotion fait un reflet de la problématique

98
Q

compétence: efficacité interpersonnelle

A

communiquer ses désirs, besoins, limites ainsi que pensés sans avoir recours à une attitude trop agressive ou trop passive (soumise)

Développement de :
* Outils de communication
* Affirmation de soi

99
Q

esprit sage

A

équilibre entre esprit émotionnel et esprit rationnel, il faut arriver à un juste milieu
Émotionnel = souvent reflète un besoin
Rationnel = pas assez en réponse aux besoins

100
Q

tolérance à la détresse: Technique du STOP

A
  • Statue
  • Temps de recul
  • Observer
  • Poursuivre en pleine conscience
101
Q

Régulation émotionnelle
4 étapes

A
  1. Comprendre le vécu émotionnel
    * Analyse du comportement
  2. ↓ la fréquence des émotions souffrantes
    * Résolution de problèmes
  3. ↓ vulnérabilité émotionnelle:
    * Prévenir l’escalade / la perte de contrôle émotionnelle
  4. ↓ l’intensité de la réaction émotionnelle en
    situation de crise
    * Pleine conscience
102
Q

efficacité interpersonnelle
3 étapes

A
  1. Atteindre un objectif en conservant la relation et le respect de soi
  2. Développer et maintenir les relations
  3. Équilibre entre acceptation et changement au sein des relations
103
Q

Modalités d’intervention

A
  1. Thérapie individuelle (Permet d’établir de la confiance)
    * Hebdomadaire, 50 min
    * Soutien dans l’application des habiletés
  2. Thérapie de groupe
    Cadre est stricte car ceux qui sont moins investi nuisent à ceux qui veulent vrm changer)
    * Hebdomadaire, 2h30
    * Protocole manualisé
    * Psychoéducation et application des habiletés
  3. Consultation téléphonique
    * En situation de crise (Pas si efficace, on le fait de moins en moins)
  4. Équipe de consultation
    * Pour l’efficacité de la thérapie
104
Q

Plan des séances

A

Pré-traitement
* Orientation
* Engagement à la thérapie (En DBT, il y a un engagement d’un an. Le cadre est tres stricte.
Engagement permet de demontrer à la personne en quoi elle s’engage.)

Phase 1
* Alliance thérapeutique (clé pour le lancement de la thérapie)
* Stabilité et sécurité du patient
* Réduire comportements autodestructeurs
* Réduire comportements interférant avec la
thérapie
* Réduire comportements interférant avec la qualité de vie

105
Q

Efficacité de la DBT

A
  • Traitement permettant une économie sur les
    coûts secondaires des soins de santé mentale * Diminution des SX du TPL
  • Tentatives de suicide * Comportements d’automutilation * Impulsivité * Admissions à l’hôpital
  • Diminution des SX dépressifs * Augmentation de la qualité de vie * Pertinent pour d’autres clientèles
  • Ex: troubles alimentaires, troubles dépressifs,
    bipolarité, TDAH, TSPT, Etc.