entretien police Flashcards

1
Q

Comment votre famille vous décrit de manière positive ?

A
  • Responsable (qui mesure les conséquences de ses actes, sérieux et mature. Ex. travail sérieux dans ce que je fais.
  • Persévérant, discret et serviable, (qui est toujours prêt à rendre service): (en stage avec les patients) faire sortir les personnes âgées/ massage aux pieds
  • Aime plaisanter et aime taquiner
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2
Q

Les situations que je redoute de rencontrer ?

A
  • Être confronté à une situation dans laquelle je ne pourrais rien faire ? Un gars qui faisait des attouchements …
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3
Q

Qu’est-ce qui me rend fière de travailler pour une entreprise ?

A
  • Se sentir utile et le fait de partager les mêmes valeurs (protéger). Ex. les spécialistes en douane et sécurité des frontières est pour moi un travail valorisant et important, car c’est un métier qui protège la population, l’économie et l’état.
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4
Q

1) Présentez-vous ?

A
  • Vie privée : Prénom, nom, âge, lieu de naissance, quand naturalisé, famille au brésil, vie avec copine, adopté deux chats. et je m’entraine bcp durant la semaine.
  • Concernant vie professionnel : Securitas – Securitrans (opérateur).
  • Parcours scolaires : Atypique, pas terminé école obligatoire, CFC maçon + première année au collège, faculté de médecine, soins infirmiers (pause pour financer mes études et comme je travaillais chez Securitas j’ai augmenté mon taux d’activité. Finalement j’ai eu une meilleure opportunité chez Securitrans et je l’ai saisi. Je content de l’avoir fait parce que c’est grâce à Securitrans que j’ai appris davantage sur la profession de douanier.
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5
Q

2) Situation privée ?

A
  • Vis avec ma copine depuis 1 an et demi.

- proche de mon entourage

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6
Q

3) Service militaire ?

A
  • Soldat sanitaire
  • Gradé
  • Aimé l’expérience militaire, son cadre et son environnement. Milieu dans lequel je me sens à l’aise. J’ai retrouvé ce cadre chez Securitas et également Securitrans.
  • Et j’espère poursuivre ma carrière chez vous.
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7
Q

4) Des activités ? Des hobbies ?

A

Hobbies : voyager, connaître de nouveaux pays, culture, football TV, ami etc.
Activités : sport  course à pieds, musculation, jiu-jitsu brésilien (~5 fois par semaine ->moins à cause du Covid).
o Permet de me vider la tête, d’avoir une stabilité, une discipline (rigueur) (travail fatigue etc.) , de me maintenir physiquement
o Niveau professionnel : utile pour mon travail –> permet de réagir rapidement sans être essoufflé, parfois la force, de courir derrière des gens etc.

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8
Q

7) Mes trois qualités et mes trois défauts ?

A
  • Persévérant : à travers mon parcours ex. collège du soir = pas terminé l’école obligatoire du coup j’avais des lacunes dans plusieurs disciplines –> bcp travailler pour réussir et je suis fier de ne pas avoir abandonné.
  • Garde mon sang-froid malgré les circonstances. Ex : à Cornavin, ma centrale m’appelle pour une personne qui a fait un arrêt cardiaque. Je vois que ma collègue stress du coup je l’ai rassuré et lui dit je gère, et toi tu t’occupes de tenir informer la central. on a cherché le défibrillateur et on s’est dépêché de trouver le monsieur. C’est un exemple parmi tant d’autres et cela fait parti de mon quotidien. pas des arrêt cardiaque, mais des situations stressante et il faut garder son calme. comme vous le savez Je travaille dans un milieu assez hostile avec toutes sortes de clientèles comme des toxicomane, des alcoolique, des jeunes etc. et il faut savoir les gérer parce que parfois mon calme est mis à rude épreuve, mais il ne faut pas entrer dans l’heure jeu.
  • A l’écoute et qui a le sens de la communication : Je suis appelé pour un homme agressif dans le guichet CFF à Cornavin. Mon collègue discute avec l’individu et je vois que ça commence à être tendu et que l’individu veut se battre avec mon collègue. Du coup, je dis à mon collègue de rester en retrait et je vais discuter avec l’individu (qui ne parle qu’anglais et italien). Le fait de l’avoir écouter cela l’a calmé et on a pu échanger calmement. Pour finir, l’individu a pris son train dans le calme. Après ça ne fonctionne pas tout le temps selon l’individu (prendre l’individu de force pour l’accompagner à la sortie voire utiliser les menottes.)
  • Discret : c’est un défaut pour moi parce que cela peut être interprété comme une forme de timidité. Ce n’est pas le cas, c’est juste que quand je ne connais pas la personne, je suis plus dans l’écoute, à poser des questions et à observer. et au fur et à mesure je m’ouvre plus.
  • Les langues : le français –> ce n’est pas ma langue maternelle comme pour ma mère - j’ai dû améliorer par moi-même mon français. Mais cela ne m’a pas empêcher de faire des études et de devenir opérateur.
  • La gestion de mon temps : De vouloir faire plein de choses en peu de temps  provoque une fatigue, du stress et une frustation.
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9
Q

8) Avez-vous déjà dû intervenir ?

A
  • Oui
  • Chez Securitas une fois j’ai dû utiliser la force (ASP). À chaque intervention je privilégie le dialogue et la désescalade.  Ca fonctionne 95 %
    -Malheureusement, chez Securitrans, c’est plus compliqué
    o Voleur agressif  menotté
    o Tox
    o Personne qui a uriné dans la gare et qui s’est enfuie
  • Depuis que je suis dans la sécurité, j’ai acquis de l’expérience à la fois dans le relationnel, dans la communication et aussi dans les interventions (comment se comporter)
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10
Q

9) Travaillez-vous seul généralement ?

A
  • Chez Securitas : souvent le cas !

- Chez Securitrans : pratiquement jamais !

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11
Q

10) Quelles sont vos attentes au niveau professionnelles ? Vous voulez travailler dans un service en particulier ?

A
  • J’ai des idées dans la tête, mais je pense qu’entrer dans la police, ça serait un grand pas. je souhaite acquérir de l’expérience dans le secteur de la police secours et évoluer au sein de l’institution
  • deuxièmement, je souhaite aussi devenir recruteur, car j’adorerais promouvoir le métier de policier lors et aussi à motiver des personnes à postuler en leur donnant des conseils. C’est quelque chose que je le fais déjà chez Securitrans.
  • Finalement, après quelques années dans la police, j’aimerais entrer dans la brigade canine. Pour moi le fait d’associer deux passions est très gratifiant et motivant.
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12
Q

11) Et si ce service n’est pas possible ?

A
  • Un peu déçu, mais je suis quelqu’un qui relativise (fait la part des choses) et qui cherche des points positifs. Ce n’est pas parce que je ne suis pas pris directement à la police secours qu’il faut laisser tomber. En soi, Ca sera un moyen d’acquérir de l’expérience, de mieux appréhender l’environnement policier, de mettre en pratique ce que j’ai acquis à l’école de police etc.
  • Même si je me vois plus dans la police secours (urgence, l’imprévu), mais le fait d’être policier serait déjà pour moi un moment fort et un objectif de vie.
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13
Q

12) On fait quoi dans le service que vous voulez ?

A
  • Police Secours : Police-secours (117) assure les interventions d’urgence 24h/24 7j/7, sur tout le canton de Genève. patrouillent, la plupart du temps, dans des voitures sérigraphiées « Police ». Ces policiers sont assignés à divers postes partout sur le territoire. Par sa présence visible, police-secours assure en outre une action permanente de prévention des infractions. Ce service gère également le groupe d’intervention (GI), la police de la navigation ainsi que la brigade des chiens.
  • Brigade canine Reportage immersion : Recherche de stupéfiant, de bombe, de personne (cambrioleur, fuyard, attaque et défense. C’est notre chien et c’est à nous de faire les démarches. On peut chercher les chiens en suisse, en France, en Italie, etc. formation de 18 mois.
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14
Q

13) Dans votre contexte scolaire ou professionnel, pouvez-vous donner un exemple d’un événement soudain que vous avez dû gérer lorsque vous effectuez une tâche routinière ?

A
  • Niveau professionnel : depuis que je travaille dans la sécurité et même lors de mes stages en soins infirmiers l’imprévu est mon quotidien.
    i. Selon le service que je fais, j’ai des tâches régulières, mais très souvent on est confronté à l’imprévu.
    1. Ex. nuit à Cornavin avec un Securitas
    a. Cas sanitaire
    b. Fellation salle d’attente
    c. Bagarre en fin de service (gérer stress, calmer les personnes, comprendre la situation, analyser en restant neutre, afin de transmettre les informations à la police)
    2. Après deux semaines de travail  exercice d’évacuation/alerte à la bombe.
    3. Stage à Julliard
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15
Q

Vous n’avez pas confiance en vous ?

A

Ce n’est pas une question de confiance, mais je ne veux pas me bercer d’illusion comme lorsque je me suis présenté la première fois au recrutement de la police. J’étais persuadé que j’allais être pris et mêmes mon entourage dont des policiers le disaient. Du coup, ça m’a provoqué un choc et une déception. Il y a aussi les capacités qui rentrent en jeu. Je ne sais pas si j’aurais les capacités de faire ça. Par contre ce que je sais, c’est que je me donnerai au maximum.

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16
Q

14) Vendredi après-midi, vous êtes en congé, vous avez l’anniversaire de votre copine le soir et là votre chef vous appelle et vous dit qu’un de vos collègues est victime d’un accident et vous dit qu’il faudra travailler tout le week-end. Comment réagissez-vous ?

A
  • Réfléchir, prendre son temps pour répondre à la question
  • Demander si le collègue va bien
  • Expliquer à mon supérieur mon problème et voir avec lui s’il peut me remplacer ou éventuellement voir avec un autre collègue.
  • S’il n’y arrive pas à me remplacer. Alors, oui ! Je prendrai le service et je verrai avec lui comment on va s’organiser.
    i. Chez Securitas ça m’est arrivé à plusieurs reprises /d’accepter un service de dernière minute
    ii. Chez Securitrans c’est rare
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17
Q

15) Même exemple, mais je suis témoin ?

A
  • Je donnerai la même réponse et je verrai avec mon supérieur s’il peut éventuellement me remplacer.
  • En effet, j’ai une vie privée et j’ai aussi droit à des jours de repos, mais en rentrant à la police, il faut être conscient que ce genre de situation peut se produire qu’il ne faut pas avoir peur de faire des heures supplémentaires.
  • J’aurai un autre jour pour me reposer.
  • Plusieurs fois mon ami m’a dit qu’il a été appelé lorsqu’il était en congé.
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18
Q

16) Ça vous est déjà arrivé ?

A
  • Oui ! De nombreuses fois j’ai accepté des services, car le planificateur n’avait personne d’autre. Ex. Mission à l’UEFA pris à la dernière minute, car le planificateur n’avait pas d’autre choix que moi.
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19
Q

17) Vous mettez quoi en œuvre si ça vous arrive ?

A
  • Je cherche une solution constructive avec mon supérieur afin que je prenne le service dans les meilleures conditions. Selon la situation, je lui demande dans combien de temps il me laisse.
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20
Q

18) A-t-il quelque chose que vos parents ont fait que vous ne ferait pas à vos enfants ?

A
  • Non, je n’ai rien à reprocher à l’éducation que ma mère a donnée à ma sœur et à moi.
  • Ma mère est un vrai exemple pour moi parce qu’elle nous a élevés toute seule et dans un pays où on n’a aucune famille pour se faire aider. Elle m’a inculqué des valeurs comme le respect, la sincérité, la politesse. Par conséquent, je n’ai pas à critiquer l’éducation de ma mère, car je sais qu’elle a fait de son mieux et si j’arrive à éduquer mes enfants comme ma mère l’a fait je serai content je considère avoir reçu une bonne éducation.
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21
Q

19) Pouvez-vous nous parler d’une situation où vous avez dû exprimer clairement votre avis ?

A
  • Quand j’ai eu un problème avec ma planification. J’ai discuté avec le planificateur alors que certains me disaient de rien dire.
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22
Q

20) C’est quoi pour vous exprimer votre avis ?

A
  • Définition : c’est ce que pense une personne sur quelque chose ou sur quelqu’un, exprimé dans une discussion ou à la demande d’une autre personne.
  • C’est une opinion, point de vue, sentiment
  • C’est de donner un point de vue sur un sujet
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23
Q

21) Vous avez un d’ancienneté dans une entreprise, votre chef vous propose de travailler dans un projet à caractère international qui réunit plusieurs collègues qui sont plus âgés que vous dans l’entreprise ?

A
  • je serai honoré par sa proposition et étonné. Pourquoi il m’a choisi ? (qu’il veut certainement quelque chose de nouveaux et peut-être il veut me tester)
  • Je verrai avec lui ses attentes. comme il m’a proposé ce projet il considère que j’ai les compétences et qu’il a confiance en moi. (ex. organise la manifestions pour le salon de l’automobile/ sécurité autour du terrain au stade de Genève).
  • Certainement j’accepterai ce projet, car cela me permettra d’acquérir de l’expérience, de connaître mieux mes collègues, d’échanger avec eux et aussi leur demander conseils.
  • C’est aussi une façon de se responsabiliser et de s’affirmer.
  • Montrer aux collègues que j’ai des capacités et qu’ils peuvent me faire confiance En étant professionnel, à l’écoute, en respectant les délais.
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24
Q

22) Et si les collègues voient ça d’un mauvais œil parce qu’ils voulaient la position ?

A
  • Si on ne vient pas me dire directement, c’est compliqué de réagir comme ça.
  • Ensuite si la personne vient vers moi. On discute, je l’écoute et je lui dis qu’on m’a proposé et s’il a un souci avec ça, il peut toujours voir le chef et discuter avec lui.
  • Ensuite, c’est à moi de m’imposer et de mettre dès le premier jour les directives
  • Exemple avec Alia.
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25
Q

23) Qu’est-ce que vous mettez en œuvre pour vous faire accepter malgré les griefs qu’ils soient contre vous ?

A
  • Je montrerai que je suis quelqu’un de professionnel, d’exemplaire, qu’on peut avoir confiance en moi, ouvert à la communication et qu’on peut travailler ensemble
  • De me présenter et de faire un tour de table
  • De mettre les cadres
  • S’il y a quelqu’un qui a problème avec de venir me parler et que je suis ouvert au dialogue
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26
Q

24) Donc vous les impliquez ? vous ne faites pas les choses dans votre coin ?

A
  • Bien-sûr que je les impliquerai dans le projet.
  • Ce n’est pas parce que je ne m’entends pas avec quelqu’un que je dois le mettre à l’écart.
  • Eux ils vont m’apporter de l’expérience et une façon de faire et moi aussi.
27
Q

25) Avez-vous déjà vécu une situation injuste ou décevante qui vous avez dû gérer ?

A
  • Je me suis déjà trouvé dans une situation injuste et décevante.
  • compliqué de trouver une place d’apprentissage = pas terminé mon école obligatoire (reprochais souvent ce point). Les maîtres d’apprentissage ne voulaient pas me donner une chance afin que je puisse montrer mes capacités.
  • Jamais abandonné  finalement place d’apprentissage trouvé, (on m’a fait confiance et on a cru en moi).
28
Q

26) Pensez-vous qu’il vous a fallu tout ce temps pour vous préparer ?

A
  • Oui, on n’essaie pas d’entrer dans la police sur un coup de tête. On doit se poser les bonnes questions et connaître mieux le métier pour obtenir une vision complète. Et lorsqu’on entreprend les démarches, il faut sentir prêt. Du coup, je me suis lancer dans le processus quand je me suis senti prêt. Ça pris le temps nécessaire. Le fait de s’intéresser à d’autres disciplines et ça m’a permis de gagner en maturité et en expérience. Aujourd’hui, grâce à mon parcours je sais que je veux devenir policier.
  • Comme j’étais lancé dans les études, j’ai continué, car ça me plaisait
29
Q

27) Peut-être qu’on ne va pas vous proposer que police secours et pas d’entrer dans une brigade, comment vous allez le vivre ?

A
  • Mon but dans ma vie est de devenir policier. Si on me dit que je dois commencer par un autre secteur que la police secours. Je serai certes un peu déçu parce que je me vois plus dans la police secours, mais je serai quand même heureux de faire part de la police.
30
Q

28) Vous avez vu ce qui se passe actuellement ? Ils manquent des policiers en police de proximité, donc si vous êtes intégré à ce service comment vous allez le vivre ?

A
  • Je dis que je n’aime pas je vais mettre en place ce qu’il faut pour évoluer. C’est quoi mettre en place ce qu’il faut ?
  • Si on me dit que je dois aller en police de proximité, j’irai, même si j’ai une préférence pour la police secours. C’est vrai qu’il y a des spécificités dans chaque secteur de la police, mais ça reste des policiers du coup je ne vois pas où il est le problème. Ca me permettre d’acquérir des compétences, de l’expérience et cela me permettra d’évoluer. Ensuite, si j’ai l’opportunité de changer et d’aller dans la police secours parce que je trouve que je serai mieux alors j’entreprendrai les démarches.
31
Q

29) Seriez-vous frustré d’aller à la police de proximité ?

A

Non, je ne dirais pas frustré, un peu déçu, car mes attentes sont plus dans la police secours.

32
Q

30) 12 h devant une porte chez Securitas c’est long aussi non ? C’est une frustration, vous ne rentrez pas chez Securitas pour faire ça non ?

A
  • En effet, c’est long et surtout qu’on doit rester concentrer durant tout le service. Ça peut être frustrant pour moi parce que je suis quelqu’un qui aime être dans l’action, qui aime bouger. Mais j’ai ce type de service.
33
Q

31) Vous êtes sur un projet depuis longtemps avec plusieurs collègues (même niveau hiérarchique), et quelques jours avant de rendre le travail vous vous rendez compte qu’un de vos collègues n’a rien fait et que le retard est irrattrapable. Comment tu réagis ?

A
  • Tout dépend de ce projet
  • Je lui ferai la morale, mais je l’excuserai après.
  • Je serai énervé parce que je ne comprends pas pourquoi il ne nous a rien dit avant
  • C’est censé être un adulte responsable et qui est censé prendre ses responsabilités et de nous prévenir.
  • Il a sûrement ces raisons et nous prévenir avant c’est la moindre des choses pour qu’on s’organise avant et qu’on divise sa partie et s’il a un problème comme ça il sera plus tranquille.
34
Q

32) Et pour vous c’est une conséquence qui est grave de présenter un projet auquel il manque un chapitre alors que ce n’est pas vous le responsable ?

A
  • Oui, ça peut devenir grave et tout dépend aussi de l’importance de ce travail. Quand j’entreprends quelque chose je le fais bien (travail de groupe). Je ne serais pas satisfait si je devrais rendre un travail incomplet. (On a tous une part de responsabilité (on aurait dû demander entre nous si on avance). Donc, comme on est un groupe, on est tous responsables.
  • Si on arrive à ce point, c’est qu’on a mal organisé le projet, un manque de communication et qu’on s’est vu au dernier moment…
35
Q

33) Dans le laps de temps qu’il vous reste, qu’est- ce que vous faite concrètement ?

A
  • On se voit tous
  • On regarde ce qui manque
  • On se divise le travail afin de présenter quelque chose de plus complet.
36
Q

34) Parlez-nous d’une situation où vous avez dû prendre une décision qui vous semblait juste, mais qui a quand même provoqué une incompréhension ou déception envers qui la décision avait un effet ?

A
  • Vol à la coop pour deux personnes (feuille avis d’expulsion = ce n’est pas une pièce d’identité officielle). Le centraliste ne voulait pas appeler la police pour un contrôle d’identité. Pour lui, l’avis d’expulsion du territoire était suffisant.
37
Q

35) Et vous avez réagi comment lorsque la personne vous exprime son incompréhension ?

A
  • J’écoute son incompréhension, je lui explique pourquoi c’est comme ça afin qu’il comprenne mieux et on essaie de trouver une solution s’il considère qu’il y a un problème.
38
Q

36) Vous travaillez dans une grande régie immobilière et vous occupez d’un grand appartement haut standing très demandé et le dossier du fils d’un de vos amis correspond au même titre que plusieurs autres, que faites-vous ?

A

réfléchis

39
Q

37) Qu’est-ce que vous allez nous amener dans l’entreprise ?

A
  • Je parle de mon expérience, je dis qu’elle est plutôt unique. Elle n’est pas réellement unique votre expérience, non ?
  • Mon expérience diversifiée (médical) et mon expérience dans la sécurité, macon je ne pense pas que je vais construire un mur, mais le fait de travailler dans un milieu dur physiquement je trouve que c’est aussi un atout.
  • Je suis une personne à l’écoute, je sais me remettre en question, j’aime travailler en équipe, je suis quelqu’un de flexible, qui sait s’imposer également, je suis autonome et surtout fiable dans ce que je fais. Je me suis montré authentique et surtout persévérant durant tout le recrutement.
40
Q

38) Autre chose que vous pourriez apporter ? Pourquoi je vous prends vous plutôt que celui qui vient avant ou après ?

A
  • C’est compliqué à répondre à cette question parce que vous me demandez de me comparer aux autres candidats.
41
Q

39) Il n’y a pas vos valeurs dans votre CV. Quelles sont vos valeurs ?

A
  • à L’écoute, ouvert , bienveillant, honnête – loyal – fiable
42
Q

40) Nous ce qu’on cherche c’est de l’authenticité, on doit pouvoir vous faire confiance. On peut vous faire confiance ?

A
  • Confiance : Sentiment de sécurité, d’assurance, d’espérance ferme inspiré par quelqu’un ou quelque chose.
  • Je comprendre votre question. Durant toutes les étapes du recrutement de la police, je me suis montré authentique. Je me suis mis à nu devant. Ce n’a pas été facile pour moi à des personnes que je ne connais pas, mais je vous ai fait confiance. Donc, pour répondre à votre question. Je n’ai pas essayé de cacher quelque chose. J’ai essayé de répondre au mieux les questions que vous m’avez posées afin d’avoir une meilleure image de moi. Le métier de policier n’est pas facile et il y a beaucoup de contraintes et qu’on n’a pas droit à l’erreur.
  • Oui vous pouvez me faire complètement confiance. Je ne peux pas le prouver, mais vous pouvez me faire confiance. Une chose est sûr c’est que je
43
Q

42) Qu’est-ce qui a fait que j’ai changé de voie/d’option ?

A
  • Je me suis rendu compte que la sécurité me plait énormément et je me sens à l’aise.

Lorsque je me suis lancé dans des études en médecine et en soins infirmiers, au début j’ai cru que j’avais fait le bon choix. Mais pendant ma deuxième année en médecine, je pensais arrêter pour postuler à la police. À partir de ce moment-là je me suis plus intéressé au métier de policier, j’ai fait un stage en immersion, de participer à plusieurs manifestations organisées par la police et de travailler dans la sécurité. Cela m’a permis de confirmer mon choix et que je ne faisais pas fausse route.
- Soins infirmier et policier => peu voire pas d’autonomie, pas beaucoup d’imprévu et d’intervention, on travaille souvent seul. J’ai trouvé une certaine monotonie en soins infirmiers.

44
Q

42) Qu’est-ce qui a fait que j’ai changé de voie/d’option ?

A
  • Lorsque je me suis lancé dans des études en médecine et en soins infirmiers, au début j’ai cru que j’avais fait le bon choix. Mais pendant ma deuxième année en médecine, je pensais arrêter pour postuler à la police. À partir de ce moment-là je me suis plus intéressé au métier de policier, j’ai fait un stage en immersion, de participer à plusieurs manifestations organisées par la police et de travailler dans la sécurité. Cela m’a permis de confirmer mon choix et que je ne faisais pas fausse route.
  • Soins infirmier et policier => peu voire pas d’autonomie, pas beaucoup d’imprévu et d’intervention, on travaille souvent seul. J’ai trouvé une certaine monotonie en soins infirmiers.
  • L’aspect répressif m’intéresse aussi
45
Q

43) Qu’est-ce que j’ai appris de mes échecs ?

A
  • Pour apprendre de mes échecs, je dois connaître les raisons. Ces raisons Madame Bouchoucha me les a dites lors d’un entretien téléphonique. Elle m’a beaucoup apporté et m’a donné des conseils.
  • J’ai appris que je devais travailler plus afin de m’améliorer surtout sur les points que Madame Bouchoucha et Monsieur Borgeat m’ont dit.
  • Et surtout si je n’étais pris la dernière fois c’est parce que je n’étais pas parmi les meilleurs en fonction du profil que vous cherchiez. Cela ne veut pas dire que je n’ai pas de qualités, mais que je n’avais pas assez de qualités par rapport à vos attentes.
46
Q

44) Qu’elles sont les raisons de mon échec ?

A
  • Je dois être plus verbale, plus claire et précise dans mes réponses, car mes réponses avaient trop de flottement et d’hésitations.
  • Je dois parler de manière structurée, assuré, motivé et déterminé. ¨
47
Q

45) Qu’est-ce que j’ai entrepris comme démarche pour m’améliorer ? Où qu’est-ce que j’ai entrepris pour contribuer à ma progression après ma première tentative ?

A
  • Je me suis renseigné auprès de Madme Bouchoucha
    i. J’ai noté les conseils que m’a donné et elle m’a conseillé de contacter M. Borgeat.
    ii. J’ai lu des livres, j’ai vu des vidéos de coach pour les entretiens d’embauche sur internet.
    iii. Je me suis plus entraîné aux entretiens en me focalisant sur mes défauts.
    iv. J’ai demandé conseil à mes proches et ceux qui ont réussi le recrutement.
    v. J’ai visité le site Devenez.ch souvent pour être informé des manifestations.
    vi. Immersion repportage
48
Q

46) Qu’est-ce qui a changé pour moi ? Qu’est-ce que je ne faisais pas avant et que je fais maintenant ?

A
  • En travaillant sur mes défauts et en acceptant de l’aide des gens, j’ai progressé dans plusieurs compétences (la communication ! J’ai pris conscience que je devais changer si je désire être pris à la police.
  • J’ai pris davantage conscience de mes lacunes.
  • Je me suis entraîné davantage et différemment aux entretiens (avec ma copine, mes proches, Monsieur Borgeat)
  • Pour chaque question, j’essaie d’être plus précis et en illustrant mes propos par des exemples afin de donner plus de valeurs à ce que je dis.
  • Cela m’a permis de constater que je suis quelqu’un de persévérant et que je suis capable de me remettre en question.
  • J’ai gagné en confiance et en détermination
49
Q

47) Au niveau hiérarchique ?

A
  • La police est organisée de manière hiérarchique et c’est normal d’obéir à un ordre direct d’un supérieur. On peut approuver ou non cet ordre (les dénonciations GEAP). Ce n’est pas la question. Par contre, la question qu’on doit se poser est de savoir si cet ordre est déontologique. Un policier ne peut pas tout faire, il y a une charte. Je compte aussi sur la formation de policier afin de clarifier ce domaine de la déontologie afin de mieux me positionner sur ce sujet.
  • Définir la déontologie :
50
Q

48) Est-ce que je serais capable de tuer quelqu’un ?

A
  • Comme policier, si j’arrive à ce stade, c’est que j’étais obligé. On ne peut pas tirer sur quelqu’un dans n’importe quelle situation. Ce n’est pas anodin de tirer sur quelqu’un. Il ne faut pas banaliser cet acte. Pour répondre à votre question, si je tire sur quelqu’un c’est que les circonstances m’ont permis de le faire. Si je me trouve en cas de légitime défense ou dans un cas de nécessité alors oui je serai capable de tirer sur quelqu’un afin de le neutraliser. L’usage de l’arme est codifié, il y a une formation spécifique et des directives.
  • Dans ma profession, je suis porteur d’un bâton télescopique, c’est considéré comme une arme. J’ai suivi une formation qui me permet de savoir quand je peux l’utiliser, les régions que je peux toucher, etc. Je n’ai jamais déployé le bâton, mais une fois je l’ai sorti de l’étui, car la personne était alcoolisée et tenait une bouteille de champagne dans les mains.
51
Q

49) Comment je vis l’incertitude ?

A
  • L’incertitude est très présente dans mon travail et on ne sait jamais ce qui va se passer durant le service. Par exemple, lors d’un service à la gare cornavin, j’ai trouvé une personne, parterre, avec du vomi et complètement alcoolisé dans la douane. On doit réfléchir vite, s’adapter à la situation, prendre des décisions et réagir en conséquence.
52
Q

50) Si vous devez nous convaincre, que diriez-vous encore ?

A
  • Je ne suis pas ici sur un coup de tête. L’idée de devenir policier a pris du temps et aujourd’hui je veux sincèrement intégrer le corps de police.
  • Je trouve que j’ai progressé, je me sens plus posé, plus en confiance, plus verbale.
  • À travers cet échec, j’ai montré que je suis quelqu’un à l’écoute, de déterminer et qui sais se remettre en question.
53
Q

51) Que représente l’uniforme pour moi ?

A
  • L’uniforme est un élément d’identification et de différenciation. C’est en quelque sorte la carte de visite de la société.
  • L’uniforme policier = le respect, la fierté, la sécurité, la confiance et l’autorité.
54
Q

52) Que représente la police pour moi ?

A
  • Définition : la police est une institution qu’un État a mise en place afin de maintenir l’ordre et d’assurer la protection des personnes et des biens se trouvant sur le sol de l’État
  • C’est en quelque sorte le bras armé de l’État ou un appareil de l’État qui sert à appliquer les lois et de réprimer si elles sont enfreintes.
  • L’autorité, de maintenir l’ordre, la sécurité, le respect et surtout la confiance.
55
Q

53) Est-ce que j’ai entendu parler de la police ?

A
  • Je suis assez informé des actualités de la police et quand il y a un article qui sort je le lis.
  • Peine réduite pour un policier condamné pour délit de chauffard
    i. Avis : via sicura
    ii. Un manque d’effectifs alarmant dénoncé au sein de la police genevoise
56
Q

54) Qu’elles sont les interventions positives dont la police fait ?

A
  • La gestion de conflits
  • L’interpellation d’un individu qui a commis un délit
  • L’aboutissement d’une enquête
  • Les premiers secours d’une personne blessée
  • Des patrouilles dissuasives par notre visibilité
  • Des missions variées qu’elles sont à trait à la gestion de conflits, à la sécurité des biens et des personnes ou en lien avec la circulation routière
57
Q

55) Qu’elles sont les missions que j’aimerais rencontrer ?

A
  • contribuer à une enquête et à son aboutissement.

- Être en civile et interpeller des voleurs par exemple

58
Q

56) Question sur l’agent immobilier ?

A
  • Rester impartial
59
Q

57) Même question avec ma maman et je dois la bûcher pour x raisons ?

A
  • Rester impartial et malheureusement la loi est la même pour tout le monde et je devrais quand même mettre l’amende.
60
Q

58) J’interviens lors d’une bagarre et je vois que c’est mon père ?

A
  • Même chose, je reste impartial, droit, carré.
  • Je demande à mon collègue pour qu’il reprenne le lead/ Ils font me dire que je ne remets pas le bébé à mon collègue.
  • Du coup je vais suivre la procédure et qu’il n’aura pas de favoritisme. La loi est la même pour tout le monde.
61
Q

59) Est-ce que j’ai déjà dû gérer des conflits ?

A
  • Oui cela fait parti de mon quotidien.
    Personne agitée dans les guichet CFF.
  • Voleur et vendeur
  • Oui, gilet après deux semaines, un collègue a vu au bout de deux semaines alors que lui ça fait 2 ans qu’il est dans la boîte.
  • Oui avec deux collègues lors d’une mission de la circulation.
62
Q

Pourquoi avez-vous postulé chez nous ? Ou pourquoi voulez-vous devenir spécialiste en douane et sécurité des frontières ?

A

Pour être honnête, au début, je connaissais vaguement la profession de douanier. C’est en voyant travailler et en collaborant avec les douaniers à Cornavin, j’ai eu un réel interêt pour cette profession et c’est à ce moment-là que j’ai commencé à me renseigner auprès des garde-frontière et Dihn sur le processus de recrutement et le métier. Et je suis d’autant plus intéressé par cette nouvelle formation qui regroupe la profession de douaniers et les garde-frontière en une seule.

63
Q

Connaissez-vous la profession de spécialistes en douane et sécurité des frontières ?

A
  • Ils influencent sur la sécurité de la population, de l’économie et de l’Etat.
  • Population :
    > Luttent contre la contrebande organisée et la criminalité transfrontalière directement à la frontière et, dans le cadre des engagements mobiles, également à l’intérieur du pays.
    > Protègent les consommateurs suisses des contrefaçons, des produits nocifs pour la santé et des maladies en contrôlant les marchandises dans les camions, conteneurs par exemple.

-Economique :
> Contrôlent la déclaration des marchandises et clarifient les irrégularités.
> Mettent tout en œuvre pour faciliter le franchissement de la frontière pour les entreprises et renforcer la place économique suisse.

  • Etat :
    > Contrôlent les marchandises de commerce à l’importation, à l’exportation et au transit, ainsi que sur le territoire suisse.
    > Vérifient si les marchandises sont déclarées correctement et veillent au respect des dispositions suisses. garantissent la perception correcte de la TVA, des droits de douane, de l’impôt sur les huiles minérales, des redevances sur le trafic routier, de l’impôt sur le tabac et d’autres redevances. Ces recettes représentent plus d’un tiers des fonds dont la Suisse dispose chaque année pour des investissements importants.