Examen ! Flashcards

1
Q

À quoi réfère le terme catharsis ?

A

L’expression de ses émotions.

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2
Q

Quels sont les trois éléments sur lesquelles repose la mise en profit des facteurs de changement dans un groupe ?

A

1) disposition des membres individuels à s’engager dans une démarche de changement.
2) Le groupe favorise l’ouverture et la prise de risques
3) Les attitudes et habiletés de l’intervenant.

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3
Q

Qu’est-ce qu’englobe la dimension contextuelle ?

A

Ça englobe les conditions matérielles, économiques, juridiques, institutionnelles, idéologiques et politiques du groupe. La taille du groupe, l’aménagement de l’espace et le temps alloué est aussi considéré dans ce contexte.

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4
Q

À quoi réfère l’énergie de progression et l’énergie de maintien ?

A

L’énergie de progression réfère à la dimension instrumentale et l’autre énergie réfère à la dimension relationnelle.

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5
Q

À quoi réfère l’énergie résiduelle et d’entretien ?

A

L’énergie résiduelle est en lien aux obstacles à la participation et à la communication des membres.
L’Énergie d’entretien est mobilisée pour lever les obstacles.

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6
Q

Vrai ou Faux. L’énergie de maintien est à utiliser lorsqu’on vise un but.

A

Faux. Elle est plutôt en lien avec l’atteinte de la cohésion entre les membres.

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7
Q

Quels sont les trois fonctions d’Animation de réunions ?

A

1 - production
2 - facilitation (exécution de tâches)
3 - régulation (maintien de relation)

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8
Q

Vrai ou faux. L’énergie d’entretien est une énergie primaire comme les énergies de production et de solidaires.

A

Faux. Il s’agit d’une énergie secondaire.

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9
Q

Vrai ou faux. Un groupe de 3 est plus créatif et efficace pour examiner une situation.

A

Faux. Groupe de 6 à 8.

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10
Q

Que se passe-t-il au sein d’un grand groupe?

A

Les chances d’interactions directes entre deux personnes précises diminuent considérablement.

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11
Q

Quelles sont les étapes de l’évolution d’un groupe ?

A

Flottement, embarquement, tempête, azur, Navigation, Débarquement.

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11
Q

Qu’est-ce qui représente la tempête et qu’est-ce qui représente l’Azur ?

A

La tempête se présente sous-forme de confrontation d’idées et l’azur sous forme de recherche d’harmonie.

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12
Q

Vrai ou faux. Tout comme dans l’étape de tempête, dans l’Azur, l’ennemie est perçue comme étant à l’intérieur du groupe.

A

Faux. POur un groupe dans l’Azur, l’ennemie est à l’extérieur du groupe.

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13
Q

Vrai ou faux. Tous les groupes parviennent à l’étape de navigation.

A

Faux. Certains groupes n’arrivent pas à l’étape de navigation.

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14
Q

Vrai ou faux. Lorsque le nombre de personnes répondant à un questionnaire est réduit, on va vraiment plus se tourner vers des questions de type fermé.

A

Faux. Pour un grand groupe, c’est imprenable de prendre des questions plus fermées, mais pour un petit groupe, il est mieux der prioriser des questions de type plus ouvertes.

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15
Q

Donner au moins 2 conditions pour qu’une expérience en groupe soit éducative.

A

Tout le système est touché (émotion, cognition, comportement)
Les membres s’engagent
Les membres peuvent exprimer ce qu’ils vivent
Des idées et perceptions sont confrontées
Le feedback est transmis dans un climat de sécurité
Les personnes construisent le sens de leur expérience
Liens faits entre la formation et la vie ou les préoccupations extérieures au groupe

16
Q

Énumérez les cinq étapes à respecter dans le déroulement d’une activité de formation expérientielle (selon Leclerc.

A

1) L’engagement
Le formateur ou la formatrice présente le sujet, dit un mot de l’activité et de sa pertinence, peut convier le groupe à faire une activité de réchauffement pour stimuler l’intérêt et le besoin d’en savoir davantage sur le thème.

2) L’activité expérientielle
Le formateur ou la formatrice invite les personnes à se mettre en action, à se mettre en présence d’une situation qui les engage émotionnellement, cognitivement et, si possible, corporellement ; il ou elle peut demander aux personnes de réaliser un projet, de résoudre un problème concret, etc.

3) La communication
Le formateur ou la formatrice invite les personnes à échanger leurs premières impressions sur ce qu’ils ont pensé, ressenti, vécu ou appris à l’étape 2, et aussi à réagir à ce que les autres expriment.

4) La théorisation et l’élucidation
Il s’agit de passer à un niveau plus abstrait, de faire des liens entre l’expérience vécue et la théorie et aussi d’aborder des sujets qui n’ont pas nécessairement été abordés préalablement ; c’est le temps de proposer des lectures ou de faire un exposé théorique.

5) Le transfert des apprentissages
Le formateur ou la formatrice invite les personnes à s’exprimer sur la manière dont ils comptent utiliser leurs apprentissages dans leur vie, en dehors de la classe ou de l’atelier de formation.

17
Q

Nommer quelques conditions qui facilitent l’apprentissage.

A

L’humilité, la confiance en soi, la disposition à prendre des risques et savoir rire de ses maladresses.

18
Q

Quels sont les points positifs d’une co-animation ?

A
  • Partage de tache, moins grosse charge de travail, soutien dans les interventions, prendre du recul, marge de manœuvre pour la réalisation d’activités en sous-groupe.
    Pour les clients cette co-animation offre;
  • Un plus large éventail de renseignements, ils s’identifient plus facilement à l’un ou l’autre des animateurs, modeling
19
Q

Quels sont les défis de la co-animation ?

A

Il peut y avoir une énergie de rivalité entre les animateurs, les animateurs peuvent prendre trop de place par rapport aux clients.
Les animateurs peuvent se concentrer davantage sur leur relation et oublier les participants. Des fois, une personne va prendre davantage de place par rapport à une autre, ce qui fait une équipe qui n’est pas égale.

20
Q

Quelles sont les conditions à réunir pour s’assurer d’avoir une bonne co-animation ?

A
  • Apprendre à s’apprécier mutuellement
  • Oser parler de ce qui peut être plus difficile
  • Compréhension commune des enjeux de la séance, aller vers le même but.
  • Le travail doit être bien séparé
  • Le statut de chacun doit être compris et accepté
  • bonne communication
21
Q

Vrai ou faux. Il faut faire attention de ne pas avoir un local trop petit, mais on peut aller aussi gros qu’on veut.

A

Faux. Dans un local trop grand les gens ont tendance à se sentir plus perdu.

22
Q

Vrai ou faux. La similarité des gouts est plus importante pour mettre les gens e relation que la proximité physique.

A

Faux. La proximité physique, lie plus les gens.

23
Q

Quels sont les bruits qu’on doit faire face dans une rencontre de groupe ?

A
  • Une personne qui ne parle pas assez fort.
  • Des membres qui parlent trop fort et qui mobilisent le temps de parole.
  • Débit de communication trop rapide ou trop lent
  • Messages surchargés en termes de matière proposée.
  • Lorsqu’il n’y a pas de ligne directrice entre les messages,
  • Silences ou bruits extérieurs.
24
Q

Le langage non verbal est associé à quel type de communication ?

A

C’est associé à la métacommunication.

25
Q

Vrai ou faux. On peut évaluer le langage non verbal hors contexte.

A

FAux.

26
Q

Qu’est-ce que l’écho kinésique.

A

C’est le fait d’imiter les mouvements des gens qu’on admire. La personne peut imigter la mm posture que la personne a qui elle parle.

27
Q

Quelle partie du corps permet le plus de faire de l’expression non verbale ?

A

Le visage

28
Q

Nommer 3 types de silence.

A

Silence de transition,
d’intégration, d’embarras, de démission, de dépendance affective, appréhension de parler, aggréssivité passive,

29
Q

Quel type de question favorise l’empowering ?

A

La question miroir

30
Q

Est-ce que l’animation de groupe est une technique ?

A

Faux. C’est une compétence.

31
Q

Donnez au moins deux façons de prévenir le déséquilibre de la participation à laquelle on peut penser lorsqu’on planifie une rencontre, c’est-à-dire avant même la rencontre du groupe?

A

L’introduction de variété dans les styles d’activités.
Varier les modes de regroupement.
L’énonciation des règles du groupe au départ.
Éviter trop de formalisme.

32
Q

Dans quelles circonstances doit-on surtout chercher à faciliter l’expression verbale des personnes silencieuses? Nommez deux circonstances très différentes l’une de l’autre.

A

Quand leur silence n’est pas choisi et qu’elles en souffrent.
Quand il résulte d’une cristallisation des rôles qui fait en sorte que les personnes plus retirées ou moins rapides à prendre la parole finissent par être marginalisées, exclues.
Quand le silence cache d’autres problèmes (exemple : de la paresse ou de l’hostilité).

33
Q

Nommez deux effets pervers (deux effets très différents l’un de l’autre) de certaines interventions visant à inciter des personnes silencieuses à parler.

A

Rendre la personne mal à l’aise, exagérément consciente du regard des autres posé sur elle et susciter un problème qui ne se serait pas manifesté si on avait accepté les différences dans les modes d’expression.
Stigmatiser en l’enfermant dans le rôle d’une personne démunie, qui manque de confiance ou de ressource (ce qui n’est pas toujours le cas; ce n’est pas parce qu’on ne parle pas qu’on ne pense pas).
Créer de l’irritation voire de l’hostilité (les incitations peuvent être interprétées comme des attaques).