Examen 1 Flashcards

Question 1

Q

Vrai ou faux. Lors d’une intervention d’approche comportementale, l’efficacité de l’intervention est évaluée seulement au début et à la fin de celle-ci?

Question 2

Q

Dans l’expérience du chien de Pavlov, que représente la cloche? (stimulus inconditionnel (SI),
Stimulus neutre (SN) ou
Stimulus conditionnel (SC)

Question 3

Q

Lors de la récupération spontanée, la réponse conditionnelle réapparait spontanément à la suite d’une extinction de cette dernière. L’effet de cette récupération spontanée…
A. Dure une courte période de temps
B. Dure une longue période de temps
C. Est permanent
D. Est variable

Question 4

Q

Vrai ou faux. Le concept de discrimination en conditionnement classique implique que le sujet réagisse seulement au stimulus conditionnel et à aucun autre stimulus similaire.

Question 5

Q

On plonge l’individu dans une situation anxiogène jusqu’à l’extinction des émotions désagréables associées à cette situation. À quelle technique du conditionnement classique fait-on référence?
A. Désensibilisation systématique
B. Immersion
C. Exposition graduée ou exposition systématique
D. Exposition aux sensations physiques

Question 6

Q

On utilise cette technique principalement auprès de personnes présentant des troubles obsessionnels compulsifs (TOC). À quelle technique du conditionnement classique fait-on référence?
A. Désensibilisation systématique
B. Exposition graduée ou exposition systématique
C. Exposition aux sensations physiques
D. Exposition graduée in vivo combinée à la prévention de la réponse

Question 7

Q

Dans ce type de conditionnement, le comportement est non seulement déterminé par l’association entre le stimulus et un comportement, mais également par les effets de ce comportement. De quel conditionnement s’agit-il?
A. Conditionnement classique
B. Conditionnement répondant
C. Conditionnement opérant

Question 8

Q

Vrai ou faux. Tout comme en psychanalyse, Skinner accorde une importance à la compréhension de l’inconscient.

Question 9

Q

Julien a enfreint une règle à l’école il y a 2 semaines. Le directeur le rencontre aujourd’hui et lui annonce qu’il aura une suspension temporaire pour son comportement. Quel principe du conditionnement opérant n’est pas respecté de manière à favoriser la modification de son comportement?
A. Façonnement
B. Contingence
C. Contiguïté

Question 10

Q

Hugo a obtenu une note parfaite à sa dictée de la semaine. Sa mère est fière et lui dit qu’il n’aura pas besoin de laver la vaisselle ce soir, même si c’était à son tour. De quel type de renforcement/punition s’agit-il?
A. Renforcement positif
B. Renforcement négatif
C. Punition positive
D. Punition négative

Question 11

Q

Vrai ou faux. Le façonnement est le fait d’amener l’individu à présenter un comportement qu’il ne manifeste pas en renforçant tous les efforts, aussi minimes soient-ils, qui va dans la direction désirée.

Question 12

Q

Vrai ou faux. Selon Bandura, l’apprentissage ne se fait pas seulement à la suite de l’expérimentation des conséquences de son action.

Question 13

Q

Lequel des choix suivants ne fait pas partie des principales étapes du processus de l’apprentissage selon Bandura?
A. Anticipation
B. Imitation
C. Renforcement interne
D. Mémorisation

Question 14

Q

Laquelle des critiques positives de l’apprentissage par observation est erronée?

A. L’approche reconnait que chaque individu influence les autres et est en retour influencé par eux, et ce, chaque jour de sa vie, qu’il en soit conscient ou non.
B. L’apprentissage par observation permet de comprendre que le simple fait de nommer un comportement l’explique.
C. Cet apprentissage rend possible un grand nombre d’applications pratiques.

Question 15

Q

Vrai ou faux. Selon Maslow, l’environnement influence toujours positivement l’individu vers l’affirmation de soi.

Question 16

Q

Julie travaillait depuis 20 ans dans la même entreprise. Elle n’a jamais reçu de promotion et son travail était trop peu reconnu à son avis. Elle décide donc de changer d’emploi afin d’obtenir une plus grande reconnaissance de son expérience. Quel pourrait être son besoin prioritaire selon la pyramide des besoins de Maslow?

A. Besoin de sécurité
B. Besoin d’amour et d’appartenance
C. Besoin d’estime
D. Besoin d’actualisation de soi

Question 17

Q

Laquelle des approches humanistes suivantes est critiquée comme romantique et naïve?

A. Théorie de la motivation (Maslow)
B. Approche phénoménologique (Rogers)
C. Approche centrée sur les forces

Question 18

Q

Cette approche tient compte de la personne dans sa totalité ainsi que de l’expérience subjective de l’individu. Elle se base sur l’empathie et fait appel à l’intuition clinique.

A. Théorie de la motivation (Maslow)
B. Approche phénoménologique (Rogers)
C. Approche centrée sur les forces

Question 19

Q

Ce thème central important de l’approche phénoménologique de Rogers détermine comment les expériences sont vécues, perçues. De quel concept s’agit-il?

A. Autoactualisation
B. Concept de soi
C. Congruence
D. Champ perceptuel

Question 20

Q

Le développement de la personnalité se base sur 3 facteurs selon Rogers, quels sont-ils? (3 réponses à sélectionner)

A.	Regard positif
B.	Empathie
C.	Autoactualisation
D.	Bonnes relations interpersonnelles

Question 21

Q

Vrai ou faux. Une personne présentant une personnalité pathologique n’a pas une tendance innée à l’actualisation.

Question 22

Q

Lequel des objectifs suivants se rattache au comportement à adopter en thérapie centrée sur le client?

A. Aider l’individu à identifier les émotions rattachées à leurs expériences
B. Aider l’individu à se dissocier de son processus d’évaluation organismique
C. Aider l’individu à identifier ses comportements pathologiques
D. Aider l’individu à se reconnecter avec son processus d’évaluation organismique

Question 23

Q

Lequel des principes de base de l’approche centrée sur les forces postule que chaque personne peut avoir du pouvoir sur sa vie et faire ses propres choix?

A. Empowerment/libération
B. Aliénation/oppression

Question 24

Q

Vrai ou faux. Selon les principaux postulats de l’approche centrée sur les forces, les niches empoisonnantes conduiraient à l’isolement social.

Question 25

Q

Dans l’approche centrée sur les forces, l’atteinte des objectifs peut se faire lorsque trois des éléments suivants sont présents. Sélectionnez les 3 éléments.

A. Ressources
B. Besoins
C. Opportunités
D. Relations sociales

Question 26

Q

Freud a fondé la psychanalyse sur 2 propositions, quelles sont-elles? (2 réponses à sélectionner)

A. Le fonctionnement psychique est dominé par l’inconscient
B. La connaissance de l’inconscient
C. La compréhension des mécanismes de défense
D. Le fonctionnement psychique est dominé par le conscient

Question 27

Q

J’agis sous le principe de la réalité, qui suis-je?

A. Ça
B. Moi
C. Surmoi

Question 28

Q

Une fixation à ce stade peut se manifester, à l’âge adulte, par des comportements tels que l’alcoolisme ou le tabagisme. De quel stade psychosexuel s’agit-il?

A. Stade oral
B. Stade anal
C. Stade phallique
D. Stade génital

Question 29

Q

Une personne pourrait démontrer un refus de reconnaitre certains aspects de la réalité psychique et externe. De quel mécanisme de défense s’agit-il?

A. Refoulement
B. Formation réactionnelle
C. Déplacement
D. Déni

Question 30

Q

Josée a une tendance à transformer ses désirs insatisfaits en activités constructives. Quel mécanisme de défense utilise-t-elle?

A. Formation réactionnelle
B. Déplacement
C. Sublimation
D. Rationalisation

Question 31

Q

Un patient vient de traiter son thérapeute de «con». Quel concept pourrait s’appliquer à la situation?

A. Transfert positif
B. Transfert négatif
C. Contretransfert
D. Résistance

Question 32

Q

Qu’est-ce que l’association libre?

A. En d’autres termes, il s’agit du consentement libre et éclairé donné patient afin de s’associer au thérapeute
B. Un test lors duquel le patient doit décrire ce qu’il voit dans une image de manière spontanée
C. Lorsque le thérapeute fait des liens entre le vécu du patient et la théorie de l’approche psychodynamique
D. Lorsque le patient exprime toutes ses pensées sans discrimination et de manière spontanée

Question 33

Q

Pour quels troubles peut-il être intéressant d’utiliser l’approche psychanalytique? (Plusieurs réponses possibles)

A. Dépression
B. Trouble panique
C. Trouble de stress post-traumatique
D. Trouble de personnalité limite

Question 34

Q

S’assurer d’analyser les réactions au niveau des interactions de transfert et de contretransfert fait partie de la méthode de la thérapie psychanalytique. Comment nomme-t-on cette méthode que doit appliquer l’analyste?

A. Neutralité bienveillante
B. Règle d’abstinence
C. Travail d’interprétation
D. Travail de supervision

Question 35

Q

Quelles caractéristiques doivent être présentes pour un aménagement des séances optimal?

A. Constance, cohérence et chaleur
B. Constance, chaleur, souplesse et adaptabilité
C. Constance, régularité, souplesse et adaptabilité
D. Constance, régularité et rigidité

Question 36

Q

L’approche comportementale rejette __________ comme explication de la maladie mentale.
Le modèle psychodynamique
La psychologie de l’apprentissage
Le modèle scientifique
Les lois du conditionnement

Answer

A

Le modèle psychodynamique

Question 37

Q

Selon la perspective psychanalytique, __________ constituent la voie royale vers l’inconscient.

Answer

A

Les rêves

Question 38

Q

Lors d’une séance, Yve bégaie en parlant de choses gênantes. En psychanalyse, le bégaiement :
serait une forme de désensibilisation
serait une forme de transfert
serait une forme de déconditionnement
serait une forme de résistance

Answer

A

serait une forme de résistance

Question 39

Q

Le Moi se sert __________ pour atténuer et réorienter le niveau d’anxiété.
de mécanismes de défense
de l’association libre
du regard positif inconditionnel
de l’actualisation de soi

Answer

A

De mécanismes de défense

Question 40

Q

Acheter des tickets de Loto est renforcé avec les gains d’argents sur un calendrier à _________.
Intervalle fixe
Intervalle variable
Proportion fixe
Proportion variable

Answer

A

Intervalle variable

Question 41

Q

Selon l’approche comportementale, les phobies seraient des réponses :
conditionnelles, c’est-à-dire apprises
instinctives qui peuvent être modifiées
inconscientes
inconditionnelles qui peuvent être modifiées

Answer

A

conditionnelles, c’est-à-dire apprises

Question 42

Q

Les électrochocs servent essentiellement à traiter les (la)
phobies
troubles du comportement
dépression
schizophrénie

Answer

A

dépression

Question 43

Q

Un des aspects clés d’une thérapie centrée sur le client serait :
l’interprétation
l’écoute active
l’association libre
la désensibilisation systématique

Answer

A

l’écoute active

Question 44

Q

Selon la théorie de Maslow, les individus tendent à satisfaire leur besoin d’autoactualisation :
Avant de satisfaire les autres besoins
Quand ils ont satisfait les autres besoins
Quand ils ont satisfait leurs besoins physiologiques

Answer

A

Quand ils ont satisfait les autres besoins

Question 45

Q

Carl Rogers croit que tous les humains :
ont une tendance innée pour un changement positif
ont une hiérarchie de besoins
ont un écart entre leur soi idéal et leur soi actuel
toutes ces affirmations

Answer

A

ont une tendance innée pour un changement positif

Question 46

Q

Selon Rogers, si nous sommes satisfait de notre vie, notre concept de soi ressemble de près :
à notre surmoi
à notre soi idéal
à notre inconscient
à notre concept des autres

Answer

A

à notre soi idéal

Question 47

Q

Les psychothérapeutes ________ cherchent surtout à aider leur client à s’accepter
psychanalytiques
cognitivistes
gestaltistes
humanistes

Answer

A

humanistes

Question 48

Q

Rogers diffère de Maslow : il croit que le développement de la personnalité est centrée sur
la satisfaction des besoins hiérarchiques
le concept de soi
la perception sociale
le succès dans le travail et le domaine familial

Answer

A

le concept de soi

Question 49

Q

Dans la vision de Rogers, les individus se sentent menacés quand leur expérience et sentiments
sont incompatibles avec leur concept de soi
attirent la désapprobation du soi-idéal
sont incompatibles avec le regard positif
sont une part inconsciente de leur mémoire

Answer

A

sont incompatibles avec leur concept de soi

Question 50

Q

Selon la perspective psychanalytique, le comportement anormal s’expliquerait par :
des troubles d’apprentissage
une déficience de certains neurotransmetteurs
un manque de réseau social
des conflits inconscients

Answer

A

des conflits inconscients

Question 51

Q

Dans la théorie psychanalytique, on désigne le concept de l’oubli motivé par :
l’interférence
l’amnésie rétrograde
le refoulement
l’amorçage

Answer

A

le refoulement

Question 52

Q

Selon la théorie Freudienne quelle instance réside totalement dans l’inconscient?
le ça
le moi
le surmoi
toutes ces instances sont exclusivement dans l’inconscient

Question 53

Q

Dans le conditionnement classique, un stimulus est appelé neutre parce que :
l’organisme n’a pas de réactions spécifiques en sa présence
l’organisme réagit fortement en sa présence
il provoque une réaction inconsciente
il provoque une réaction sociale

Answer

A

l’organisme n’a pas de réactions spécifiques en sa présence

Question 54

Q

Dans le conditionnement classique, la contiguité veut dire :
que le SI est prédit par le SC
que la présentation du SC et du SI est proche dans le temps
que le SI est corrélé avec la RC
aucune de ces réponses

Answer

A

que la présentation du SC et du SI est proche dans le temps

Question 55

Q

Lorsqu’un enfant est privé de son diner, il est privé d’un renforçateur :
généralisé
primaire
conditionnel
secondaire

Question 56

Q

Selon B.F. Skinner, le comportement est déterminé surtout par:a. les sentiments et les émotions
b. des prédispositions génétiques
c. des motivations inconscientes
d. des influences de l’environnement

Question 57

Q

En conditionnement classique, la nourriture est considérée comme un stimulus inconditionnel parce qu’elle:a. permet d’observer une réaction apprise .11
b. est associée à la satisfaction d’un besoin social
c. provoque l’apparition d’une réponse spécifique et uniforme chez l’ensemble des individus d’une espèce
d. provoque l’apparition d’une réaction sociale chez l’organisme

Question 58

Q

Dans le conditionnement classique, la réponse conditionnelle est définie comme:a. un réflexe
b. une réaction de peur à la présentation d’un stimulus neutre
c. un stimulus neutre qui, à lui seul, est capable de provoquer une réponse
d. une réaction apprise à un stimulus qui a déjà été neutre

Question 59

Q

Roger, qui a huit ans, mouille son lit souvent. Un médecin suggère l’utilisation de l’appareil “Bell and Blanket” afin d’éliminer ce problème. Cet appareil consiste en une sonnerie reliée à une couverture placée sur le matelas de l’enfant. A chaque fois qu’une goutte d’urine touche la couverture, la sonnerie est déclenchée et Roger se réveille en sursaut. Initialement, la sonnerie serait un stimulus:e. conditionnel
f. neutre
g. inconditionnel
h. négatif

Question 60

Q

Lequel des éléments suivants entre dans la définition du conditionnement classique?i. la réponse inconditionnelle est apprise
j. la réponse au SC résulte d’appariements SC-SI
k. la réponse au SI résulte d’appariements SC-SI
l. le SI déclenche une réponse conditionnelle

Question 61

Q

Un professeur du primaire crie très souvent en classe. Après un certain temps, un de ses élèves devient très angoissé. Lorsque l’élève rencontre cet enseignant dans le corridor il devient très anxieux même si ce dernier ne lui parle pas. Dans cet exemple, le SC qui provoque RC chez l’élève est:a. l’école
b. la classe
c. le corridor
d. le professeur

Question 62

Q

Dans le conditionnement classique, un SC provoque une réaction parce qu’il a été associé à un SI. Cependant, il arrive que d’autres stimuli en arrivent à provoquer la même réaction sans qu’ils aient été associés à un SI. Dans ce dernier cas, on peut parler d’une:a. discrimination du stimulus
b. généralisation du stimulus
c. discrimination de la réponse
d. généralisation de la réponse

Question 63

Q

Lors du conditionnement classique, le phénomène de généralisation démontre que la capacité d’un nouveau stimulus non associé au SI à déclencher une RC est fonction:a. de la similitude entre le nouveau stimulus et le SC
b. de la récupération spontanée
c. de la similitude entre le nouveau stimulus et le SI
d. de l’intensité aversive du nouveau stimulus

Question 64

Q

Il est généralement admis que les troubles phobiques sont le résultat:i. d’une prédisposition innée
j. d’un conditionnement classique
k. d’un processus d’habituation
l. d’un style de pensée maladapté

Answer 19

A

renforçateur négatif
renforçateur positif

Answer 20

A

renfo pos.

Answer 21

A

punition négative

Answer 22

A

les pièces de monnaie déversées par une machine à sous

Answer 23

A

oui
Si je me réfère au façonnement, je récompenserai l’effort fournit pour dire «wan wan». Le fait de parler (et ne pas grogner) rapproche votre petit neveu du mot bonbon.

Answer 24

A

répondre

Answer 25

A

a) Les Neuroleptiques
b) Les anxiolytiques
c) Les antidépresseurs
d) Les régulateurs de l’humeur

Answer 26

A

antipsychotiques

Answer 27

A

La tradition surnaturelle : e traitement des possessions :
Exorcisme
Bastonnade
Confinement
Suspension au dessus d’une fosse pleine de serpents venimeux
Techniques : trépanation, torture des sorcières

Answer 28

A

Le développement des traitements biologiques
Découverte progressive de plusieurs médicaments
Chocs électriques
Chirurgie du cerveau
Traitements
pharmacologiques : Pharmacothérapie : corriger les déséquilibres chimiques lorsque l’organisme n’est pas en mesure de donner assez d’une substance. Médicaments viennent compenser à ce manque.
Variété de médication de traitements pour les comportements anormaux.
Neuroleptique : Antipsychotiques
Anxiolytique : traite l’anxiété
 Neuroleptiques
 Anxiolytiques
 Antidépresseurs
 Régulateurs de l’humeur

Answer 29

A

Médicaments utilisés pour
traiter la schizophrénie et
d’autres troubles sévères
de la pensée

Pour troubles psychotiques, tranquilisants majeurs, comme sédatif. Pour éliminer/réduire les symptômes auditifs et visuels. Ne garanti pas arrêt des épisodes psychotiques et ne guérit pas.

 Exemple:Largactil,
Clozapine, Risperdal

Answer 30

A

Médicaments utilisés pour
contrôler l’anxiété et
l’agitation.
Pour contrôler et tenter de diminuer l’anxiété. Tranquilisant mineur, induire sentiment de calme. vient remplacer les sédatifs qu’on donnait aux patients. Tendance à faire une surutilisation de ces médicaments.

 Exemples d’anxiolytique:
 Xanax, Librium, Valium

Answer 31

A

Médicaments utilisés pour
traiter les hauts et les bas
d’un trouble bipolaire.

Pour briser le cycle maniaco-dépressif et prévenir des épisodes futurs. Par contre, il est long à agir (3-4 semaines) autres médicaments viennent compléter.

 Lithium

Answer 32

A

Médicaments utilisés pour
traiter la dépression; de
plus en plus prescrits pour
traiter l’anxiété.
 Exemples
d’antidépresseurs: Prozac,
Zoloft, Déroxat

Answer 33

A

Traitement efficace de
la dépression
Le cerveau du
patient, anesthésié,
est soumis à un bref
courant électrique.

«Chocs électriques» moins d’une seconde. Activation du système nerveux autonome, changements cardiaques.
Traitements où sévérité de la dépression est sévère.

(stimulation magnétique
transcrânienne répétée [SMTr]
Application répétée de pulsations d’énergie magnétique sur le cerveau;
utilisée pour stimuler ou inhiber l’activité cérébrale

Answer 34

A

Chirurgie qui enlève ou détruit certains tissus cérébraux afin de modifier
le comportement.
Psychothérapie-biomédicale la plus extrême et la moins utilisée.

Answer 35

A

La qualité de la relation clinique = 30 %
Les capacités de changement du client = 40 %
L’espoir du client dans un changement possible =15
%
L’approche clinique est reconnue comme l’un des
facteurs d’efficacité d’un traitement de réadaptation =
15 %

Answer 36

A

Pour être rigoureux, repères pour se conformer
2.Pour organiser notre pensée, notre rationnel
Pour avoir un langage et une vision commune avec notre client
Pour avoir des paramètres d’évaluation. Très important. Voir l’efficacité de l’intervention à la fin. Approche permet d’évaluer les objectifs ‘sil sont répondu ex. pyramide des besoins de Maslow.
Pour déterminer des objectifs thérapeutiques cohérents. Définir qui sera présent. Ex. approche écosytémique : + parent, + école
Pour déterminer et définir qui sera présent aux rencontres. À qui je m’adresse selon l’approche, parent, école, individu.
Pour déterminer les techniques d’intervention à privilégier. Approche cognitivo-comp. thérapie congitivo-comp. Choses à déterminer.
Pour avoir des balises d’analyse et d’évaluation d’atteinte des objectifs
Pour orienter le clinicien dans ses impasses. Parfois dans boucle d’in.ficaité. Peut sortir des patterns de nous (clinicien) être réflexifs.

Answer 37

A

Psychanalyse
Érickson
Jung
Ader
Freud
3 niveaux de conscience :
conscient, préconscient, inconscient
3 instances de la personnalité: ça, moi, surmoi
Développement psycho sexuel : stade oral, anal, phallique,
période de latence, stade génital

Answer 38

A

Psychanalyse
Freudienne
= Interprétation et/ou
Association libre.
de Interprétation : Résistances,
Rêves,
Transfert.

Answer 39

A

« Le fonctionnement psychique est pour l’essentiel inconscient, non pas par ignorance, mais parce que des forces s’opposent en permanence à ce qu’il connaisse ses propres mécanismes. »
« Je veux connaître cet inconnaissable… ».

Answer 40

A

Les instances de la personnalité et les niveaux de conscience
Les stades du développement psychosexuel 3. L’explication des troubles psychologiques

Answer 41

A

Les niveaux de conscience : le Conscient, le Préconscient et l’Inconscient
Les instances de la personnalité : le Ça, le Moi et le Surmoi

Answer 42

A

L’inconscient est l’instance psychique découverte par Freud et nommée par lui en tant que lieu des représentations qui se sont vues refuser l’accès à la conscience.
L’inconscient se dérobe à toute saisie directe. Il ne se repère que par ses manifestations (Formations de l’inconscient: symptômes, actes manqués, rêves, lapsus, …)
Inconscient = motifs primitifs, instinctifs, souvenirs empreints d’angoisse et émotions qui n’ont pas accès à la conscience.
La majorité des troubles psychologiques ont leur origine dans ces souvenirs et ces instincts (sexuels ou agressifs) refoulés, emmagasinés dans l’inconscient.

Answer 43

A

Le Ça
o Seule instance à être présente à la naissance
o Fonctionne selon le principe de plaisir
Pôle pulsionnel
Comprend : pulsions de vie (Éros) et pulsions de mort
* Le Moi
o Se développe au contact du monde extérieur
o Rôle d’intermédiaire entre le ça et le surmoi
o Fonctionne selon le principe de réalité
instance adaptative face aux exigences de la censure; constitution par les identifications
* Le Surmoi
o L’intériorisation des o Fonctionne selon le
de mort (Thanatos)
interdits parentaux et sociaux
principe de moralité
Fonction de censure; héritier de l’Œdipe; intégration des interdits parentaux

Answer 44

A

Le stade oral
o De la naissance à environ 18 mois
o Zone érogène privilégiée : la bouche
u Le stade anal
o Approximativement de 14 mois à 3 ans
o Zone érogène privilégiée : la zone anale (contrôle des sphincters)
Le stade phallique
o Approximativement de 3 ans à 6 ans
o Zone érogène privilégiée : la zone génitale
o Développement de l’identité sexuelle et de la personnalité
o Apparition du complexe d’Œdipe chez le garçon
et du complexe d’Électre chez la fille
Période de latence
o D’environ 6 ans à la puberté
o Aucune zone érogène privilégiée => mise en veilleuse de la libido
Le stade génital
o Débute avec l’apparition de la puberté
o Zone érogène privilégiée : la zone génitale (comme lors du stade phallique)
o Réapparition de l’intérêt pour l’autre sexe, déplacé du parent du sexe opposé vers un
objet d’amour plus approprié
o Développement de l’identité et de la maturité propres à l’adulte

Answer 45

A

Besoin trop satisfait ou pas assez qui créer un arrêt dans le développement normal de l’enfant.

Answer 46

A

Désigne les mécanismes utilisés pour contenir et réduire l’angoisse
Lors de conflits entre les instances (Ça et Surmoi) :
*La personne peut se sentir menacée et ressentir de l’angoisse qui
provoque une tension. Le Moi cherche a atténuer la tension en recourant
aux mécanismes de défenses.
*Les mécanismes se manifestent par des symptômes physiques ou
psychologiques

Answer 47

A

*Les mécanismes falsifient et déforment la réalité
*Les mécanismes agissent de façon inconsciente.
o Permet normalement de composer avec les conflits
émotionnels et le stress
o Devient pathologique quand le mécanisme de défense ne
permet plus de se libérer du conflit anxiogène

Answer 48

A

Refoulement

Answer 49

A

Projection

Answer 50

A

Formation réactionnelle

Answer 51

A

Réfression

Answer 52

A

Intellectualisation

Answer 53

A

Déplacement

Answer 54

A

Sublimation

Answer 55

A

Rationalisation

Answer 56

A

Troubles dus à…
o conflits non résolus entre les exigences des trois instances de
la personnalité
o anxiété inconsciente associée aux conflits non résolus

Answer 57

A

Le transfer, contretransfert et résistance

Answer 58

A

Relation particulière qui s’établit entre le patient et son
psychanalyste.
*Au travers du transfert, le sujet va répéter de « nouvelles éditions » de
tendances, de fantasmes liés à des représentations, dont la première
édition infantile a été refoulée.
*Le transfert n’est pas spécifique à la thérapie : un collègue, un ami, etc.
peuvent également faire l’objet d’un transfert.
Le thérapeute/ami/collègue n’est pas l’objet initiale des ces “fantasmes”
*L’analyse du transfert est spécifique à la thérapie. Il est important que
l’analyste puisse repérer les diverses personnes qu’il vient incarner
pour son patient.
*L’accès à l’inconscient de l’autre implique une grande familiarité avec
son propre inconscient.
*Seul un travail de réflexion de cette nature permet d’accéder à une
« neutralité bienveillante ».

Answer 59

A

Ensemble de réactions affectives conscientes ou inconscientes de
l’analyste envers son patient.
*Quelle est la réponse de l’intervenant au transfert des patients qui
viennent le consulter?
* Comment entend-t-il ce qui lui est dit, répété, transmis?
*L’analyse des mouvements transféro-contre-transférentiels constitue
l’instrument de travail le plus important pour l’intervenant.

Answer 60

A

Tout ce qui fait obstacle, qui entrave l’accès du sujet à son inconscient.
*Freud relie la résistance à l’approche du noyau pathogène (inconscient).
*Freud montre que lorsque le patient approche des éléments refoulés dans
son inconscient (le noyau pathogène) et qu’il n’arrive plus à associer les
idées qui se présentent à son esprit, il va reporter son malaise sur
l’analyste et actualiser ses pulsions tendres et/ou agressives par le
transfert.
*Le transfert fonctionne alors comme une résistance, lieu où le sujet
répète ce qui pour lui fait obstacle.

Answer 61

A

Transfert positif
Sentiments amicaux, amoureux
éprouvés pour l’analyste
Transfert négatif
Sentiments agressifs, hostiles
ressentis à l’égard de celui-ci

Answer 62

A

Modalités d’expression :
*Le silence
*Le sujet parle sans affects ou banalise
*Absences répétées
*Refus de toute interprétation
*Disparition instantanée du symptôme

Answer 63

A

Le cadre = aménagement des séances
*Constance
*Régularité
*Repères stabilisants = jours et heures fixes
*Souplesse et adaptabilité
*Éviter la rigidité

Answer 64

A

Thérapie « type » : divan – fauteuil
* Facilite la détente de l’analysant.
* Supprime l’influence que pourrait avoir sur lui la
perception des réactions de son analyste.
Objectif :
* Résolution des conflits psychiques, analyse,
significations inconscientes des pensées et
comportements du sujet.
* Bref, une connaissance de soi.

Answer 65

A

*La règle fondamentale : tout
dire en associant les idées
comme elles se présentent à
l’esprit (sans discrimination)
* « Tout peut être dit »
* « Toute séance manquée est
due »

Answer 66

A

La neutralité bienveillante (analyse
des réactions transféro-contre-
transférentielles)
La règle d’abstinence (absence de
gratification directe, de conseils, de
jugements, de suggestion, etc.)
Travail d’interprétation
Travail de supervision

Answer 67

A

Selon Freud, interpréter consiste à retrouver le sens des pensées
latentes à partir des pensées manifestes qui s’expriment dans la
thérapie.

Answer 68

A

Expression utilisée en psychanalyse pour désigner l’objet de la règle
fondamentale, laquelle consiste pour le patient à exprimer toutes les
pensées (idées ; images ; Einfall, dit Freud, « ce qui tombe » dans
l’esprit) sans discrimination aucune et de manière spontanée. L’école de
Zurich et Jung utilisèrent des « mots inducteurs » (images, idées,
nombres, etc.), qu’ils proposaient aux malades. Par une telle règle, on
tend à éliminer les choix volontaires des pensées (c’est-à-dire la
censure, dite seconde, entre le conscient et le préconscient) ; ainsi se
révèlent des défenses inconscientes, soumises à la première censure,
entre le préconscient et l’inconscient.
Méthode par laquelle le patient rend compte à l’analyste tout ce qui lui
vient à l’esprit.

Answer 69

A

Contenu manifeste
Contenu latent
Le « contenu manifeste » est « le produit du travail du rêve »; il est en corrélation avec le « contenu latent » qui est le produit « du travail inverse, celui de l’interprétation ».

Answer 70

A

La nature humaine est fondamentalement positive et
constructive
« Lorsque les structures psychiques de l’individu s’expriment
librement, (ce dernier) choisit (…) des actions saines,
fructueuses et bénéfiques pour lui et pour son
environnement »
* Un environnement sain permet à l’individu de tendre vers
l’affirmation de soi
* Un environnement malsain entraine le développement de
comportements destructeurs

Answer 71

A

Voir modèle

Answer 72

A

Les besoins D (déficience) : autoconservation
◦ Besoins fondamentaux communs à toute l’espèce humaine (faim, soif)
* Les besoins E (être) : recherche de bien être
◦ Besoin subjectif, différent d’un individu à l’autre (connaissance, vérité)

Answer 73

A

Les facteurs motivationnels sous-tendent la personnalité
Nous sommes ce que nous voulons être
La motivation nous permet de satisfaire nos besoins et
d’atteindre nos objectifs
Hiérarchie des besoins

Answer 74

A

Les besoins physiologiques, le besoin de sécurité, le besoin d’appartenance/sociaux, le besoin d’estime et le besoin d’accomplissement/autoactualisation

Answer 75

A

Ils ont une bonne perception de la réalité et d’eux-mêmes
Ils s’acceptent eux-mêmes et acceptent les autres personnes
Ils ont des pensées et des émotions spontanées, ils sont
naturels
Ils sont centrés sur des problèmes qui ne sont pas personnels
Ils sont indépendants et autonomes
Ils savent apprécier les évènements ordinaires
Ils vivent des expériences mystiques qui les poussent à se
sentir en harmonie avec la nature et à transcender le temps et
l’espace

Answer 76

A

◦ La théorie a donné lieu au développement de plusieurs instruments
◦ Elle a permis de comprendre le phénomène de la motivation surtout en
organisation
◦ Elle a aussi inspiré plusieurs autres chercheurs qui ont développé d’autres
théories de la motivation

Answer 77

A

◦ Les notions sont arbitraires
◦ Absence de preuve que l’homme est fondamentalement bon et peut
obtenir ce qu’il désire
◦ La notion d’autoactualisation a été développée en se basant sur un petit
échantillon
◦ Approche romantique et naïve selon certaines personnes

Answer 78

A

Basée sur l’expérience de thérapeute (Rogers)
Tient compte de la personne dans sa totalité
Tient compte de l’expérience subjective de l’individu
Analyse l’individu en se fondant sur la manière dont il se perçoit
lui-même et perçoit le monde qui l’entoure
Prête une grande attention au soi en tant que concept (concept
de soi) et aux expériences se rapportant au soi
Utilise l’empathie
Fait appel à l’intuition clinique et à la recherche objective

Answer 79

A

L’individu est fondamentalement bon
Chacun perçoit le monde d’une manière qui lui est propre
Ces perceptions = champ phénoménal de l’individu
(perceptions conscientes et inconscientes)

Answer 80

A

l’autoactualisation
le concept de soi
la congruence
le champ perceptuel
le regard positif (inconditionnel)

Answer 81

A

« tendance innée qu’ont les organismes
à développer toutes leurs capacités afin de maintenir et
d’améliorer leurs états » (Hansenne, 2003 p.136)

Answer 82

A

disposition naturelle, biologique
processus actif (attitude de toujours chercher
quelque chose, explorer, créer, modifier)
processus directionnel: pousse l’individu vers la
croissance, la reproduction et l’autorégulation
processus sélectif

Answer 83

A

Détermine comment les expériences sont
vécues et comment le monde est appréhendé
Soi actuel
Soi redouté
Soi idéal
Cohérence du soi et congruence

Answer 84

A

expérience, le concept de soi et le soi idéal sont trois
tendances proches l’une de l’autre

Answer 85

A

Met l’accent sur les perceptions, les sentiments,
l’observation de soi, l’autoactualisation et le processus de
changement
Aucun aspect de la personnalité n’est prédéterminé
La personnalité est en devenir
Tendance à l’actualisation est innée, mais est plus influencée
par les facteurs sociaux que biologiques
Peut changer au cours de la vie

Answer 86

A

Le regard positif (reconnaissance = estime de soi
positive)
Empathie (comprendre l’individu de son point de vue)
Bonnes relations interpersonnelles (congruence)

Answer 87

A

Tendance innée à l’actualisation
Considération positive inconditionnelle
Estime de soi
1. 1. 1. 1. Congruence entre le soi et l’expérience
        Authenticité, ouverture et santé psychologique
        Conscience de toutes les expériences
        Vivre pleinement ces expériences dans le moment même
        Faire confiance à notre propre comportement et expérience
        Avoir un sentiment de liberté dans la prise de décision
        Être créatif, flexible face au changement
        Reconnaître que des difficultés pourraient apparaître

Answer 88

A

Tendance innée à l’actualisation
1. 1. 1. Manque de considération positive inconditionnelle
      Faible estime de soi (écart entre le soi et le soi idéal –
      imposé (Higgins))
      Incongruence entre le soi et l’expérience
      Utilisation extrême des mécanismes de défense : déni et
      déformation
Anxiété, distorsion

Answer 89

A

Déni : la prise de conscience des sentiments menaçants se
trouve bloquée. Mécanisme de défense aussi utilisé dans la
psychanalyse
Déformation : mécanisme de défense qui consiste à
modifier l’expérience pour le rendre conforme au moi
Exemple de Rogers (1956): si la structure du soi d’un étudiant
comporte l’élément «je ne suis pas intelligent», et si cet étudiant
réussit brillamment ses examens, il déformera cette expérience en
disant «j’ai eu de la chance» ou «le professeur n’est pas malin»

Answer 90

A

Carl Rogers

Answer 91

A

une forme de thérapie humaniste
* Le thérapeute écoute les besoins du CLIENT dans un geste
d’acceptation et de non-jugement, aide à résoudre des
problèmes d’une façon productive et aide à la construction
de l’estime de soi.
Les thérapeutes humanistes visent à stimuler
l’épanouissement en aidant les personnes à grandir dans la
connaissance de soi et l’acceptation de soi.
Le thérapeute s’engage dans une écoute active, reformule et
clarifie la pensée du patient, tout en reconnaissant les
sentiments exprimés.
* Objectif : aider l’individu à se reconnecter avec son
processus d’évaluation organismique
* Les directions viennent du client et non du thérapeute
* Le thérapeute doit montrer :
◦ Authenticité
◦ Acceptation inconditionnelle ou considération positive inconditionnelle
◦ Empathie

Answer 92

A

Selon Saleebey (2005:293) l’approche centrée sur les
forces est née d’un changement de paradigme dans
les sciences sociales et de la santé.
* Prise de conscience des changements spontanés en
santé et dans les sciences sociales
* Découverte du phénomène de résilience

Answer 93

A

L’empowerment/ libération
L’aliénation/oppression

Answer 94

A

La qualité des niches que les personnes occupent détermine leur qualité de vie
et leur réussite.
2- Les personnes qui ont une vie satisfaisante ont des buts et des rêves.
3- Les personnes qui ont une vie satisfaisante utilisent leurs forces pour atteindre
leurs aspirations.
4- Les personnes qui ont une vie satisfaisante ont la confiance qu’ils sont en
mesure de prendre le prochain pas vers leur objectif.
5- La confiance en soi est interdépendante de l’activation des forces et de la
perception d’un but.
6- Les personnes qui ont une vie satisfaisante ont accès aux ressources qui leur
permettent d’atteindre leurs objectifs.
7- Les personnes qui ont des vies satisfaisantes ont des relations sociales
satisfaisantes avec au moins une personne significative.
8- Les personnes qui ont des vies satisfaisantes se font offrir des opportunités
qui sont en lien avec leurs objectifs.
9-Les personnes qui ont des vies satisfaisantes ont accès à des ressources et des
opportunités et ont des relations sociales satisfaisantes.

Answer 95

A

elle est très stigmatisante: les personnes qui s’y trouvent sont traitées comme des hors-caste;
elle permet peu de contacts avec les « autres » (ceux qui n’en sont pas prisonniers)
les personnes qui s’y trouvent sont définies par leur attributs (DES pauvres, DES fous, DES délinquants,
etc.)
elle n’encourage pas le dépassement de soi (devenir LE chef DES fous?)
elle n’encourage pas l’atteinte de buts (la capacité de se projeter dans le futur)
les liens entre les « membres » ne permettent pas de reconnaître et de corriger les perceptions et
interprétations erronées (peu de feedback)
elle offre peu de possibilités d’acquisition de compétences qui permettrait de se « sauver »
les ressources économiques sont rares.

Answer 96

A

Les humains sont fondamentalement mus par leurs désirs, leurs buts,
leurs ambitions, leurs espoirs et leurs rêves.
Les personnes qui vivent des difficultés en viennent à réduire leurs
aspirations au strict minimum (vivre une autre journée), elles ont perdu
leurs rêves. Il faut réactiver ces rêves qui vont les faire tendre vers une
meilleure qualité de vie.

Answer 97

A

Tous les humains ont des compétences : des habiletés, des attitudes, des
connaissances, des facultés et des talents.
Aucun humain n’exploite totalement son réservoir de compétences
mentales, physiques, émotionnelles, sociales et spirituelles.
Il faut tenter de maximiser le potentiel de chacune de ces compétences.

Answer 98

A

Souvent les personnes qui vivent avec un t.m. en viennent en situation
« d’impuissance acquise » (Peterson, Maier et Seligman, 1993) =
apathie.
L’intervention doit viser à rétablir leur confiance en eux-mêmes.

Answer 99

A

But X Compétence X Confiance = possibilités.
Si l’un ou l’autre des ingrédient = zéro, on ne peut pas avancer.
Le but de l’intervention est de faire naitre le but, de s’appuyer sur les
compétences et de favoriser la confiance pour que naissent les
possibilités.

Answer 100

A

Il faut des ressources pour atteindre les niches habilitantes (avoir du
transport, porter les vêtements appropriés)
Les ressources des niches habilitantes sont ces « choses » tangibles ou
ces services qui nous aident à atteindre nos objectifs.

Answer 101

A

Les niches habilitantes permettent d’établir des relations sociales
significatives avec des membres de la famille, des collègues, des
personnes qui ont les mêmes convictions spirituelles, etc.
Chaque communauté est composée d’une constellation d’individus
uniques. Nombreux d’entre eux, sont empathiques et sont désireuses
d’établir des relations avec des personnes qui vivent avec des t.m. ou
toute autre difficulté. Il faut voir « le bien » lorsqu’il se présente sous
nos yeux.

Answer 102

A

Il y a toujours des opportunités dans l’environnement: des emplois
vacants, des logements à louer, des équipes qui manquent de joueurs,
des communautés spirituelles qui cherchent des semblables…Une fois
ces opportunités saisies, elles conduisent à d’autres possibilités…

Answer 103

A

Ressources X opportunités X relations sociales = atteinte des objectifs
Les trois sont interdépendants. D’où l’importance de mettre l’accent sur
les niches habilitantes.

Answer 104

A

1- Sagesse et savoir
- Créativité (originalité, ingénuité);
- Curiosité (intérêt, à la recherche de l’inédit, ouverture aux
nouvelles expériences);
- Ouverture d’esprit (pensée critique, jugement);
- Aimer apprendre;
- Perspective (sagesse).
2- Courage
- Brave (valeureux);
- Persistant (persévérant, ingénieux);
- Intègre (authentique, honnête);
- Vitalité (zest, enthousiasme, énergie).
3- Humanité
- Amour;
- Gentillesse (générosité, compassion, altruisme, sympathie);
- Intelligence sociale (intelligence émotionnelle, intelligence).
4- Justice
- Implication citoyenne (responsabilité sociale, loyauté,
communautarisme);
- Équitable;
- Leadership.
5- Tempérance
- Sens du pardon et de la miséricorde;
- Humilité et modestie;
- Prudence;
- Autorégulation (contrôle de soi).
6- Transcendance
- Appréciation de la beauté et de l’excellence
(admiration, émerveillement);
- Gratitude;
- Espoir (optimisme, espérance);
- Humour (sens du jeu, du plaisir);
- Spiritualité (croyance, sens à sa vie).

Answer 105

A

Il faut d’abord faire le bilan des forces de la personne;
Il faut aussi connaitre ses objectifs de vie;
Il faut ensuite organiser les interventions pour favoriser
l’atteinte de ces objectifs.
La question qui guide l’intervention est : « Qu’est-ce que je
peux apprendre de toi? » plutôt que « Voici que tu dois
penser/apprendre/ou travailler ».

Answer 106

A

A. Les principes fondamentaux
B. La démarche comportementale
C. Les techniques comportementales

Answer 107

A

Premier principe
* Les comportements jouent un rôle essentiel dans
l’apparition, le maintien et l’accentuation de la
psychopathologie ou de la maladie mentale
* Par exemple : dans la dépression majeure, l’apathie et le
retrait social sont les conséquences de la dépression, mais
ils peuvent contribuer à la maintenir et à l’accentuer

Deuxième principe
* La théorie de l’apprentissage occupe une place
primordiale dans la compréhension et le traitement de la
maladie mentale
* Les habitudes comportementales ne sont pas immuables
et les comportements, tant fonctionnels que
dysfonctionnels, peuvent être appris et désappris à l’aide
de moyens appropriés
* Par exemple : la peur des serpents est apprise.

Troisième principe
* Une évaluation rigoureuse est indispensable en début d’intervention
* Une analyse qui consiste à situer la problématique en fonction des aspects suivants:
◦ Le comportement
◦ Les facteurs précipitants et modulateurs
◦ Les facteurs de maintien
◦ Les conséquences
◦ L’évitement
◦ Les ressources

Quatrième principe : l’efficacité de l’intervention est
systématiquement évaluée pendant toute la durée
o Observation de la modification positive des comportements
dysfonctionnels

*Cinquième principe : la méthode est scientifique puisque
l’efficacité des différentes formes d’intervention est prouvée
au moyen de recherches rigoureuse

Sixième principe : l’intervenant d’orientation
comportementale est actif et directif, et l’intervention
structurée

Answer 108

A

L’évaluation précise des comportements à modifier
La mise en place d’objectifs clairs, précis, réalistes et bien
délimités
Le choix des moyens les plus efficaces pour atteindre les
objectifs fixés
La mise en œuvre graduelle des moyens , ou passage à
l’acte
La réévaluation constante des résultats tout le long du
traitement

Answer 109

A

Le conditionnement classique (ou répondant)
Le conditionnement opérant
L’apprentissage par observation

Answer 110

A

Si un stimulus neutre est présenté en même temps qu’un stimulus inconditionnel, quand on retire le stimulus inconditionnel, la réponse inconditionnelle restera après le stimulus neutre.

Answer 111

A

Extinction et récupération spontanée, généralisation et discrimination

Answer 112

A

Précurseurs : Watson et le petit Albert
Mary Cover Jones (étudiante et collègue de
Watson) et le traitement de Peter.
Relations interpersonnelle (attirance sexuelle à l’haleine d’oignon), peur (tonnerre), (intervention psychosociale); domaine médical et drogue (nausées), traitement énurésie (pipi au lit)

Answer 113

A

SI (Stimulus inconditionnel) : La caresse du visiteur
RI (Réponse inconditionnelle) : Le chien remue la queue et devient excité
SN (Stimulus neutre) : Le son de la sonnette (au début)
SC (Stimulus conditionnel) : Le son de la sonnette (après l’association)
RC (Réponse conditionnelle) : Le chien remue la queue et devient excité en entendant la sonnette

Answer 114

A

SI : La rupture amoureuse
RI : La tristesse ressentie
SN : La chanson (avant l’association)
SC : La chanson (après l’association)
RC : La tristesse ressentie en entendant la chanson

Answer 115

A

SI : La caféine consommée
RI : L’éveil et la stimulation
SN : L’odeur du café (avant l’association)
SC : L’odeur du café (après l’association)
RC : L’éveil et la stimulation en sentant l’odeur du café

Answer 116

A

Désensibilisation systématique
Immersion
L’exposition graduée in vivo ou exposition
systématique
L’exposition aux sensations physiques
Exposition graduée in vivo combinée à la
prévention de la réponse

Answer 117

A

le chien va saliver au son de la cloche tout comme au son du téléphone

Answer 118

A

le chien salivera uniquement au son de la cloche utilisée dans l’expérimentation

Answer 119

A

L’approche de Wolpe
* « Technique thérapeutique comportementaliste visant à
diminuer les peurs excessives et implicant l’appariement
de l’exposition progressive au stimulus à une expérience
positive, habituellement, la relaxation. » (Barlow et
Durand, 2007, p.992)
* Traitement semblable à celui du petit Peter soigné par
Mary Cover Jones

Démarche
1. Apprentissage de méthodes de relaxation (relaxation
progressive ou autre)
2. 3. Construction d’une hiérarchie de situations anxiogènes
Exposition graduelle aux situations anxiogènes en
imagination, pairée à la réponse de relaxation
4. Exposition in vivo
Application de l’approche
1. Le traitement de l’anxiété liée aux peurs ou aux
phobies
2. Le traitement de l’anxiété sociale
3. Le traitement de l’anxiété liée aux dysfonctions
sexuelles

Exemple d’application de cette approche
* Le jeune homme qui avait la phobie des chiens
◦ Relaxation en imaginant qu’il apercevait le chien
dans le parc
◦ Imaginer être plus près du chien
◦ Imaginer caresser le chien

Answer 120

A

Définition : le fait de plonger le sujet dans la situation
anxiogène. Le sujet y reste jusqu’à l’extinction de
l’anxiété ou à l’habituation (Stampl, 1961).
* Par exemple : un étudiant qui a une anxiété sociale.
o Quelle peut être la stratégie selon vous?

Answer 121

A

Méthode thérapeutique comportementale
consistant à réduire une peur excessive en exposant
progressivement le sujet à sa cause (le stimulus)
jusqu’à la disparition de la peur (Barlow et Durand,
2007: p.994)

Procédure
◦ Hiérarchie des situations phobogènes
◦ Du plus facile au plus difficile
◦ Expositions prolongées, repétées et rapprochées
◦ Continuer l’exposition jusqu’à un minimum de 50% de
réduction
◦ Étape suivante si la précédente est maitrisée

Answer 122

A

On expose le patient aux sensations qu’il craint
Le but est de dédramatiser ces sensations
Indiqué pour les patients qui souffrent
d’attaques de panique
Exemples de sensations physiques
◦ Étouffement
◦ Étourdissement
◦ Tremblements et raideurs musculaires

Answer 123

A

Définition : exposer le sujet graduellement à ses
peurs et le pousser à supprimer les compulsions
qui en découlent
Utilisée dans les TOC

Answer 124

A

Le conditionnement opérant (ou apprentissage instrumental)
est une modification de la probabilité de réapparition d’une
réponse, modification entraînée par l’apparition ou le retrait
d’un événement particulier, le renforçateur, de façon
contingente à la réponse.
Le comportement est non seulement déterminé par
l’association entre le stimulus et un comportement, mais
également par les effets de ce comportement.

Answer 125

A

Skinner pense qu’il faut uniquement se fier à ce que nos sens
nous permettent de voir
Par exemple : les actions concrètes, la fréquence de ces actions, présence ou absence de tel stimulus, etc.
La boite noire = ce que l’individu ressent
Les causes innées, les besoins, les émotions, les conflits
intérieurs = « fictions »
La notion de personnalité = « fiction »
L’essence de la personnalité = expériences accumulées par l’individu et facteurs génétiques
Études sur la personnalité = pas utile
Skinner l’exclut pas l’existence de événements mentaux, mais ne pense pas qu’ils peuvent être étudier, et même qu’il est pas nécessaire de les étudier.

Answer 126

A

La recherche de Skinner a été faite principalement
sur des animaux dans une boite. Cette boite, sous
forme d’appareil, permettait de renforcer les
comportements des animaux.
Par exemple : recevoir une pastille de nourriture
lorsque l’animal presse le levier seulement si une
lumière est allumée

Answer 127

A

Contingence : le sujet doit être capable de faire
un lien entre la récompense (ou la punition) et le
comportement
◦ Exemple : les pleurs de l’enfant et l’éloignement de la
mère
Contiguité : la récompense (ou la punition) et le
comportement doivent se succéder dans un laps
de temps très court

Answer 128

A

Le renforcement est le processus de
consolidation d’un comportement
On peut distinguer le renforcement positif et
négatif; le renforcement primaire et secondaire
Quatre agents renforçateurs : l’attention,
l’affection, la soumission d’autrui et le jeton

Answer 129

A

Renforcement continu :
◦ Le comportement est renforcé chaque fois qu’il se produit
◦ Exemple : pigeon qui reçoit de la nourriture lorsqu’il picore un disque
Renforcement intermittent :
◦ Renforcement du comportement à intervalle fixe (après chaque
minute)
◦ Renforcement du comportement à intervalle variable (moyenne plutôt
qu’un chiffre)
◦ Renforcement du comportement à rapport (proportion) fixe (après 10
réussites; dans les usines de production)
◦ Renforcement du comportement à rapport (proportion) variable
(après chaque 3, 7, 15 réponses; les machines à sous).
Fixe, variable / proportion, intervalle. Voir tableau.

Answer 130

A

Renforcement
continu :
Force : Apprentissage
rapide
Faiblesse : Extinction rapide
(dès qu’il y a arrêt
de renforcement)
Renforcement partiel ou
intermittent :
Force : Extinction lente (même s’il y
a arrêt de renforcement)
Faiblesse : Apprentissage lent, mais persistant

Answer 131

A

Procédé pour réduire la probabilité d’apparition
d’un comportement opérant en le faisant suivre
d’une conséquence négative, laquelle peut être
l’ajout d’une conséquence désagréable ou le retrait
d’un élément agréable
◦ Punition positive = ajout de conséquence désagréable
◦ Punition négative = retrait d’éléments agréables
Punition = procédé défectueux (l’enfant a appris à éviter la punition)

Answer 132

A

Le comportement est inhibé
La peur
L’agression

Answer 133

A

On utilise cette technique lorsque le comportement que
l’on veut renforcer n’est pas manifesté par l’animal ou
l’individu
C’est la méthode qui consiste à récompenser un effort
aussi minime soit-il qui va dans la direction désirée.
Graduellement, on arrête de récompenser les
comportements les plus éloignés du comportement
souhaité
o Exemples : (1) apprendre à un pigeon à jouer au tennis ou (2) la
méthode Suzuki (apprendre à jouer du violon)

Answer 134

A

L’instruction programmée
Les systèmes de jetons
Le comportement superstitieux

Pour renforcer les comportements désirés et supprimer
ceux indésirables :
1. Énoncez votre but (augmenter d’une heure par jour le
temps de travail; annoncer votre but à vos amis)
2. Notez à quelle fréquence vous pratiquez le
comportement que vous souhaitez promouvoir
3. Renforcez le comportement désiré
4. Réduisez progressivement les encouragements

Answer 135

A

Différence entre apprentissage social ou par observation
et le conditionnement
1. Bandura pense que l’apprentissage ne se fait pas
seulement suite à l’expérimentation des
conséquences de son action (association)
2. On peut aussi apprendre par observation

Answer 136

A

Généralement l’apprentissage par observation, ou
l’apprentissage vicariant, suit des étapes :
1. Observation
2. Anticipation
3. Mémorisation
4. Imitation
5. Renforcement externe

Answer 137

A

Lorsque le singe A, à gauche, voit le singe B toucher quatre
images sur un écran dans un certain ordre pour obtenir une
banane, le singe A apprend à imiter cet ordre même lorsqu’on
lui présente une configuration différente

Answer 138

A

Les enfants qui subissent souvent des punitions
physiques ont tendance à être plus agressifs

Answer 139

A

Ce garçon de 14 mois, dans le
laboratoire d’Andew Meltzoff,
imite un comportement qu’il a vu
à la télévision.
Sur la photographie du haut,
l’enfant se penche vers l’avant et
regarde attentivement l’adulte
séparer les deux parties d’un
jouet.
Sur la photographie du milieu, il a
reçu le jouet, et sur celle du bas, il
sépare le jouet en deux, imitant ce
qu’il a vu faire par l’adulte.

Answer 140

A

La fameuse expérience de la poupée Bobo
Les actions de l’enfant imitent directement celles de l’adulte

Answer 141

A

Applications de l’apprentissage par observation
Les études de Bandura
montrent que les
comportements des
modèles dans
l’environnement (école,
famille et à la télévision)
ont des effets (bons ou
mauvais) sur les enfants.

Answer 142

A

Les modèles prosociaux (positifs, serviables, utiles)
ont des effets prosociaux.

Answer 143

A

Gentile et al. (2004) ont
montré que les enfants à
l’élémentaire (école
primaire) qui sont
exposés aux contenus
violents de la télévision,
des vidéos et des jeux
présentent un taux élévé
d’agression.