exam final Flashcards
(36 cards)
Le droit des détenus
La présentation se fait basé sur qui ? Quel date? Que denonce-t-il ?
Jean-Claude Berheim, 2008, la malhonneté du gvt Harper & Le rapport de force politique & économique sur le droit des citoyens
Le droit des détenus
Dans quoi se spécialise l’auteur ?
Criminologie, droit des détenus. Prof à Ulaval, Udem, uOttawa, Université St-Boniface au Manitoba
Le droit des détenus
La notion de droits vient de où? Quel est le moment important pour le droit des détenus au CAN?
Moyen-âge, environ 12-13s
1982 : Charte des droits et liberté par Papa Trudeau
Le droit des détenus
Qu’est-ce qu’on a fait pour changer la vie des prisonniers année 1980? Qu’est-ce qui l’a initié ?
Obtention droit de vote, amélioration des conditions comme bouffe caféteria. Grève pacifique en 76 dans pen de St-Vincent de Paul et Archambault à la suite d’une tentative d’évasion tragique = sympathie
Le droit des détenus
Qui est à la tête du GVT en 2008 ? Tout ce qu’il a fait, son mandat
Harper, conservateur, Janvier 06-15
Plus répression que réhabilitation
Dit que la criminalité avait augmenté alors qu’en réalité a diminué (Stats Can entre 94-04 dit grandement diminué) (Surtout devant Association Canadien des polices le 3 avril 2006). But Démagogique & Electo
Vol avec armes à feu, même fausse = min 4 ans CC
Faculté affaiblis : Avocat Défense doit maintenant prouvé que l’appareil était défectueux & Augmentation 120 peine minimal 3e infraction)
Le droit des détenus
Stats que x à diminué
Le taux d’homicides [1.2 homicides/100 000], [1, 2e et involontaire] a diminué de 5,3 %,
Les tentatives de meurtre de 29,4 %,
Les voies de fait graves de 18 %,
Les agressions sexuelles de 32,6 % (dont les agressions sexuelles armées de 53,6 % et les agressions sexuelles graves de 56,5 %)
Les vols qualifiés avec des armes à feu de 53,7 %,
Les introductions par effraction dans les résidences de 38,6 %,
La conduite avec facultés affaiblies de 33,5 %,
Les délits de fuite de 64 %
Le droit des détenus :
Parle du système de santé : Ses objectifs? La loi ? What happened ?
Loi des droits des enfants/loi santé : La politique canadienne en santé à pour objectifs de protéger, de favoriser et d’améliorer le bien-être physique et mental des habitants du Canada et de faciliter un accès satisfaisant aux services de santé, sans obstacles d’ordre financier ou autre.
Avait des surplus dans le monde de santé, priorisait ouvrir des pens de 1500-2000 individus (par vrm utile)
Droits des détenus :
Serait quoi la conséquence de ramener la peine de mort ?
ça va à`l’encontre de l’image de liberté et d’ouverture social qu’on montre internationnellement.
Vidéo amour criminel :
Océanne écrivait à qui first ?
L’ex avocat tué son partenaire ?
Kathleen a rencontre son mari comment ?<
l’auteur qualifie l’amour entre prisonnier et extérieur de ?
Temps en rencontre familiale en roulotte ?
Luca Rocco Magnotta Michel Dunn Benevolat en prison Amour artificielle 72h
L’incarcération des autochtones
En ________ 2020, l’enquêteur correctionnel _________ publiecommuniqué et des renseignements à l’appui indiquant que le nombre et la proportion d’Autochtones purgeant une peine fédérale ont atteint de ________ _________ __________
Janvier
Ivan Zinger
Nouveaux sommets historiques
L’incarcération des autochtones
Il y a 4 ans, le Bureau E correctionnel disait que les auto representation pop carcéral
Aujourd’hui ?
Dans 3 ans ?
Ils represente combien population gen?
Et la femme ?
Le taux d’incarcération est _ à _ x plus élévé
25%
30% = indigénisation plus marqué du système correctionnel du Canada =
33% -> Déséquilibre troublants et enraciné
Environ 5%
42% de la population carcérale féminine
6 à 7 moyenne
L’incarcération des autochtones
Vrai ou faux ?
La proportion d’autochtones en milieu carcéral augmente tandis que les nons autochtones diminue
Vrai
Auto augmente de 43,4% (1265) depuis avril 2010
Non-Auto diminue de 13,7% (1549)
L’incarcération des autochtones
Quel est le pourcentage de population qui s’identifie comme autochtone en milieu carcéral entre 2001 et 2020
17,59% à 30.4%
L’incarcération des autochtones
Malgré les conclusions de __________ _________ et _________ ______, l’___________ des _______, les ________ et les __________ des dirigeants politiques précédents et actuels, aucun gouvernement a reussi à changer la tendance
malgré les conclusions des commissions royales et des enquêtes nationales, l’intervention des tribunaux, les promesses et les engagements des dirigeants politiques précédents et actuels,
L’incarcération des autochtones
L’indigénisation de la population carcérale du Canada est ________ nationale
Parodie
L’incarcération des autochtones
Vrai ou faux ? Les autochtones sont surreprésentés dans les établissements à sécurité minimales
Les délinquants autochtones purgnet + grande proportion de leur peine derrière barreau avant LCT
Les autochtones recivident niveau plus élévés, soit de 70% dans les prairies
Faux, maximale
Vrai
Faux, récidivent ou sont réincarcérés
L’incarcération des autochtones
Le SCC s’est longtemps recusé de toute __________ à l’égard de la surrepresentation des Autochtones, car ils n’ont aucun control sur les facteurs “en amont”
En revanche, selon Zinger, ils le sont pk ? Cmmt ?
Responsabilité
n ne parvenant pas à combler l’écart entre les résultats des délinquants Autochtones et non autochtones, le système correctionnel fédéral apporte sa propre contribution unique et mesurable au problème de la surreprésentation.
en reconnaissant qu’il ne suffit pas d’apporter des modifications mineures au système.
L’incarcération des autochtones
Les actions que le SCC doit entreprendre sont également présents chez ___________ ___ ________ __ __________, dans l’_____ ______ sur les femmes et les filles Autochtones _______ et ________ (FFADA) ainsi que dans ______ études récentes du _________ ________ sur les peuples Autochtones dans le système de justice pénale.
Commission de vérité et réconciliation, dans l’Enquête nationale sur les femmes et les filles Autochtones disparues et assassinées (FFADA) ainsi que dans deux études récentes du Comité parlementaire sur les peuples Autochtones dans le système de justice pénale.
L’incarcération des autochtones
Quelles sont les 7 mesures recommandés par le BEC?
- Transférer les ressources et la responsabilité aux groupes et collectivités Autochtones pour les soins, la garde et la surveillance des délinquants autochtones. - Nommer un commissaire adjoint responsable des services correctionnels pour les Autochtones.
- Augmenter l’accès à des programmes correctionnels adaptés du point de vue culturel.
- Clarifier et améliorer le rôle des Aînés autochtones.
- Améliorer la participation des collectivités Autochtones et renforcer leur capacité d’offrir des services de réinsertion sociale
- Améliorer l’accès au dépistage, au diagnostic et au traitement des délinquants Autochtones touchés par l’ensemble des troubles causés par l’alcoolisation fœtale.
- Élaborer des outils d’évaluation et de classification qui répondent aux besoins et aux réalités des Autochtones aux prises avec le système de justice pénale.
L’incarcération des autochtones
Caractéristique sociodémographie (rapport 2007-2008), Service correctionnel québécois
7 Sexe Age Langue Diplome Origine Quel "type" + surreprésenté
- 88 % des Autochtones confiés aux Services correctionnels sont des hommes, (comme non-auto)
- La population correctionnelle autochtone est légèrement plus jeune que son homologue non autochtone, avec des âges moyens respectifs de 33,2 et 36,2 ans.
- La langue d’usage des Autochtones diffère beaucoup de celle des non-Autochtones : 60 % des premiers ne parlent pas français, alors que 84 % des seconds parlent seulement français.
- Les Autochtones vivent plus en couple et ont plus de responsabilités familiales que les non-Autochtones.
- Tout comme les non-Autochtones, la majorité des Autochtones n’ont pas de diplôme d’études secondaires.
- Dans une population correctionnelle de 51 814 individus au Québec, 1 734 se disent d’origine autochtone, ce qui représente 3,3 % de la population correctionnelle du Québec, alors qu’ils ne sont que 1,2 % dans la population générale.
- Les Inuits connaissent la plus forte surreprésentation dans le système correctionnel québécois, totalisant près du tiers des Autochtones pris en charge.
L’incarcération des autochtones
Caractéristique détention
Population moyenne, Hausse sur 5 ans Incarcéré + ou Type d'infraction (et l'abus sexuel?) Temps de peine Condamné et prévnus ? Transfert?
(7)
- 977 Autochtones ont fait l’objet de 1 260 admissions en établissement de détention, ce qui représente 3,1 % des admissions au Québec.
- la population moyenne quotidienne en institution (PMQI) des Autochtones est de 189,7 détenus, soit 4,3 % de la PMQI totale du Québec.
- En 5 ans, soit entre 2003-2004 et 20072008, la PMQI des Autochtones a augmenté de 152,3 à 189,7, ce qui correspond à une hausse de 25 %. Durant la même période, la hausse observée chez les non-Autochtones est de 18 %.
- incarcérés dans les établissements d’Amos, de Saint Jérôme, de Baie-Comeau, de Roberval et, en plus petit nombre, à l’établissement de Sept-Îles.
- Les Autochtones commettent des infractions moins diversifiées que les nonAutochtones. Ce sont d’abord des crimes contre la personne (43 %), dont les voies de fait dans les trois quarts des cas, suivis des infractions contre la propriété (21 %), dont l’introduction par effraction dans la moitié des cas. L’abus sexuel apparaît tout à fait secondaire dans la trame des délits commis.
- Selon les données, les Autochtones sont condamnés à des peines d’emprisonnement plus longues que les non-Autochtones avec des durées moyennes respectives de 171,6 et 138,2 jours
- Que ce soit comme personnes condamnées ou prévenues, les Autochtones ont une durée de séjour en détention plus longue que les non-Autochtones. La durée de séjour des Autochtones est de 92 jours comme condamnés et de 24,8 jours comme prévenus
- 42 % des Autochtones sont transférés d’établissement, soit une proportion presque deux fois plus élevée que chez les non-Autochtones. (Inuits )
L’incarcération des autochtones
Caractéristique des Inuits
Profil socio-judiciaire
Les admissions/type de crimes
Temps de peine
les 2e et 3e?
- 42 % des Inuits incarcérés ont le profil socio-judicaire le plus sévère par rapport aux autres nations
- ls comptent pour 28 % des admissions et 40 % de la PMQI autochtone ce sont les plus nombreux à avoir commis des infractions contre la personne (55 %) et à présenter un problème de violence conjugale (37 % par rapport à 13 % ou moins pour les nations amérindiennes).
- En conséquence, les Inuits sont condamnés à des peines plus longues et demeurent plus longtemps en détention
- les Algonquins et les Attikameks seraient les deux autres nations ayant le profil le plus sévère.
- Leur catégorie d’infraction la plus courante est celle contre la personne (41 % dans chaque cas) et la durée de leur peine d’incarcération ainsi que de leur séjour en établissement est la plus longue, après celle des Inuits.
L’incarcération des autochtones
Caractéristique des femmes autochtones
- Les femmes Autochtones comptent pour 3,1 % de toutes les admissions féminines au Québec et pour 4,9 % de la PMQI des femmes à l’échelle provinciale comparativement aux femmes non autochtones, les femmes Autochtones sont condamnées à des peines d’emprisonnement plus longues et elles demeurent en établissement de détention plus longtemps.
- Cependant, leur durée de séjour en détention provisoire est légèrement inférieure à celle des femmes non autochtones.
L’incarcération des autochtones
Le suivi dans la communauté (6)
En 2007-2008, les directions des services professionnels correctionnels (DSPC) ont suivi 1 628 Autochtones faisant l’objet d’une mesure sentencielle ou correctionnelle dans la communauté, ce qui correspond à 4,7 % de tous les suivis au Québec.
1 259 suivis concernent une probation avec surveillance, 312 une ordonnance d’emprisonnement avec sursis, 37 une libération conditionnelle et 20, une permission de sortir.
Chaque mois, en moyenne, 719 Autochtones sont suivis dans la communauté. Les Autochtones sont surreprésentés dans les mesures sentencielles (probation avec surveillance et emprisonnement avec sursis), mais ils sont sous-représentés dans les mesures correctionnelles (libération conditionnelle et permission de sortir).
Les Inuits comptent pour 35 % des suivis probatoires et pour 48 % des suivis dans le cas d’emprisonnement avec sursis. Qu’ils soient suivis pour une probation avec surveillance ou un emprisonnement avec sursis, plus de 55 % des Autochtones étaient condamnés pour des infractions contre la personne et environ 20 %, pour des infractions contre la propriété.
Dans la population correctionnelle autochtone, les femmes occupent une part plus grande dans le suivi en communauté que dans le suivi en détention. Que ce soit dans le cas de la probation ou celui de l’emprisonnement avec sursis, elles comptent pour 12 % des Autochtones suivis en 2007-2008
De plus, les femmes Autochtones représentent 4,4 % de tous les suivis de femmes au Québec pour les deux mêmes mesures.