Examen 1 Flashcards

1
Q

Par qui et pourquoi Robert Flaherty est-il envoyé dans la baie d’Hudson?

A

Par une compagnie minière et pour y faire un relevé cartographique

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2
Q

En quelle année Flaherty retourne à la baie d’Hudson et pourquoi?

A

En 1919 et pour finir son film nanook

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3
Q

Quelles sont les particularités de la caméra qu’emporte Flaherty?

A

-Elle est plus légère que les autres caméras de l’époque, car elle est en aluminium, très facile de chargement, (cassette avec boucle préformée), va sur un pied gyroscopique peu fréquent (facilité de mouvement de la cam), facilité de changement des focales.

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4
Q

En quoi Flaherty invente de nouvelle façon de filmer la réalité ?

A

-Il organise le film en séquences distinctes, introduit des gros plans pour créer un héros, met en scène la situation avec des personnages réels, utilise des mouvements de caméra dramatisant l’action

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5
Q

Qui était John Grierson et que pensait-il du cinéma ?

A

-Écossais, d’abord étudiant en droit social et politique à Chicago
-Un des premiers à penser que le cinéma n’était pas qu’un moyen de divertissement, mais aussi d’éducation

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6
Q

Que se passe t-il à la même époque (fin des années 1920)en URSS ?

A

-Lénine nationalise les salles et les appareils de cinéma et fait construire des trains avec des salles de projections qui sillonnent l’URSS

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7
Q

Quelle était la profession de Dziga Vertov?

A

Monteur

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8
Q

Qu’est-ce que le «Kino-Pravda» ? Qu’y développe Vertov ?

A

-Un journal filmé : il y met au point la théorie du «cinéma à l’improviste» : il faut abolir les scènes reconstituées, filmer la réalité telle qu’elle se présente.

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9
Q

Comment Vertov révolutionne t-il le documentaire ?

A

-Par le montage : créer une dramaturgie qui provoque l’émotion et la réflexion du spectateur

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10
Q

En quoi consiste l’homme à la caméra (1929) ? Quelle(s) est ses particularités ?

A

-Elle raconte la journée d’une ville. Le montage est d’avant-garde et Vertov y utilise toutes les techniques de tournages connues à l’époque (superposition de l’image, accéléré, ralenti)

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11
Q

Quel est le sujet du film de Grierson, The Drifters? Quelles sont ses influences et spécificités?

A

-Des pêcheurs de harengs en mer d’Ecosse
- Travail méticuleux de documentaire comme chez Flaherty, travail méticuleux au niveau du montage comme chez Vertov

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12
Q

En quelle année Gierson est-il envoyé au Canada et pour qu’elle raison?

A

-En 1939, pour y fonder l’Office National du Film

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13
Q

Les années 1930 marquent un tournant dans l’histoire du documentaire : quel est-il? Précisez le film et les réalisateurs cités

A

Les cinéastes du documentaire quittent le cinéma éducatif pour un cinéma engagé : ils s’engagent auprès des laissés-pour-compte d’une société en crise
Film cité : Misère au borinage d’Henri Stork et Joris Ivens (1934)

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14
Q

Dans quel contexte le cinéma de propagande se développe-t-il ?

A

Montée des nationalismes, puis Seconde guerre mondiale

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15
Q

Sur quoi portait le film documentaire réalisé en 1936 par Leni Riefenstahl?

A

Sur les JO de Berlin, commandé par Hitler

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16
Q

Qui est Georges Stevens ? Qu’a-t-il fait de particulier ?

A

Réalisateur de comédies hollywoodiennes devenu lieutenant-colonel, débarque en 1944 et filme les troupes US jusqu’à Berlin. Il filme pour la première fois avec des pellicules Kodacolor en dehors des studios : la libération sera filmée en couleurs. Il est également le premier cinéaste américain à rentrer dans les camps nazis : des images serviront de pièces à conviction au procès de Nuremberg (20 nov 1945-1 oct 1946)

17
Q

Idéologie

A

Une pensée qui est exposé qui assume sa subjectivité

18
Q

Propagande

A

Essait de convaincre, vision qui se dit objective

19
Q

Une morale

A

Valeurs traditionnelles imposé

20
Q

Une éthique

A

Ni mauvaise ni bonne, fait réfléchir

21
Q

Différence entre film ethnographique et film documentaire

A

Documentaire demande plus de recherche

22
Q

Cinéma direct

A

Influence le moins possible ce qui est filmé. La caméra se veut invisible
Mimétisme : la caméra est une extension du corps du cinéaste

23
Q

Cinéma vérité

A

Rapport authentique à la réalité
Attiré par l’âme des individu, fasciné par les rapports entre les personnes, un moyen d’interrogation, de communication, il cherche le dialogue
Implication des cinéaste et des protagonistes

24
Q

Vérité psychanalytique

A

Ciné ma vérité S’intéresse au psyché voix off interview

25
Jean Rouch
1917-2004 -figure importante dans l’histoire du documentaire et de l’ethnologie/anthropologie visuelle -À réalisé 3 sortes/registres de films : Film ethnographiques, documentaires expérimentaux du genre cinéma-verite, films explorant les frontières entre ethnologie et fiction (ethno-cinema/ethno-fiction -associé au cinéma direct, cinéma vérité et cinéma collaboratif ou participatif
26
Film réalisé par Jean Rouch
Les maitres-fous (1954) Chroniques d’un été (1961) Moi, un noir (1958)
27
Les maîtres-fous
Jean Rouch 1954 Film ethnographie sur la secte des Haouka d’Accra incarne en trans des figures de colonisation Film perçu raciste et anti-colonial Thème de possession, migration et aliénation Reflet de notre société
28
Coal face
De Alberto Cavalcanti vie d’une communauté minière du Yorkshireet conditions de travail dangereuse Musique (champ choral = solidarité) Voix off
29
Moi, un Noir
Jean Rouch Étudier les effet de la colonisation sur la jeunesse nigérienne, en quête de repères et de bonheur. Diction s’empare du réel Reconquête du colonisé par le discours
30
La pyramide humaine
Jean Rouch, 1961 Lycée français d’abidjan (Côte d’Ivoire), 1959, l’arrivée d’une nouvelle élève, Nadine est le point de départ d’une analyse des relations interraciales. Les élèves interprètent leur propre personnage dans une fiction
31
Chronique d’un été
Jean Rouch 1961 Ce n’est pas un film documentaire, cette recherche ne vise pas à décrire. Souhaite expérience cinématographique mise en scène La recherche du nouveau cinéma-verite et du même coup celle d’un cinéma de la fraternité Accéder à quelque chose de vrai, d’authentique Interroge les passant de Paris
32
Housing problems
1935 Interviews innovateur car donne la parole à la classe ouvrière qui se voit inférieur et qui est moins écouté
33
Nuit et brouillard
Alain Resnais Camp de concentration Neutralité absolue -pas imposer des émotions du personnages au spectateur. L’image parle en elle même -films archives en noir et blanc et images tournée par Resnais
34
Sociodrame
Dimension romanesque (fonctionnel), mais proche de la réalité
35
Les statues meurent aussi
1953 Alain Resnais et Chris Marker Film de commande de la revue Présence africaine. Dénonce le manque de considération pour l’art africain dans un contexte de colonisation et relèvent le racisme manifeste derrière ces choix
36
Lettre de Sibérie
1958 Chris Marker Série d’essais en forme d’exercices de style. Une sorte de reportage sur la Sibérie d’un voyageur curieux du mode de vie des Sibériens faisant partie de l’URSS -y montre la polysémie de l’image (multiple sens) -films qui se vide à troubler, à questionner plus qu’à rassurer avec des certitudes réconfortantes
37
Le joli mai
1963 Chris Marker Son film considère le plus proche du cinéma direct
38
Getino
Contexte social + politique tendu (1960-70) régimes militaires repressif Texte Proposer un cinéma en opposition au cinéma hollywoodien (premier cinéma) et au cinéma européen traditionnel (deuxième cinéma) cinéma de résistance et d’émancipation (troisième cinéma )
39
La hora de los hornos
-film-essai documentaire -reflète les luttes de l’Amérique latine -propose un regard critique sur les inégalités sociales, le pouvoir et la corruption, mise en avant des réalités sociales sous le joug des régimes militaires et des dictatures -brise les conventions du cinéma traditionnel -approche militante et engagé -3 segments : néocolonialisme/acte pour la libération/violence et libération -film comme outil de mobilisation de provocation et éducation pour la population -montage abrupt, discontinu, effet de collage, de fragmentation et de brutalité ; ps de transition fluide -utilisation d’archive réelles événement politique manifestations scènes de violence Pas de narration linéaire Voix off omniprésente commentant les images ton didactique et autoritaire