Entretien clinique Flashcards

1
Q

Caractéristique de l’entretien clinique ?

A

1 - principal outil du psy, basé échanges langagier, échange de sens et de pensées au-delà des mots, d’intentionnalités également : C. Cyssau 1998p40 va jusqu’à définir le processus de communication, en jeu dans la communication interpersonnelle comme une « rencontre entre deux esprits ».

2 -situation communication asymétrique (pers souffrance + pro relation)
Chiland.2008p10 : le clinicien se tait pour laisser l’autre parler et parle pour lui faciliter la parole.

4 -but éval état clinique et relation d’aide, soin,

5 -la relation clinique est le principal outil, il travaille dans, par et sur la relation.
-Chiland,C 2008 p17 : un savoir vivant, incarné, où il paie de sa personne… le psy ne peut travailler au cours de l’ec même qu’avec ce qui se mobilise en lui,

6 -il n’apporte pas de solution immédiate, rien de palpable, rien dans l’agir, ne pense pas ou ne parle pas à la place du consultant.

7- ghiglione 86 : tte interaction procède d’un contrat implicite autour du respect de certains principes,

8 -élabore du sens et ce travail de pensée s’appuie tjs sur un ou plusieurs réf théorique précis.

9-soulignons l’importance de la déontologie car il ne saurait avoir d’efficacité thérapeutique sans réflexion éthique.

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2
Q

Différents types d’entretien clinique ?

A
  • diagnostique
  • thérapeutique
  • soutien
  • recherche
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3
Q

Entretien diagnostique ?

A

1 - une des formes possible,

2-souvent outil psychiatre, médecin,

3-cadre opératoire de obj diag impose l’utilisation diff outils : échelles eval trouble, test psychométriques, classification tble DSM IV, CIM X.

4-tjs orienté selon un réf théorique précis, le plus souvent médical,
-rarement clinique : présentation des trble de type de relation qu’il entretient avec lui meme et autrui.

5-abstraction question diag : théories psycopatho existentialistes, phénoménologiques, ethnopsychiatriques, voire systémique ou psychanalytiques).

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4
Q

Entretien thérapeutique ?

A

1 - relation pro dite clinique le psy travaille dans par et sur la relation clinique
par : au moyen de la relation clinique,
dans : s’actualise et se rejoue au cours de chaque entretien en fonction des modalités relationnelles du patient,
sur : élaboration théorique précise du type de relation qu’il entretient avec le patient ( d’ordre transférentiel, ou intuitive gestalt, emphatique pour l’humaniste)

2 - objectif : modification de la position psychologique du patient, quant à une situation ou des faits psychopatho qui entrainent des désordres et de la souffrance.

3- obj spé dépendent du choix théorie de réf.

4 - toutes les théories en psychopatho partagent l’idée qu’un symptôme prend un sens et qu’il est vécu par le patient, obj général est relacer le symptôme dans une dynamique signifiante pour le patient quels que soient les fondements théoriques.
NOUGUE Y 2002 p30. “a prendre non seulement en tant que signe (de malaise, de dysfonctionnement ) mais en tant que signifiant “.

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5
Q

Entretien dit de recherche ?

A

1-outil principal du psy clinicien qui veulent opérationnaliser des obj. de recherche.

2-élaboration d’hypothèse, (issues de problématiques rencontrées chez des patients) que d’infirmer ou de confirmer ces dernières.

3-initiative du chercheur,

4-nécessite une construction méthodo, (sélection patient, thème de l’entretien, formulation des interventions.

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6
Q

Entretien de soutien ?

A

1-vise un étayage psychologique face à une situation de vie où il est ponctuellement et/ou réactionnellement difficile de faire face. (pathos somatique grave, vital, ou dégénérative)

2-compréhension d’une situation particulière en construisant un nouveau sens avec le sujet.

3-il s’agit d’un problème de théorie en psychopatho

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7
Q

comparaison entretien thérapeutique et de soutien.

A

1-il s’agit d’un problème de théorie en psychopatho
ionescu 93 tout projet thérapeutique comporte une théorie au moins implicite de la pathologie mentale et en construit sa propre représentation.

2- nouvelle déf : ec pourrait être comme recouvrant toute technique relationnelle qui viserait à transformer /modifier une situation une personne ou un groupe engendrant des métamorphoses que ce soit au niveau de psensées, de comportements ou d’affects.

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8
Q

trois difficultés que pose la gestion de la

relation clinique au psychologue ?

A

1 - La relation clinique entre un psycho clinicien et un patient est une relation professionnelle, interpersonnelle, fondée sur la collaboration.

2 - gestion de la distance relationnelle professionnelle peut s’avérer délicate : pas assez empathie = rendra difficile l’alliance thérapeutique. trop = difficulté pour le patient qui distinguera mal la relation amicale.

3 - neutralité bienveillante :

4 - la gestion du cadre théorique
et technique

5 - impliquent la nécessité, de la part du clinicien, d’une auto observation et d’un auto questionnement permanents

6 - relation clinique solide sans être rigide découle donc de l’expérience du psy clinicien et de son (ou ses) référentiels théoriques

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9
Q

expliquez les différentes notions de secret ?

A

« La rencontre avec le visage de l’autre est une invitation au respect du secret et à l’indicible de l’altérité »
Danvers2010p108

« Le respect de la personne, dans sa dimension psychique est un droit inaliénable. Sa reconnaissance fonde
l’action de psychologues ». Tel est le fil d’Ariane qui fonde et parcourt le Code de déontologie des psychologues (1996, 2012).

ce code permet une réflexion déontologique dans une réflexion éthique, cohérente avec la déclaration universelle des droits de l’Homme (Principes Généraux),

Il ne s’agit donc pas tant d’une « levée » de secret professionnel que d’un « partage » du secret professionnel, partage qui
se réalise, tant avec le patient qu’avec les professionnels de santé. Cette notion de « secret partagé » conserve la notion de secret entre un patient et un (ou des) professionnels de santé, puisque toutes les catégories de professionnels de santé sont soumises à la même application de cette notion.

clinicien est toujours dépositaire des «secrets», des confidences de ses patients. Le « poids d’un secret », hors cadre légal, n’est donc pas une notion inconnue du
psychologue. Il la rencontre à chaque fois qu’il rencontre un patient.

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10
Q
def Lagache 1949 de psychologie clinique ?
def Bleger J. (1964) de l'entretien psychologique ?
 Cyrulnik B.
A

La psychologie clinique est caractérisée par l’investigation systématique et aussi complète que possible des cas. individuels ».
c’est à la fois une pratique et une méthode.
« L’entretien psychologique fonctionne comme une situation dans laquelle s’observe une partie de la vie du
patient qui se développe en relation avec nous et face à nous ». Bleger J. (1964).
« Les mots sont des organismes vivants que l’on ne
peut comprendre que dans leur contexte
et leur histoire ». Cyrulnik B.

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11
Q

trois modalités relationnelles de conduite d’un entretien clinique ?

A

directive, semi-directive et non directive

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12
Q

entretien directif ?

A

1 - dirigé par le psychologue,

2 - questions directes, ouvertes, semi-ouvertes ou fermées (sollicitant des réponses en « oui » ou « non »).

3 - La formulation de ces questions pourra
provenir d’instruments évaluatifs comme des tests psychométriques, des questionnaires, ou d’échelles
d’évaluation des troubles (selon un référentiel théorique spécifique).

4 - Elles permettent d’obtenir des scores pouvant être rapportés à des normes et/ou moyennes, dans une démarche comparative utile lors de l’évaluation d’un état clinique (présence/absence d’un trouble psychopathologique, mesure de son intensité, etc.) ou dans certaines recherches
en psychologie, utilisant la méthode comparative.

5( L’entretien clinique conduit de façon directive est adapté pour des objectifs de pertinence des informations, de contrôle et vérification.

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13
Q

entretien semi-directif ?

A

1 - discours semi-spontané mais orienté par les questions du psychologue.

2 - guide d’entretien ; mais avec l’expérience acquise en pratiquant ce type d’entretien, le psychologue n’aura plus besoin de rédiger ce guide car il sera en mesure de le formuler spontanément.

3 - questions ne seront pas posées dans
un ordre préconçu mais en fonction des opportunités offertes par les stratégies de discours employées par le patient.

4- vise l’approfondissement d’un thème de
récit offrant la possibilité d’expression de nouveaux éléments.

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14
Q

entretien non directif ?

A

1 - outil technique très pointu,

2 - permet le recueil d’un discours libre développé par le patient à sa convenance.

3 - après avoir posé une consigne générale, ses rares relances seront ouvertes, n’introduisant aucun thème
(reformulations des propos du patient) et viseront principalement à soutenir la parole de ce dernier en manifestant une écoute active, respectueuse et bienveillante. C. Rogers (1942)

4 - Les objectifs thérapeutiques utilisent souvent ce type de conduite qui permet la co-construction d’un nouveau sens des trbles au plus près de l’univers du patient.

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15
Q

3 principes efficacité thérapeutique selon C. Rogers ?

A

1 - la congruence » désigne le sentiment d’authenticité du thérapeute perçue par le client.

2 - « la considération positive inconditionnelle » (pourrait évoquer la « neutralité bienveillante » implique que le patient doit ressentir qu’il n’est jamais jugé par le thérapeute, quoiqu’il dise. Cet aspect provient de la constatation Rogerienne qu’il existe, chez tout individu, une orientation positive, une tendance naturelle d’épanouissement et de communication avec autrui s’accom

3 - « la compréhension empathique », déterminée par la réceptivité aux sentiments vécus par autrui et la capacité verbale de communiquer cette compréhension.

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16
Q

définition relation clinique = relation d’influence (influere = couler dans) ?

A

1 - Une influence qui guérit existe bien,

2 - “je propose d’englober sous le terme psychothérapie toute procédure d’influence destinée à modifier radicalement, profondément et durablement une personne, une famille ou simplement une situation, et cela à partir d’une intention thérapeutique.” T.Nathan 1998 p12

3- relation d’influence explicite lorsque c’est le clinicien à partir de faits la ou les modif. à apporter dans les pensées ou comportements.

4 - implicite : c’est le patient qui déduit cette modif à partir des propos théoriques
exprimées par le clinicien.

5 - transfert et contre trsn (laplanche pontalis 1967

6 - pragmatique du langage = activités inférentielles (blanchet 97)

7 - ethnopsychiatrie = influence qui guérit

17
Q

attitude relationnelle, positionnement clinique ?

A

Ainsi trois attitudes relationnelles (écoute, empathie, réassurance cliniques), issues de la non
directivité (Rogers, 1962) permettent au
psychologue de manifester sa compétence professionnelle au cours de l’entretien clinique.

18
Q

L’Ecoute clinique ou « active ?

A

l’écoute professionnelle du psychologue peut être définie comme sa compétence relationnelle et clinique à permettre et encourager l’expression langagière du patient.
faciliter la « parole interrompue par des silences » (Chiland, 2008) du patient mais elles portent également sur le sens de ce qui a été dit, sont centrées sur le patient et font intervenir le système théorique du clinicien par quoi il organise et comprend le discours du patient.
ce travail d’écoute « in situ » sera toujours préparé par un travail en amont
(fabrication professionnelle) mais aussi recadré par un travail en aval (supervision, analyse des pratiques
formation permanente et continue.

19
Q

l’empathie ?

A
  • attitude relationnelle clinique et
    professionnelle,
  • capacité à se représenter le ressenti de son patient, ses émotions, sans les éprouver. Rogers (1962) est le premier à proposer la notion d’empathie dont il postule qu’elle est une disposition psychologique particulière, intellectuelle et non affective. [Ce ne peut pas être une disposition psychique puisque dans ce cas on se réfèrerait, au mécanisme d’identification (inconsciente,intrapsychique, affectif) dans le référentiel psychanalytique
    (Laplanche et Pontalis, J.D. Nasio, 1988, 2001)].
  • Il a ainsi accès au monde interne du sujet tout en ne s’y perdant pas
20
Q

attitude clinique au cours de l’entretien ?

A

Non directivité,
Respect,
Neutralité bienveillante,
Empathie.

21
Q

Non directivité ?

A
  • attitude clinique,
  • confiance en son patient et dans ses capacités d’autodirection, de changement et dans ses possibilités personnelles,
  • centration sur le sujet est l’élément essentiel.
22
Q

respect ?

A

L’attitude clinique relève d’une véritable attitude déontologique et éthique,

  • premier principe du code de déontologie
    des psychologues signé par les asso représentant les psychologues et les enseignants-chercheurs en psychologie.
  • le respect de la personnalité du sujet, le respect de ses appartenances sociales, culturelles et professionnelles, le respect de certains aménagements défensifs qui n’ont pas toujours en soi une valeur négative mais peuvent avoir aussi une valeur protectrice pour le sujet.
23
Q

Neutralité bienveillante ?

A

Le clinicien ne doit pas formuler de jugements, de critiques ou de
désapprobations à l’égard du sujet. Toutefois, la neutralité n’est pas de la froideur ou de la distance mais doit s’associer à la bienveillance ; il s’agit de mettre en confiance le sujet
pour le laisser s’exprimer librement.

24
Q

demande ?

A
  • demande ne concerne pas directement le patient mais quelques fois une personne de la famille, le psychologue recentre l’entretien sur le(s) consultant(s), et son objectif est de permettre au patient de se réapproprier la demande d’aide, pour pouvoir ensuite l’élaborer et la reformuler.
  • justice : continuer à bénéficier de la liberté de choix quant à poursuivre ou
    non les entretiens,
    G. Poussin (2003, p.101), « le pire serait de faire comme si la personne avait exprimé une demande propre à laquelle l’entretien était censé répondre ».
  • exposée par le patient, s’avère ambigüe, voire confuse et générale, le psychologue travaille sur l’élaboration des dysf du patient et sur la reformulation propre au patient de la problématique psychopatho .présentée.
25
Q

cadre ?

A

« cadre » d’un entretien clinique tout ce qui initie le contrat de communication, fixe et garantit le déroulement des entretiens, rappelle le contexte et explique le dispositif théorique et technique du psychologue clinicien.
G.Poussin (2003, p. 24), « (…) il correspond à une nécessité pratique et constitue la toile de fond sur laquelle les entretiens peuvent prendre sens ».

permettre au psychologue et au patient
de définir leurs places respectives et le mode de relation qu’ils entretiendront ensemble.

26
Q

clore et écrit clinique ?

A
  • moment particulièrement fertile, qui permet d’observer des éléments cliniques importants comme par exemple la réaction à la séparation, ou d’évaluer la façon dont « sort » de l’entretien le consultant ainsi que le propre ressenti du clinicien suite à l’entretien.
  • (l’observation clinique étant à la fois objectivante et implicative)
27
Q

le role des relances verbales ?

A

développement du discours du patient en fonction de certaines dimensions (affective, informative, évaluative…).

théoriquement = style qu’adopte l’activité discursive = forme du discours du psy. elle contienne généralement une intérogation, directe ou indirecte, même si assertion.
la relance est un acte de langage et comporte des implicites. le patient essaye de deviner ses implicites dans le discours du psy et réponde en fonction de ce qu’ils présupposent.
la pragmatique linguistique a dev le notion de force illocutoire pour rendre compte de l’effet d’influence, de persuasion ou de contrainte des relances.

28
Q

travaux de Reb et Trognon (86) ?

A

ces travaux montrent le mode de relation à l’autre d’un patient psychotique par une analyse conversationnelle.
l’utilisation de la logique illocutoire en analyse des conversations relève d’un sous domaine en pragmatique linguistique.
“la conversation est envisagée comme une suite d’actes illocutoires les uns dits subordonnées aux autres dits directeurs.”
l’application de ces analyses à des entretiens cliniques a permis de mettre en évidence les “débrayages conversationnels”. (rognon 87)

29
Q

attitude discursive chez le patient ?

A

validation, acceptation explicite de l’engoncé du praticien, (effectivement, oui, exact) ou indirecte = interprétation du thérapeute

indécidabilité, aucun élément ne permette de l’évaluer (silence) reformulation du patient.

débrayage conversationnel, propos incohérent, bizarrerie, réponse à côté, fuite discursive.

non validation. rejet et explication des motifs.

30
Q

modele pragmatique de catégorisation des relances d’un EC ?

A

Blanchet (1991) élabore un modèle pragmatique de catégorisation des relances d’un entretien selon que ces relances portent sur des faits ou sur
les attitudes des patients.

tout discours fait appel à deux registres
de représentation étroitement mêlés : la modalité et la référence.

Le registre de la relance est
déterminant dans le type de réponse apporté par l’interviewé.

Le registre référentiel a pour fonction de « dire comment sont les choses » ;
(contenu prépositionnel). Les relances
référentielles portent sur les objets du monde, ( « Mais quand vous dites : “cette personne” alors, ce serait qui ? » ), des informations, d’ordre temporel ; ( « depuis quand vous avez cette impression que
vous êtes suivi ? » ),interroger les actions des sujets («une fois que vous avez eu cette conviction, qu’est-ce que vous avez fait ? » ).

Le registre modal a pour fonction de « traduire l’état du locuteur » ; il représente un certain état psychologique du locuteur (attitude prépositionnelle).

 Les relances modales portent sur
les sentiments ( « Ça vous arrive d'être très très angoissé par tout ça ? » ) et les croyances des sujets ( « Vous pensez que c'est possible cette hypothèse là?»).

À l’intérieur de ces registres, trois types d’actes sont possibles (réitération, assertion, interrogation),

31
Q

theorie de la pragmatique linguistique ?

A

Le cadre théorique de la pragmatique se centre sur l’analyse linguistique et psychosociale des situations de communication (Austin, 1970 ; Ghiglione, 1986 ; Blanchet, 1991).

récentes.

relient la psychiatrie (l’étude des troubles psychopathologiques) et la psychologie sociale (l’étude du discours).

c’est à partir des travaux issus de la pragmatique linguistique et notamment ceux de Blanchet (1991, 1997) portant sur la catégorisation des relances dans le contexte de l’entretien clinique que, par exemple, Bénony&Chahraoui (2013, pp. 20-2177) démontrent l’influence à l’oeuvre lors de tout entretien clinique, véhiculée notamment par sa dimension discursive au sein de la relation clinique.