exam final Flashcards
Les indications de l’administration d’agents anti-angiogéniques incluent : (choix multiples)
a. Hypercalcémie maligne
b. Myélome multiple
c. Cancer de la prostate
d. Cancer du sein
e. Cancer des ovaires
f. Cancer du poumon
d. Cancer du sein
e. Cancer des ovaires
f. Cancer du poumon
Les agents anti-résorptifs sont indiqués pour certaines affections bénignes, lesquelles parmi les suivantes? (choix multiples)
a. Hypercalcémie bénigne
b. Myélome multiple
c. Ostéogénène imparfaite
d. Maladie de Paget
e. Ostéolyse
f. Hypercalcémie maligne
g. Ostéoporose
c,d,g
En ce qui concerne la définition de l’ostéonécrose des mâchoires d’origine médicamenteuse, un patient doit avoir : (choix multiples)
a. Traitement actuel avec un agent anti-résorption ou anti angiogénique
b. Exposition d’os dans la sphère maxillo-faciale depuis plus de 8 semaines
c. Une histoire de radiothérapie au niveau des maxillaires
d. Une ulcération de la muqueuse buccale
a,b
Vrai ou Faux :
a. Le bisphosphonate Zolendrate administré par voie intra veineuse (1 dose / année) est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose
b. Le bisphosphonate Ibandronate administré par voie sous-cutanée tous les 3 mois est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose
c. Le Denosumab administré par voie intraveineuse tous les 6 mois est approuvé par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose
a-v, b-v, c-f
- Lorsqu’un traitement buccodentaire invasif est nécessaire avant ou après le début du traitement par un agent médicamenteux inducteur, il est recommandé de : (choix multiples)
a. Utiliser des techniques de points de suture sans tension
b. Réduire l’inflammation présente avant l’intervention buccodentaire
c. Considérer la possibilité d’une antibioprophylaxie selon les comorbidités présentes
d. Aplanir les spicules osseux à la suite d’une extraction
e. Technique la plus traumatique possible
a,b,c,d
Les indications de l’administration de Desonumab (Prolia®) par voie sous-cutanée incluent : (choix multiples)
a. Les hommes atteints d’ostéoporose ayant un risque élevé de fracture
b. Les femmes ménopausées atteintes d’ostéoporose
c. La prophylaxie de l’ostéoporose chez les femmes ménopausées
d. Traitement de l’ostéoporose
e. Les femmes ménopausées qui n’ont pas toléré le traitement par d’autres médicaments
a,b,d,e
Vrai ou Faux :
a. Il n’y a pas d’avantage théorique d’arrêter le traitement chez les patients avec antécédents d’exposition prolongée à un/des agents antirésorptifs/anti-angiogéniques (durée > 4 ans)
b. Chez les patients asymptomatiques recevant un traitement antirésorptif pour l’ostéoporose, il est recommandé d’arrêter le/les agents antirésorptifs/antiangiogéniques et de considérer les comorbidités présentes
c. Chez les patients asymptomatiques avec exposition aux agents inducteurs par voie orale (durée < 4 ans) et avec prise simultanée de corticostéroïdes, il faut considérer la possibilité de l’arrêt du médicament 2 mois avant le traitement invasif si les conditions médicales le permettent
faux, faux, vari
Vrai ou Faux : Chez les patients à risque de développer une ostéonécrose d’origine médicamenteuse
a. Utilisation d’anesthésique sans vasoconstricteur est recommandée
b. Précautions à prendre face à la technique d’anesthésie utilisée
c. Éviter les anesthésie intraosseuses, intraseptales et intraligamentaires
faux, vrai vrai
Vrai ou Faux :
a. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez des patients atteints d’ostéoporose et exposés à un/des agents antirésorptifs demeure très faible comparativement patients atteints de cancer et exposés à un/des agents antirésorptifs
b. La prévalence du risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints d’ostéoporose et exposés à un/des bisphosphonates par voie orale augmente dès une durée de traitement > 5 ans
c. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez des patients atteints d’ostéoporose et exposés au Denosumab (Prolia®) par voie sous cutanée est inférieur aux patients atteints d’ostéoporose et exposés au bisphosphonates zolendronate (Reclast®) par voie intra-veineuse
vrai, faux faux
Vrai ou Faux :
a. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés à un bisphosphonate par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et traités par un placebo
b. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés au Desonumab (Xgeva®) par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et traités par placebo
c. Le risque de développer une ostéonécrose des mâchoires chez les patients atteints de cancer et exposés à un bisphosphonates par voie intra-veineuse est significativement plus élevé comparativement aux patients atteints de cancer et exposés au Desonumab (Xgeva®) par voie intra-veineuse
vrai, vrai, faux
Une nouvelle patiente se présente à votre cabinet dentaire. La liste de ses médicaments inclus la metformine (Glucophage®) pour le traitement du diabète de type 2 et le desonumab (Prolia®) pour le traitement de l’ostéoporose. Elle se plaint de douleur sourde à la suite de l’extraction de la dent 46 il y a 6 mois. L’examen clinique révèle une alvéole dentaire exposée avec présence d’inflammation. Vous prenez une radiographie PA de la région. Il y a évidence radiologique de la persistance d’un os non remodelé au lieu d’extraction. Le reste de l’examen clinique et radiologique est sans particularité. Selon l’ONMM, quelle serait la classification pour cette patiente?
a. Stade 2
b. Stade patient à risque
c. Stade 1
d. Stade 3
e. Stade 0
a
Vrai ou Faux
a. Certains bisphosphonates intraveineux sont approuvés par la FDA pour la gestion de l’ostéoporose
b. Type de bisphosphonate utilisé dépend du type de cancer
c. L’utilisation la plus courante des bisphosphonates oraux concerne l’ostéopénie et l’ostéoporose
tous vrai
Votre patiente de 62 ans se présente pour son examen de rappel. La revue de son questionnaire médicament mentionne qu’elle est atteinte d’un cancer au sein droit, elle fait de l’hypertension et souffre d’anxiété depuis le diagnostic du cancer. La liste de médicament comprend du denosumab (Xgeva®) par voir intra-veineuse qu’elle prend depuis 1 an, ainsi qu’un corticostéroide et un anxiolytique. La radiographie périapicale au niveau de la dent #34 montre la présence d’une fracture coronaire importante, une carie profonde avec un abcès périapical. Le pronostic de la dent est pauvre. Concernant l’ONMM, quelle serait la classification pour cette patiente?
a. Stade 0
b. Stade 1
c. Stade 2
d. Stade 3
e. Stade patient à risque
e
Associez les propositions à la bonne correspondance (anti-résorptif ou anti-angiogénique)
a. Inhibiteur du ligand RANK
b. Bisphosphonates
c. Empêchent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins
d. Potentiel d’augmenter le risque de saignement
e. Inhibent la résorption osseuse
a. Inhibiteur du ligand RANK ANTI-RÉSORPTIF
b. Bisphosphonates ANTI-RÉSORPTIF
c. Empêchent la formation de nouveaux vaisseaux sanguins ANTI-ANGIOGÉNIQUE
d. Potentiel d’augmenter le risque de saignement ANTI-ANGIOGÉNIQUE
e. Inhibent la résorption osseuse ANTI-RÉSORPTIF
Votre patiente présente une ostéonécrose des mâchoires d’origine médicamenteuse (ONMM) au stade 3. Quelles seraient les stratégies de traitement pour ce patient? (choix multiples)
a. Débridement pour soulager l’irritation des tissus mous et le contrôle des infections
b. Suivi étroit compte tenu du potentiel de progression vers un stade plus avancé
c. Considérer l’extraction des dents symptomatiques dans l’os nécrotique exposé
d. Analyse histopathologique est indiquée pour tous les échantillons d’os enlevés par résection
e. Résection chirurgicale pour un traitement palliatif au long cours de la douleur, inflammation et infection
f. Traitements symptomatiques (douleur, inflammation, infection)
g. Utilisation de solutions de rinçage antimicrobiennes (rince bouche à la Chlorhexidine 0,12%)
h. Importance de bien informer le patient sur les signes et symptômes d’ONMM
i. Importance de bien informer le patient sur le risque de développement d’ONMM
c,d,e,f,g
La présence de certains facteurs peut augmenter les risques de développement d’ostéonécrose des mâchoires. Associez les propositions à la bonne correspondace (facteur relié au médicament utilisé, démographique, locaux, etc.)
a. Anatomie
f. Chirurgie parodontale
i. Maladie bucco-dentaire concomitante
b. Indications thérapeutiques
e. Type de médicament
j. Durée du traitement
c. Prise de corticostéroides en concomitance
d. Prise d’agents anti-angiogéniques en concomitance
g. Sexe du patient
h. Âge du patient
a. Anatomie LOCAUX
f. Chirurgie parodontale LOCAUX
i. Maladie bucco-dentaire concomitante LOCAUX
b. Indications thérapeutiques MÉDICAMENT UTILISÉ
e. Type de médicament MÉDICAMENT UTILISÉ
j. Durée du traitement MÉDICAMENT UTILISÉ
c. Prise de corticostéroides en concomitance DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE
d. Prise d’agents anti-angiogéniques en concomitance DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE
g. Sexe du patient DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE
h. Âge du patient DÉMOGRAPHIQUE ET SYSTÉMIQUE
- Associez les propositions à la bonne correspondance (Vrai ou Faux)
a. L’hémophilie C se manifeste par des saignements plus ou moins sévères après un traumatisme ou une chirurgie
b. Les patients atteints d’hémophilie C ne présentent généralement pas de saignements spontanés
c. Hémophilie A : Facteur XI
d. Hémophilie A : la forme clinique mineure et sévère ont la même prévalence
e. Coagulopathie mineure : Facteur impliqué en concentration < 5%
f. Hémophilie C : Facteur XI
g. Maladie de vonWillebrand : facteur vonWillebrand
h. Hémophilie B : facteur VIII
i. Coagulopathie majeure : facteur impliqué en concentration < 1%
j. Les saignements dans les articulations et les muscles sont caractéristiques de l’hémophilie A et l’hémophilie B
a. L’hémophilie C se manifeste par des saignements plus ou moins sévères après un traumatisme ou une chirurgie VRAI
b. Les patients atteints d’hémophilie C ne présentent généralement pas de saignements spontanés VRAI
c. Hémophilie A : Facteur XI FAUX c’est le facteur VIII
d. Hémophilie A : la forme clinique mineure et sévère ont la même prévalence VRAI soit de 40%
e. Coagulopathie mineure : Facteur impliqué en concentration < 5% FAUX c’est > 5%
f. Hémophilie C : Facteur XI VRAI
g. Maladie de vonWillebrand : facteur vonWillebrand VRAI une baisse de ce facteur entraine une dysfonction du facteur VIII accompagné d’une diminution de l’adhésion plaquettaire
h. Hémophilie B : facteur VIII FAUX facteur IX
i. Coagulopathie majeure : facteur impliqué en concentration < 1% VRAI
j. Les saignements dans les articulations et les muscles sont caractéristiques de l’hémophilie A et l’hémophilie B VRAI
vrai ou Faux
a. La warfarine (Coumadin®) est un antagoniste de la vitamine K
b. La warfarine a un index thérapeutique facilitant sa gestion pharmacologique
c. La vérification de la liste des médicaments chez les patients anticoagulés est importante car la warfarine a de multiples interactions avec d’autres médicaments et aliments
v,f,v
Vrai ou Faux
a. Le temps de thromboplastine activé (aPTT) reflète le fonctionnement des éléments de la voie intrinsèque et de la voie commune
b. Le temps de prothrombine (PT) réflète le fonctionnement des éléments de la voie extrinsèque et de la voie commune
c. Afin de normaliser et standardiser les résultats des différents laboratoires concernant le temps de prothrombine (PT), l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande l’utilisation du rapport internationalisé normalisé (RIN)
tous vrai
Une thrombocytopénie est une anomalie de la quantité de plaquettes dans le sang, caractérisée par une diminution du nombre de plaquettes en dessous du seuil de : (choix unique)
a. 150 000
b. 200 000
c. 50 000
d. 100 000
e. 20 000
a
Choix les réponses qui sont vraies parmi les suivantes (choix multiples)
a. Les manifestations cliniques sont rarement observées lors d’une thrombocytopénie légère
b. Un nombre minimal de 50 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement
c. Un nombre minimal de 20 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement
d. La thrombocytopénie est classifiée sévère lorsque le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20 000 plaquettes / mL
e. Des hémorragies spontanées se rencontrent lors d’une thrombocytopénie modérée
a. Les manifestations cliniques sont rarement observées lors d’une thrombocytopénie légère VRAI
b. Un nombre minimal de 50 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement VRAI, si moins cela justifie une thérapie de remplacement plaquettaire
c. Un nombre minimal de 20 000 plaquettes / mL est essentiel avant tout traitement dentaire susceptible d’induire un saignement FAUX
d. La thrombocytopénie est classifiée sévère lorsque le nombre de plaquettes dans le sang est inférieur à 20 000 plaquettes / mL FAUX c’est quand il est entre 20 000 et 50 000
e. Des hémorragies spontanées se rencontrent lors d’une thrombocytopénie modérée FAUX c’est si thrombocytopénie critique
- Vrai ou Faux
a. La valeur du ratio international normalisé (RIN) est indiquée pour monitorer les patients sous médicaments de la classe des anticoagulants tel que la warfarine (Coumadin®)
b. Les valeurs ciblées de l’anticoagulation chez un patient va dépendre des indications médicales
c. Un temps de prothrombine (PT) ou une valeur du RIN prolongée peut indiquer une déficience ou un défaut au niveau de l’hémostase
tous v
Associez les propositions à la bonne correspondance (AINS, inhibiteurs du facteur X activé, dérivés de la coumarine, thiénopyridines, antithrombine directe, dérivés salicylisés)
a. Ibuprofène
b. Apixaban
c. Rivaroxaban
d. Warfarine
e. Clopidogrel
f. Ticlopidine
g. Dabigatran
h. Acide acétylsalicylique
a. Ibuprofène —> AINS
b. Apixaban —> inhibiteurs du facteur X activé
c. Rivaroxaban —> inhibiteurs du facteur X activé
d. Warfarine —> dérivés de la coumarine
e. Clopidogrel —> thiénopyridines
f. Ticlopidine —> thiénopyridines
g. Dabigatran —> antithrombine directe
h. Acide acétylsalicylique —> dérivés salicylisés
Chez les patients anticoagulés par la warfarine (choix multiples)
a. Le dentiste doit être à l’affût de la possibilité d’induire un hématome par trauma lors de l’anesthésie locale et régionale
b. Les procédures chirurgicales orales mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales si le patient présente une valeur RIN < 3,5
c. La valeur du RIN doit être obtenue dans les 24 à 48 heures précédant la procédure buccodentaire prévue pouvant occasionner un saignement
d. Le dentiste doit planifier l’utilisation conjointe des techniques d’hémostase locales adéquates avant les traitements buccodentaires invasifs
e. L’utilisation de la digue est recommandée lors des soins buccodentaires
a. Le dentiste doit être à l’affût de la possibilité d’induire un hématome par trauma lors de l’anesthésie locale et régionale VRAI
b. Les procédures chirurgicales orales mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales si le patient présente une valeur RIN < 3,5 VRAI
c. La valeur du RIN doit être obtenue dans les 24 à 48 heures précédant la procédure buccodentaire prévue pouvant occasionner un saignement FAUX c’est seulement 24h
d. Le dentiste doit planifier l’utilisation conjointe des techniques d’hémostase locales adéquates avant les traitements buccodentaires invasifs VRAI
e. L’utilisation de la digue est recommandée lors des soins buccodentaires VRAI mais possibilité d’induire un hématome
Chez un patient ayant une histoire de trouble au niveau de l’hémostase, il faut inscrire au dossier : (choix multiples)
a. Sévérité du saignement
b. Type de saignement
c. Durée du saignement
d. Circonstance du saignement
tous v
Vrai ou Faux : Concernant l’hémophilie :
a. Les garçons sont atteints mais les filles porteuses peuvent également présenter une forme habituellement mineure de la maladie
b. L’hémophilie A est la forme la plus fréquente d’hémophilie
c. Le diagnostic prénatal est possible
tous v
Vrai ou Faux
a. L’évaluation pré-chirurgicale en cabinet dentaire doit inclure un questionnaire médico dentaire visant l’identification d’antécédents personnels et familiaux d’anomalies de l’hémostase
b. Certaines maladies systémiques incluant certains cancers sont associées à des dysfonctions plaquettaires
c. Certains médicaments, produits naturels et aliments peuvent engendrer des dysfonctions plaquettaires
tous v
Vrai ou Faux : les stratégies de prise en charge adaptée chez les patients sous traitement par un anticoagulant oral à action direct (AOD) incluent :
a. De différer le moment de la prise quotidienne de l’anticoagulant (AOD) jusqu’après la procédure buccodentaire prévue
b. De planifier l’intervention dentaire le plus près possible après la dernière dose d’anticoagulant afin d’éviter le pic d’action du médicament
c. D’interrompre temporairement le traitement médicamenteux pendant 24 à 48 heures
a. De différer le moment de la prise quotidienne de l’anticoagulant (AOD) jusqu’après la procédure buccodentaire prévue VRAI
b. De planifier l’intervention dentaire le plus près possible après la dernière dose d’anticoagulant afin d’éviter le pic d’action du médicament FAUX, planifier la procédure le plus tard possible
c. D’interrompre temporairement le traitement médicamenteux pendant 24 à 48 heures VRAI
Associez les propositions suivantes à la bonne correspondance (soit vrai ou faux)
a. Les risques associés à l’arrêt ou la modification de la posologie thérapeutique d’un agent antiplaquettaire surpassent les conséquences d’un saignement prolongé qui peuvent être contrôlées par le dentiste avec des mesures d’hémostase locales
b. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires (exemple : nettoyage, extractions simples, traitement endodontique, …) comme un risque hémorragique très faible à faible
c. Chez la plupart des patients qui reçoivent les nouveaux anticoagulants oraux à action directe (AOD), aucun changement au régime anticoagulant n’est nécessaire avant de prodiguer des soins buccodentaires
d. En général, le saignement peut être contrôlé par le dentiste par des mesures hémostatiques locales adéquates chez les patients avec dysfonction plaquettaires induites par médicament
e. L’évaluation du risque hémorragique repose sur l’indication du traitement médical, la nature des soins buccodentaires à faire et la présence d’autres facteurs de risques hémorragiques
f. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires complexes (extractions, chirurgies maxillofaciales) comme un risque hémorragique élevé
g. Chez les patients avec dysfonction plaquettaire induite par médicamentation (acide acétyl, aspirine, etc.), les interventions buccodentaires invasives mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales et sans modification ou avec modification de la dose de médicament sur avis formel du médecin
a. Les risques associés à l’arrêt ou la modification de la posologie thérapeutique d’un agent antiplaquettaire surpassent les conséquences d’un saignement prolongé qui peuvent être contrôlées par le dentiste avec des mesures d’hémostase locales VRAI
b. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires (exemple : nettoyage, extractions simples, traitement endodontique, …) comme un risque hémorragique très faible à faible FAUX risque très faible seulement
c. Chez la plupart des patients qui reçoivent les nouveaux anticoagulants oraux à action directe (AOD), aucun changement au régime anticoagulant n’est nécessaire avant de prodiguer des soins buccodentaires VRAI
d. En général, le saignement peut être contrôlé par le dentiste par des mesures hémostatiques locales adéquates chez les patients avec dysfonction plaquettaires induites par médicament VRAI
e. L’évaluation du risque hémorragique repose sur l’indication du traitement médical, la nature des soins buccodentaires à faire et la présence d’autres facteurs de risques hémorragiques VRAI
f. L’évaluation du risque hémorragique avant une chirurgie classe les traitements buccodentaires complexes (extractions, chirurgies maxillofaciales) comme un risque hémorragique élevé FAUX risque faible
g. Chez les patients avec dysfonction plaquettaire induite par médicamentation (acide acétyl, aspirine, etc.), les interventions buccodentaires invasives mineures peuvent être effectuées en respectant les précautions générales et sans modification ou avec modification de la dose de médicament sur avis formel du médecin VRAI
Concernant la présentation clinique d’un patient ayant une maladie rénale chronique Vrai ou Faux
a. Les patients peuvent se plaindre d’une sensation générale de malaise, de fatigue, de faiblesse, de maux de tête, de nausée, de perte d’appétit et de perte de poids
b. Les patients atteints d’insuffisance rénale sont plus susceptibles d’éprouver des douleurs osseuses (douleur dans le bas du dos, les hanches et les genoux)
c. La stomatite urémique provoque souvent la malnutrition et la diarrhée
a. Les patients peuvent se plaindre d’une sensation générale de malaise, de fatigue, de faiblesse, de maux de tête, de nausée, de perte d’appétit et de perte de poids VRAI
Les présentations cliniques : malaise général, fatigue, maux de tête, nausée, perte appétit, perte poids
Symptômes de la maladie avancée : anémie, crampes dans les jambes, insomnie, nycturie, urine foncée, douleur osseuse, problèmes gastrointestinaux, saignements gastrointestinaux, ecchymoses, pétéchies, purpuras, hyperpigmentation cutanée
b. Les patients atteints d’insuffisance rénale sont plus susceptibles d’éprouver des douleurs osseuses (douleur dans le bas du dos, les hanches et les genoux) VRAI c’est un symptôme de la maladie avancée
c. La stomatite urémique provoque souvent la malnutrition et la diarrhée VRAI