examen 1 Flashcards

1
Q

Quels ont été les impacts sur le travail dans l’égypte ancienne?

A
  • Perfectionnement des outils et recours à la force des animaux pour épargner leur propre force et être plus efficace.
  • Travail intellectuel et nouveaux métiers. Diversification des métiers, nouveaux métiers : artisanaux, agriculture, superviseurs, contremaitres. Hiérarchie de fonctions et sociale. Travail intellectuel, les artisans et les métiers de supervision.
  • Début de l’organisation et de la supervision du travail (superviser=travailler)
  • Début du travail humain de type secondaire
  • Le travail définit la classe sociale *
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2
Q

Quelle était la hiérarchie sociale selon la division du travail en égypte ancienne?

A

Propriétaires des terres et donne l’emploi : seigneurs, l’état.
Scribes et fonctionnaires : métiers intellectuels emplois crées par l’état
Contremaitres : supervision
Artisans
Paysans, esclaves : main d’œuvre pas libre.
*travail manuel moins valorisé qu’intellectuel et le travail en soi n’est pas valorisé, car on cherche à se débarrasser du travail.

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3
Q

Quels ont été les impacts sur le travail lors de la Grèce Antique?

A
  • Révolution économique et système d’échanges : monnaie. Travailleurs peuvent s’enrichir, échanger leur force de travail contre de l’argent. Forme de salaire.
  • Expansion du commerce et de l’artisanat grâce aux échanges entre les cités. (agriculture, artisanat)
  • Répartition du travail selon les habiletés : qualités de chacun. Trouver les bonnes personnes pour satisfaire les différentes fonctions selon les habiletés. DIVISION QUALITATIVE (qualités) : fondement de l’orientation trouver la tâche selon nos aptitudes.
  • Travailleur libre : s’enrichir et se soustraire du travail. (AJD logique inverse pas travailler = mal vu)
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4
Q

Quels ont été les impacts dans le monde romain?

A
  • Agriculture toujours au cœur du monde du travail.
  • Premières « associations » de travailleurs (plus tard corporations) : se regroupent sur la base du métier qu’ils exercent.
  • Dirigisme de l’État : ex. conditions d’exercice des métiers, « droit » au travail. Volonté de l’état d’intervenir dans les associations.
  • Nouvelles classes sociales: guerriers (carrière), propriétaires « absents » qui délèguent à des intendants. Se débarrasser du travail.
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5
Q

Résumé de la société archaique

A

apparition travail humain de type primaire. Transmission du geste associé au travail. Apparition premiers métiers agricoles. Peu de diversification.

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6
Q

Résumé Antiquité

A

Égypte ancienne : type secondaire. Agricole et artisanat. Division de travail.

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7
Q

Résumé égypte antique

A

développement fonctions de supervision, métier intellectuel lié à l’état, diversification des métiers, hiérarchie sociale. Cœur de l’activité : agriculture. Travail humain pas valorisé. Travail manuel moins valorisé intellectuel.

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8
Q

Moyen-âge : période 1

A
  • Déclin de l’esclavage (christianisme) mais apparition du servage (travail de la terre). Incompatible avec la perspective chrétienne. Ne change pas la mentalité : moyen d’échapper au travail. Nouvelle forme de main d’œuvre pour accomplir les tâches : serfs. Hommes libres appartiennent à la terre et aux seigneurs. Ils ont une partie de la terre sur le territoire du seigneur. Reçoivent la protection du seigneur.
  • Inégalités et injustice sociales : pas dans un monde du travail égalitaire. Travail manuel dévalorisé.
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9
Q

Le Moyen-Âge : période 2

A
  • Développement des corporations et des communautés de métiers : les marchands puissants et les artisants cherchent à s’organiser et contrebalancer le pouvoir des marchands. Règles, corporations structure hiérarchique.
  • Expansion du secteur tertiaire : commerce, banques.
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10
Q

Résumé du travail humain au moyen-âge

A

Importance du travail rural
Renaissance des métiers artisanaux dans les villes
Développement du secteur tertiaire (commerce, banques)
Recours plus systématique à de nouvelles sources d’énergie, meilleure utilisation de l’énergie naturelle (période 2)
Les inventions restent limitées; le machinisme n’a guère progressé.

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11
Q

Ère moderne et pré-industrie XVIè et XVIIè siècles

A
  • Augmentation de la production; émergence des fabriques et des premières manufactures. Textiles **
  • Création de nouveaux métiers en lien avec les inventions techniques (ex. imprimerie, soierie)
  • Ouvriers des corporations et difficultés
  • *on change la vision du travail en terme de pensées : penseurs intérêt sur le travail pour améliorer le bien-être et de redonner au travail humain une certaine dignité surtout grâce aux inventions techniques. Changement de la conception du travail. Pas dans l’idée de se détacher du travail à tout prix. Fin du servage. Paysans rachètent leur liberté, moins de dépendance. Sensibilité aux conditions de travail.
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12
Q

Première révolution industrielle (sombre)

A
  • 2 niveaux : moyens de production et aussi une nouvelle organisation sociale, changement de mentalité.
  • Début du machinisme, qui remplace le travail humain
  • Amélioration rendement en agriculture
  • Manufactures et lieux de travail
  • Du commerce vers l’industrie
  • Nouveau mode de production : seulement une tâche
  • Conditions de travail pires (revenu à l’égypte ancienne)
  • Ouvriers
  • 2 classes sociales et les riches s’enrichissent tandis que les pauvres s’appauvrissent.
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13
Q

Résumé de l’évolution historique jusqu’au XVIIIè s.

A

Au cours de ces différentes périodes historiques, beaucoup de mépris envers le travail humain
Évolution très lente du travail humain jusqu’à la première révolution industrielle
Le travail de la terre a occupé la majeure partie des activités liées au travail humain jusqu’à la Révolution industrielle (rural)
Les changements du travail humain sont à repenser dans un contexte social, politique, économique et technologique.

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14
Q

Qu’est-ce qu’à amener la crise du travail lors de la première révolution industrielle?

A
  • Croissance du prolétariat (seulement leur force de travail et dépendent des propriétaires)
  • Grèves, révoltes : mouvement syndical amélioration conditions de travail en 1848. Moins d’heures et revenu compensatoire.
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15
Q

Deuxième révolution industrielle

A
  • Développement du secteur secondaire.
  • Système d’assurance sociale, assurance maladie.
  • Syndicats
  • Travail à la chaîne : renforce l’aliénation.
  • Modes de production : fordisme et taylorisme.
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16
Q

Lors de la deuxième révolution industrielle, de la première guerre à la deuxième guerre, qu’elles ont été les impacts sur le travail humain?

A
  • Travail encore aliénant, mais meilleur salaire
  • Travail des femmes et droits des femmes.
  • Crise économique 1929
17
Q

Lors de la deuxième révolution industrielle, les trente glorieuses ont amené quels impacts sur le marché du travail?

A
  • Arrivée femmes sur le marché du travail
  • Travail et épanouissement
  • Consommation de masse (la classe moyenne bénéfie enfin des innovations techniques)
18
Q

Débat : Quelles différences et ressemblances peut-on observer dans le travail d’hier à aujourd’hui?

A

Différences
-avant, pénible et voulait s’en débarasser et ajd prôné.
-avant, travailleurs= chose et ajd travail = droit
-avant, péniblité et ajd épanouissement
-lutte pour distribution de la richesse
Ressemblances
-classes sociales toujours existantes. Les riches sont très riches.
-Pays encore réalité enfants travailleurs (bandgladesh)
-Depuis la révolution industrielle, encore système de domination (employeur et employé)
-Encore soumis au développement technique

19
Q

Troisième révolution industrielle

A

1- Automatisation
2-Précaire salariat et nouvelles formes du travail
-Économie du savoir
-Délocalisation emplois industriels. Industrie de services.
-Moins d’ouvriers peu qualifiés
-Mondialisation entraîne fermeture d’usines et délocalisation industrielle, car main d’œuvre moins coûteuse. Déréglementation du marché du travail fait perdre certaines protections qu’on avait gagné.
-Organisation du travail : monde de services exigeant des compétences, de la sensibilité. Valoriser encore plus spécialisation des tâches.
-Relations de travail : Plus grande flexibilité des conditions d’emploi. Développement des « starts up ». Travailleurs de plus en plus mobile pas dans l’engagement avec l’entreprise* bouleverse le modèle des carrières.

20
Q

Quels sont les nouvelles formes de travail de la troisième révolution industrielle?

A
  • Plusieurs types de flexbilité.
  • Emplois atypiques : Individualisation des conditions de travail. Rend hétérogène les conditions de travail, différents. Se retrouve seul, car tous très différents, perte influence des collectives de travail. Réalité singulière.
  • Nouvelles contraintes du travail : Des contraintes de temps et de qualité plus fortes. Autonomie.
21
Q

Lors de la troisième révolution industrielle, on parle de nouvelles dynamiques de la vie professionnelle?

A
  • Reconversation professionnelle : Une rupture avec le parcours professionnel antérieur. Des motivations plus ou moins « volontaires ».
  • Flexibilité de carrière : Davantage de mouvements transversaux (changer d’organisations, d’activités) plutôt qu’une progression verticale.
  • Flexicurité : la flexibilité pour les organisations et en même temps assurer la sécurité des travailleurs. Tensions entre flexibilité et sécurité.
  • Emplois atypiques : « Stabilité » versus « instabilité » instabilité professionnelle. «Sentiment de maîtrise ou non du parcours professionnel » multidimensionnel
22
Q

4ième révolution industrielle

A

-Secteur des services++
-Majeure selon 3 raisons : vitesse (progrès rapides), envergure (touche tout le monde) et transfo des systèmes.
-Secteurs plus à risque : manufacturier, détail, presse.
-Renforçir les inégalités : Division des emplois : hommes (technologies : plus valorisés et payés) vs femmes (services) (plus fragilisées par la révolution). Élites professionnelles : très formés vs travailleurs peu qualifiés (peu accès à la société de consommation)
Les riches se sont enrichies.

23
Q

Débat 4e révolution : pour ou contre le capitalisme de plateforme?

A

Pour : Économie innovante et collaborative. Le client paye moins cher, regarde le prix. Consommateur peut rapidement effectuer des tâches. Mobilité du travail plus facile.
Contre : Prolétarisation des travailleurs. Voir plus d’entreprises fermées. Perte d’autonomie de la part des travailleurs. Plus de précarité, le risque se transmet sur le travailleur. Inéquité du genre et croissance inégalité sociale entre ceux qui tire profit de ce modèle-là vs ceux qui n’en tire pas profit. Responsabilité sur le travailleur.

24
Q

4e révolution : pour ou contre l’avenir du travail?

A
Théorie optimiste : 
• Les emplois perdus seront remplacés 
• Fin des emplois déqualifiés 
• Contenu: un travail plus intéressant (pu de job plate)
Théorie pessimiste :
• Fin du travail humain pour tous 
• Contrôle accru par les technologies et taylorisation (les robots vont contrôler le travail)
• Déclin des métiers
25
Q

Modèles des gestions des travailleurs. École classique:

A

Organisation scientifique du travail de Taylor (ingénieur, rationaliser les temps et les mouvements) ouvrier = paresseux selon lui. Motivé par l’argent.
-Avantages : productivité (mcdonald), pas de coût pour la formation (prend pas bcp de compétences), sécurisant pour certains travailleurs.
-Inconvénients : aliénation (ne plus penser par soi-même), manque de sens, travail ennuyant pas de motivation, risque d’exploitation, disqualifié, pas d’accomplissement personnel à long terme, produits figés pour les entreprises. Peut contribuer aux inégalités sociales. Absentéisme, problèmes physiques pour entreprises.
Quelques principes de gestion :
• Chaque employé est spécialisé à une tâche.
• Contrôle et supervision à chaque palier hiérarchique
• L’importance de la description de tâches et de l’uniformité des procédures
• Impersonnalisation (impersonnel) de la gestion et déni des relations interpersonnelles
• Promotion selon effort et compétences individuelles
•Centralisation des pouvoirs entre les mains de quelques personnes
•Respect de la hiérarchie
•Stabilisation du personnel

26
Q

Modèles des gestions des travailleurs : courant « Relations humaines »

A

En somme, courant des relations humaines

1) Opposition à la rationalisation; autocontrôle et résolution de problème
2) humanisation des conditions de travail;
3) Importance du groupe
4) Affectivité et adaptabilité de l’être humain.
5) Importance des communications, dans toutes les directions
6) Identification à l’entreprise
7) Sentiment d’appartenance
8) Notion de satisfaction des employés
9) Mise en valeur des ressources humaines

27
Q

Modèles des gestions des travailleurs : courant « Ressources humaines » Approche socio-technique

A

• Principes de gestion:
1) Partage du pouvoir;
2) Responsabilité accrue des employés;
3) Autocontrôle
4) Intégration de l’individu aux exigences de l’entreprise.
5) Adhésion aux décisions
6) Valeur en soi de l’employé
7) Diminution de la résistance aux changements
8) Culture organisationnelle
Les tendances du courant « ressources humaines »
1) Stratégique. Alignement de la GRH sur les besoins organisationnels et vis-à-vis la stratégie d’affaires.
2) Culturelle. Valoriser une culture consensuelle. Développer des valeurs et des attitudes en lien avec les stratégies organisationnelles.
3) Participative. Participation des employés à la prise de décisions. Nouvelles formes d’organisation du travail plus démocratiques.
4) Individualisée. Flexibilisation des conditions de travail et des milieux de travail selon les compétences. Carrières spécialisées.
5) Anthropocentrique. Préoccupation vis-à-vis les problèmes vécus par les employés. Programmes d’aide en entreprise.
6) Évaluative. GRH veut prouver son efficience et sa rentabilité vis-àvis l’atteinte des objectifs organisationnels
7) Informatisée. Utilisation de l’informatique dans les activités de gestion des ressources humaines
8) Partagée. Plus-value importante des RH. Les gestionnaires de plus en plus impliqués dans les activités de ressources humaines