1
Q

Quelles sont certaines grandes influences à l’origine ?

A

Piaget, Erickson, Redl and Wineman, Rogers

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2
Q

Décrire le modèle de Guindon

A

Étapes de la rééducation vers l’actualisation des forces du moi (acclimatation, contrôle, production, personnalité).

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3
Q

Décrire le modèle de Gendreau

A

Il s’organise en fonction de différentes composantes (10). Il y a trois dimensions de l’intervention : organisation, animation, utilisation.

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4
Q

Décrire le modèle actuel

A

Structurer le milieu et soutenir la personne vers un meilleur équilibre face à lui-même et aux autres en tenant compte de composantes biologique, cognitive, affective et sociale en ayant comme pôles le milieu, la personne et l’interaction.

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5
Q

Quels sont les 8 opérations professionnelles ?

Donne une petite description.

A

Observation : Voir et enregistrer les attitudes ou les comportements significatifs de façon objective.

L’évaluation pré-intervention : Donner un sens à la situation (interprétation-hypothèse)

La planification : Prévoir l’ensemble des dispositions concrètes à prendre et des correctifs immédiats à apporter à la situation. (Objectifs, moyens, modes d’évaluation)

L’organisation : Mettre en place les moyens issus des modèles de références théoriques et pratiques susceptibles de permettre l’atteinte des objectifs de l’intervention. (Toupie de Gendreau)

L’animation : Vécu partagé

L’utilisation : Exploiter le contenu expérientiel du vécu partagé en le rendant plus significatif. (Interactions éducateur-sujet)

L’évaluation post-situationnelle : Analyser les observations, les évaluations des interventions ponctuelles, les planifications et les organisations réalisée (évaluations formative et sommative).

La communication : Formative (vise à avoir un impact sur les interactions avec les sujets), fonctionnelle (échange d’informations et partage de l’analyse avec les autres acteurs de l’intervention).

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6
Q

Qu’est-ce que le Pad ?

A

Potentiel d’adaptation

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7
Q

Qu’est-ce que le Pex?

A

Potentiel expérientiel

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8
Q

Nomme les 4 niveaux de convenance et décris-les

A

Équilibre statique : situation permet de combler l’écart, car elle correspond aux schèmes du sujet. Il peut les conserver, les entretenir. Il ne progresse pas, maintient ses acquis.

Équilibre dynamique : écart significatif qui permet d’exercer les schèmes. Besoin d’assouplissement des schèmes, efforts de généralisation. (Mobilisation, apprentissage)

Déséquilibre dynamique : correspondance partielle Pex vs Pad. Écart qui amène une tension se rapprochant de la rupture du lien de convenance. Construction de nouveaux schèmes pour maintenir l’équilibre dépendant de son équilibre psychologique. Amorce une démarche de rééquilibration.

Déséquilibre inhibant : Pas de correspondance Pex vs Pad. Écart trop grand pour percevoir la possibilité de le combler. Inhibe le sujet, l’empêche d’entrer en activité.

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9
Q

Qu’est-ce qu’une motivation primaire?

A

Celles qui relèvent du domaine biologique/innée (manger, boire, calmer la douleur…)

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10
Q

Qu’est-ce qu’une motivation secondaire ?

A

Celles qui relèvent du domaine psychosocial (entrer en relation, se cultiver, se valoriser)

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11
Q

Quels sont les 3 niveaux d’intervention (avant/après)?

A

Organisation / Niveau structural

Animation / Niveau fonctionnel

Utilisation / Niveau des résultats

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12
Q

Quels sont les 10 composantes de Gendreau ?

Donne une petite description.

A

Axe central

  • Sujets : Clientèle (personne elle-même, pairs, fratrie)
  • Objectifs : Finalité pour un sujet, un groupe par une activité routinière, un programme
  • Éducateurs : Personnes impliquées dans la réalisation

7 composantes satellites

  • Programme et contenu : Programme (ensemble d’ateliers sous un même thème), contenu (objet d’une activité dans un programme spécifique)
  • Moyens de mise en relation : Stratégies qui permettent les relations entre les intervenants, les sujets ou les référents.
  • Temps : Objectif (horaire, temps forts, activités spéciales, transitions…), Subjectif (signification individuelle selon affinités, vulnérabilités, urgences…)
  • Espace : Objectif (Organisation physique), Subjectif (signification des lieux en fonction des histoires personnelles, vulnérabilités…)
  • Code et procédures : Lois, règlements, balises. Code (détermine ce que l’on s’attend comme comportement de la part du sujet), procédures (marches à suivre proposées pour le déroulement de l’activité).
  • Système de responsabilité : Fonctions, rôles, tâches pour sujets, intervenants, référents
  • Systèmes d’évaluation et de reconnaissance : Système d’évaluation (Critères qui mesurent l’atteinte des objectifs), Système de reconnaissance (Moyens pour signifier aux sujets leur niveau d’acquisition du contenu et des compétences proposées)
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13
Q

La pertinence repose sur trois fonctions, lesquelles ?

A

priorité, faisabilité, cohérence

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14
Q

Qu’est-ce que la validité interne ?

A

Est-ce que ce que l’on décrit représente bien le problème et ce que l’on veut faire pour le résoudre ?

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15
Q

Qu’est-ce que la validité externe ?

A

Ce que l’on veut faire repose sur des éléments extérieurs à notre seule perception ou évaluation personnelle.

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16
Q

Qu’est-ce qu’une intervention individuelle ?

A

un seul sujet

17
Q

Qu’est-ce qu’une intervention individualisée ?

A

Adapté à un sujet dans le cadre d’une intervention de groupe

18
Q

Qu’est-ce qu’une intervention de groupe ?

A

tous les sujets selon les mêmes modalités (homogénéité/hétérogénéité)

19
Q

Qu’est-ce qu’une intervention dépersonnalisée ?

A

“Ce n’est pas MOI qui te demande ça. C’est un règlement de la part de l’ÉQUIPE.”

20
Q

Quels sont les 4 notions de définition de la réalité du sujet en relation avec son environnement.
Explique.

A
  • Affinités : Attirance vers certaines choses ou situations plutôt que d’autres de façon spontanée selon ses caractéristiques personnelles.
  • Compétences : Particulières en fonction des contextes présentés, parties intégrantes du bagage personnel, se greffent aux affinités premières, favorise l’adaptation aux nouvelles situations. Le développement de nouvelles compétences amène une adaptation meilleure aux situations futures.
  • Urgences : Ce qui est indispensable de prévoir dans l’organisation des conditions externes, support indispensable à un équilibre minimal. Priorité pour rendre le sujet réceptif à l’activité.
  • Vulnérabilités : Source de déséquilibre, peut susciter des réactions, de retrait, d’agression, de déviance… (élément de fragilité personnelle) *Validité externe
21
Q

Quels sont les 3 définitions des sujets en difficulté d’adaptation ?

A

Le sujet handicapé : Aptitudes et habiletés limitées de façon DÉFINITIVE par des caractéristiques physiques ou psychophysiologiques (sensoriel, cognitif, moteur, affectif, social). L’individu peut être adapté si l’environnement est organisé.

Le sujet inadapté : Difficultés psychosociales particulières sont intériorisées et constituent alors des composantes de son système personnel (psychopathe). C’est DURABLE.

Le sujet mésadapté : Perturbations dans le développement personnel, au niveau fonctionnel, plus ou moins TEMPORAIRE (divorce, changement d’école, deuil…)

22
Q

Quels sont les trois types de savoir de l’éducateur ?

A

Savoir (école), savoir-faire (stage) et savoir-être (schèmes relationnels)