exam 2 Flashcards

1
Q

lorsqu’on parle de se rallier autour d’une même cible, qu’est-ce que cela signifie.

A

malgré que l’on semble parler d’une seule et même cible, il y a en a plus qu’une. La cible de l’internvetion est l’individu. Celui-ci devra s’impliquer dans sa démarche adaptative en formulant, avec l’aide de l,intervenant ou des autres acteurs, des objectifs représentant des conduites à acquérir. Finalement, il faut certainement cibler des besoins

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2
Q

l’Objectif sous-entend qu’il doit y avoir…pour orienter le sujet.

A

Une communication d’intention pour que le sujet sache clairement à quoi on s’attend de lui. Selon sa réaction ou les jours, semaines suivantes, on peut voir

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3
Q

Décrivez ce que comprend le plan d’intervention.

A

Il décrit les objectifs (plusieurs, ou un seul travaillé sur plusieurs angle), les buts et la façon de les atteindre ainsi que les échéanciers. Au niveau des acteurs, ils précise aussi les responsables. Bref, plusieurs acteurs vont s’orchestrer autour du sujet pour gérer les interventions relatives à ses besoins dans le but d’atteindre un objectif. •

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4
Q

Un programme rejoint trois types de besoins, lesquelles ?

A

Besoins fondamentaux (sécurité, appartenance), Besoins d’apprentissage : expériences concrètes, valorisantes; Besoins de détente : stabilité, bien-être, harmonie

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5
Q

Expliquez les différents niveaux de programmes.

A

le programme général fait référence aux activités routinières et à l’ensemble programmes spécifiques. il est en lien avec les objectifs, les besoins de l’individu (ex. Un individu ayant fait 4 rechutes à nécessairement besoin d’être plus encadré, d’avoir un mode de vie stable et organisé).

Les programmes spécifiques décrits les différents volets d’un programme général (gestion de colère, par exemple) et faits aussi références aux activités et ateliers organisés en fonction des volets

Le contenu : du contenu découle forcément les activités. Une activité cible en soi un contenu spécfique (e.g. : estime de soi). C’est ce que l’on veut faire vivre au sujet passe forcément par un contenu adapté.

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6
Q

Nommez 4 questions fondamentales à se poser lors de la confection d’un plan d’intervention ?

A

qu’est-ce qu’on veut lui faire vivre

Qu’est-ce qu’on veut lui faire réaliser afin d’atteindre ses objectifs (ex. : réaliser qu’ils trouvent toujours des excuses, confronter)

qu’est-ce qui permet au sujet d’atteindre les objectifs ? : on doit viser la convenance (pour cela bonne connaissance du du sujet)

finalement, il faut réfléchir aux conduites que le sujet doit acquérir pour l’atteinte de ses objectifs. Il faut se rappeler qu’il doit y avoir communication d’intention pour que le sujet sache ce qu’il doit faire.

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7
Q

quelles sont les questions que l’on doit se poser en lien avec le contenu ?

A

Sujet a-t-il les capacités

quelle est-la pertinence d,Un tel contenu (pourquoi travailler cette compétence plus qu’une autre)

le sujet matrise-t-il suffisament d’habiletés ?

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8
Q

qu’est-ce que l’on doit considérer dans la création d’un contenu ?

A

Respecte-t-il ou est -il en continuaiton avec le programme général ?

âge (mental) du sujet : respecte-t-il la maturité du sujet, son développement émotif, etc.

tradition socio-culturelles. : quelles sont les réactions qu’une telle image peut susciter dans une culture donneé (tabous, etc)

L’histoire personnelle du sujet
Mon contenu pourrait=il lui rappeler des échecs, le solliciter à avoir des conduites déviantes. En bref, que pourrait signifier l’activité pour le sujet

quelles sont les possibilités reliés à l’espace.

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9
Q

qu’est-ce que les moyens de relations et

A

Il s’agit en somme de tech. d’interventions , d’outils permettant de faire progresser la relation, dénouer les impasses. Il faut en posséder plusieurs et surtout les varier tout en tenant compte qu’ils doivent être adaptés à L’individu et cadrer avec les objectifs. De façon plus technique, il s’agit de mettre en relation un individu avec les éléments du réels et avec lui-même. Bref, la finalité des moyens de mises en relaiton sont l’utilisation des événements pour que l,individu comprennent, que ça soit significatif pour lui et qu’il puisse ensuite généraliser les conduites.

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10
Q

quels sont les moyens de mises en relations et expliquez les.

A

Les techniques d’interventions :
banque d’attitudes ou de comportements à adopter ou d’actions à entreprendre en fonction de situations typiques rencontrées avec des personnes en difficultés d’adaptation

Modalités didactiques (2 types )

Celle où il y a une transmission de la part de l’éducateur comme l’imitation, la démonstration et la transmission verbale (avec aide)

•Celle où il y a une démarche active de la part du sujet comme la découverte et l’interaction (autodidacte)

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11
Q

en quoi consiste la technique de l’ignorance intentionelle ?

A

Il s’Agit d’ignorer le comportement déviant dans L’espoir qu’il s’arrête pas lui-même.

Utilisable dans le cas d’une situation tendue (déjà fâché alors on ne l’abordera pas pour éviter une possible désorganisation.

C’est contre-indiqué lorsqu’on l’individu agit de telle façon pour avoir le support de l’éducateur ou qu’il entre mal en contact avec lui.

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12
Q

qu’est-ce que l’internvention par signe.

A

consiste à un signe facilement reconnaissable par les acteurs pour éviter la confrontation directe avec le sujet. Elle est préventive afin d’éviter une désorganisation trop grande.

Elle n’est indiqué qu’en début de désorganisation et elle n’est pas indiqué lorsque le comportement est trop déviant par rapport aux normes du groupes.

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13
Q

la proximité

A

être assez près de l’individu pour qu’ils sentent la présence et le support de l’éducateur

cette technique est contre-indiqué si elle pourrait être interprété sous forme de provocation, de surveillance ou comme si le sujet le prend comme un signe de son incapacité.

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14
Q

le toucher

A

support émotif manifesté corporellement : peut même aller jusqu’à l’enlacement.

pour certains sujets étant donné leur difficultée à communiquer, le toucher reste une façon simple de s’exprimer

Certains peuvent le percevoir comme un signe de menace (ceux qui ont vécu de l’abus physique) et pour certains les rend mal à l’aise. Il faut que le geste comprenne le moins de biais d’interprétation possible (attendre que l’individu le demande)

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15
Q

participation émotive

A

témoigner de L’intérêt en s’y impliquant directement

ce n’est pas indiqué si l’individu en vient à constammer rechercher l’aide de l’éducateur. Il ne faut pas non pluqs que ce soit un frein à L,acquisition de l’autonomie.

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16
Q

Témoignage d’affection

A

Mentionner à l’individu qu’il a une importance pour nous pas seulement en tant qu’objet d’intervention.

N’est pas à faire en début de relation ou lorsque la relation N,est pas bien établie. Un senti qui n’est pas réel pourrait être perçu par l’individu.

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17
Q

humour

A

Montrer au sujet les côtés inadéquats de ses conduites tout en décontaminant la situation. Bien sûr, il ne s’agit pas de ridiculiser l’individu

Toute ironie ou humour noir est à proscrire. Connaître le tempérament de L,individu est un atout. Cette technique demande un certain doigté et doit être utilisée avec parcimonie. Faire attention aux mots employés et au ton de voix.

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18
Q

aide opportune

A

Technique préventive pour éviter un déséquilibre inhibant. . Il ne s’agit pas de «faire avec» mais de «supporter à faire».

Il faut aussi doser étant donné que certains sujets sont enclis à la dépandances, ceci pourrait alors entraver leur autonomie. Il s’agit aussi d’évaluer à l’aide de son jugement les situations qui s’y prêtre. Il faut laisser le contact initiale se faire avec al situation problème, laisser l’individu travailler un peu, mais intervenir si on perçcoit des signes imminents que la difficultée est trop élevée

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19
Q

L,interprétation

A

L’éducateur veut en quelque sorte susciter une prise de conscience chez l’individu en tentant de faire modifier sa conduite en lui montrant ce qu’il pense en être les véritables motivations sous-jacentes.

Évidemment, il faut une excellente connaissance de L,individu ou une expérience clinique considérable. Elle met en jeu la crédibilité de L,intervenant, soit sa capacité à comprendre le vécu partagé, à l’analyser et à en faire l,utilisation. De plus, si L,individu manifeste constamment de genre de comportement et que cela mène à l’échec, l’éducateur peut donc tenter l’interprétation avec un peu plus de sécurité en ayant eu la chance de détecter des patterns.

Cette technique peut donc avoir des effets négatifs sur la relation, le sujet se considérant mal compris.

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20
Q

clarification

A
  • L’éducateur rappelle un ou des éléments de la conduite demandée afin que le sujet puisse la réajuster en fonction des objectifs à atteindre.
  • Elle permet de préciser de nouveau ce qui avait été entendu préalablement. Elle vise à redire autrement ce qui a déjà été précisé.

Il faut être perspicace et détecter si l’individu l’emploi en guise de feinte pour éviter de faire la tâche, mais aussi considérer que si on doit souvent clarifier, c’est peut être parce que l,activité N,était pas adaptée et qu’elle est non pertinente.

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21
Q

La confrontation

A

La confrontation
technique visant la responsabilisation des gens qui utilisent beacoup de leurs ressources personelles au profit de leur conduite déviante au lieu de leur adaptation. Technique souvent employée avec les sujets qui présentent des difficultés du comportement social.

elle suggère que L,individu ait un mandat clair aux yeux du sujet et qu’il ait une crédibilité. Elle demande une bonne sécurité (savoir-être) et, comme l’interprétation, une bonne lecture de la situation. C’est vrm le cœur de la relation qui est en jeux, aux risque de saboter le processus de rééducation.

22
Q

restriction dans l’accès à L’espace et aux objets.

A

Suggère une connaissance de L,individu. Ne vise pas à être une punition, mais plutôt une technique préventive visant à éviter une désorganisation du sujet, une conduite déviante. tentatives de détournement de la part des sujets.

Les restrictions doivent être justifiés, stables dans le temps et adéquat et résister aux tentatives de détournement des sujets

23
Q

permission formelle

A

•L’éducateur autorise explicitement et encourage l’adoption d’une conduite par le sujet. Peut aussi être liée à un comportement adéquat.

Il faut s’assurer que la permission sollicitée correspondre bien à la conduite concernée et non pas qu’elle serve d’écran à une autre conduite dont l’éducateur ne peut encourager son avènement.

24
Q

Le retrait.

A

Peut être partiel (tête sur le bureau) ou total (isoloir)

retirer un sujet, le couper des stimulus pour le retirer d’une zone de conflit.
Éviter que ce soit perdu comme une sorte de rejet et d’exclusion. Probablement qu’un ton et une explication appropriée peuvent éviter cette confusion.
•Se préoccuper de l’effet et des conséquences que le retrait aura sur le sujet face à son groupe

25
Q

Le regroupement.

A

Vise à modifier la dynamique d’un groupe en changeant une configuration

Il en existe 3 types

regourpement total : envoyer le sujet hors de la ressources, dans un autre contexte d’intervention (suggère un échec de la tentative de rééducation ?) Éviter que ce soit perçu comme punitif.
•Regroupement partiel: envoyer le sujet dans un autre groupe de la même ressource.
•*Éviter de transporter des images négatives sur le sujet d’un groupe à l’autre.

  • Regroupement interne: Changer les modes de participation aux activités à l’intérieur du même groupe (places de repas, les responsabilités, etc.).
  • *Éviter que le regroupe ne concerne qu’un seul individu (pourrait être stigmatisé)
26
Q

COntrainte physique

A

L’éducateur prend des moyens qui empêchent physiquement le sujet de se comporter de façon déviante et ainsi éviter une désorganisation importante. Il s’agit d’arrêter ou d’empêcher le sujet d’agir, i.e. à exclure de force, le sujet du conflit.

Elle demande une considérable dépense d’énergie et ne règle rien en soi. Doit s’accompagner d’une revue des événements lorsque le sujets sera mentalement disponible.

27
Q

Les promesses et récompenses

A

Les promesses et récompenses
•L’éducateur s’engage à ce que le sujet obtienne un élément de la réalité auquel il tient après avoir atteint un objectif quelconque.

renforcement positif sensée augmenter la rpobabilité de l’apparition d’un comportement souhaitée, dans ce cas-si, une conduite adaptative visant à atteindre unobjectif.

vise à faire connaître le plasiri de la bonne conduite et espérer sa génralisation,

faire attention à son utilisation qui pourrait être perçu comme une technique de marchandage.

28
Q

mises en garde et conséquences

A

Les mises en garde et conséquences
•Elle vise à prévenir ou à décourager l’avènement de conduites jugées inadéquates et non souhaitées en faisant appel à des éléments de la réalité constituant des sources de déplaisir pour le sujet. (suite à une interdiction formelle non respectée)
•On espère que le sujet associe de manière durable, conduite déviante et déplaisir. Il faut donc, dans le cas où la conduite déviante se produit qui y soit associée une source de déplaisir (inverses de promesses et récompenses)
•C-ind.: Ne doit pas être une forme d’exutoire à la colère et à l’agressivité de l’éducateur. Le sujet doit vivre la conséquence sans tomber dans un état de désorganisation encore plus grand que celui ayant amené l’application de la conséquence.

29
Q

Quelle fonction vient jouer le temps dans l’intervention

A

un rôle de balise, d’encadrement. En effet, il permet les étapes et le rythme de l’intervention. Doit être adapté à L’individu.

30
Q

il existe 3 types de «temps».Nommez et expliquez-les.

A

Il existe premièrement le temps objectif qui est idéalement mesuré avec une horloge une montre. Il est le même pour tous. C’est, en somme, la durée de l’intervention selon ces outils de mesure du temps.

Ensuite, il y a leTemps subjectif, c’est-à-dire la perception subjective que l’on a du temps.
Fait référence à la perception que l’on a personnellement du temps ainsi qu’au rythme individuel.
Temps réel vécu
Fait référence à la jonction entre le temps objectif et le temps subjectif. Il s’évalue en fonction du sens de ce qui est vécu dans le temps mis à la disposition de l’activité. Le temps réel vécu décrit ce qui se produit dans l’activité, ce qui epeut être bien différent de ce qu’on avait planifié. Normalement, à moins d,une surprise, il ne devrait pas y avoir trop de variations.

31
Q

expliquez les nuances entre période d’activités et séquences d’activités.

A

La période d’activité fait généralement partie d’une séquence d’activités. C’est l’unité de mesure de la séquence d’activités. Donc, cela sous-entend qu’une séquences d,activités comprend donc plusieurs périodes d’activités. Habituellement, on aloue une certaine période de temps objectifs à L,activité. Il y a plusieurs phases de déroulement dans une période d’activité. La période est conçue en terme de durée en référence au temps réel objectif :
•Transition / Mise en train / la production / le point culminant (mobilisations maximales d’énergie (doit être intéressante, récompense) / la fin de la période (cesse la production) / le retour (évaluation, prise de conscience de ce qui a été vécu : utilisation / la transition (se remettre de ce qui s’est produit et préparer à ce qui s’en vient. Passage physique et psychologique d’un moment de vie à l,autre)

Séquence d’activités
Groupement de plusieurs périodes d’activités visant à atteindre l’objectif.
La séquence d’activités se divise en étapes de déroulement
•la sensibilisation
•la réalisation proprement dite
•le point culminant
•l’analyse postsituationnelle

32
Q

À quoi fait référence l’espace et quels sont les deux types ?

A

Là ou se déroule l’animation, l’activité. Pour que l’intervention fonctionne, le sujet doit se sentir en sécurité.

D’une part, il y a l’espace objectif ou convenant (aspect phsyiques de l’espace (on doit faire un schéma pour bien visualiser l’organisation)

D’autre part, il y a l’espace subjectif ou sécurisant, soit la façon de l’individu le perçcoit en fonction des ses forces et faiblesses. Ces le sens qu’on donne à L,esapce. Peut varier en fonction du niveau de développement.

bref, il ne faut surtout pas oublier de configurer l’espace de façcon à éviter les désorganisations et en fonction du sens qu’il va prendre.

33
Q

expliquez l’importances des codes et procédures et à quoi ils sont fortement liés.

A

Le code de vie est particulièremen, car ils font en sorte que chacun sait et comprend les meilleurs façon d’agir.
Les procédures font plutôt référence à des façons de faires, des méthodes à suivre. C’est la façon d’appliquer le code de vie. Le même code de vie peut être appliqué de bien des façons différentes selon le contexte.

Le code de vie est fortement lié aux valeurs d’un lieu d’intervention et le reflet de sa cohérence(même code pour tout le monde) et il permet aussi d’éviter l’arbitraire. Il est donc objectif. Il nous permet d,éviter la confrontation constante et nous protège en tant qu’intervenant. Il n’est pas nécessairement d’une rigidité totale, mais la souplesse est à utiliser avec précaution.

34
Q

en quoi consiste le système de responsabilité

A

Système de responsabilités
•Le système vise à favoriser et à renforcer la participation des personnes ( on leur attribue une responsabilité quelconque, un rôle à jouer dans le processus interventionnel)
Les responsabilités sont à distribuer en fonction des compétences.
Les responsabilités s’attribuent aussi aux intervenants. QUi fait quoi en fonciton de la structure de l’intervention.

35
Q

qu’est-ce que l’évaluation

A

De par sa nature, l’évaluation est un jugement de valeur porté sur un individu ou un objet. Il est évident que l’évaluation doit être faite avec des critères de bases (en fonction des objectifs) mentionnés au début du processus pour ainsi voir l’évolution et mieux évaluer l’évolution réelle de l’individu.

PS : certaines personnes deviennent très nerveuses lors d’Une évaluation, ne pas sous-estimer a charge émotive d’une telle étape.

36
Q

qu’est-ce que l’évaluation

A

De par sa nature, l’évaluation est un jugement de valeur porté sur un individu ou un objet. Il est évident que l’évaluation doit être faite avec des critères de bases (en fonction des objectifs) mentionnés au début du processus pour ainsi voir l’évolution et mieux évaluer l’évolution réelle de l’individu. En bref, pour transmettre à la personne l’appréciation de ses conduites en fonction de l’évaluation portée»

PS : certaines personnes deviennent très nerveuses lors d’Une évaluation, ne pas sous-estimer a charge émotive d’une telle étape.

37
Q

quels sont les types d,Évaluation ?

A

L’évaluation normative
•Elle situe le sujet p/r à sa catégorie, en référence à son groupe d’appartenance
L’évaluation critériée
•Se faitlorsque la performance d’un sujet n’est pas comparé aux autres de sa catégorie mais à des critères établis à l’avance. (en fait, toute évaluation suggère qu’il y en a)

38
Q

qu’est-ce que la reconnaissance ? Quels sont les deux types ?

A

moyens utilisés pour transmettre à la personne l’appréciation de ses conduites en fonction de l’évaluation portée.

La reconnaissance explicite
•Quand elle comprend une extériorisation de l’appréciation par des moyens souvent tangibles ou utilisables à d’autres fins (comme la récompenses)
La reconnaissance implicite
•Quand le contenu du résultat se transmet autre que par une forme matérielle; elle se déploie le plus souvent sous une forme verbale ou gestuelle

39
Q

quelle est la fonction de la reconnaissance ?

A

But : favoriser l’adaptation

moyens d’y arriver : reconnaître la valeur intrinsèque de la personne afin qu’elle puisse elle-même y arriver.
Planifie le futur : on célèbre les réussites et mentionne les progrès à accomplir. •

40
Q

qu’est-ce qui doit être fait avant d’établir un plan d’intervention, les conditions préalables ?

A

À partir des caractéristiques des sujets et des référents (autres acteurs)
•Il faut décrire le contexte général de la problématique (suppose une certaine observation préalable)

  • D’établir la pertinence (apportera-t-il quelque chose de concret à l’individu), la priorité (pourquoi cet objectif avant les autres), la faisabilité et la cohérence (travail avec d’autres intervenants) de l’intervention
  • Faire part de l’énoncé du problème
  • Planifier des objectifs et des moyens et mettre en place le choix des critères d’évaluation (comportement)
  • Pour chacune des grandes catégories d’objectifs, l’éducateur, en fonction de son niveau de conscience de la réalité souhaitée et de compétences particulières, identifie autant de conduites à acquérir par les acteurs cibles (les conduites deviennent des objectifs)
41
Q

qu’est-ce que signifie opérationnaliser la problèmatique

A

le sens du mot opérationnaliser nous donnes un indice. Plus simplement, il s’agit de mettre en action toute la structure qui a été élaborée. Les divers acteurs assureront diverses prises en charges et apporteront leur collaboration. Cette opérationnalisation se fera à l’aide d’un plan intervention, transition, etc. Un peu comme un entreprise qui se fait un plan d’affaire pour coordonner toutes les opérations pour un objectif financier quelconque.

42
Q

qu’est-ce que le plan de transition

A

Il s’agit d’une planificaiton à long terme ayant comme but l’adaptation à de nouvelles situations (e.g un nouvel environnement). Il faut prendre en compte les besoins du sujet par rapport à son nouvel environnement. On vise, certes, à en informer les intervenants d’un autre milieu pour qu’ils s’y adaptent minimalement. On vise aussi à donner des outils au sujet lui-même

43
Q

qu’est-ce que la définition du plan de services

A

Le plan de service Est un outil de planification et de coordination des services individuels qui favoriseront l’adaptation de l’individu. Ils s’agit de regrouper les divers services pour ainsi améliorer les chances de réponde aux besoins correctement et de favoriser l’adaptation.

L’utilité d’un tel plan est qu’il donne une cohérence à l’internvention. Tout le monde travaille selon un même objectif et pour le même individu, avec la même ligne directrice.
Il évite les dédoublement d’évaluations, car, de par une autre force, les intervenants communiquent entre eux et cela permet d’assurer les références et les suivi.

On s’assure aussi de donner des réponses personnalisées.

Ps. : un plan de transition peut aussi comporter un plan de services si L,individu a des besoins très particuliers et qu’on doit mobiliser beaucoup de gens .

44
Q

quels sont les buts du plan de service ?

A

Il s’agit d’opérationnaliser des objectifs qui, eux, découlent des besoins d’adaptation de l’individu. Le but est vrm de tout coordonner et de faire en sorte que L,internvention soit réussie

45
Q

quel est le défi majeur du plan de services

A

Il s’agit vrm de créer un dynamique interactive, soit que les partenaires, les différents services reconnaissent, d’une part, leur côté unique, mais d’autre part leur complémentarité et il faut donc les mettre en communication pour cette raison, pour assurer le côté dynamique de ls strucutre et non l’inflexibilité de celle-ci.
•D it s’adapter aux besoins de la personne qui requièrent des services : important de se centrer sur la personne dans sa globalité

46
Q

quelle est la particularité du plan de services ?

A

Il est décomposable, c’est-à-dire qu’on peut le décomposer en un plan d’internvention (plus déaillée)dans chaque services qu’il utilise pour son handicap, limites fonctionelles, etc.

47
Q

qu’est-ce que le plan d’intervention

A

•Il est basé sur l’évaluation des beosins de la personne. Il comprend les objectifs de l’intervention, les moyens de les atteindre, les responsables et les échéanciers

rocessus structuré par lequel un organisme, établissement, avec la participation active du sujet (se rappeler de ce que ça signifie), détermine les objectifs à atteindre et aussi les interventions à faire avec l’individu (e.g. atelier de gestion de colère : programme spécifique : élaboration d’un contenu) nécessaire
.

48
Q

quels sont les principes de bases d’un plan de service (PS) ou d’un plan d’intervention.

A

Un principe de base est un reconnaissance de la primauté, du côté unique de chaque personne et de son potentiel de développement. Tous les acteurs du PI ou du PS doivent le reconnaître dans leur façon d’intervenir. Il n’y a pas de canevas de base applicable à chacun

Par le fait qu’il s’agit de quelque chose de personnalisé, il visent à assurer de répondre aux besoins de tous, et ce, de façon satisfaisante.

Leur conception permet de déterminer les ressources, les priorités et les références à faire en matière d’internvention.

Lors de sa mise en place, il permet de s’assurer de la continuité, la complémentarité et la qualité des services donnés.

49
Q

quels sont les différents acteurs et l’apport qu’ils peuvent avoir dans un PS ou un PI.

A

Le sujet lui-même : doit certainement avoir son mot à dire sur le plan d’intervention. S’il veut être actif, il peut aider à déterminer les objectifs. Ce serait étrange de en pas consulter quelqu’un auquel s’adresse le plan. Les objectifs ne s’imposent donc pas au sujet.

Les Parents : Eux aussi ont généralement une bonne connaissance du sujet et nous pouvons donc leur donner un rôle de «consultant» sans nécessairement leur donner le rôle d’un intervenant professionnel. Il faut croire en leur compétences et on doit leur donner l’espace nécessaire pour les exercer.

Finalement, les éducateurs peuvent et doivent participier à l’élaboration des objectifs. COnnaissance minimale de L,individu, mais peut justement leur donner un autre point de vue que celui des parents ou de l’individu lui-^même.

50
Q

quelle est la différence PI et PS ?

A

Le PS fixe les buts, les objectifs généraux et établit les priorités pour répondre aux besoins globaux. Excellente façon d’organiser et coordonner les services.

•Le PI précise les modalités des interventionsà effectuer pour atteindre les buts ou les objectifs visés

l’un se veut donc une façon de coordonner et l’autre une façon de préciser le travail qui est à faire pour les acteurs impliqués.

51
Q

quelles sont les fonctions du PI et qu’est-ce qu’il contient.

A

tout comme le PS, le PI est dynamique et il suppose donc une interaction entre tous les acteurs : l’aidé, sa famille, les intervenants,e tc.

Il contient : les besoins de la personne
les buts, les services et les programmes
il doit permettre de fiexer les responsabilités en ce qui à trait aux ressources et aux services.
•Il doit définir les besoins de la personne;
•Il doit définir les buts, les services et les programmes d’intervention;
contient un échéancier des réalisations