Examen 1 Flashcards

1
Q

CLP : Chacun a sa réalité et son __________________ dans un cadre communicationnel.

A

Système de référence

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Vrai ou Faux. Ce n’est pas parce que l’information a bien été transmise que le patient a bien compris.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

CLP : La communication permet de définir sa ___________ et de la partager.

A

Vision

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

QSJ : Je suis le domaine communicationnel le plus sollicité par le pharmacien.

A

Écoute.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

QSJ : Tout ce qui diminue l’intensité d’une message, entre le moment où il est produit par l’émetteur jusqu’à ce qu’il se rende au récepteur.

A

Filtre

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Vrai ou Faux. Le code doit être le même pour les 2 individus qui communiquent.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Quelles sont les 3 principes essentiels pour une communication satisfaisante ?

A
  1. Intention claire
  2. Absence de non-dits (ne pas présumer)
  3. Absence de jugement
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

QSJ : Je suis le coeur du modèle de communication.

A

Le message

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Nomme 2 facilitateurs à la réception du message.

A
  1. Relation de confiance

2. Structure et organisation du message

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Vrai ou Faux. La rétroaction constructive doit être évaluative plutôt que descriptive.

A

Faux. Descriptive plutôt qu’évaluative

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Lors de la rétroaction constructive, faut-il donner des conseils spécifiques ou plutôt généraux ?

A

Spécifiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Vrai ou Faux. À la fin du cours de Communication, tous seront des bons communicateurs.

A

Faux. Savoir communiquer ne veut pas dire être un bon communicateur.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quels sont les 3 types d’entrevues en pharmacie ?

A
  1. Collecte d’informations
  2. Résolution de problèmes
  3. Persuasion
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quel est le principe de base pour être un communicateur compétent ?

A

S’adapter à l’interlocuteur et non le contraire

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Quelles sont les 4 caractéristiques du communicateur compétent ?

A
  1. Savoir user d’empathie (absence de jugements)
  2. Réflexif à l’action
  3. Autocritique
  4. S’engager envers les autres (intervenir et ne pas demeurer immobile).
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Quelles sont les 3 composantes communicationnelles et à quels pourcentages ?

A
  1. Langage du corps : 55 %
  2. Voix et para langage : 38 %
  3. Mots : 7 %
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Parfois, nous envoyons des messages sans les encoder consciemment. Quel langage en est-il responsable ?

A

Langage non verbal

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

CLP : Il faut absolument que le non verbal soit concordant avec le ______________ .

A

Message parlé

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

CLP : Si on est privé du langage non verbal, on perd l’effet de _______________.

A

Régularisation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
20
Q

Nomme une position corporelle qui incite à la confession (relation de confiance).

A

Se pencher vers le client

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
21
Q

Nomme un geste corporel qui démontre quel la personne est refermé et se protège vis-à-vis l’autre personne.

A

Bras croisés

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
22
Q

Nomme une action qui démontre un manque d’intérêt.

A

Regarder partout

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
23
Q

QSJ : Je complète le message (l’enveloppe). Je comprend le timbre, le volume, le débit, les accents toniques et les pauses de la voix.

A

Paralangage

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
24
Q

CLP : Le paralangage est accentué par les gestes et l’_________________.

A

Expression faciale

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
25
Q

Vrai ou Faux. Les aspects du paralangage sont toujours favorisants à la communication.

A

Faux. Peuvent être nuisibles (ex: débit trop vite).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
26
Q

Décortique l’acronyme PROCHE.

A
P : Position bienveillante
R : Regard franc + sourire
O : Ouverture corporelle
C : Contact visuel attentif
H : Habitudes nerveuses maîtrisés
E : État de relaxation, détendu
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
27
Q

Vrai ou Faux. Le patient tiendra plus comte du langage verbal que non verbal.

A

Faux. Il tiendra plus compte du langage NV.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
28
Q

Quelles sont les 3 dimensions qui affectent la prise d’un médicament ?

A
  1. Savoir : ce que le patient connaît
  2. Pouvoir : finances, …
  3. Vouloir : croyances, acceptation et rapport à la maladie
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
29
Q

Qu’est-ce que la reproductibilité ?

A

Le pharmacien doit avoir une reproductibilité de la qualité de ses interventions (bonne structure). Le patient A doit être aussi bien pris en charge que le patient B.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
30
Q

Vrai ou Faux. La pharmacien passe la majorité de sont temps dans les interactions courtes.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
31
Q

Quelles sont les 4 types de consultation en pharmacie ?

A
  1. Entrevue initiale
  2. Entrevue de suivi
  3. Entrevue de contenu
  4. Consultation pour une demande d’informations
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
32
Q

Pourquoi est-il important de connaître la structure de chaque type de consultation ?

A

Pour assurer le reproductibilité, n’oublier aucun détail. Pour nous sécuriser.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
33
Q

CLP : Les questions ouvertes permettent d’__________, alors que les questions fermées permettent de clarifier.

A

Évaluer

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
34
Q

Vrai ou Faux. Les questions fermées permettent de situer le contexte général.

A

Faux. Questions ouvertes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
35
Q

CLP : Les questions _____________ permettent de déterminer ce que le client comprend ou connaît de sa médication.

A

Ouvertes

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
36
Q

Vrai ou Faux.

  1. Une question de type “Pourquoi ?” est une question ouverte.
  2. Une question de type “Qui-est ce que?” est une question de type fermé.
  3. Une question de type “Quand” est une question fermée.
A
  1. Vrai
  2. Faux. Semi-ouverte
  3. Faux. Semi-ouverte
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
37
Q

Vrai ou Faux. La question ouverte est meilleure que la question fermée.

A

Partiellement vrai. Cela dépend du contexte et des informations souhaitées !! Mais les questions ouvertes sont meilleures pour faire sauver du temps au pharmacien.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
38
Q

Vrai ou Faux. L’empathie c’est d’être sympathique et impliqué émotionnellement avec l’autre.

A

Faux. C’est tenter de comprendre l’autre (sentiments et comportements) en essayant de se mettre à sa place ou de regarder la situation de son point de vue. Il faut garder un distance émotionnelle avec le patient.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
39
Q

Vrai ou Faux. L’empathie est une des bases de l’écoute active.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
40
Q

CLP : Pour être complètement emphatique, il faut adapter son ______________ et ses mots.

A

Attitude

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
41
Q

Quelles sont les 3 techniques emphatiques ?

A
  1. Toucher (outil très PUISSANT)Nomme
  2. Reflet
  3. Paraphrase/Reformulation
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
42
Q

Quelle devrait être la première question posée lors d’une consultation pour un conseil Pr ?

A

Qu’est-ce qui vous a amené à consulter le médecin (OUVERTE).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
43
Q

Vrai ou Faux. L’exemplification est une technique de reflet.

A

Faux. De clarification

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
44
Q

QSJ : Redire dans nos propres mots l’essentiel d’un message ou d’une information que le client a communiqué. Cela permet de prouver son écoute au client et de confirmer que l’on a bien compris.

A

Paraphrase/Reformulation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
45
Q

QSJ : Redire dans nos propres mots l’émotion ou le sentiment qui habite le client au moment où il nous parle. C’est une reformulation de sens.

A

Reflet

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
46
Q

Nomme un énoncé de facilitation non verbal et un énoncé de facilitation verbal.

A

NV : Hocher la tête en conservant un bon contact visuel

V : Continuez !

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
47
Q

CLP : Une interruption est toujours accompagnée d’une _______________.

A

Redirection

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
48
Q

Vrai ou Faux. Il est important d’établir la base de ce qu’on va parler avant de commencer. Cela permet d’éviter les interruptions.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
49
Q

Qu’est-ce qu’un énoncé d’entretien ?

A

Lorsque le discours du client est embrouillé, le pharmacien guide et oriente sur la structure de l’entrevue. Nécessite une écoute active.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
50
Q

Un patient viens vous voir avec une ordonnance et ne sait pas trop pour quoi il l’a. Que pouvez-vous lui demander pour connaître l’indication ?

A

Quelles raisons vous-ont pousser à consulter votre médecin ?

Quels symptômes avez-vous ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
51
Q

Vrai ou Faux.

  1. Les silences peuvent être utiles pour ventiler une émotion.
  2. Les silences peuvent être dû à un malaise
A
  1. Vrai

2. Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
52
Q

QSJ : Question dans laquelle on assume la réalité d’un patient.

A

Question tendancieuse

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
53
Q

Nomme une bonne alternative au question “Pourquoi?”.

A

Pour quelle raison ?

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
54
Q

Vrai ou Faux. Les questions de types “Mais” peuvent être utilisées par le pharmacien.

A

Faux. Il faut les éviter, car elle contredit une opinion, une idée ou un comportement. Si on doit faire une contre-opinion, on termine une phrase sans utiliser un “mais” et on recommence une autre phrase avec un MAINTENANT (utile pour les reflets).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
55
Q

Nomme un exemple de phrase suicide.

A

Je vous comprends

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
56
Q

Vrai ou Faux.

  1. Si on cherche à faire le tour d’une situation, on utilise une question ouverte.
  2. Si on cherche à en connaître plus sur un sujet, on utilise une question fermée.
  3. Si on cherche à amener l’action et la réflexion sans imposer, on utilise une question ouverte.
  4. Si on chercher à encourager le discours, on utilise une reformulation suivi d’une question de validation.
A
  1. Vrai
  2. Faux. Ouvertes
  3. Faux. Questions multiples (mais ATTENTION) ex: Vous me dites prends un analgésique que vous avez oublié. Est-ce du Tylenol ? de l’Advil ? …
  4. Vrai
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
57
Q

Quelles sont les 4 étapes de l’écoute active ?

A
  1. Être attentif à l’information en circulation (verbal, NV et paralangage)
  2. Interpréter et analyser TOUTES les informations du message en vue de comprendre l’enjeu réel
  3. Se souvenir des informations
  4. Réagir aux informations
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
58
Q

Vrai ou Faux. L’écoute passive consiste à ne pas aller au-delà des mots , donc à ne pas saisir le message.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
59
Q

Quelles sont les 4 qualités que doit avoir un pharmacien pour faire de l’écoute active ?

A
  1. Capacité à laisser l’autre en contrôle de la discussion
  2. Capacité à imaginer la réalité de l’autre (empathie)
  3. Ne pas vouloir se protéger (en voulant éviter un sujet)
  4. Désir de comprendre et non de critiquer
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
60
Q

Quelles sont les 5 dimensions de l’écoute active ?

A
  1. Langage corporel
  2. Utilisation des questions ouvertes
  3. Reformulation ou reflet
  4. Ne pas juger
  5. Quiétude
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
61
Q

Vrai ou Faux. L’interprétation occupe une place très importante dans l’écoute active.

A

Faux. Il faut éviter d’interpréter et de présumer ce que le patient veut dire.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
62
Q

Vrai ou Faux. Un écouteur actif anticipe les paroles de l’autre.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
63
Q

QSJ : Je suis l’ange de la communication. Je permet de voir si le pharmacien a bien interagit avec son client.

A

Autocritique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
64
Q

QSJ : Service professionnel qui permet une prise en charge globale de la thérapie médicamenteuse et de la santé du client en tenant compte des besoins de celui-co.

A

Soins pharmaceutiques

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
65
Q

À quoi servent les standards de pratique ?

A

Ils sont directement liés aux soins pharmaceutiques. Le patient doit être pris en charge de la même façon peu importe le pharmacien (reproductibilité des soins).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
66
Q

Vrai ou Faux. Le modèle médical traditionnel prône une relation paternaliste (parent-enfant) entre les professionnels et leurs patients, tandis que le modèle contemporaine prône une relation d’égal à égal.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
67
Q

CLP : Le modèle médical ____________ (traditionnel/contemporain) est basé sur la confiance aveugle de l’expertise et l’autorité du professionnel de la santé.

A

Traditionnel

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
68
Q

CLP : L’implication et la __________________ du client sont nécessaires pour assurer un traitement optimal.

A

Responsabilisation

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
69
Q

Vrai ou Faux. L’individualisation est cruciale dans le domaine de la santé.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
70
Q

Quelles sont les 3 principaux types de relations en pharmacie ?

A
  1. Pharmacien-Client
  2. Client-Rx
  3. Pharmacien-Rx
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
71
Q

Vrai ou Faux. Un des principaux avantages de la relation client-Rx est l’amélioration de la qualité de vie.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
72
Q

Quelles sont les 8 étapes de la démarche de soins ?

A
  1. Établir une relation de confiance avec le client
  2. Recueillir les informations
  3. Interpréter rapidement et efficacement ces informations
  4. Élaborer un plan de soins pharmaceutiques
  5. Appliquer le plan de soins
  6. Réévaluer et assurer le suivi
  7. Documenter les interventions
  8. Évaluer la qualité de prestation des soins
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
73
Q

Comment savoir si la communication est efficace entre le patient et le pharmacien ?

A

Si le patient est assez confortable pour poser des questions délicates

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
74
Q

QSJ : Principe essentiel de l’interprétation des résultats.

A

Concordance

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
75
Q

CLP : La sécurité est un principe fondamental des soins des clients et une composante essentielle de la gestion de la __________.

A

Qualité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
76
Q

CLP : L’obtention de l’information est un processus ______________.

A

Continu

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
77
Q

QSJ : Histoire pharmacothérapeutique réduite qui permet d’aller chercher l’informations chez le patient pour prendre l’ordonnance actuelle. C’est une photo des Rx actuels.

A

Histoire médicamenteuse (HM)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
78
Q

Que contient la HM (4) ?

A
  1. Liste des Rx et leurs spécificités
  2. MVL/PSN
  3. TOUJOURS les allergies et intolérances
  4. Quelques habitudes de vie (tabagisme, grossesse et allaitement)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
79
Q

Une personne est non-autonome et est insuffisant rénal. Ces informations doivent-elles être inscrites dans l’HM ou l’HP ?

A

HP

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
80
Q

Vrai ou Faux. La formation de l’histoire médicamenteuse est un processus longitudinal.

A

Faux. de l’HP

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
81
Q

À quel moment devons-nous faire une collecte de données complète ?

A

Ouverture d’un dossier

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
82
Q

Vrai ou Faux. Les données subjectives ne sont pas toujours exactes.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
83
Q

Qu’est-ce qui peut influencer les données subjectives ?

A

L’état d’âme et la perception

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
84
Q

Un client vient vous voir avec son log-book contenant ses valeurs journalières de tension artérielle. Est-ce des valeurs objectives ou subjectives ?

A

Cela dépend. Si les valeurs sont vérifiables : objectives. Sinon, subjectives.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
85
Q

La présence d’un accompagnateur peut-il être un filtre à la communication entre le pharmacien et son client ?

A

Oui

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
86
Q

Vrai ou Faux. Le travail du patient est une donnée administrative.

A

Faux. Démographique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
87
Q

Vrai ou Faux. Il est important d’inscrire au dossier le plan de suivi du pharmacien et du médecin.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
88
Q

Est-il important d’inscrire le statut de vaccination du patient à son dossier ?

A

Oui

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
89
Q

Pourquoi est-il important de demander spécifiquement si, en plus de prendre des Pr, le patient prend des MVL ou PSN ?

A

Certains patients ne voient pas les anovulants, pompes, MVL, PSN et vitamines comme des Rx. Ils pensent que c’est sans danger.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
90
Q

Nomme 6 informations cruciales à demander et à inscrire au dossier sur la prise de Rx actuels.

A
  1. Indication
  2. Posologie
  3. Dosage
  4. Résultats et effets
  5. Date de début de prise
  6. Persistance dans les prises
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
91
Q

Quelles sont les 3 principales sources d’informations pour la collecte ?

A
  1. Dossier-client
  2. Client (subjectif)
  3. DSQ (objectif)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
92
Q

Quels sont les 3 principes de base du discours (d’un entrevue) ?

A
  1. Structuré
  2. Défini dans le temps
  3. Sous forme d’échange
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
93
Q

Quel est le but d’une entrevue ?

A

Donne les outils à une bonne analyse du dossier/décision professionnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
94
Q

Est-ce qu’il faut prendre des notes lors de la collecte ?

A

Oui, mais le patient ne doit pas avoir l’impression qu’il parle à une machine.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
95
Q

Un client sort de l’hôpital. On lui pose des questions à l’accueil et le patient à l’impression qu’il se répète. Comment agir dans cette situation ?

A

Bien expliquer le pourquoi. Les préoccupations d’un professionnel vs un autres ne sont pas les mêmes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
96
Q

Comment aborder les sujets délicats à la pharmacie ?

A

Il faut expliquer la raison de la question dans une perspective de savoir être et en restant positif dans l’approche.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
97
Q

QSJ : Bilan dans lequel on compare un profil pharmacologique de base avec un nouveau profil lié à une nouvelle ordonnance à la suite d’une consultation.

A

BCM

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
98
Q

Vrai ou Faux. Si une divergence est observée au niveau du BCM, la première personne à questionner est le médecin.

A

Faux. Le patient

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
99
Q

CLP : Les bruits et interférences entraînent une différence entre le sens voulu et le sens _________.

A

Saisi

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
100
Q

Nomme les 4 facteurs externes au client qui peuvent devenir une barrière.

A
  1. Sexe et âge
  2. Contexte socio-économique
  3. Condition familiale
  4. Niveau social
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
101
Q

Vrai ou Faux. Les soins chroniques créent un stress important et une barrière à la communication.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
102
Q

Vrai ou Faux. La santé mentale et les problèmes d’adhésion au traitement peuvent être des sujets embarrassants pour les clients.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
103
Q

Vrai ou Faux. Le stress est très nocif pour le pharmacien.

A

Faux. Un niveau optimal de stress chez les pharmacien peut être bénéfique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
104
Q

Vrai ou Faux. Dans la relation client-pharmacien, le principal objectif est de combler les besoins du patient.

A

Faux. On vise un équilibre (mutualité) entre les besoins/attentes du pharmacien et ceux du patients.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
105
Q

QSJ : Barrière à la communication qui se définit comme étant l’image de soi renvoyée par l’autre.

A

Métacognition

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
106
Q

Quelle est la principale barrière à la communication lors d’un appel téléphonique ?

A

La perte de l’accès aux signaux non verbaux.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
107
Q

Vrai ou Faux. L’héritage culturel du pharmacien peut être une barrière à la communication.

A

Vrai. Mais le pharmacien doit contrôler ses barrières internes.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
108
Q

Quelles sont les 3 caractéristiques d’une bonne information ?

A
  1. Sourcée
  2. Actuelle
  3. Fiable (faits clairs et prouvés)
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
109
Q

Vrai ou Faux. Au début de nos recherches sur un sujet en tant que stagiaire, mieux vaut utiliser des sources primaires.

A

Faux. Tertiaires

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
110
Q

Vrai ou Faux. Au début de nos recherches sur un sujet en tant que pharmacien expérimenté, mieux vaut utiliser des sources primaires.

A

Partiellement vrai. Il arrive parfois que le pharmacien connaît déjà la base du sujet de recherche et ne cherche qu’une information précise. Il pourra alors commencer directement avec des sources secondaires/primaires.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
111
Q

Quels sont les 5 paramètres qui permettent d’affirmer la fiabilité d’un site internet ?

A
  1. Créateur du site
  2. Date de publication
  3. Provenance du site
  4. Objectif du site
  5. À qui s’adresse le site
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
112
Q

CLP : Il vaut mieux miser sur les sites ______________ (plutôt que les sites commerciaux, personnels, …).

A

Informatifs

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
113
Q

Vrai ou Faux. Étant donné qu’un article publié passe par un processus rigoureux de révision scientifique, il est automatiquement fiable.

A

Faux. Le délai du processus de révision peut entraîne une variation entre les versions, mais généralement fiable.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
114
Q

Est-ce que les sites internet des entreprises pharmaceutiques sont fiables ?

A

+/- ! Il faut traiter les infos avec discernement (la vérité peut être maquillée).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
115
Q

CLP : Une information pertinente n’est pas obligatoirement une information de ______________.

A

Qualité

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
116
Q

Doit-on encourager le client a contacter lui-même les centres d’informations pharmaceutiques ?

A

Non. Le client n’a pas les connaissances techniques pour comprendre les informations transmises par les centres d’informations et les compagnies pharmaceutiques.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
117
Q

CLP : En pharmacie, il est primordial de constamment procéder au ______________ de la bibliothèque.

A

Renouvellement

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
118
Q

Vrai ou Faux. Il est très conseillé d’utiliser les bases de données en pharmacie.

A

Vrai. Elles sont mises à jour fréquemment.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
119
Q

Nomme 3 exemples de bases de données.

A
  1. Base de données sur les produits pharmaceutiques (SC)
  2. Base de données des PSN homologués (NPN)
  3. Micromedex
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
120
Q

Est-il recommandé d’utiliser Medscape en pharmacie ?

A

Oui. Il faut faire attention cependant, car il s’agit de la réalité américaine.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
121
Q

Vrai ou Faux. La lecture en diagonale est quelque chose de recommandé en pharmacie.

A

Vrai. On lit en diagonale pour cibler les informations qui nous intéresse/que l’on cherche.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
122
Q

Nomme 2 désavantages de RxVigilance.

A
  1. Peu adapté aux pratiques spécialisées

2. Donne l’impression de finalité, alors que pas toujours complet et ne permet pas de répondre à toutes les questions.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
123
Q

Vrai ou Faux. La qualité des informations transmises est modulée par notre capacité à faire la recherche de l’information.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
124
Q

CLP : Plus on est _______ dans une discussion, plus on retient.

A

Actif (plus les sens sont mobilisés, plus on retient à long terme)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
125
Q

Quels sont les 3 objectifs d’un conseil en pharmacie ?

A
  1. Aider le patient à une utilisation judicieuse de son Rx
  2. Aider le client à une prise en charge optimale de son problème de santé
  3. Donner les moyens de reconnaître les effets indésirables en fournissant des trucs pour y pallier ou -pour les minimiser
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
126
Q

CLP : Le conseil patient est la meilleure technique pour favoriser l’_____________ au traitement.

A

Adhésion

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
127
Q

CLP : Les problèmes d’adhésion au traitement sont plus souvent observés chez les patients ayant une condition _____________ (aiguë/chronique).

A

Chronique

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
128
Q

Vrai ou Faux. Le conseil traditionnel impose un régime de traitement rigide et impersonnel.

A

Vrai

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
129
Q

Vrai ou Faux. Les oublis des clients sont imputables au pharmacien seulement s’il a omis de dire quelque chose ou si les explications étaient mal adaptées au patient.

A

Faux. Aussi s’il a dit trop de choses en même temps

130
Q

Vrai ou Faux. La consultation interactive est plus longue que la consultation traditionnelle.

A

Partiellement vrai. Un peu plus longue parfois, mais plus efficace !

131
Q

Quelle est la première étape essentielle à faire avant d’effectuer un conseil ?

A

Considérer le contexte (s’agit-il d’un nouveau Rx ? est-il dans une situation aiguë, chronique ?

132
Q

La question “Est-ce la première fois que vous allez prendre ce médicament?” doit-elle se retrouver dans l’introduction, le coeur ou la conclusion du conseil PR ?

A

Introduction.

133
Q

Nomme une bonne question ouverte (primaire) pour connaître :

  1. Indication d’un Rx
  2. Posologie d’un Rx
  3. Effets indésirables
A
  1. Qu’est-ce qui vous a amené à consulter le médecin
  2. Que vous a dit votre médecin sur la fan de prendre e médicament ?
  3. Que vous a dit votre médecin au sujet des effets secondaires ?
134
Q

Vrai ou Faux. La rétroaction n’est pas toujours nécessaire à la fin d’un conseil PR.

A

Vrai. Seulement lorsque confusion visible (NV), le client ne savait rien du tout, complexité des instructions, manipulations techniques nécessaires, clients avec problème cognitifs, anxiété, …

135
Q

La fiche conseil est-elle un bon outil d’aide au conseil PR ?

A

Oui, sauf il faut faire attention, car il y a matière à interprétation si absence de commentaires ou d’informations (mettre les bémols aux bons endroits).

136
Q

Vrai ou Faux. Avec le client, il ne faut discuter que des effets secondaires significatifs et sur lesquels il peut agir.

A

Vrai

137
Q

Un patient refuse de recevoir un conseil PR. Que doit faire le pharmacien ?

A

Ne pas insister et le documenter au dossier. Il doit donner aussi un support écrit et offrir ses disponibilités.

138
Q

Quelles sont les 7 dimensions à l’évaluation des symptômes pour les conseils MVL?

A
  1. Aggravation ou atténuation
  2. Chronologie
  3. Localisation
  4. Qualité
  5. Quantité
  6. Circonstance d’apparition
  7. Symptômes associés
139
Q

Vrai ou Faux. L’histoire pharmacothérapeutique est essentielle dans les conseils MVL.

A

Faux. On commence par l’évaluation de symptômes pour voir si nous devons référer. Si on réfère au médecin, pas de HP.

140
Q

Quelles sont les 7 informations importantes du conseil MVL ?

A
  1. Nom/But
  2. Posologie/Durée de traitement
  3. Ce à quoi le patient doit s’attendre (début d’action EI, ..)
  4. Comment minimiser les EI (MNP)
  5. Comment gérer les EI (MNP)
  6. Quoi faire si les symptômes s’aggravent
  7. Numéro de téléphone au besoin
141
Q

Vrai ou Faux. Le pharmacien a les mêmes obligations professionnelles pour les Rx d’annexe 2 que les Rx prescrits.

A

Vrai

142
Q

Quels sont les 3 critères de justification nécessitant qu’un médicament soit en annexe 2 ?

A
  1. Efficacité
  2. Sécurité
  3. Toxicité
143
Q

Vrai ou Faux. Le pharmacien à l’obligation de s’assurer que les mesures nécessaires soient prises afin que l’information concernant les précautions et les contre-indications relatives à l’usage du médicament soit fournie à la personne se procurant un médicament à l’Annexe 3.

A

Vrai

144
Q

Vrai ou Faux. Tous les produits qui comportent des mises en garde possèdent un code médicament.

A

Faux. Même sans code, un produit peut comporter des mises en garde.

145
Q

Quels sont les 3 codes médicaments universels ? et les 3 personnels ?

A

U : A-H-X

P : B-D-E

146
Q

Vrai ou Faux. Certains PSN comportent des codes médicaments

A

Vrai

147
Q

Pour chacun des Rx suivants, dis le code médicaments qui s’y rattache :

  1. Gravol
  2. Benadryl
  3. Codéine
  4. Ibuprofène
  5. Acétaminophène pour enfant
  6. Naproxen
  7. DM
  8. Aspirine
  9. Enlève-verrue
  10. Diclofenac
  11. Pseudoéphédrine
  12. Lopéramide
  13. Nicoderme
A
  1. AH
  2. A
  3. AH
  4. X
  5. X
  6. X
  7. X
  8. D
  9. E
  10. X
  11. BE
  12. X
  13. X
148
Q

CLP : Le code B signifie que le médicament peut être néfaste pour la santé si la personne souffre d’HTA, d’_________________ (1) , d’hypertrophie de la prostate ou si elle consomme des _______________ (2).

A
  1. Hyperthyroïdie

2. Antidépresseurs

149
Q

CLP : Le code D signifie que le médicament contient de l’AAS. Il faut l’éviter si le patient souffre de ________ (1), d’ulcère d’estomac, d’asthme ou s’il prend des _______________ (2).

A
  1. Goutte

2. Anticoagulants

150
Q

Vrai ou Faux. Les décongestionnants oraux portent le code BH.

A

Faux. BE

151
Q

Doit-on inscrire les MVL au dossier ?

A

Annexe 3 : Jugement

Annexe 2 : Obligatoire

152
Q

Vrai ou Faux. Le code médicament permet d’indiquer toutes les précautions sur un produit avec code.

A

Faux. Le code n’indique pas toutes les précautions, seulement les plus courantes.

153
Q

Vrai ou Faux. Le pharmacien n’est pas tenu de superviser les produits sans code.

A

Faux. Le pharmacien doit exercer son rôle de surveillance pour la sécurité, code ou non.

154
Q

Vrai ou Faux. Certains produits tenus en épicerie portent un code lorsqu’ils sont tenus en pharmacie.

A

Vrai. Ex : Tempra

155
Q

Le pharmacien peut-il refuser de vendre un MVL à un patient ?

A

Oui, si justifié

156
Q

Un homme de 42 ans est chauffeur de taxi, asthmatique et souffre d’ulcère d’estomac. Quels sont les codes à éviter chez ce patient ?

A

A-D-X

157
Q

Un homme de 70 ans, diabétique, souffre de grippe (toux sèche et nez bouché depuis 3 jours, mais pas de fièvre ni de douleur). Il veut savoir s’il peut prendre du Benylin (B-E-X). Peut-il ?

A

Non, à cause du E

158
Q

Une femme de 55 ans, HTA depuis 20 ans, a de la congestion nasale, mais pas de toux. Quels sont les codes à éviter chez ce patient ?

A

B

159
Q

Une femme allergique aux salicylates souffre de maux de tête depuis ce matin. Quels sont les codes à éviter chez ce patient ?

A

D

160
Q

Vrai ou Faux. L’analyse du dossier patient ne se fait qu’à la réception de l’ordonnance initiale.

A

Faux. Il s’agit d’un processus continu.

161
Q

QSJ : Revue systématique des besoin du patient en lien avec la médication et/ou sa santé en général.

A

Analyse et évaluation

162
Q

Vrai ou Faux. Un symptôme est une manifestation objective et mesurable.

A

Faux. Un signe (symptôme c’est subjectif)

163
Q

Vrai ou Faux. Les contre-indications relatives déconseillent la prescription d’un médicament aux clients avec un autre Rx, un certain état de santé ou appartenant è un groupe particulier de client.

A

Faux. Les contres-indications absolues (les CI relatives limitent la prescription dans certaines conditions).

164
Q

La contre-indication absolue peut être liée au patient lui-même. Nomme un exemple.

A

Patient suicidaire

165
Q

En quoi est-il pertinent de connaître l’occupation du patient ?

A

Pour adapter l’horaire de prises du Rx et éviter les problèmes d’adhésion. Aussi, pour la gestion des effets indésirables.

166
Q

Quelle sont les 2 premières choses à regarder lorsqu’on entre dans un dossier patient ?

A
  1. Suis-je dans le bon dossier ?

2. Le dossier est-il à jour ?

167
Q

Un patient se présente à la pharmacie avec une nouvelle ordonnance de CRESTOR 20 mg. Il vous explique que son mauvais cholestérol était trop élevé lorsqu’il était à 10 mg et qu’après sa prise de sang, son médecin a pris cette décision. Quelle devrait -être la 1ère question à se poser dans le cadre d’une BCM post-represcritpion ?

A

Il faut vérifier l’adhésion du patient è son ancienne dose de 10 mg. Le médecin n’a aucune donnée objective pour vérifier si son patient prenait bien son CRESTOR 10 mg.

168
Q

Quels sont les 4 domaines de l’évaluation et de l’analyse ?

A

I : Indication : Bon Rx pour l’indication ?
E : Efficacité : Le Rx est-il efficace ?
S : Sécurité : Le Rx a-t-il des interactions ? effets néfastes ?
A : Adhésion : Le client adhère-il au traitement ?

169
Q

Vrai ou Faux. Les interactions pharmacodynamiques ne peuvent pas être décelées par les logiciels informatiques, contrairement aux interactions pharmacocinétiques.

A

Vrai

170
Q

Quand le pharmacien doit-il intervenir au niveau de la pharmaco-économie du traitement ?

A

Lorsqu’elle devient une barrière à l’adhésion et que le patient ne peut plus atteindre l’object thérapeutique visé.

171
Q

Vrai ou Faux. Un problème pharmacothérapeutique compromet les objectifs du plan thérapeutique.

A

Vrai

172
Q

Qu’elle est la principale différence entre un problème médical et un problème pharmacothérapeutique ?

A

Médical : Lien avec la maladie

Pharmacothérapeutique : Problème provoqué par un Rx

173
Q

Un client se présente à la pharmacie et demande un conseil MVL pour un aide-sommeil. Il vous dit que sa conjointe est décédée il y a 4 mois et qu’il se sent de plus en plus triste depuis ce temps. Vous le trouvez très déprimé et remarquez qu’il a une ordonnance d’antidépresseur stimulant au dossier. Comment gérer la situation ? S’agit-il d’un PP ou d’un PM ?

A

Pour vérifier s’il s’agit d’un PP, la première question a lui poser est : “Le problème a-t-il débuté en même temps que le début de prise du Rx?”. Ensuite, on peut valider l’adhésion au traitement .

Finalement, si le problème ne semble pas être pharmacothérapeutique, on le réfère vers une ressource d’aide appropriée.

174
Q

Vrai ou Faux. Un problème pharmacothérapeutique est une réaction indésirable ou une expérience du client qui est liée certainement ou vraisemblablement à une pharmacothérapie, et qui compromet toujours efficacement un résultat recherché chez le client.

A

Faux. Pas toujours efficacement, mais qui compromet efficacement ou potentiellement…

175
Q

Quels sont les 9 PP ?

A

PP1 : A besoin d’une pharmacothérapie mais ne la reçoit pas
PP2 : Prend ou reçoit un médicament autre que celui qu’il lui faut
PP3 : Prend le bon Rx mais à une dose trop faible
PP4 : Prend le bon Rx mais à une dose trop élevée
PP5 : Présente une réaction indésirable
PP6 : Subit une interaction Rx-Rx, maladie-Rx, aliment-Rx
PP7 : Ne prend pas et/ou ne reçoit pas le Rx prescrit
PP8 : Prend le Rx sans indication valable
PP9 : Prend le Rx au mauvais moment

176
Q

Vrai ou Faux.

  1. Le PP1 s’applique pour une personne ayant une maladie diagnostiquée, mais pour laquelle aucune thérapie n’a été prescrite.
  2. Le PP1 ne s’applique pas pour une personne ayant une maladie non-diagnostiquée, mais pour laquelle le traitement n’a pas encore été recommandé.
  3. Le PP1 ne s’applique pas pour les médications préventives comme les vaccins et les antibiotiques.
A
  1. Vrai
  2. Faux. S’applique
  3. Faux. S’applique
177
Q

Un patient prenant une médication pour HTA viens vous voir, car sa médication lui cause des effets indésirables. Il aimerait avoir un traitement pour palier à ses effets. Le PP1 s’applique-t-il ?

A

Oui

178
Q

Vrai ou Faux. Le PP1 s’applique a une personne dont la prise de Rx représente un risque de toxicité associé à son traitement comme un allergie ou une contre-indication.

A

Faux. PP2

179
Q

CLP : Le ______ s’applique aux personnes ne pouvant pas prendre leur Rx soit parce qu’elles ne peuvent pas avaler certaines formes pharmaceutiques ou que l’administration est trop difficile pour eux.

A

PP2

180
Q

Un médicament reconnu comme étant efficace pour une indication quelconque, se montre inefficace chez le client Le PP2 s’applique-t-il ?

A

Oui

181
Q

Un patient prend un Rx dont le ratio coût-efficacité n’est pas adéquat. De quel PP s’agit-il ?

A

PP2

182
Q

Un patient prend un Rx à des doses inappropriées. De quel PP s’agit-il ?

A

PP3 (dose trop faible) ou PP4 (dose trop forte)

183
Q

CLP : Le PP4 s’applique lorsque la concentration sérique du Rx se trouve __________ de l’écart thérapeutique.

A

Au-dessus

184
Q

Un patient prend un Rx qui présente ou peut présenter des réactions indésirables nécessitant un contrôle additionnel (monitoring). De quel PP s’agit-il ?

A

PP5

185
Q

Un Rx est pris chroniquement, mais est prescrit pour un problème aigu. De quel PP s’agit-il ?

A

PP8

186
Q

Vrai ou Faux. Un patient prend un Rx pour une indication qui serait plus adéquatement traitée par MNP. Il s’agit alors du PP7.

A

Faux. PP8

187
Q

Un patient ne suit pas correctement les recommandations quant à la prise du Rx. De quel PP s’agit-il ?

A

PP9

188
Q

CLP : Le pharmacien devra apprendre à déterminer un ordre de priorité des PP selon l’__________ et la gravité du problème, ainsi que son impact sur la qualité de vie du patient.

A

Urgence

189
Q

QSJ : Critères qui permettent de juger l’importance d’une situation et d’établir ses priorités.

A

Critères de Rovers

190
Q

Quelle est la priorité numéro 1 du critère de Rovers ?

A

S’il s’agit d’un problème aigu et sérieux.

191
Q

Un problème aigu rend la vie du client inconfortable. À quel critère de Rovers cela fait-il référence ?

A

Priorité 1

192
Q

Quelle est la priorité numéro 2 du critère de Rovers ?

A

S’il s’agit d’un problème aigu mais non sérieux, ou sérieux mais non aigu.

193
Q

Vrai ou Faux. Un patient dont la vie est menacée est dont le temps peut être une contrainte fait référence a une priorité 1 du critère de Rovers.

A

Priorité 2

194
Q

Quelle est la priorité 3 du critère de Rovers ?

A

S’il s’agit d’un problème aigu ou chronique + non sérieux. (attente acceptable et client non invalide et non inconfortable)

195
Q

Un client se présente à la pharmacie et vous fait part des problèmes suivants :

  1. Son diabète n’est pas maîtrisé et ses reins commencent à être atteints
  2. Il a une petite toux qui nuit à son sommeil
  3. Brûlure douloureuse sur le rond de poêle.

Quel est l’élément à prioriser ?

A

Dans ce cas, la brûlure douloureuse immédiate est à prioriser. Le patient est fortement incommoder à l’instant où il est dans la pharmacie.

196
Q

Quelle sont les 2 questions à se poser à la suite de la détection des différents PP ?

A
  1. “Peut-on continuer le traitement actuel ?”
  2. “Peut-on, dans le cadre des capacités et des limites professionnelles du pharmacien, prendre en charge la situation actuelle ?”
197
Q

Vrai ou Faux. Toutes les personnes qui viennent à la pharmacie ont un problème avec leur Rx.

A

Faux. Plusieurs clients n’ont pas de problèmes avec leur Rx. Il faut toutefois savoir les anticiper, tout en résistant à l’envie de toujours chercher un problème au patient.

198
Q

Vrai ou Faux. Les pharmaciens ne sont pas reconnus pour avoir une méthode systématique de travail.

A

Vrai

199
Q

Dans quels cas (2) pouvons nous répondre à un besoin par une thérapie médicamenteuse ?

A
  1. Absence de Red Flags

2. Impossibilité de répondre efficacement par une MNP

200
Q

Dans le cas d’un soin médicalement non-requis, telle une chirurgie esthétique, les risques probables sont discutés avec le patient.

A

Faux. Les risques très détaillés (médicalement requis : risques probables)

201
Q

Vrai ou Faux. Le patient a le droit de consentir aux soins ou de les refuser.

A

Vrai

202
Q

Vrai ou Faux.

  1. Le patient a le droit d’être accompagné et assisté lors de ses rencontres médicales.
  2. Le patient a le droit de participer aux décisions.
  3. Le patient a le droit d’être représenté si consentement.
A
  1. Vrai
  2. Vrai
  3. Vrai
203
Q

Vrai ou Faux. L’éthique s’appuie seulement sur ce qui est correct ou non.

A

Faux. C’est un processus cognitif qui valorise le jugement.

204
Q

Quelles sont les 4 grandes valeurs en santé ?

A
  1. Autonomie
  2. Non malveillance
  3. Bienfaisance
  4. Justice/Équité
205
Q

CLP : L’________________ et le consentement libre et éclairé sont 2 concepts liés.

A

Inviolabilité

206
Q

CLP : Un bon consentement doit être éclairé, libre, spécifique, révisable en tout temps, écrit ou verbal et ____________.

A

Consigné

207
Q

CLP : Pour qu’un consentement soit éclairé, le patient doit avoir reçu toute l’information _________________.

A

Pertinente

208
Q

Vrai ou Faux. Le débat est une bonne stratégie lorsqu’un patient refuse d’adhérer à un traitement.

A

Faux. Il ne faut pas débattre

209
Q

Vrai ou Faux. Même si une personne est dans un stade avancé de la maladie, elle demeure en mesure de décider par elle-même, si sont état émotionnel n’est pas trop impacté.

A

Vrai

210
Q

CLP : L’aptitude à consentir à un traitement ne s’apprécie pas en fonction de la situation de l’individu, mais en fonction de son _____________________ et de sa capacité de comprendre (éclairé) ce qui est en jeu.

A

Autonomie décisionnelle (libre)

211
Q

Vrai ou Faux. L’aptitude à consentir est une démarche décisionnelle.

A

Vrai

212
Q

Qu’arrive-t-il si une personne est considéré inapte à consentir par un tribunal ?

A

Transmission du droit de consentement à un autre individu (proche ou curatelle)

213
Q

Vrai ou Faux. L’inaptitude à consentir aux soins nécessite toujours le jugement d’un tribunal.

A

Faux. Pas toujours

214
Q

Qu’arrive-t-il dans le cas d’une détérioration aigu de la condition d’une personne ?

A

Le levier est donné aux professionnels de la santé pour une hospitalisation contre le gré d’un individu.

215
Q

Vrai ou Faux. On ne peut généraliser l’aptitude à consentir à tous les individus avec la même condition.

A

Vrai

216
Q

Vrai ou Faux. La substitution du consentement doit se faire dans l’intérêt de la personne inapte, pour des risques non démesurées et selon les volontés déjà exprimées.

A

Vrai

217
Q

Vrai ou Faux. Si une personne dispose d’un régime de protection, elle est inapte pour tout.

A

Faux. Notion d’autonomie résiduelle

218
Q

Vrai ou Faux. Les personnes qui se disent inaptes à prendre une décision le sont certainement.

A

Faux. Perte de confiance parfois

219
Q

À partir de quelle âge avons-nous le droit à la confidentialité de notre dossier ?

A

14 ans

220
Q

À partir de quelle âge avons-nous le droit à consentir au transfert d’informations et à recevoir certains soins ?

A

14 ans

221
Q

Devrait-on demander le consentement à l’avance en prévention d’un événement ?

A

Idéalement non. Le consentement doit être spécifique, en étant lié à un événement précis dans la vie du patient. Si on demande un consentement à l’avance, il faudrait préciser que c’est pour le transfert à un autre professionnel par exemple. La situation du patient peut évoluer avec le temps.

222
Q

Un patient doit aller voir son médecin, mais il refuse catégoriquement même si la situation est alarmante. Que doit faire le pharmacien ?

A

Il doit s’assurer que la décision soit juste et éclairée. Ensuite, s’il refuse tout de même d’aller consulter et qu’il choisit l’automédication, il faut resserrer le suivi, offrir de le rappeler pour pouvoir lui réitérer l’importance d’aller consulter. DOCUMENTER.

223
Q

Un patiente refuse que l’on transmette ces informations a un autre professionnel de la santé (refuse de signer le formulaire). Que devons-nous faire ?

A

S’assurer qu’il est au courant des conséquences potentielle d’un refus de transmission de profil.

224
Q

Quelles sont les 2 conséquences au fait qu’un patient devient moins enclin à divulguer de l’information à son pharmacien ?

A
  1. Peut fausser le jugement clinique

2. Peut limiter le pouvoir d’intervention

225
Q

CLP : Personne ne peut avoir accès au dossier sans consentement _____________.

A

Explicite

226
Q

Quelle information doit être inscrite sur les reçus sur les sacs remis par less livreurs ?

A

Seulement l’adresse (pas la médication) ! Pour éviter les bris de confidentialité

227
Q

QSJ : Information que n’importe qui peut connaître facilement (non protégée).

A

Information notoire

228
Q

CLP : Si un policier n’a pas de ___________________, on ne peut pas leur remettre les informations.

A

Mandat juridique

229
Q

CLP : Juridiquement, on considère que le consentement d’un patient est valable pour ___ épisode.

A

1

230
Q

Vrai ou Faux. Si une personne appelle à la pharmacie pour son conjoint, son conjoint doit donner son consentement écrit.

A

Faux. Verbal c’est correct. Le client doit être bien avisé de la nature des informations transmises, …

231
Q

Vrai ou Faux. Le consentement écrit est obligatoire.

A

Faux

232
Q

CLP : Dans le cas d’un patient décédé, seul le _______________ peut avoir accès au dossier pharmaceutique.

A

Liquidateur

233
Q

Qu’est-ce qu’un bris implicite ?

A

Quand un client se présente dans l’aire de confidentialité avec une autre personne.

234
Q

Vrai ou Faux. La loi exige certaines formalités par rapport au bris autorisé.

A

Faux. Aucune formalité particulière

235
Q

Vrai ou Faux. Le bris autorisé est toujours documenter. Il doit donc être écrit.

A

Faux. Toujours documenter, mais pas toujours écrit

236
Q

Dans quels cas (5) pouvons-nous en tant que pharmacien briser le secret professionnel (sans mandat) ?

A
  1. Coroner
  2. Santé publique : maladies à déclaration obligatoire (ex: chlamydia)
  3. Tiers en danger
  4. Syndic de l’OPQ
  5. Protection de la jeunesse (mais appeler l’OPQ avant)
237
Q

En cas de bris de confidentialité, quels informations (5) devons-nous noter au dossier ?

A
  1. Date et heure de la communication
  2. Identité de la personne en danger
  3. Raison du bris
  4. Identité de la personne è qui l’information a été transmise
  5. Renseignements transmis
238
Q

Vrai ou Faux. En pratique, dès lors que s’établit une relation professionnel-client, toute l’information divulguée par le client tombe sous la règle du secret professionnel.

A

Vrai

239
Q

Si un pharmacien confirme l’adresse d’un client devant un autre client, y’a-t-il bris de confidentialité ?

A

Oui

240
Q

Pouvons-nous divulguer les informations à des enquêteurs du Ministère du revenu qui veulent avoir des détails sur un patient assisté-social ?

A

Non

241
Q

Pouvons-nous divulguer les informations à un autre professionnel de la santé sur un patient qui est en danger de vie ou de mort ?

A

Oui

242
Q

Que doit faire un pharmacien qui refuse de prescrire la COU ?

A

Il a l’obligation déontologique de référer le patient ailleurs.

243
Q

Un musulman se présente à la pharmacie et vous explique les restrictions liées au Ramadan. Il vous signifie qu’il ne peut pas prendre sa médication chronique 3 fois par jour en mangeant. Quelle doit-être la réaction à avoir ?

A

C’est au pharmacien de s’adapter au patient, pas l’inverse. Le pharmacien doit lui proposer des solutions pou adapter la prise de son traitement (ce qui augmente la relation de CONFIANCE).

244
Q

Un homme se présente avec sa femme à la pharmacie pour une consultation MVL. C’est lui qui prend en charge la consultation et qui décrit les symptômes de sa femme. Quelle doit-être la réaction à avoir ?

A

Importance du consentement de la femme. Si elle est d’accord, il n’y a pas de problème.

245
Q

Vrai ou Faux. En vieillissant, les personnes ont tendance à décrire leurs symptômes de façon beaucoup plus pointues.

A

Faux. Sommaires

246
Q

Quel est le plus grand facteur stressant en gériatrie ?

A

Mort du conjoint

247
Q

Il est très important d’impliquer les patients dans leur traitement et dans la prise de décisions. Mais qu’en est-il des enfants ?

A

Même chose ! Les impliquer augmente leurs habiletés et leur autonomie pour la prise de décisions futures

248
Q

CLP : Lorsque l’enfant est jeune, le parent joue à la fois le rôle du ____________ et du soignant.

A

Patient

249
Q

Quels sont les 4 stades du développement cognitif de l’enfant ? (spécifier l’intervalle d’âge pour chaque).

A
  1. Sensorimoteur : Naissance à 2 ans
  2. Pré-opérationnel : 2 à 7 ans
  3. Des opérations concrètes : 7 à 12 ans
  4. Des opérations formelles : 13 ans et plus
250
Q

Dites à quel stade du développement cognitif font référence les éléments suivants :

  1. Capacité de réflexion hypothétique et abstraite
  2. Peu de connexion avec les objets è l’extérieur de la personne.
  3. Peuvent considérer plusieurs facteurs à la fois et peuvent résoudre des problèmes
  4. Considération d’un seul aspect d’une situation
A
  1. Opérations formelles
  2. Sensorimoteur
  3. Opérations concrètres
  4. Pré-opérationnel
251
Q

Dites à quel stade du développement cognitif pouvons-nous communiqués les informations suivantes :

  1. Pourquoi c’est important de ne pas utiliser les médicaments de quelqu’un d’autre ?
  2. Mêmes informations que celles données aux adultes
  3. Comment les médicaments fonctionnent ?
  4. Où vont les médicaments dans le corps ?
  5. Pourquoi c’est important de prendre des médicaments
  6. Effets indésirables
  7. Pourquoi il y a différents médicaments pour différentes maladies
  8. Absence d’association entre l’aspect d’un médicament et son efficacité
  9. Comment prendre les médicaments
  10. Comment faire la différence entre des médicaments pour enfants et des médicaments pour adultes ?
A
  1. Opérations concrètes
  2. Opérations formelles
  3. Opérations concrètes
  4. Opérations concrètes
  5. Pré-opérationnel
  6. Pré-opérationnel
  7. Opérations concrètes
  8. Pré-opérationnel
  9. Pré-opérationnel
  10. Pré-opérationnel
252
Q

Vrai ou Faux. Avec les enfants, il est préférable d’utiliser des questions fermées.

A

Faux. Ouvertes

253
Q

Vrai ou Faux. La communication NV n’est pas importante chez les enfants.

A

Faux. Très importante. Les enfants sont capables d’interpréter le langage NV avant de comprendre les mots.

254
Q

Vrai ou Faux. À l’âge préscolaire, il faut éviter d’impliquer l’enfant dans la préparation de ces médicaments.

A

Faux. L’impliquer favorise l’adhésion (ex: le laisser placer l’étiquette).

255
Q

Vrai ou Faux. À l’âge préscolaire, il est recommandé de donner un calendrier à l’enfant pour indiquer les prises.

A

Faux. Âge scolaire

256
Q

Vrai ou Faux. L’adhésion chez les enfants est inversement proportionnel au nombre de frères et de soeurs.

A

Vrai

257
Q

CLP : En périnatalité, les patientes n’agissent pas en fonction du risque qui leur est présenté pour la prise de Rx, mais en fonction de leur ________________ du risque.

A

Perception

258
Q

Lors d’une demande d’information sur l’utilisation d’un Rx lors d’une grossesse, quelle est la première question à poser ?

A

“Êtes vous présentement enceinte?”

259
Q

Quels sont les 3 termes à éviter lors d’une consultation avec une femme enceinte ?

A
  1. Sécuritaire
  2. Pas de problème
  3. Risque (remplacer par chance et probabilité)
260
Q

CLP : À la fin de la transmission d’information chez la femme enceinte, il faut : ____________________________.

A

Vérifier la compréhension de la patiente et corriger ce qui a été perçu de façon inappropriée et résumer l’information

261
Q

Vrai ou Faux. Le plan de soins doit toujours se faire par écrit.

A

Faux

262
Q

Vrai ou Faux. Le prescripteur doit être avisé du plan de soins.

A

Vrai

263
Q

QSJ : Document qui présente les PP d’un client et qui détaille la marche à suivre envisagée à un moment donné pour les résoudre.

A

Plan de soins pharmaceutiques

264
Q

Quel est le but du plan de soins pharmaceutiques ?

A

Optimiser la thérapie médicamenteuse et prévenir d’autres problèmes

265
Q

Quels sont les 3 types de plans de soins possibles ?

A
  1. Orienté sur le client
  2. Orienté sur le médicament (première alternative de traitement)
  3. Compromis entre les 2
266
Q

CLP ; : À la suite de la fixation des PP, il faut définir les _________________ d’un plan de soins, et ce, pour chaque PP.

A

Objectifs

267
Q

Quelle est l’utilité de se fixer des objectifs dans un plan de soins ?

A

Permet d’assurer la suite (continuité) des soins après la détection des PP et d’orienter le processus de soins pharmaceutiques.

268
Q

CLP : Les objectifs du plan de soins doivent être clairs et ____________.

A

Définis

269
Q

Quelles sont les 5 qualités d’un bon objectif de plan de soins ?

A
  1. Spécifiques
  2. Mesurables
  3. Atteignables
  4. Réalistes
  5. Temporellement définis
270
Q

Vrai ou Faux. Parfois, il arrive que la solution à un plan de soins soit de ne rien faire.

A

Vrai

271
Q

Nomme 6 paramètres qui permettent de bien évaluer les options impliquées dans un processus de choix de traitement.

A
  1. Efficacité
  2. Temps nécessaire (niveau d’urgence)
  3. Profil d’innocuité et de toxicité
  4. Facilité d’emploi
  5. Possibilités d’interactions
  6. Coût ( à efficacité égale)
272
Q

CLP : Afin d’évaluer la meilleure recommandation (meilleur choix de traitement), il faut _________________ la solution.

A

Individualiser (À ce moment-ci, dans les solutions possibles ciblées, quelle est la meilleure option pour mon client).

273
Q

Dites à quel paramètre de l’acronyme IESA font référence les questions suivantes :

  1. Le Tx choisi concorde-t-il avec les caractéristique (bio-psycho-socio-médicales) du client ?
  2. Le Tx choisi est-il celui qui, à efficacité égale, est le moins complexe à prendre ?
  3. Le Tx choisi est-il le plus économiquement responsable ?
  4. Le Tx choisi est-il le plus efficace pour atteindre les objectifs thérapeutiques
  5. Le Tx choisi est-il celui qui a le meilleur profil de tolérance et d’innocuité.
A
  1. Indication
  2. Adhésion
  3. Adhésion
  4. Efficacité
  5. Sécurité
274
Q

CLP : Il faut toujours s’assurer que le patient _____________ le traitement proposé.

A

Accpete (le patient accepte-il le suivi nécessaire ?)

275
Q

Vrai ou Faux. Il faut planifier un plan de suivi seulement dans certains cas.

A

Faux. Pour tous les patients, autant pour un nouveau traitement que pour les autres conditions de santé.

276
Q

CLP : Le calendrier de suivi doit être ___________ et temporellement défini.

A

Réaliste

277
Q

CLP : La nécessité d’un _____________________________ est planifié selon des clientèles priorités et le niveau de vulnérabilité des clients.

A

Continuum-suivi

278
Q

Vrai ou Faux.

  1. Il est recommandé de faire un continuum-suivi avec la population pédiatrique et gériatrique.
  2. Il est recommandé de faire un continuum-suivi avec les patients demeurant seuls ou manquant de soutien à domicile.
  3. Il est recommandé de faire un continuum-suivi lorsqu’il y a plusieurs prescripteurs.
A
  1. Vrai
  2. Vrai
  3. Vrai
279
Q

Quels sont les 3 facettes à traiter dans un suivi ?

A
  1. Efficacité
  2. Tolérance/sécurité
  3. Adhésion
280
Q

Vrai ou Faux. Le moment du suivi doit être périodique.

A

Vrai

281
Q

Que devons-nous faire si de nouveau PP sont trouvés dans une situation ?

A

Faire un nouveau plan de suivi

282
Q

Dites à quel niveau de suivi font référence les énoncés suivants :

  1. Suivi planifié en cours de traitement, sera initié par le pharmacien.
  2. Suivi à la prochaine consultation (visite) avec le client
  3. Suivi étroit du client par un pharmacien, impliquant possiblement d’autres professionnels de la santé.
  4. Suivi planifié en cours de traitement, sera initié par le client.
  5. Aucun suivi professionnel requis
  6. Suivi lors de prochaine renouvellement pour le même médicament.
A

4 : Suivi planifié en cours de traitement, sera initié par le pharmacien.
2 : Suivi à la prochaine consultation (visite) avec le client
5 : Suivi étroit du client par un pharmacien, impliquant possiblement d’autres professionnels de la santé.
3 : Suivi planifié en cours de traitement, sera initié par le client.
0. Aucun suivi professionnel requis
1 : Suivi lors de prochaine renouvellement pour le même médicament.

283
Q

CLP : Dans votre pratique, si vous ne faites pas de __________ ou n’en planifiez pas, vous ne faites pas des soins pharmaceutiques complets.

A

Suivi

284
Q

Vrai ou Faux. Les clients n’apprécient habituellement pas les suivis au téléphone.

A

Faux. Ils apprécient

285
Q

Pourquoi devons-nous réévaluer le plan de soins ?

A

Parfois il y a modification des données initiales

286
Q

QSJ : Étape préalable à un entrevue de suivi.

A

Revoir la documentation du dossier pour situer le contexte-client.

287
Q

Vrai ou Faux. Il est nécessaire de réévaluer un plan de soins pour chaque médicament d’usage chronique.

A

Vrai

288
Q

CLP : Le fait de documenter les informations au dossier assure la ________________ des soins au client.

A

Continuité

289
Q

Vrai ou Faux. Les ordres verbaux du médecin doivent être documenter au dossier.

A

Vrai

290
Q

Quels sont les 4 pré-requis à chaque bonne note au dossier ?

A
  1. Commence par une date
  2. Identifiée au nom du pharmacien qui a fait l’intervention (à la fin)
  3. Les notes de suivi sont consignées en ordre chronologique des plus récentes aux plus vieilles
  4. Les abréviations utilisées sont connues de tous
291
Q

Vrai ou Faux. Les vieilles notes au dossier peuvent être effacées.

A

Faux. Non-effacées, mais raturées ou archivées

292
Q

Un patient vit seul dans une maison. Faudrait-il le documenter au dossier ?

A

Oui

293
Q

Quelles sont les 4 utilités d’une bonne documentation ?

A
  1. Meilleure communication
  2. Efficacité accrue
  3. Augmente les liens avec le client
  4. Qualité de soins améliorée
294
Q

Définit l’acronyme SOAP.

A

S : Données Subjectives au sujet du client
O : Données Objectives au sujet du client
A : Analyse et intervention (ce qui se passe et hypothèse)
P : Plan (ce qui sera fait pour atteindre les objectifs et suivi envisagé)

295
Q

Définit l’acronyme DAP.

A

D : Données objectives et subjectives au sujet du client
A : Analyse et intervention (ce qui se passe et hypothèse)
P : Plan (ce qui sera fait pour atteindre les objectifs et suivi envisagé)

296
Q

Définit l’acronyme STEPS (pour l’analyse d’un choix thérapeutique).

A
S : Sécurité
T : Tolérabilité
E : Efficacité
P : Prix
S : Simplicité du régime posologique
297
Q

CLP : Les personnes âgées forment un groupe ______________, tout comme les personnes pauvres.

A

Hétérogène

298
Q

La crainte de manquer de médicaments peut-elle être un obstacle à la communication ? et le manque de soutien social ?

A

Oui et oui

299
Q

Vrai ou Faux. Les personnes mieux nanties sont plus reconnaissantes si elles reçoivent de l’aide que les personnes pauvres.

A

Faux. Pauvres plus reconnaissants

300
Q

Vrai ou Faux. Avec les personnes handicapés,mieux vaut éviter le contact visuel direct.

A

Faux. Ne pas éviter

301
Q

Vrai ou Faux. Avec les personnes handicapés, il faut s’adresser directement à l’individu, et non à son accompagnateur.

A

Vrai

302
Q

À quoi sert la rétroaction ?

A

S’assurer qu’il n’y a pas eu d’interférence dans le modèle de communication.

303
Q

Quelles sont les 3 techniques de clarification et nomme un exemple de questions pour chacune ?

A

Pertinence : En quoi est-ce que cela vous affecte selon vous ?
Approfondissement :Pouvez-vous m’en dire plus à propos de votre mal de tête.
Exemplification : Pouvez-vous me donner un exemple de ce que vous exprimez là ?

304
Q

Donnez un exemple d’énoncé d’entretien.

A

Vous m’avez parlé de…. Maintenant, j’aimerais que vous me parliez de…

305
Q

Vrai ou Faux. Le modèle médical traditionnel est moins énergivore que le modèle médical contemporain.

A

Vrai

306
Q

Nomme 2 avantages de la relation client-Rx.

A
  1. Limiter les coûts reliés à l’absentéisme

2. Améliorer la qualité de vie du client

307
Q

Vrai ou Faux.

  1. Le poids et la taille du patient sont compris dans l’HM.
  2. Le moment du diagnostique est inscrit dans l’HP.
  3. Les barrières à l’utilisation d’un Rx sont inscrites dans l’HM.
A
  1. Faux. HP
  2. Vrai
  3. Faux. HP
308
Q

Vrai ou Faux. L’âge du patient n’est pas compris dans l’HM.

A

Vrai

309
Q

Vrai ou Faux. Les données objectives sont souvent numériques.

A

Vrai

310
Q

Donnez un exemple de phrase qui peut être utilisée pour aborder un sujet délicat.

A

Afin de savoir si je dois vous référer à un médecin, je vais devoir vous poser quelques questions plus précises.

311
Q

Donnez un exemple de question qui peut être utilisée pour évaluer l’adhésion au traitement d’un patient.

A

Certains de mes patients me disent avoir tels problèmes, qu’en est-il de vous ?

312
Q

CLP : S’il y a un changement au niveau du BCM, il faut se questionner à savoir si le changement est souhaité ou si c’est une erreur de ______________.

A

Represcription

313
Q

Vrai ou Faux. Le BCM vise l’amélioration de la qualité et de la sécurité pour éviter les incidents médicamenteux.

A

Vrai

314
Q

Quelles sont les 3 étapes pour gérer les barrières à la communication ?

A
  1. Bloquer ses messages internes
  2. Regarder ce qui se passe
  3. Si barrière : le voir comme un défi et optimiser la cadre communicationnel.
315
Q

Nomme une bonne façon de soutenir l’intérêt du client lors de la communication.

A

Encourager le client à poser des questions

316
Q

Les centres d’informations pharmaceutiques sont-ils de bonnes sources d’informations pour les pharmaciens ?

A

Oui. On y trouve beaucoup de réponse et il y a des professionnels de disponibles pour assister à la recherche. Cependant, long délai avant d’avoir une réponse et très coûteux.

317
Q

Vrai ou Faux. Les patients retiennent 80% de ce qu’ils entendent.

A

Faux. De ce qu’ils disent.

318
Q

Vrai ou Faux. Le pharmacien doit transmettre l’information en imposant un traitement rigide et impersonnel.

A

Faux

319
Q

Nomme 1 avantage de l’échange bidirectionnelle pour le client et 2 pour le pharmacien.

A

Client : Solutions adaptées à sa réalité.

Pharmacien :

  1. Orientation dans le même sens que le médecin
  2. Éviter de répéter de l’information inutile
320
Q

Vrai ou Faux. L’introduction de la consultation PR comprend l’évaluation des connaissances préalables concernant l’indication/symptômes à soulager.

A

Faux. Le coeur de la consultation PR

321
Q

Quels sont les 3 moments où le pharmacien doit procéder à l’analyse de l’évaluation du dossier ?

A
  1. Nouveau Rx
  2. Renouvellement
  3. Contexte sans ordonnance