Evaluation du risque par les non-spécialistes

Question 1

Tout chef d’agrès, tout chef de garde (et tout officier de garde compagnie) disposent de moyens pour évaluer les risques à minima, entre autres pour effectuer …

Answer 1

une détection d’alerte.

Question 2

Dans tous les cas d’interventions, cette évaluation est l’addition de plusieurs éléments :

Answer 2

• Les éléments factuels, si possibles vérifiés, fournis par un requérant (s’il y en a) et ou par des documents et faisant état de produits chimiques, radiologiques ou biologiques
• L’analyse de la zone de l’intervention, même sommaire (lieu, contexte, observation d’éléments, de comportements humains, etc.)
• La synthèse des symptômes présentés par la ou les victime(s), même sommaire, même imparfaite, mais si possible corroborée par un avis médical
• La détection de substances dangereuses par les appareils en dotation dans l’engin (chef d’agrès) ou les engins du détachement (chef de garde et officier de garde compagnie).

Question 3

Dit autrement…

Answer 3

• D’une part, les appareils ne sont pas les seuls éléments propres à faire prendre une décision à un chef d’agrès ou de garde
• D’autre part, les appareils ne détectent pas tout et une réponse nulle (pouvant signifier que l’on est en dessous des seuils de de détection d’un appareil) ne doit pas empêcher de prendre une décision opérationnelle.

Question 4

• Tenue de feu & appareil respiratoire isolant (TDF & ARI) :

Answer 4

• Tenue offrant une protection minimale permettant d’assurer une première reconnaissance et les sauvetages sans entrer en contact direct avec un liquide ou un solide.
• Protection respiratoire maximale mais limitée dans le temps (recharge en air et fatigue du porteur)

Question 5

• Tenue de protection Type 3 « COMAT© » & appareil de protection respiratoire filtrant (tenue Type 3 & APRF) :

Answer 5

• Tenue adaptée à la protection contre les aérosols, les liquides et les solides
• Protection respiratoire filtrante (APRF) adaptée au travail à l’air libre mais limitée par les restrictions d’emploi de la cartouche.

Question 6

• Tenue de protection Type 3 COMAT© & ARI :

Answer 6

Ce mixage des EPI est permis à la BSPP dans le cas du module Extraction du Plan Jaune

Question 7

Le détecteur portatif de monoxyde de carbone.

Answer 7

Cet appareil permet de détecter une émanation de monoxyde de carbone, gaz toxique, mortel à certaines concentrations, principalement produit lors de combustions incomplètes.

Question 8

Le détecteur multigaz ALTAIR 4X®.

Answer 8

Doté de 4 détecteurs, cet appareil remplit 3 fonctions opérationnelles :

• Mesurant un pourcentage de la LIE, il est explosimètre ;
• Mesurant une concentration en oxygène (O2), il est oxygénomètre ;
• Mesurant une concentration en monoxyde de carbone (CO) ainsi qu’en hydrogène sulfuré (H2S), il est détecteur de gaz toxiques.

Question 9

L’appareil portatif de contrôle de contamination AP2C ®

Answer 9

Cet appareil détecte la présence de soufre et de phosphore. D’un point de vue opérationnel, l’AP2C permet de mettre en évidence des toxiques industriels (par exemple hydrogène sulfuré ou H2S) et de supposer la présence d’agents chimiques de guerre contaminants, contenant : du soufre (ypérite, du phosphore (neurotoxiques organophosphorés de la famille G , Sarin, Soman, Tabun ) du soufre et du phosphore (neurotoxiques organophosphorés de la famille V ou A, VX appelé aussi A4)

Question 10

Le microcontaminamètre alpha bêta gamma et X (MCB 2)

Answer 10

Le MCB 2 est un appareil de détection de la contamination radioactive de terrain, portatif, robuste et facile à mettre en oeuvre. Par ces qualités, il est mis en oeuvre, à la BSPP, en tant qu’appareil servant à détecter la présence anormale de radioactivité

Question 11

Code 813

Answer 11

OGC + 2 EP (avec CGI)
GIC ou GIR ou GIB