enviro Flashcards

1
Q

La gestion selon Mintzberg :

Porter continuellement 3 chapeaux :

A

Science : niveau de scolarité, pour être un meilleur gestionnaire, pour appuyer certaines théories, au fil de notre cheminement en RI, nous allons avoir un raisonnement de plus en plus critique face à nos gestionnaires.

Art : Intuition, «pif», ex : dans un cours de dotation, quoi qu’il arrive, eviter l’intuition le plus possible, pour ne pas biaiser le processus de dotation, mais à la fin, garder une petite part d’intuition pour choisir

Artisanat : Expérience, sa propre expérience, accumulation d’expérience,

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2
Q

LE PROCESSUS DE GESTION (4 ACTIVITÉ PRINCIPALES) PODC

A

Planification : il fixe des buts, établit des règles et procédures et dresse des plans, prévoir et envisager l’entreprise.
Organisation : Définir les tâches, prévoir une main-d’œuvre compétente, déléguer, communiquer, prévoir la hiérarchie dans l’organisation.
Direction : Axé sur l’influence, leadership à mettre en place, instauration d’une culture organisationnelle.
Contrôle : Fixer les normes, envisager les résultats, mesurer en comparant les résultats aux normes établies.

Toujours en lien avec la réalité du gestionnaire moderne ? :
Le contexte du travail à évoluer alors parfois ne s’applique pas. Prise de décision décentralisée maintenant.
L’entreprise est moins rigide maintenant.

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3
Q

QUELS SONT LES RÔLES DU GESTIONNAIRE

A

Figure de proue : un gestionnaire a un rôle de devoir officiel, représente l’entreprise à l’externe et interne

Leader : influence auprès des employés, motivateur

Agent de liaison : Contact avec les personnes extérieures à son service,

Porte-Parole : Ramène l’information pour qu’elle soit diffusée à notre équipe de travail, information provient de la maison mère, le gestionnaire doit la transmettre à l’équipe

Négociateur : Individuel ou collectif, exemple salaire, conditions, avantages,
négocier avec son équipe de travail sur un changement, exemple horaire de travail qui changera

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4
Q

ÉVOLUTION DES CONCEPTIONS TOUCHANT LA GESTION DES PERSONNES

A

Gestion du personnel : début du 20e siècle, personnel comme une source de profit, de contrôle, exemple comme la suite de la machine, vision que le personnel doit être profitable et contrôlé, vision très mécanique

GRH : Années 1960 et suivantes : rendement du capital investi, l’humain est une ressource qu’on va vouloir adapter aux buts et aux objectifs de l’organisation, organisme vivant,

Gestion des personnes : on gère les gens basé sur leur épanouissement, développement humain, forme de démocratie.

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5
Q

LA RÉALITÉ ACTUELLE DE L’INFLUENCE DES FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX. NOUVEAUX DÉFIS

A
  • Intensification de la concurrence
  • Mondialisation
  • Nouveaux modes de gestion : Toute l’idée de la décentralisation de prise de décision, pouvoir pas reconnu comme avant
  • Multiplication des changements
  • Déréglementation
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6
Q

TROIS PHÉNOMÈNE DE PERCEPTION DE LA MONDIALISATION

A

Phénomène empirique : réfléchir la mondialisation sous l’angle de la gestion. Acte de gestion. L’État d’un processus. Les équipes de travail. Étudier les caractéristiques de certains pays. Source de recherche, comparatifs, analyse de pratiques de GRH. On perçoit la mondialisation comme des phénomènes observables (GESTION).

Phénomène stratégique : On perçoit la mondialisation comme une attitude, donc se transforme en stratégie. On s’intéresse aux caractéristiques culturelles des pays impliqués. On prend en compte les personnes concernées. Aspect stratégique qui en découle. La manière avec laquelle on va aborder la mondialisation va influencer nos stratégies (ATTITUDE).

Phénomène socialement construit : Idée de la conscience. Conscience de la mondialisation dont on évalue les impacts de celle-ci= idée du développement durable (CONSCIENCE).

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7
Q

COMMENT L’ENTREPRISE GLOBALE RÉAGIT-ELLE À LA MONDIALISATION ?

A

Réduction de la surrégulation : valoriser la polyvalence et maximiser sa capacité à réagir aux changements dans l’environnement. Souplesse organisationnelle.

Vision de l’entreprise globale comme des structures intégrées en réseau : désir de réagir auprès du client rapidement : création de structures intégrées en réseaux (éviter les conflits). Favoriser le travail d’équipe. Utiliser la différence culturelle comme un vecteur de succès.

Collaboration internationale : concept de «coopétition» (concurrents qui collaborent ensemble sur des objets spécifiques (grands projets de rechercher, plusieurs universités qui travaillent ensemble).

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8
Q

AVANTAGES DE LA MONDIALISATION?

A
  • Prospérité économique : donne accès aux capitaux sur la planète, aux exports. Et techno de pointe.
  • Utilisation efficace des ressources : accroît la sensibilisation environnementale
  • Intervention gouvernementale limitée : si trop présente limite développement du commerce.
  • Développement des marchés : rend les marchés en santé.
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9
Q

DÉSAVANTAGES DE LA MONDIALISATION?

A

Impérialisme occidental : Approche très américaine qui influence les courants mondiaux

Effet négatif sur le développement des pays pauvres : Les pays qui étaient déjà pauvres se font utilisés pour l’achat de produits, économie fait sur le dos de l’humain, appauvrissement des pays déjà pauvres

Coûts environnementaux, sociaux et économiques : Les riches sont plus importants, regard axé sur l’actionnaire

Pouvoir local érodé : L’idée de l’actionnaire, lui-même va prendre des décisions, délocalisation des entreprises,

Exploitation des travailleurs : Travail des jeunes, horaires, conditions de travail

Disparité entre les pays riches et les pays pauvres : La disparité s’agrandi

Réglementation du commerce et variation des prix : La hausse des prix des produits de première nécessité, ex: médicaments, nourriture

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10
Q

LES STRATÉGIES DE MONDIALISATION / SUR LES MARCHÉS MONDIAUX

A

Entreprise mondiale : activités dans plusieurs pays et l’entreprise centralise la gestion et d’autres décisions dans le pays d’origine. Efficience mondiale. Haute pression pour intégrer les différentes activités. Basse pression pour répondre aux exigences du marché local.

Entreprise internationale : a des activités importantes dans beaucoup de pays, mais on adopte une gestion décentralisée dans chaque pays. On ne tente pas de gérer les affaires étrangères depuis le pays d’origine. Adapter les produits pour satisfaire les marchés locaux. Basse pression pour intégrer les différentes activités. Basse pression pour répondre aux exigences du marché local.

Entreprise transnationale : élimination des structures qui imposaient des barrières géographiques. Se positionner sur un marché concurrentiel. Haute pression pour intégrer les différentes activités. Haute pression pour répondre aux exigences du marché local.

Entreprise multinationale : conserve son siège social dans son pays d’origine et œuvre des filiales dans d’autres pays. Basse pression pour intégrer les différentes activités. Haute pression pour répondre aux exigences du marché local.

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11
Q

INTERNATIONALISATION DES ENTREPRISES SELON L’INVESTISSEMENT

A

Approvisionnement sur le marché international : j’achète des matières premières ou de la main-d’œuvre a quelque part sur la planète. INVESTISSEMENT INTERNATIONAL MINIME

Exportation : l’entreprise qui fabrique des produits dans son pays d’origine et les vend à l’étranger. INVESTISSEMENT INTERNATIONAL MOYENNÉ

Importation : l’entreprise qui achète des produits fabriqués à l’étranger pour les vendre dans son pays. INVESTISSEMENT INTERNATIONAL MOYENNÉ

Octroi de licences : lorsqu’un fabricant donne à un autre entreprise le droit d’utiliser sa marque, sa technologie ou des caractéristiques de ses produits. INVESTISSEMENT INTERNATIONAL MOYENNÉ

Franchisage : le droit de vendre un produit ou d’employer les méthodes ou pratiques d’exploitation qui sont normalisées. (Utiliser le nom). INVESTISSEMENT INTERNATIONAL MOYENNÉ

Alliances stratégiques Partenariat avec entreprises locales et étrangères où on veut partager des ressources a des connaissances. INVESTISSEMENT INTERNATIONAL IMPORTANT

Coentreprises : 2 entreprises forment une entreprise indépendante (sous- entreprise). INVESTISSEMENT INTERNATIONAL IMPORTANT

Filiales : Usine de production ou bureau distinct ou indépendant dans un autre pays. On se colle à la réalité locale. (Mc Donald’s différent dans chaque pays). INVESTISSEMENT INTERNATIONAL IMPORTANT

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12
Q

QUATRE STRATÉGIES D’INTERNATIONALISATION DES ENTREPRISES / ATTITUDES

A

Ethnocentrique : valorise des approches ou des méthodes de travail du pays d’origine. Très grande importance de la maison mère qui transmet intégralement la culture et les systèmes de gestion du siège social au pays d’origine.

Polycentrique : l’attitude associée au fait que le pays étranger connaisse les meilleures pratiques et donc les filiales étrangères gagnent en importance et en autonomie. Les cadres locaux vont être très important dans les filiales (postes importants).

Géocentrique : vision mondiale. On renonce aux spécificités nationales et on souhaite l’intégration mondiale de toutes les activités de l’entreprise. (Ampleur des coûts quand on a une mobilité internationale).

Régiocentrique : même chose que géocentrique, mais dans une région plus délimitée.

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13
Q

STRATÉGIES D’INTERTIONALISATION DE LA GIRH - Quels sont les éléments de l’environnement interne et externe à l’entreprise qui influenceront le choix d’une stratégie d’intertionalisation ?

A

Marchés internationaux

Influence sur les marchés nationaux

Tolérance des actionnaires à la décentralisation

Proportion du chiffre d’affaires à l’étranger par rapport au chiffre d’affaires réalisé sur le marché domestique.

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14
Q

STRATÉGIES D’INTERNATIONALISATION : 4 STRATÉGIES CULTURELLES

A

-Stratégie monoculturelle : lorsque la culture du siège social est transférée à
toutes les filiales étrangères. Enjeu associé à une forme de colonisation (imposition d’une culture : acceptation difficile)

  • Stratégie multiculturelle : les filiales développent leur propre culture organisationnelle et elle peut être différente de celle du siège social. Ouverture à des cultures différentes. Enjeu associé à l’importance de la tolérance des différentes approches de chaque filiale.
  • Stratégie interculturelle : fusion culturelle entre les filiales et la maison mère. On a une culture organisationnelle uniforme. Synthèse culturelle. Enjeu associé à l’homogénéité laisse peu de place aux innovations. Plus de débat sur la prise de décision.
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15
Q

Projet GLOBE

A

Affirmation de soi : tendance de la société à la ténacité, d’assurance.

Orientation prospective : encourager récompenser les compétences envers
l’avenir.

Différenciation sexuelle : rôles assignés à chacun des sexes mesures de la prise
de décision accorder aux femmes.

Maîtrise de l’incertitude : s’appuyer sur des normes et procédures sociales pour atténuer l’imprévisibilité du futur.

Distance hiérarchique : Disposition du pouvoir

Collectivisme intragroupe : importance à l’appartenance de petits groupes

Orientation vers la performance : encourager les membres d’un groupe vers
l’amélioration de leur rendement, tendre vers l’excellence

Orientation vers la compassion : encourager des comportements équitables

Individualisme ou collectivisme : tendance des institutions sociales à inviter à faire partie d’un groupe au sein des organisations.

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16
Q

STRATÉGIES D’INTERNATIONALISATION : DÉCISIONNELLE

A

Stratégies décisionnelle centralisée : la maison-mère qui prend toutes les
décisions importantes, donc elle renonce à une certaine autonomie de ses filiales. Ex : Recherche et développement.

Stratégies décisionnelle décentralisée : les filiales reçoivent des instructions de la maison-mère, mais elles peuvent décider de manière libre et indépendante. Autonomie aux filiales. Maison-mère partage quand même une ligne directrice.

Stratégies décisionnelle fédérale : entités indépendantes qui négocient leurs relations entre elles. Associations d’entreprises, communauté d’intérêt. S’entendre entre filiales.

17
Q

Comment l’organisation peut-elle mesurer l’efficacité de l’implémentation de leur stratégie GIRH ?

A

Sondage des employés : comparer l’utilisation de certaines pratiques GRH à travers différents pays.

Audit international de la GRH : tester la mise en place de certaines pratiques. Auditeurs internes/ externes qui évaluent l’efficacité des pratiques.

18
Q

DISTINCTION ENTRE LES DÉCISIONS PROGRAMMÉES ET NON PROGRAMÉES

A

Décisions programmées
- Répétitives, routinières, appuyées par des règles et procédures

Décisions non programmées
- Uniques, nouvelles, pour cette raison que l’on paie des gestionnaires, situations qui n’ont pas encore été vécues : alors nouvelles décisions.

19
Q

DISTINCTION ENTRE DÉCISIONS STRATÉGIQUES ET OPÉRATIONNELLES

A

Décisions stratégiques
- À court ou long terme, décision tactiques (départementales) les deux doivent être cohérentes.

Décisions opérationnelles
- Cohérentes avec des décisions tactiques qui sont appuyées par des décisions stratégiques.

20
Q

PROCESSUS RATIONNEL - CHEZ LE MÉDECIN

A

Décrire les symptômes : existence d’un problème, indicateur, défaillance, apparition d’un écart entre situation réelle et situation désirée.

Définir la source du problème : définir le vrai problème sur lequel on va pouvoir trouver une solution

Déterminer les critères de décision : avant d’envisager des pistes de solution, il faut se donner des critères utiles à la prise de décision qui vont influencer mes choix. Ex : qualité de la répartition des rôles et travail ; sens de travail, etc.

Pondérer chaque critère : en pourcentage % Ex : surcharge de travail, critère, dispersion des tâches 70% et communication 30%

Trouver des solutions : phase de la créativité, envisager un maximum de solutions (jusqu’à même des solutions plus ou moins envisageables).

Analyser les solutions : analyser les solutions avec les critères et avec un œil objectif.

Choisir une solution : processus de cohérence, avoir une panoplie d’info pour soutenir cette solution.

Appliquer la solution retenue

Évaluer la solution retenue.

21
Q

CONCEPT DE RATIONALITÉ LIMITÉ

A

Nos décisions sont influencées par un désir de satisfaire les exigences de l’entreprise.
Prendre des décisions rationnelles, mais nous sommes limités dans notre capacité à traiter l’information.
On se satisfait d’une solution acceptable, mais pas nécessairement optimale.

22
Q

JUSTICE INTERACTIONNELLE

A

Peu importe la décision que nous avons à partager les gens sont intéressés par la qualité du traitement interpersonnel qu’ils reçoivent.
On va toujours considérer les gens à qui nous nous adressons.

23
Q

DÉCISIONS ET INCERTITUDES -3 CONDITIONS

A

Certitude : On connait déjà les résultats, conditions idéales, pleine rationalité

Risque : On peut estimer la probabilité de certains résultats, plus courante que le certitude. Les expériences professionnelles peuvent faire en sorte d’appuyer une prise de décision.

Incertitude : On connait rien sur le sujet, on ne peut faire d’estimation raisonnable des probabilités, la décision est influencée par la quantité limitée des renseignements, par le profil psychologique du décideur. Les valeurs, la personnalité de la personne sont mis de l’avant.

24
Q

MAXIMAX
MAXIMIN
MINIMAX

A

Maximax : Gestionnaire optimiste, vision positive des résultats à atteindre. Obtenir le meilleur gain qui soit.

Maximin : Maximiser le gain minimal possible. Seul le pire peut arriver. Influence toutes les prises de décisions. Pessimiste.

Minimax : Minimiser son regret. Limiter les pertes. Veut éviter de regretter sa décision après coûts. Éviter des évènements collatéraux et le regret.

25
Q

STYLES DE PRISE DE DÉCISION

A

Analytique : Plutôt rationnel, évalue le plus grand nombre de solutions, décideur prudent, capacité d’adaptation forte.

Conceptuel : Vue plus large des problématique, gens qui von évaluer davantage de solutions, haute capacité de prendre des décisions axés sur le long terme.

Directif : Très rationnel, faible besoin de cohérence. Logique et efficacité. Tendance à moins consulter les autres. Logique.

Béhavioriste : Gens qui n’ont pas une grande tolérance à l’ambiguïté, amicaux, sociable, s’intéressent aux autres, axés sur le comportemental, tisser des liens sociaux. Acceptation chez les autres

Rationnel : Analyse les données dans l’ordre.
Intuitif : Plus créatifs, pas besoin de traité les données dans l’ordre

26
Q

TOLÉRENCE À L’AMBIGUITÉ

A

Faible : besoins de cohérence et d’ordre dans la façon de structuré l’information
Élevée : Diversifié, traiter plusieurs infos en même temps

27
Q

PRISE DE DÉCISION EN GROUPE - DEGRÉ DE CONSULTATION

A

Autocratique : Le décideur impose sa décision, influencé par la décision elle même. Urgence d’agir. Divergence de points de vue irréconciliables.

Consultative : Le décideur s’intéresse à l’opinion des autres, mais décide seul afin,
notamment, Recueillir plus d’information. Favoriser l’adhésion de la majorité des
personnes concernées. Favoriser les échanges d’opinions. Je demeure imputable de la prise de décision.

Consensuelle : Nouvelle procédure requérant le savoir-faire de l’opérateur. Accord de tous. La présence de groupes autonomes. Équipes semi-autonomes.

28
Q

AMÉLIORER LA DÉCISION EN GROUPE

A

Remue-méninge : Présence d’un animateur, nomme la problématique. Tableaux, délimiter un temps, inscrire les idées. Regarder le pallier de solutions, regrouper en thèmes. Pistes de solutions.

Avocat du diable : Critiquer les idées initialement convenues. Le gestionnaire va sentir une standardisation des comportements. Reconsidérer des suggestions trop rapidement acceptées.

Technique Delphi : chercher de l’info confidentielle chez les collègues par courriel (anonymement), pose une question et répond (les autres collègues ne savent pas nos idées). Aller voir un expert avec les résultats. Objectif : arriver à un consensus.

Technique du groupe nominal : on rassemble les gens dans un même endroit. Individuellement les gens écrivent leur piste de solution et ensuite présentation au groupe et les membres discutent pour trouver solution. Décision qui va emporter c’est celle qui a le plus de votes.

29
Q

NATURE DE LA PLANIFICATION

A

Planification : lecture d’une situation on trouve des écarts : si on veut se rendre à une situation désirée on doit planifier.

-Utilité de la planification
Définit la direction à prendre : Clarifie les objectifs, orienté vers l’atteinte des objectifs, développe une raison d’être car la planification est inhérente aux missions, visions, valeur.

Développe une raison d’être

Propose une ligne directrice : Des objectifs plus grands divisés en petits objectifs

Réduit le nombre de décisions improvisées : être cohérent et partager la planification pour susciter de la mobilisation

Facilite le contrôle : pour contrôler le travail des employés, il faut partager une planification

Mobilisation : ce qu’on fait avec la planification. Susciter l’engagement, la mobilisation des ressources.

30
Q

FONCTION DE GESTION - IMPACT SUR LES RÉSULTATS

A

Guide : Guide les membres de l’organisation, évite le fait de travailler à contre courant si la planification est bien partagée

Gaspillage minimal : Permet d’éviter le chevauchement des activités/redondance

Incertitude réduite : car principalement la planification fait en sorte de prévoir les changements et leurs conséquences

Contrôle : Les normes de rendement se clarifient, contrôler les normes

31
Q

ÉTABLISSEMENT DES OBJECTIFS - ÉTAPES

A

1- Objectifs de l’entreprise : Tout part des objectifs de l’entreprise, tisser des liens entre ce qu’il proposera aux membres de l’équipe et les objectifs à atteindre.

2- Établissement des écarts : La distance entre les objectifs des entreprises et ou nous en sommes, réalité vs objectifs

3- Élaboration des plans : Plans les plus mobilisant possible,

4- Mise en oeuvre : Enjeux de la mise en oeuvre, développer une certaine flexibilité, s’ajuster, modéliser différemment

5- Évaluation : Évaluation des résultats au rendement escompté. Aller revoir les écarts/objectifs visés et évaluer le rétrécissement des écarts

32
Q

SMARTIES

A

(S) Spécifique: pas trop vaste, limiter les éléments environnants qui peuvent faire en sorte que l’objectif ne soit pas atteint

(M) Mesurable et contrôlable

(A) Atteignable/ Accepté et partagé : poursuite des objectifs acceptés

(R) Réaliste : faisabilité d’un objectif

(T) Temps bien choisi : ciblé dans le temps

(I) Intégrateur : doit s’intégrer à travers les objectifs plus grands de l’entreprise

(E) Évolutif : On souhaite qu’il évolue dans l’organisation, dans l’atteinte de la mission

(S) Satisfaisant et valorisant: Moteur de satisfaction, levier naturel pour l’atteinte d’objectifs.

33
Q

TYPES DE PLANS D’ACTION

A

Types de plan
Stratégique
Macro, vision long terme.
- Quels marchés, quels produits, quelle croissance ?

Fonctionnel
Plus dans la compagnie (moyen-terme vision)
- Quelle structure organisationnelle, comment définir les services, publicité ou représentants?

Opérationnel
Court terme vision, cohérent avec plans d’action fonctionnels et stratégiques. - Quels équipements, quels employés et combien, quelles tâches accomplir?

34
Q

GESTION DE L’INCERTITUDE

A

Plan d’orientation
Pour envisager une incertitude de l’environnement, forcément une vision plus macro, orientation basée sur les lignes directrices générales et flexibles. Nos objectifs sont moins spécifiques.

Plan spécifique
Opérationnaliser les choses, objectifs clairs, moins tributaire de l’incertitude de l’environnement. Être cohérent sur la nature des plans et des objectifs.

35
Q

ANALYSE DES FORCES PRÉSENTES SUR LE MARCHÉ - 5 FORCES

A

Rivalité avec les entreprises : concurrents existants : niveaux

Évaluer le potentiel d’avoir de nouveaux concurrents.

Pouvoir des clients : en quoi les clients affectent-ils la pérennité de mon entreprise. Analyse de la clientèle.

Le pourquoi j’existe : il peut arriver un produit autre, on est fragilisé par rapport à la concurrence.

Pouvoir contre les fournisseurs par mon entreprise. Si un fournisseur ferme on est fragilisé, il faut penser à en chercher un autre. Le fournisseur peut donc augmenter ses prix si pas de concurrence.

36
Q

TYPES DE STRATÉGIES - CROISSANCE

A

Concentration verticale : acquisition de certains processus. Amont ou aval.
Amont : l’entreprise est son propre fournisseur.
Aval : Propriétaire de la distribution (centre de distribution, moyen de transport)
Mixte : amont et aval

  • Concentration horizontale : on s’associe avec d’autres organisations du même domaine.
  • Diversification de son produit (on peut s’associer ou non).