examen 1 Flashcards

1
Q

définition de la psychologie de la personnalité

A

La psychologie de la personnalité concerne la dynamique du fonctionnement intra-individuel ainsi que la cohérence et l’unité thématique des vies particulières des individus

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2
Q

les caractéristiques de la personnalité

A

1- Habituelles
2- Distinctives
3- Organisé en système

On s’attend que les caractéristiques d’une personne aillent être habituelles, stable et constant dans le temps
- Ça prend des éléments stables pour la personnalité
- Il faut essayer de faire des efforts pour voir ce qui distinguent une personnalité d’une autre
- Si tout le monde veut être tout on n’a plus de personnalité
- C’est un système organisé. Le système répond à l’émotion

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3
Q

Déconstruire la personnalité

A

1- Structure (trait et type)
Les traits de personnalités sont les parties stables
- Un schéma qui est stable à travers le temps
- Type : ensemble de traits ex : personnalité borderline
Structure : ce qui est stable

2- Processus: aspects plus dynamiques de la personnalité, ce qui change et s’adapte à l’environnement

3- Croissance et développement
comment ça se développe, ce qui nous conduit à être la personne que nous sommes aujourd’hui
Ex : attachement
Situation d’environnement

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4
Q

Les influences de la personnalité

A

1- La culture
2- Les facteurs personnels (interne, externe, ainé et acquis)
3- Zeitgeist

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5
Q

Pourquoi étudier la personnalité

A

En psychologie organisationnelle: Comprendre les dynamiques entre membre de l’organisation par exemple
En psychologie scolaire
En psychologie clinique
Mieux comprendre des enjeux relationnels
En évaluation médico-légale et en criminologie : le fameux profiling qui fait de bons films, mais aussi comprendre la criminalité
En marketing: à qui veut-on vendre ?
En politique: : le scandale Campbridge analytica par exemple.
En counseling
En milieu de travail : comprendre pourquoi certaines personnes fonctionnent mieux dans certains milieux, ou réusissent mieux.
Tenter de prédire de façon générale.

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6
Q

La théorie du positivisme

A

de la philosophie de la science
- On assume qu’il a une réalité qui peut être mesurable
- Ex : renforcer un comportement
- Aussi pour concept abstrait comme la dépression et l’estime de soi-même, on a capable de voir en appliquant un traitement qu’une personne est dépressive, donc c’est mesurable
- Permet de créer des catégories
- Quantitatif
- Ex : behaviorisme, approche des traits
- Ce que je décris je peux le rendre objectif

Les faits de la vie de tous les jours sont toujours explicables par la science sous forme d’expérience et d’observation

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7
Q

Théorie du constructivisme

A
  • Subjectif et dépend du contexte
  • Ne peut pas saisir ni mesurer
  • L’individu est moins saisissable dans des petites boîtes
  • Qualitatif
  • Ex : humanisme
    onnemental

héorie de l’apprentissage fondée sur l’idée que la connaissance est élaborée par l’apprenant sur la base d’une activité mentale.

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8
Q

Nomothétique

A

Est-ce que théorie est généralisable ?
- Plus on a l’impression qu’on peut l’appliquer
- La psychanalyse va affirmer que notre système énergétique est pareil dans tout le monde
- Les questions posées par les psychologues ne peuvent pas s’appliquer juste à certains individu
- Est-ce que elle peut être mesuré de la même manière chez homme ou femme ou personne non-binaire ?

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9
Q

Idiographique

A

ma théorie ce doit d’être contextualisé
- Ex : valide juste en Amérique du Nord ?

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10
Q

Qu’est-ce qu’un construit?

A

Le construit est un concept abstrait utilisé pour expliquer un phénomène. Le construit lui-même n’est pas mesurable, il doit être traduit et opérationnalisé. Par exemple :

On assure qu’il est un certain consensus dans la façon de déterminer
- Estime de soi
- Extraversion : c’est une idée
- Il n’est pas mesurable de base, mais il faut le transformer en ce qui est mesurable
- Ex : définir ce qu’est l’extraversion

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11
Q

Fidelité

A

ce qu’on mesure est-il stable ?
- Si le test est bien construit on estime que c’est quelque chose qu’on ne devrait pas changer dans le temps
- Ex : le QI
- le résultat va t-il être pareille après 20 ans

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12
Q

Validité

A
  • Est-ce que je mesure bien le bon concept
  • Est-ce que ma façon de mesurer la personnalité est bien mesuré
  • Est-ce que manière de mesurer représente bien ?
  • Tester lorsque la mesure ne s’avère pas à être valide, pour voir si c’est valide
  • Si elle capte vraiment la qualité psychologique qu’elle est censé mesurer
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13
Q

Données bibliographiques

A

tous ce qui a rapport à la vie de la personne assez stable
- Extrait de document existant
- Ex : un dossier criminel/médicaux

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14
Q

Observation

A

j’observe de l’extérieur quelqu’un
- Fournis par des observateurs informés comme des parents
- Utile quand la personne n’est pas en mesure de se décrire elles-mêmes
- Peut-être mieux que des auto-évaluations

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15
Q

Résultats d’épreuves

A

implicite et explicite
- Construit quelque chose comme un test pour essayer d’évaluer la personnalité
- Soumettre des individus à des méthodes expérimentales, pour observer sa capacité à effectuer des tâches

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16
Q

autodescription

A

comment moi je me vois et décrit ?
- Personne gentille, sérieuse ?
- Psychanalyse non, car selon eu on n’a jamais accès au vrai nous
- Renseignement que l’individu donne sur lui-même
- Outil le plus utilisé est le questionnaire
- Parfois peut être biaisé, car certains n’ont pas conscience de certains traits
- Simple

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17
Q

Mesures implicite

A

Réactions non verbales
Temps de réponse
Réactions émotionnelles
Réalisation de tâche (comme le test des guimauves)
Etc.

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18
Q

Mesures explicites

A

Autodescription de soi
Répondre à des questions direct sur soi
Etc.

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19
Q

étude de cas

A

prendre un individu et l’approfondir
- idiographique
permet d’avoir des aspects très important de la vie d’un individu, qu’on n’aurait pas dans un questionnaire
- Étudier des phénomènes en toutes complexité
- La manière dont une personne agit ne reflète pas nécessairement sur comment sa communauté agis

Exemple : le cas de Anna O ou du petit Hans.

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20
Q

études corrélationnelles

A

: on essaie de comparer les variables. A quel point la variable X est affecté par la variable Y
- Désir de connaître les interactions qu’elles ont. Les unes envers les autres
- Lien entre 2 données
- Rend possible des études avec un grand nombre de personne
- Vague
- Élimine biais

Exemple : le modèle des 5 Grands facteurs

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21
Q

études expérimentales ou semi

A
  • On contrôle ce qu’on essaie d’étudier
  • Protocole expérimentale de manière aléatoire
  • Efficace pour faire des liens causals
    Exemple : peut-on induire une bonne estime de soi par le feed-back et est-ceque ça influe sur les performances ?
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22
Q

Déterminisme

A

à quel point. Qui je suis est influencé par des facteurs auxquelles je n’ai aucun contrôle
- Crois que qui nous sommes est déterminé dans les premiers mois de nos vies

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23
Q

Comment est-ce que la psychanalyse explique les traits de personnalité

A

Le cœur de la structure de la personnalité : l’iceberg
Conscient : pointe de l’iceberg
Préconscient : peut devenir accessible avec un peu d’effort , on peut en être conscient si on paye attention
L’inconscient : la partie de l’iceberg qu’on ne peut pas voir
- Pulsion sexuelle et d’impulsivité
- Ne sont pas consciente, car elles sont des sources d’angoisse
- Pas socialement acceptable qu’en être conscient est une source d’angoisse , notre besoin de se protéger
C’est trois structures et le ça, moi et surmoi font la personnalité de l’homme
Pour lui tout est impression de l’inconscient

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24
Q

Lapsus

A

on se trompe, car inconscient essaie de ce manifester

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25
Q

Nos rêves selon Freud

A

le contenu latent exprime nos désirs pulsionnels inconscient

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26
Q

Contenu manifeste

A

l’accomplissement des désirs

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27
Q

les pulsions de vies

A

Les pulsions de vies : lié à a la sexualité
- Développé théorie en fonction de zone érogène , la libido
Libido : pulsions sexuelle et de vie , l’énergie à l’origine : conservation et reproduction de l’organisme

pulsion du moi et pulsion sexuelle, vise la conservation et la reproduction de l’organisme. le libido est à son origine

  • Elles sont toujours transformées pour être socialement acceptable , réfréner tendances biologiques , réprimer la vie sexuelle
  • Psychopathologie : émerge quand le ça et le surmoi n’arrive pas de trouver le compromis
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28
Q

pulsions de mort

A

vise la mort et le retour à un état avec une absence complète d’excitation interne et externe
- Naturellement on veut retourner à cet état antérieur libre de toute excitation
- Suicide= pulsion de mort
- Peuvent dévier à des gestes agressifs

  • Elles sont toujours transformées pour être socialement acceptable , réfréner tendances biologiques , réprimer la vie sexuelle
  • Psychopathologie : émerge quand le ça et le surmoi n’arrive pas de trouver le compromis
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29
Q

structure sur le modèle énergétique de la psychanalyse

A

conscient : Ce que nous savons de nos processus psychiques. Ce dont nous sommes conscient.e.s.

préconscient: Processus psychiques qui ne sont généralement pas conscients, mais qui peuvent être accessibles avec du travail.

inconscient (ça) : Partie de notre psyché que nous ignorons et qui n’est jamais directement accessible. On peut l’interpréter via des indices, mais on n’y a jamais accès.

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30
Q

Le ça

A

veut libéré les tensions et l’excitation, ils est pulsions veut agir vite , obéit au principe du plaisir , évitement du déplaisir et de la douleur , soumis à aucune norme et aucune règle ,libération immédiate . Il est inconnu et inconscient, cherche plaisir

31
Q

Le moi

A

cohérent, stable, donne à l’individu le sentiment d’être un tout : incompatibles avec deux niveaux de conscience. Réalité. Satisfaire le ça, mais suivant la réalité et les exigences du surmoi. Pensé rationnelle. Ses actions sont dirigé par le ça, le surmoi et le monde réel

32
Q

Le surmoi

A

fixe norme et standards moraux qui nous régissent, culpabilité lorsqu’on enfreigne les normes. Intériorise les règles morales imposé par la société , contrôle nos comportement conformément à ses règles ex : punition et récompense . Cherche perfection

33
Q

Les pulsions peuvent être…

A

Non exprimées

Transformées pour être socialement acceptables : par exemple l’instinct sexuel devient de l’affection et l’instinct de mort devient du sarcasme.

Déplacé vers autre chose : exemple l’amour de la mère devient une relation amoureuse, et la pulsion de mort mène à une carrière dans le sport.

Psychopathologie : l’anxiété se manifesterait lorsque le conflit entre les dynamiques ne trouvent pas de compromis via le MOI

34
Q

Le déni

A

dans les pensées conscientes niés l’existence d’un évènement traumatique ou pas socialement acceptable, refuse de reconnaitre la réalité

35
Q

la projection

A

ce qui est interne et inacceptable est projeté à l’extérieur, attribuer aux autres ses propres pulsions inacceptable
- Projeter aux autres une de nos qualités qu’on ne désire pas

36
Q

formation réactionnelle

A

lutte contre-manifestation d’une impulsion inacceptable et on exprime que ce qui représente la parfait contraire
ex: pas aimer quelqu’un, mais agir comme oui

37
Q

compensation

A

remplacer un manque ou une frustration par autres choses
ex: manger quand on s’ennuie

38
Q

déplacement

A

transférer des émotions, des pensées ou des comportements vers des personnes ou des objects moins menaçante
ex: se faire crier dessus au travail par son et le ramener à la maison à sa femme

39
Q

interjection

A

adopter comportement ou attitude d’une autre personne
ex: copier idole

40
Q

rationalisation

A

justifier son comportement de façon logiques et acceptables
ex: tricher parce que tout le monde le fait

41
Q

refoulement

A

mettre pensées et émotions inacceptables dans l’inconscient
ex: vétéran de guerre

42
Q

régression

A

retourner à stade antérieur de développement
ex: sucer son pouce

43
Q

sublimation

A

transformer fonctions inacceptables en activité créative
ex: être violent, mais devenir champion de karaté après

44
Q

Le stade oral (0-18 mois)

A

le plaisir de tous ce qui vient avec la bouche, exigence, centré sur elle-même

égocentriques, ne s’intéresse qu’à eu, cherche une gratification
- J’obtiens
- découverte de la parole

Personne exigeante, centrée sur elle-même, jalouse et impatiente. Tendances narcissiques

45
Q

Le stade anal (18 mois-3 ans)

A

le plaisir d’aller aux toilettes
- Homosexualité : mal gérer analité

gratifications de pulsions anal , désir de régner, propreté
- Collectionner les choses = liens entre retenir si importante et puissante fèces
- Dominer
- Je contrôle
la propreté, les traits obsessionnels

Rigide, cherche le contrôle et le pouvoir, cherche la possession et le plaisir, centré sur des règles («Il faut…»), anxiété sur la tension entre rébellion et soumission

46
Q

stade phallique (3 ans à 7-8 ans)

A

complexe d’œdipe, l’idée qu’on commence à développer notre plaisir au niveau génital, personnalité histrionique
-affirmer sa masculinité , peur de castration

Filles – Naïve, séductrice, exhibitionniste
Garçon – Exhibitionniste, compétitif, cherche le succès, mac

47
Q

Stade de latence (7-8 ans à la puberté)

A

Période du développement de l’enfant pendant laquelle les pulsions paraissent ne plus se manifester

Cette phase est définie par Freud comme un arrêt, ou une régression, dans l’évolution de la sexualité infantile, qui va du déclin du complexe d’Œdipe (5-6 ans) au début de la puberté.

48
Q

stade génitale (puberté à l’âge adulte )

A

supérieure, invalide le plaisir féminin

l y a intensification des pulsions sexuelles, le plaisir est lié directement à la zone génitale. L’identité sexuelle et l’attirance pour le partenaire de sexe opposé se mettent en place.

49
Q

L’analogie du cristal

A
  • La santé mentale étant un spectre
  • Forme du cristal unique à chaque personne
  • Nos troubles en fonction de nos lignes de cassure
  • Ligne prédéterminée sont la personnalité
  • Quand il est bien c’est notre personnalité et quand il se brise ses notre problème de santé mentale
50
Q

mémoire épisodique

A

ce qu’on se souvient de notre histoire personnelle
- Freud croit qu’on refoule nos souvenirs, a quelle point somme nous cette mémoire et ce qu’on se rappelle cette mémoire
- Question des fausses mémoires, y’a des gens qui pense avoir vécu pleins de trauma, mais finalement non
- On s’en souvient approximent, mais ce n’est pas très fiable

La psychanalyse pose donc une question importante – à quel point sommes-nous déterminé.e.s par nos expériences de l’enfance ?

51
Q

Alfred adler

A

motivation et pensées consciente
Le sentiment d’infériorité et d’insécurité détermine le but de l’existence d’une personne
Tous éprouve ce sentiment, car on a tous été inférieur à un point (un enfant)
Volonté de l’individu de compenser ses infériorité = effort
Une personnalité parfaite est inaccessible
Soi occupe la vie d’une individu

52
Q

Carl G. Jung

A

Trop intense sur la sexualité
Différence dans la libido
Pense moins au passé, mais plus au futur
Influence évolutionniste
Inconscience collectif: expériences accumulé par génération antérieur qui reflète l’expérience de l’espèce humaine au cours de l’évolution
Les stéréotypes viennent des expériences de nos ancêtres au cours de l’évolution
Personne est guidé dans son cheminement vers la connaissance d’elle-même et le soi (centre d’organisation au sein du système psychologique)

53
Q

Karen Horney

A

Facteur biologique universels non, approche sociale et interpersonnelle oui
Les rapports interpersonnelles sont au cœur du fonctionnement de la personnalité
Comment est-ce que le fonctionnement névrotique d’une personne passe à travers l’angoisse, l’isolement
Chaque névrose représente une composante particulière de la personnalité
Et d’autres, comme Lacan qui a organisé sa théorie autours du rapport au langage. Le stade du miroir est une théorie intéressante pour le développement de l’identité.
Trouvait qu’on s’intéressait trop à la sexualité
Commence à s’éloigner de l’idée de pulsions intérieur qui nous dirige

la névrose se développe comme réaction à l’anxiété de se sentir isolé :
Aller vers : Cherche à être aimé.e et validé.e par les autres
Aller contre : Développe une hostilité envers les autres, la vie contre tous , aucun besoin des autres
Aller en s’éloignant : Se détache des autres en développant une indifférences, pas affectif

54
Q

Sullivan

A

Comment on interagit avec les gens
La personnalité, c’est comment j’ai besoin des autres, comment je vis ma relation avec les gens , plus autant a l’intérieur
Notre personnalité ce forme sur nos peurs, la solitude
Le soi se forme à travers les sentiments éprouvé lors du contact avec l’autrui , de la perception l’enfant de la manière qu’il se sent valorisé par les autres
L’angoisse contribue à différente partie du soi : non soi, partie du soi rejeter à cause de trop d’angoisse
Déterminants sociaux dans le développement de la personnne
Enfance et pré adolescence

55
Q

L’identité selon James Marcia

A

moratoire ( faible engagement, mais questionnement élevé ) = je veux m’inscrire au cours de musique, je pense que j’aime beaucoup ça, mais je n’ose pas, que vont dire mes parents, etc.

Ex Foreclose ( haut engagement, mais questionnement faible) = Ma mère est infirmière, je vais faire comme elle. Pourquoi? Parce que c’est ce qu’elle fait. Ou je vais devenir ingénieur pour faire de l’argent parce que je veux me payer…

Ex. : Diffuse ( faible engagement et questionnement) ne se pose pas de question, n’agit pas.

En : phase de réalisation ( haut engagement et questionnement) : je veux travailler dans la construction parce que dans mes valeurs il y a la famille et que cet emploi permet de bien vivre. Je sais que je suis manuel et j’aime ça, j’ai du plaisir à rendre service. Je me connais assez pour savoir que je n’aurai pas la patience de faire un baccalauréat

56
Q

les méthodes projectives

A

comprend stimuli qui permet au patient de révéler des éléments de sa personnalité, exemple interpréter une série d’image, sens des réponses révèle personnalité, projeter les aspects de sa personnalité sur l’image. On peut observer des modes de pensées
- Les tests projectifs permettent de contourner les mécanismes de défenses

57
Q

L’antiquité

A

Hippocrate : élabore hypothèse qu’on a des liquides (humeurs) dans le corps
- Quand liquide débalance ça crée des tempéraments
- Ex : débalancement du côté sanguin= tempérament sanguin comme impulsivité

Platon
- Critique qu’on est train de crée des personnalités genré. Ex : les femmes ont le tempérament pour certains emplois et les hommes aussi

aristote : Tente de tracer le portrait de traits

58
Q

Moyen-âge

A
  • Le concept de la personnalité n’émerge pas trop
    La personnalité est liée à la collectivité. Moins d’individualité

Après l’an 1000 – tendance accrue à décrire les gens en fonction de leur métier.

Dans la littérature, on commence à décrire les caractéristiques des personnages, mais ça reste surtout des descriptions externes.

59
Q

René Descartes

A

la personnalité est liée à la liberté de l’esprit. Le corps obéit à la pensée.

60
Q

John Locke

A

l’identité de l’individu est basée sur sa mémoire et elle change avec le temps

61
Q

Baruch Spinoza

A

L’importance du corps et de l’affect comme tout unifié dans l’identité.

62
Q

Johann Friedrich Herbart

A

S’intéresse à l’idée de définir la personne par les mathématiques.

63
Q

19ème et 20ème siècle

A
  • Le concept de la personnalité n’existe pas trop encore
  • Le concept de l’inconscient prend l’ampleur
  • Hystérie : souvent associé au femme, l’utérus ce balade
  • Gordon Allport : développe théorie de la personne, conceptualisation d’une personne stable
64
Q

la psychanalyse et Freud

A

modèle qui prône l’idée d’une énergie et de conflits inconscients qui détermine la personnalité
- on appelle maintenant la psychothérapie

65
Q

le béhaviorisme

A

Le comportement observable
Approche psychologique qui met de l’avant l’étude du comportement objectivement observable et du rôle de l’environnement comme facteur déterminant du comportement humain et animal

66
Q

humanisme

A

et rigoureuse les facteurs d’efficacité psychothérapeutique
Inspiré par le philosophe Edmund Husserl
S’intéresse au concept de soi et à l’authenticité/intégration du soi
Rogers introduit la notion de thérapie centrée sur la personne, axée principalement sur le regard positif inconditionnel et l’empathie.
La recherche des ressources de résilience et d’adaptation sont au cœur de cette approche.

67
Q

existentialisme

A

Pionniers : Rolly May, Victor Frankl, Irvin Yalom
Approche fortement inspirée de la philosophie existentielle de Kierkegaard, de Sartre et de Camus
Focus sur l’expérience subjective
L’humain est structuré autours de la recherche de sens et d’enjeux existentiels comme la finitude, le temps, l’espace et la solitude
Fort accent anti-déterministe avec focus sur la responsabilité
Le principal processus est la recherche de sens dans l’absurdité de la vie
Approche qui mise sur l’intégration de la philosophie, des arts et de la psychologie

68
Q

Le socio-cognitivisme

A

Objet d’étude : L’interaction entre les processus mentaux et la société

Comment la mémoire, la perception, l’attention ou la métacognition influence notre rapport au monde

Des noms importants : Lev Vigotsky (années 20 et 30) et Alfred Bandura

Une approche qui s’est développée en réaction à la vision trop étroite des béhavioristes stricts.
- La personne peut penser, planifier ses actions, prendre des décisions sur la base de souvenirs ou faire un choix parmi un ensemble de stimuli qui attirent son attention.
- Le postulat fondamental est que la pensée agit sur l’information reçue et la transforme et c’est cette transformation qui influence par la suite le comportement de la personne.
Cette approche se donne comme but d’étudier les processus mentaux de façon objective

69
Q

L’approche des traits

A

L’idée que l’on peut étudier la personnalité en fonction de traits
L’une des premières tentatives : Raymond Catell et un modèle à 16 facteurs vers 1950
Retravailler par la suite pour en arriver à 5 dimensions qui permettraient de distinguer les personnes en personnalité
Postulat de base : il serait possible de catégoriser de façon universelle les personnalités sur 5 échelles.

70
Q

libre association

A

tous pensées qui viennent à l’esprit

71
Q

le transfert

A

attitude et sentiment éprouvé dans le passé à l’égard de figure parentale , figure autoritaire et importantes

72
Q

mécanismes de défenses et psychanalyse

A

pour atténuer l’angoisse. Peut nier pulsions agressives et sexuelles sur l’autrui
- Si mécanismes échouent peut-être exprimer sous forme de symptôme pathologique (pulsion refoulé)
- Désir de défense du moi contre diminuer l’angoisse (en recourant à des mécanismes de défenses) , si trop intense symptômes névrotiques

73
Q

TAT

A

présenter des scènes sur des cartes et demander au patient de les interpréter ne se rende pas contre qu’il parle d’eux-mêmes.
- Ne semble pas faire une grande différence, fidélité , contenu des images a pa rapport avec la vie quotidienne

74
Q
A