Exam final Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que le phénomène pop-out ?

A

Quelque chose qui parait évident (une lettre dans le test fait en classe) de par ses différences visuelles (un O dans un tableau de X et ne N). L’oeil le détecte très rapidement, on ne semble donc pas faire une lecture de chacune des lettres.

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2
Q

Qu’est-ce que le Word superiority effect ?

A

La supériorité du mot sur la lettre, comme le nom l’indique. On détecte plus rapidement des mots que des lettres (un ensemble avant une lettre individuelle)

Séquence de détection : Mot > non-mot > lettre

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3
Q

Lit-on chaque lettre / chaque mot ?

A

Non, traitement top-down. On détecte un ensemble avant un item individuel.

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4
Q

Qu’est-ce que le traitement top-down ?

A

Top = cerveau
Down = feuille (information)
Le cerveau complète des informations incomplètes de l’information reçue (par exemple, on peut lire un segment même s’il est en partie caché).

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5
Q

Donnez deux exemples du fait qu’on ne lit pas chaque lettre ?

A

Exemple du cHat et du cHtastrophe où la lettre manquante est un H dont les lignes du haut tendent vers le centre. On obtient donc une lettre entre le A et le H qu’on déchiffre de deux façons différentes selon le contexte.

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6
Q

Qu’est-ce que la technique d’amorçage ?

A

La présentation préalable d’un stimulus (l’amorce) pour influencer le traitement d’un autre stimulus (la cible). Il y a un effet d’amorçage quand, par exemple, la cible est reconnue plus rapidement par les personnes exposées à l’amorce que par celles non exposées à l’amorce.

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7
Q

Qu’est-ce que la subvocalisation ?

A

On a recours à la phonologie des mots pour les identifier, on décode leur forme écrire et on émet (ou on réfère) à leur forme à l’oral. Ce processus explique pourquoi le temps de décision pour des homonymes est plus long.

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8
Q

Pourquoi le temps de décision pour les mots pour lesquels il existe des homophones est plus long ?

A

Parce qu’on a recours au processus de subvocalisation

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9
Q

Donnez un exemple du processus de subvocalisation ?

A

Les travaux de Ziegler = identifier la couleur de mots de couleur (VERT écrit en rouge, etc)

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10
Q

Pourquoi reconnait-on certains mots plus rapidement ? (3)

A

FCC

  • Fréquence dans l’usage (+ fréquent = accès direct, du bas vers le haut, pas besoin de subvocaliser)
  • effet de Coexistence (neighborhood effect) (forment des blocs connus avec d’autres mots)
  • Contexte peut servir d’amorce (sert de préparation ou de bougie d’allumage à un certain nombre de mots)
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11
Q

Quand on lit, décode-t-on chaque mot ? Exemple ?

A

Non, il y a un effet top-down. On doit parfois combler l’information, comme avec les lettres. Un bon exemple est les schtroumpfs où on doit combler sans arrêt l’information mais cela ne semble pas entraver le sens ou ajouter à la difficulté.

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12
Q

Quelles sont les phrases les mieux retenues ?

A

Phrases affirmatives > négatives / passives

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13
Q

Qu’est-ce que le garden-path effect ?

A

C’est une phrase ambiguë avec bifurcation de sens, on doit souvent reculer et relire pour comprendre et encore, plusieurs possibilités peuvent rester.
Ex : Le jour où je suis arrivée la première tempête avait déjà eu lieu.
Ex : Woman without her man is nothing

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14
Q

Qu’est-ce qu’un script ?

A

Une structure qui décrit une séquence stéréotypée d’événements.

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15
Q

Quel résultat ont obtenu Bransford et Johnson (1973) (expérience avec le script) ?

A

C’est l’expérience qu’on a fait avec la lessive, le texte n’a pas de titre et il est organisé de sorte qu’il est difficile d’en déduire le sujet. Il y a un rappel très médiocre des idées contenues dans le texte.

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16
Q

Combien lit-on de mots / minutes ? Combien de mots par secondes ?

A

+/- 200 mots / minute

entre 3 et 4 mots à la seconde

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17
Q

Combien de temps prend la lecture d’un mot ?

A

Entre 250 et 300 ms par mot

18
Q

Nommez les étapes du traitement du discours. (4)

A

SSLRg

  • SÉLECTION de l’information pertinente par rapport au contenu donné
  • conservation d’une SIGNIFICATION sans les détails syntaxiques et sémantiques
  • LIEN entre cette signification et les connaissances antérieures
  • intégration sous une REPRÉSENTATION Générale
19
Q

Comment le lecteur dyslexique lit-il ?

A

Une de ses stratégies est l’approche top-down, il utilise le contexte pour faire appel à ses connaissances parce qu’il éprouve des difficultés à décoder les mots

20
Q

Qu’est-ce que l’influence du schéma ?

A

L’organisation en fonction de laquelle se structure le souvenir. Il influence les attentes du lecteur. Exemple du texte décrivant la maison sous l’angle du voleur ou du propriétaire ; que cherche-t-on dans un texte ?

21
Q

Qu’est-ce qu’une inférence ?

A

L’habileté à compléter l’information à partir du sens.

Le procédé par lequel l’individu complète - à tort ou à raison - l’information présentée (à l’oral ou à l’écrit) à partir de ses connaissances générales

22
Q

Nommer une autre influence du script ?

A

La culture ! Sans les références culturelles appropriées, certains éléments seront manquants et il sera difficile voir impossible de faire du sens d’un script culturel.

23
Q

Quelles sont les difficultés rencontrées par les lecteurs par rapport à l’inférence ?

A

Il est difficile ou impossible de faire marche arrière, de renouveler les images mentales (coincé sur une conception du sens)

24
Q

Qu’est-ce que l’effet McGurk ?

A

Une “illusion” quand on regarde les lèvres (ba –> va), on entend autre chose si le phonème prononcé et celui qu’on regarde sont différents, effet du visuel semble prendre le dessus

25
Q

Nommez les 3 mécanismes de perception / compréhension oral

A

AGC

  • Additif (utilisation du contexte pour combler l’information manquante)
  • Guidé (par les stimuli visuels, on entend avec le oreilles et les yeux (effet McGurk))
  • Catégoriel (en fonction des catégories existantes dans notre système phonémique (un son inexistant dans notre système n’est pas perçu))
26
Q

Nommez les 3 caractéristiques de la production

A
  • Vitesse d’élocution
  • Variabilité du locuteur
  • Segmentation des mots d’un même énoncé
27
Q

Qu’est-ce qu’un lapsus ?

A

Des expressions déformées, des erreurs d’expression. C’est lorsque l’on dit autre chose que ce qu’on voulait dire, c’est involontaire et le processus est inconscient.

28
Q

Quels sont les types de lapsus ? (6)

A
  • la Substitution
  • l’Insertion
  • l’Omission
  • l’Interversion
  • l’Haplologie
  • l’Amalgame

SIOIHA

29
Q

Qu’est-ce que la persévération et l’anticipation dans les lapsus ?

A
Persévération = origine se trouve dans ce qui a été dit
Anticipation = origine se trouve dans ce qui n'a pas encore été dit
30
Q

Quelles sont les deux origines possibles d’un lapsus ?

A

Paradigmatique (une des mémoires) ou syntagmatique (contexte de parole)

31
Q

Qu’est-ce que la substitution ?

A

Opération par laquelle une cible est REMPLACÉE par un intrus de même classe linguistique, susceptible de postuler pour la position usurpée. (ex : au pays du sommeil levant)

32
Q

Qu’est-ce que l’insertion ?

A

Opération par laquelle un item (phonème, syllabe, mot) est AJOUTÉ dans le mot ou dans le syntagme cible (ex : les cénérémonies)

33
Q

Qu’est-ce que l’omission ?

A

C’est la SUPPRESSION d’une unité linguistique constituée quelle que soit la cause de cette suppression (ex : On veut geler les fonctionnaires)

34
Q

Qu’est-ce que l’interversion ?

A

C’est, soit le DÉPLACEMENT réciproque de deux items ou le déplacement simple d’un item vers une position différente de celle où il est normalement attendu (ex : à tous mes débuts / à mes tous débuts)

35
Q

Qu’est-ce que l’haplologie ?

A

Opération par laquelle plusieurs unités linguistiques qui ne postulent pas pour la même place dans le syntagme planifié sont CONTRACTÉES ET COMBINÉES pour former une nouvelle séquence (ex : quel est le principage ? personnage / principal)

36
Q

Qu’est-ce que l’amalgame ?

A

C’est la FUSION de deux unités lexicales sémantiquement apparentées qui étaient en compétition. C’est l’association de la première partie d’un mot à la seconde partie d’un mot. (ex : combien du l’as couillé ? couté / payé)

37
Q

Qu’est-ce qu’une attitude ?

A

État psychologique interne pouvant exercer une influence sur les comportements des individus.

38
Q

Qu’est-ce que la motivation ?

A

Effet de la volonté d’un individu qui l’incite à prendre les actions nécessaires pour atteindre ses objectifs.

39
Q

Qu’est-ce que l’anxiété ?

A

Sentiment d’inconfort pouvant mener un individu ;a déprécier ce qu’il est en train de faire et créer chez lui un blocage mental

40
Q

Qu’est-ce qui affecte positivement la performance ?

A

Atitudes > motivation > performance

41
Q

Qu’est-ce qui affecte négativement la performance ?

A

L’anxiété affecte négativement la motivation et la performance s’en trouve affectée