Exam final Flashcards

1
Q

Les partisans du développement durable refusent toute idée de progrès économique et technologique. Vrai ou faux?

A

Faux

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2
Q

Quel objectif parmi les suivants n’est pas compatible avec l’approche du développement durable ?
A. Halte à la croissance.
B. Favoriser l’équité intergénérationnelle.
C. Procéder à des changements institutionnels
D. Protéger la biodiversité et les écosystèmes

A

A. Halte à la croissance.

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3
Q

Quel type de progrès ne fait pas partie directement des trois piliers originellement associés au développement durable?
A.Le progrès économique
B.Le progrès culturel
C.Le progrès social
D.Le progrès environnemental

A

B.Le progrès culturel

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4
Q

Selon les penseurs associés à l’écologie profonde, il importe de s’attaquer prioritairement aux structures sociales de domination entre les humains si on veut ensuite solutionner efficacement et durablement la « crise environnementale ». Vrai ou faux?

A

Faux

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5
Q

Dans une optique de développement durable, il importe de délaisser le champ de la réflexion sur les relations et les échanges internationaux afin de recentrer nos priorités exclusivement sur des objectifs de développement à l’échelle locale. Vrai ou faux?

A

Faux

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6
Q

Contrairement à l’économie positive, l’économie normative vise à :
A.Mesurer les phénomènes économiques
B.Comprendre les déterminants des phénomènes économiques et estimer leur impact sur différentes variables économiques
C.Prédire l’évolution des variables économiques
D.Toutes ces réponses
E.Aucune de ces réponses

A

E.Aucune de ces réponses

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7
Q

Avec quel état le Québec a-t-il coopéré pour mettre en place le SPEDE ?

A

Californie

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8
Q

Si le gouvernement utilise un taux d’actualisation élevé, cela signifie…

A….qu’il accorde une plus grande valeur aux générations futures.
B….qu’il favorise les projets dont les coûts sont éloignés dans le temps.
C….qu’il utilise la règle d’Hartwick.
D….qu’il n’y a ni dictature du futur, ni dictature du présent.

A

B.

…qu’il favorise les projets dont les coûts sont éloignés dans le temps.

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9
Q

Dans un système de permis échangeables, comment le gouvernement contrôle-t-il la pollution ?

A.En déterminant le prix des permis.
B.En déterminant la quantité totale de permis.
C.En s’assurant de donner des permis aux entreprises qui en ont le plus besoin.
D.En forçant les entreprises à adopter des technologies moins émissives.

A

B.

En déterminant la quantité totale de permis.

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10
Q

Lesquels des éléments suivants sont des stocks ?

A.La main-d’oeuvre dans une industrie
B.Les émissions de méthane provenant du bétail
C.Les précipitations annuelles
D.Les réserves de pétrole
E.Les arbres sur le campus universitaire

A

A.

La main-d’oeuvre dans une industrie
D.

Les réserves de pétrole
E.

Les arbres sur le campus universitaire

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11
Q

Que prescrit la règle d’Hartwick ?

A.On peut exploiter le capital naturel, à condition d’en conserver une certaine quantité (seuil critique).
B.Il faut exploiter les capitaux naturels à leur rythme de régénération.
C.Il faut préserver le stock de capital naturel.
D.Il faut s’assurer que le stock total de capital (naturel et fabriqué) ne décroisse pas.

A

D.

Il faut s’assurer que le stock total de capital (naturel et fabriqué) ne décroisse pas.

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12
Q

La pollution s’accompagne nécessairement d’externalités. Vrai ou faux ?

A

Faux

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13
Q

Comment définit-on une situation où l’ensemble des bénéfices et des coûts associés à une action ne sont pas restreints aux personnes qui participent à cette action?

A.La concurrence parfaite
B.Une externalité
C.L’équité intergénérationnelle
D.Une asymétrie d’information
E.Une dictature du présent

A

B.

Une externalité

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14
Q

Vrai ou faux ? À l’échelle globale terrestre, les volumes d’eau sont pratiquement constants depuis l’émergence des civilisations et même au-delà.

A

Vrai

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15
Q

Vrai ou faux ? Les eaux des lacs et des rivières tirent leur origine des précipitations.

A

Vrai

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16
Q

Vrai ou faux ? Au moment de l’émergence des civilisations méditerranéennes, les concentrations en CO2 étaient à peu près les mêmes qu’aujourd’hui.

A

Faux

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17
Q

Quelle proportion de GES est absorbée par les océans?

A.1/10.
B.1/4.
C.1/8
D.0

A

B.

1/4.

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18
Q

Les transports génèrent plus de GES que le chauffage et la climatisation des bâtiments réunis. Vrai ou faux ?

A

Faux

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19
Q

Depuis 1990, les GES contenus dans l’atmosphère ont :

A. Stagné.
B. Diminué.
C. Augmenté.

A

C.

Augmenté.

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20
Q

Depuis 1992, les conférences des parties sur les changements climatiques (COP) se sont entendues sur :

A. Des actions à mettre en place.
B. Des mécanismes de réductions des GES.
C. Des cibles communes et égales pour tous de réduction de GES à atteindre.
D. Aucune de ces réponses.

A

D.

Aucune de ces réponses.

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21
Q

Parmi les gaz suivants, lequela le plus grand potentiel d’effet de serre ?

A. L’oxigène.
B. Le gaz carbonique
C. Le méthane.

A

C.

Le méthane.

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22
Q

Pour un sociologue, les changements climatiques sont …

A.

Une réalité, car la communauté scientifique est désormais d’accord à cet égard, comme les rapports du GIEC nous confirment.
B.

Une question sociale comme une autre. Les sociologues s’intéressent aux actions et revendications que les acteurs sociaux font à l’égard des changements climatiques; ils ne se questionnent pas à l’égard de l’existence objective des changements climatiques.
C.

Incertains, car un consensus unanime à cet égard n’existe pas encore; le sociologue doit en effet adopter une vision critique des problèmes environnementaux (ex. : changements climatiques).
D.

Une invention des catastrophistes et des alarmistes, comme plusieurs études mettent en évidence.

A

B

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23
Q

Les entreprises et les industries sont-elles opposées à la lutte contre les changements climatiques?

A.

Oui, car réduire les émissions de GES constitue un frein au profit.
B.

Non, elles sont de plus en plus favorables, et réalisent des actions pour le climat d’envergure et diversifiées.
C.

Oui, mais elles ont été obligées de réduire leurs émissions de GES par les gouvernements, surtout dans le cas de l’Union européenne.
D.

Non, certaines sont favorables, mais l’actuel climat économique ne leur permet pas de réaliser des actions efficaces.

A

B

24
Q

À la lumière de la « typologie des rapports entre science et politique » (dans l’article « Science et politique des changements climatiques » de L. Guay), à quel modèle peut-on associer la question des changements climatiques?

A.

Modèle co-constructiviste : la politique et la science travaillent ensemble pour trouver une solution et une compréhension communes des changements climatiques.
B.

Modèle expert : la solution aux changements climatiques découle davantage du travail des scientifiques.
C.

Modèle antagoniste : le mouvement environnemental a contribué beaucoup à comprendre les changements climatiques et à fournir des solutions à cet égard.
D.

Modèle décisionnel : les décisions sur les changements climatiques sont de nature strictement politique.
E.

Modèle industriel : la solution aux changements climatiques est liée à des changements majeurs dans la production industrielle.

A

A

25
Q

Le concept d’Anthropocène fait référence à :

A.

La transformation de la biosphère par les Humains dont l’ampleur représenterait une nouvelle période de l’ère quaternaire.
B.

L’ensemble des pollutions et dégradations des écosystèmes naturels causés par l’action humaine qui présentent un danger pour sa survie à long terme.
C.

Un type de banquet d’adieu à la gloire de l’Homme.
D.

Aucune des réponses précédentes.

A

A

26
Q

La notion de «responsabilités communes mais différenciées» fait référence à la proposition suivante :

A.

Si tous les États reconnaissent une responsabilité commune dans la lutte contre la dégradation des écosystèmes, les États industrialisés doivent en assumer la plus grande part du fardeau en raison, notamment, de leur contribution historique à ce phénomène.
B.

Les États doivent assumer des responsabilités identiques dans la lutte contre les changements climatiques, même si celles-ci sont de nature différente
C.

Tous les acteurs actifs au niveau international, et pas seulement les États, ont une responsabilité commune de lutter contre les changements climatiques
D.

Chaque citoyen d’un État doit contribuer à l’amélioration de l’environnement en fonction de ses capacités

A

A

27
Q

La notion de « dépendance au sentier » souligne notamment le fait que les institutions et normes environnementales existantes peuvent parfois faire obstacle eu égard à l’efficacité de la gouvernance environnementale future. Vrai ou faux ?

A

Vrai

28
Q

Le principe de subsidiarité stipule qu’il importe d’agir prioritairement :

A.

À l’échelle locale.
B.

À l’échelle régionale.
C.

À l’échelle globale ou mondiale.
D.

À l’échelle la plus proche du problème concerné.

A

D

29
Q

Vrai ou faux ? Selon le texte de Sylvie Ferrari « Éthique environnementale et développement durable : Réflexions sur le Principe Responsabilité de Hans Jonas », le concept de développement durable tel que défini dans le Rapport Bruntdland correspond à une conception dite « faible » du développement durable.

A

Vrai

30
Q

En référant au texte de Sylvie Ferrari, quel énoncé ci-dessous traduit la teneur de nos obligations intergénérationnelles telles que définies dans le Rapport Brundtland ?

A.

Chaque génération a l’obligation de léguer à la génération suivante des ressources permettant d’assurer une amélioration constante du niveau de bien-être au fil du temps.
B.

La notion de besoin à laquelle réfère le Rapport Brundtland en vue de définir le contenu des obligations intergénérationnelles découle d’une approche maximaliste obligeant d’aller bien au-delà des stricts besoins de base des générations futures.
C.

La conception de l’équité intergénérationnelle véhiculée dans le Rapport Brundtland peut être dite à contenu restreint permettant ainsi le maintien dans le temps d’un niveau de bien-être non décroissant.
D.

Aucun des énoncés précédents.

A

C

31
Q

Quel énoncé suivant n’est pas exact ?

A.

À la lumière du texte de Sylvie Ferrari, il ressort que la conception de la nature qui est privilégiée dans le Rapport Brundtland est de type biocentrique.
B.

À la lumière du texte de Sylvie Ferrari, il ressort que la conception de la nature qui est privilégiée dans le Rapport Brundtland est de type instrumental.
C.

À la lumière du texte de Sylvie Ferrari, il ressort que la conception de la nature qui est privilégiée dans le Rapport Brundtland est de type anthropocentrique.
D.

Tous les énoncés précédents sont exacts.

A

A

32
Q

Selon le Rapport Stern, évoqué notamment dans le texte obligatoire de Jean-Frédéric Morin et Amanda Orsini, quel énoncé suivant est exact ?

A.

Il s’avère inéquitable à l’endroit de la génération actuelle de réduire ses émissions de GES par souci pour le sort des générations futures
B.

Les préoccupations de la génération actuelle pour les générations futures devraient se situer strictement dans l’horizon des générations enchevêtrées (enfants et petits-enfants).
C.

Il est globalement plus rentable économiquement d’investir dès à présent afin de réduire les émissions de GES, même s’il en résulte à court terme une réduction de la production.
D.

Par souci d’équité intergénérationnelle, il importe d’appliquer un taux d’escompte comparable à ceux en vigueur sur les marchés privés dans le but d’établir la juste valeur attribuée à la consommation actuelle d’une ressource en comparaison à la valeur de sa consommation différée dans le temps.

A

C

33
Q

Quel énoncé suivant est conforme aux idées mises de l’avant par le penseur Garrett Hardin ?

A.

La croissance démographique dans les pays en développement ne devrait pas être considérée comme un facteur déterminant dans le cadre de nos préoccupations et politiques environnementales.
B.

Les pays développés devraient s’abstenir de se montrer altruistes ou généreux en aidant les pays en développement touchés par des catastrophes naturelles ou des famines.
C.

Le libre accès à la parentalité devrait être encouragé, cela notamment en toute justice envers les pays en développement.
D.

En matière démographique, la conception néomalthusienne devrait être découragée car elle conduit à des effets catastrophiques pour l’environnement.
E.

Aucun énoncé précédent ne correspond la pensée de Garrett Hardin.

A

B

34
Q

Quel auteur a tout particulièrement dénoncé ce qu’il considère comme de graves dangers résultant du libre accès à un bien commun (par exemple à un patrimoine naturel) ?

A.

Thomas F. Homer-Dixon
B.

Pierre de Senarclens
C.

Philippe Le Prestre
D.

Garrett Hardin

A

D

35
Q

Quelle multinationale américaine fut impliquée, en décembre 1984, dans une tragédie environnementale et humaine aux conséquences désastreuses, à Bhopal en Inde ?

A.

Union Carbide
B.

Monsanto
C.

Dupont
D.

Exxon

A

A

36
Q

Vrai ou faux : La mise en place de régimes dans le domaine environnemental s’inscrit en continuité avec l’approche réaliste dans les relations internationales.

A

Faux

37
Q

Vrai ou faux : Les pays riches (notamment les États-Unis) préfèrent généralement les organisations internationales à vocation universelle plutôt que les organisations à vocation limitée.

A

Faux

38
Q

Complétez justement l’affirmation suivante : la régulation du développement durable peut-être le fait…

A.

du droit étatique ou du droit non étatique ou d’une combinaison des deux
B.

du droit étatique seul, en définitive de mécanismes naturels parfaitement autorégulés
C.

du droit étatique ou du droit non étatique

A

A

39
Q

Quel est le référentiel principal en matière de reddition de compte?

A.

le Global Compact
B.

le GRI (Global Reporting Initiative)
C.

Transparency International
D.

le rapport Brundtland

A

B

40
Q

Lesquelles des combinaisons suivantes sont-elles prises en compte à la lumière d’une approche réaliste de la mise en œuvre des règles du développement durable?

A.

une règle inappropriée qui n’est pas mise en œuvre
B.

une règle appropriée qui est mise en œuvre
C.

l’ensemble de ces combinaisons
D.

une règle appropriée qui n’est pas mise en œuvre
E.

une règle inappropriée qui est mise en œuvre

A

C

41
Q

Vrai ou Faux ? L’International Social and Environmental Accreditation and Labelling Alliance impose des contraintes non procédurales, essentiellement substantives, à ses organisations membres

A

Faux

42
Q

Vrai ou Faux ? RugMark/GoodWeave a strictement pour mission d’interdire le travail d’enfants tisserands en Asie du sud

A

Faux

43
Q

À quel auteur est associé la citation “on ne peut pas ne pas communiquer” ?

A.

Claude Shannon
B.

Paul Watzlawick
C.

Harold Lasswell

A

B

44
Q

Identifiez la bonne réponse parmi les propositions suivantes :

A.

La communication englobe l’information
B.

L’information englobe la communication
C.

L’information et la communication constituent des synonymes

A

A

45
Q

Quelles sont les trois dimensions du développement durable ?

A.

La protection de l’environnement, le développement technologique, la solidarité internationale
B.

Le développement technologique, la création de richesse, l’espérance de vie
C.

La protection de l’environnement, la création de richesse, l’équité sociale

A

C

46
Q

En 1972, le Club de Rome s’inquiétait …

A.

De la disparition de la couche d’ozone.
B.

Des changements climatiques.
C.

De la croissance de la consommation des ressources.
D.

De la perte de la biodiversité.

A

C

47
Q

La culture du développement durable se définit par …

A.

Nos façons de faire, d’être et d’interagir ensemble.
B.

Notre langue et notre histoire.
C.

Les activités artistiques incluses dans notre plan de développement.
D.

Aucune de ces réponses.

A

A

48
Q

La certification deuxième partie est une autodéclaration. Vrai ou faux?

A

Faux

49
Q

La certification Stars s’applique …

A.

Au monde industriel.
B.

Au secteur gouvernemental.
C.

Au secteur universitaire.
D.

Toutes ces réponses.

A

C

50
Q

Quelle est la toute première étape à réaliser avant de procéder à l’implantation du développement durable au sein d’une communauté?

A.

Nommer une ou un responsable du développement durable.
B.

Éliminer les bouteilles en plastique.
C.

Mettre en place un Fonds de développement durable.
D.

Faire une politique de développement durable.

A

C

51
Q

Selon ce qui a été vu en conclusion, l’humanité est sur la bonne voie pour réaliser la vaste majorité des objectifs de développement durable d’ici 2030. Vrai ou faux?

A

Faux

52
Q

Selon certains auteurs, il existe une contradiction indépassable au sein du développement durable entre croissance économique d’une part, progrès social et respect de l’environnement, d’autre part. Vrai ou faux?

A

Vrai

53
Q

Un reproche récurrent formulé à l’endroit de l’approche du développement durable est que l’économie et la finance y prennent trop souvent le pas sur l’environnement et le social. Vrai ou faux?

A

Vrai

54
Q

Selon ce qui a été vu en conclusion du cours, quelle critique suivante ne fait pas partie des reproches généralement adressés à l’endroit du concept de développement durable ?

A.

Le caractère potentiellement contradictoire du concept.
B.

L’ambiguïté du concept.
C.

Le caractère trop restreint du concept.
D.

Le caractère non opératoire du concept.

A

C

55
Q

Lequel des processus suivant n’est pas mentionné en conclusion du cours comme faisant partie des conséquences négatives résultant d’une trop grande utilisation de l’approche du développement durable ?

A.

Un processus d’affadissement
B.

Un processus de réduction
C.

Un processus de mystification
D.

Un processus de décélération

A

D