examen 1 Flashcards

1
Q
  1. Expliquez le concept de rationalité limitée
A

Concept fondé sur la reconnaissance du fait que la prise de décision est influencée par les valeurs, les capacités et l’aptitude d’une personne à analyser l’information. Le gestionnaire essaie d’être rationnel, mais cette rationalité subit, en pratique, diverses contraintes.
Entraine 2 conséquences :
1- La représentation du gestionnaire rationnel qui serait constamment a la recherche d’une solution optimale est remplacée par celle du gestionnaire à rationalité limitée qui prend une décision quand il a trouvé une solution satisfaisante, mais pas nécessairement optimale.
2- Le gestionnaire doit éviter de tomber dans des pièges ou de se laisser enfermer dans des idées préconçues susceptibles d’influencer ses décisions, mais il doit comprendre le rôle que ses propres valeurs, préjugés, capacités et autres états psychologiques et émotionnels, jouent dans la prise de décision.
On ne sait jamais tous les éléments, il y a des gens qui en savent plus que d’autres (asymétrie) le vendeur essaie toujours d’avoir le plus d’info sur l’acheteur pour le bluffer le mieux possible.

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2
Q
  1. Quelle stratégie d’affaires caractérise le mieux l’entreprise Mc Donald ?
A

Stratégie d’affaires- La domination par les couts
Les couts les plus bas de son secteur d’activité
Stratégie directrice- la concentration
Privilégier un produit ou une gamme de produits. AVANTAGE : l’entreprise peut utiliser toutes ses forces pour l’activité qu’elle connait le mieux, ce qui lui permet d’y réussir mieux que ses concurrents. INCONVÉNIENT : risque inhérent au fait de mettre tous ses œufs dans le mm panier : il faut rester bien attentif au moindre signe de déclin. Elles peuvent quand mm croitre (pénétration du marché, expansion géographique, amélioration des produits, intégration horizontale)

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3
Q
  1. Expliquez les concepts d’intégration verticale et d’intégration horizontale.
A

Intégration verticale
Au lieu de déployer son activité dans un seul secteur, l’entreprise peut s’agrandir en se servant d’une stratégie d’intégration verticale. L’intégration verticale consiste à acquérir la propriété (ou une participation majoritaire à la propriété) 1) des procédés utilisés par ses fournisseurs, c’est l’intégration en amont 2) des débouchés qui servent à la distribution de ses biens ou de ses services, c’est l’intégration en aval -forage du pétrole -production du pétrole -vente du pétrole par la mm cie.

Intégration horizontale
Stratégie par laquelle une entreprise devient propriétaire ou partenaire, d’une entreprise concurrente, présente sur le même marché, ou sur un marché semblable, en offrant le même produit ou un produit semblable. Couche-tard qui achète les dépanneurs sept-jours

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4
Q
  1. Quelle est la principale différence entre une union douanière et un marché commun?
A

Si les entreprises tendent è se développer à l’échelle internationale, c’est surtout en raison de la mise en place d’accords de libre-échange. Dans un contexte de libre-échange, les barrières commerciales entre les pays participants sont abolies : deux ou plusieurs pays signent un accord autorisant la libre circulation entre eux des biens et des services, sans que subsistent des barrières commerciales telles que les droits de douanes
Il y a intégration économique lorsque deux ou plusieurs pays bénéficient des avantages du libre-échange en réduisant au minimum les restrictions commerciales qui existent entre eux.
L’intégration économique s’effectue selon plusieurs degrés. Dans une zone de libre-échange, les barrières commerciales entre les pays membres sont abolies afin qu’ils puissent s’échanger plus librement les biens et les services.
L’union douanière se présente comme le degré d’intégration économique supérieur : les membres de l’union font tomber les barrières commerciales qui s’élèvent entre eux et adoptent une politique de commerce commune à l’égard des pays non membres d’une région. Vient ensuite le marché commun, dans lequel il n’existe aucune barrière commerciale entre les pays membres, qui appliquent une politique de commerce extérieure commune. En outre, des facteurs de production comme la mdo, le capital et les technologies circulent librement entre les pays du marché commun.

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5
Q
  1. Qu’est-ce qu’une situation oligopolistique
A

Situation d’oligopole, marché dont la demande est plus grande que l’offre, très peu d’acteurs qui ont un très grand ctrl, les offreurs ont ctrl sur le prix,

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6
Q
  1. Vrai ou faux? D’après une recherche menée par Latham, Mitchell et Dorsett, les objectifs fixés aux travailleurs selon le mode participatif tendent à être moins exigeants que ceux qui auraient été déterminés uniquement par le superviseur.
A

Faux, les objectifs fixés conjointement tendent à
1- Faire croire aux employés qui participent à leur fixation qu’ils ont une plus grande influence
2- Être plus exigeants
3- Ne pas être perçus comme plus exigeants
4- Ne donnent pas systématiquement lieu à un rendement plus élevé que les autres, mais s’ils sont plus exigeants, conduisent G à un rendement supérieur
5- Vainc la résistance associée à des objectifs décidés unilatéralement.

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7
Q
  1. Quels sont les grandes stratégies d’internationalisations.
A

L’exportation : Vente de produits à l’étranger, soit directement à des clients cibles, soit indirectement par l’entremise de représentants ou de distributeurs étrangers

L’octroi de licences : entente par laquelle une entreprise accorde à une entreprise étrangère le droit d’utiliser un bien incorporel pendant une durée déterminé, le plus souvent moyennant une commission qui peut prendre la forme d’une part des bénéfices.

Le franchisage : Entente par laquelle une société mère concède à une autre entreprise le droit de faire des affaires de la manière prescrite (ressemble à l’octroi de licence mais exige de la part des deux parties, un engagement plus important en temps et en argent, directives plus strictes et plus populaire ds les entrep de service-resto-licence c’est surtout pour les fabricants).

L’investissement direct à l’étranger et l’entreprise multinationale : activités exercées dans un pays étranger sous la direction de l’entreprise qui investit. Permet de parcourir tout le chemin et de diriger elle-même les activités étrangères. ↓3 types les plus courants↓

Alliance stratégique- entente par laquelle les associés mettent en commun, échangent ou intègrent des ressources précises de l’entreprise de façon que chacun en retire des gains.

Coentreprise- type d’alliance stratégique à lg terme ds laquelle les participants fournissent un apport en capital
de céder des secrets brevetés, partage de direction= exposé à ce que l’entreprise ne soit pas gérée comme on le voudrait,

Les filiales en propriété exclusive : firme détenue à 100% par une entreprise étrangère.

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8
Q

avantages et inconvénients de l’exportation

A

L’exportation : Vente de produits à l’étranger, soit directement à des clients cibles, soit indirectement par l’entremise de représentants ou de distributeurs étrangers
+ accroit le volume des ventes, +rentabilité, réduit la dépendance à l’égard d’un marché unique et offre à l’entreprise l’occasion d’acquérir une expérience de grande valeur sur les marchés étrangers.
- frais à engager pour conquérir les marchés d’exportation, maitrise du droit étranger, les modifications à apporter aux produits pour se conformer aux réglementations gouvernementales, ou gouts et à la culture, risques financiers-obtenir du financement supplémentaire. Partenaires fiables

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9
Q

avantages et inconvénients de l’octroi de licences

A

entente par laquelle une entreprise accorde à une entreprise étrangère le droit d’utiliser un bien incorporel pendant une durée déterminé, le plus souvent moyennant une commission qui peut prendre la forme d’une part des bénéfices.
+ nouveaux marchés, nouveaux partenariats, nouveaux apprentissages, limite les couts d’investissement pour l’entrée sur les marchés internationaux
- Elle pourrait ne pas pouvoir conserver la maitrise du design, de la fabrication ou de la vente de ses produits comme elle le ferait si elle mettait sur pied ses propres installations en Europe. Elle pourrait aussi en arriver à perdre la mainmise sur son produit (ê copiée)

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10
Q

avantages et inconvénients du franchisage

A

Entente par laquelle une société mère concède à une autre entreprise le droit de faire des affaires de la manière prescrite (ressemble à l’octroi de licence mais exige de la part des deux parties, un engagement plus important en temps et en argent, directives plus strictes et plus populaire ds les entrep de service-resto-licence c’est surtout pour les fabricants).
+ façon rapide et peu couteuse pour l’entreprise de prendre de l’expansion dans d’autres pays. (comme licence mais avec un meilleur ctrl)
- difficile d’assurer le ctrl de la qualité, on doit plus se donner

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11
Q

avantages et inconvénients de l’investissement direct à l’étranger et l’entreprise multinationale

A

Activités exercées dans un pays étranger sous la direction de l’entreprise qui investit. Permet de parcourir tout le chemin et de diriger elle-même les activités étrangères. ↓2 types les plus courants↓

Alliance stratégique- entente par laquelle les associés mettent en commun, échangent ou intègrent des ressources précises de l’entreprise de façon que chacun en retire des gains.
+ accès à de nouveaux marchés ou à de nouveaux clients, acquisition de procédés innovateurs, partage des couts et des risques associés à de nouveaux projets, mobilisation de capitaux et partage d’installations de production (l’octroi de licence et le franchisage peut rentrer dans cette catégorie)

Coentreprise- type d’alliance stratégique à lg terme ds laquelle les participants fournissent un apport en capital
+ acquérir une expérience utile dans un pays étranger, tout en utilisant les compétences et les ressources d’un partenaire averti. Les coentreprises aident également les deux entreprises à partager les couts de la construction d’un nouvel établissement, qui pourraient se révéler inabordables. Parfois la seule option (ex. chine avec le secteur fortement réglementé des télécommunications)
- les coparticipants risquent de céder des secrets brevetés, partage de direction= exposé à ce que l’entreprise ne soit pas gérée comme on le voudrait,

Les filiales en propriété exclusive : firme détenue à 100% par une entreprise étrangère.
+ assurent un ctrl serré de l’entrep étrangère, d’où un risque moindre de perdre des droits de propriété et des savoir-faire exclusifs.
- façon relativement couteuse de prendre de l’expansion dans les marchés étrangers, la société mère doit assumer elle-même la totalité de l’investissement, plutôt que de partager les risques avec une autre entrep.

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12
Q
  1. Quels sont les deux principes fondamentaux sous-tendant la matrice du Boston Consulting Group. Expliquez les.
A

La courbe de l’expérience :
Plus je produis d’unité, plus mon cout de production par unité va être réduit (cout fixe égaux, mais apprend à produire plus efficacement, dont cout de prod diminue, et investissements rentabilisés) mais il y a une limite, à un moment donné, le cout d’expérience va réaugmenté (on doit racheter une usine, etc.)
Le cycle de vie d’une activité:
Obsolescence programmée : la rentabilité d’un produit atteint son apogée rendue à un certain stade, on veut restimuler les gens à acheter des produits. C’est aussi une courbe
*enjeu pour un gestionnaire : arriver à la maturité, au mm moment ou le cout par unité est le plus bas (rentabilité maximale)

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13
Q
  1. Expliquez la matrice BCG.
A

C’est une analyse de portefeuille. Elle aide à déterminer l’intérêt relatif que présente chaque secteur d’activité de l’entreprise.
On détermine la part sur le marché et le taux de croissance du marché de chacun des secteurs de la compagnie et on détermine un statut.

étoile
Domaine d’activité stratégique ou des entreprises qui occupent une bonne part du marché dans une industrie à forte croissance
Point d’interrogation
Part faible du marché dans un secteur à forte croissance (on doit soit injecter de l’argent dans le secteur pour parer aux attaques des compétiteurs- ce qui signifie enlever de l’argent à d’autres secteurs- ou quitter le marché)

Vaches à lait
Part de marché importante, dans un secteur à faible croissance. Peut être un bon apport d’argent pour les secteurs en point d’interrogation car ne nécessite pas d’investissements et peut rapporter de l’$$ pour qq années.

Canards boiteux
Unités occupant une faible part de marché dans un secteur peu intéressant et à faible croissance. Faible part de marché= danger face aux concurrents= piège financier=on engloutit des fonds pour soutenir une situation désespérée= on est mieux de revendre

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14
Q
  1. Qu’est-ce que la gestion par objectifs (GPO)? Donnez en deux avantages et un effet pervers.
A

Déf : technique qu’utilisent maintes entreprises pour faciliter le processus d’établissement des objectifs de l’ensemble de l’organisation, ainsi que ceux des unités auxiliaires et de leurs employés. Les superviseurs et les subordonnés fixent ensemble les objectifs que poursuivront ces derniers et ils évaluent périodiquement les progrès accomplis en vue d’atteindre ces objectifs. Le gestionnaire doit fixer ses objectifs avec ses subordonnés et leur assurer une rétroaction périodique. Toutefois cette expression est souvent réservée à un programme global, habituellement réservé aux employés cadres et professionnels.
Tendance à amener une augmentation des exigences individuelles –> ceci peut donc augmenter la pression sur les travailleurs et la souffrance au travail.
1. Fixer les objectifs de l’Organisation (Haute direction)
2. Fixer les objectifs des services (responsables de services et supérieurs en collaboration)
3.Discuter des objectifs des services avec les subordonnés
4.Fixer des objectifs personnels (avec échéancier)
5.Rétroaction : évaluation régulière, accompagnement etc.
Av : motive les équipes, intègre les objectifs des employés, de l’unité pour laquelle ils travaillent et de l’entreprise dans son ensemble
Effet pervers : exige davantage que l’établissement d’objectifs, l’objet principal du programme est d’intégrer les objectifs des employés, de l’unité dans laquelle ils travaillent et de l’entreprise dans son ensemble.

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15
Q
  1. Expliquez les trois grandes façons d’envisager la responsabilité sociale des entreprises.
A

Responsabilité sociale: devoir que se font les entreprises de consacrer une part de leurs ressources à des projets d’amélioration de secteurs de la société, abstraction faite de l’intérêt de leurs propres actionnaires.
1- Capitalisme pur : obtenir le maximum de bénéfices pour ses actionnaires. En 2 arguments 1) les actionnaires sont les propriétaires de l’entreprise, donc ses bénéfices leur appartiennent, et n’appartiennent qu’à eux. 2) les actionnaires méritent leurs bénéfices car ils proviennent d’un contrat passé volontairement entre les diverses parties touchées par les activités de l’entreprise (chacun recoit déjà ce qui lui est dû)
2- Les groupes d’intérêt : selon une opinion contraire l’entreprise a une responsabilité sociale envers tous les groupes d’intérêts ( tout groupe de personnes indispensables à la survie et à la réussite de l’entreprise) touchés par ses décisions.
3- Comportement moral minimal : située entre les deux précédentes, l’objectif d’une entreprise serait de maximiser les bénéfices, toutefois, ce faisant, elle doit se conformer à un minimal moral, autrement dit ne léser personne (ne pas faire de briquets explosifs ou exploiter des usines chimiques, mais pas non plus faire don de ses bénéfices à des œuvres de bienfaisance)

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16
Q
  1. Donnez 3 avantages et une limite de la planification.
A

1- Procure le luxe de décider à l’avance de ce qu’on va faire, pas à la hate, dans des conditions favorables et non propices aux erreurs. En jouissant de tout le temps nécessaire pour faire des recherches et évaluer les différentes options
2- Oriente et motive
3- Réduit le nombre de décisions improvisées
4- Révèle les possibilités et les dangers futurs
5- Facilite le ctrl
Limite : peut faire rater une occasion intéressante qui se présente inopinément.

17
Q
  1. Qu’est-ce que l’équivocité ? Illustrez à l’aide de l’exemple des militaires vu en classe.
A

L’équivocité désigne le caractère flou d’un propos ou d’une situation, difficile à définir, mais également le fait qu’un propos peut avoir plusieurs sens., si on se pose des questions, c’est que c’est équivoque

18
Q
  1. Quels sont les grands risques des stratégies d’internationalisation?
A

Augmentation du risque de conflits, risque sur les investissements, sur la réputation, nécessite une bonne connaissance des situations géo-politiques des autres pays, des cultures, coordination internationale pas toujours évidentes, fluctuation des coûts

19
Q
  1. Qu’entend-on par le concept de « variété requise » ?
A

Si un système veut continuer, il doit continuer à s’améliorer, mais il va engendrer des perturbations, juste une nouvelle personne peut augmenter le risque de conflits interpersonnels, la variété-créativité c’est très bien mais ca augmente les perturbations, des tensions, c’est comme ça pour n’importe quel nouvel élément. Les humains n’aiment pas les conflits, soit ils laissent faire et attendent que les I augmentent les altercations pour en arriver a un nouveau statut quo (consensus) ou on met des règles et ça revient au même que avant la nouveauté, on a besoin de variété, ça augmente le conflit, on veut réduire le conflit, ça réduit les effets positifs de la nouveauté, c’est un cercle vicieux

20
Q
  1. Quelle différence entre efficience et efficacité?
A

Efficacité : arriver au but

Efficience : arriver au but en maximisant la satisfaction

21
Q
  1. Qu’est-ce que le libre-échange?
A

Situation dans laquelle deux ou plusieurs pays signent un accord autorisant la libre circulation entre eux des biens et des services, sans que subsistent des barrières commerciales telles que les droits de douanes Le libre-échange augmente l’efficience.

22
Q
  1. Expliquez le modèle de la rivalité élargie de M. Porter
A

La valeur du produit démarre où? Les fournisseurs? Les clients? Le produit? La qualité? Les ressources humaines? On détermine notre stratégie face à la façon dont on est capable de gérer chacun de ces éléments.
Plus le concurrent a du pouvoir, moins on en a, moins on a de chances davoir un avantage concurrentiel.
Si le pouvoir de négo des fournisseurs est élevé, ca influe à la baisse sur notre concurrence, plus il y a de fournisseurs différents, plus on a de l’influence, plus on est compétitifs, plus la force de notre rivalité est élevée.
Plus il y a de nouveaux entrants, plus la concurrence est accrue, donc, la rivalité.
Plus les produits créés sont facilement substituables, plus la rivalité a de chances detre élevée.
Plus les acheteurs ont un pouvoir élevé, moins nous avons du pouvoir en tant qu’entreprise, moins on est concurrentiels

23
Q
  1. Quels sont les différents (5) rôles du gestionnaire d’après H. Mintzberg ?
A

Figure de proue : chaque gestionnaire consacre une partie de son temps à accomplir des devoirs officiels. Par exemple, le PM peut accueillir des délégations internationales, un superviseur peut assister au mariage d’un adjoint administratif, un directeur des ventes peut inviter à déjeuner un client important.

Leader : auprès de ses employés en les motivant et en les encourageant

Agent de liaison : le gestionnaire passe bcp de tmps à établir des contacts avec des personnes extérieures à son service. Le superviseur de la chaine de montage peut répondre au pied levé à une question posée par le directeur des ventes au sujet du cheminement d’une nouvelle commande, ou le VP des ventes peut rencontrer le VP finances pour s’assurer qu’un nouveau client dispose des fonds nécessaires pour passer une commande.

Porte-parole : le gestionnaire est souvent le porte-parole de son organisation. Le superviseur pourrait avoir à renseigner le directeur d’une usine sur le flux de travail dans un atelier, ou le président avoir à prononcer un discours dans le but de faire valoir ses arguments auprès des représentants de l’administration municipale afin d’obtenir l’autorisation de construire une usine sur un terrain vacant.

Négociateur : le dirigeant d’une entreprise peut négocier un nouveau contrat avec le syndicat des pilotes, ou le chef d’atelier négocie le règlement d’un grief avec le représentant syndical.

24
Q
  1. Expliquez l’aphorisme : « La carte n’est pas le territoire » de Korzybski (4-5-6pts)
A

Ils ont été rassurés par la carte,
mais aussi parce que la carte est ÉQUIVOQUE (1 objet peut avoir plus d’un sens, on cherche à trouver le bon) les 2 cartes sont des cartes de montagne, toutes les montagnes se ressemblent un peu… la carte laisse part à une interprétation, elle est malléable, pas précise, (1910), on joue sur les erreurs de la carte, mais c’est surtout notre confiance en nous, notre intuition, notre confiance qui nous guide. Les gars transforment la carte pour l’adapter à leurs actions.
CONSTRUCTION SOCIALE DE LA RÉALITÉ, par tous, ils y participent, y croient. On veut abaisser notre niveau d’incertitude (tension émise par l’équivocité) afin de trouver le sens réel de cette carte. On change ce qu’on croyait au départ (que c’est une carte des pyrénés) et on l’adapte à notre situation sociale (on construit un sens). Cela nous pousse à l’action. Et ainsi nos constructions rendent la carte plausible, rendent le fait qu’on va s’en sortir plausible, = motivation= action= on retrouve le camp.

25
Q
  1. Quelles seraient les deux caractéristiques principales des gestionnaires selon la typologie du Vocational Preference Test ? Expliquez.
A

La personnalité joue un rôle déterminant dans le choix de carrière. La personnalité de presque tous les gestionnaires qui réussissent appartiennent soit à
Sociale
Les personnes qui s’intéressent à l’aspect social du travail sont attirées par les carrières qui les appellent à travailler avec d’autres personnes dans un esprit de collaboration ou à jouer le role de facilitateurs. En général, ce sont des personnes qui établissent facilement des contacts avec toutes sortes de gens. Elles sont douées pour aider leurs semblables lorsqu’ils son soucieux ou qu’ils éprouvent des difficultés. Elles sont capables de bien expliquer les choses et elles aiment les activités à caractère social, entre autres aider les gens à résoudre leurs problèmes personnels, enseigner et faire de nouvelles rencontres. Il est difficile de réussir en tant que gestionnaire si on n’aime pas être en contact avec les gens.
Entreprenant
Les personnes qui possèdent l’esprit entreprenant préfèrent en général superviser les gens ou les encourager à atteindre un objectif précis. Les interventions verbales destinées à influencer les autres leur plaisent tout particulièrement. Elles aiment avoir de l’influence, vendre des produits ou des services et diriger un groupe.

26
Q
  1. Pourquoi gérer ?
A

Dans un but d’innovation, d’optimisation et de maximisation de la satisfaction, la productivité, des bénéfices, des retours sur investissements, de diminuer les ressources, Faire tjrs mieux,

27
Q
  1. Expliquez les grandes stratégies d’affaires selon Porter ?
A

Domination par les couts
Les coûts LES plus bas de son secteur, avantage absolu par les coûts

Différenciation
Entreprise cherche a être unique en son genre dans son secteur grâce a certains éléments particuliers appréciés par les acheteurs.

Concentration sur un segment de marché
Entreprise sélectionne un segment de marché et bâtit sa stratégie sur la qualité de service offert aux clients de ce créneau, à meilleur marché que ses concurrents

28
Q
  1. Quel est l’intérêt d’utiliser un outil de gestion de portefeuille pour faire de la gestion stratégique?
A

C’est difficile de choisir quels secteurs garder ou ne pas garder, cet outil permet de rationaliser le processus.

29
Q
  1. Pourquoi les outils de gestion de portefeuille d’activités étaient-ils si populaires dans les années 60 ?
A

Après la 2e guerre mondiale, ce sont les 30 glorieuses, des années fortes d’un grand essor économique.
La priorité des entreprises est donc de diversifier les activités! Donc on doit absolument savoir quelles activités sont profitables et lesquelles l’entreprise devrait se départir
Afin de savoir comment gérer les ressources afin d’atteindre les objectifs organisationnels

30
Q
  1. « Avoir une politique de responsabilité sociale ne veut pas dire être responsable socialement ».
A

La contrainte d’une entreprise reste sa croissance et son bénéfice, même s’ils compensent certaines externalités négatives, leur activité. Si elle est néfaste reste néfaste et cela ne fait pas d’eux une entreprise ‘’responsable socialement’’ -exemple de l’essence sans plomb pour couper les arbres de la forêt amazonienne.

31
Q
  1. Qu’est-ce que la gestion de la diversité? Donnez des exemples de diversité.
A

Planifier et mettre en place des systèmes et des méthodes de gestion du personnel visant à maximiser les avantages potentiels et la diversité et à en réduire le plus possible les inconvénients.
Comprendre la nature des obstacles
Accroitre son rendement en assurant le soutien de la haute direction et en évaluant régulièrement la situation ainsi qu’en éduquant et en formant les membres de l’entreprise en matière de diversité, changer la culture et les systèmes de gestion (prendre en considération les capacités de chacuns), évaluer son programme de gestion de la diversité
ex. immigrants, handicapés, travail-famille, personnes âgées, sexe, orientation sexuelle

32
Q
  1. À quels phénomènes renvoient les expressions : « Plafond de verre » et « pilier de béton »
A

La discrimination (sexisme) : pratique consistant à traiter les personnes différemment selon le groupe auquel elles appartiennent

33
Q
  1. Expliquez le continuum éthique.
A

X comportement égoiste- Ce qui est bon pour moi est bon (libertariens) mon éthique, c’est moi d’abord, le rien ne m’intéresse pas, pour moi c’est moral, pas nécessairement pour les autres
Y comportement conforme à la loi- Si c’est légal, c’est éthique… mais les lois changent, et à retardement, ce n’est que quand un pb survint qu’on les change.
Z comportement conforme aux normes professionnelles- Si ça correspond aux normes pros, c’est moral, mais s’il n’y a pas de normes? C’est quoi qui est moral? En tant que gestionnaire, tu n’as pas de règles. Il y a toujours deux coté à la médaille
Z+ comportement d’une intégrité supérieure- Rien n’est suffisant, mon idée est supérieure, et elle est éthique, rien n’est laissé de coté

34
Q
  1. Quels liens faites-vous entre gestion de la diversité et variété requise ?
A

Il faut essayer d’avoir une stratégie de gestion de la diversité la plus efficace possible pour réussir à maximiser les avantages potentiels de la variété requise tout en diminuant le plus possible ses inconvénients (tensions créées par la nouveauté)

Gestion de la diversité : Planifier et mettre en place des systèmes et des méthodes de gestion du personnel visant à maximiser les avantages potentiels de la diversité et à en réduire le plus possible les inconvénients planifier et mettre en place des systèmes et des méthodes de gestion du personnel

Variété requise : Si un système veut continuer, il doit continuer à s’améliorer, mais il va engendrer des perturbations, juste une nouvelle personne peut augmenter le risque de conflits interpersonnels, la variété-créativité c’est très bien mais ca augmente les perturbations, des tensions, c’est comme ca pour n’importe quel nouvel élément. Les humains n’aiment pas les conflits, soit ils laissent faire et attendent que les I augmentent les altercations pour en arriver a un nouveau statut quo (consensus) ou on met des règles et ça revient au même que avant la nouveauté, on a besoin de variété, ca augmente le conflit, on veut réduire le conflit, ca réduit les effets positifs de la nouveauté, c’est un cercle vicieux

35
Q
  1. Au regard de la notion d’avantage concurrentiel développée par M. Porter et du modèle des 5 forces, expliquez comment certaines entreprises (comme VW par exemple dans le cadre des moteurs diesels) peuvent être amenées à frauder ?
A

5 force: fournisseurs, entrants potentiels, acheteurs, produits substituts concurrence dans le secteur

Inventé un moteur diesel qui démarre plus vite et a pas besoin d’autant d’essence. Ils ont revendu cette technologie à tout le monde, en Europe 80% du monde avait ce moteur diesel. Ils voulaient devenir le premier constructeur au monde, avec leur avantage concurrentiel, on investit dans des usines, on investit dans le monde entier, on est les seuls, on n’a pas de menace de nouveaux entrants, on gagne toujours de l’$$, on ctrl, maîtrise les fournisseurs, on a mm des ententes (Bosch). On n’a pas de menace de produits de remplacement. L’intensité est forte, mais on a un avantage plus fort. État met de nouvelles normes environnementales, notre moteur n’y répond pas. On fraude pour ne pas perdre toutes les voitures déjà construites. On a des stratégies de volume extrêmement fortes, on est quasi dépendant à cet avantage concurrentiel (recherche et développement, et bcp bcp d’investissements !!) on aime mieux avoir une amende que perdre notre avantage, et tous nos investissements.