exam final Flashcards

1
Q

Les indications de l’administration d’agents anti-angiogéniques incluent : (choix multiples)

a. Hypercalcémie maligne

b. Myélome multiple

c. Cancer de la prostate

d. Cancer du sein

e. Cancer des ovaires

f. Cancer du poumon

A

d. Cancer du sein

e. Cancer des ovaires

f. Cancer du poumon

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2
Q

Les agents anti-résorptifs sont indiqués pour certaines affections bénignes, lesquelles parmi les suivantes? (choix multiples)

a. Hypercalcémie bénigne

b. Myélome multiple

c. Ostéogénène imparfaite

d. Maladie de Paget

e. Ostéolyse

f. Hypercalcémie maligne

g. Ostéoporose

A

c,d,g

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3
Q

En ce qui concerne la définition de l’ostéonécrose des mâchoires d’origine médicamenteuse, un patient doit avoir : (choix multiples)

a. Traitement actuel avec un agent anti-résorption ou anti angiogénique

b. Exposition d’os dans la sphère maxillo-faciale depuis plus de 8 semaines

c. Une histoire de radiothérapie au niveau des maxillaires

d. Une ulcération de la muqueuse buccale

A

a,b

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4
Q

Vrai ou Faux :

a. Le bisphosphonate Zolendrate administré par voie intra veineuse (1 dose / année) est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose

b. Le bisphosphonate Ibandronate administré par voie sous-cutanée tous les 3 mois est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose

c. Le Denosumab administré par voie intraveineuse tous les 6 mois est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose

A

a-v, b-v, c-f

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5
Q
  1. Lorsqu’un traitement buccodentaire invasif est nécessaire avant ou après le début du traitement par un agent médicamenteux inducteur, il est recommandé de : (choix multiples)

a. Utiliser des techniques de points de suture sans tension

b. Réduire l’inflammation présente avant l’intervention buccodentaire

c. Considérer la possibilité d’une antibioprophylaxie selon les comorbidités présentes

d. Aplanir les spicules osseux à la suite d’une extraction

e. Technique la plus traumatique possible

A

a,b,c,d

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6
Q

Les indications de l’administration de Desonumab (Prolia®) par voie sous-cutanée incluent : (choix multiples)

a. Les hommes atteints d’ostéoporose ayant un risque élevé de fracture

b. Les femmes ménopausées atteintes d’ostéoporose

c. La prophylaxie de l’ostéoporose chez les femmes ménopausées

d. Traitement de l’ostéoporose

e. Les femmes ménopausées qui n’ont pas toléré le traitement par d’autres médicaments

A

a,b,d,e

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7
Q

Vrai ou Faux :

a. Il n’y a pas d’avantage théorique d’arrêter le traitement chez les patients avec antécédents d’exposition prolongée à un/des agents antirésorptifs/anti-angiogéniques (durée > 4 ans)

b. Chez les patients asymptomatiques recevant un traitement antirésorptif pour l’ostéoporose, il est recommandé d’arrêter le/les agents antirésorptifs/antiangiogéniques et de considérer les comorbidités présentes

c. Chez les patients asymptomatiques avec exposition aux agents inducteurs par voie orale (durée < 4 ans) et avec prise simultanée de corticostéroïdes, il faut considérer la possibilité de l’arrêt du médicament 2 mois avant le traitement invasif si les conditions médicales le permettent

A

faux, faux, vari

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8
Q

Vrai ou Faux : Chez les patients à risque de développer une ostéonécrose d’origine médicamenteuse

a. Utilisation d’anesthésique sans vasoconstricteur est recommandée

b. Précautions à prendre face à la technique d’anesthésie utilisée

c. Éviter les anesthésie intraosseuses, intraseptales et intraligamentaires

A

faux, vrai vrai

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9
Q

Vrai ou Faux :

a. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez des patients atteints d’ostéoporose et exposés à un/des agents antirésorptifs demeure très faible comparativement patients atteints de cancer et exposés à un/des agents antirésorptifs

b. La prévalence du risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints d’ostéoporose et exposés à un/des bisphosphonates par voie orale augmente dès une durée de traitement > 5 ans

c. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez des patients atteints d’ostéoporose et exposés au Denosumab (Prolia®) par voie sous cutanée est inférieur aux patients atteints d’ostéoporose et exposés au bisphosphonates zolendronate (Reclast®) par voie intra-veineuse

A

vrai, faux faux

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10
Q

Vrai ou Faux :

a. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés à un bisphosphonate par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et traités par un placebo

b. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés au Desonumab (Xgeva®) par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et traités par placebo

c. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés à un bisphosphonates par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et exposés au Desonumab (Xgeva®) par voie intra-veineuse

A

vrai, vrai, faux

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11
Q

Une nouvelle patiente se présente à votre cabinet dentaire. La liste de ses médicaments inclus la metformine (Glucophage®) pour le traitement du diabète de type 2 et le desonumab (Prolia®) pour le traitement de l’ostéoporose. Elle se plaint de douleur sourde à la suite de l’extraction de la dent 46 il y a 6 mois. L’examen clinique révèle une alvéole dentaire exposée avec présence d’inflammation. Vous prenez une radiographie PA de la région. Il y a évidence radiologique de la persistance d’un os non remodelé au lieu d’extraction. Le reste de l’examen clinique et radiologique est sans particularité. Selon l’ONMM, quelle serait la classification pour cette patiente?

a. Stade 2 

b. Stade patient à risque

c. Stade 1

d. Stade 3

e. Stade 0

A

a

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12
Q

Vrai ou Faux

a. Certains bisphosphonates intraveineux sont approuvés par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose

b. Type de bisphosphonate utilisé dépend du type de cancer

c. L’utilisation la plus courante des bisphosphonates oraux concerne l’ostéopénie et l’ostéoporose

A

tous vrai

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13
Q

Votre patiente de 62 ans se présente pour son examen de rappel. La revue de son questionnaire médicament mentionne qu’elle est atteinte d’un cancer au sein droit, elle fait de l’hypertension et souffre d’anxiété depuis le diagnostic du cancer. La liste de médicament comprend du denosumab (Xgeva®) par voir intra-veineuse qu’elle prend depuis 1 an, ainsi qu’un corticostéroide et un anxiolytique. La radiographie périapicale au niveau de la dent #34 montre la présence d’une fracture coronaire importante, une carie profonde avec un abcès périapical. Le pronostic de la dent est pauvre. Concernant l’ONMM, quelle serait la classification pour cette patiente?

a. Stade 0

b. Stade 1

c. Stade 2

d. Stade 3

e. Stade patient à risque

A

e

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14
Q

Associez les propositions à la bonne correspondance (anti-résorptif ou anti-angiogénique)

a. Inhibiteur du ligand RANK

b. Bisphosphonates

c. Empêchent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins

d. Potentiel d’augmenter le risque de saignement

e. Inhibent la résorption osseuse

A

a. Inhibiteur du ligand RANK ANTI-RÉSORPTIF

b. Bisphosphonates ANTI-RÉSORPTIF

c. Empêchent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins ANTI-ANGIOGÉNIQUE

d. Potentiel d’augmenter le risque de saignement ANTI-ANGIOGÉNIQUE

e. Inhibent la résorption osseuse ANTI-RÉSORPTIF

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15
Q

Votre patiente présente une ostéonécrose des mâchoires d’origine médicamenteuse (ONMM) au stade 3. Quelles seraient les stratégies de traitement pour ce patient? (choix multiples)

a. Débridement pour soulager l’irritation des tissus mous et le contrôle des infections

b. Suivi étroit compte tenu du potentiel de progression vers un stade plus avancé

c. Considérer l’extraction des dents symptomatiques dans l’os nécrotique exposé

d. Analyse histopathologique est indiquée pour tous les échantillons d’os enlevés par résection

e. Résection chirurgicale pour un traitement palliatif au long cours de la douleur, inflammation et infection

f. Traitements symptomatiques (douleur, inflammation, infection)

g. Utilisation de solutions de rinçage antimicrobiennes (rince bouche à la Chlorhexidine 0,12%)

h. Importance de bien informer le patient sur les signes et symptômes d’ONMM

i. Importance de bien informer le patient sur le risque de développement d’ONMM

A

c,d,e,f,g

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16
Q

La présence de certains facteurs peut augmenter les risques de développement d’ostéonécrose des mâchoires. Associez les propositions à la bonne correspondace (facteur relié au médicament utilisé, démographique, locaux, etc.)

a. Anatomie

f. Chirurgie parodontale

i. Maladie bucco-dentaire concomitante

b. Indications thérapeutiques

e. Type de médicament

j. Durée du traitement

c. Prise de corticostéroides en concomitance

d. Prise d’agents anti-angiogéniques en concomitance

g. Sexe du patient

h. Âge du patient

A

a. Anatomie LOCAUX

f. Chirurgie parodontale LOCAUX

i. Maladie bucco-dentaire concomitante LOCAUX

b. Indications thérapeutiques MÉDICAMENT UTILISÉ

e. Type de médicament MÉDICAMENT UTILISÉ

j. Durée du traitement MÉDICAMENT UTILISÉ

c. Prise de corticostéroides en concomitance DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE

d. Prise d’agents anti-angiogéniques en concomitance DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE

g. Sexe du patient DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE

h. Âge du patient DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE

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17
Q
  1. Associez les propositions à la bonne correspondance (Vrai ou Faux)

a. L’hémophilie C se manifeste par des saignements plus ou moins sévères après un traumatisme ou une chirurgie

b. Les patients atteints d’hémophilie C ne présentent généralement pas de saignements spontanés

c. Hémophilie A : Facteur XI

d. Hémophilie A : la forme clinique mineure et sévère ont la même prévalence

e. Coagulopathie mineure : Facteur impliqué en concentration < 5%

f. Hémophilie C : Facteur XI

g. Maladie de vonWillebrand : facteur vonWillebrand

h. Hémophilie B : facteur VIII

i. Coagulopathie majeure : facteur impliqué en concentration < 1%

j. Les saignements dans les articulations et les muscles sont caractéristiques de l’hémophilie A et l’hémophilie B

A

a. L’hémophilie C se manifeste par des saignements plus ou moins sévères après un traumatisme ou une chirurgie VRAI

b. Les patients atteints d’hémophilie C ne présentent généralement pas de saignements spontanés VRAI

c. Hémophilie A : Facteur XI FAUX c’est le facteur VIII

d. Hémophilie A : la forme clinique mineure et sévère ont la même prévalence VRAI soit de 40%

e. Coagulopathie mineure : Facteur impliqué en concentration < 5% FAUX c’est > 5%

f. Hémophilie C : Facteur XI VRAI

g. Maladie de vonWillebrand : facteur vonWillebrand VRAI une baisse de ce facteur entraine une dysfonction du facteur VIII accompagné d’une diminution de l’adhésion plaquettaire

h. Hémophilie B : facteur VIII FAUX facteur IX

i. Coagulopathie majeure : facteur impliqué en concentration < 1% VRAI

j. Les saignements dans les articulations et les muscles sont caractéristiques de l’hémophilie A et l’hémophilie B VRAI

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18
Q

vrai ou Faux

a. La warfarine (Coumadin®) est un antagoniste de la vitamine K

b. La warfarine a un index thérapeutique facilitant sa gestion pharmacologique

c. La vérification de la liste des médicaments chez les patients anticoagulés est importante car la warfarine a de multiples interactions avec d’autres médicaments et aliments

A

v,f,v

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19
Q

Vrai ou Faux

a. Le temps de thromboplastine activé (aPTT) reflète le fonctionnement des éléments de la voie intrinsèque et de la voie commune

b. Le temps de prothrombine (PT) réflète le fonctionnement des éléments de la voie extrinsèque et de la voie commune

c. Afin de normaliser et standardiser les résultats des différents laboratoires concernant le temps de prothrombine (PT), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande l’utilisation du rapport internationalisé normalisé (RIN)

A

tous vrai

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20
Q

Une thrombocytopénie est une anomalie de la quantité de plaquettes dans le sang, caractérisée par une diminution du nombre de plaquettes en dessous du seuil de : (choix unique)

a. 150 000

b. 200 000

c. 50 000

d. 100 000

e. 20 000

A

a

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21
Q

Choix les réponses qui sont vraies parmi les suivantes (choix multiples)

a. Les manifestations cliniques sont rarement observées lors d’une thrombocytopénie légère

b. Un nombre minimal de 50 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement

c. Un nombre minimal de 20 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement

d. La thrombocytopénie est classifiée sévère lorsque le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20 000 plaquettes / mL

e. Des hémorragies spontanées se rencontrent lors d’une thrombocytopénie modérée

A

a. Les manifestations cliniques sont rarement observées lors d’une thrombocytopénie légère VRAI

b. Un nombre minimal de 50 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement VRAI, si moins cela justifie une thérapie de remplacement plaquettaire

c. Un nombre minimal de 20 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement FAUX

d. La thrombocytopénie est classifiée sévère lorsque le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20 000 plaquettes / mL FAUX c’est quand il est entre 20 000 et 50 000

e. Des hémorragies spontanées se rencontrent lors d’une thrombocytopénie modérée FAUX c’est si thrombocytopénie critique

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22
Q
  1. Vrai ou Faux

a. La valeur du ratio international normalisé (RIN) est indiquée pour monitorer les patients sous médicaments de la classe des anticoagulants tel que la warfarine (Coumadin®)

b. Les valeurs ciblées de l’anticoagulation chez un patient va dépendre des indications médicales

c. Un temps de prothrombine (PT) ou une valeur du RIN prolongée peut indiquer une déficience ou un défaut au niveau de l’hémostase

A

tous v

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23
Q

Associez les propositions à la bonne correspondance (AINS, inhibiteurs du facteur X activé, dérivés de la coumarine, thiénopyridines, antithrombine directe, dérivés salicylisés)

a. Ibuprofène

b. Apixaban

c. Rivaroxaban

d. Warfarine

e. Clopidogrel

f. Ticlopidine

g. Dabigatran

h. Acide acétylsalicylique

A

a. Ibuprofène —> AINS

b. Apixaban —> inhibiteurs du facteur X activé

c. Rivaroxaban —> inhibiteurs du facteur X activé

d. Warfarine —> dérivés de la coumarine

e. Clopidogrel —> thiénopyridines

f. Ticlopidine —> thiénopyridines

g. Dabigatran —> antithrombine directe

h. Acide acétylsalicylique —> dérivés salicylisés

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24
Q

Chez les patients anticoagulés par la warfarine (choix multiples)

a. Le dentiste doit être à l’affût de la possibilité d’induire un hématome par trauma lors de l’anesthésie locale et régionale

b. Les procédures chirurgicales orales mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales si le patient présente une valeur RIN < 3,5

c. La valeur du RIN doit être obtenue dans les 24 à 48 heures précédant la procédure buccodentaire prévue pouvant occasionner un saignement

d. Le dentiste doit planifier l’utilisation conjointe des techniques d’hémostase locales adéquates avant les traitements buccodentaires invasifs

e. L’utilisation de la digue est recommandée lors des soins buccodentaires

A

a. Le dentiste doit être à l’affût de la possibilité d’induire un hématome par trauma lors de l’anesthésie locale et régionale VRAI

b. Les procédures chirurgicales orales mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales si le patient présente une valeur RIN < 3,5 VRAI

c. La valeur du RIN doit être obtenue dans les 24 à 48 heures précédant la procédure buccodentaire prévue pouvant occasionner un saignement FAUX c’est seulement 24h

d. Le dentiste doit planifier l’utilisation conjointe des techniques d’hémostase locales adéquates avant les traitements buccodentaires invasifs VRAI

e. L’utilisation de la digue est recommandée lors des soins buccodentaires VRAI mais possibilité d’induire un hématome

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25
Q

Chez un patient ayant une histoire de trouble au niveau de l’hémostase, il faut inscrire au dossier : (choix multiples)

a. Sévérité du saignement

b. Type de saignement

c. Durée du saignement

d. Circonstance du saignement

A

tous v

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26
Q

Vrai ou Faux : Concernant l’hémophilie :

a. Les garçons sont atteints mais les filles porteuses peuvent également présenter une forme habituellement mineure de la maladie

b. L’hémophilie A est la forme la plus fréquente d’hémophilie

c. Le diagnostic prénatal est possible

A

tous v

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27
Q

Vrai ou Faux

a. L’évaluation pré-chirurgicale en cabinet dentaire doit inclure un questionnaire médico dentaire visant l’identification d’antécédents personnels et familiaux d’anomalies de l’hémostase

b. Certaines maladies systémiques incluant certains cancers sont associées à des dysfonctions plaquettaires

c. Certains médicaments, produits naturels et aliments peuvent engendrer des dysfonctions plaquettaires

A

tous v

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28
Q

Vrai ou Faux : les stratégies de prise en charge adaptée chez les patients sous traitement par un anticoagulant oral à action direct (AOD) incluent :

a. De différer le moment de la prise quotidienne de l’anticoagulant (AOD) jusqu’après la procédure buccodentaire prévue
b. De planifier l’intervention dentaire le plus près possible après la dernière dose d’anticoagulant afin d’éviter le pic d’action du médicament

c. D’interrompre temporairement le traitement médicamenteux pendant 24 à 48 heures

A

a. De différer le moment de la prise quotidienne de l’anticoagulant (AOD) jusqu’après la procédure buccodentaire prévue VRAI

b. De planifier l’intervention dentaire le plus près possible après la dernière dose d’anticoagulant afin d’éviter le pic d’action du médicament FAUX, planifier la procédure le plus tard possible

c. D’interrompre temporairement le traitement médicamenteux pendant 24 à 48 heures VRAI

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29
Q

Associez les propositions suivantes à la bonne correspondance (soit vrai ou faux)

a. Les risques associés à l’arrêt ou la modification de la posologie thérapeutique d’un agent antiplaquettaire surpassent les conséquences d’un saignement prolongé qui peuvent être contrôlées par le dentiste avec des mesures d’hémostase locales

b. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires (exemple : nettoyage, extractions simples, traitement endodontique, …) comme un risque hémorragique très faible à faible

c. Chez la plupart des patients qui reçoivent les nouveaux anticoagulants oraux à action directe (AOD), aucun changement au régime anticoagulant n’est nécessaire avant de prodiguer des soins buccodentaires

d. En général, le saignement peut être contrôlé par le dentiste par des mesures hémostatiques locales adéquates chez les patients avec dysfonction plaquettaires induites par médicament

e. L’évaluation du risque hémorragique repose sur l’indication du traitement médical, la nature des soins buccodentaires à faire et la présence d’autres facteurs de risques hémorragiques

f. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires complexes (extractions, chirurgies maxillofaciales) comme un risque hémorragique élevé

g. Chez les patients avec dysfonction plaquettaire induite par médicamentation (acide acétyl, aspirine, etc.), les interventions buccodentaires invasives mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales et sans modification ou avec modification de la dose de médicament sur avis formel du médecin

A

a. Les risques associés à l’arrêt ou la modification de la posologie thérapeutique d’un agent antiplaquettaire surpassent les conséquences d’un saignement prolongé qui peuvent être contrôlées par le dentiste avec des mesures d’hémostase locales VRAI

b. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires (exemple : nettoyage, extractions simples, traitement endodontique, …) comme un risque hémorragique très faible à faible FAUX risque très faible seulement

c. Chez la plupart des patients qui reçoivent les nouveaux anticoagulants oraux à action directe (AOD), aucun changement au régime anticoagulant n’est nécessaire avant de prodiguer des soins buccodentaires VRAI

d. En général, le saignement peut être contrôlé par le dentiste par des mesures hémostatiques locales adéquates chez les patients avec dysfonction plaquettaires induites par médicament VRAI

e. L’évaluation du risque hémorragique repose sur l’indication du traitement médical, la nature des soins buccodentaires à faire et la présence d’autres facteurs de risques hémorragiques VRAI

f. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires complexes (extractions, chirurgies maxillofaciales) comme un risque hémorragique élevé FAUX risque faible

g. Chez les patients avec dysfonction plaquettaire induite par médicamentation (acide acétyl, aspirine, etc.), les interventions buccodentaires invasives mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales et sans modification ou avec modification de la dose de médicament sur avis formel du médecin VRAI

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30
Q

Concernant la présentation clinique d’un patient ayant une maladie rénale chronique Vrai ou Faux

a. Les patients peuvent se plaindre d’une sensation générale de malaise, de fatigue, de faiblesse, de maux de tête, de nausée, de perte d’appétit et de perte de poids

b. Les patients atteints d’insuffisance rénale sont plus susceptibles d’éprouver des douleurs osseuses (douleur dans le bas du dos, les hanches et les genoux)

c. La stomatite urémique provoque souvent la malnutrition et la diarrhée

A

a. Les patients peuvent se plaindre d’une sensation générale de malaise, de fatigue, de faiblesse, de maux de tête, de nausée, de perte d’appétit et de perte de poids VRAI

Les présentations cliniques : malaise général, fatigue, maux de tête, nausée, perte appétit, perte poids

Symptômes de la maladie avancée : anémie, crampes dans les jambes, insomnie, nycturie, urine foncée, douleur osseuse, problèmes gastrointestinaux, saignements gastrointestinaux, ecchymoses, pétéchies, purpuras, hyperpigmentation cutanée

b. Les patients atteints d’insuffisance rénale sont plus susceptibles d’éprouver des douleurs osseuses (douleur dans le bas du dos, les hanches et les genoux) VRAI c’est un symptôme de la maladie avancée

c. La stomatite urémique provoque souvent la malnutrition et la diarrhée VRAI

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31
Q

Selon « The National Kidney Foundation”, quel stade est caractérisé par une atteinte de la fonction rénale avec apparition des signes et symptômes cliniques?

a. Stade 1 :

b. Stade 2 :

c. Stade 3 :

d. Stade 4 :

e. Stade 5 :

f. Stade 6

A

a. Stade 1 : MRC avec DFG normal

b. Stade 2 : MRC avec DFG diminué

c. Stade 3 : insuffisance rénale modérée

d. Stade 4 : insuffisance rénale sévère

e. Stade 5 : insuffisance rénale terminale

f. Stade 6

Les signes et symptômes apparaissent quand 50% des néphrons sont détruits, à la toute fin de l’insuffisance rénale relative. Donc urée dans le sang et dysfonction rénale perceptible.

DURANT la période relative, c’est là qu’on remarque une baisse du DFG.

32
Q

Vous contactez le médecin traitant de votre patient pour avoir une copie des résultats du bilan sanguin récent et de la fonction rénale. Concernant les tests de laboratoire associés à la fonction rénale, associer les propositions aux choix de correspondances (BUN, créatinine sérique, clairance de la créatine)

a. Influencé par la fonction hépatique et les conditions affectant le flux sanguin

b. Mesure de la dégradation musculaire et de la capacité de filtration du néphron

c. Compare les concentrations de créatinine dans le sang et l’urine de 24 heures

d. Concentration proportionnelle à la filtration glomérulaire

A

a. Influencé par la fonction hépatique et les conditions affectant le flux sanguin BUN

b. Mesure de la dégradation musculaire et de la capacité de filtration du néphron CRÉATININE SÉRIQUE

c. Compare les concentrations de créatinine dans le sang et l’urine de 24 heures CLAIRANCE DE LA CRÉATININE

d. Concentration proportionnelle à la filtration glomérulaire CRÉATININE SÉRIQUE

Créatinine sérique : dégradation musculaire et capacité de filtration. Proportionnelle à la filtration.

Clairance de la créatinine : compare les concentrations du sang et de l’urine

BUN (azote sanguin) : quantité d’azote, selon la fonction hépatique et le flux sanguin

33
Q

The National Kidney Foundation classifie la maladie rénale chronique selon : (choix unique)

a. Débit de filtration glomérulaire

b. Hématurie

c. Urémie

d. Analyse d’histopathologie des néphrons

A

a

34
Q

Au fur et à mesure que progresse la maladie rénale chronique, les reins deviennent incapables de concentrer et de filtrer l’apport de : (choix unique)

a. Potassium

b. Sodium

c. Calcium

d. Fer

e. Phosphate

A

b

35
Q

armi les causes suivantes, lesquelles prédisposent au développement de la maladie rénale chronique? (choix multiples)

a. Tabagisme

b. Maladies cardiovasculaires

c. Dialyse

d. Histoire familiale de maladie rénale

e. Diabète

f. Obésité

A

tous sauf c

36
Q

Vrai ou faux : concernant votre patient sous hémodialyse

a. Le dentiste doit vérifier où se situe l’accès artério-veineux et ne jamais prendre une lecture de pression artérielle sur le bras qui contient l’accès artério-veineux

b. L’endocardite infectieuse peut survenir chez 2 à 9% des patients traités par hémodialyse

c. L’AHA recommande une antibioprophylaxie prophylactique avant les traitements dentaires chez les patients traités par hémodialyse

A

v,v,f

37
Q

La classification du « The National Kidney Foundation » définie la maladie rénale chronique en stade(s). Combien y en a-t-il?

a. 1

b. 2

c. 3

d. 4

e. 5

f. 6

A

5

38
Q

Quel choix, parmi les suivants, est ou sont une répercussion buccodentaire possible chez votre patient atteint de maladie rénale chronique (choix multiples)

a. Hypoplasie dentaire

b. Opacité radiologique au niveau des maxillaires

c. Hypocalcification dentaire

d. Stomatique urémique

e. Tumeur brune des maxillaires

A

tous sauf b

39
Q

Concernant la prise en charge du patient, que faudrait-il considérer ou modifier par rapport au risque de saignement? (multiples)

a. Prévoir un protocole d’hémostase locale

b. Vérifier les résultats du bilan sanguin incluant le nombre de plaquettes

c. Observance et compliance du patient

d. Risque hémorragique accru les jours de dialyse

e. Prendre en compte les cofacteurs de risque

A

tous

40
Q

Ce même patient revient vous voir 2 ans après sa dernière visite pour un examen d’urgence. Il se plaint de douleur en bas à gauche et l’examen clinique et radiologique confirme une carie profonde au niveau de la dent 35. Le pronostic parodontal de la dent 35 est pauvre. Les tests endodontiques confirment la nécrose de la dent et vous recommandez une extraction de la dent 35. La révision du QM révèle que le patient est sous hémodialyse 3 fois par semaine (lundi, mercredi et vendredi). Quelle serait le moment optimal pour effectuer ce traitement (extraction de la 35) chez votre patient? (choix unique)

a. 2 jours après l’hémodialyse

b. Lors de ce rendez-vous

c. 3 jours après l’hémodialyse

d. Le lendemain de l’hémodialyse

A

d

41
Q

Concernant la prise en charge de votre patient, que faudrait-il considérer ou modifier par rapport aux médicaments? (choix multiples)

a. Utiliser des médicaments néphrotoxiques

b. Si infection oro-facial importante, gestion agressive avec possibilité de tests de culture et de sensiblité des antibiotiques

c. Prescrire une antibioprophylaxie

d. Vérification du mode d’excrétion du médicament

e. Possibilité de modifications de la dose de médicament en fonction de la fonction rénale

A

b,d,e

42
Q

Il existe plusieurs types de crises épileptiques Vrai ou Faux

a. Lors d’une crise partielle, l’activité neurologique anormale se localise à une région focale

b. Lors d’une crise généralisée, l’activité neurologique anormale touche la totalité du cerveau

A

v,v

43
Q

Associez les propositions à la correspondance appropriée : Concernant les crises partielles … (simple ou complexe)

a. Altération et/ou perte totale de la conscience

b. Survient lorsque la région focale touchée correspond à celle qui régit la conscience

c. Ne modifie pas l’état de conscience

d. Souvenir de la survenue de la crise

e. Conscience maintenue

A

a. Altération et/ou perte totale de la conscience COMPLEXE

b. Survient lorsque la région focale touchée correspond à celle qui régit la conscience COMPLEXE

c. Ne modifie pas l’état de conscience SIMPLE

d. Souvenir de la survenue de la crise SIMPLE

e. Conscience maintenue SIMPLE

44
Q

Vrai ou Faux : Concernant les crises d’épilepsie généralisées

a. Incluent différents types de crises dont les absences (grand mal) et les crises tonico-cloniques (petit mal)

b. Incluent différents types de crises dont les absences (petit mal) et les crises tonico-cloniques (grand mal)

c. Les crises tonico-cloniques se déroulent en trois phases : la phase tonique et la phase clonique et la phase de récupération

d. Le manque de sommeil, la diète, les modifications hormonales sont des facteurs susceptibles de provoquer une crise d’épilepsie

A

f,v,v,v

45
Q

Durant la phase tonique d’une crise tonico-clonique (choix multiples)

a. Le patient salive abondamment

b. Le patient présente des contractions musculaires généralisées de l’ensemble du corps

c. Le patient subit une série de clonies

d. Le patient présente de la confusion, de la fatigue et des maux de tête

e. Le patient présente une raideur

A

b,e

46
Q

Vrai ou Faux

a. La maladie d’Alzheimer est définie comme une maladie neurodégénérative progressive et irréversible ne faisant pas partie des démences

b. La maladie d’Alzheimer est la maladie neurodégénérative la plus fréquente dans le monde

c. La maladie d’Alzheimer atteint les capacités cognitives et fonctionnelles des personnes ce qui permet de prévoir leurs symptômes, leur ordre d’apparition ou la rapidité de leur progression

A

f,v,f

47
Q

Compléter la phrase suivante : Le Mini Mental State Examination classifie la maladie d’Alzheimer en ___________ stades

A

3

48
Q

Concernant la maladie d’Alzheimer (choix multiples)

a. Impliquent plusieurs zones du cerveau dont l’hippocampe, le système limbique et le cortex

b. Est caractérisée par 2 types de lésions : les plaques séniles et la dégénérescence neurofibrillaire

c. Les amas de la protéine Tau entraînent la mort des neurones

d. Les plaques séniles impliquent les dépôts de la protéine Tau dans les neurones

A

a,b,c

49
Q

Associez les propositions à la correspondace appropriée : Concernant la maladie d’Alzheimer (classer stade)

a. Le patient démontre une atteinte légère de la mémoire, du langage et de la compréhension

b. Le patient a de la difficulté à effectuer les mouvements au niveau orofacial

c. Le patient aura peu de coopération et pourra montrer de l’opposition

d. Le patient a une coopération irrégulière

e. Le patient démontre un déclin accru des facultés fonctionnelles et cognitives

f. Le patient aura de la difficulté à comprendre les instructions données

A

a. Le patient démontre une atteinte légère de la mémoire, du langage et de la compréhension STADE 1

b. Le patient a de la difficulté à effectuer les mouvements au niveau orofacial STADE 3

c. Le patient aura peu de coopération et pourra montrer de l’opposition STADE 3

d. Le patient a une coopération irrégulière STADE 2

e. Le patient démontre un déclin accru des facultés fonctionnelles et cognitives STADE 2

f. Le patient aura de la difficulté à comprendre les instructions données STADE 2

50
Q

Concernant les situations cliniques lors de la prise en charge du patient atteint de la maladie d’Alzheimer (choix multiples)

a. Le dentiste doit refaire de nouvelles prothèses amovibles chez les patients édentés atteints de la maladie à tous les stades de la maladie afin d’augmenter la fonction masticatoire

b. Le dentiste doit instaurer l’hygiène buccodentaire assistée chez le patient présentant un stade modéré ou sévère de la maladie d’Alzheimer

c. Le dentiste doit motiver non seulement le patient, mais aussi son entourage pour optimiser l’hygiène bucco-dentaire

d. Le dentiste doit obtenir l’accord du tuteur ou curateur d’un patient sous tutelle ou protection juridique avant de réaliser tous actes buccodentaires

e. Le dentiste doit anticiper la perte d’autonomie future

A

b,c,d,e

51
Q

Les vasoconstricteurs doivent être évités chez les patients qui consomment de la cocaïne ou de la méthamphétamine parce que ces agents peuvent précipiter un/une : (choix unique)

a. Hypertension sévère

b. Hypotension sévère

c. Dépression respiratoire

d. Cessation du péristaltisme intestinal

e. Choc vasovagal

A

a

52
Q

Vrai ou faux : Concernant le cannabis :

a. Provient de la plante Cannabis classifiée sous différentes espèces : sativa, indica, ruderalis

b. Les cannabinoïdes sont produits et stockés dans les trichomes de la plante

c. Le CBD est recherché par les utilisateurs pour ses effets psychoactifs qui se produisent tardivement après la consommation

A

v,v,f

53
Q

Le cannabis : (choix multiple)

a. Augmente la fréquence cardiaque

b. Est très addictif

c. Augmente l’appétit

d. Cause une distorsion temporelle et spatiale

A

a,c,d

54
Q

Concernant l’héroïne : (choix multiples)

a. Peut être inhalé

b. Apparition rapide des sensations si utilisation par voie intraveineuse

c. Provoque une dépression cérébrale intense

d. Peut être ingéré

e. Opioïde semi-synthétique

A

a,b,d,e

55
Q

Vrai ou faux :

a. Les affinités du THC et du CBD pour les récepteurs CB1 et CB2 conditionnent leurs propriétés pharmacologies et toxicologiques

b. Les récepteurs CB1 sont surtout présents dans le cerveau

c. Les récepteurs CB2 sont concentrés dans les cellules immunitaires et dans le système nerveux périphérique

A

tous vrai

56
Q

Vrai ou faux :

a. La perforation de la cloison nasale est la répercussion buccodentaire la plus observée chez les consommateurs de cocaïne fumée

b. L’œdème, l’hypertrophie des muqueuses, les rhinites croûteuses sont des répercussions connues de l’utilisation de la cocaïne

c. La cocaïne provoque une sensation de bonheur euphorique et d’énergie accrue

A

a. La perforation de la cloison nasale est la répercussion buccodentaire la plus observée chez les consommateurs de cocaïne fumée FAUX c’est pour la cocaïne sniffée

b. L’œdème, l’hypertrophie des muqueuses, les rhinites croûteuses sont des répercussions connues de l’utilisation de la cocaïne VRAI

c. La cocaïne provoque une sensation de bonheur euphorique et d’énergie accrue VRAI

57
Q

Vrai ou faux :

a. La méthamphétamine provoque l’illusion d’être invincible

b. La méthamphétamine a été utilisée pendant la seconde guerre mondiale pour stimuler la concentration des soldats

c. La méthamphétamine peut être fumée, consommée par voie intranasale (inhalée), ingérée (avalée) ou injectée par voie intraveineuse

A

tous v

58
Q

Concernant les éléments clés que le dentiste doit considérer lors de la prise en charge d’un patient toxicomane (choix multiples)

a. Le dentiste doit considérer la possibilité d’automédicamentation chez certains patients toxicomanes

b. Le dentiste doit considérer la possibilité de résistance aux antibiotiques chez les utilisateurs de drogues intraveineuses

c. Le dentiste doit considérer la possibilité de prévalence d’infections transmissibles par exposition au sang chez les utilisateurs de drogues intraveineuses

d. Le dentiste doit considérer la possibilité de prescrire un antibioprophylaxie contre l’endocardite infectieuse chez les utilisateurs de drogues intraveineuses

A

tous v

59
Q

Lors de la situation clinique concernant un patient avec histoire de toxicomanie avec altération de l’état général, le dentiste doit différer les soins non urgents pour 72 heures et réévaluer la situation après 72 heures

a. Vrai

b. Faux

A

f

60
Q

Lors de la situation clinique concernant un patient avec histoire de toxicomanie avec altération de l’état général, le dentiste doit différer les soins non urgents pour 24 heures et réévaluer la situation après 24 heures

a. Vrai

b. Faux

A

v

61
Q

Vrai ou Faux :

a. La méthamphétamine provoque des sentiments de plaisir, de bien-être et un sentiment de rapprochement

b. Les principales manifestations cliniques aigues de la consommation de la méthamphétamine sont semblables à celles de la cocaïne
c. Les effets de la méthamphétamine peuvent perdurer ou survenir de nouveau durant 12-24 heures suivant la consommation

A

fvf

62
Q

ors de son rendez-vous de rappel, votre patient de 25 ans mentionne qu’elle est enceinte de 37 semaines. La patiente affirme qu’elle se sent bien malgré qu’elle ait un peu plus de peine à dormie. Elle vient pour recevoir les traitements prévus lors de l’élaboration de son plan de traitement il y a 6 mois. Elle désire faire faire ses obturations en composite sur ses dents antérieures supérieures (classe III M dents 11-21). La révision de son questionnaire médico-dentaire ne révèle aucun changement depuis sa dernière visite. Dans quel trimestre de la grossesse se situe votre patiente?

a. 1

b. 2

c. 3

A

3

63
Q

Vous commencez vos traitements après avoir effectué l’anesthésie locale. Alors que vous vous apprêtez à commencer le mordançage de la dent 11, votre patiente s’agite, dit qu’elle ne se sent pas bien et elle est étourdie. Quelle est la situation d’urgence la plus plausible?

a. Hypoglycémie

b. Hypertension

c. Anxiété

d. Hypotension

e. Syndrome de la veine cave

A

e

64
Q

Grossesse : Gravida Parida Abortus ; votre patient de 28 ans n’a jamais été enceinte mais a adopté 1 garçon

a. G1 P0A0

b. G1P1A0

c. G0P0A0

d. G1P0A0

A

c

65
Q

Pour les patientes qui allaitent, quelles modifications, parmi les suivantes, sont requises lors de l’ordonnance de médicaments? (choix multiples)

a. Favoriser la prise d’acétaminophène pour le contrôle de la douleur

b. Favoriser la prise de médicaments narcotiques pour le contrôle de la douleur

c. En cas de présence d’infection buccodentaire, la prescription de l’antibiotique pénicilline est possible

d. Suggérer la prise de médication avant la dernière tétée pour diminuer l’absorption par le bébé

A

a,c

66
Q

Vrai ou faux :

a. Les soins buccodentaires, y compris la prise de radiographies, sont possibles tout au long de la grossesse et doivent être prodigués en respectant les précautions générales

b. Le deuxième trimestre est la période pendant laquelle les traitements dentaires peuvent être effectués de façon la plus sécuritaire, si la patiente ne présente pas de complications systémiques ou obstétricales

c. Le troisième trimestre est la période pendant laquelle les traitements dentaires peuvent être effectuées de façon le plus sécuritaire, si la patiente ne présente pas de complications systémiques ou obstétricales

d. La grossesse n’est pas une contre-indication absolue à la prise de radiographies, cependant il faut utiliser son jugement clinique et évaluer chaque cas individuellement

A

v,v,f,v

67
Q

Concernant les répercussions buccodentaires durant la grossesse (choix multiples)

a. La relation directe entre les caries et la grossesse est bien définie par la consommation d’aliment cariogène la

b. La gingivite est la condition buccodentaire la plus fréquente et survient chez 60 à 75% des femmes enceintes

c. La granulome pyogénique s’observe chez environ 10% des femmes enceintes

d. La maladie parodontale est associée au risque de naissance prématuré et de naissance à faible poids

e. La femme enceinte peut ressentir de l’hypersensibilité dentaire secondaire aux vomissements, reflux gastro-œsophagien

A

b,c,d,e

68
Q

Vrai ou Faux

a. Les AINS sont les analgésiques de choix pour la douleur
b. Certains médicaments, tel que les benzodiazépines et les barbituriques, ont un potentiel tératogène

c. L’antibiotique tétracycline est contre-indiqué tout au long de la grossesse car il a la capacité de se lier à l’hydroxyapatite et provoquant coloration intrinsèque des dents en développement

A

f,v,v,

69
Q

Concernant l’allaitement (choix multiples)

a. Les patients qui allaitent devraient envisager le modèle « pomper et stocker »

b. L’allaitement maternel est, selon l’American Academy of Pediatrics, la source nutritionnelle optimale pour le nouveau-né dans les six premiers mois

c. La règle générale est que, pour la plupart des médicaments, l’enfant est exposé à une dose considérablement plus élevée in utero que pendant l’allaitement

A

tous v

70
Q

Votre nouvelle patiente de 75 ans se présente pour un examen complet. Son histoire médico-dentaire révèle des conditions contrôlées par médicamentation : un diabète de type 2, une dépression et un stade léger de la maladie d’Alzheimer. Les lectures répétées de sa pression artérielle vous donnent 145/92. La patiente mentionne que la valeur de sa plus récente prise de glycémie est 8,5% (HgA1C). À l’examen clinique, vous remarquez des lèvres sèches et gercées, une langue fissurée. La patiente se plaint d’avoir la bouche sèche. Que pouvez-vous recommander à votre patiente concernant sa plainte de sécheresse buccale? (choix multiples)

a. Application de fluor / utilisation de dentifrice et produits riches en fluor

b. Limiter les boissons alcoolisées et boissons riches en sucre ou en caféine

c. Bien s’hydrater

d. Optimiser l’hygiène buccodentaire

A

b,c,d

71
Q

Associez les propositions à la correspondance appropriée ; concernant l’âge des personnes … (âge chronologique, biologique ou psychologique)

a. Se base sur le passage du temps

b. Se base sur les changements corporels

c. Se base sur les réactions et les sensations des personnes

A

a. Se base sur le passage du temps CHRONOLOGIQUE

b. Se base sur les changements corporels BIOLOGIQUE

c. Se base sur les réactions et les sensations des personnes PSYCHOLOGIQUE

72
Q

Vrai ou Faux : concernant la polypharmacie chez les personnes âgées :

a. Peut entraîner une utilisation appropriée des médicaments prescrits

b. Peut augmenter les interactions médicamenteuses

c. La consultation auprès de plusieurs professionnels de soins de la santé et pharmacies contribue à la prévalence de la polypharmacie

A

f,v,v

73
Q

Quelle est, parmi les suivantes, LA répercussion buccodentaire la plus fréquente observée chez les personnes âgées?

a. Édentation complète

b. Maladie parodontale

c. Carie dentaire

d. Xérostomie

e. Édentation partielle

A

b

74
Q

Quels sont, parmi les suivants, les éléments clés que le dentiste doit considérer lors de la prise en charge d’un patient âgé? (choix multiples)

a. Le patient âgé est souvent polymédicamenté et polypathologique

b. La dénutrition majore l’immunodépression et le risque infectieux

c. Les patients peuvent avoir une sensibilité moindre aux anesthésiques locaux utilisés en dentisterie

d. La communication avec le patient âgé peut être affectée par le degré et la sévérité de l’atteinte cognitive

e. La prise en charge doit être adaptée selon l’autonomie, l’état de santé, l’isolement social et le degré de compliance

A

a,b,d,e

75
Q

Patiente a eu 3 enfants en bonne santé, 1 fausse couche (1er trimestre) et 1 avortement thérapeutique (1er trimestre). Quelle est la notation G_P_A_?

A

G5P3A2