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psychopathologie > examen 1 (cours 2-3) > Flashcards

examen 1 (cours 2-3) Flashcards

1
Q

il est difficile de définit un trouble mental, toutefois de façon générale, il s’accompagne toujours de dysfonctionnements : ……. (3)

A
  • Biologiques​
  • Psychologiques​
  • Comportementaux
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2
Q

de quoi s’accompagne la santé mentale (3)

A
  • adaptation au milieu
  • harmonie intérieur
  • responsabilités
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3
Q

santé mentale vs maladies mentales
santé mentale : fait partie intégrante du ________ et de la _______
maladies mentales : sont définies comme des ________ causant un état de _______ ou un _________, et n’englobent pas l’état d’______ ________ d’une personne

A

Santé mentale : fait partie intégrante du bien-être et de la réalisation.
Maladies mentales : sont définies comme des altérations causant un état de détresse ou un dysfonctionnement, et n’englobent pas l’état d’esprit général d’une personne.

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4
Q

donne moi la définition de la santé mentale

A

fait partie intégrante du bien-être et de la réalisation.

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5
Q

donne moi la définition des maladies mentales

A

sont définies comme des altérations causant un état de détresse ou un dysfonctionnement, et n’englobent pas l’état d’esprit général d’une personne

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6
Q

est-ce que sentir triste signifie d’être atteint d’un trouble dépressif

A

non, à moins que ces émotions n’affectent significativement sa capacité à fonctionne

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7
Q

un trouble mental est considéré pathologique si… (2)

A
  • Présence de souffrance​
  • Fonctionnement perturbé : en considérant les us et coutumes de la culture du sujet
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8
Q

est ce qu’un trouble mental est une réponse attendue, une réponse culturelle et une déviance social, politique, religieuse ou sexuelle

A

non

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9
Q

qu’est ce qui permet que la déviance sociale, politique, religieuse ou sexuelle soit définit comme une trouble mental

A

La déviance n’arrive pas seule mais s’accompagne d’autres symptômes psychologiques graves qui caractérisent une maladie donnée. La déviance est le symptôme du dysfonctionnement

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10
Q

quelle est la définition de la classification

A

La classification des troubles psychologiques signifie qu’un certain nombre des caractéristiques possibles ou des propriétés de ces pathologies sont organisées dans des listes.

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11
Q

quels sont les 3 types de classifications

A
  1. Classification traditionnelle
  2. Approche dimensionnelle
  3. Méthode prototypique
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12
Q

explique moi ce qu’est la classification traditionnelle

A
  • Compréhension biologique des psychopathologies​
  • Présume que chaque trouble est unique et chaque DX sous tendu par une cause pathophysiologique (infection bactérienne, dysfonctionnement système endocrinien)
  • L’étiologie peut être autre, mais il n’y a qu’un groupe de facteurs causals par pathologie, aucun chevauchement.​
  • Davantage utile en médecine (précision)
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13
Q

explique moi ce qu’est l’approche dimensionnelle

A
  • Prise en compte de l’humeur, cognitions, comportements exprimés par le sujet et quantifiés sur une échelle​
  • Davantage subjectif et fonction de chaque personne
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14
Q

explique moi ce qu’est la méthode prototypique

A
  • Caractéristiques essentielles des psychopathologies​
  • Autorisant certaines variation​
  • Plusieurs troubles peuvent comporter les mêmes comportements ou autres
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15
Q

quant est ce que les observations peuvent être définies comme fiables

A

si elles se reproduisent, se répètent dans des conditions similaires, si d’autres cliniciens expérimentés peuvent vérifier ce que nous prétendons.

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16
Q

quelle est la catégorie la moins fiable

A

trouble de la personnalité

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17
Q

quels sont les 3 types de validité

A
  • de concept
  • de prédictive
  • de contenu
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18
Q

en quelle année le diagnostic est devenu une préoccupation pour les psychologues cliniciens et psychiatres

A

milieu des années 1970

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19
Q

quels sont les 7 étapes selon maxmen et ward pour le processus diagnostic

A
  1. Recueil de données (passé clinique)
  2. Examen clinique
  3. Évaluation de la qualité des données recueillies
  4. Identification du regroupement de symptômes
  5. Comparaison du tableau clinique
  6. Résolution de la question de l’incertitude diagnostique
  7. Diagnostic différentiel
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20
Q

quels sont les avantages d’un « bon diagnostic»

A

*Orienter le traitement (psychothérapie ou autres)
*Formuler un pronostic (évolution du trouble)
*Faciliter la communication entre cliniciens (professionnels consultés, dossier patient
*Ajuster la communication avec le patient (annonce du diagnostic)
*Engendrer bénéfices secondaires (maîtrise de la situation clinique, objectifs thérapeutiques réalistes, obtention informations principales)

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21
Q

est ce que la présence en soit de symptôme est en soi pathologique

A

non

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22
Q

les symptômes deviennent pathologique lorsque quoi

A

Il devient pathologique lorsqu’il constitue une réponse univoque à des situations variables ou lorsqu’il est d’une intensité disproportionnée

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23
Q

qu’est ce que la labilité émotionnelle

A

consiste en un passage très rapide et brutal d’un état émotionnel à un autre

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24
Q

qu’est ce que l’inadéquation de l’émotivité

A

décalage entre l’affect exprimé et le contenu du discours, cela est caractéristique dans la discordance de la schizophrénie.

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25
Q

où est retrouvé un défaut d’émotivité

A
  • Un défaut d’émotivité est retrouvé dans la froideur schizophrénique, l’émoussement affectif de la démence, la contention des émotions de l’obsessionnel ou encore chez le patient déprimé
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26
Q

l’anxiété est un état _____ qui présente des formes ________

A

L’anxiété est un état normal qui présente des formes pathologiques.

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27
Q

est-ce que l’anxiété de séparation peut être diagnostiquée à tout âge

A

oui

28
Q

l’anxiété de séparation se différencie de quel autre type de trouble

A

phobie scolaire : peur cibliée sur un objet appartement à la situation scolaire

29
Q

que veut dire comorbidité

A

que la présente a plus que 2 troubles

30
Q

qu’est ce que l’anxiété chronique

A

état permanent d’hypervigilance et de tension interne

31
Q

comment s’exprime un anxiété chronique

A

s’exprime par une hypersthénie aux moindres stimuli (ex. réaction de sursaut au moindre événement inattendu), une tension motrice, une exploration de l’environnement avec distractibilité et difficultés de concentration

32
Q

qu’est ce que la dimension temporelle

A

associée à d’autres éléments, la dimension temporelle permet de différencier anxiété normale et pathologique

33
Q

les troubles anxieux sont hautement comorbides entre eux, comment peuvent-ils être différencié

A

par une analyse fine des types de situations qui sont craintes ou évitées et par le contenu des pensées ou croyances associées

34
Q

quel est la comorbidité de l’anxiété sociale

A

dépression majeure, trouble panique, anxiété généralisée, dépendance alcool

35
Q

quels sont les malaises physiques du trouble de l’anxiété sociale

A

gorge sèche, transpiration excessive, tremblements, malaises gastrointestinaux, rougeur au visage, troubles du sommeil

36
Q

un trouble de panique est caractérisé par des attaques……..

A

de paniques répétées

37
Q

quel est la comorbidité des troubles de panique

A
  • Abus de substance, dépression = vaines tentatives pour réduire la souffrance.​
  • La peur de se retrouver dans un lieu, situation où il serait gênant d’avoir une crise, peut favoriser le développement d’une agoraphobie. ​
  • Études démontrent qu’il est plus fréquent de souffrir d’un trouble panique associé à un trouble anxieux qu’à un trouble panique seul.
38
Q

quels sont les séquences des attaques de panique

A
  1. Crise d’anxiété paroxystique de survenue brutale et d’évolution brève (dure de quelques minutes à 10 minutes, rarement des heures)
  2. Sans circonstance particulière, du moins sur le plan conscient (sauf une légère anxiété)
  3. Manifestation somatique d’anxiété toujours au premier plan
  4. Vécu extrêmement pénible
  5. Peur de mourir ou de devenir fou
  6. Lorsque terminé laisse place à une fatigue intense et soulagement
39
Q

est ce que l’attaque de panique est un trouble en tant que tel

A

non

40
Q

est-ce que la spécification « avec attaque de panique peut s’ajouter à n’importe quel dx

A

oui

41
Q

comment peut évoluer une attaque de panique et sa répétition

A

avec un abus d’alcool, de drogue
un développement de phobies
une évolution possible vers la dépression

42
Q

avant d’être diagnostiqué comme un trouble de panique, les répétitions des attaques de paniques sont définie par quoi

A

la répétitions des attaques suscite une anxiété chronique anticipatoire et une anxiété situationnelle agoraphobique

43
Q

est ce que lors d’obsession, le sujet reconnaît cette pensée comme sienne malgré son caractère absurde mais n’arrive pas a s’en débrasser

A

oui

44
Q

quels sont les obsessions les plus fréquentes

A

pensées répétées de contamination, doute, ordre particulier, impulsions agressives ou horribles, représentations sexuelles

45
Q

qu’est ce qu’une compulsions

A

Ce sont des comportements ou actes mentaux destinés à neutraliser ou à diminuer l’angoisse générée par les obsessions. Le sujet se sent obligé de les réaliser même s’il les trouve absurdes et ridicules.

46
Q

quel est la comorbidité des troubles obsessionnelles compulsifs et apparentés

A

dépression ou autre trouble anxieux

47
Q

quel trouble fait partie des problème de santé mentale le plus fréquents chez les enfants et les adolescents

A

les troubles anxieux

48
Q

quels sont les troubles anxieux les plus fréquents chez enfant

A

anxiété de séparation, trouble d’anxiété généralisée, phobie spécifique et trouble d’anxiété sociale

49
Q

l’anxiété social est souvant associé avec quoi

A

des consommations

50
Q

quels sont les troubles anxieux les plus fréquents chez les 65 en et plus

A

phobies spécifiques, le trouble de stress post-traumatique et le trouble d’anxiété généralisée

51
Q

qu’est ce que l’anxiété gériatrique

A

arrive chez les personnes âgées, c’est que l’anxiété est camouflée par un problème de santé physique

52
Q

quel est le pourcentage des jeunes de 5 a 17 ans qui souffrent de troubles anxieux

A

6.4

53
Q

chez les adolescents, ____% des filles et ____-% des garçons ont obtenu un diagnostic de trouble anxieux

A

23
12

54
Q

le taux de diagnostic de trouble anxieux à _____ en 10 ans

A

doubler

55
Q

quel est la prévalance (% trouble dans la population donnée) qui a une phobie spécifique

A

7 a 9

56
Q

est ce que les phobies spécifiques sont plus fréquente chez les femmes ou chez les hommes

A

femmes

57
Q

combien de canadien de 15 ans et plus on un trouble de l’anxiété sociale

A

2 millions

58
Q

quand débute normalement un trouble de l’anxiété sociale

A

début vers l’âge de 10 ans et pour d’autres au cours de l’adolescence

59
Q

les hommes ou les femmes sont plus touché pour un trouble de l’anxiété sociale

A

deux fois plus de femmes que d’hommes

60
Q

qu’est ce qu’une obsessions idéatives

A

ruminations obsédantes d’une image, d’une phrase

61
Q

qu’est ce qu’une obsession phobique

A

crainte spcécifique d’un objet ou d’une maladie, ou d’une contamination. Cette peur existe, contrairement aux phobies, en dehors de la confrontation de l’objet

62
Q

qu’est ce qu’une obsessions impulsives

A

crainte angoissante et assiégeante de réaliser, contre sa volonté, un acte répréhensible plus ou moins grave

63
Q

parmi les québécois de 65 ans et plus vivant à domicile, environ combien de pourcent souffrent d’un trouble anxieux

A

6

64
Q

fiabilité dsm

A

critères reflètent le trouble

65
Q

validité dsm

A

cliniciens s’entendent entre eux pour les critères des troubles

psychopathologie (4 decks)

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