Exam Mi-session Flashcards

(73 cards)

1
Q

Objectif : énumérez les 4 axes autour desquels s’articulent les valeurs en ts

A

1: humaniste
2: démocratique
3 : droits humains
4 : professionnalisme

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Q

Objectif 2 : illustre en quoi consistent ces 4 axes à l’aide d’exemple
Premier axe : humanistes

A
  • 1 : foi en l’être humain
    -2 : empathie
    -3 respect des personnes
    -4 : autonomie
    -5: autodétermination
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3
Q

Objectif 2 : illustre en quoi consistent ces 4 axes à l’aide d’exemple
Deuxième axe : démocratique

A

-citoyenneté
-participation
-solidarité
-cohésion
-justice sociale

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4
Q

Objectif 2 : illustre en quoi consistent ces 4 axes à l’aide d’exemple
Troisième axe : droits humains

A

-1 : civils et politiques = liberté d’expression
-2: les droits socio-économiques = le droit à l’éducation , aux soins et aux logements
3: les droits collectifs = le droit à l’équité entre les générations

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5
Q

Objectif 2 : illustre en quoi consistent ces 4 axes à l’aide d’exemple
Quatrième axe : professionnalisme

A

1- intégrité
2- désintéressement
3-indépendance professionnelle
4- confidentialité

La définition du professionnalisme : la capacité des individus et de toute professions de démontrer qu’on agit de manière irréprochable, agir de manière irréprochable pour établir notre crédibilité en tant que profession et mériter la confiance du public

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6
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens ( 9)

A

1 : reconnaissance de la dignité inhérente à l’humanité

2 : promouvoir les droits de l’homme

3 : promouvoir la justice sociale

3.1 lutter contre la discrimination et l’oppression institutionnelle

3.2 respect de la diversité

3.3 accès à des ressources équitables

3.4 contester les politiques et pratiques injustes

3.5 construire la solidarité

4: promouvoir le droit à l’autodétermination

5: promouvoir le droit à la participation

6: respect de la confidentialité et de la vie privée
6.1 les travailleurs sociaux respectent et travaillent en accord avec les droits des personnes à la confidentialité et la vie privée, sauf en cas de risque de préjudice pour eux-même ou pour autrui ou d’autres restrictions légales
6.2: les travailleurs sociaux informe les personnes avec lesquelles ils interagissent de ces limites à la confidentialité et à la vie privée.

7: traiter les gens comme des personnes à part entière

8: utilisation éthique de la technologie et des médias sociaux
8.1 : les principes éthiques énoncés dans la présente déclaration s’appliquent à tout les contextes de pratiques, d’éducation et de recherche en ts, qu’il s’agisse de contacts directs en face à face ou de l’utilisation de la technologie numérique
8.2; les travailleurs sociaux doivent reconnaître que l’utilisation de la technologie numérique et des médias sociaux peut constituer une menace pour la pratique de nombreuses normes éthiques, y compris, mais sans s’y limiter à la privée et la confidentialité, les conflits d’intérêts, la compétence et la documentation, et doivent acquérir les connaissances et les compétences nécessaire pour se prémunir contre les pratiques contraires à l’éthique lors de l’utilisation de la technologie

9: intégrité professionnelle

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7
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

1 : reconnaissance de la dignité inhérente à l’humanité

A

Les travailleurs sociaux reconnaissent et respectent la dignité et la valeur inhérentes à tout les êtres humains dans leurs attitudes, leurs paroles et leurs actes. Nous respectons toutes les personnes, mais nous remettons en question les croyances et les actions de ceux qui dévalorisent ou de stigmatisent eux-meme ou d’autre personne

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8
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

2 : promouvoir les droits de l’homme

A

Les travailleurs sociaux défendent et promeuvent les droits fondamentaux et inaliénables de tous les êtres humains, ainsi que des droits individuels et sociaux /civils qui en découlent. Les travailleurs sociaux travaillent souvent avec les gens pour trouver un équilibre approprié entre des droits humains conçurrents

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9
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

3 . Promouvoir la justice sociale

A

Les travailleurs sociaux ont la responsabilité d’inciter les gens à œuvrer pour la justice sociale, en relation avec la société en général et avec les personnes avec lesquelles ils travaillent. Cela signifie 3 choses :

3.1 lutter contre la discrimination et l’oppression institutionnelle :
- les travailleurs sociaux promeuvent la justice sociale auprès de la société en général et auprès des personnes avec lesquelles ils travaillent
- les ts contestent la discrimination, qui comprend, sans s’y limiter l’âge, la capacité, l’état civil, la classe, la culture, l’origine ethnique et d’autres caractéristiques physiques , les capacité physique ou mental,les convictions politiques, la pauvreté, la race, l’état rationnel, la religion etc

3.2 respect de la diversité
-les travailleurs sociaux travaillent au renforcement de communautés inclusives qui respectent la diversité ethnique et culturelle des sociétés, en tenant en comptes des différences individuelles, familiales, de groupe et communautaire.

3.3 accès à des ressources équitables
Les travailleurs sociaux défendent et œuvrent pour l’accès à la répartition équitable des ressources et des richesses
3.4 contester les politiques et pratiques injustes
- les ts on pour mission d’attirer l’attention de leurs employeurs, des décideurs politiques, des politiciens et du public sur les situations dans lesquelles les politiques et les ressources sont inadéquates ou dans laquelle les politiques et les pratiques sont oppressives, injuste ou néfaste. Ce faisant les ts ne doivent pas être pénalisés.
-les ts doivent être conscients des situations qui peuvent menacer leur propre sécurité et ils doivent faire des choix judicieux dans de telles circonstances. Les ts ne sont pas obliger d’agir lorsque cela mettrait en danger.

3.5 construire la solidarité
-les ts travaillent activement dans les communautés et avec leurs collègues, à l’intérieur et à l’extérieur de la profession , pour construire des réseaux de solidarité afin d’œuvrer vers un changement transformationnel et des société inclusives et responsables.

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10
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens
4 : promouvoir le droit à l’autodétermination

A

Les travailleurs sociaux respectent et promeuvent le droit des personnes à faire leurs propres choix et décisions, à condition que cela ne menace pas les droits et les intérêts légitimes d’autrui

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11
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

5 : promouvoir le droit et la participation

A

Les travailleurs sociaux travaillent à renforcer l’estime de soi et les capacités des personnes, en favorisant leur pleine implication et leur participation à tous les aspects des décisions et des actions qui affectent leur vie.

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12
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

6: respecte de la confidentialité et de la vie privée

A

6.1 les travailleurs sociaux respectent et travaillent en accord avec les droits des personnes à la confidentialité et la vie privée, sauf en cas de risque de préjudice pour eux-même ou pour autrui ou d’autres restrictions légales
6.2: les travailleurs sociaux informe les personnes avec lesquelles ils interagissent de ces limites à la confidentialité et à la vie privée.

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13
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

7: traiter les comme des personnes à part entière

A

Les ts reconnaissancenr les dimensions biologiques, psychologiques, sociales et spirituelle de la vie des gens et comprennent et traitent chaque personne comme une personne à part entière. Cette reconnaissance est utilisée pour formuler des évaluations et des interventions holistiques avec la pleine participation des personnes, des organisation et des communautés avec lesquelles les travailleurs sociaux interviennent.

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14
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

8: utilisation éthique de la technologie et des médias sociaux

A

8.1 : les principes éthiques énoncés dans la présente déclaration s’appliquent à tout les contextes de pratiques, d’éducation et de recherche en ts, qu’il s’agisse de contacts directs en face à face ou de l’utilisation de la technologie numérique
8.2; les travailleurs sociaux doivent reconnaître que l’utilisation de la technologie numérique et des médias sociaux peut constituer une menace pour la pratique de nombreuses normes éthiques, y compris, mais sans s’y limiter à la privée et la confidentialité, les conflits d’intérêts, la compétence et la documentation, et doivent acquérir les connaissances et les compétences nécessaire pour se prémunir contre les pratiques contraires à l’éthique lors de l’utilisation de la technologie

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15
Q

Objectif 3 : reconnaître des principes énoncés dans la déclaration mondiale des principes éthiques du ts et d’en expliquer le sens

9: intégrité professionnelle

A

9.1 : mettre à jour régulièrement les codes d’éthiques ou ligne directrices éthiques. Informer les ts et les école en ts de la présente déclaration, les ts doivent agir conformément au code aux lignes directrices en vigueur.

9.2 : les ts doivent détenir les qualifications requises et développer et maintenir les aptitude et compétences requise pour faire leur travail .

9.3: les ts soutiennent la paix et la non-vioence.
- ne doivent pas utiliser leurs connaissances ou compétences à des fins inhumaines

9.4: ne pas abuser de la relation de confiance ou de pouvoir avec les personnes avec lesquelles elles interagissent.
-doivent reconnaître les limites entre vie personne et vie professionnelle et ne pas abuser de leur positon pour l’obtention de gains

9.5; les ts reconnaissent que donner et recevoir des petits cadeaux fait partie du ts et de l’expérience culturelle dans certaines cultures et certains pays . Dans de telles situation, cela doit être mentionner dans le code d’éthique du pays.

9.6 : ts a Le Devoir de prendre les mesures nécessaires pour prendre soins d’eux-même sur le plan professionnel et personnel, dans leur lieu de travail, dans leurs vie privée et dans la société

9.7 : les travailleurs sociaux reconnaissent qu’ils sont responsables d’eux leurs actes devant les personnes avec qui elles travaillent , leurs collègues, leurs employeurs, leurs associations professionnelles et les lois et conventions locales, nationale et internationales. Ces responsabilités peuvent être en conflit,ce qui doit être négocier pour minimiser les préjudices causés à toute les personnes. Les décisions doivent être éclairée par des preuves empiriques, la sagesse pratique et des considérations éthique, juridiques et culturelles. Les ts doivent être prêt à être transparent quant aux raisons de leurs décisions.

9.8 ;
S’efforce de crée dans leur milieu de travail et dans leur pays des contions dans lesquelles les principes de cette déclaration et ceux de leurs propres code nationaux sont discuter, évalué et respecter. Les ts et leur organisme employeurs encouragent et participent au débat pour facilite la prise de décisions éclairés sur le plan éthique

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16
Q

C’est quoi l’autorégulation ?

A

Mode de régulation des comportements où la régulation émerge pour que de l’individu qui décide pour lui-même de ses choix et ses actions

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17
Q

Culture organisation c’est quoi ?

A

C’est un ensemble de valeurs, d’attitudes et de modes fonctionnement qui caractérisent une organisation et qui influencent les pratiques de ses membres. Elle équivaut au mœurs ( pratiques généralement acceptées, façons de faire au quotidien, non-dits,) qui prévalent au sein d’une organisation et qui s’y transmettent le plus souvent oralement

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18
Q

La déontologie c’est quoi

A

C’est un mode de régulation qui impose des devoirs aux membres d’une profession ou d’une organisation. La déontologie car elle est mise en application par une autorité extérieur à l’individu( un ordre professionnel, une direction ) représente une forme de régulation principalement hétéronome. La déontologie s’inscrit ainsi dans la logique du droit. En matière de déontologie la régulation des comportements des individus est établie par des règles et des normes inscrites dans une code de déontologie.

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19
Q

Le droit c’est quoi ?

A

Le droit est un mode de régulation des comportements qui impose des obligations aux membres d’une société données : il protège leurs droits et prévoit un cadre procédural afin de leur permettre de régler leurs différends. C’est le mode de régulation des comportements le plus opérant dans nos société démocratique.

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20
Q

L’éthique c’est quoi ?

A

Constitue un lieu où le moment de réflexion critique sur la moralité de nos gestes individuels et collectifs. Elle concerne la compétence qui permet à l’agent moral de les mettre en question et d’en évaluer la pertinence selon les situations et les contextes. L’éthique se situe dans une perspective d’autorégulation, parce qu’elle fait appel à une maîtrise de soi qui permet à l’individu d’établir par lui-même et à la lumière des valeurs partagés la gestion de ses comportements.

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21
Q

Hétérorégulation c’est quoi ?

A

Mode de régulation des comportements qui provient de l’extérieur de l’individu. C’est un mouvement de régulation établi et imposer à l’extérieur, c’est à dire qu’une autorité extérieure discute à l’individu la façon dont il doit décider ou agir.

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22
Q

Mode de régulation des comportements c’est qu’on ?

A

Nous parlons d’une façon de baliser ou d’encadrer les actions des individus. Comme nous venons de le voir, cette régulation ne se fait pas systématiquement par une intervention externe. Elle peut aussi provenir de l’individu même. Les modes de régulations des comportements ont pour objectif de maintenir la cohésion et des interactions harmonieuses au sein d’un groupe, d’une organisation ou de société.

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23
Q

Les mœurs c’est quoi ?

A

Manière de faire, de vivre, d’évaluer et de penser partagée en groupe. La régulation prend forme par la pression des pairs à se conformer aux mœurs et la menace de sanction comme la marginalisation et l’exclusion dans le cas de non-conformités

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24
Q

La morale c’est quoi ?

A

Réfere aux conceptions du bien et du mal, du juste et de l’injustice, de l’acceptable ou de l’inacceptable dans les comportements humains. De ces conceptions découlent une série de normes définissant les pratiques acceptables, puis des règles permettant de traduire ces normes dans la pratiques . La morale devient alors devoir être autant que devoir faire en conformité avec ces valeurs et ces normes investit dans l’ensemble des champs d’activités humaine

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25
Moralisation c’est quoi
Transformation, par l’individu ou par la société, d’une activité moralement neutre en une activité ayant un poids morale significatif qui répond des impératifs doit ou ne doit pas.
26
C’est quoi les normes ?
Les normes en tant que code de conduites, diffusent les façons permises ou interdites, encouragée ou passible de sanction. Les normes sont des lignes directrices de conduites qui indiquent ce qui doit ou ne doit pas être fait dans divers contextes.
27
C’est quoi les valeurs ?
Conception du souhaitable et de l’idéal « les valeurs seraient des croyances prescriptives servant à déterminer l’acceptabilité ou le caractère désirable des fins et des moyens d’intervention sociale. Elles déterminent les préférences des individus et des collectivités au regard des actions, des situations, des états ou des des événements qui délient alors investis en qualité : bon, mauvais, désirable, non souhaitable, justifiable ou intolérable
28
Illustrer quelques exemples de dangers de la relation entre un usager et un ou une professionnelle
Une infirmière qui s’injecte de la morphine ( radiée pour une période de 9 mois) - s’est injecté pendant son heure de travail de la morphine - a volé son employeur Vol de fentanyl -une infirmière à été surprise à plusieurs reprises à voler du fentanyl et tenter de dissimuler ses vols en remplacent les médicaments dédiés aux patient par de l’eau, prolongeant la souffrance inutile des patients ( radiée pendant deux ans ferme)
29
Justifier la pertinence d’instaurer un système de protection public
Car il y a bcp de situations répertoriée dans lesquelles les professionnels ont enfreint les normes de leur profession. Les préjudices sont très graves ( mort de joyce) et les conséquences potentielles de ces manquement pour les professionnels eux-meme. ( radiation de l’ordre, sanction ) - le client est jugée comme une personne vulnérable face aux professionnels qui détient un expertise que le client ne possède pas donc l’utilise de se pouvoir peut être tentant et très préjudiciable pour le client.
30
31
Comprendre le but, objectifs et valeurs qui guident le système professionnel Québécois.
À l’époque tout le monde pouvait se déclarer professionnel dans son domaine. Avec la comission Castonguay création du Code des professions en 1974 En vertu de ce code, on crée des ordres professionnels à qui on confit le mandat de protéger le public avec leur activités respectives. Cependant tout le monde aspirait à avoir un statut de corporation car cela conférait un statu social important. Avec la création du code des professions qui est également devenue celle de l’office des professions du Québec, un organisme gouvernemental dont le mandat est de veiller à ce que chaque ordre professionnel s’acquitte de son mandat de la protection du public. L’office assume donc la responsabilité de contrôler et de surveiller les professionnels. La création de l’office permettait d’éviter la prise en charge du dossier par une ministre et d’éloigner les ingérences politiques qui auraient pu en résulter
32
Identifier les principaux acteurs du système professionnel Québécois et leurs responsabilité respectives !
1: le ministre de la justice est responsable de l’application des lois professionnelles et c’est à qu’elle que le l’office des professions et l’Ordre Professionnel rendent des comptes s 2 : l’office des professions du Québec : - un organisme gouvernementale autonome, financer par les Ordres professionnels - est un acteur central du système professionnel Québécois. Sa mission est de veiller à ce que chaque Ordre professionnel du Québec assure la protection du public et que les Ordres adoptent les règlements qu’ils doivent adopter en fonction du code des professions. - il nomme les représentant du public sur les CA pour chaque ordre 3; le CA - est composée en grande majorité des membres de leurs professions élus pas leurs pairs. -il y a également des administrateurs qui sont nommés par l’Office des professions qui agissent à titre de représentant du public. -permet d’assurer une transparence dans les activités des Ordres professionnels et s’assurer que le public y est représenté . 4 : les Ordres professionnels -fonction: la protection du public -ce ne sont pas des syndicats ou des associations professionnels qui travaillent dans l’intérêt de leurs membres. -ils ont le contrôle des admissions à la profession -ils veillent à la compétence et discipline des membres -adoption des règlements qui encadrent la profession -contrôle les exercices illégales Au cœur des ordres de trouvent les instances qui assurent la protection du public comme le syndicat, le comité d’inspection professionnel, le conseil des disciplines. 5 : chaque ordre a un conseil des disciplines - le rôle de ce conseil est de traiter les plaintes formulés contre les professionnels ou le professionnels qui auraient fait preuve d’incompétence ou d’une conduite répréhensibles - écouté les parties et les témoins pendant l’audience - examine les preuves - rend une décision 6 : le tribunal des professions = tribunal spécialisée qui peut entendre les appels des décisions disciplinaires rendues par le conseil de discipline des différents ordres des professionnels.
33
Objectif : comprendre la notion d’activités réservés et identifier les activités réservés aux ts (9)
1- évaluer le fonctionnement social d’une personne atteinte d’un trouble mental ou neuropsychologique attesté par un diagnostic ou pas une évaluation effectuée par un professionnel habileté 2- évaluer le fonctionnement social d’une personne dans le cadre d’une décision du DPJ 3- évaluer le fonctionnement social d’une adolescent dans le cadre d’une décision du tribunal en application de la loi sur le système de justice pénale pour les adolescents 4- déterminer le plan d’intervention pour une personne atteinte d’un trouble mental ou présentant un risque suicidaire qui est hébergée dans une installation d’un établissement qui exploite un centre de réadaptation pour les jeunes en difficultés d’adaptation. 5- évaluer le fonctionnement social d’une personne en matière de garde d’enfant et de droit d’accès. 6- évaluer le fonctionnement sociale d’une personne qui veut adopter un enfant 7: procéder à l’évaluation psychosociale d’une personne dans le cadre des régimes de protections du majeur ou du mandat donné en prévision de l’inaptitude du mandant 8: évaluer le fonctionnement social d’un enfant qui n’est pas admissible à l’éducation préscolaire et qui présente des indices de retard de développement dans le but de déterminer des services de réadaptation et d’adaptation répondant à ses besoins 9 : décider de l’utilisation des mesure de contentions ou d’isolement dans le cadre de l’application de la Loi sur les services de santé et les services sociaux pour les autochtones cris
34
35
Le rôle des ordres professionnels
Leur particularité c’est la protection du public. -il y a 45 ordres professionnels qui regroupe au-delà de 300 000 professionnels - Barreau développer un volet social à sa mission : commente les projets de lois qui sont déposé et présenté par le gouvernement tant par le gouvernement provincial que fédéral - il fait des commentaires pour s’assurer que tout les droits des citoyens sont protégé - pour rappeler au gouvernent la présomption d’innocence - le barreau du Québec surveille l’exercice de sa profession par le biais de l’inspection professionnelle pour assurer que le professionnel assure des services de qualités. - en plus ils doivent suivre leur code de déontologie ( devoir et obligations) - l’ordre va s’assurer que la personne possède les compétences, mœurs et qualité pour intégrer l’ordre. Les recours offerts par les ordres professionnels : - chaque ordre professionnel possède un syndicat indépendant qui doit veiller à ce que chaque personne qui veut porter plainte puisse avoir des recours. Les syndicats au niveau des ordres professionnels c’est plusieurs personnes : - ce sont des membres de l’ordre - le syndic est nommé par le comité d’administration des ordres professionnels - le syndic surveille l’exercice de la profession -il peut de lui-même porter une plainte disciplinaire .
36
Les représentants du publics c’est quoi leur rôle ?
Le rôle des représentants du public est -un rôle administrateur à part entière. -vont participer à tout les conseils d’administration pour s’assurer que l’ordre remplis sa mission première - cette mission leur est confrère par l’office des professions
37
C’est quoi le rôle de l’office des professions ?
C’est le gouvernement -ils ont comme rôle de surveiller les ordres pour qu’il remplisse leurs fonctions. - les administrateurs une fois nommé par l’office sont indépendants sauf si l’ordre ne remplis pas sa mission première ( protéger le public). - l’administrateur doit le dire à l’office des professions
38
La faute déontologique vs la faute professionnels
La faute déontologique c’est lorsqu’un avocat contrevient à ses devoirs et ses obligations qui sont imposés par le code de déontologie. -un manquement au code de deotologue entraîne une plainte disciplinaire qui est déposée par le syndic La faute professionnel c’est ; lorsqu’un avocat n’agit pas comme un avocat prudent et diligent et cause un préjudice à son client. Son client peut le poursuivre et réclamer des dommages et intérêts
39
Pourquoi on dit que le syndicat est indépendant?
Car personne ni le président de l’ordre, nie le président du barreau du Qc peut lui dicter de porter plainte ou non contre un avocat. Pour porter plainte le syndicat va avoir accès au dossier de l’avocat, il peut rencontrer des témoins, avoir accès à des documents tels que des comptes bancaires et va rencontrer l’avocat. -l’avocat est tenu de collaborer à l’enquête et il doit répond aux questions Après son enquête : le syndic peut décider de fermer le dossier s’il arrive à la conclusion qu’il n’y a pas de fautes déontologies. S’il arrive à la conclusion qu’une faute a été commise par l’avocat, il va déposer une plainte autre du conseil des disciplines. -si le syndic décide qu’il n’y a pas de faute le client peut demander une révision qui va être fait par le comité de révision du syndic.
40
Le conseil de discipline c’est quoi ?
Un tribunal qui est spécialisé et qui est indépendant. - une fois la plainte disciplinaire a été poser auprès du conseil de discipline, ce dernier va fixer une audition -les de l’audition, toute les parties vont être entendu par le conseil de discipline pour déterminer s’il y a une faute déontologique commise - le conseil de disciplines peut : Rejeter la plainte Ou Condamne le professionnel : pour déterminer la sanction on doit tenir compte de plusieurs critères : 1: la gravité objective de l’infraction commise par l’avocat 2: les circonstances dans lesquels l’infraction a été commise 3: l’âge du professionnel 4: est-ce que l’avocat avait des antécédents disciplinaire Les sanctions : - la réprimande -l’amande -la radiation temporaire -la radiation permanente -l’obligation de remettre des sommes d’argents que l’avocat s’est approprié illégalement -si le professionnel est radié pour plus de 3 mois et 1 jours, il ne pourra après ce délais reprendre automatiquement l’exercice de la profession, il devra faire une demande à l’ordre qui va évaluer s’il possède les mœurs, les qualités et les compétences pour pratiquer et assurer la protection du public *** le plaignant na pas besoin de se trouver un avocat c’est le syndicat qui s’en charge La sanction vise à punir le professionnel et dissuader les autres professionnels de faire de-même
41
Décrire 5 mécanismes dont disposent les ordres pour assurer la compétence de leurs membres et ainsi protéger le public
1: la délivrance de permis : au moment de délivrer le permis, ils s’assurent que les membres ont la compétence requise, notamment en vérifiant s’ils possèdent un diplôme donnant accès à l’ordre. 2 : la réglementation de l’exercice de la profession : les ordres émettent une série de directives auxquelles les membres doivent se conformer ( code de déontologie , guide des normes de pratiques) 3: la formation continue : émet des exigences concernant la formation continue et propose à ses membres un catalogue d’activités reconnues. Chaque ts doit suivre 30h de formations continues par périodes de deux ans. 4: l’inspection professionnel 5: les mesures disciplinaires : s’appliquent quand une plainte est portée contre le professionnel. Elles sont mises en œuvre par le syndic et par le comité de discipline. Le permier enquête sur les éléments de la plainte et détermine si celle-ci est fondée ou non. Le cas échéant, il porte la cause devant le comité de disciplines qui joue le rôle du tribunal professionnel. Les comité de disciplines qui peut imposer des sanctions. Dans le cas où le professionnel reconnaît ses manquements et souhaite les corriger, le syndic peut lui proposer de signer un engament volontaire à corriger sa pratique plutôt que de deferer son cas au conseil comité de discipline.
42
Ex de situations pouvant faire objet de mesure disciplinaire
-manquement à la confidentialité - manque à ces écrits au dossier -relation professionnel où il ya conflit d’intérêt - plainte qui peut venir des coordonateurs - n’a pas consulté le résident avec un trouble de santé pour regarder le budget l’année prochaine et on voulait y éviter un stress, il y a de la bienveillance mais quand-meme un manquement - l’évaluation du fonctionnement social qui n’est pas dans le plan d’intervention …
43
Que signifie le concept d’honneur et dignité ?
Le système québécois vise à protéger le public contre les préjudices qu’il pourrait subir. Il vise également à préserver la confiance du public. À défaut de confiance, les membres du public n’auront pas recours aux services et ne pourront pas en retirer les bénéfices escomptés. Dans cet esprit chaque professionnel à la responsabilité d’agir de manière à préserver la bonne réputation de sa profession et du système professionnel dans son ensemble. Dans le but de préserver la confiance, le code des professions précise que nul professionnel ne peut poser un acte dérogatoire à l’honneur ou à la dignité de sa profession ou à la discipline de l’ordre. Exemple d’actes dérogatoire à l’honneur et la dignité de la profession. - abuser de la relation professionnelle pour avoir des relations sexuelles, poser des gestes abusifs à caractère sexuel ou tenir des propos abusifs à caractère sexuel. - commettre un acte impliquant de la collusion, de la corruption, de la malversation , de l’abuse de confiance ou du traffic d’influence ou encore tenter d’en commettre un. - dispenser des thérapies de conversion visant à changer l’orientation sexuelle, l’identité du genre ou l’expression de genre d’une personne *** le maintien de l’honneur et la dignité de la profession entraîne aussi des limites à la liberté d’expression des professionnel et ce même dans leur vie privée.
44
C’est quoi le code de déontologie ?
Un document qui comprend 103 articles dans lequel sont énoncés les principaux devoirs auxquels sont soumis les travailleurs sociaux. Ce sont des règles de la tribu. Ces règles traduisent en comportement concret les ideaux et les valeurs de la profession, notamment en matière de professionnalisme.
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Expliquer l’utilité et les limites du code de déontologie 8 fonctions et 7 limites
Fonctions : permet de dicter les normes, les valeurs et conduire à adopter 1 - ça donne des repères dans la pratique en général, ça indique comment se comporter dans différentes situation. ( réguler des comportements professionnels) 2- établir des principes plus larges, des principes directeurs pour guider la profession. ( établir des standard éthique pour la profession) 3-guider face aux problèmes éthiques 4- protéger face à l’incompétence 5- informer les clients sur les services offerts 6-informer les autres professionnels 7- favoriser l’harmonie entre professionnel. 8- protéger les professionnels des litiges éventuels Les limites : 1- repère essentiel mais pas de réponse à tout les problèmes. 2- difficultés à interpréter les codes au quotidien 3- sources et sens des normes absentes 4- applications par conformisme 5: présence de principes parfois contradictoires 6- risque de perdre le jugement et l’autonomie professionnelle. 7: faible utilisation
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Les évolutions du code de déontologie
3 phénomène : - la salarisation massive de la main d’œuvre - le morcellement des activités de travail du à l’éclatement des champs de connaissances - l’intervention de l’Etat dans la production des service essentiels. ( pas important à savoir) Ces phénomènes cumulées aurait fait en sorte de réduire le monopole des corporations relativement à la régulation des pratiques professionnelles. La raison d’être du code de déontologie (5) 1- l’autonomie professionnelle ( l’exercice de la profession est donc régi et contrôlé par les membres de la profession et non par des gens extérieurs à la profession) 2- l’établissement de l’identité professionnelle ( favorise le sentiment d’appartenance et d’adhésion, partager un minimum de caractéristiques commune et appartenir à un groupe profession présentant un minimum de cohérence et de congruence interne. 3- le soutien parmis les membres de la profession ( sert de référence pour ajouter et évaluer leur pratique professionnelle, les codes aident les membres d’une profession à assumer la responsabilité commune comme groupe de professionnel, idéalement ils apportent aux membres un soutien et leur servent de guide pour prévenir ou résoudre les enjeux éthiques. Le développement de la jurisprudence ainsi des enjeux sociaux et professionnels ont fait en sorte que nouvelles dispositions se sont ajoutées pour arrimer ces enjeux avec les responsabilités des professionnels. - suite aux meurtres de qq1 qui aurait pu être prévisible, on n’ajoute que : un professionnel peut communiquer un renseignement en vue de prévenir un acte de violence, dont un suicide, lorsqu’il y a des motifs raisonnables de croire qu’un danger imminent de mort de blessures graves menace une personne ou un groupe de personne identifiable. - suite à la corruption de l’industrie de la construction : oblige les ordres à prévoir, dans leur code de déontologie, des dispositions énonçant expressément qu’est interdit tout acte impliquant de la collusion, de la corruption, de la malversation, de l’abus de confiance ou du trafic d’influence. En 2017 : on ajoute que le code des professions rend maintenant obligatoire une formation éthique et déontologie pour les candidats à la profession. Le code exige aussi des ordres professionnels qu’une telle formation soit également offerte à leurs membres
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Les évolutions du code de déontologie de l’ordre des travauilleurs sociaux et thérapeute conjugaux et familiaux dans un contexte professionnel Québécois 1e changement
Ajout des 8 valeurs du ts 1- le respect de la dignité de la personne 2- le respect des droits des personnes, des couples, des familles, des groupes et des collectivités. 3- le respect du principe d’autonomie de la personne et du principe d’autodétermination 4- le droit de toute personne en danger de recevoir assistance et protection selon ses besoins 5- la promotion des principes de justice sociale 6- la croyance en la capacité humaine d’évoluer et de se développer 7- la reconnaissance de la nécessité de percevoir et de comprendre la personne en tant qu’élément de systèmes interdépendants et potentiellement à porteurs de changements 8- la promotion du bien-être des personnes, des couples, des famille, des groupes et des collectivités
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Les évolutions du code de déontologie de l’ordre des travauilleurs sociaux et thérapeute conjugaux et familiaux dans un contexte professionnel Québécois 2 e changement
Reconnaissance qu’on se servent de nouvelles technologies pour offrir des services aux clients, le nouveau Code oblige le membre de l’ordre à s’assurer que l’identité du client soit protégée, voire que le client soit en mesure d’utiliser l’application information. Que celle-ci réponde aux besoins du client mais aussi que ce dernier comprend le but et le fonctionnement de l’application informatique. ET Reconnaissance de l’existence des réseaux sociaux dans la vie des professionnels et souligne que les member de l’OTSTCFQ ne doivent pas partager les renseignements relatif au client ou aux services professionnels rendu. De plus, le membre doit respecté la vie privée des personnes avec qui il entre en relation professionnelle et s’abstenir d’explorer des aspects de la vie privée qui n’ont aucune lien avec l’exercice de la profession.
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Les évolutions du code de déontologie de l’ordre des travauilleurs sociaux et thérapeute conjugaux et familiaux dans un contexte professionnel Québécois 3 e changdment
La qualité de la relation professionnelle au cœur du nouveau de déontologie 1 : le m’énerve exerce dans un cadre qui lui permet d’assurer la qualité des services. Lorsque des pressions ou des contraintes d’ordre pécuniaire, institutionnel ou politique nuisent à l’exercice de la profession, il doit indiquer clairement son client le conséquences qui peut en découler. 2: le membre s’abstient d’exercer sa profession ou de poser des actes professionnels lorsque les conditions et l’état dans lequel il se trouve sont susceptible de compromettre la qualité de son travail. 3 : interdiction d’avoir une relation d’amitié avec le client ou un de ses proches susceptible de compromettre la qualité des services.
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Définir la notion de courue organisationnelle
Dans les organisations, les mœurs correspondent à ce qu’on appelle « la culture organisationnelle» . Ce sont des façons de faire, des pratiques généralement accepté parmis les membres de l’organisation. Cette culture différencie les organisations les unes des autres. Elle peut être transmise de manière formelle ou informelle par le biais de pressions exercées plus ou moins subtilement par les membres du groupe. Elle dicte le comportement que les membres de l’organisation doivent adopter. Elle accroît le sentiment d’identité et renforce le sentiment d’appartenance
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Expliquer pour les établissement de santé et services sociaux de dotent de code d’éthique.
Éthique organisationnel: la gestion des conflits d’intérêt et des actes répréhensibles, le positon éthique des employers. - le code d’éthique c’est un positionnement, quelque chose qui nous amène à pacer notre pensée organisationnelle autour de qu’est-ce qui est importé à se dire et à s’inscrire comme obligations dans notre quotidien d’intervenant. C’est une obligation légale. Le code d’éthique est un outil de guidance générale.
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Décrire ce que contient le code d’éthique
-1 Doit spécifier les droits des usagés et comportements attendus des intervenants -2 doit englober tout ce qui a l’intérieur de nos murs ( couvre l’ensemble des intervenants) -3 spécifier les valeurs 1: bienveillance ; s’exprime de toute façon différente pour les différents professionnels mais tous se doivent d’être bienveillant avec leur patients. 2- transparence 3- l’amélioration continue 4- le partenariat
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D’expliquer comment les organisations peuvent procédé pour que ces codes soient opérant ?
1 : le premier ancrage est qu’à l’arrivée de chaque employés il est sensibilisé à son code d’éthique, il va signer un engagement de respecter le code d’éthique. 2: instaurer le code éthique dans une dynamique communicationnelle ( outils de diffusion et campagne annuelle). Il fait rediscuter régulièrement du code d’éthique pour s’en souvenir: 3: rappel des gestionnaire *** si on n’a des actions continues, il y a de fortes chances que le code soit impliquer dans la vie de tout professionnelle à chaque jour. À l’avenir on aimerait ajouter un autre point : On veut faire un code d’éthique plus actuel et donner la couleur qu’on voudrait que le code d’éthique pérenne. Participation = les gens participent à la création de l’outil ( code d’éthique) ce qui est plus facile pour le que le monde y adhère car ils s’y reconnaissent davantage. - faire un seul code d’éthique pour santé Québec.
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Le code d’éthique va le code de déontologie
Le code d’éthique : est plus généraliste, couvre l’ensemble des réalités qu’elles soient professionnelle ou non. Le code de déontologie : s’adresse à un groupe de professionnels en particulier et inscrit des comportements attendus et éthiques mais qui sont spécifiques à leur professions.
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Décrire c’est quoi le rôle du Commissaires aux plaintes et à la qualité des services?
Un rôle qui se divise en 3 étapes: 1- recevoir des insatisfactions des gens, des usagers. 2- analyser les insatisfactions et de voir s’il eu des lacunes dans les qui ont été reçu ou dans le services reçus. 3- s’il y a ej des lacunes, le rôle est de proposer à l’établissement des correctifs.
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Énoncé et expliquer les droits reconnus aux usagers dans la Lois sur la santé et les services sociaux (12)
1: le droit à l’information = le droit de savoir comme usager c’est quoi mon état de santé, c’est quoi les ressources que je dois recevoir ? C’est quoi les risques ? 2: le droit de choisir le professionnel ou l’établissement : demander de changer de professionnel pour assurer le lien de confiance. 3: le droit d’accès au dossier : l’usager a le droit d’accéder à son dossier. 4: le droit à la confidentialité 5; le droit à l’accompagnement : l’usager a le droit d’être accompagné, d’être assister dans sa démarche de soins ou autres démarches. 6; le droit d’avoir des soins et des services de qualités : la notion de qualité doit s’adapter à chacun des usagers. 7: le droit au consentement ; le droit de dire oui ou non à des soins ou des interventions. 8: le droit de participer aux décisions : être partie prenante des décisions qui sont prises, que le client participe à la construction de son pi 9: le droit de porter plainte : le droit de porter son insatisfaction auprès du Comissaire aux plaintes. La ts peut s’adresser au commissaire pour signaler la situation d’un usager, il ne peut pas faire une plainte car il n’est pas le représentant de l’usager. 10: le droit de recevoir des soins quand sa vue ou son intégrité est en danger 11: droit être informer de son état de santé et de bien-être. 12: droit de recevoir des services en anglais pour personnes d’expression anglaises
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Résumer les principale étapes du processus de traitement des plaintes au sein des établissements de santé et de services sociaux
1: on contact le commissaire. - le commissaire contact le plaignant pour avoir un échange, on va rassurer la personne et lui expliquer qu’on va analyser le dossier. 2: démarche de vérification ( vérifier dans le dossier de l’usager qui sont les intervenants qui ont agit lors du déroulement de l’intervention) on peut contacter n’importe qui dans l’établissement pour mieux comprendre ce qui c’est passé . 3: démarche d’analyse ( on va voir si les services que la personne a reçu font parties des bonnes pratiques, ce qui est attendu dans une situation du même genre. - On va voir s’il y a un écart dans les soins qui ont été donnés . Si on détermine que oui il y a eu un écart 4: on va faire des recommendations à l’établissement, des mesures d’améliorations
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Décrire les retombés possibles du processus de plaintes des usagers, les professionnels impliqués, leur équipes et l’ensemble de l’établissement
1: souvent sa règle en cours de procédure 2 : en procédant à des recommendations
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Définir ce qu’est un raisonnement normatif ?
C’est un type de raisonnement par lequel le travailleur sociale est guidé par les normes et la conformités. La personne chercher à se conduire selon ce qui est attendu d’elle, selon la loi, la déontologie, la morale ou la culture organisationnelle.
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Quelles sont les étapes du raisonnement normatif (3) ?
1. Le cas de conscience : la personne est animée par le soucis de l’autre et le désir d’agir correctement dans la situation. Son cas de conscience commence par un malaise alimentée par l’impression ou le sentiment qu’elle pourrait manquer à son devoir en agissant de telles façons. Ce sentiment titille sa conscience et l’amène à s’interroger sur ses obligations 2. La détermination de la norme : après avoir éprouvé son cas de conscience, la personne doit déterminer la norme ou la règle qu’elle doit appliqué dans la situation pour agir correctement. 3. L’interprétation de la norme : après avoir déterminé la règle à suivre, la loi ou la façon de faire qui convient à la situation, la personne doit interpréter la norme de la bonne façon afin d’y faire correspondre son comportement. Si la règle est claire, l’interprétation est facile et d’autres non. Le raisonnement normatif mène à l’adoption d’un comportement qui est conforme à la norme telle qu’elle a identités et comprise.
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Les limites du raisonnement normatif (3)
1- la norme peut perdre de son sens si elle ne provient pas que d’une autorité externe. Si cette autorité a peu de légitimité aux yeux de la personne qui applique le raisonnement normatif 2- il y a souvent plus d’une norme qui s’applique à la même situation. Il peut être difficile de décider laquelle de ces normes doit prévaloir, particulièrement dans des situations complexes 3- les normes ne sont pas toujours d’aptes à la situation. Certaines d’entre elles peuvent être caduques ou mal adaptées aux contextes social changeant
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Expliquer dans vos mots certaines ambiguïtés
1.Quand on travail en tant qu’intervenant aux services des personnes jugées vulnérables ou marginales on vise leur mieux-être, le respect de leur droit, leur insertion dans la société. Mais cette intervention du même coups confirme leur faiblesse, leur dépendance, leur marginalité. 2. Il y a un aidant et un aidé. L’aidant qu’on va voir par nécessité nous confirme en quelque sorte qu’on n’a besoin d’aide, donc on n’est en situation d’infériorité. 3. Le racisme dit qu’il y a toujours un rapport de société entre le majeur et le mineur. Quand on n’est du groupe majeur on n’est alaise et on pense que notre façons d’être et de pensé est LA façon d’être et de pensé. On n’a l’impression que ce qu’on défend c’est les valeurs universelles, que ce n’est pas nos intérêts qu’on défend. Alors qu’en majeur partie du temps c’est nos intérêts qu’on défend et nos biais et nos préjugés. Le majeur ne s’en rend pas compte il est pleins de bonne volonté. Le majeur a de la difficulté à se rendre compte que le mineur est capable et que c’est un individu qui est capable d’autonomie. 4. Dans le rapport aidé il y a toujours un jeux de classification, on dit lui c’est un itinérants oui mais encore ? Quand on dit ça on pense qu’on n’a compris alors qu’on n’a rien compris. On caractérise les choses par la négative. Alors que classé devrait nous aider à penser, on fini par pu penser car tout s’explique par le classement. L’enfermement dans sa façon de voir le monde est d’autre maniere de classifications qui font qu’en classant les gens, on les enferment et on refuse l’individualité et l’unicité de l’individu. 5. En tant qu’intervenant, on essai de se voir du point de vue de l’autre mais le point de vue dépend de où nous sommes précisément. Je ne peux pas me mettre à la place de donc je ne peux pas mettre à la place de .. je peux m’imagine mais c’est inaccessible. Solution : apprendre avec continuellement. Le terrain commun la où il peut y avoir une connivence et qu’on peut avancer ensemble dans une relative égalité. Est-ce qu’on accorde vraiment une égale dignité à tout les personnes qui nous approches ? L’aidant en ts a besoin d’être aidé et il est aide dans sa relation d’aide elle-même. On apprend des autres et consider l’aide permet d’apprendre avec la personne.
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Expliquer en quoi le travail social constitue une activité prudentielle telles que définie
Du fait que le travaille social concerne le travail avec des personnes et leurs trajectoires de vie, l’intervention sociale se confronte à des questions éthiques et demande par conséquent une activité prudentielle. Définition : un mode de pensé permettant d’agir en limitant les erreurs et les dommages malgré l’incertitude qu’il faut accepter comme partiellement irréductible. Difficile d’applique cette activité prudentielle quand on n’est dans un modèle basé sur l’efficacité et l’efficience. - c’est une forme de «sagesse pratique» pour agir en contexte d’incertitude. - la pratique prudentielle relève plus souvent de l’audance ou la prise de décision que de la retenue. - personne prudente doit composer avec des objets mouvants et contingent et puisque que cette réalité est indéterminée elle ne peut avoir une réponses certaine et démontrable. La personne prudente possède une partie rationnelle de l’âme qui lui permet d’opiner. Comment elle fait pour juger ? Par son vécu, son expérience qui lui permet d’agir en conséquence. Par sa capacité à évaluer ce qui est bon et ce qui est mal en se basant sur son savoir comme critère. La personne prudente adapte son comportement à la situation, à son interlocuteur et aux contextes.
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Définition de l’éthique
Elle constitue le lieu où le moment de réflexion critique sur la moralité de nos gestes individuels et collectifs . Elle concerne la compétence qui permet à l’agent moral de les mettre en question et d’en évaluer la pertinence selon les situations et les contextes. - elle permet de s’interroger sur ce qu’il convient de faire dans une situation ou dans un contexte donnée. Elle renvoie à un raisonnement philosophique qui donne le sens. Elle n’offre pas de réponse toutes faites. Elle cherche ce qui est bien de faire pour un individu ou un groupe à un moment donné. Elle constitue un art de vivre et représente un idéal de sagesse. Elle est l’art de raisonner nos choix en fonction de nos propres valeurs.
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Expliquer en quoi l’éthique se distingue de la déontologie et la morale.
La déontologie : au lieu de se définir dans l’abstrait, la déontologie vise les cas couramment rencontré par le professionnel. Elle chercher impérativement à donner à ces cas des solutions pratiques et précise définissant les devoirs du professionnels. C’est comme des procédures. - plus minimaliste : pour être un bon professionnel tu dois appliquer les règles et les procédures. Dans les deux cas la morale et la déontologie se proposent comme des repères déjà construits et institués. Donc si j’ai la réponse et la solution à ce que je dois faire, je ne prends pas de décisions. Pourqu’il y est une décision, il faut que le sujet soit déboussolée. Il faut que le cas ne trouve pas de réponse et que le sujet ne sache pas quoi répondre. C’est à ce moment qu’on parle de l’instant éthique, je n’ai pas la règle, je n’ai pas la réponse c’est la que la question éthique se pose. La morale : c’est tout ce qui a trait au mœurs, aux valeurs, aux attitudes humaines en général et en particulier aux règles de conduite et à leur justification. Ces valeurs aident à la réalisation de ce qui est considéré comme désirable, à la différenciation et la distinction entre ce qui est bien et ce qui est mal pour le vivre ensemble. La morale apparaît comme le système des significations que l’homme suit pour la réalisation d’une vie bonne pour soi. La morale est bcp plus complexe et bcp plus problématique. Au cœur de la morale les conflits, les contradictions entre l’universel et le particulier
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Définir la notion de dilemme éthique
Le dilemme survient dans une situation concrète dans laquelle une personne doit répondre à la question « qu’est-ce que je fais maintenant ?» et où il lui faut choisir entre une chose et son contraire,sachant que les deux actions ne peuvent pas être fait simultanément.
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Énumérez les catégories de dilemme éthique les plus fréquents et significatifs dans la pratique des ts (8)
1: Confidentialité et secret professionnels 2: autodétermination et paternalisme ( ce dilemme met en opposition le principe de promotion de la capacité des personnes de décider pour elle-même et celui d’agir contre leur volonté, au nom de leur bien). 3: doubles relations ( lorsque la personne en ts assume concurremment ou consécutivement d’autres rôle que leur rôle professionnel à l’égard de leur clientèle. 4: divulgation de la vérité ( dilemme se pose lorsqu’il s’agit de déterminer la pertinence de transmettre ou non à une cliente des informations jugées menaçantes ou potentiellement dommageable pour cette dernière. 5: lois, politiques et règlements ( des dilemmes éthiques surviennent lorsque la ts est d’avis que les lois, politiques eh règlements auxquels elle est soumis ne sont pas en harmonie avec les valeurs de ts. 6: dénonciation ( ts peut éprouver le désir de dénoncer mais vivre un dilemme parce que la personne pourrait vivre des effets négatifs ( ex dpj) 7: attribution des ressources ( le ts implique souvent de prendre des décisions difficiles concernant la réponse aux besoins des personnes, des groupes ou des communautés desservies. Cela pose des dilemme srx lorsque les ressources sont limités et que la compétition pour les obtenir est vive. 8: valeurs personnelles et professionnelles ( la ts est porteuse d’identités multiples auxquelles sont attachés à des valeurs sociales, familiales, religieuse et culturelle qui peuvent être en conflit avec celle de la profession, de l’établissement ou des usagers. Ces écarts de valeur peuvent générer un stress et des questionnements à propos de la façon approprié de se comporter.
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C’est quoi la sensibilité éthique ?
La sensibilité éthique est une sensibilité aux enjeux moraux dans des situations, elle permet d’identifier un enjeu éthique ou un enjeu potentiel, elle est le point de départ de l’action morale. La sensibilité à la perspective des autres et à l’impact potentiel absent. - c’est l’aptitude de la personne à reconnaître les aspects moraux ou éthiques d’une situation. Certains peuvent percevoir l’enjeu et d’autres non
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Quelles sont les composantes de la sensibilité éthique selon 3 auteurs.
1: Langlois empathie = capacité d’envisager les conséquences potentielles d’une décision/être capable de se mettre à la place de l’autre pour voir comment leurs intérêts pourraient être affectée par leurs décision 2: lutzen -capacité de distinguer les faits, des sentiments et les valeurs - sollicitude envers l’autre 3: callahan La sensibilité éthique comporte deux habiletés : 1- imagination morale ( habileté de voir des aspects moraux d’une situation et d’anticipé les conséquences 2- capacité de traduire des enjeux en catégorie morale. *** peu importe l’auteur la sensibilité éthique implique toujours d’anticiper les conséquences de ses actions, l’empathie, la bienveillance envers l’autre de même que la capacité de nommer des valeurs en causes.
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Trois niveau de sensibilité éthique
1 : sensibilité grossière= détecter les enjeux les plus gros comme une question de vie ou de mort. 2: sensibilité moyenne : les personnes qui sont non seulement capable de voir les problèmes éthiques majeurs mais une game plus étendue de problème éthiques courant dans la pratique professionnelles. 3: sensibilité fine : elle peut détecter les enjeux subtils qui ne sont pas perçus par la majorité des autres personnes
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Le développement de la capacité par : (2)
Ce n’est pas quelque chose d’inné c’est quelque chose qu’on peut développer, la nourrir et la soutenir 1: la formation ( en résolvant des problèmes éthiques fictifs) 2: l’exposition à divers enjeux éthiques
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C’est quoi l’éthique des devoirs ?
Idée centrale : on doit agir selon les principes, les devoirs sans égards aux conséquences. - la conséquence n’a pas d’importance il faut s’en tenir à des impératifs, des principes et des devoirs et peut importe les conséquences que ça va avoir. -les devoirs sont une forme de rationalité et ces devoirs sont rationnels, ce sont des règles qui sont parfaites donc on doit les suivrez et si on manque à travers nos actions, ce n’est pas la règle ou Le Devoir qu’on doit remettre en question mais c’est le fait que nous sommes imparfaits et nous ne sommes pas capable de bien obéir aux règles qui sont parfaites. On distingue deux de contrainte morales strictes : 1) positive : celle où l’on doit accomplir ces actions, on doit faire des choses ex tenir sa promesses 2) négative : tout ce qui est de l’ordre de l’interdiction, il est interdit d’accomplir certaines actions ex mentir
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C’est quoi le Conséquentialisme / utilitarisme ?
Idée centrale : ce n’est pas ce qu’on voulait faire qui est important, c’est les conséquences qu’entraînent nos actions et si c’est conséquences sont bonne ou m