Exam 1 Flashcards

1
Q

En quoi consiste le Wild Beast Test ?

A

Si la personne n’était pas capable de comprendre son crime mieux qu’un enfant ou une bête sauvage, on peut déduire qu’elle est non criminellement responsable

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2
Q

Qu’est-ce que la M’Naughten Rule ?

A

On ne peut pas condamner quelqu’un qui n’est pas criminellement responsable.

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3
Q

Quel chercheur (dans un procès) a débuté le débat sur l’influence des médias durant un procès ?

A

Albert von Schrenck-Notzing (témoin expert dans un cas de meurtre de 3 femmes), a fait des études sur la suggestibilité.

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4
Q

En quelle année est-ce que la peine de mort a été retirée au Canada ?

A

1976

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5
Q

Explique le problème de Rachel Nikell et le profilage.

A

Le chercheur du cas (meurtre) a essayé de trouver le meurtrier selon le profilage du chercheur. Ils ont trouvé un personne qui fittait parfaitement avec le profil mais finalement c’était la mauvaise personne (c’est pk on dit que c’est pas super fiable).

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6
Q

Quels types de questions/problèmes peuvent être utilisés pour la recherche en psychologie forensique ?

A

Le phénomène de la criminalité, les auteurs de comportements antisociaux et criminels, ou tout autre acteur du système de justice pénale ou civile.

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7
Q

Quelles approches peuvent être utilisées en recherche de psychologie forensique ?

A

Psychométriques (efficacités des outils de mesures), expérimentales, qualitative

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8
Q

Quelles sont les considérations éthiques à prendre en considération dans la recherche ?

A

Les participants vulnérables et la participation (pas de coercition, et maintien de l’anonymat).

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9
Q

En quoi consiste la théorie de Cesare Lombroso

A

Les criminels ont une morphologie différente de la population normale (taille bizarre, yeux wack, traits plus primitifs)

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10
Q

Comment la théorie de freud peut s’appliquer au crime ?

A

Ça trop fort et le surmoi inhibé, complexe d’oedipe lié à la jalousie sexuelle.

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11
Q

Vrai ou faux : les interventions psychodynamiques ne sont pas efficaces dans le traitement des criminels.

A

Faux, même si la théorie psychodynamique s’applique difficilement au crime (à cause du manque de données probantes), le traitement psychodynamique peut aider.

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12
Q

En quoi consiste la théorie de la tension?

A

La criminalité vient des tensions dans la société (inégalités)

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13
Q

Quelles sont les critiques de la théorie de la tension ?

A

Manque de test empirique et s’applique mal a certain type de crime (ex : crimes sexuels).

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14
Q

Qu’est-ce que la théorie de la désorganisation sociale ?

A

Lien entre les zones urbaines en transition et le déclin de l’influence des valeurs collectives de l’individu qui peut provoquer des phénomènes de la délinquance

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15
Q

Qu’est-ce que la théorie de l’apprentissage différentiel ?

A

Un individu adopte un comportement délinquant lorsque son exposition aux définitions favorables à la violation des lois l’emporte sur les définitions défavorables à de tels actes

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16
Q

Quelle est la définition de la neuroscience forensique ?

A

Une discipline qui s’intéresse aux bases neuronales du crime et qui intègre les principes et les techniques des neurosciences afin de comprendre les origines des comportements antisociaux

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17
Q

Qu’est-ce que les études sur les jumeaux permettent d’analyser ?

A

La contribution des facteurs biologiques et environnementaux dans le crime

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18
Q

Qu’est-ce que les études sur les jumeaux nous disent sur le crime ?

A

Les caractéristiques individuelles sont influencées par la génétique

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19
Q

Quelles sont les conclusions des études sur les jumeaux

A

Parent criminel (mais famille adoptive) = augmentation du risque d’être condamné plus tard.
Jumeaux monozygotes = comportements criminels et antisociaux similaires (même si environnement différent)

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20
Q

Vrai ou faux : le Qi est un bon indicateur de criminalité

A

Faux : c’est surtout à cause des facteurs sociaux qui influencent le QI et les techniques de mesure du QI laissent à désirer.

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21
Q

Vrai ou faux : il existe un variation chromosomique qui détermine la criminalité.

A

Faux : le chromosome Y extra ne veux pas dire que la personne va devenir un criminel même si le taux de criminels emprisonnés avec XXY est assez élevés

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22
Q

Est-ce que la théorie du Warrior Gene (MAOA) est vrai ?

A

Oui et non, c’est un gène qui agit sur l’enzyme de transformation de la dopamine donc ça a un effet sur l’agressivité mais il faut que ça rentre en interaction avec plusieurs autres gènes.

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23
Q

Quelles sont les conséquences d’une lésion au CPF sur les comportements criminels ?

A

Émotionnel (colère), comportemental (impulsivité), psychologique (faible contrôle de soi), social (manque d’habilité sociale), cognitif (faible capacité à résoudre ses problèmes)

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24
Q

Quels sont les 8 grands facteurs de la théorie intégrée qui influence les comportements criminels ?

A

procriminal associates, family/marital, procriminal attitudes, school/work, substance abuse, leisure, criminal history, antisocial personality pattern.

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25
Q

Quelle est la différence entre le système accusatoire et inquisitoire ?

A

Accusatoire : présumé innocent jusqu’à preuve du contraire. L’État accuse le crime et l’accusé à le fardeau de la preuve. Inquisitoire = le/la juge cherche la vérité en jouant un rôle actif dans l’enquête.

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26
Q

Quelle est la différence entre une infraction sommaire et un acte criminel ?

A

Sommaire = moins grave

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27
Q

Quel type de témoin a un effet positif sur l’opinion des jurés ?

A

Les témoins confiants ont un impact plus positif que les témoins émotionnels.

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28
Q

Pourquoi les enfants sont-ils des témoins vulnérables ?

A

Parce que leur mémoire est maléable

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29
Q

Quelle recommandation est demandée pour les témoins adultes avec des vulnérabilité psychologiques ?

A

Il faut les traiter comme des enfants puisqu’ils peuvent facilement être confus et les avocats peuvent en abuser.

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30
Q

Quels facteurs pouvaient être considérés contre la diminution de la responsabilité de Rurik Jutting ?

A
  • Il était déjà en train de prévoir son prochain meutre
  • Il avait une “raison” de tuer les victimes
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31
Q

Quels sont les résultats du cas de Jutting ?

A

Le jury a rendu un verdict de culpabilité

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32
Q

Quelles sont les responsabilités des psychologues dans les cas de crimes civiles ?

A

Déterminer les effets psychologiques du crime sur les victimes.

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33
Q

Quel est le rôle d’un psychologue à la chambre de la famille ?

A

Aider à prendre une décision par rapport au droit de garde d’un enfant : dans son meilleur intérêt.

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34
Q

Quel est le rôle d’un psy dans la chambre de la jeunesse ?

A

Témoigner au sujet d’un enfant dont la sécurité ou le développement ont été compromis.

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35
Q

Comment fonctionne la recherche avec de vrais jurés ?

A

On peut utiliser des données d’archives ou des jurés ayant terminé leur service. On ne manipule pas les données.

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36
Q

Quels sont les résultats des recherches avec des jurés ?

A

Les jurés ont généralement de la difficulté à comprendre les procédures, à évaluer les preuves scientifiques et à ne pas considérer les preuves inadmissibles (considèrent surtout les preuves matérielles).

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37
Q

Qu’est-ce que l’effet CSI ?

A

On craint que les jurés croient que les preuves ADN sont infaillibles, même s’ils ne comprennent pas ce que c’est, et que l’absence de preuves mènera à des acquittements

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38
Q

Quels sont les problèmes des directives aux jurés ?

A

Ceux qui reçoivent des directives comprennent moins bien les lois, ces directives n’aident pas à la compréhension du doute raisonnable et il existe toujours des biais cognitifs.

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39
Q

Quels sont les résultats de la recherche de Osborn et al. ?

A

Verdict différent selon l’emplacement du crime et des vêtements portés par la victime.
Si les deux n’étaient pas mariés : c’est l’habit durant le crime qui était plus important alors que si les deux étaient mariés, c’est l’habillement à la cour qui influence le verdict.

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40
Q

Quels sont les résultats de la recherche de Loftus sur la déposition d’un témoin?

A

Quand le témoin avait une mauvais acuité visuelle, le jury acceptait quand même son témoignage à une haute proportion. Donc la simple présence du témoin (même avec mauvaise acuité) va avoir un effet sur le jury.

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41
Q

Qu’est-ce que le jurythink ?

A

Les membres du jury qui admettent qu’ils sont confus peuvent stimuler la discussion, mais cette discussion ne clarifie pas nécessairement les enjeux!
Les penseurs indépendants = la création d’une réalité collective (cohésion de groupe à cause des personnes qui prennent plus de place vont créer une certaine réalité collective)
Ceux qui ont des opinions en dehors de la réalité sont critiqués et exclus

42
Q

Quelle est la raison principale des personnes qui sont en situation de crise ?

A

Veulent arrêter de souffrir et/ou mourir

43
Q

Quel pourcentage de personnes en situation de crises sont envoyés en examen psychiatrique ?

A

41,3%

44
Q

Qu’est-ce que le suicide by cop ?

A

La personne veut mourir alors elle va agir agressivement envers la police.

45
Q

Quelles sont les étapes du modèle SINCRO ?

A
  1. La crise
    Transition A : crise vers résolution du problème
  2. Résolution du problème
    Transition B : résolution du problème vers reddition
  3. Reddition
46
Q

Vrai ou faux : les personnes qui font des menaces sur des cibles publiques ont plus de chance de passer à l’acte ?

A

Faux : c’est surtout pour intimider, les cibles privés ont plus de chance de passer à l’acte.

47
Q

Vrai ou Faux : la technique de Reid en entrevue est une très bonne technique pour obtenir des aveux.

A

Faux, même si on obtient des aveux, ils sont souvent faux à cause de l’anxiété causée par l’entrevue.

48
Q

Quels sont les 4 principes directeurs ?

A
  1. Principe de retenue
    2.Principe d’être conscient et participer au procès
  2. Principe de responsabilité des actes
  3. Principe de disposition humains et juste
49
Q

Quels sont les éléments constitutifs de la santé mentale et la loi ?

A

Activités thérapeutiques, législatives, scientifiques on d’organisation des liées à l’évaluation, à la compréhension et au traitement de personnes ayant un trouble mental (ou une déficience intellectuelle) et dont le comportement les a conduites ou pourrait les conduire à commettre des infractions ou à en interaction avec la justice civile ou pénale

50
Q

Quelles sont les caractéristiques d’une bonne entrevue ?

A

Esprit ouvert, rapport avec l’autre, questions ouvertes et spécifiques, attention spécifique envers les personnes vulnérables

51
Q

Quelles sont les 3 possibilités après la Commission d’examen des troubles mentaux ?

A

Libération, libération conditionnelle ou détention

52
Q

Vrai ou faux : il y a une diminution des patients psycholégaux à travers le monde

A

Faux, il y a une augmentation de ce type de patient en comparaison avec un diminution des patients ayant un trouble psychiatrique non criminels.

53
Q

Pourquoi est-ce qu’on remarque que le Québec a un nb plus haut de patients psycholégaux ?

A

Parce que c’est une défense qui est bcp utilisée au Québec et bcp acceptée aussi.

54
Q

Quelle est la définition de récidive

A

Commettre à nouveau un crime après avoir été détecté et sanctionné

55
Q

Quels sont les 3 types de récidives ?

A

Générale, violente et sexuelle

56
Q

Quels sont les points négatifs de l’évaluation du risque de récidive par jugement clinique non structuré ?

A

Biais subjectif, qui peut miner la crédibilité des cliniciens en raison d’une piètre base scientifique
Peut être influencée par l’émotion au moment de la prise de décision
Faible fiabilité inter-juge, faible validité, processus de faire des décisions non précisé

57
Q

Qu’est-ce que l’évaluation actuarielle ?

A

Évaluation en fonction de caractéristiques statistiquement associés à la récidive avec cotation de facteurs (présents / absents)

58
Q

Vrai ou faux : l’évaluation actuarielle a une moins bonne validité prédictive que le jugement clinique non structuré ?

A

Faux

59
Q

Quels types de facteurs de risques sont utilisés dans l’évaluation actuarielle ?

A

Facteurs statiques

60
Q

Qu’est-ce que le taux de base ?

A

la probabilité que l’évènement arrive dans la population en général

61
Q

Quels types de facteurs/concepts ne sont pas considérés dans l’approche actuarielle ?

A

Les variables cliniques et les changements possibles durant l’intervention.

62
Q

Qu’est-ce que le jugement clinique structuré ?

A

Permet d’identifier les cibles de traitement
Permet d’évaluer l’évolution du niveau de risque
Incorpore les facteurs dynamiques

63
Q

Quelle est la différence entre un facteurs dynamique stable et aigu ?

A

Stable est plus difficile à changer qu’aigu.

64
Q

Quels sont les inconvénients des facteurs dynamiques ?

A

Validité prédictive inférieure
Plus difficiles à mesurer de manière précise

65
Q

Quel principe est à considéré en premier lieu dans le modèle d’intervention RBR ?

A

Le principe de risque de récidive parce que plus le risque est grand, plus l’intervention devrait être longue.

66
Q

En quoi consiste le principe besoins dans le modèle RBR ?

A

Les besoins criminogènes (aka facteurs criminogènes dynamiques) sont des cibles d’intervention

67
Q

En quoi consiste le principe de réceptivité dans le modèle RBR ?

A

Exige que le traitement soit administré conformément à des directives qui réunissent les caractéristiques efficaces des thérapeutes

68
Q

Qu’est-ce que la réceptivité générale et la réceptivité spécifique ?

A

Générale : basé sur des données probantes
Spécifique : adaptée selon les forces et faiblesses de la personne

69
Q

Quelle est la définition de la violence ?

A

Une personne perpètre un acte (ou omission) avec une certaine intention, qui était la cause ou pourrait être la cause de blessure/préjudice physique, ou psychologique grave à une autre personne

70
Q

Selon Mathur et VanderWeele, quel est l’effet des jeux vidéos sur la violence ?

A

Il y a un lien entre les jeux vidéos violents et la violence : augmente l’incidence de la violence mais le lien est très subtil, c’est un facteur parmi d’autres

71
Q

Quelles sont les causes d’homicide les plus fréquentes ?

A

C’est toujours des protagoniste qui sont des délinquants avérés incapable de se contrôler, obsédés par l’injustice subie, sentiment de n’avoir rien à perdre
Contexte social : tierces parties attisent le feu, présence d’une arme, niveau générale de violence accepté par la société (violence nourrit violence), alcool.

72
Q

Pourquoi les caractéristiques de l’auteur/victime de violence conjugale ne sont pas mentionnées dans la définition de celle-ci ?

A

Pck ça peut être n’importe quelle dynamique et dans 50% des cas de violence conjugale, la violence est bi-directionnelle

73
Q

Quelle hypothèse est émise par rapport au nb de personnes victimes de violence conjugale en Australie et au UK ?

A

Vu qu’il y a moins de monde en Australie (25 millions vs 66 au UK), ça favorise l’isolement donc d’une certaine façon la violence conjugale

74
Q

Qu’est-ce que la théorie des facteurs exo systémiques ?

A

Les facteurs de stress de la vie conduisent à la violence, lorsque d’autres facteurs sont présents, tels qu’un passé abusif et l’isolement social

75
Q

Quelle est la motivation principale (la plus probable) des incendies criminels ?

A

La vengeance (41%)

76
Q

Quels sont les 4 sous-types d’incendies criminels ?

A
  • Psychotiques
  • Manque d’affirmation de soi
  • Criminel
  • Incendies multiples
77
Q

Quelles sont les 3 trajectoires des personnes qui causent les incendies criminels ?

A

Agir sur la base des griefs (pour exprimer le sentiment d’injustice)
L’expression des émotions (ex: colère)
Les cognitions antisociaux

78
Q

À quel type de modèle d’évaluation du risque de récidive le HCR20 fait-il partie ?

A

Jugement clinique structuré

79
Q

Vrai ou faux : on peut utiliser le HCR20 pour mesurer le risque de suicide/auto-mutilation ?

A

Faux, on peut uniquement l’utiliser pour évaluer la violence contre autrui

80
Q

Dans quel contexte est-ce qu’on peut utiliser le HCR20 ?

A

S’il y a un besoin légal ou clinique

81
Q

Quelle proportion du HCR20 est composée d’items statiques et dynamiques ?

A

Historique
- 10 items relatifs à l’histoire de la personne (statique)
Clinique (dynamique)
- 5 items pour les éléments actuels
Risque (dynamique)
- 5 items pour la gestion du risque futur

82
Q

Donne 3 exemples de facteurs historiques.

A

Violence, comportements anti-sociaux, toxicomanie

83
Q

Donne 2 exemples de facteurs clinique et 2 facteurs de risque

A

Clinique : idées ou intentions violentes et réponse au traitement
Risque : situation de vie et stress/adaptation

84
Q

Qu’est-ce que la conceptualisation de cas ?

A

Englober tout les facteurs de risques distincts dans un énoncé qui nous explique la violence de la personne

85
Q

Donne 2 limites du HCR20

A

Manque de recherche pour l’évaluation des formulations et nécessite beaucoup de jugement clinique pour comprendre comment les facteurs contribuent au risque

86
Q

Vrai ou faux : tout les pédophiles sont des agresseurs d’enfants

A

Faux : avoir l’intérêt sexuel ne veut pas dire que tu vas agir sur cet intérêt.

87
Q

Vrai ou faux : les compulsions sexuelles sont des facteurs de risques dynamiques

A

Vrai : ex : masturbation excessive ou recours fréquent à des prostitués.

88
Q

Pourquoi dit-on que la perspicacité/aperçu (insight) est un facteur de risque dynamique ?

A

Parce qu’on peut changer la vision de la personne par rapport aux raisons qui l’ont amené à commettre le crime

89
Q

Est-ce que les agresseurs sexuels commettent d’autres types de crimes ?

A

Oui, souvent d’autres types de crimes sont commis, le risque de récidive non-sexuelle existe.

90
Q

Vrai ou faux : la castration chimique est toujours un moyen d’intervention efficace.

A

Vrai : elle peut stabiliser le comportement problématique MAIS une intervention psychologique est toujours recommandée.

91
Q

Quelles sont les 3 idées utilisées dans la sanction des crimes ?

A

Les mauvais comportements sont toujours punis, les sanctions doivent être proportionnelles au crime et les sanctions vont décourager les gens de commettre des crimes

92
Q

Quels sont les arguments donnés en faveur des “get-tough legislation”

A
  1. ça enlève les mauvaise personnes des rues
  2. ça augmente les bonnes perceptions du systèmes de justice
  3. ça décourage les gens à commettre des crimes.
93
Q

Est-ce qu’une augmentation de l’incarcération veut dire une diminution du taux de crime ? Pourquoi ?

A

Non parce que
1. la baisse du taux de criminalité est venue seulement 20 ans après l’augmentation de l’incarcération
2. les états américains ayant le plus haut taux d’incarcération on vu une plus petite baisse de la criminalité.

94
Q

Est-ce que l’affirmation de Zedlewski concernant les coûts bénéfices de l’emprisonnement est véridique ? Pourquoi ?

A

Non parce que le profile des personnes incarcérées à grandement changé (war on drugs) et il y a d’énormes conséquences après l’emprisonnement (manque d’emploi etc)

95
Q

Vrai ou faux : les politiques plus dures sur l’incarcérations créent une baisse du taux de récidive

A

Faux : entre 3-5% d’augmentation de récidive quand une incarcération plus longue (école du crime)

96
Q

Quels sont les moyens alternatifs de sanctions utilisés depuis les années 1980?

A

Intensive Supervision Programs (ISP), incarcération choc, programme de monitorage électronique et projet HOPE

97
Q

Vrai ou faux : les techniques de punition alternatives ont un effet positif sur le taux de criminalité

A

Faux : ils n’ont toujours pas montré un effet positif (sauf HOPE_

98
Q

Quelles sont les 3 conclusions apportées par rapport au traitement de monitorage électronique ?

A
  1. Les programmes EM ne fournissent pas une alternative à l’emprisonnement
  2. Ne diminuent pas le taux de récidive
  3. Doivent être jumelés à un autre traitement pour être efficace.
99
Q

Quels sont les critères importants pour définir une bonne punition ?

A
  • Intensité : proportionnelle au crime
  • Immédiateté
  • Certaineté
  • Pas de porte de sortie ou d’alternatives renforcées
  • La densité de la punition doit être plus élevée que la densité de récompense.
  • L’efficacité de la punition interagi avec les variables individuelles
100
Q

Quels sont les effets négatifs de la punition ?

A
  • Cela peut interféré avec des comportements désirables
  • Possibilité d’impuissance acquise
  • Attributions possibles face à leur situation
  • Apprentissage vicariant (social : par observation)
  • Augmentation du taux de criminalité si incarcération.
101
Q

Qu’est-ce que la justice réparatrice ?

A

Aider les victimes à pardonner le criminel et le criminel à se faire pardonner.