exam 2 théorie de la personnalité Flashcards
la stabilité absolue ?
- le patron de comportement reste le même
- règle générale : un score de personnalité est valide pour environ 3 ans
la stabilité relative ?
- stabilité du rang, comparativement à la cohorte
- Le rang indique à quel point un comportement caractérise une personne comparativement aux autres de sa cohorte
-c’est ce type de stabilité qui nous intéresse quand on utilise des corrélations
corrélation longitudinal de preuve de la stabilité
- sur une période de 10 ans
- Les corrélation corrigées varient de .60 à .90 pour les traits de personnalité
- Les corrélations corrigées varient de .20 à .70 pour les symptômes des troubles de la personnalité
- prédiction des comportements adultes par la personnalité à l’enfance
Les causes de la stabilité
- Bases génétiques de la personnalité restent constantes
- L’apparence et l’environnement sont modérément stables
- L’ordre de naissance
- L’historique personnel
- la dialectique personne/environnement
- Le principe de continuité cumulative
La dialectique personne/environnement
- transactions actives : on choisit les environnements qui concordent à notre personnalité
- transactions réactives : on préfère les environnement qui concordent à notre personnalité
- transactions évocatrices : on modifie les environnement pour qu’ils concordent à notre personnalité
études transversales
- une seule collecte de données prise à un moment donnée
- l’âge est associée à différent niveaux aux traits
- attention aux effets de cohorte
études longitudinales
- collecte des données auprès d’un même groupe avant et après une certaines période
- principe de la maturité : les traits qui aident à remplir les rôles de la vie adulte augmentent durant la vie adulte
- l’âge avancée est associée à un déclin surtout du coté de l’extraversion
Les causes et les influencent du développement de la personnalité
- changement physiologique et mentaux
- l’horloge sociale
- Le développement de l’identité narrative
- Les buts poursuivis qui changent avec l’âge
comment changer sa personnalité intentionnellement
- la thérapie
- interventions générales
- interventions ciblées
- Les expériences de vie
La thérapie pour changer sa personnalité
- psychothérapie : effets à long terme sur le comportement
- médicaments et drogue thérapeutiques
- alliage des deux plutôt efficace
intervention générales pour changer sa personnalité
- interventions au niveau des groupes ou de la société peuvent influencer la personnalité
- visent souvent à modifier les comportements des gens
- l’efficacité varie
intervention ciblées pour changer sa personnalité
- des interventions existent pour tenter de modifier certains traits de personnalité spécifique
- pratique essentiellement les comportements souhaités
- certaines semblent efficacement fonctionner, mais documentation en émergence
Les expériences de vie pour changer sa personnalité
- certaines expériences de vie peuvent être suffisante pour changer la personnalité, voir la personne
- documentation en émergence
- exemple : essayer des drogues, faire de l’exercice, la maladie, service militaire …
les obstacles au changement de la personnalité
- la motivation à changer peut être faible
- on tend à expliquer les échecs, le négatif par des causes externe
- tendance à préférer une vie plutôt constante et prévisible
comment surmonter les obstacles au changement de la personnalité ?
- modification des comportement visées
- les nouveaux comportement deviennent habitude
- les habituent se stabilisent en traits
= on change les comportement pour changer la personnalité plutôt que l’inverse
Les principes sous-jacents à la stabilité et au changement de la personnalité
- la stabilité cumulative
- la maturité
- la plasticité
- la continuité de rôle
- le développement de l’identité
- l’investissement social
- la dialectique personne/ environnement
l’amygdale :
- émotions négatives : peur, colère, timidité, anxiété chronique
- émotions positives : attirance sociale, réponse sexuelle
- évaluation de potentielles menaces ou récompenses
cortex cingulaire antérieure
- gestion des émotions et de l’impulsivité
- inhibition de l’amygdale
lobe frontaux et néocortex
- émotions négative : retrait d’éléments négatif (lobe frontal droit), inhibition d’éléments négatifs ( frontal gauche)
-émotions positives : approche d’éléments positifs (lobe frontal gauche - connexion entre les émotions et les cognitions: Phineas Gage, syndrome de Capgras
Behavioural activation system
- système activé face aux récompenses, favorise l’approche
- intérêt pour les récompenses, persistance, impulsivité
Fight-Flight- freeze ou tend and Befriend
- systèmes activés face aux stimuli aversifs
- agression, peur,, évitement vs protection et liens sociaux
- différences entre les sexes
- rôle du style d’attachement
Behavioural inhibition system
- système activé face aux stimuli ambivalents
- anxiété
dopamine
extraversion, ouverture, BAS
sérotonine
organisation, névrosisme, agréabilité, BIS
adrénaline et noradrénaline
Fight-flight or freeze, tend and befriend
testostérone
agression, dominance
cortisol
présence en reaction au stress
ocytocine
affection, mais aussi approche en générale, incluant agressive
limites du cerveau et de la personnalité
- corrélation n’indique pas une cause
- Difficile de saisir le contexte neuronal au complet
- les meilleurs instrument de mesure coûtent une fortune
- on retrouve fréquemment des méthodes de recherche douteuses
calcul de l’héritabilité de la personnalité
(rm-rdz)*2
la personnalité est héritable de combien de %?
- environ 50% pour les jumeaux
- 20% quand c’est pas des jumeaux
conclusion de l’héritabilité de la personnalité
- les gènes ont une influence sur la personnalité
- qu’en est-il de l’environnement partagé?
limites aux conclusions de l’héritabilité de la personnalité
- le coefficient d’héritabilité n’est pas un indice de nature vs culture
- ne nous dit pas comment les gènes affectent la personnalité
la génétique moléculaire et la personnalité
- le gène DRD4 affecte le développement des récepteurs de dopamine
- le gène 5-HTT modifie une protéine transporteuse de sérotonine
Les interactions gènes-environnement
- les gènes ne causent pas les comportement directement
- la personnes modifie, choisit, réagit à son environnement en fonction de ses gènes
L’étude d’association pangénomiques
- approche repose sur l’apprentissage machine
- le génome complet d’un grand nombre de personnes est étudié et mis en relation avec des variables d’intérêt
- effets difficile à répliquer
évolution et psycho de la personnalité, sélection naturelle
plus un trait favorise la survie et la reproduction, plus il sera fréquent dans les génération subséquentes
évolution et psycho de la personnalité, approche évolutionniste
- choisit un trait commun
- détermine quand, comment et pourquoi le trait était adaptatif
les trait étudié fréquemment dans évolution et psycho de la personnalité
- agression et altruisme
- estime de soi
- dépression
- comportement de reproduction - différence de genre - hypothèse de “ sexy son”
Les différences individuelles ne devraient-elles pas être réduites par la sélection naturelle ?
- au contraire, la diversité est nécessaire à l’adaptabilité
- l’émergence des différences individuelles importante car certaines stratégie fonctionnent seulement selon les stratégies des autres
evolution et psycho de la personnalité: critiques
méthodologie : spéculation rétroactive difficile à tester empiriquement
- instincts reproductif: plusieurs personnes limite leur reproduction
- conservatisme: suppose que les tendances comportementales que l’on peut observer présentement étaient inévitables
- flexibilité humaine : ne suit pas toujours nos instincts
synthèse = ma biologie en psychologie de la personnalité
- il est clair que l’humain est un animal : pas obligatoire d’expliquer TOUS les comportements par l’évolution/ génétique donne le point de départ mais loin d’avoir le destin tracé
- réductionnisme biologique : est nécessaire pour insérer la psychologie dans la tradition des sciences naturelles, mais ne pose pas les même question que la psychologie
L’esprit peut être scindé en ?
- Le moi : conciliateur surtout conscient
- Le ça : pulsion inconsciente - libido et agression
- Le surmoi = influences morales surtout inconscientes
psycho “dynamisme”
- si la force devient déséquilibrée, la personnalité est marquée
- unité des opposés
la structure de la psyché
- la personnalité se formerait durant l’enfance
- développement aurait lieu en étapes
- le focus physique de la libido(source principale de plaisir pour l’enfant)
- une tâche à accomplir
- l’effet de ce focus physique et de la tâche à accomplir sur le personnalité infantile.
= les troubles durant ces étapes se manifesteraient dans la personnalité de l’adulte
Les stades de développement
- orale
- anal
- phallique
- latent
- génital
= développement de la libido au travers des stades : l’analogie de l’armée
stade oral
- de la naissance à environ 18 = que le ça
- thème psychologique : indépendance ou dépendance-passivité
- difficultés possible : les besoins ne sont pas rencontrés, ne fait pas confiance au monde, sur-indépendance / les besoins sont rencontrés trop aisément et automatiquement, ne s’attend pas à devoir faire d’effort, dépendance passivité
incidence possible sur la personnalité adulte : incapable de demander de l’aide vs ne se responsabilise pas
stade anal
- 18 mois à 3.5 ans: développement du moi
- thème psychologique = contrôle de soi et obéissance
-difficulté possible = on fait face à des demandes excessives = ne supporte pas les écart à la perfection, obéissance aveugle à l’autorité, sur-contrôle / on a jamais à contrôler ses pulsions = chaotique, défi compulsif de toute autorité - sous-contrôle
= incidence possible sur la personnalité adulte : caractère “anal”, obsessif-compulsif vs désorganisation
stade phallique
- 3.5 ans à 7 ans : développement du surmoi
- thème psychologique = identité de genre et sexualité, amour, peur, jalousie/ identification au parent se son genre / intégration de ses valeurs morale
- difficultés possibles : complexe d’Oedipe : sur identification ou sous-identification au parent pertinent / moralité rigide ou absence de guide moral.
= Incidence possible sur la personnalité adulte : promiscuité et asexualité
stade latent et atteinte du stade génital
- 7 ans à puberté : latence psychosexuelle/ apprentissages d’un ordre cognitif et social
-puberté et après : possibilité d’attente du stade génital - thème psychologique : créativité et épanouissement de la vie
- difficulté possible : si une trop grande partie de la libido gère les difficultés aux stade précédents, le stade génital n’est pas atteint
= incidence possible adulte : maturité sexuelle et sociale
Le moi doit composer avec ? (mécanisme de défense)
Le moi doit composer avec les pression du ça et surmoi ( veut une chose et son contraire) / doit composer avec les pressions externes ( dangers, obligation) / ces pressions qui causent l’anxiété ( le moi prévient l’anxiété par le biais de mécanisme de défense)
A quoi servent les mécanismes de défense
- protection contre la réalité
- techniques du moi pour éviter les penser et pulsions anxiogènes
- on tend à ré(utiliser) les mêmes = personnalité
Exemple de mécanisme de défense
- déni : prévenir la perception de la source d’anxiété
- répression : prévenir le rappel de pensées associées à la source d’anxiété
- formation réactionnelle : prévenir les pulsions interdites en encourageant la promotion d’une action contraire
- projection: attribuer une pulsion interdite chez nous-mêmes aux autres
- rationalisation: crées une “logique” qui justifie une action ou pulsion
- intellectualisation: analyse froide et intellectuelle d’une situation anxiogène
- déplacement: redirection des pulsions interdites vers des cibles sécuritaires
- sublimation = transformation des pulsions en actions nobles
stratégie de la psychanalyse thérapeutique
- rend manifeste les problèmes latents
= permet de gérer les problèmes inconscients avec les outils conscients
= thérapeute peut offrir réconfort et conseils - rôle de guide - alliance thérapeutique
= transfert
= identification du thérapeute avec une autre personne
= gestion des sentiments reliés à cette autre personne avec une cible sécuritaire et présente
approches psychodynamiques après Freud - différences générales
- réduction de l’importance de la libido
- réinterprétation de la libido
- réduction de l’importance de l’inconscient
- réduction de l’importance des pulsions comme sources d’anxiété
- augmentation de l’importance des relations interpersonnelles
approches psychodynamiques après Freud - ALFRED ADLER
- focus sur l’intérêt social
- complexe d’infériorité
- protestation virile
- notre façon de s’adapter au sentiment de faiblesse devient notre style de vie ( personnalité)
approches psychodynamiques après Freud - CARL JUNG
- les archétypes de l’inconscient collectif
- la persona (masque social toujours un peu faux)
- l’anima et l’animus (coté masculin/féminin de tous)
- l’ombre (ce qu’on réprime)
- introversion et extraversion ( façon de penser dans les types de personnalité
approches psychodynamiques après Freud - KAREN HORNEY
- inclusion de la pensée féministe à l’approche psychanalytique ( envie du pénis est fausse- envie de liberté)
- anxiété de base ( peur d’être seul et impuissant dans un monde hostile- 3 types de stratégies pour répondre aux besoins névrotiques -> conformité, agression, retrait)
= La poursuite des besoins névrotiques peut mener à des comportements qui favorisent la détresse
approches psychodynamiques après Freud - ARIK ERIKSON
= les stades de développement psychosocial (vs psychosexuel) au travers de la vie
1. confiance vs méfiance ; 0-2 ans
2. autonomie vs honte et doute : 3-4 ans
3. initiative vs culpabilité: 4-7 ans
4. productivité vs infériorité: 8-12. ans
5. identité vs confusion des rôles: 13-18 ans
6.Intimité vs isolement: 19-40 ans
7. Générativité vc stagnation : 40-65 ans
8. intégrité vs désespoir : 65+
9. retour sur les 8 stades: 80+
approches psychodynamiques après Freud - théorie de la relation aux objets
- Anna Freud, Melanie Klein, Donald Winnicott
- les “objets” sont les éléments particulièrement important dans notre vie (surtout des personnes)
- on est en relation avec nos représentation de ces objets (reflète ou non la réalité)
- ces relations incluent un certain niveau de contradiction ( amour/haine, plaisir/frustration…)
- on agit de façon inauthentique pour faire plaisir aux personnes importantes
Analyse critique des approches psychanalytiques
- longueur de traitement (mais certains travaux appuient l’efficacité accrue des long travaux)
- complexité excessive ( complexe d’Oedipe)
-Etude de cas (introspection)
-Définition vague ( pas opérationnelles ou impossibles à opérationnaliser pour certaines) - plusieurs élément ne sont pas testable (prédit une chose et son contraire)
- sexisme ( donne l’impression que les femme sont des hommes manqués)
pourquoi étudier Freud et la psychodynamique
- pose dans ce domaine des questions qui sont ignorées ailleurs
-l’approche a eu une influence sur les conceptions de l’esprit et les pratiques psychothérapeutique - plusieurs idées du domaine restent populaires
-observe un certain regain d’intérêt pour les pensées de Freud dans la recherche - c’est une des seules approches qui tente (ou a tenté) de crée des théories complètes de la personnalité