Examen 1 Flashcards

1
Q

Durant la période préindustrielle, les enfants sont associés aux activités _______.

A

Productives

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2
Q

Durant la période préindustrielle, le concept de l’enfant était en émergence.

A

Non, le concept n’existait pas, l’enfant était alors vu comme un petit adulte sans prise en compte de ses particularités d’enfant. (opinion contestée)

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3
Q

Durant la période industrielle, quels domaines deviennent 2 entités distinctes.

A

La vie familiale et le milieu de travail.

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4
Q

Vrai ou faux. La vision de l’enfant dans…
Milieu ouvrier = 1_______.
Milieu bourgeois = 2_______.

A
  1. Pourvoyeur

2. Raison de s’enrichir

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5
Q

Comment s’appelle la période ajoutée à l’enfance précédent l’âge adulte?

A

L’adolescence.

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6
Q

Vrai ou faux? L’enfant a passé d’un « mini-adulte » dans l’ombre de son père à un objet d’amour dans la société contemporaine.

A

Vrai. (enfant = triple investissement: émotionnel, familial et national)

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7
Q

En Nouvelle-France, l’entraide et l’assistance aux enfants/familles proviennent de l’autorité civile.

A

En Nouvelle-France, l’entraide vient essentiellement de la famille, et ce, sans aucune intervention de l’autorité civile, tandis que les services d’assistance relèvent de l’Église (les bureaux des pauvres et les institutions).

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8
Q

En quelle année l’assistance aux enfants et la protection de l’enfance se dissocient?

A

En 1869.

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9
Q

En 1850, la migration de la population de la campagne vers la ville occasionne quelles conséquences sur les familles?

A

Cela prive de nombreuses familles du soutien social et de la solidarité qui caractérisaient la vie en milieu rural.

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10
Q

Depuis 1850, nommez deux évolutions quant aux services sociaux aux enfants.

A
  • Série d’institutions et législations sur leurs besoins spéciaux
  • Rôle de l’État qui prend plus d’ampleur
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11
Q

Qu’est-ce que la convention des Nations-Unies sur les droits de l’enfant?

A

Vient réaffirmer, de façon universelle (pays riches comme pauvres), les droits civils, économiques, sociaux & culturels des enfants (enfant = PAS un objet, mais un sujet de droits).

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12
Q

Quelles sont les obligations liées à la ratification de la Convention des Nations-Unies sur les droits des enfants ?

A
  • Dans les limites des ressources des pays
  • Obligation de prendre les mesures requises pour donner effet aux droits
  • Reddition de compte aux 5 ans
  • Pas de procédures formelles de plainte ou d’enquête
  • Il faut miser sur la coopération internationale
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13
Q

Qu’est-ce que la politique d’assimilation des Autochtones?

A

Le gouvernement canadien tente d’éduquer les enfants autochtones selon les valeurs et la culture des non autochtones en les plaçant en pensionnats.

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14
Q

Vrai ou faux. La politique d’assimilation des Autochtones est un bon coup.

A

Faux, c’est une tragédie.

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15
Q

Nommez 2 répercussions de la politique d’assimilation sur la communauté Autochtone.

A
  • Traumas chez les enfants
  • Problèmes sociaux (abus)
  • Incapacité de jouer leur rôle parental
  • Transmission intergénérationnelle et des savoirs ancestraux détruites
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16
Q

Nommez 3 facteurs de la surreprésentation des jeunes autochtones dans les services de DPJ.

A
  • Sous-financement de la prévention
  • Sous-financement des conditions familiales et sociales de ces familles (créant la négligence)
  • facteurs de risque > facteurs d’opportunité
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17
Q

Nommez une piste de solution afin d’améliorer la situation des enfants autochtones.

A
  • Fin des pratiques discriminatoires (ressources défavorisées aux enfants autochtones)
  • Valorisation de leur autodétermination
  • Développer le lien entre les familles et leur communauté (renforcement des pratiques parentales pour le maintenir dans son milieu)
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18
Q

Nommez 3 aspects du consensus dans l’action auprès des enfants et des jeunes dans les services sociaux.

A
  1. Agir de façon globale avant que les problèmes surgissent ou s’amplifient;
  2. Agir sur les déterminants de la santé et du bien-être;
  3. Miser sur le potentiel des parents;
  4. Convenir d’une responsabilité collective à l’égard de la jeunesse;
  5. Mieux ajuster les réponses aux besoins;
  6. Miser sur la concertation pour accroître la convergence des actions.
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19
Q

Quelles sont les quatre fonctions essentielles et complémentaires pour soutenir le développement harmonieux des jeunes en services sociaux?

A
  1. Promotion
  2. Prévention
  3. Traitement
  4. Protection (LSJPA et LPJ exclusivement)
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20
Q

Récemment, lesquelles (2) des fonctions montre un recul.

A

Prévention et promotion.

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21
Q

Sur quoi le MSSS guide ses actions auprès des jeunes et leur familles?

A

Répondre aux besoins globaux afin d’améliorer les conditions de vie.

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22
Q

Pour répondre aux besoins globaux, sur quelles stratégies doit-on s’appuyer? (8)

A
  1. Priorité au développement, b-ê et santé des jeunes.
  2. Mettre le jeune au coeur de son développement
  3. Parents = premiers responsables
  4. CPE, écoles et milieux communautaires = rôle déterminant dans le soutien aux jeunes
  5. Importance d’un environnement sécuritaire
  6. Communauté = soutien aux parents
  7. Améliorer la concertation entre ressources
  8. Interventions préventives
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23
Q

Nom de la loi sur laquelle est basée l’organisation des services sociaux.

A

Loi sur les services de santé et les services sociaux (LSSSS).

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24
Q

Noms des 2 lois complémentaires à la LSSSS.

A

Loi sur la protection de la jeunesse & Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.

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25
Q

En 2015, pourquoi le SSSS a connu une grande restructuration?

A

Afin d’améliorer l’accessibilité et la proximité des services aux citoyens.

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26
Q

Quels sont les 2 principes de base de l’organisation des SSSS?

A
  1. La responsabilité populationnelle

2. La hiérarchisation des services

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27
Q

Quelle est la porte d’entrée aux services sociaux…

a) Pour accueil, analyse, orientation et référence? (AAOR)
b) Pour un signalement?
c) Pour un cas soumis suite à un délit?

A

a) Le CLSC. (Centre de santé communautaire)
b) Centre de protection de l’enfance et la jeunesse: LJP.
c) Centre de protection de l’enfance et la jeunesse: LSJPA

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28
Q

Vrai ou faux. Les services destinés aux jeunes et aux parents prévoient des programmes et services généraux exclusivement.

A

Faux, certains sont généraux, d’autres visent des clientèles ou des problématiques particulières (par ex., enfants négligés, prévention du placement chez des adolescents vivant des problèmes de comportement, etc.).

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29
Q

Le programme Jeunes en difficultés est déployé à l’aide de partenariats avec qui? (3)

A
  1. Milieu communautaire (++)
  2. OBNL
  3. Ententes de collaboration intersectorielle
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30
Q

Quel domaine de l’organisation des services sociaux a subit le + de changements depuis les 40 dernières années?

a) L’assistance aux familles
b) Les CLSC
c) La protection de la jeunesse

A

c) La protection de la jeunesse

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31
Q

Les conséquences de ces nombreuses modification en protection de la jeunesse heurtent qui?

A

Citoyens et intervenants : difficultés à donner des services de qualité dans un contexte organisationnel qui respecte l’autonomie professionnelle des travailleuses sociales et leur assure un environnement de travail qui favorise leur bien-être et la stabilité.

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32
Q

Dégagez 2 principes qui devraient vous guider lorsque vous développez un service ou une intervention spécifique destinée à des jeunes en difficultés. (parabole du noyé)

A
  1. Déterminer les facteurs de risques et de protection (miser sur le potentiel des parents)
  2. Faire de la prévention (agir avant que les problèmes ne surgissent/ il faut s’attaquer aux sx plutôt qu’aux causes)
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33
Q

Quelle sont les trois modifications importantes du profil sociodémographique des jeunes québécois et de leur famille?

A
  1. Diminution de la taille des familles (et par ricochets de la socialité de l’enfant)
  2. La population 0-17 ans est en diminution
  3. Les familles biparentales intactes régressent à chaque recensement (reste quand même en majorité 60%) & de + en + de père monoparentaux.
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34
Q

Le concept de risque est vu comme un _____ _______ d’un problème.

A

Déterminant individuel.

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35
Q

Quelle est la différence entre un facteur de risque et une situation de vulnérabilité?

A

Risque = un déterminant, une probabilité, pas une cause mais presque sûr
VS
Vulnérabilité = possibilité, voir sur le plan structurel pour être sûr qu’aucun problème ne surviennent

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36
Q

Quels sont les avantages et les inconvénients d’utiliser le concept de risque?

A

Avantages: aide à l’évaluation et à la prise de décision en intervention, lorsque la sécurité et développement de l’enfant sont en péril.
Inconvénients: peut engendrer un accroissement des problèmes lorsqu’on accroche trop sur la probabilité, qu’on stigmatise ou qu’on le voit dans une perspective universelle.

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37
Q

Que signifie le concept de vulnérabilité?

A

C’est la relation entre les caractéristiques particulières d’un enfant & un contexte sociétal/situationnel qui va échouer à protéger l’enfant. (ex: climat familiale violent, mais se développe tout de même bien grâce à des facteurs favorables)

38
Q

Que signifie le concept de vulnérabilité?

A

C’est la relation entre les caractéristiques particulières d’un enfant & un contexte sociétal/situationnel qui va échouer à protéger l’enfant. (ex: climat familiale violent, mais se développe tout de même bien grâce à des facteurs favorables)

39
Q

Qu’est-ce qu’une opportunité?

A

C’est une interaction personne-environnement dans laquelle l’enfant bénéficie de conditions matérielles, émotives & sociales compatibles avec ses besoins et capacités à un moment donné.

40
Q

Quels sont les différents ordres d’opportunité?

A

Biologique, psychologique ou social.

41
Q

À la question «Comment se développent harmonieusement les enfants? » Garbarino répond quoi?

A

« Cela dépend. » (ce qui fonctionne pour un ne fonctionne pas nécessairement pour l’autre)

42
Q

Qu’est-ce que l’ontosystème?

A

Caractéristiques individuelles de l’enfant.

43
Q

Qu’est-ce que le microsystème?

A

Caractéristiques des milieux qu’il fréquente. (famille, garderie, école, quartier…)

44
Q

Qu’est-ce que l’exosystème?

A

Les décisions et les manières de fonctionner qu’adoptent les milieux que le jeune ne fréquente pas directement, mais qui ont un impact sur lui par ricochet. (milieu du travail des parents, le Conseil municipal…)

45
Q

Qu’est-ce que le macrosystème?

A

Les valeurs, les croyances, la culture de la société dans laquelle il grandit.

46
Q

Qu’est-ce que le mésosystème?

A

Liens entre les différents microsystèmes (milieux) que l’enfant fréquente.

47
Q

Qu’est-ce que le chronosystème?

A

Aspects temporels dans lequel l’enfant se développe.

48
Q

Qu’est-ce qui prédit le mieux le développement de l’enfant?

A

L’accumulation de risques ou d’opportunités est plus prédictive du développement de l’enfant que la présence ou l’absence de facteurs négatifs ou positifs;

49
Q

Quelle est la pierre-angulaire du modèle bioécologique?

A

L’interaction personne-environnement. (influence réciproque et continuelle)

50
Q

Quelles sont les pistes d’intervention à appliquer

A
  • Miser sur les compétences plutôt que sur les déficits;
  • Reconnaître le rôle actif de la personne et le soutenir;
  • Intervenir de manière souple et variée;
  • S’appuyer sur le processus d’interaction personne environnement;
  • Augmenter les opportunités et diminuer les risques;
  • Vise la concertation des ressources et un continuum de service.
51
Q

Nom de la première loi canadienne en matière de délinquance juvénile. (inefficace: hétérogénéité selon les province, injuste…même que les ados aiment mieux se faire traité comme les adultes ET les taux de récidives restaient les mêmes)

A

Loi sur les jeunes délinquants (LJD)

52
Q

Quelle autre (2ième) loi inefficace est adoptée après en 1984?

A

Loi sur les jeunes contrevenants (LJC): les centre jeunesse se chargent de la protection et des sentences.

53
Q

Quelle est la 3ème loi adoptée quant à la délinquance juvénile au Canada? (la décrire)

A

Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents (LSJPA) : gestion en amont des centres jeunesse, la mise sous garde est beaucoup moins ordonnée et les sentences de probation deviennent les peines les plus fréquentes. (meilleure uniformité des sentences au Canada!)

54
Q

Selon les intervenants, quels sont les 3 problématiques les plus prégnantes chez les jeunes contrevenants?

A
  • marginalité
  • consommation
  • problèmes de santé mentale
55
Q

Quel est l’âge d’entrée dans le système de justice pénale?

A

15 ans.

56
Q

Quel phénomène expliquerait la baisse de crimes commis par les adolescents?

A

Plusieurs responsabilités (école, travail, internet) alors moins de temps libres (périodes d’oisiveté).

57
Q
  1. Qu’est-ce qu’un délégué à la jeunesse?

2. Quel est son rôle?

A
  1. L’équivalent d’un agent de probation chez les adultes.
  2. Déterminer l’intensité que nécessite le suivi auprès du jeune: évaluation des facteurs criminogènes (c’est-à-dire ce qui fragilise le jeune à commettre une infraction) et des facteurs de protection (ce qui est positif, ce sur quoi on peut miser) doit avoir lieu pour statuer sur le risque de récidive chez le jeune. (Ultimement: effectuer un rapport)
58
Q

Suite à un délit, quelles sont les 3 formes de mesures que le jeune peut bénificier?

A

1) une mesure extrajudiciaire appliquée par un policier
2) une sanction extrajudiciaire
3) une sanction judiciaire ordonnée par la Chambre de la jeunesse.

59
Q

Vrai ou faux. Le jeune qui bénéficie du programme des sanctions extrajudiciaires peut tout de même avoir un dossier criminel.

A

Faux, aucun dossier criminel, MAIS antécédents criminels dans son dossier.

60
Q

Qu’est-ce qu’un rapport prédécisionnel que le juge peut demande avant que le jeune passe devant les tribunaux?

A

Effectué par le délégué à la jeunesse, c’est une évaluation du profil global du jeune: porte sur le délit commis, la perception des parties dont obligatoirement celle de la victime, etc. Elle permet aussi de qualifier le risque de récidive.

61
Q

Fondements du travail de délégué à la jeunesse:

A

Encadrer
Surveiller
Aider

62
Q

Donnez un exemple de violence physique mineure et de violence physique majeure.

A
Mineure = tape aux fesses
Majeure = bébé secoués
63
Q

Vrai ou faux. Les estimations et connaissances des enfants maltraités sont tous connu, tous signalés.

A

Faux, trop grand nombre pas signalés…

64
Q

Quel lieu important permet le 1/5 ième des signalements?

A

Milieu scolaire (avec la covid, le retour à l’école montre une hausse des signalements).

65
Q

Quels sont les 2 types de maltraitance les + fréquents?

A
  1. Négligence

2. Maltraitance psychologique

66
Q

Quelles sont les difficultés les plus prépondérantes éprouvées par les parents signalés?

A
  • Manque de soutien social
  • Isolement
  • Violence conjugale
  • Santé mentale
67
Q

Vrai ou faux. 50% des enfants pris en charge par le DPJ proviennent de familles d’accueil.

A

Vrai. D’où l’importance de confier l’enfant à un proche significatif.

68
Q

Quels sont les 2 types de négligence? Décrivez-les.

A

Circonstancielle: c’est un événement particulier qui crée que les parents ne sont pas capable de répondre aux besoins.
Chronique: + préoccupant, le parent a un lourd passé, transmission générationelle…

69
Q

Vrai ou faux. Une communauté peut permettre la négligence.

A

Vrai.

(1. Une relation avec un trou au centre : Par ex. : Un parent qui ne décode pas bien les signaux que lui envoie son enfant;
2. Une famille avec un trou au centre : Par ex. : Une famille intoxiquée n’incluant pas juste une mère dépassée, mais aussi un père absent, peu engagé ou obstructif; 3. Une collectivité avec un trou au centre : Par ex. : Une société qui privilégie la protection, qui réduit les symptômes, mais ne s’attaque pas aux causes et qui confie la protection à une institution.)

70
Q

Vrai ou faux. Le favoritisme envers des frères et soeurs s’agit de maltraitance psychologique.

A

Vrai.

71
Q

Nommez 2 manifestations indirectes de la maltraitance psychologique.

A
  • Assister à de la violence conjugale/familiale

- Renversement des rôle parent-enfant (parentification)

72
Q

Quels sont les 4 critères de l’abus physique?

A
  • l’intentionnalité
  • l’acte
  • l’évaluation
  • la norme
73
Q

Les coûts sociaux quant à la maltraitance sont énorme. Quelle est la solution pour remédier à cette perte d’argent considérable?

A

Investir dans la prévention est rentable à tout point de vue.

73
Q

Les coûts sociaux quant à la maltraitance sont énorme. Quelle est la solution pour remédier à cette perte d’argent considérable?

A

Investir dans la prévention est rentable à tout point de vue.

74
Q

Nommez des pistes d’intervention auprès des parents quant aux mauvais traitements.

A

• Exploration des contextes dans lequel se produisent les abus
• Ne pas accepter les liens que le parent fait entre ses comportements
violents et des facteurs qu’ils ne maîtrisent pas
• Aider le parent à découvrir ce qui nuit à l’exercice de son rôle de manière responsable
• Insister sur les éléments de vie qui dénotent que le parent adopte une conduite responsable

bref, EXPLORER & RESPONSABILISER

75
Q

La protection d’un enfant consiste à apporter une réponse _______ à ses besoins fondamentaux, dans son meilleur intérêt, et dans le respect de ses ______. La prise en charge de l’enfant cesse aussitôt que cette réponse ______ est atteinte.

A
  1. minimale

2. droits

76
Q

La responsabilité de la protection de la jeunesse revient à qui?

A

Au directeur de la protection de la jeunesse.

77
Q

Les deux objectifs de la LPJ sont de 1) mettre fin aux situations qui compromettent la _____ ou le __________ de l’enfant et 2) éviter qu’elles ne se _________.

A
  1. sécurité
  2. développement
  3. reproduisent
78
Q

Quelle notion est importante dans la planification de l’intervention en protection de la jeunesse?

A

Projets de vie (privilégié: milieu familial & alternatif).

79
Q

Quelles sont les étapes de l’intervention du DPJ?

A

1) Réception et traitement des signalements. (VCT au besoin)
2) L’Évaluation de la situation.
3) L’orientation.
4) L’application des mesures.
5) La révision.
6) Fin de l’intervention.
7) Une liaison avec les ressources d’aide.

80
Q

Vrai ou faux. La violence conjugale est une perte de contrôle.

A

Faux, il s’agit d’une prise de contrôle.

81
Q

La violence conjugale est-elle un problème individuel ou social?

A

Social. (La socialisation de genre des hommes et des femmes et l’intégration des stéréotypes reliés à leur genre sont des processus pouvant expliquer la violence conjugale exercée par les hommes.)

82
Q

Donnez un exemple de violence indirecte subit par les enfants.

A

Ex: exposition de l’enfant au père qui bat sa mère.

83
Q

Lorsque l’homme empêche la femme de bien dormir la nuit, de quel type de violence s’agit-il?

A

Physique. (la plus médiatisée, mais elle n’est pas la plus fréquente)

84
Q

Dans quelle étape du cycle de la violence conjugale la victime se croît responsable de la violence qu’elle reçoit?

a) Tension
b) Agression
c) Justification
d) Réconciliation

A

c) Justification

85
Q

Vrai ou faux. Les impacts de la violence conjugal sont vécus pendant la relation, mais également très longtemps après la séparation.

A

Vrai. Il s’agit alors de violence postséparation.

86
Q

Quelles sont les 4 phases du cycle de la violence conjugale chez l’enfant?

A
  1. Climat de tension
  2. Crise
  3. Déresponsabilisation
  4. Lune de miel
87
Q

L’exposition des enfants à la violence conjugale augmente le risque d’apparition de _______ _______.

A

…difficultés d’adaptation.

88
Q

Qu’est-ce que la parentification?

A

L’enfant joue un rôle de parent auprès de sa fratrie.

89
Q

Le ______ __ ______ se caractérise par un grand dilemme affectif où les enfants se sentent coincés entre leurs parents et vivent de l’ambivalence et de la confusion.

A

conflit de loyauté

90
Q

Dans un contexte de violence conjugale, qui est la personne à soutenir de façon primoridiale?

A

La mère, car c’est soutenir la relation qu’elle entretient avec son enfant en lui permettre de jouer pleinement son rôle auprès de lui.