Exam final Flashcards

1
Q

Quelles sont les 3 tendances centrales des dépendances ?

A
  • La responsabilisation de l’individu
  • La mobilisation des acteurs du milieu
  • La prévention accrue des problèmes sociaux
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2
Q

Quelles sont les 2 conceptions de la dépendance ?

A
  • L’approche de la maladie

- L’approche du style de vie

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3
Q

Qui suis-je ?
Augmente la probabilité qu’un trouble ou un problème ne survienne et augmente la probabilité que ce trouble / problème soit plus grave ou de longue durée

A

Facteur de risque

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4
Q

Qui suis-je ?
Caractéristique qui contribue à l’adaptation positive d’une personne en situation d’adversité ou malgré la présence de facteurs de risque

A

Facteur de protection

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5
Q

Qui suis-je ?

  • Trait de personnalité caractérisé par l’adoption d’un comportement par un individu sans que celui-ci ne pense aux conséquences de ses actes
  • Lié à une prise de risque, un manque de planification mentale et une prise de décision rapide
A

L’impulsivité

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6
Q

Qui suis-je ?

- Lorsqu’au moins 2 troubles psychiatriques sont présents chez un même individu au même moment

A

Comorbidité

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7
Q

Qui suis-je ?

- Circuit de la récompense et des punitions qui gère les désirs, le plaisir et les émotions

A

Système dopaminergique

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8
Q

Vrai ou faux ?

La dépendance augmente directement ou indirectement l’activité des neurones dopaminergiques

A

Vrai

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9
Q

Quelles sont les 3 étapes des approches théoriques en dépendance ?

A
  • Comprendre
  • Évaluer et intervenir
  • Stratégies préventives
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10
Q

L’évaluation psychologique permet d’émettre des hypothèses quant à quels facteurs ? (3)

A
  • Prédisposants
  • Précipitants
  • de Maintien
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11
Q

L’évaluation psychologique permet de répondre à quelles questions ? (6)

A
  • Produits / comportements ?
  • Circonstances ?
  • Conséquences ?
  • Avantages et inconvénients ?
  • Ambivalence face au changement ?
  • Solutions déjà essayées ?
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12
Q

L’approche motivationnelle décrit quelles étapes ?

A

Les étapes par lesquels un individu doit passer lorsqu’il opère un changement de comportement.

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13
Q

Quelles sont les 7 étapes de l’approche motivationnelle ?

A
  • Précontemplation
  • Contemplation
  • Détermination
  • Action
  • Maintien d’action
  • Rechute
  • Changement consolidé
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14
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?

o Pas d’intention de modifier, déni, pas consciente des conséquences négatives

A

Précontemplation

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15
Q

Nommer les 4 types de précontemplateurs (4 R)

A
  • Réticent (évite l’inconfort)
  • Rebelle (Très investi mais n’aime pas se faire dire quoi faire, offre un argumentaire)
  • Rationnel (minimise, veut argumenter)
  • Résigné (dépassé)
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16
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?
o Ambivalente, oscille entre avantages et inconvénients
o Commence à reconnaître le problème et envisage de changer éventuellement, récolte de l’information

A

Contemplation

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17
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?

o Fixe des objectifs, prête à demander de l’aide ou intégrer un programme de soins

A

Préparation

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18
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?

o Exerce un changement de comportement (bcp de temps et d’énergie)

A

Action

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19
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?

o Travaille à prévenir la rechute et maintenir les gains

A

Maintien

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20
Q

Quel stade de l’aproche motivationnelle suis-je ?

o Consomme de nouveau

A

Rechute

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21
Q

Quels sont les principes directeurs de l’entretien motivationnel ? (FRAMES)

A

o F – Feedback sur les risques personnels de la consommation
o R – Responsabilité du changement qui appartient au client
o A – Advice conseils
o M – Menu d’options thérapeutiques ou d’aide alternative
o E – Empathie au centre du style
o S – Self-efficacy Sentiment d’efficacité personnelle engendré et renforcé chez le client

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22
Q

L’entretien motivationnel est divisé en 2 phases. Quelles sont-elles et quel est le rôle du thérapeute dans ces deux phases ?

A

Avant la décision de changement
- Rôle : aider la motivation

Après la décision de changement
- Rôle : aider le client à élaborer un plan d’action, à identifier les obstacles et des réseaux de support

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23
Q

Qui suis-je ?
-Association répétée d’un stimulus neutre (conditionnel) avec un autre stimulus (inconditionnel) qui évoque une réponse (inconditionnelle), de sorte que le stimulus conditionnel en vient avec le temps à provoquer la réponse

A

Conditionnement classique

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24
Q

Qui suis-je ?

  • Tendance à répéter le comportement qui lui procure des bénéfices ou qui lui permettent d’échapper à des sensations désagréables
  • Renforcement positif : Conséquences = accroissent la possibilité que le comportement se reproduise
  • Renforcement négatif : Conséquences = suppression d’un événement déplaisant ce qui accroit la possibilité que le comportement se reproduise
A

Conditionnement opérant

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25
Q

Qui suis-je ?

  • Imitation du comportement d’une autre personne (modelage)
  • Nécessite peu d’expositions
A

Apprentissage social

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26
Q

Qui suis-je ?
- Consommateurs développement des attentes positives envers les effets de la consommation de substance et des attentes négatives envers le sevrage et l’abstinence

A

Apprentissage cognitif

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27
Q

De quel type de prévention s’agit-il ?

o Vise à limiter l’apparition des problèmes et de leurs répercussions

A

Primaire

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28
Q

De quel type de prévention s’agit-il ?
o Vise à limiter la propagation ou l’aggravation des problèmes et de leurs répercussions ou à diminuer la prévalence de ces problèmes
o Préconise le dépistage précoce et les interventions brèves

A

Secondaire

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29
Q

De quel type de prévention s’agit-il ?
o Vise à limiter les conséquences résultant du problème, à diminuer la graviter les symptômes, l’altération du fonctionnement et la souffrance associée au problème
o S’étend au domaine de la réadaptation, préconise la thérapie, les interventions de longue durée et la prévention de la rechute

A

Tertiaire

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30
Q

Quels sont les 10 catégories de substances psychoactives du DSM-V ?

A
  • Alcool
  • Caféine
  • Cannabis
  • Hallucinogènes
  • Inhalants
  • Sédatifs Hypnotiques, Anxiolytiques
  • Stimulants
  • Tabac
  • Opioïdes
  • Autres substances (ou inconnues)
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31
Q

Quels sont les 3 diagnostiques principaux possibles pour chacune des catégories (sauf caféine) ?

A
  • Intoxication
  • Sevrage
  • Trouble lié à l’utilisation
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32
Q

Qui suis-je ?
Besoin de l’individu de consommer des quantités plus importantes de la substance pour obtenir l’intoxication désirée
ET / OU
les effets sont considérablement diminués lors de l’utilisation continue d’une même quantité

A

Tolérance

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33
Q

Qui suis-je ?
- Ensemble d’attitudes, de conduites et de comportements stables dans le temps, dont certains sont fortement prédictifs des troubles liés aux substances

A

Tempérament

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34
Q

Quels sont les 3 facteurs de risque individuels au développement d’un trouble lié à l’usage d’une substance selon le DSM-5 ?

A
  • Tempérament
  • Comorbidité psychyatrique
  • Influence des événements de vie sur le fonctionnement psychique (traumatismes)
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35
Q

Quels sont les 3 facteurs de risque environnementaux au développement d’un trouble lié à l’usage d’une substance selon le DSM-5 ?

A
  • Facteurs culturels et sociaux
  • Facteurs familiaux
  • Influence des pairs
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36
Q

Vrai ou faux ?
Selon le modèle de la rechute de Marlatt, l’abstinence devrait faire vivre à un individu une hausse du sentiment d’efficacité personnelle ?

A

Vrai

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37
Q

Selon le modèle de la rechute de Marlatt, qu’est-ce qui déterminera si un individu vivra une rechute face à une situation à haut risque ?

A

La réponse de l’individu

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38
Q

Vrai ou faux ?

Une première rechute prédit l’occurrence de rechutes subséquentes ?

A

Vrai

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39
Q

Vrai ou faux ?
Les individus qui réagissent à la rechute en analysant la situation et en tentant d’apprendre de celle-ci recommencent à boire de façon incontrôlée ?

A

Faux, ils développent des réponses plus adéquates et sont moins sujets à des rechutes subséquentes

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40
Q

Quels sont les troubles les plus souvent répertoriés comme étant concomitants avec la toxicomanie ?

A
  • Anxieux
  • de l’humeur
  • de la personnalité
  • alimentaires
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41
Q

Quelles sont les 3 conditions pour qu’un jeu soit considéré un jeu de hasard et d’argent ?

A
  • Mise de l’argent ou un objet de valeur
  • Ne peut pas reprendre la mise une fois placée
  • L’issue du jeu repose majoritairement ou entièrement sur le hasard
42
Q

Vrai ou faux ?
Un gain important lors des premiers épisodes de jeu crée un renforcement positif, stimule l’intérêt et amène une prédisposition à jouer de manière excessive. Il en est de même pour l’excitation et la stimulation provoquée par l’environnement du jeu et le jeu.

A

Vrai

43
Q

Quelles sont les principales croyances erronées du joueur pathologique ?

A
  • Ignorance de l’espérance de gains négative
  • Ignorance de l’indépendance des tours
  • Illusion de contrôle
44
Q

La participation au jeu est associée à deux types de renforcement qui expliquent en partie l’acquisition et le maintien des habitudes de jeu problématique, quels sont-ils ?

A
  • Le gain intermittent

- L’activation physiologique

45
Q

Quels sont les 3 types de joueurs pathologiques ?

A
  • Les joueurs conditionnés
  • Les joueurs émotionnellement vulnérables
  • Les joueurs ayant des problèmes d’impulsivité dont l’origine est d’ordre biologique
46
Q

Quelles sont les 4 dimensions aux motivations des achats ?

A
  • Fonctionnelle / utilitaire
  • Sociale
  • Affective
  • Identitaire
47
Q

Quels sont les 3 types d’achats ?

A
  • Normaux
  • Impulsifs
  • Compulsifs
48
Q

Les achats compulsifs sont jugés “excessifs” en fonction de quels éléments ?

A
  • La fréquence
  • Les sommes dépensées
  • La place qu’ils occupent dans la vie de la personne
49
Q

Selon le modèle cognitif-comportemental de Kellet et Bolton au sujet des achats compulsifs, les antécédents de l’individu offre un terrain propice au développement du trouble mais qu’est-ce qui déclencheraient les épisodes de dépenses ?

A
  • l’environnement
  • les facteurs cognitifs
  • les facteurs émotionnels
50
Q

Il y aurait 2 types d’acheteurs compulsifs, quels sont-ils ?

A
  • Internalisés (motivation interne, traits de personnalité ou cause psychologique)
  • Externalisés (associé à l’environnement et aux circonstances)
51
Q

Quel est le nom de la méthode qui consiste en un auto-enregistrement quotidien des achats ?

A

Le journal des achats

52
Q

Quels sont les bénéfices pour l’individu souffrant d’achats compulsifs de tenir un journal des achats ?

A
  • Permet une prise de conscience de l’ampleur et de la gravité du trouble
  • Aide à identifier les facteurs de risque et clarifier les déclencheurs
53
Q

Quel est le principal obstacle de la Théorie Cognitive-Comportementale pour les achats compulsifs ?

A

L’abstinence est impossible puisque les achats sont nécessaires au fonctionnement

54
Q

Quelle est la règle des 24h ? (achats compulsifs)

A

L’individu doit faire une liste d’items nécessaires et si un item absent de la liste est convoité, il doit attendre minimum 24h avant de se le procurer

55
Q

Quels sont les deux objectifs visés par les programmes de prévention des achats compulsifs ?

A
  • Apprendre à utiliser efficacement le crédit

- Apprendre à dépenser raisonnablement

56
Q

Qui devrait être visé par le programme de prévention des achats compulsifs et pourquoi ?

A

Les jeunes (étudiants au secondaire, cégep et université) puisque le trouble tend à se développer au début de l’âge adulte

57
Q

Comment se nomme le trouble lié à la dépendance à Internet ?

A

La cyberdépendance

58
Q

La cuberdépendance consiste en l’utilisation excessive d’une ou plusieurs de quelles activités ?

A
  • Jeux en réseau
  • Réseaux sociaux
  • Sites de jeux de hasard et d’argent
  • Sites d’achats
  • Sites de pornographies
59
Q

Quelles sont les deux critères descriptifs de la cyberdépendance ?

A
  • Perte de contrôle de l’utilisation d’internet

- Répercussions négatives sur le fonctionnement quotidien, les relations familiales et la stabilité émotionnelle

60
Q

Vrai ou Faux ?

La cyberdépendance est inclus dans le DSM-V ?

A

Faux

61
Q

Vrai ou faux ?
Le concept de cyberdépendance étant toujours débattu dans la littérature scientifique, la prévalence de cette problématique parmi la population d’internautes varie grandement selon les études et les instruments d’évaluation utilisés ?

A

Vrai

62
Q

Vrai ou faux ?

Il y aurait plus d’hommes que de femmes dépendants à Internet ?

A

Vrai

63
Q

Selon Davis, la cyberdépendance peut se présenter sous deux formes distinctes. Quelles sont-elles ?

A
  • Usage pathologique spécifique de l’Internet (pas considéré comme une dépendance au concept d’Internet m ais à un contenu spécifique avec un intermédiaire, influencé par des cognitions inadaptées)
  • Usage pathologique généralisé de l’Internet (contenu qui ne pourrait pas exister sans le support d’Internet, influencé par des facteurs sociaux importants)
64
Q

Vrai ou faux ?

Il existe des outils développés pour diagnostiqués la cyberdépendance ?

A

Faux

Les cliniciens utilisent des versions adaptée des critères diagnostiques du jeu pathologique (par exemple)

65
Q

Quelle est la seule approche du traitement de la cyberdépendance qui se démarque et est la plus souvent utilisée ?

A

L’approche cognitive-comportementale adaptée aux dépendances sans substance

66
Q

Quel est le principal obstacle du traitement de la cyberdépendance ?

A
  • Facile d’accès et nécessaire pour l’accomplissement des tâches quotidiennes –> l’abstinence est impossible
67
Q

Quelle est l’approche utilisée par l’organisme CC-A (centre cyber-aide) ?

A

L’approche fondée sur le risque :

  • Accent placé sur les risques
  • Cherche à identifier les facteurs liés à la gravité de la dépendance afin d’en dégager les risques principaux
68
Q

Quel est l’aspect déterminant pour classifier les joueurs de jeux vidéo ?

A

Les motivations

69
Q

Quelles sont les 4 catégories de joueurs de jeux vidéos ?

A
  • Globalement impliqué (partie intégrante de leur identité)
  • Joueurs impliqués et compétitifs (compétition avec les autres et défis)
  • Joueurs qui s’évadent (être quelqu’un d’autre, explorer de nouveaux mondes, apprécier la liberté)
  • Joueurs “passe-temps” (loisir mais aucune autre motivation)
70
Q

Quel type de joueurs de jeux vidéos est le plus à risque de développer une dépendance ?

A

Le joueur globalement impliqué

71
Q

Vrai ou faux ?

La dépendant aux jeux vidéo est officiellement inclus dans le DSM-5 ?

A

Faux
Des critères diagnostic (seulement pour les jeux en ligne, pas de consoles) sont toutefois suggérés même s’il n’est pas inclus comme un diagnostic de trouble mental

72
Q

D’où provient la plus grande partie de la littérature scientifique sur la dépendance aux jeux vidéos ?

A

D’Asie (chine et corée du sud)

73
Q

Le modèle cognitif comportemental de l’usage problématique des jeux vidéo sur Internet met l’accent sur le développent d’une pratique problématique à travers plusieurs variables psychologiques. Quelles sont-elles ?

A
  • Préférence pour les relations sociales en ligne
  • Utilisation des jeux vidéo sur Internet pour s’évader ou réguler l’humeur
  • Autocontrôle cognitif et comportemental déficient
74
Q

Il existe deux écoles de pensées pour le dépistage et l’évaluation de la dépendance aux jeux vidéo en ligne. Quelles sont-elles ?

A
  • Nombre d’heures passées à jouer (grande disparité, entre 12 et 50h)
  • Utilisation de critères diagnostiques et de questionnaires (= jeu pathologique)
75
Q

King, dans son modèle de traitement de la dépendance aux jeux vidéo, aborde une composante essentielle du traitement. Quelle est-elle ?

A

La reconnaissance des conséquences négatives :

  • augmentation de la motivation au changement
  • augmentation de la compréhension du cercle vicieux
  • Permet d’entreprendre l’établissement d’objectifs thérapeutiques
76
Q

Quels sont les patrons de la classification des dépendances sexuelles (5) ?

A
  • La drague compulsive
  • L’auto-érotisme compulsif
  • Rapports compulsifs amoureux
  • Sexualité compulsive
  • Fixation compulsive
77
Q

L’objet de la dépendance sexuelle peut être de 3 ordres distincts. Quels sont-ils ?

A
  • Addiction à l’acte sexuel (solitaire ou non)
  • Addiction aux sentiments amoureux
  • Addiction aux pratiques ludiques ou virtuelles
78
Q

Vrai ou faux ?

La dépendance sexuelle n’apparait pas dans le DSM ?

A

Vrai, pas un diagnostic officiellement reconnu

79
Q

Quels sont les 2 types de comportements sexuels ?

A
  • Paraphiliques (impulsif et fantaisies imaginatives sexuellement excitantes qui sont considérés comme déviants)
  • Non paraphiliques (ne dépassant pas les normes permises par la société)
80
Q

Quelles sont les 4 phases du cycle de l’addiction sexuelle de Reed et Blaine ?

A
  • Phase obsessionnelle
  • Phase de ritualisation
  • Phase du rapport sexuel
  • Phase du désespoir
81
Q

Quels sont les obstacles principaux du TCC de l’addiction sexuelle ?

A
  • Difficile d’avoir l’abstinence totale du client
  • Peut être dangereux pour les autres (ITS, agressions sexuelles)
  • Propos du clients peuvent être déstabilisants ou frustrants
82
Q

Quelles sont les 4 étapes typiques du déroulement de la TCC ?

A
  • Accueil et évaluation
  • Inteventions cognitives
  • Interventions comportementales
  • Prévention de la rechute
83
Q

Vrai ou faux?

Il est important de tenir compte des conjoints dans la thérapie pour l’addiction sexuelle ?

A

Vrai

Conséquences sur le partenaire peuvent être graves et celui-ci peut fournir de l’aide et du soutien

84
Q

À partir de combien d’heures de travail parle-t-on de workaholisme ?

A

Plus de 9 à 11h / jour et plus de 50 à 60h / semaine

85
Q

Vrai ou faux ?

La dépendance au travail apparait dans le DSM-V ?

A

Faux

86
Q

Quels sont les 4 stades de la dépendance au travail ?

A
  • Stade 1 = plein d’énergie et capacité augmentée, fait régulièrement un nombre d’heures supp
  • Stade 2 = apparition des difficultés à l’intérieur de la vie familiale et sociale
  • Stade 3 = diminution des capacités au travail, présence de symptômes psychosomatiques
  • Stade 4 = complications majeures en lien avec le stress vécu
87
Q

Vrai ou faux ?

Les impacts de l’alcoolisme et du workaholisme sur les enfants apparaissent similaires ?

A

Vrai

88
Q

Quels sont les 5 types de workaholiques ?

A
  • Le perfectionniste
  • Le converti
  • L’occasionnel
  • Le pseudo-workaholique
  • L’évitant
89
Q

Sur qui les conséquences du workaholisme se font sentir ?

A

Sur les enfants (parentification, renversement des rôles, attentes des parents très élevées, lieux de contrôles externes, anxiété, colère, frustration et ressentiment)

90
Q

Quel est le principal problème des échelles d’évaluation du workaholisme ?

A

Les mesures sont autorapportées

91
Q

Pourquoi les individus qui souffrent de workaholisme ont-ils des difficulté à reconnaître ce trouble comme étant dysfonctionnel ?

A

Parce que la société prône les manifestations de la dépendance au travail en valorisant la performance et l’activisme

92
Q

Quelles sont les 3 stratégies de réhabilitation pour les workaholiques ?

A
  • Communication non accusatrice
  • Instauration de limites
  • Diversification des intérêts et des buts existentiels
93
Q

Quel est le postulat de base pour la TCC pour le workaholisme ?

A

La source de la dépendance au travail se trouve dans un manque de confiance et d’estime de soi

94
Q

Quels concepts propres aux thérapies existentielles et humanistes rerennent les thérapies de la 3e vague ?

A
  • La spiritualité
  • Les valeurs personnelles
  • Le soi et l’acceptation de soi
95
Q

Quelle sont les composantes communes des différentes thérapies contextuelles ?

A
  • Pleine conscience du moment présent
  • Acceptation des expériences internes
  • Focus sur les valeurs et les motivations
96
Q

Qui suis-je ?
Volonté d’accepter tous les aspects de son expérience personnelle sans s’engager dans des comportements d’évitement inutiles ?

A

Flexibilité psychologique

97
Q

Qui suis-je ?
Lorsque l’individu et incapable de rester en contact avec certaines expériences internes personnelles et tente d’en altérer la forme, l’intensité ou la fréquence, même lorsque ce n’est pas nécessaire ?

A

Évitement expérientiel

98
Q

Quels sont les 6 processus thérapeutiques de l’ACT ?

A
  • Défusion cognitive
  • Acceptation
  • Contact avec le moment présent
  • Contact avec le Soi observateur
  • Identification des valeurs
  • Action engagée vers les valeurs
99
Q

Qui suis-je ?
Permet de se distancier de ses pensées, les prendre avec plus de légèreté et reconnaître qu’il ne s’agit que d’une construction mentale qui ne reflète pas nécessairement la réalité

A

Défusion cognitive

100
Q

Quels sont les 4 états (mind) du traitement DBT ?

A
  • Addict mind
  • Clean mind (oublie fragilité)
  • Clear mind (doit cesser la consommation et maintenir son abstinence)
  • Wise mind (long terme)
101
Q

Quelles sont les 4 techniques du DBT pour diminuer la consommation ?

A
  • Détruire des ponts
  • Surfer
  • Déni adaptatif
  • Rébellion alternative
102
Q

Quels sont les 2 volets du traitement DBT ?

A
  • Volet pleine conscience

- Volet prévention de la rechute