Examen 1 Flashcards

1
Q
  1. Les troubles de l’adaptation, comme troubles liés à des facteurs de stress identifiables :
    a) Constituent une problématique fréquemment rencontré en première ligne
    b) Correspondent à une réaction inadaptée à un stress qui pourrait être objectivement extrême
    c) Se résolvent à l’intérieur des trois mois suivant la disparition de l’agent stresseur
    d) Peuvent évoluer vers une dépression caractérisée, un trouble d’anxiété généralisée ou des troubles de personnalité
    e) On dit souvent qu’il est un diagnostic moins stigmatisant pour les individus qui le reçoivent
    f) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
    g) A, b, e sont bonnes
    h) A, et e sont bonnes
A

H

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2
Q
  1. Typiquement, l’évolution du trouble panique est fluctuante. L’âge du début du trouble panique et le pronostic varie de manière considérable :
    a) Mais un début après l’âge de 45 ans est inhabituel
    b) Les patients pris en charge sont à 80 % asymptomatiques ou très peu symptomatiques après cinq ou dix ans de suivi thérapeutique
    c) On peut observer un second pic, plus fort, au milieu de la trentaine
    d) On peut observer un premier pic à la fin de l’adolescence
    e) Une étude américaine place une médiane de début des symptômes vers 22 ou 23 ans.
    f) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
    g) A, b,d,e sont bonnes
A

G

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3
Q
  1. L’agoraphobie sans antécédent de trouble panique est diagnostiquée :
    a) Beaucoup plus souvent chez les femmes que chez les hommes
    b) Souvent inadéquatement au détriment de phobies spécifiques
    c) Beaucoup plus souvent chez les hommes que chez les femmes
    d) A et b sont bonnes
A

D

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4
Q
  1. Les sujets ayant une anxiété généralisée :
    a) Présentent souvent une évolution chronique mais fluctuante.
    b) La rémission complète est rare surtout pour le sous-type avec début précoce
    c) Rapportent, en grand nombre, s’être sentis anxieux et nerveux tardivement dans leur vie.
    d) Présentent souvent, en même temps, des troubles de l’humeur ou d’autres troubles de santé physique.
    e) Toutes les réponses précédentes sont bonnes (a,b,c,d)
    f) A et b sont bonnes
    g) A, b et d sont bonnes
    h) B et d sont bonnes
A

G

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5
Q
  1. Dans l’anxiété sociale, les symptômes sont souvent associés à :
    a) Une histoire de timidité pendant l’enfance sans déclencheurs psychosociaux particuliers
    b) Un effet négatif sur la vie sociale et affective du patient
    c) Une peur d’être observé et/ou jugé par autrui
    d) Une évolution chronique du trouble dans les cas où il n’y a pas de traitement
    e) Une peur disproportionnelle par rapport à la menace réelle posée par la situation
    f) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
    g) B,c,d,e sont bonnes.
    h) A,c,e sont bonnes
A

F

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6
Q
  1. Les caractéristiques du sommeil chez les sujets ayant une anxiété généralisée :
    a) Sommeil profond mais non réparateur
    b) Difficulté d’endormissement
    c) Sommeil paisible mais souvent interrompu
    d) Sommeil agité et non satisfaisant
    e) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
    f) A, b,d, sont bonnes
    g) B et d sont bonnes
A

G

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7
Q
  1. Les phobies spécifiques qui résultent d’événements traumatiques ou d’attaques de panique inattendues :
    a) Ont tendance à avoir un développement aigu
    b) N’ont pas un âge de début caractéristique
    c) Ne présentent pas une anxiété envahissante et intercurrente
    d) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
A

D

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8
Q
  1. Le diagnostic différentiel entre le trouble dépressif caractérisé et le trouble dépressif persistant est difficile à faire mais dans le trouble dépressif persistant, les symptômes dépressifs. (Dysthymie)
    a) Évoluent depuis plusieurs années et sont relativement stables
    b) Tranchent avec le fonctionnement habituel du patient
    c) Sont moins intenses et plus persistants
    d) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
    e) A et c sont bonnes
A

E

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9
Q
  1. Lequel des types de phobie spécifique est hautement familial et s’accompagne souvent d’évanouissement lors de l’exposition à la situation phobogène ?
    a) Type environnement naturel
    b) Type animal
    c) Type situationnel
    d) Type sang – injection – accident
    e) Aucune de ces réponses
A

D

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10
Q
  1. Dans le trouble de stress post-traumatique, il y a une altération marquée de l’éveil et de la réactivité. Lequel de ces énoncés fait partie de cette catégorie ?
    a) Problème de concentration
    b) Perturbation du sommeil
    c) Comportement irritable
    d) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
A

D

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11
Q
  1. Dans les troubles obsessionnels compulsifs, les obsessions compulsions sont à l’origine :
    a) De sentiments marqués de détresse et perte de temps considérable
    b) D’un problème physiologique
    c) D’une altération du fonctionnement professionnel, social et dans d’autres domaines importants.
    d) A et c sont bonnes
    e) Toutes les réponses précédentes sont bonnes
A

D

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12
Q
  1. Dans le trouble stress post-traumatique, il y a une altération négative des cognitions et de l’humeur. Lequel de ces énoncés fait partie de cette catégorie ?
    a) Réduction nette de l’intérêt pour des activités importantes.
    b) Sentiment de détachement d’autrui
    c) Comportement irréfléchi ou autodestructeur
    d) A et b sont bonnes
A

D

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13
Q
  1. Lequel ou lesquels de ces symptômes n’appartiennent pas aux attaques de panique ?
    a) Palpitations et secousses musculaires
    b) Pollakiurie et paresthésies
    c) Bouffées de chaleur ou frissons
    d) Déréalisation et dépersonnalisation
    e) Sensation de vertige ou impression d’évanouissement
    f) Nausée et gêne abdominale
    g) Perte momentanée de la vue ou de l’audition
    h) Impression d’étouffement ou gêne thoracique
    i) Douleur thoracique ou peur de mourir
A

B et G

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14
Q
  1. Le DSM III :
    a) Est publié en mille neuf cent quatre-vingts
    b) Repose sur un modèle biopsychosocial
    c) Présente de nouvelles catégories comme l’état de stress post-traumatique
    d) Se veut détacher surtout des théories humanistes et psychanalitiques
    e) L’hystérie est démantelée en plusieurs catégories
    f) L’état de stress post-traumatique apparaît
    g) Les catégories sont définies par des critères diagnostiques qualitatifs
A

A-C-D-E-F

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15
Q
  1. Le trouble dépressif caractérisé :
    a) Ne peut pas s’accompagner d’un épisode maniaque ou hypomaniaque
    b) Est deux fois plus fréquent chez les femmes que chez les hommes
    c) L’âge moyen de début se situe au milieu de la trentaine
    d) On peut s’attendre à ce qu’un sujet sur deux ayant un trouble dépressif majeur, épisode unique ait un deuxième épisode.
    e) Les récidives surviennent en moyenne à tous les deux ans
    f) La dépression est un facteur de risque dépendant de la maladie cardiaque
    g) Il existe une relation bidirectionnelle entre la dépression et une longue liste de problèmes médicaux.
A

A-B-D-G

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16
Q
  1. Le DSM II :
    a) Diagnostique cent quarante-cinq pathologies
    b) Est fortement influencé par la psychopathologie psychanalytique
    c) Est édité à la fin des années cinquante
    d) Suit la structuration entre deux formes majeures de troubles psychiques : les états limites et les psychoses
    e) Les pathologies étaient des exagérations d’un état pathologique
    f) Les pathologies relèvent d’un conflit intrapsychique
    g) Intègre l’homosexualité dans les pathologies
A

REP : A-B-F-G

17
Q
  1. Si les symptômes d’anxiété sociale ou d’évitement surviennent uniquement durant l’évolution d’un autre trouble mental, on doit être très prudent avant d’ajouter un diagnostic additionnel de phobie sociale.
A

VRAI

18
Q
  1. Dans le DSM 5, l’état de stress post-traumatique, considéré auparavant comme un trouble de l’anxiété, est maintenant classé dans la catégorie des troubles liés à des traumatismes ou à des facteurs de stress.
A

REP: Vrai

19
Q
  1. Le trouble obsessionnel-compulsif présente un début progressif dans la majorité des cas mais on peut observer un début aigu. L’évolution chronique persistante et l’évolution intermittente avec fluctuations de l’intensité des symptômes sont les deux types d’évolution les plus fréquents.
A

Rép: VRAI

20
Q
  1. Les phobies spécifiques débutant tôt dans l’enfance ont une évolution plus bénigne et sont marquées par une diminution, une fluctuation de l’intensité ou une disparition complète des symptômes tandis que pour celles qui persistent durant la vie adulte, les rémissions sont très peu fréquentes.
A

REP : Vrai

21
Q
  1. L’agoraphobie, peut être associée ou non à la présence d’un trouble panique mais dans les services cliniques presque tous les individus qui présentent une agoraphobie ont également un diagnostic actuel ou des antécédents de trouble panique.
A

REP : Vrai

22
Q

a) L’attaque de panique n’est pas, de manière invariable, associée avec un stimulus déclenchant.
b) L’attaque de panique survient le plus souvent lors de l’exposition à une situation déclenchante ou inductrice mais pas toujours et pas nécessairement immédiatement après l’exposition.

A

a) REP : Les attaques de panique inattendues (non-induite)

b) REP : Favorisée par des situations

23
Q
  1. Identifiez la pathologie qui correspond à ce critère : Une peur excessive et envahissante des situations nécessitant une ou des interactions sociales
A

REP : Phobie sociale

24
Q
  1. Identifiez la pathologie qui correspond à ce critère : Ensemble de pensées ou de gestes récurrents et intrusifs qui sont destinés à neutraliser ou diminuer au moins partiellement l’anxiété.
A

REP : Troubles obsessionnels compulsifs

25
Q
  1. L’anxiété sociale est souvent précédée par un syndrome. Identifiez-le ?
A

REP : Syndrome de l’inhibition comportementale

26
Q
  1. Au cours du vingtième siècle, quand et où les troubles mentaux se retrouvent pour la première fois dans une classification des maladies ? (1 pt)
A

REP: Classification international des maladies (CIM) à sa 6e révision en 1949

27
Q
  1. Quelle est la principale différence entre la phobie spécifique et les autres troubles anxieux. (1 pt)
A

REP : Les gens qui ont une phobie spécifique à la différence de ceux avec des troubles de paniques avec agoraphobie ne présentent pas une anxiété envahissante parce que leur peur est limitée à des objets ou des situations spécifiques

28
Q
  1. La caractéristique essentielle de l’anxiété généralisée est : (1 Pt)
A

REP : Est une anxiété avec des soucis excessifs survenant la plupart du temps durant une période d’au moins 6 mois et concernant plusieurs évènements et activités.

29
Q
  1. Identifiez les deux troubles du sommeil typiques de l’épisode dépressif caractérisé. (1 pt)
A

REP : Insomnie du milieu de la nuit et l’insomnie du matin

30
Q
  1. Une expertise publiée en avril 2006 dénonce quelque chose à propos du DSM. Précisez ce que cette expertise dénonce et le pourcentage de personnes impliqués dans cette observation ? (1 pt)
A

REP : Ils dénoncent les liens entre les experts du comité du DSM-IV avec les industries pharmaceutiques. 95 des 170 membres (56 %) des membres du panel du DSM présentaient au moins un des 11 types de liens financiers possibles avec l’industrie pharmaceutique.

31
Q
  1. Décrivez brièvement comment on peut faire la différence entre un trouble État de stress post-traumatique et un trouble de l’adaptation. (en fonction du facteur de stress) (1 pt)
A

REP: Dans l’état de stress post-traumatique le facteur de stress doit être de nature extrême (c’est-à-dire avec un pronostic vital – mettre la vie en jeu) tandis que dans un trouble de l’adaptation, le facteur de stress peut être de n’importe quelle sévérité.