Exam mi-session Flashcards

Cours 01-Cours 06

1
Q

Quel est le motif le plus fréquent de signalement à la DPJ ? (5)

A
  • négligence (30,6%) (réponse à question)
  • moitié=négligence ou risque sérieux négligence
  • 23% mauvais traitements psychologiques
  • 63% ont 12 ans-
  • 2,66% de population 0-17 ans
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2
Q

Quel est le pourcentage moyen de signalements traités et reçus ? (5)

A
  • 30% (réponse à question)
  • 0-5 ans= 27,6% traités pour 37,2% retenus (souvent plus vulnérables car pas filet social et plus de signalements car souvent fait à garderie ou genre endroits)
  • 6-12 ans= 41,5% traités pour 31,3% retenus
  • 13-15 ans= 21,9% traités pour 27,8% retenus
  • 16-17 ans= 9% traités pour 22,8% retenus
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3
Q

Vrai ou faux. Le DPJ essaie le plus possible de retirer l’enfant de son milieu familial.

A

FAUX.
- 27,9% ressource type familial (ex: famille accueil)
- 16,9% tiers significatif (ex: habite chez grand-maman)
- 51,4% milieu familial
- 8,8% centre réadaptation ou ressource intermédiaire (ex: foyer groupe = moins structuré et moins contrôlant que CR)

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4
Q

Quel est le groupe d’âge ayant reçu des services en vertu de la LSJPA ?
a) 12-13 ans
b) 14-15 ans
c) 16-17 ans
d) 18 ans et plus

A

b) et c), soit de 14 à 17 ans (réponse)
- filles : 779 14-15 ans et 750 16-17 ans
- garçons: 2 352 14-15 ans et 2 968 16-17 ans
- 79% garçons et 21% filles

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5
Q

Vrai ou faux. Les sanctions extrajudiciaires fonctionnent.

A

VRAI.
- 94% ados accomplissent sanctions extra
- 76,8% temps = sanction extra
- 14,6% temps= réfère jeune DPCP (accusations)
- 5% temps= autres décisions (transfert, DPCP, etc.)
- 3,6% temps= mettre fin

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6
Q

Combien d’adolescents sont concernés par les rapports pré décisionnels parmi les groupes suivants:
a) 12-13 ans
b) 14-15 ans
c) 16-17 ans
d) 18 ans+

A

c) et d), soit de 16 à 18 ans (bonne réponse)
- peines purgées collectivité = 11% filles et 89% garçons
- peines mise sous garde = 4% filles et 96% garçons
- laisse croire que peines moins sévères pour filles ou que délits moins graves pour filles
- 16-17 filles = 13 rpd vs 233 pour garçons
- 18 + filles = 17 rdp vs 279 pour garçons

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7
Q

Quelles sont les catégories de délit ayant le plus souvent mené à une peine spécifique ou à une sanction extrajudiciaire ? En nommer cinq.

A
  1. voies fait= 2 457 ados, soit 20,8%
  2. manquement conditions, règles liberté sous caution = 1 368 ados, soit 11,6%
  3. vol= 1 280 ados, soit 10,8%
  4. menaces = 1 268 ados, soit 10,7%
  5. méfait= 711 ados, soit 6%
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8
Q

Vrai ou faux. 90% des jeunes suivis en LSJPA rapportent avoir vécu au moins 1 type d’évènement traumatique et 62% en rapportent deux ou plus.

A

VRAI.
- surtout perte subite proche, violence familiale, abus psychologique, abus physique, négligence, etc.

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9
Q

Vrai ou faux. 60% des jeunes en LSJPA ont aussi un suivi en LPJ à un moment dans leur vie.

A

VRAI.

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10
Q

Quels sont les motifs du double mandat? (4)

A
  1. trouble cpt : 87%
  2. négligence: 67%
  3. abus physique: 27%
  4. abus sexuel : 17%
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11
Q

Quelles sont les caractéristiques et la proportion des jeunes ayant un double mandat ? (4)

A
  1. plus jeunes quand commettent premier délit (14,5 ans pour double vs 15,5 pour uni-mandat)
  2. premier délit = souvent infraction contre personne
  3. coupable plus grand nbre délits
  4. durée activité délinquante 3 fois plus longue

57,4% double mandat

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12
Q

Quelles sont les trajectoires les plus fréquentes chez les filles et lesquelles sont les plus fréquentes chez les garçons ?

A
  • Filles: 1. LPJ dure plus longtemps que LSJPA (LSJPA dans LPJ, voir diapo 18 cours 01)
  • Garçons: 1. Entrée LPJ et ensuite entrée LSJPA pendant suivi LPJ
  • autres trajectoires: 1 suivi à la fois (ex: LPJ et quand LPJ fini embarque sur LSJPA pas long après) OU entrée LSJPA avant LPJ (très rare)
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13
Q

Quelles sont les ressemblances et les différences de la LPJ et la LSJPA ? (8 critères)

A
  1. mission LPJ: protéger jeune
  2. mission LSJPA: protéger société ET jeune
  3. rôle interv. LPJ: accompagne, contrôle, surveille
  4. rôle interv. LSJPA: accompagne, mais SURTOUT contrôle et surveille
  5. clientèle LPJ: peut être volontaire, mais souvent involontaire
  6. clientèle LSJPA: involontaire
  7. motif compromission LPJ: trouble cpt sérieux (moins de 12 ans)
  8. motif compromission LSJPA : trouble cpt sérieux (12 ans+)
  9. visée LPJ: réadaptation
  10. visée LSJPA: réinsertion et réadaptation
  11. durée interv. LPJ: longue durée (révisions et nouv. signalements)
  12. durée interv. LSJPA: courte durée (début et fin pré déterminés)
  13. âge/genre LPJ: 63% moins 12 ans
  14. âge/genre LSJPA: 12-21 ans, sur représentation garçons
  15. prévalence évèn. traumatiques LPJ
  16. prévalence évèn. traumatiques LSJPA
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14
Q

Vrai ou faux. Une partie de ce qui s’applique à un groupe peut aussi s’appliquer à un autre (LPJ et LSJPA).

A

VRAI car sont potentiellement même clientèle

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15
Q

Quel est l’utilité ou la fonction du GeD ? (2)

A
  • permettre établir situation compromission enfant p/r dév. et aider à cibler services spécialisés dont enfant devrait bénéficier pour redresser courbe dév.
  • définir objectifs à poursuivre dans interv. et établir mesures correctives concrètes
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16
Q

Quelles sont les 3 échelles utilisées par le GeD ?

A
  1. cognitive langagière
  2. motrice
  3. socio-affective
    chaque échelle comprend nbre variable items selon âge
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17
Q

Vrai ou faux. Plus l’enfant est âgé, plus que les grilles couvrent de grandes périodes (ex: pour les 4 à 5 ans, les grilles couvrent une durée de 12 mois chaque)

A

VRAI.
- changement dév. moins rapides, donc grilles plus espacées

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18
Q

Vrai ou faux. Le guide évalue les capacités de l’enfant, notamment s’il a un retard ou non et évalue l’enfant dans un contexte précis.

A

VRAI.
- placer enfant devant tâches ou mises situation suscitent cpt directement observables

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19
Q

À quoi servent les scores obtenus lors de la réalisation du guide ?

A

qualifiier dév. enfant : zone adéquate, surveiller (exercices stimulation) ou de référence (référer professionnel pour dx)

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20
Q

Sous quel contexte est-il préférable d’effectuer le GeD ?

A
  • longue période donc pas tous tests d’une shot selon âge enfant
  • lieu sécurisant pour enfant / connu (pas nécessairement CJ si enfant connaît pas milieu ex: jamais allé)
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21
Q

Vrai ou faux. Les résultats obtenus avec le GeD sont uniformisés d’un Centre Jeunesse à un autre.

A

FAUX.

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22
Q

Vrai ou faux. Environ 50% des enfants de 0 à 5 ans évalués avec le GeD à l’étape de l’évaluation / orientation présentaient des scores dans les zones à surveiller ou de référence dans au moins deux sphères de développement pour la majorité.

A

VRAI. 2 à 3 fois plus que norme attendue dans population générale selon normes étude

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23
Q

Pourquoi est-il important de connaître le développement de l’enfant ? (5)

A
  1. dév. cerveau
  2. période fragile
  3. évèn. lourds (traumas) laissent traces
  4. interv. pas même façon selon âge
  5. comprendre cpt “normal” permet voir aspects sortent “normalité”
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24
Q

Quels sont les éléments retenus lors du test Marshmallow ? (4)

A
  1. influence des pairs très importante
  2. notion temps réduite
  3. récompenses plus tard = plus grande (capacité faible enfants)
  4. réaction honte/culpabilité car compris qu’aurait pas dû faire
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25
En quoi consiste la perspective développementale interactionniste ? (4)
- relations + interactions entre multiplicité causes+ déterminants possibles du dév 1. modèle biopsychosocial 2. modèle écologique 3. psychologie développementale
26
Qu'est-ce que le modèle biopsychosocial ? (4)
- facteurs biologiques ex: âge, gènes - facteurs socio-culturels ex: statut socio $, culture - facteurs psychologiques ex: personnalité, estime soi - combinaison+interaction facteurs risque ; risque pour dév. et facteurs promotion; avoir soutien social, dév. positif ou protection ; soutien dév. pour tous
27
Qu'est-ce que la perspective écologique ? (6)
- ensemble milieux dans lesquels enfant grandit - onto = enfant - micro = famille, école - méso= réseau relations, amis - exo= gouvernement, ville - macro= sous-culture, environnement socio-culturel
28
Qu'est-ce que la perspective développementale ? (4)
- dév. normal = même continuum que dév. pathologique, donc mêmes mécanismes + facteurs (ex patho; difficultés délinquance, tsm, difficultés sociales) - facteurs+mécanismes multiniveaux prédisent différences indviduelles dans dév: (ordre hiérarchique) 1. facteurs biologiques 2. facteurs cognitifs 3. facteurs psychologiques 4. facteurs sociaux 5. facteurs environnementaux - équifinalité = même si enfant a facteur vuln. ou protc différent, peut avoir même finalité qu'autre (ex: maltraitance) vs multifinalité=enfants avec mêmes facteurs vuln.+protect peuvent avoir finalité différentes - interdisciplinaire=plusieurs disciplines pour dév enfant (orthophon,physio...) + émergence et maintien= des difficultés
29
Qu'est-ce qu'un développement normal ?
dév. dans 30% autour moyenne (30% et 30% moins que moyenne = normalité)
30
Quelle est la proportion d'enfants à la maternelle ayant déjà une vulnérabilité dans 2 domaines scolaires ?
25% enfants service garde éducatif ont moins difficultés qu'autres
31
Quels sont les 5 domaines du développement de l'enfant ?
- santé physique et bien-être - compétences sociales - maturité affective - dév cognitif et langagier - habiletés communication + connaissances générales
32
Vrai ou faux. Les enfants peuvent avoir un âge chronologique différent de l'âge développemental.
VRAI. - si enfant âge différent devra trouver stratégies pour faire apprendre carences et remonter pente retards (niv. dév. peut varier selon domaines)
33
Quelles sont les stratégies à utiliser selon l'âge de l'enfant ? (3)
- petite enfance + préscolaire: 1. motivateurs externes (symbôles, bravo, fait pas ça tt suite) 2. renforcement immédiat (ex: délai récomp) 3. attention à adulte= renforcement 4. conséquences immédiates et courte durée (pour réduire négatif) - âge scolaire: 1. soutenir intériorisation motivateurs (féliciter/récompenser soi-même) 2. délai gratification 3. conséquences moins immédiates et longue durée (proportionnelles cpt et âge) - ado: 1. choisir combats dans établissement limites 2. conséquences naturelles actions: ado fait propres choix et responsabilise
34
Qu'est-ce qui peut affecter la performance de l'enfant au Ged outre un retard de développement ?
- fatigué ou malade - stressé - bruits derrière ex: tv
35
Quelles sont les qualités psychométriques du Ged ? En font-elles un bon outil d'évaluation ?
- outil validé - outil seulement acceptable pour 6 mois - - généralement bon outil pour dév jeunes
36
En quoi consiste et que permet la normalisation du Ged ?
- favorise utilisation ttes interv. - rencontrer groupes enfants permet savoir si enfant performe comme moy âge
37
Comment est implanté et utilisé le Ged dans les services du DPJ ?
- situation placement, révision dossier, 0-5 ans, enfants dans famille aussi, aux 6 mois pour voir dév/avancement
38
Pourquoi le Ged est un outil d'évaluation incontournable dans les services de DPJ ?
- surveiller enfants - éval capacités - faire suivi - sait que maltraitance a répercussions sur dév donc éval et fait suivi - cibler interv, cibler besoins enfant
39
Quels sont les résultats des enfants de 0-5 ans évalués avec le Ged à l'étape évaluation-orientation ?
50% sont zones surveiller/de référence dans au moins 2 domaines éval Ged soit 2-3 fois plus que moyenne
40
Quelles sont les propositions des auteurs, en conclusion, quant à l'utilisation du Ged ?
- Ged pas seulement constat, plus comme objectif cibler interv pour juguler retards dév pour remonter pente et rapprocher moy, normalisation outil
41
Quels sont les déterminants de l'attachement à la petite enfance ?
- sensibilité parentale : capacité à percevoir, interpréter+répondre (capable voir enfant quelque chose) manière approprié dans délai acceptable (pas immédiat) aux besoins+signaux enfant - cpts effrayants: attachement désorganisé, ex: visage effrayant, perd contrôle (sait 0 quoi faire avec enfant), aussi apathie
42
Quels sont les différents styles d'attachement ?
- sécurisant - insécurisant: 1. évitant: perçoit monde comme dangereux, s'attend à être blessé, évite relations 2. ambivalent (anxieux): sent insécure, manque confiance pour affronter monde, dépend parent 3. désorganisé: alterne entre modes relationnels agi manière confuse
43
En quoi consiste le développement de l'attachement chez l'adolescent ?
- ado apprend à réguler émotions, s'apaiser et répondre à besoins en ayant moins recours à base sécurité -acquérir autonomie vs maintenir lien attachement = multiplication conflits avec parents - attachement entre amis et partenaires amoureux
44
En quoi consiste le développement socio-cognitif à l'âge préscolaire ?
- émergence cpt pro sociaux (2-3 ans): prêter jouets, aider autrui (moins susceptible dév cpt criminel) - égocentrisme (normal 2-4 ans): incapable concevoir existence pov autre que sien - émergence théorie esprit (4-5 ans): représenter état esprit autrui+ prédire cpts - dév empathie: capacité identifier état émotionnel autre personne + mettre en correspondance avec situation /état (moins susceptible dév cpt criminel)
45
En quoi consiste le développement socio-cognitif à l'âge de l'adolescence ?
- dév capacités à -envisager différentes possibilités situation en détachant perspective unique -prévoir conséquences long terme ses actions/choix -résoudre problèmes mais - égocentrisme (normal): centration soi ado perçoit monde selon pov (associé dév identité ex: pense que tt monde nous regarde)
46
En quoi consiste le développement de l'auto-régulation (émotions, pensées, comportements) à l'âge préscolaire ?
- régulation émotionnelle: émergence capacité maîtriser réactions émotionnelles, importance dév langage -responsabilité passe graduellement parents à enfants (3-6 ans)
47
En quoi consiste le développement de l'auto-régulation (émotions, pensées, comportements) à l'âge scolaire ?
- dév régulation émotionnelle : identifier, réguler et exprimer émotions émotions: joie, colère, tristesse, dégoût, peur
48
Vrai ou faux. Tous les enfants et ados peuvent ne pas être capables de se contrôler car une partie de leur cerveau n'est pas encore développée.
VRAI. - maturité cortex pré frontal à 25 ans
49
En quoi consiste le développement de l'auto-régulation durant l'adolescence ?
- déséquilibre (auto-régulation encore insuffisante)= impulsivité, besoin sensations, cpts à risque, désir être accepté par pairs+établir autonomie
50
Quels sont les 5 grands constats de l'agressivité ?
1. grande majorité enfants âge préscolaire recourent agressivité physique 2. grande majorité enfants apprennent avec âge à utiliser autres méthodes résolution problèmes mais certains besoin plus temps qu'autres pour apprendre 3. filles apprennent autres stratégies plus vite que garçons 4. adolescence, 5% garçons considérés comme agresseurs physiques chroniques; cas exceptionnels chez filles 5. agresseurs physiques chroniques ado = plus susceptibles avoir été agresseurs chroniques petite enfance
51
Vrai ou faux. Les comportements agressifs sont partiellement expliqués par les gènes.
VRAI. - inné
52
Vrai ou faux. Les comportements agressifs s'observent dès l'âge de 6 mois, et les enfants atteignent un pic vers 2-4 ans.
VRAI - agressions instrumentales
53
Quels sont des facteurs pouvant prédire une agressivité élevée et stable ?
- garçons - famille avec faible revenu - mère sans DES - pratiques parentales hostiles/inefficaces
54
Vrai ou faux. Les trajectoires d'agressivité élevée et stables sont plus rares chez les 6-15 ans que chez les 2-11 ans.
VRAI. - 4% 6-15 ans contre 16,6% 2-11 ans
55
Quels sont les 4 types de maltraitance ?
- abandon - négligence (physique, éducative, santé) - abus physique et/ou sexuel - mauvais traitements psychologiques (inclu exposition vc)
56
Vrai ou faux. Plus de la moitié des répondants de 14-17 ans placés en CR rapportent avoir vécu quatre ou cinq formes de négligence.
VRAI - plus qu'une fois chaque car se répètent souvent
57
Dans quelle mesure la raison légale du placement reflète-t-elle les expériences de maltraitance auto-rapportées ?
- ne reflète pas - doit aller plus loin que raison placement car cache souvent autre chose - 83% placement = trouble sérieux cpt, mais trouble= souvent façon coper aux traumas vécus
58
Quelle est la définition du trauma ?
- évèn vie traumatique provoque réaction physique et psychologique extrême que plusieurs personnes ont mal à surmonter - traumas = sac à dos enfant; cailloux rencontrés dans vie et lourds à porter, invisible chez enfant (voit pas direct traumas 1ère rencontre)
59
Quels sont les 3 E ?
- Évènements: perçu comme menace pour vie représente danger physique ou psycho ou atteinte intégrité+dignité - Expériences: vécu subjectif, état peur, terreur, horreur, impuissance, honte, humiliation... - Effets: conséquences/séquelles associés = tspt, trauma complexe, dépress, anxiété...
60
De quelle façon fonctionne le système d'alarme normal vs celui d'un enfant avec des traumas ?
- normal = cerveau pensant situations quotidiennes et cerveau émotions quand stress - traumas = cerveau émotions tt temps pour être prêt si danger, et parfois danger déclenche là où a pas vrm danger (combattre, fuir ou figer)
61
Quelles sont les notions de trauma complexe ? (4)
- expériences interperso + impliquent souvent trahison - répétées / prolongées - impliquent tort direct au moyen différentes formes abus, négligence, abandon des personnes donnent soins - surviennent à périodes vulnérables dév (petite enfance, âge scolaire ou ado)
62
Quelles sont les différences entre le trauma et le trauma complexe ? (3)
- temporel - dirigé - reconnaissance - trauma = évèn avec début et fin, 1 fois dans vie, malchance car pas nécessairement visé, témoins et preuves crues - trauma complexe = gestes répétés, personne victime ciblée(trahison et faible estime soi), produit cachée, parole enfant vs celle adulte, remise doute et services complexes
63
Que contient le sac à dos de Zoé ? Quel déclencheur traumatique de Zoé est mis en évidence et comment la mère d'accueil interprète ce comportement ne connaissant pas l'histoire de Zoé ? Quels liens peut-on faire avec la notion de trauma complexe et ce qu'on sait sur Zoé ? Quels sont les moments de réussite des interventions de la mère d'accueil ?
1. parentifiée, vc, négligence, abus physiques, relocalisation famille accueil, familles accueil multiples, séparation frère 2. ingratitude enfant, aime pas robes 3. rapport autorité difficile, relations passées difficiles, figures soins insécurisantes, ciblée avec mère, agressions/négligences répétées, séquelles importantes dont attributions négatives 4. réparer pots cassés en donnant attention positive Zoé, renforcer autonomie, patiente + impliquée, adresse à niveau, laisse espace quand fâchée, pas réactive, prendre recul
64
Quels sont des facteurs de vulnérabilité de la maltraitance ?
- maltraitance = pas résultat un seul facteur, s'explique par facteurs multiples et interreliés - risque cumulatif explique mieux maltraitance car pas un facteur plus poids qu'un autre dans maltraitance, plus y a facteurs, plus y a risques maltraitance
65
Qu'est-ce que le modèle psychodynamique développemental ?
- théorie attachement= premières relations enfant+style attachement forgent dév représentations intériorisées de soi+ autrui affectant: mode relationnel ultérieur, dév croyances+attentes face soi et autres, cpts adoptés face à adversité et détresse
66
En quoi consiste le modèle médical ?
- modèle du stress toxique : -réponse stress positive = faible activation systèmes neurophysio stress réponse à évèn normatifs (ex: exam) -réponse stress tolérable =activation modérée systèmes neurophysio stress mais limitée dans temps avec ressources pour soutenir adapt (parents) -réponse stress toxique= activation forte+fréquente+prolongée systèmes neurophysio en absence influences protect suffisantes
66
Qu'est ce que le phénomène d'identification à l'agresseur ?
- devient agresseur pour repdrendre contrôle OU - intériorise cx à sa propre personne (se considère agresseur) pour préserver relation parent
67
Quel est le modèle des dynamiques traumagéniques ?
- dynamique trahison: personne soin fait du mal - dynamique impuissance: besoins/limites enfant pas considérées - stigmatisation: cognition négative sur faible estime soi - sexu traumatique: fausses croyances/cpts sur sexu
68
Qu'est-ce que le modèle du trauma au soi ?
- interfère dév: -régul émotions -habiletés relationnelles -cohésion identité provoquent stratégie adapt évitement
69
Quelles sont les conséquences associées à la maltraitance et au trauma ? (4)
- tspt : symptômes = reviviscence, évitement, altérations négatives cognitions humeur, altérations marquées éveil+réactivité, altération fonctionnement/détresse significative - tspt-c : altérations régulation émotionnelle, concept soi et relations interperso - trouble réactionnel attachement: enfant vit formes extrêmes insuffisance soins, cpt inhibé+retrait émotionnel, diminution réactivité sociale + émotionnelle à autrui, affects positifs restreints, épisodes inexpliqués irrtabilités, tristesse ou craintes - désinhibition contact social : enfant vécu formes extrêmes insuffisance soins, réticence réduite approcher adultes inconnus, cpts excessivement familiers avec inconnus, demande pas à adulte soin avant aventurer loin et accepte partir avec adulte inconnu/peu familier - troubles humeur - anxiété - tdah - ...
70
Quelles sont les grandes catégories de conséquences ? (9)
- dissociation+évitement: échapper situation dépasse capacités adapt dans laquelle enfant peut pas combattre/fuir - problèmes relation+attahement: attachement insécurisant, défi interv - identité+concept soi: protéger monde extérieur détriment monde intérieur, présenter vision négative ou faussement positive soi, faible estime soi - somatisation et biologie: dérèglement système neurophysio stress, altérations structure+fonctionnement cerveau (amygdale, hippocampe, cortex préfrontal), troubles somatiques médicalement inexpliqués+problèmes santé physique - cpts dysfonctionnels: réactions survie, cpt imprévisible/exagéré, trop ou peu contrôle sur cpts, cpts pour reprendre contrôle face expériences vécues+émotions,émotions nn-régulées,besoins nn-comblés droits bafoués derrière cpts - réponse+régul émotions: émotions intenses dépassent habil rég émotionnelle+capacités cogn enfant,difficulté identif,régul et exprimer émotions - problèmes cognitifs et apprentissage: difficultés cognitives variées sévérité modérée; fonctionnement intellectuel, attention, langage, fonctions exécutives, difficultés trouble apprentissage - attribution et compréhension monde: perçoit comme dangereux et imprévisible dan lequel tout futile,mode survie et pas confiance en avenir - mentalisation: aveugle à signification propres cpts et eux autres, confusion entre réalté interne et externe (états internes reflètent réalité, réalité reflète état interne), pensées+émotions déconnectées,expériences internes valides si accomp preuve physique+concrète
71
Quelles sont les étapes de la collecte de l'information ?
- prise connaissance signalement + ensemble dossier enfant - prise connaissance autres dossiers enfant: LSJPA, CIUSS... - prise connaissance dossiers parents si nécessaire - prise contact avec signalant pour obtenir info de plus - rencontre avec enfant seul - rencontre avec parents - rencontre avec fratrie seule - rencontre famille - rencontres additionnelles avec autres : enseignants, professionnel intervenant
72
Quels sont les 4 facteurs de l'analyse de la situation ?
- caractéristiques des faits - âge + caractéristiques enfant - capacité + volonté parents à mettre fin - ressources milieu aidant enfant et parents
73
En quoi consiste les caractéristiques des faits ? (4)
- nature: cpts, gestes, paroles (les faits), risque sérieux peut être basé sur cpts antérieurs - gravité: importance conséquences sur enfant - chronicité: (répétition/persistance dans temps, existence antécédents + probabilité répétition - fréquence: nbre fois que situation/évèn produit dans cadre signalement
74
Qu'est-ce que la caractéristique de l'âge et des caractéristiques de l'enfant ?
- vulnérabilité de l'enfant : ce qui prédispose enfant à affecté par situation (âge, degré autonomie, capacité physique,intellectuelle,affective) - facteurs vulnérabilité individuels (enfants): sexe, âge,troubles extériorisés (Ex: tr cpt) et intériorisés (ex:dépression, anxiété), probs médicaux, faibles compétences sociales
75
Qu'est-ce que la capacité et la volonté des parents ?
- compétences (rôle et respons) et capacité (ressources et moy) - facteurs vulnér parents: -grossesse non-désirée -tempérament -tr santé mentale -conso -faible niv empathie -attributions négatives -faible estime soi -stress parental -évèn vie stressants -maltraitance enfance/relation difficile avec parents -activité criminelle - facteurs vulnér famille -relation parent-enfant difficile -pratiques coercitives -conflits familiaux -faible satisf conjugale -vc -faible cohésion familiale - facteurs vuln socio $ + culturels -monoparentalité -plusieurs enfants sous même toit -faible soutien social -sans emploi -faible ssé -normes légales et culturelles
76
Qu'est-ce que sont les ressources de milieu ?
- personnes significatives et organismes (services sociaux, école, communautaires)
77
Quelles sont les 3 composantes essentielles de l'évaluation ?
- jugement clinique: impressions provenant entrevues+observations - éval systématique: utilisation instruments+mesures ayant bonnes qualités psychométriques - système soutien à pratique: aide à décision, simule raisonnement expert PJ+établi sur base connaissances reconnues dans domaine, outils cliniques informatisées associées
78
En quoi consiste l'analyse de la situation ?
- analyse dynamique ensemble facteurs risque et protection permettant conclure si sécurité ou dév enfant compromis - facteurs comparés + pondérés pour établir degré gravité de situation et risque atteinte à sécurité ou dév enfant
79
En quoi consiste l'application de l'entente multisectorielle ? (3)
- relative enfants victimes abus sexuels, mauvais traitements physique ou absence soins menaçant santé physique -quand motif raisonnable croire que sécurité ou dév enfant compromis+crime commis contre lui -but= garantir meilleure protection+apporter aide nécessaire en assurant concertation efficace entre ministères,établissements et organismes concernés
80
Que doit-on retenir de la vidéo «Au coeur de la DPJ» ? (3)
- parents focus sur leurs besoins avant ceux enfant (insatisfait, sentent que DPJ veut séparer enfant) - pas que parents font pas démarches, c'est qu'ont pas capacité pour garder enfant - doit demeurer réaliste+honnête et renforcer ce qui est bien fait
81
Quel est le processus clinique en protection de la jeunesse ?
- orientation - application des mesures - fin intervention
82
Qu'est-ce qu'une personne autorisée ? (4)
- exerce mesures au nom DPJ 3 responsabilités : - mise en place mesures protection (volontaires ou ordonnées) par PI élaboré, mis en oeuvre révisé - communication avec famille (incluant vérif. conditions vie enfant) - recours ressources milieu (autres services requis, en plus de ceux offerts ex: AA)
83
En quoi consiste la fonction d'aide, de conseil et d'assistance de la personne autorisée ?
- fonction priorisée - modif. situation compromission par changements chez enfants+parents - ensemble d'interv. spécifiques tient compte meilleures pratiques+programmes
84
En quoi consiste la fonction de contrôle de la personne autorisée ?
- encadrer la liberté des personnes - limiter certains cpts de l'enfant ou des parents selon âge; ado= limites, enfant = limiter cpts parents. en imposant conditions - moyens concrets+efficaces mettre fin à situation compromissionn(ex: visites supervisées)
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En quoi consiste la fonction de surveillance de la personne autorisée ?
- veiller avec attention+vigilance à l'AM volontaires ou ordonnées (Ex: visite non-annoncée dans une famille)
86
Qu'est-ce que le projet de vie ? (3)
- planifié lorsqu'enfant retiré milieu familial ou à risque de l'être ; vivre dans milieu stable auprès personne significative, répondant aux besoins et avec qui développe lien attachement permanent - milieu vie répondant le plus possible besoins enfant - placement actuel ou probable enfant
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Quels sont les projets de vie privilégiés ?
- maintenir enfant dans milieu familial - retour enfant dans milieu familial
88
Quelles sont les étapes du projet de vie à suivre ?
- clarifier projet vie selon besoins enfant, capacités et engagement parents et ressources pouvant aider enfant+parents - déterminer+planifier projet vie - actualiser projet vie; est actualisé quand enfant vit dans milieu stable façon permanente, dans famille ou dans autre milieu vie
89
Qu'est-ce que le plan d'intervention ?
- peut être une activité réservée selon les circonstances: déterminer plan interv pour personne atteinte tsm ou présente risque suicidaire étant hébergé dans installation établissement exploitant cr pour jeunes avec difficultés adapt., activité réservée mais partagée (ts, psychoéd, crimino), dans cadre AM, vertu LPJ ou LSJPA - vulnérabilité clientèle + contexte particulier = double problématique -problème adapt sociale majeur requiert hébergement dans une installation du cr -trouble mental diagnostiqué ou attesté par professionnel habilité ou risque suicidaire documenté
90
En quoi consiste l'appropriation de l'information clinique ?
- appropriation entente sur mesures volontaires ou ordonnance - prendre connaissance de situation vécue par enfant+famille; problèmes, enjeux et forces: -rapports -communication avec interv concernés -communication avec enfant et parents
91
Qu'est-ce que l'analyse clinique ?
- analyser motifs compromissions, besoins, forces et difficultés de l'enfant+parents -prendre considération éval risque instabilité+discontinuité enfant - déterminer buts, objectifs, moyens et échéancier
92
Quel est le but de plan d'intervention ?
- viser à mettre fin à situation compromettant sécurité/dév enfant - éviter que situation ne se reproduise - actualiser projet vie - plusieurs activités coordonnées dans délai plus long que celui nécessaire pour atteindre objectif, exige souvent atteinte plusieurs objectifs
93
En quoi consiste les objectifs du plan intervention ?
Objectifs PI: capable formuler/détecter objectifs apprentissage, conjoint apparaît pas dans formulation objectifs C-SMART: C: Conjoints (parents et enfants), objectifs discutés avec famille S: Spécifiques (traduire changements visibles attendus) M: Mesurables (jugement objectif et indicateur) A: Ajustés (modifier objectifs et moyens selon famille), sur mesure selon analyse clinique R: Réalistes (selon moyens et ressources) T: Temporels (échéancier avec durée et fréquence)
94
En quoi consiste les moyens du plan d'intervention ?
- identifier moyens pour chaque objectif : font consensus (enfant, parent, intervenant), compris par enfant et parents ont capacité de mettre en oeuvre (priorise que moyens reposent pas surtout enfant, ado pt + chance que oui, mais pas extrême) - identifier personnes responsables moyens retenus - préciser milieux (ex: domicile, milieu hébergement, école, service garde), moyens seront mis en oeuvre
95
Comment mettre en oeuvre le plan d'intervention ?
- les 3 fonctions de personne autorisée - réaliser ou coordonner les activités cliniques - soutenir actualisation projet vie - renforcer mobilisation + participation enfant, parents et réseau soutien (ressources milieu) - assurer suivi régulier moyens pour atteindre objectifs
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Comment est-il possible d'exécuter la révision du plan d'intervention ?
- faire bilan activités réalisées -évaluer degré atteinte du but du plan interv et chacun objectifs, consolider engagement de famille en soulignant réussites + discutant raisons pour lesquelles certains objectifs n'ont pas été atteints - mettre à jour information sur situation familiale (difficultés , besoins, forces) - déterminer poursuite/réajustement objectifs plan interv. : comprendre pourquoi pas été fait, renforcé ce qui a été bien fait - revoir moyens retenus et dérerminer ceux qui sont reconduire, modifier ou ajouter - déterminer nouveaux échéanciers
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Pourquoi le programme socio-judiciaire en conflits sévères de séparation est-il important ?
- pcq permet aux parents avoir meilleure relation entre eux et avec enfant, peut aussi réduire/mettre fin à situation de compromission
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Quel est l'objectif principal du programme socio-judiciaire en conflits sévères de séparation et qui est ciblé par ce programme ?
- objectif= concerter interv DPJ + processus judiciaire pour amener parents à établir co-parentalité fonctionnelle qui assure sécurité+dév enfant - cible= parents avec conflits séparation sévères
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Quels sont les thèmes abordés dans l'intervention du programme CSS ?
- engagement parents trouver solutions - connaître+comprendre impacts sur enfant - apprendre comment communiquer avec autre parent
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Quels sont les effets perçus du programme CSS sur la clientèle visée et les services ?
- parents communiquent - priorisent bien-être enfant - apprennent stratégies/solutions - permet meilleure cohésion famille et meilleur dév enfant - parents volontaires et reconnaîssent problèmes
101
Quels sont des enjeux rencontrés dans l'application du programme CSS ? (3)
- critères admission familles: cible familles volontaires reconnaissent présence conflit séparation+impact enfant, mais familles ne reconnaissant pas conflit ni impacts/tsm/vc = pas nécessairement admis dans programme - fin interv. : abrupte, absence soutien après, si 10 ans vc, possible qu'après 6 mois programme soit pas suffisant + retombe dans patterns - concertations interv clinique+judiciaire: confusion p/r rôles différents professionnels, synergie+harmonie dans ensemble acteurs
102
Quelles sont les recommandations suggérées par l'équipe CSS ? (5)
- bonifier formation continue - coordination milieux psychosociaux et judiciaires - planifier rencontres entre professionnels pour s'entendre sur méthodes travail efficaces+harmonisées+stratégies communication à privilégier - planifier suivis fréquents pour rendre compte état avancement interv pour offrir mieux ajustés - avoir équipe d'experts dédiés pour appliquer programme pour offrir constance
103
Pourquoi utiliser les approches axées sur le trauma ?
- vise à éviter ou revivre trauma - mettre à échelle universelle pour tous - soyons prudents, savons qu'enfants dans classes/groupes peuvent avoir vécu abus chez eux, donc faire attention pour pas traumatiser/re traumatiser enfant
104
En quoi consiste le modèle ARC ?
Attachement Régulation Compétences - modèle interv systémique dans approches axées trauma - pour jeunes avec trauma complexe et donneur soin (tout adulte avec relation significative avec enfant, que soit parent,prof, ts, ...) - flexible
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En quoi consiste les facteurs fondamentaux (sous-sol ARC) ?
- engagement et éducation: engagement passe par éducation=jeune et adultes présents dans vie, caractère irrationnel mais adaptatif du cpt, réactions adultes à lumière de propres expériences (si on été traumatisé à enfance eux aussi) - routines et rythme: procurent sentiment sécurité/prévisibilité+sentiment appartenance, équilibre entre routines imposées à échelle groupe de celles individualisées répondant besoin enfant
106
En quoi consiste la gestion des affects des donneurs de soin dans l'attachement (1er étage ARC) ?
- réagir est normal, mais doit gérer émotions + prendre soin soi (pour prendre soin autres et adulte réguler pourra réguler enfant/aider à réguler)
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En quoi consiste l'ajustement empathique dans l'attachement (1er étage ARC) ?
- mettre lunette trauma - interpréter besoins non-comblés et émotions non-régulées derrière cpts - identifier déclencheurs
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En quoi consiste la réponse efficace dans l'attachement (1er étage ARC) ?
- renforcer cpts recherchés - conséquences limitées et préméditées pour cpts spécifiques (selon gravité cpt) - cpt dérangeant = plus susceptible éteindre si besoin sous-jacent répondu et si régulation émotionnelle soutenue
109
En quoi consiste l'identification et la modulation des émotions dans la régulation (2ème étage ARC) ?
- identifier émotions et vécu interne - utiliser stratégies modulation émotions - soutenir enfant dans identification+modulation émotions (corégulation)
110
En quoi consiste le fonctionnement exécutif dans les compétences (3ème étage ARC) ?
- soutenir dév FE pour enfant puisse agir plutôt que réagir - résoudre problèmes, faire choix+prendre décisions pour reprendre sentiment contrôle et agentivité
111
En quoi consiste le développement de soi et d'identité dans les compétences (3ème étage ARC) ? (5)
- monde intérieur été délaissé pour protéger extérieur; soutenir jeune à explorer+comprendre qui est - identifier cx (laisser choisir) - identifier forces et ressources (renforcement positif) - soutenir identité intégrée et aspects soi (narratif) - soutenir capacité à projeter positivement dans futur
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En quoi consiste les liens relationnels dans les compétences (3ème étage ARC) ?
- dév compétences pour communiquer + établir maintenir relations - habiletés communication (comment initier convo)
113
En quoi consiste l'intégration des traumas (toit modèle ARC) ?
- processus vie, construire maison/soutenir trois piliers résilience aiderait à y arriver
114
Quelles sont les causes explicatives de la surreprésentation des populations des Premières Nations ?
- facteurs risque plus élevés (ex: pauvreté, faible ssé) - disparités importantes autochtones vs allochtones sur plan $, conditions vie, conditions logements... - conditions socio $, peuvent pas expliquer à elles seules surreprésentation, mise en place tutelle, sédentarisation - histoire coloniale, politiques assimilation - sous financement services préventifs - lien biais, préjugés
115
Quelles sont les différences et ressemblance entre les enfants LPJ et les enfants autochtones ? (5)
VOIR DIAPO 2 SLIDE 2
116
En quoi consiste la loi C-92 ?
- appliquée partout au pays, pour tous enfants et peu importe lieu résidence
117
Quelles sont les deux composantes de la loi C-92 ?
- prévoit ensemble normes minimales doivent être interprétées selon 3 principes: intérêt enfant, continuité culturelle et égalité réelle (considérer différences chaque communauté) - reconnaît compétence peuples autochtones à légiférer en matière protection jeunesse
118
Quelles sont les normes minimales de prévention de la loi C-92 ? (3)
- services prénataux et préventifs: priorité sur autres services, détailler ensemble services préventifs et voir si famille veut recevoir services - conditions socio économiques: enfant autochtone peut pas être pris en charge seulement à cause condition ssé (ex: pauvreté, manque logement, état santé précaire parent/donneur soins) - efforts raisonnables: intervenants doivent démontrer efforts raisonnables pour maintenir enfant auprès celui qui prend soin (offrir tous services parents avant conclure que placement est meilleure option, explorer toutes possibilités avant arriver à placement, considérer ordre priorité placement)
119
En quoi consiste l'intérêt de l'enfant ? (5)
- patrimoine culturel,linguistique et spirituel - nature et solidité des rapports avec parents, fournisseur soins et tout membre famille ayant rôle important dans vie - importance préserver identité culturelle et liens avec langue et territoire (nation ou territoire ancrage) - point vue et préférences, compte tenu âge et degré maturité - tout plan concernant soins (ex: soins conformes aux traditions, adoption ou garde coutumière); entente parents bio avec parents coutumiers
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Quelles sont les différences entre les lois C-92 en terme de placement et celles de la LPJ ? (2)
- priorité placement pour autochtones: parents, membre famille élargie, nation, autre nation; avec fratrie ou membre famille élargie; en tenant compte traditions matière adoption; obligation réévaluer régulièrement opportunité qu'enfant retourne milieu familial; aucun délai placement - priorité placement LPJ: similaire; rien; oui; délais placement selon âge enfant; projet vie stable et permanent - attachement enfant autochtone: attachement avec tous membres famille - attachement enfant LPJ: implicite, attachement tôt à personne significative
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Quelles sont les étapes du conseil de famille ? (7)
- assurer que jeune+parents=volontaires - constater participants, préparé en collab avec personne autochtone (ex: aîné) pourra faire animation, avec parents jeune détermineront qui est respo contacter participants pour convier conseil (Ex: membre famille élargie) - préparer participants (expliquer but, déroulement, rôle conseil - choisir environnement propice échanges (famille se sent à l'aise, chaises cercle) - animer conseil (chaque personne donne pov, tour de table) - plénière familiale: interv sortent salle et participants répondent questions ex: qui pourra mieux répondre besoins enfant et porte parole nomme résultats à interv et consigne solutions - fermeture cercle
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De quelle manière faut-il construire un plan de bienveillance ? (6)
- solutions décidées par participants lors conseil famille deviennent ligne directrice guidant interv auprès famille - chez atikamek, conseil famille désigne personnes et partenaires constitueront cercle d'aidants et engagement à respecter responsabilités sont dévolues et déterminées par consensus lors cercle - chaque personne cercle aidants fait parte plan bienveillance et invitée à participation - criminologue aussi a respos dans plan et doit veiller à mobiliser membres cercle aidants dans mise en oeuvre plan - membres cercle aidants peuvent réunir à plusieurs reprises et environ 1 mois avant date échéance plan bienveillance pour faire bilan situation - donc repenser processus pour inclure partage, entraide, bienveillance; impose changement posture, pas rôle expert mais accompagnateur; implique respect normes minimales à mettre place pour promouvoir unité familiale, prioriser prévention, favoriser continuité culturelle et diminuer surreprésentation autochtones dans régimes protection enfance