Étude examen final Flashcards

1
Q

Qu’est ce que la clarté cognitive?

A

Elle renvoie à la compréhension que se fait du fonctionnement des livres et des mots écrits.

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2
Q

Quelles sont les quatre composantes de la clarté cognitive? Définissez les.

A
  1. Les relations entre l’oral et l’écrit: Compréhension que l’écrit est porteur de sens.
  2. Les fonctions de l’écrit: Compréhension des fonctions de l’écrit.
  3. Les conventions de la langue écrite: Traiter l’espace graphique de façon conventionnelle.
  4. Le langage technique de la lecture (Métalangage): Renvoie à la compréhension des concepts lié à la lecture et à l’écriture.
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3
Q

Qu’est ce que la connaissance des lettres?

A

Connaître une lettre, c’est en connaître son nom, son ou ses sons et ses formes.

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4
Q

Qu’est ce que la conscience phonologique?

A

C’est l’aptitude à se représenter la langue orale comme une séquence d’unités ou de segments.

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5
Q

Quels types d’activités la conscience phonologique primaire contient-elle?

A

Les activités « épi » et les activités « méta » sur la syllabe et la rime.

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6
Q

Quel type d’activité la conscience phonologique secondaire contient-elle?

A

Les activités « méta » sur le phonème.

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7
Q

Donner des exemples d’activités « épi » sur la syllabe, la rime et le phonème.

A
  1. La syllabe: Scander les syllabes d’un mot
  2. Rime: Dire si deux mots riment
  3. Phonème: Reconnaître que deux mots commencent par le même son.
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8
Q

Donner des exemples d’activités « méta » sur la syllabe, la rime et le phonème.

A
  1. La syllabe: Enlever la première syllabe d’un mot
  2. La rime: Produire des rimes
  3. Le phonème: Enlever, ajouter, remplacer un phonème d’un mot
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9
Q

Qu’est ce que le principe alphabétique?

A

On doit comprendre que les sons du langage oral sont représentés par des lettres à l’écrit.

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10
Q

Quelles sont les composantes du domaine alphabétique (plurisystème)?

A
  1. Le phonogramme avec la dimension phonogrammique
  2. Le morphogramme avec la dimension morphogrammique (Grammaticale et lexicale)
  3. Le logogramme avec la dimension logogrammique
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11
Q

Qu’est ce que la dimension phonogrammique?

A

C’est transcrire des phonèmes en recourant aux phonogrammes simples ou complexes. On y trouve la multiphonologie et la multigraphémie.

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12
Q

Qu’est ce que la dimension morphogrammique?

A

Elle indique la racine d’un mot. Elle est souvent représentée par des graphèmes qui ne produise pas de son.
La fonction grammaticale / flexionnelle permet de faire l’accord en genre, en nombre et en mode.
La fonction lexicale dérivationnelle permet de faire l’accord féminin et pluriel et la non-dérivationnelle regroupe les lettres muettes qui ne servent à rien et le « e » instable.

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13
Q

Qu’est ce que la dimension logogrammique?

A

C’est les mots qui sont appris comme des logos. Ils se prononcent de la même façon, mais ils s’écrivent de manière différente.

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14
Q

Quelles sont les composantes de la dimension extra alphabétique?

A

La ponctuation, les blancs graphiques, les alinéas, les chiffres et les symboles.

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15
Q

Quels sont les trois types de préoccupation?Définissez les.

A
  1. Préoccupations visuographiques: Pas compris le principe alphabétique, porte son attention à l’apparence visuelle, respecte certaines conventions.
  2. Préoccupations phonographiques: Comprend le principe alphabétique, procédure appellative (Noms des lettres) ou graphophonologique (Transcrit les phonèmes)
  3. Préoccupations orthographiques: Comprend que la correspondance graphème-phonème n’est pas suffisante pour écrire un mot. Procédure analogique (C’est comme dans) ou lexicale (Je connais)
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16
Q

Quelles sont les six composantes de l’analyse des traces écrites?

A

L’extraction phonologique, la combinatoire phonologique, la conventionnalité des phonogrammes, la séquentialité, la conventionnalité des morphogrammes et l’exclusivité.

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17
Q

Qu’est ce que l’extraction phonologique?

A

Capacité à isoler les phonèmes de la langue orale pour éventuellement les transcrire.

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18
Q

Qu’est ce que la combinatoire phonologique?

A

Capacité à agencer des unités distinctes pour constituer une syllabe. Ne contient pas les syllabes simples.

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19
Q

Qu’est ce que la conventionnalité des phonogrammes?

A

Capacité à prendre en compte le caractère conventionnel des phonogrammes produits. Non-conventionnel, conventionnel ou orthographique.

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20
Q

Qu’est ce que la séquentialité?

A

Capacité à écrire dans l’ordre les différents signes écrits d’un mot.

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21
Q

Qu’est ce que la conventionnalité des morphogrammes?

A

Capacité à prendre en compte le caractère conventionnel des morphogrammes. Non-conventionnel, conventionnel ou orthographique.

22
Q

Qu’est ce que l’exclusivité?

A

Capacité à introduire que des graphèmes ayant une fonction phonologique ou morphologique dans sa production (Lettres postiches).

23
Q

Nommer les quatre approches innovantes.

A
  1. Les orthographes approchées
  2. La phrase dictée du jour
  3. La dicté zéro faute
  4. L’atelier de négociation graphique
24
Q

Qu’est ce que la graphomotricité?

A

Motricité de l’écriture dans le monde scientifique. Est au centre du développement de la compétence à écrire. Objectif: Écrire rapidement et lisiblement. Tant qu’elle n’est pas automatisé, cela engendre une charge cognitive.

25
Q

Quelles sont les trois composantes de la graphomotricité? Définissez les.

A
  1. La posture et l’ajustement du mobilier: Ajustement du pupitre deux fois par année. Impact sur la perception visuelle, le contrôle moteur et l’attention.
  2. Le type et la position du support: Décaler la feuille par rapport au tronc et l’incliner légèrement. Ne pas mettre de ligne facilite l’écriture.
  3. Les types et la préhension de l’outil: La préhension est dynamique et fonctionnelle. But: Confort, efficacité et fonctionnalité.
26
Q

Quelles sont les deux difficultés en lien avec la graphomotricité? Nommer une solution pour résoudre cette difficulté.

A
  1. Le double apprentissage : Se centrer sur un des deux types d’écriture.
  2. La dysgraphie: Travailler la forme des lettre, faire une dictée à l’adulte.
27
Q

Quels sont les quatre processus d’écriture?

A
  1. La planification
  2. La mise en texte
  3. La révision
  4. Le contrôle
28
Q

Quels sont les trois types de scripteur? Décrivez les.

A
  1. Le scripteur débutant: Énergie centrée sur la mise en texte, peu de planification et de révision, connaissances limitées
  2. Le scripteur intermédiaire: Meilleure habileté de planification, de rédaction et de révision, mémoire de travail plus libre,plus de connaissance.
  3. Le scripteur expert: Interaction des processus, niveau élevé.
29
Q

Quels sont les trois processus de langage actif et interactif?

A

Lecteur, contexte et texte.

30
Q

Quelles sont les composantes du processus du lecteur dans le langage actif et interactif?

A

Les structures cognitives et affectives et les processus.

31
Q

Quelles sont les composantes du processus de texte dans le langage actif et interactif?

A

L’intention de l’auteur, la structure et l’organisation des idées et le contenu.

32
Q

Quelles sont les composantes du processus du contexte dans le langage actif et interactif?

A

Psychologique, physique et socio-culturel.

33
Q

Quels sont les cinq stades de l’évolution du lecteur?

A
  1. Le lecteur en émergence
  2. L’apprenti lecteur
  3. Le lecteur débutant
  4. Le lecteur en transition
  5. Le lecteur confirmé
34
Q

Quelles sont les trois voies de la lecture? Définissez les.

A
  1. Le décodage: Association de chaque graphème à un phonème et ensuite il y a jumelage de tous les phonèmes. . Association de la suite de phonème à un mot connu.
  2. Le déchiffrage: Reste à la fusion, mais ne dégage pas le sens après.
  3. La reconnaissance instantanée: Pas besoin de décortiquer le mot, car on l’a vu plusieurs fois. Automatisation du décodage.
35
Q

Pourquoi le contexte est-il important?

A

Soutien à la lecture, aide à décoder les mots les plus complexes et les graphèmes complexes. Permet d’anticiper certains mots dans la phrases, mais on ne doit pas deviner. Permet de comprendre le sens des nouveaux mots.

36
Q

Quelles sont les trois approches pour enseigner la lecture? Définissez les.

A
  1. L’approche synthétique: De la plus petite unité graphique à la plus grande. Centré sur le décodage. Nécessite beaucoup de ressources cognitives, pas conscience du sens, prononce les morphogrammes
  2. Approche analytique: Part de la plus grande unité graphique jusqu’à la plus petite. o Centré sur la reconnaissance instantanée, suppose que les associations graphèmes-phonèmes vont se faire en voyant souvent les syllabes, Plus de travail pour l’enseignant, blocage devant les nouveaux mots, difficulté à décode.
  3. Approche équilibrée: Permet d’analyser et de synthétiser
37
Q

Qu’est ce que la fluidité?

A

C’est le pont entre l’identification de mot et la compréhension. C’est un indice de progression en lecture qui englobe: La reconnaissance globale et la lecture par groupe de mots.

38
Q

Comment développe-t-on la fluidité?

A

On doit soumettre des activités de lecture fréquente et privilégier les textes plus faciles afin d’éviter le décodage.

39
Q

Quelles sont les différences entre le lecteur faible et le lecteur avancé?

A

Le lecteur faible à une identification du mot contrôlée, un débit lent et saccadé et un niveau de compréhension faible.
Le lecteur avancé à une identification du mot automatisée, un débit fluide et un niveau de compréhension élevé

40
Q

Quels sont les cinq degrés de lecture? Définissez les brièvement.

A
  1. Sous-syllabique: Reconnait lettre, mais ne lit pas la syllabe. Apprenti lecteur. Maternelle.
  2. Syllabique: Pause à chaque syllabe. Lecteur débutant. Première année.
  3. Hésitante: Pause à chaque mot. Lecteur débutant. Deuxième année.
  4. Courante: Arrêt au signe de ponctuation. Sans hésitation. Ton monotone. Lecteur en transition. 3-4e année.
  5. Expressive: Met le ton. Lecteur confirmé. 5-6e année.
41
Q

Qu’est ce qu’une méprise?

A

C’est un mot lu qui diffère de ce qui est dans le texte à lire. Elle permet d’évaluer la progression de l’élève.

42
Q

Quels sont les trois critères de la méprise?

A
  1. La transformation graphophonologique (substitution, omission, ajout, déplacement)
  2. L’acceptabilité syntaxique
  3. L’acceptabilité sémantique
43
Q

Qu’est ce que la compréhension?

A

C’est pouvoir se faire une représentation mentale incluant ses connaissances, les informations explicites et les informations implicites d’un texte.

44
Q

Quels sont les trois types de compréhension? Décrivez les.

A
  1. Littérale: Microprocessus
  2. Inférentielle: Macroprocessus et processus d’intégration
  3. Critique: Macroprocessus et processus d’élaboration
45
Q

Qu’est ce qu’un microprocessus?

A

Compréhension littérales, informations explicites, reconnaissance de mots, microsélection, traitement par groupe de mots.

46
Q

Qu’est ce qu’un processus d’intégration?

A

Mots de substitution, connecteurs et inférence

47
Q

Quels sont les types d’inférence?

A

Nécessaire / Optionnelle
Logique / Pragmatique
Cohérence / Élaboration

48
Q

Qu’est-ce qu’un macroprocessus?

A

Compréhension du texte dans son ensemble, permet de prédire et de déterminer les éléments importants.

49
Q

Qu’est ce qu’un processus d’élaboration?

A

On se sert des connaissances antérieures pour donner sens au texte. On va plus loin que le texte lui-même.

50
Q

Qu’est ce qu’un processus métacognitif?

A

Permet d’identifier les pertes de compréhension, permet de choisir des stratégies pour remédier aux difficultés qui ont été évaluées en fonction du but