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Notion de discours > Examen 1 > Flashcards

Examen 1 Flashcards

1
Q

Vrai ou faux : texte = discours?

A

Vrai

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Q

Avec quoi le discours est-il en opposition?

A

Avec la langue

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3
Q

Vrai ou faux : une même forme peut avoir différentes fonctions.

A

Vrai

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4
Q

Vrai ou faux : une même fonction peut avoir différentes formes.

A

Vrai

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5
Q

Quelles sont les 2 grandes approches du discours?

A
  1. Formaliste

2. Fonctionnaliste

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6
Q

Quelles sont les différences entre l’approche formaliste et fonctionnaliste?

A

L’approche formaliste correspond à un phénomène mental dans lequel on utilise le code pour essayer de décoder les mots (discours = ensemble de phrases).
L’approche fonctionnaliste correspond à un phénomène social où l’usage prime sur le code (discours = usage du langage)

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7
Q

Qu’est-ce que le discours?

A

Unité linguistique cohérente constituée d’énoncés (permet de tenir compte du contexte)

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8
Q

Qu’est-ce qu’une phrase?

A

Unité langagière abstraite qui n’a pas d’existence comme telle (dès qu’elle est énoncée, elle devient un énoncé; basée sur des règles grammaticales)

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9
Q

Qu’est-ce qu’un énoncé?

A

Toute unité de production du langage oral ou écrit qui est délimitée avant et après par une pause (énoncé = occurrence : il n’y a pas 2 énoncés pareils)

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10
Q

Quelles sont les différences entre une phrase et un énoncé?

A

La phrase est abstraite et n’est pas liée au contexte. Elle doit être bien formée, délimitée par une majuscule et un point et doit contenir un verbe. Tout assemblage de mots n’égale pas nécessairement une phrase, il doit suivre le système de la langue.
L’énoncé est concret, contextualisé et le verbe n’est pas obligatoire. Différents énoncés d’une même phrase peuvent avoir des sens différents. L’énoncé est délimité par une pause, un point ou un tour de parole. Tout assemblage d’énoncés n’égale pas nécessairement un discours.

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11
Q

Pourquoi faire l’étude des caractéristiques fondamentales du discours?

A
  1. Un discours adéquat diffère formellement d’un ensemble de phrases non reliées
  2. Tout locuteur peut distinguer un discours adéquat d’un autre qui ne l’est pas (non-discours)
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12
Q

Quels sont les critères de textualité?

A
  1. Cohésion (approche formaliste)
  2. Cohérence (approche fonctionnaliste)
  3. Intentionnalité
  4. Informativité
  5. Situationnalité
  6. Acceptabilité
  7. Intertextualité
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13
Q

Qu’est-ce que la cohésion?

A

Continuité sémantique où les liens sont établis d’un énoncé à l’autre au moyen de marqueurs linguistiques (temporaux, spatiaux, argumentatifs et explicatifs)

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14
Q

Qu’est-ce que la cohérence?

A

Continuité sémantique établie à l’aide de la connaissance extralinguistique (le sens apparaît d’un rapport entre le savoir textuel et le savoir sur le monde)

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15
Q

Qu’est-ce que l’intentionnalité?

A

Scripteur/émetteur/locuteur doit avoir une certaine intention de communication (un but à atteindre avec son message)

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16
Q

Qu’est-ce que l’informativité?

A

Il faut une progression constante de l’information pour qu’on puisse parler de texte (un taux de redondance élevé ne fonctionne pas; relativement rare à l’écrit)

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17
Q

Qu’est-ce que la situationnalité?

A

Une production linguistique est jugée texte et discours si elle est appropriée à une situation (elle concerne les liens entre texte et contexte, soit la situation dans laquelle le texte a été créé)

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18
Q

Qu’est-ce que l’acceptabilité?

A

Concerne l’attente du destinataire (il s’attend à recevoir un message cohérent, acceptable et significatif)

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19
Q

Qu’est-ce que l’intertextualité?

A

Ensemble des textes mis en relation dans un texte donné, peut-être fait par le biais de différentes stratégies (citations, parodies, pastiches, allusions, plagiat, préférences et liens hypertextes)

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20
Q

Quels sont les 2 critères fondamentaux liés à la sémantique?

A
  1. Cohésion

2. Cohérence

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21
Q

Le discours s’emploie de 2 façons pour favoriser une double appropriation de la notion. Quelles sont-elles?

A
  1. Substantif comptable

2. Substantif non-comptable

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22
Q

Comment le discours est-il défini pour les linguistes?

A

Comme l’usage de la langue

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23
Q

Quelles sont les 3 oppositions majeures du discours?

A
  1. Discours et phrase
  2. Discours et langue
  3. Discours et texte
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24
Q

Nommez quelques caractéristiques du discours parmi les 8 vues en classe.

A
  1. Le discours est une organisation au-delà de la phrase
  2. Le discours est une forme d’action
  3. Le discours est interactif
  4. Le discours est conceptualisé
  5. Le discours est pris en charge pas un sujet
  6. Le discours est régi par des normes
  7. Le discours est pris dans un interdiscours
  8. Le discours construit socialement le sens
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25
Q

L’emploi de “discours” a une double portée. Quelle est-elle?

A
  1. Permet de désigner des objets d’analyse

2. Permet de montrer qu’on adopte un certain point de vue sur ces objets

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26
Q

Qu’est-ce que le discours du tract?

A

On n’analyse pas seulement des contenus, une organisation textuelle ou des procédés stylistiques; on va rapporter cet énoncé à un dispositif de communication, aux normes d’une activité, etc.

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27
Q

Si la littérature est envisagée comme discours, que conteste-t-on?

A

La division traditionnelle des études littéraires en 2 branches :

  1. Selon le texte
  2. Selon le contexte (la vie de l’auteur, aspects de l’époque auquel il a vécu, etc.)
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28
Q

Qu’est-ce que l’attitude sceptique?

A

Renoncer à donner la moindre consistance sémantique au mot “discours” et se contenter d’enregistrer ses emplois en les expliquant par les intérêts de ceux qui l’utilisent

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29
Q

Qu’est-ce que l’attitude thérapeutique?

A

Disqualifier les emplois de “discours” qui ne seraient pas définis rigoureusement et univoques

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30
Q

Qu’est-ce qu’une problématique discursive?

A

Associe langue, activité communicationnelle et connaissance

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31
Q

De quoi se distingue l’analyste du discours?

A

Il se distingue d’autres disciplines qui privilégient une seule des 3 dimensions (langue, activité communicationnelle et connaissance)

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32
Q

Vrai ou faux : théorie du discours = analyse du discours

A

Faux

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33
Q

Qu’étudient les analystes du discours?

A

Des corpus

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34
Q

Qu’est qu’une espèce?

A

Éditorial, recettes, poèmes, faits divers, etc. (formes différentes donc statuts différents : littéraire, non littéraire, oral, écrit)

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35
Q

Qu’est-ce qu’une formation discursive?

A

Domaine/sphère d’application du discours lié aux institutions et au social

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36
Q

À quoi correspondent les formations discursives?

A

À des secteurs de l’activité discursive et prescrivent au lecteur le type de comportement qu’il doit obtenir par rapport au texte

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37
Q

Qu’est-ce que le genre?

A

Chaque formation discursive fait intervenir différents genres (ex. formation discursive littéraire - poésie, nouvelle, roman, etc.) eux-mêmes segmentaires en sous-genres (ex. poésie - haïku, sonnet) dont il est difficile de donner une définition, car l’appartenance à un genre est basée sur la forme, le contenu ou la finalité

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38
Q

Que sont les activités langagières?

A
  • Formations discursives

- Genres

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39
Q

Qu’est-ce qu’un type?

A

Organisation textuelle, structure, entité relativement autonome, dotée d’une organisation interne qui lui est propre

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40
Q

Qu’est-ce qu’une séquence type?

A

Organisation linguistique transversale par rapport aux genres, aux sous-genres et aux formations discursives

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41
Q

Selon Chafe, 2 façons expliquent les différences entre discours oral et écrit. Quelles sont-elles?

A
  1. Écrire prend plus de temps que parler

2. Le scripteur n’a pas de contact avec son lecteur

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42
Q

Quels sont les avantages et les désavantages de parler pour les locuteurs?

A

Avantages : l’environnement et la situation sont partagés avec l’interlocuteur, donc les référents sont accessibles aux 2 et l’imprécision est tolérable parce que l’interlocuteur peut réagir immédiatement. La langue n’est pas le seul système de signes utilisable (prosodie, gestes, expressions faciales, etc.)
Désavantages : le caractère immédiat de la parole fait que le locuteur doit simultanément parler, planifier les éléments à venir, lutter pour garder la parole et gérer la réception du message

43
Q

Quels sont les avantages et les désavantages d’écrire pour les scripteurs?

A

Avantages : le lecteur peut revenir en arrière, l’information est plus dense et les traces de reformulation sont gommées
Désavantages : nécessité d’être plus explicite, on n’a que la langue et l’environnement n’est pas partagé

44
Q

Quelles sont les différences formelles entre l’écrit et l’oral?

A
  1. À l’oral, les phrases sont nombreuses à être incomplètes, baffouillements, rectifications et reformulations, marques d’hésitation, redondance
  2. À l’oral, les phrase sont plus courtes et moins complexes
  3. À l’oral, il y a une moins grande variété de marqueurs de relation
  4. À l’oral, il y a une grande présence de structures clivées
45
Q

Qu’est-ce qu’un texte cohérent?

A

Texte qui se tient, dont on perçoit facilement l’unité malgré sa composition de plusieurs phrases

46
Q

Qu’est-ce qu’un lecteur compétent?

A

Habile à faire des inférences, sait se faire guider par les indications du texte

47
Q

Qu’est-ce que la cohérence d’un texte?

A

Fonction de l’interaction entre le travail inférentiel du lecteur et certaines qualités inhérentes au texte lui-même (se rapporte à l’unité d’une suite de phrases)

48
Q

Quelles sont les 3 conditions à la cohérence textuelle?

A
  1. Cohésion
  2. Hiérarchisation
  3. Intégration
49
Q

Qu’est-ce que la cohésion?

A

Les éléments sont liés entre eux (il faut que les traces soient reconnues par le lecteur et soient présentes d’une phrase à l’autre de façon régulière)

50
Q

Qu’est-ce que la hiérarchisation?

A

L’ordre des énoncés joue un rôle primordial dans l’organisation du texte (l’énoncé présenté en premier est considéré comme dominant)

51
Q

Qu’est-ce que l’intégration?

A

Principe le plus fondamental de la cohérence par lequel tout énoncé doit pourvoir être reconnu comme faisant partie du texte antérieur

52
Q

Qu’est-ce que le principe de sincérité?

A

Le scripteur manifeste sont intention de construire un texte cohérent en guidant le lecteur par divers indices de relation entre les énoncés

53
Q

Qu’est-ce que le principe de collaboration?

A

Le lecteur reconnaît l’intention de cohérence du scripteur et il y participe activement en cherchant les indices de relation

54
Q

Un texte est cohérent si :

A
  • Éléments de reprise et de répétition
  • Progression (apport d’informations nouvelles)
  • Pas de contradiction
  • Pertinence des idées
55
Q

Quelles sont les 4 règles de Charolles?

A
  1. Métarègle de reprise
  2. Métarègle de progression
  3. Métarègle de non-contradiction
  4. Métarègle de relation
56
Q

Qu’est-ce que la MR1?

A

Pour qu’un texte soit cohérent, il faut que des éléments soient repris dans ceux qui précédent

57
Q

Qu’est-ce que la référence?

A

Relation entre un élément du langage et un objet/une personne (le locuteur indique de quelles choses ou personnes il parle)

58
Q

Qu’est-ce qu’un référent?

A

Ce à quoi renvoie un mot ou un syntagme (entité du monde dénotée par un concept et désignée par le langage). On peut trouver plusieurs expressions pour désigner le même référent

59
Q

Qu’est-ce qu’une expression référentielle?

A

Toute expression utilisée dans un énoncé pou référer à quelque chose (utilisée avec un référent particulier en tête)

60
Q

Qu’est-ce qu’un antécédent?

A

Mots dont la référence est reprise par un élément anaphorique ou cataphorique (la cohésion repose sur la coréférence)

61
Q

Que sont des expressions coréférentielles?

A

Mots ayant le même référent dans un discours

62
Q

Qu’est-ce qu’une anaphore?

A

L’antécédent précède le terme de reprise (il faut revenir dans le texte pour le trouver)

63
Q

Qu’est-ce qu’une cataphore?

A

L’antécédent vient après le terme de reprise (il faut avancer dans le texte pour le trouver)

64
Q

Quels sont les 6 moyens pour assurer la reprise?

A
  1. Pronominalisation (le chat … il)
  2. Définitivisation (un chat … le chat)
  3. Référentialisation déictique contextuelle (un chat … ce chat)
  4. Nominalisation (un chat entra … l’entrée du chat)
  5. Substitution lexicale (un chat … l’animal)
  6. Anaphore/cataphore associative (le chat … les griffes)
65
Q

Qu’est-ce que la pronominalisation?

A

Utilisation d’un pronom qui rend possible la reprise à distance d’un mot (un trop grand éloignement entre le pronom et l’antécédent peut compromettre l’élucidation)

66
Q

Qu’est-ce que la définitivisation?

A

Utilisation d’un déterminant défini après un indéfini

67
Q

Qu’est-ce que la référentialisation déictique?

A

Utilisation d’un démonstratif

68
Q

Qu’est-ce que la nominalisation?

A

Reprise assurée au moyen du remplacement d’un verbe par le substantif correspondant

69
Q

Qu’est-ce que la substitution lexicale?

A

Remplacement de l’antécédent par une expression synonyme (hyperonyme)

70
Q

Vrai ou faux : l’hyperonyme (terme + générique) ne peut précéder son représentant (homonyme)

A

Vrai

71
Q

Qu’est-ce qu’une anaphore/cataphore associative?

A

Le terme qui accomplit le rappel n’est pas strictement coréférent avec l’antécédent

72
Q

Qu’est-ce que la MR2?

A

Pour qu’un texte soit cohérent, il faut que son développement s’accompagne d’un apport sémantique constamment renouvelé (rarement insatisfait, peut être retrouvé dans certaines situations pédagogiques)

73
Q

Qu’est-ce que la MR3?

A

Pour qu’un texte soit cohérent, il faut que son développement n’introduise aucun élément sémantique contredisant un contenu posé ou présupposé par une occurrence antérieure

74
Q

Qu’est-ce que le principe logique de non-contradiction?

A

Une proposition ne peut être à la fois vraie et fausse

75
Q

Qu’est-ce que la MR4?

A

Pour qu’un texte soit cohérent, il faut que les faits qu’il dénote soient reliés (importance de l’inférence)

76
Q

Qu’est-ce que l’inférence?

A

Mettre en relation ce qui est dit explicitement avec autre chose

77
Q

Qu’est-ce qu’une anaphore?

A

Phénomène de dépendance interprétative entre 2 unités

78
Q

Qu’est-ce qu’une anaphore associative?

A

Ne reprend rien d’explicitement mentionné (prédéterminants “ce” et “le” = impossibles)

79
Q

Qu’est-ce qu’une cataphore?

A

L’interprétant apparaît en seconde position (situation + rare)

80
Q

Quel est le terme utilisé pour désigner les phénomènes de dépendance contextuelle (anaphore et cataphore)?

A

Diaphore

81
Q

À quel contexte l’anaphore fait-elle référence?

A

Au contexte verbal

82
Q

À quel contexte la deixis?

A

Au contexte situationnel (si aucun antécédent n’est exprimé = deixis : le scripteur réfère à quelque chose qu’il a en tête)

83
Q

Qu’est-ce qu’une anaphore rhétorique?

A

Répétition du même mot en tête des phrases où chaque unité répétée est interprétable de manière autonome

84
Q

Qu’est-ce que la récurrence?

A

Les phénomènes d’ajustement discursifs ou autres procédés d’hésitation se manifestent, à l’oral, par la répétition d’un segment quelconque

85
Q

Qu’est-ce qu’une forme liée?

A

Les relations de coréférence affirmées prédicavement par le biais d’apposition ou de phrases à copule

86
Q

Vrai ou faux : le point de départ d’un discours ou d’un énoncé conditionne toute l’interprétation qu’on peut en faire.

A

Vrai

87
Q

Sur quoi est basé l’enchaînement des énoncés?

A

La hiérarchisation de l’information

88
Q

Qu’est-ce qu’un thème?

A

Information connue ou donnée

89
Q

Qu’est-ce qu’un rhème?

A

Information nouvelle

90
Q

Quels sont les 2 types de rhèmes?

A
  1. Rhème propre

2. Rhème secondaire

91
Q

Quels sont les 4 types de progression?

A
  1. Progression à thème constant
  2. Progression linéaire
  3. Progression à thèmes dérivés
  4. Progression complexe
92
Q

Qu’est-ce que la progression à thème constant?

A

Les phrases successives n’ont qu’un seul et même thème, chacune présentant un rhème différent
E1 : T1 - R1 , E2 : T2 - R2

93
Q

Qu’est-ce que la progression linéaire?

A

Le rhème d’une phrase devient le thème de la phrase suivante (le + souvent, ce n’est pas la totalité du rhème qui est repris)
E1 : T1 - R1 , E2 : T2 = R1 - R2

94
Q

Qu’est-ce que la progression à thèmes dérivés?

A

Les phrases successives comportent des thèmes différents, sous-thèmes d’un hyperthème qui peut être ou ne pas être exprimé explicitement (l’hyperthème est souvent le premier thème de la phrase)
E1 : T1 (hyperthème) - R1 , E2 : T1.1 - R2 , E3 : T1.2 - R3

95
Q

Qu’est-ce que la progression complexe?

A

Combinaison de plusieurs types de progression

96
Q

Vrai ou faux : le thème est le + informatif d’une phrase.

A

Faux, c’est le rhème propre qui est le + informatif, le thème est le - informatif

97
Q

Quel est le rôle du cotexte?

A

Déterminer le nouveau et le donné (ce qui vient autour de ce qui est à analyser : avant et après)

98
Q

Vrai ou faux : l’ordre des éléments est thème - rhème secondaire - rhème propre

A

Vrai

99
Q

Quel est le facteur le plus déterminant dans la distribution de l’information?

A

Le cotexte

100
Q

Quelle partie de la phrase est la plus importante?

A

La fin de la phrase (contient l’information sur laquelle on va enchaîner)

101
Q

Quelles sont les constructions détachées?

A
  • Appositions
  • Épithètes détachées
  • Subordonnées incises
102
Q

Les constructions détachées peuvent-elles être rhème propre?

A

Non, mais elles peuvent être rhème secondaire

103
Q

Que sont les indices sémantiques?

A

Jouent un rôle dans la hiérarchisation :

  • Les pronoms personnels sont thématiques, alors que “même” et “seulement” sont rhématiques
  • Un verbe d’action peut être rhématique ou thématique
104
Q

À quoi sert le facteur prosodique (intonation)

A

Permet normalement d’indiquer la hiérarchisation de l’information

Notion de discours (1 decks)

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