Examen 1 Flashcards
Quels sont les trois modèles des expériences précoces ?
- Modèles des périodes critiques
- Modèle adaptatif ou de programmation
- Modèle des parcours de vie ou effets cumulatifs
Quelles sont les différences individuelles VS développement typique selon l’espèce dans les 3 modèles ?
- Présence ou absence d’un comportement essentiel (normal ou pathologique).
- Explique les différences entre les individus d’un même échantillon. Selon le degré d’exposition environnemental (peut entraîner une mésadaptation).
- Variations dans l’intervalle normal-anormal. Mélange des 2 modèles.
Quelles sont les différences dans la nature de l’input environnemental des 3 modèles ?
- Input environnemental nécessaire, mais seuil bas et facilement atteignable (l’espèce s’adapte facilement pour sa survie).
- L’environnement précoce joue un rôle prédominant dans le développement à long-terme. Le timing peut apporter des conséquences selon la période biologique (équifinalité)
- Expériences importantes. Considère l’expérience d’une personne dans son ensemble.
Quelles sont les différences dans le rôle des mécanismes biologiques/psychologiques des 3 modèles ?
- Surtout biologique. Pas de période critique entièrement psychologique (bio influence psycho).
- Seulement biologique.
- Les facteurs psychologiques agissent comme médiateurs (influence une autre variable). Connexion entre les expériences précoces et les conséquences à long terme.
Quelles sont les différences dans la probabilité de récupération suite à une intervention et résilience des 3 modèles ?
- Interventions dépendent du timing pour bien fonctionner (à l’intérieur des périodes critiques).
- Interventions ciblent souvent les conduites parentales. Intervention durant la période de programmation = effet plus fort.
- La personne est hautement malléable. Meilleur moment pour intervention pas spécifié. Les interventions peuvent être efficaces à n’importe quel moment au cours de la vie. Type et intensité + que timing.
Vrai ou faux : En investissant tôt dans les interventions/prévention, les bénéfices sont plus grands et ont un effet sur une plus longue période de temps.
Vrai
Vrai ou faux : Les effets des interventions sont les mêmes chez les adultes et chez les enfants.
Faux : il y a plus de disparité chez les adultes que chez les enfants (conséquences des interventions généralisées).
Qui a développer le modèle écologique ?
Bronfenbrenner
Qu’est-ce que des facteurs proximaux ?
Liens directs (ex : la relation de l’enfant avec le parent).
Qu’est-ce que des facteurs distaux ?
Liens indirects qui ont un impact sur l’enfant (ex : l’éducation du parent influence les croyances et les connaissances de l’enfant et la façon dont il agit.
Processus de rétroaction
- Feedback positif : mécanisme d’auto-stabilisation (augmenter cpts positifs)
- Feedback négatif : mécanisme d’auto-amplification (diminuer cpts négatifs) = maintient les états stables.
= Jeu d’ajustement pour trouver l’équilibre
Qu’est-ce que le concept de multi-stabilité ?
Système à l’intérieur duquel coexistent différents états stables.
Qu’est-ce qu’un attracteur ?
Structures de personnalité stables qui sont reliées entre elles (composent l’état espace). Plus l’attracteur est creux (plus le cpt est présenté), plus il sera résistant au changement.
Qu’est-ce qu’un état espace ?
Répertoire de comportements. Contient plusieurs attracteurs qui coexistent.
Qu’est-ce qu’un processus intraindividuel ?
Chez un individu, formé de l’état espace qui contient les configurations de personnalités.
Qu’est-ce qu’un processus interindividuel ?
Répertoire comportemental dyadique (état espace dyadique) qui présente les interaction entre deux individus.
Que représente les échelles de temps indépendantes ?
Les interactions se reproduisent et se stabilisent à des moments en particulier (s’attend au cpt).
Qu’est-ce qu’une phase de transition ?
Changements discontinus et non-linéaires (sensible aux input environnementaux, les petits changements peuvent affecter disproportionnellement le statut de feedback entre les éléments du système). = mène à l’émergence de nouvelles formes.
- Réorganisation
Style d’attachement : réconforté par son P lorsqu’en détresse.
L’E explore don environnement en présence du P.
Attachement sécurisé (B)
Style d’attachement : inconsolable ou fâché lors de détresse.
Explore moins son environnement même lorsqu’il va bien. Peut être collant ou chigneux.
Attachement ambivalent-résistant (C)
Peu de détresse apparente, peu de demande envers P (ignore figure parentale).
Explore moins son environnement, garde une distance avec le P mais peur parfois le « surveiller ».
Attachement évitant (A)
Vrai ou faux : un enfant avec un style d’attachement ambivalent-résistant ou évitant adopte des stratégies désorganisées.
Faux : les stratégies sont adaptées à leur environnement. Elles sont donc organisées mais non-optimal.
« Je fais tout pour avoir l’attention du parent. Ma détresse garde le parents proche de moi ». Quel est le style d’attachement ?
Attachement ambivalent-résistant
« J’ai appris que lorsque je démontre de la détresse envers mes parents, il y a de mauvaises conséquences. J’évite donc de provoquer mes parents afin de garder leur attention ». Quel est le style d’attachement ?
Attachement évitant
Quel est le % des enfants maltraités qui ont un attachement désorganisé ?
80%
Style d’attachement : comportements contradictoire, incomplets, mal dirigés. Comportements lents ou figés. Désorientation.
Attachement désorganisé
Dans l’attachement désorganisé, un donneur de soins surstimulant entraîne quel type d’attachement secondaire ?
Attachement désorganisé évitant
Dans l’attachement désorganisé, un donneur de soins sous-stimulant entraîne quel type d’attachement secondaire ?
Attachement désorganisé ambivalant-résistant
Vrai ou faux : un enfant qui a un style d’attachement désorganisé aura le même style d’attachement avec d’autre donneur de soins ?
Faux : l’enfant peut développer un autre style d’attachement avec un autre donneur de soins.
Quels sont les facteurs de risque du développement de l’attachement insécure ?
- Insensibilité
- Facteurs de risque dans le contexte écologique (surstimulant ou sous-stimulant).
Vrai ou faux : chez les touts-petits, des comportements de désorganisation peuvent être dus à des difficultés neurologiques/développementales ?
Vrai (ex : TSA)
Vrai ou faux : la maltraitance à elle-seule suffit pour expliquer la présence d’un attachement désorganisé ?
Vrai
Qu’est-ce que l’hypothèse de risque cumulatif ?
Plus il y a de facteurs de risque dans l’environnement de l’enfant, plus celui-ci a de risques de développer un attachement désorganisé.
En quoi les antécédents du P peuvent avoir un impacts sur les facteurs de risque chez l’enfant ?
Dans un environnement à risques multiples, le P est plus à risque d’avoir expérimenté un trauma ou une perte. Le cpt de l’enfant peut activer le retour du trauma passé et provoquer l’entré du parent dans un état d’esprit dissocié / altéré = augmente les probabilités d’utiliser des cpts effrayants pour l’enfant.
Quels sont les éléments d’une communication parentale perturbée ?
- Cpts négatifs / intrusifs (verbal ou physique)
- Confusion de rôle (c’est l’enfant qui rassure le P)
- Communication émotionnelle contradictoire (dit quelque chose mais fait le contraire).
- Désorientation (affect confus, étrange ou effrayé envers E)
- Retrait (distance, pas de salutation)
Vrai ou faux : une communication parentale perturbée à un jeune âge a peu de chance d’entraîner un attachement désorganisé ?
Faux : 67% des enfants de 4 mois vivant des communications perturbées ont développé un attachement désorganisé.
Vrai ou faut : l’attachement désorganisé est un trouble de l’attachement ?
Faux : n’affecte pas l’enfant dans toutes les sphères de sa vie relationnelle. Possibilité de développer une autre forme d’attachement avec quelqu’un d’autre.
Que vise les interventions pour améliorer l’attachement ?
Les conduites parentales
Quelles sont les différences entre l’attachement désorganisé et le trouble réactionnel de l’attachement ?
- Attachement : reste tout au long de la vie, mais peut développer différent type avec autre figure. Cpts mésadaptés et contradictoires.
- Trouble : Aucun attachement clair à un donneur de soins. diminution de la réactivité sociale et émotionnelle à autrui. Ne recherche pas de soutien et d’affection du donneur de soins. Risque de ne jamais développer d’attachement sécure avec une figue quelconque.
Qu’est-ce qu’une dissociation ?
Mécanisme par lequel les sensations intenses et les expériences émotionnelles sont déconnectées du domaine social, langage et mémoire.
Qu’est-ce qui entraîne une dissociation ?
Lorsque les réactions normales au stress (fuir ou combattre) ne sont plus possible. Les émotions sont trop fortes, donc elles sont coupées.
Différence entre la dissociation et le trouble de stress post-traumatique (conscience éveillée normale) ?
- TSPT : souvenirs intrusifs, détresse liée au rappel, pensées négatives, hyperactivation physiologique (palpitation, panique), humeur négative
- Dissociation : flashbacks, fragmentation (trous), dépersonnalisation, engourdissement émotionnel, émotions compartimentée (pas transféré en totalité, affect diminué)
Vrai ou faux : tous les troubles dissociatifs sont nécessairement liés à un trauma ?
Faux : certains phénomènes ne sont pas liés au trauma (absorption, dépersonnalisation, déréalisation, amnésie, altération de l’identité)