ECONOMICS Flashcards

1
Q

Produit Interieur Brut (PIB):

A

représente la somme de toutes les valeurs ajoutées produites par les différentes branches d’une économie en une année.

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2
Q

CORRELATION:

A

est un lien statistique entre deux phénomènes

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3
Q

CORRELATION POSITIVE:

A

les deux phénomènes évoluent dans le même sens ;

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4
Q

CORRELATION NEGATIVE:

A

les deux phénomènes évoluent dans des sens opposés.

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5
Q

CAUSALITE:

A

est une corrélation dans laquelle une variable dépend de l’autre.

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6
Q

DEMARCHE QUALITATIVE:

A

repose sur l’enquête individuelle et l’explication en profondeur d’un phénomène particulier que l’on cherchera à généraliser.

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7
Q

DEMARCHE QUANTITATIVE:

A

repose sur l’explication générale d’un phénomène global que l’on cherchera par la suite à préciser.

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8
Q

CONCEPT OU NOTION:

A

est une idée ou un contenu de pensée qui permet d’analyser ou d’expliquer des phénomènes.

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9
Q

MODELE:

A

est une représentation simplifiée d’un phénomène économique, social ou politique qui permet sa compréhension partielle et révèle une partie de ses mécanismes.

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10
Q

THEORIE:

A

est un ensemble de connaissances et de modèles qui cherchent à expliquer un phénomène économique, social ou politique.

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11
Q

L’ECONOMISTE

A

étudie la production, la répartition et la consommation des richesses dans les sociétés.

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12
Q

BIENS:

A

sont des produits matériels et stockables.

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13
Q

SERVICES:

A

sont des produits immatériels et non stockables.

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14
Q

BIENS DURABLES

A

sont utilisables à plusieurs reprises.

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15
Q

BIENS NON DURABLES:

A

sont détruits dès la première utilisation.

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16
Q

PRODUCTION:

A

est une création de biens et de services qui répond à des besoins individuels ou collectifs et qui résulte d’un travail légal, déclaré et le plus souvent rémunéré.

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17
Q

PRODUCTION MARCHANDE:

A

est une production destinée à être vendue sur un marché à un prix économiquement significatif, c’est-à-dire couvrant au moins la moitié des coûts de production.

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18
Q

PRODUCTION NON MARCHANDE:

A

est une production qui ne fait pas l’objet d’une vente sur un marché. Elle est mise gratuitement (ou quasi gratuitement) à la disposition de la population. Elle est souvent financée par les impôts, mais elle peut aussi être produite par du travail bénévole.

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19
Q

LES PRODUCTEURS

A

les entreprises
les administrations publiques
les associations

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20
Q

ENTREPRISES PRIVEES

A

appartiennent en partie ou en totalité à un individu ou un groupe d’individus

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21
Q

ENTREPRISES PUBLIQUES:

A

appartiennent en majorité ou en totalité à l’État.

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22
Q

SECTEUR D’ACTIVITE D’UNE ENTREPRISE

A
  • primaire (exploitation des ressources naturelles)
  • secondaire (industries et construction)
  • tertiaire (entreprises de services)
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23
Q

STATUT JURIDIQUE D’UNE ENTREPRISE

A
  • EI (Entreprise individuelle)
  • SARL (Société à responsabilité limitée)
  • SA (Société anonyme)
  • SAS (Société par actions simplifiée)
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24
Q

ADMINISTRATION PUBLIQUES

A

organismes qui ne cherchant pas à faire de profit, procurant des biens et/ou des services non marchands et financés par l’État.

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25
Q

ASSOCIATIONS

A

regroupent des individus volontaires qui partagent des objectifs et qui ne cherchent pas à faire du profit.

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26
Q

FACTEUR DE PRODUCTION:

A

est un moyen (travail, capital) utilisé par une organisation productive pour fabriquer des biens et services et qui n’est pas détruit pendant la production.

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27
Q

FACTEUR DE PRODUCTION SUBSTITUABLES:

A

Les facteurs de production sontsubstituablessi, pour produire la même chose, on peut remplacer les travailleurs par des machines et des machines par des travailleurs.

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28
Q

FACTEUR DE PRODUCTION COMPLEMENTAIRES:

A

Deux facteurs de production sontcomplémentairessi l’on ne peut pas remplacer l’un des facteurs par l’autre.

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29
Q

COUT DE PRODUCTION:

A

représente l’ensemble des dépenses que l’entreprise réalise pour produire.

Cout de production = Couts fixes + Couts variables

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30
Q

COUT MOYEN:

A

Le coût moyen est le coût de chaque unité produite en moyenne.

Cout moyen = Cout total de production / volume de production

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31
Q

COUT MARGINAL:

A

Le coût marginal est le coût de production d’une unité supplémentaire produite.

Cout marginal = Cout de la production de n unite – Cout de la production de n-1 unite

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32
Q

LES TEMPS DU COUT MARGINAL

A
  • dans un premier temps, le coût marginal est décroissant et inférieur au coût moyen (c’est le phénomène d’économie d’échelle)
  • dans un second temps, le coût marginal devient croissant (les consommations intermédiaires coûtent de plus en plus cher)
  • dans un dernier temps, le coût marginal devient supérieur au coût moyen, ce qui signifie que l’augmentation du volume des productions diminue le profit.
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33
Q

PRODUCTIVITE:

A

est la mesure de l’efficacité du facteur utilisé pour produire.

Productivite = Quantite produite / Quantite de facteurs de production employes

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34
Q

CHIFFRE D’AFFAIRE:

A

la somme d’argent qu’elle a récoltée en vendant ses produits.

Chiffre d’affaires = Prix du produit × Nombre de produits vendus

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35
Q

CONSOMATIONS INTERMEDIAIRES:

A

la valeur des biens et services que l’entreprise a détruits ou transformés durant la production.

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36
Q

VALEUR AJOUTEE:

A

est la mesure de la richesse nouvelle créée par l’entreprise lors de son activité de production.
- La rémunération des salarié
- Les impôts sur la production
- Le profit brut ou bénéfice

Valeur ajoutee = Chiffre d’affaires – Valeur des consommations intermediaires

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37
Q

PROFIT BRUT OU BENEFICE

A
  • les dividendes versés aux actionnaires lorsqu’il y en a
  • les intérêts versés aux prêteurs (banques et institutions financières)
  • les impôts sur les sociétés et l’épargne brute (qui permet aux organisations productives d’investir ou de placer l’argent).
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38
Q

CROISSANCE ECONBOMIQUE:

A

est l’augmentation du PIB, mesurée annuellement en pourcentage.

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39
Q

MARCHE

A

lieu de rencontre entre vendeurs et acheteurs pour échanger des biens et des services selon un prix.

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40
Q

Si l’échange et le paiement ont lieu immédiatement

A

c’est un marché au comptant.

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41
Q

Si l’échange a lieu parfois plusieurs mois après le paiement

A

c’est un marché à terme.

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42
Q

OFFRE:

A

est la quantité de biens et de services qu’un individu est prêt à vendre à un prix donné.

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43
Q

DEMANDE:

A

est la quantité de biens et de services qu’un individu est prêt à acheter pour un prix donné.

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44
Q

QUANTITE D’EQUILIBRE:

A

est la quantité unique offerte et demandée au prix d’équilibre.

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45
Q

PRIX D’EQUILIBRE:

A

est le prix pour lequel, sur un marché, la quantité demandée est égale à la quantité offerte.

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46
Q

TAXE:

A

est un prélèvement fiscal de l’État.

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47
Q

SUBVENTION:

A

est une aide financière accordée par l’État à une organisation productive.

48
Q

INSTITUTION:

A

est l’ensemble des règles et organisations qui encadre et coordonne des interactions.

49
Q

Les marchés peuvent prendre plusieurs formes, mais les économistes les regroupent sous trois principales catégories :

A
  • le marché des biens et services où s’échange l’essentiel des productions économiques
  • le marché du travail où s’échange l’offre de travail des ménages contre une rémunération de la part des entreprises
  • le marché des capitaux où s’échangent des produits financiers : monnaies, obligations, actions boursières.
50
Q

Les règles qui régissent un marché sont nombreuses. Elles peuvent porter sur :

A
  • les droits de propriété
  • la monnaie
  • les normes sanitaires ou techniques
  • les lieux d’échange, etc.
51
Q

LE MODELE DE LA CONCURRENCE PURE ET PARFAITE ET SES CONDITIONS

A
  • L’atomicité de marché :Un grand nombre d’offreurs et de demandeurs sont présents sur le marché. Aucun agent ne peut influencer les prix par sa seule action. On dit alors que les agents sont preneurs de prix (price taker).
  • L’homogénéité des produits :Sur un marché, les productions ne se différencient que par le prix.
  • La libre entrée et sortie du marché : Il n’y a pas de barrières (technique, commerciale, financière) à l’entrée ou à la sortie.
  • La parfaite mobilité des facteurs de production :Les agents, les biens et les capitaux circulent sans entrave (financière, géographique, etc.) et de manière instantanée.
  • La transparence du marché :Toute l’information disponible est connue de tous, en temps réel et sans coût, c’est-à-dire que chacun doit connaître tous les prix que pratiquent les offreurs pour un même produit.
52
Q

LES DEGRES DE CONCURRENCE DES MARCHEES

A
  • concurrence parfaite
  • monopole
  • oligopole
  • concurrenco monopolistique
53
Q

CONCURRENCE PARFAITE

A

offreurs -> beaucoup
demandeurs -> beaucoup
produits -> homogeneite
capacite a controler les prix -> aucune

54
Q

MONOPOLE

A

offreurs -> un seul
demeandeurs -> beaucoup
produit -> un seul
capacite a controler les prix -> forte

55
Q

OLIGOPOLE

A

offreurs-> quelques-uns
demandeurs -> beaucoup
produits -> fidderentes ou identiques
capacite a controler prix -> moyenne

56
Q

CONCURRENCE MONOPOLISTIQUE

A

offreurs -> beaucoup
demandeurs -> beaucoup
produits-> differents
capacite a controler prix -> faible

57
Q

PRIX D’EQUILIBRE:

A

est le prix qui se fixe sur un marché en concurrence pure et parfaite. Ce prix est tel que les quantités offertes sont égales aux quantités demandées.

58
Q

QUANTITE D’EQUILIBRE:

A

est la quantité unique offerte et demandée au prix d’équilibre.

59
Q

POUVOIR DE MARCHE:

A

représente la capacité pour une entreprise d’influencer le prix du marché et de le fixer au-dessus de ce que serait son équilibre en situation de concurrence pure et parfaite.

60
Q

BARRIERE A L’ENTREE SUR UN MARCHE:

A

est un obstacle qui rend difficile ou impossible l’entrée de nouveaux offreurs (ou demandeurs) sur un marché.

61
Q

ENTENTE:

A

est un accord entre différents offreurs sur un marché pour réduire la concurrence qui existe entre eux, par exemple en s’accordant sur un prix de vente ou sur les quantités vendues.

62
Q

STRATEGIES DES ENTREPRISES EN CONCURRENCE PARFAITE

A

LA CONCENTRATION

63
Q

LA CONCENTRATION

A

Les stratégies de concentration consistent pour une entreprise à acheter d’autres entreprises afin de renforcer leur pouvoir de marché. L’achat d’autres entreprises sur le même marché (concentration horizontale) mène à des situations d’oligopole ou de monopole.

64
Q

CONCENTRATION HORIZONTALE:

A

est une stratégie qui consiste, pour une entreprise, à étendre son contrôle du marché par l’achat d’entreprises exerçant dans le même domaine de production ou de commercialisation.

65
Q

CONCENTRATION VERTICALE:

A

est une stratégie qui consiste, pour une entreprise, à étendre son contrôle du marché par l’achat d’entreprises exerçant à différentes étapes du processus de production.

66
Q

LES STRATEGIES NON COOPERATIVES EN SITUATIONS D’OLIGOPOLE

A

LES ENTENTES

67
Q

LA REGULATION DE LA CONCURRENCE

A

LE CONTROLE DU COMPORTEMENT DES ENTREPRISES
LA SURVEILLENCE DES CONCENTRATIONS

68
Q

LE CONTROLE DU COMPORTEMENT DES ENTREPRISES

A

Afin de favoriser la concurrence, l’État surveille le comportement des entreprises et fixe des règles. Certaines pratiques sont interdites, comme les ententes et les abus de position dominante, c’est-à-dire le fait de tirer avantage de sa position sur le marché pour restreindre la concurrence.

69
Q

ABUSUS DE POSITION DOMINANTE:

A

est une pratique consistant, pour une entreprise, à se servir de son pouvoir de marché pour restreindre le jeu de la concurrence.

70
Q

LA SURVEILLENCE DES CONCENTRATIONS

A

La politique de la concurrence vise aussi à ce que le marché reste aussi concurrentiel que possible, en évitant la formation d’oligopoles ou de monopoles. Pour cela, les stratégies de concentration des entreprises sont contrôlées : les opérations de fusions-acquisitions doivent être validées par les autorités de la concurrence.

71
Q

LES DEFAILLANCES DUES AUX EXTERNALITES

A

L’un des principaux problèmes lié au fonctionnement des marchés vient des effets indirects de l’activité économique des individus sur le bien-être des autres individus. Ces répercussions sont des externalités, car n’ayant pas de compensation monétaire, elles ne sont pas prises en compte par le marché. L’État peut intervenir pour limiter les externalités négatives (comme la pollution) ou encourager les externalités positives.

72
Q

EXTERNALITE:

A

sont des répercussions de l’activité économique d’un agent sur le bien-être d’un autre agent, sans compensation financière. Elles peuvent prendre la forme d’un avantage (externalité positive) ou d’un dommage (externalité négative).

73
Q

LES EXTERNALITES NEGATIVES

A

Les externalités négatives constituent une défaillance du fonctionnement de l’économie de marché. C’est le cas de la pollution, qui est un dommage non intentionnel résultant de l’action économique de certains agents, sans qu’ils aient à en payer le coût.

74
Q

DEFAILLANCE DU MARCHE:

A

désignent les situations dans lesquelles le marché n’est pas optimal dans l’allocation des ressources.

75
Q

COUT SOCIAL:

A

d’une externalité négative sur l’économie est un coût qui pèse sur la société entière.

76
Q

LES EXTERNALITES POSITIVES

A

Certaines activités économiques engendrent au contraire des externalités positives qui élargissent leur contribution au développement économique. Cependant, les marchés ne réussissent pas à encourager ces actions pour le bien-être collectif.

77
Q

L’ACTION DES POUVOIRS PUBLICS SUR LES EXTERNALITES

A

Puisque le marché est défaillant et ne permet pas d’encourager les externalités positives ni de réduire les externalités négatives, les pouvoirs publics mettent en place des mesures. L’État agit notamment via la réglementation ou les incitations, comme la taxation ou les subventions.

78
Q

LES DEFAILLENCES DUES AUX BIENS COLLECTIFS ET COMMUNS

A

Des défaillances du marché surviennent aussi en présence de biens collectifs et de biens communs. Ces biens, qui ne sont pas excluables, s’opposent ainsi aux biens privés. Les biens collectifs doivent souvent être produits par les autorités publiques, tandis que l’usage des biens communs doit être régulé pour éviter leur surexploitation.

79
Q

LES BIENS COLLECTIFS ET LES BIENS COMMUNS: DEFINITIONS

A

Les biens collectifs et les biens communs sont des biens non excluables, c’est-à-dire qu’on ne peut pas empêcher leur utilisation. À l’inverse des biens collectifs, les biens communs sont rivaux : leur consommation par une personne peut empêcher leur consommation par un autre individu.

80
Q

BIEN COLLECTIF:

A

présente les caractéristiques d’être :

  • non excluable : il est impossible d’en empêcher l’accès, et son accès est gratuit ;
  • non rival : sa consommation par un individu n’empêche pas sa consommation par les autres.
81
Q

BIEN COMMUN:

A

présente les caractéristiques d’être :

  • non exclusif : accessible à tous ;
  • rival : son utilisation affecte l’utilisation des autres acteurs dans le temps ou l’espace.
82
Q

ASYMETRIE D’INFORMATION:

A

est une situation dans laquelle un acteur dispose de moins d’informations qu’un autre acteur.

83
Q

ALEA MORAL:

A

est une situation d’information asymétrique dans laquelle, après la signature d’un contrat, l’une des parties change son comportement à l’insu et au détriment de l’autre partie.

84
Q

SELECTION ADVERSE:

A

est une forme d’information asymétrique dans laquelle, sur un marché, les vendeurs en savent plus que les acheteurs sur la qualité du produit à échanger, ce qui conduit le marché à sélectionner les produits de mauvaise qualité.

85
Q

LES STRATEGIES POUR LUTTER CONTRE LES ASYMETRIES D’INFORMATION

A

LES STRATEGIES DES AGENTS ECONOMIQUES
Dans des cas d’asymétrie d’information, les agents économiques non informés cherchent à acquérir l’information qui leur manque, comme la qualité d’une voiture ou l’état de santé des assurés. Ils peuvent aussi inciter les agents à révéler eux-mêmes ces informations.
LES STRATEGIES ETATIQUES
Parfois, les stratégies individuelles ne sont pas suffisantes et il est plus efficace de faire intervenir l’État pour limiter les asymétries d’information. Ce dernier peut notamment agir en imposant des réglementations qui s’appliquent également à tous.

86
Q

BESOIN DE FINANCEMENT:

A

désigne la situation d’un agent économique dont les revenus sont inférieurs aux dépenses.

87
Q

CAPACITE DE FINANCEMENT:

A

désigne la situation d’un agent économique dont les revenus sont supérieurs aux dépenses.

88
Q

LE MARCHE DES FONDS PRETABLES

A

Le financement prend la forme d’un accord entre un agent qui apporte les fonds et celui qui les reçoit. Lorsque le financement prend la forme d’un prêt, il est coordonné par un mécanisme de marché, entre une offre et une demande de fonds prêtables. Le taux d’intérêt, qui correspond à la rémunération du prêteur, est le prix d’équilibre sur ce marché.

89
Q

TAUX D’INTERET:

A

est le pourcentage d’une somme prêtée que l’emprunteur paie au prêteur en rémunération du service rendu (le prêt).

90
Q

LES DIFFERENTES FORMES DE FINANCEMENT

A

LE FINANCEMENT DES MENAGES
LE FINANCEMENT DES ENTREPRISES

91
Q

LE FINANCEMENT DES MENAGES

A

Un ménage est en capacité de financement si son revenu disponible est supérieur à ses dépenses. La part du revenu qui n’est pas consommée est l’épargne. Un ménage est en besoin de financement lorsque des sommes dépensées pour un investissement (par exemple immobilier) sont supérieures à son revenu disponible et son épargne.

92
Q

EPARGNE:

A

désigne la partie non consommée des revenus d’un ménage ou d’une entreprise.

93
Q

LE FINANCEMENT DES ENTREPRISES

A

LE FINANCEMENT INTERNE
LE FINANCEMENT EXTERNE INDIRECT
LE FINANCEMENT EXTERNE DIRECT

94
Q

LE FINANCEMENT INTERNE

A

Dans le cas du financement interne, ou autofinancement, une entreprise a à la fois des capacités et des besoins de financement : elle peut donc financer, totalement ou en partie, ses propres besoins. Ce financement est notamment réalisé sur la base de l’épargne préalablement accumulée grâce aux profits (excédent brut d’exploitation).

95
Q

AUTOFINANCEMENT:

A

correspond au financement des dépenses d’un agent économique par sa propre épargne.

96
Q

LE FINANCEMENT EXTERNE INDIRECT

A

Lorsque l’autofinancement ne suffit pas à couvrir ses dépenses, un agent peut choisir de recourir à des financements externes, notamment en passant par des intermédiaires spécialisés comme les banques, par le système du crédit. On parle de financement indirect.

97
Q

FINANCEMENT INDIRECT:

A

est un financement de l’économie par des intermédiaires financiers comme les banques.

98
Q

LE FINANCEMENT EXTERNE DIRECT

A

Le financement externe direct est un mode de financement qui caractérise les entreprises de taille importante. Il s’opère par recours aux marchés financier et monétaire, par l’émission et la vente d’actions (titres de propriété) et d’obligations (titres de créances).

99
Q

ACTION:

A

est un titre de propriété sur une partie du capital d’une entreprise.

100
Q

OBLIGATION:

A

est un titre de créance sur un emprunteur, qui peut être une entreprise (privée ou publique) mais aussi un État. Les actions comme les obligations peuvent s’échanger sur les marchés financiers.

101
Q

MARCHES FINANCIERES:

A

sont des marchés où s’échangent des titres financiers (actions, obligations, etc.).

102
Q

LE FINANCEMENT DE L’ETAT

A

L’État est un agent économique à part entière, qui réalise des dépenses et perçoit des recettes. Le solde budgétaire de l’État peut être positif (excédent) ou négatif (déficit). La hausse des dépenses budgétaires de l’État a des effets sur l’activité économique : elle accélère la croissance économique, mais le recours aux financements externes peut aussi avoir pour effet d’empêcher les autres agents économiques de trouver des financements.

103
Q

SOLDE BUDGETAIRE:

A

La différence entre les recettes et les dépenses de l’État donne le solde budgétaire de l’État. Ce solde peut être excédentaire (lorsqu’il est positif) ou déficitaire (lorsqu’il est négatif). En cas de déficit budgétaire, l’État peut emprunter pour financer ses dépenses. est obtenu en soustrayant les dépenses aux recettes de l’État.

104
Q

LES CONSEQUENCES ECONOMIQUES D’UNE HAUSSE DES DEPENSES PUBLIQUES

A

La gestion du budget de l’État a un impact important sur l’économie. Les politiques de relance entretiennent la consommation et la croissance. Cependant, lorsque l’État émet des obligations, les investisseurs vont se tourner vers ces investissements, considérés comme sûrs, et délaisser les actions ou obligations d’autres agents économiques : c’est l’effet d’éviction.

105
Q

POLITIQUE DE RELANCE:

A

est une politique de hausse des dépenses publiques visant à accroître la consommation, les investissements et la production, de manière à augmenter la croissance.

106
Q

EFFET D’EVICTION:

A

désigne le mécanisme par lequel l’État, en émettant un grand nombre d’obligations sur le marché financier, évince les entreprises privées qui ne trouvent pas d’investisseurs pour leurs actions et obligations, et sont à terme dissuadées d’emprunter.

107
Q

LES FORMES DE LA MONNAIE

A

LES FORMES TRADITIONNELLES ET ANCIENNES DE LA MONAIE
LA MONNAIE FIDUCIAIRE
LA MONNAIE SCRIPTURALE

108
Q

MONNAIE FIDUCIAIRE:

A

comprend la monnaie divisionnaire (les pièces) et la monnaie papier (les billets), dont la valeur faciale (la valeur qu’on leur attribue par convention) est très supérieure à la valeur intrinsèque de leur support. Le terme « fiduciaire » vient du latinfides, qui signifie « confiance ».

109
Q

MONNAIE SCRIPTURALE:

A

est la monnaie se présentant sous la forme d’écriture et correspondant aux dépôts effectués par les agents économiques auprès des banques.

110
Q

LES FONCTIONS DE LA MONNAIE

A

C’est un intermédiaire des échanges
C’est une réserve de valeur
C’est une unité de compte

111
Q

DEUX TYPES DE BANQUES

A

Les banques commerciales (ou banques de second rang) sont les établissements qui effectuent la mise à disposition des moyens de paiement et les opérations de crédit, au quotidien, auprès de leurs clients.
La banque centrale est la « banque des banques » : chaque banque commerciale possède un compte auprès de la banque centrale. Les dépôts bancaires auprès de la banque centrale sont utilisés uniquement pour des paiements entre les différentes banques.

112
Q

MASSE MONETAIRE:

A

est la quantité de monnaie détenue par les agents économiques susceptible d’être convertible en moyen de paiement.

113
Q

LE ROLE DE LA BANQUE CENTRALE

A

La banque centrale produit la monnaie fiduciaire et assure le refinancement des banques commerciales. Elle contrôle l’inflation et peut agir sur la quantité de monnaie en circulation (politiques monétaires) par des instruments comme les taux d’intérêts directeurs et les réserves obligatoires.
se financer sur le marché monétaire: les banques en excédent de trésorerie prêtent de l’argent à court terme aux autres banques (marché interbancaire)
se financer directement auprès de la banque centrale, moyennant un taux d’intérêt (taux de refinancement) déterminé par la politique monétaire.

114
Q

MARCHE MONETAIRE:

A

ou marché interbancaire, est un marché où s’échange de la monnaie centrale entre les banques commerciales (et la banque centrale).

115
Q

BANQUE CENTRALE:

A

est la « banque des banques » dans un État ou une zone monétaire. Elle assure et contrôle la création monétaire (monopole d’émission de billets) et conduit la politique monétaire.

116
Q

POLITIQUE MONETAIRE:

A

est une politique économique menée dans le but d’influencer la quantité de monnaie en circulation pour contrôler l’inflation et l’activité économique.