DSM Flashcards
Quelle est la définition du critère A de l’état de stress post-traumatique?
Exposition: la personne a été exposée à la mort (ou menaces de mort), une blessure ou à un délit sexuel.
Définissez les quatres différents types d’expositions.
- Vivre soi-même l’événement.
- Être témoin de l’événement.
- Apprendre que l’événement s’est produit à un ami ou un parent.
- Vivre une exposition répétée ou extrême aux détails aversifs.
Les symptômes suivant définissent quel critère de quel trouble?
- Souvenirs récurrents et intrusifs générant de la détresse.
- Réactions dissociatives ( ex : flashbacks).
- Rêves perturbants (contenu ou affects associés à l’événement).
- Détresse intense et prolongée à des stimuli internes ou externes associés à l’événement.
Critère B de l’état de stress post-traumatique (Instrusion)
Nommez un des symptômes du critère C de l’ÉTSP.
Évitement ou tentative d’évitement des indices internes, souvenirs, pensées ou sentiments qui évoquent des souvenirs, pensées ou sentiments associés à l’événement.
Cette définition : Évitement persistant des stimuli associés au trama, correspond à quel critère de l’ÉTSP?
Critère C.
Nommez 4 des 7 symptômes associés au critère D ; altérations cognitives et émotionnnelles, de l’ÉSPT.
- Perception négatives, persistantes et exagérées de soi, des autres et du monde (triade négative de Beck).
- Diminution de l’intérêt ou de la participation pour les activités significatives.
- Incapacité persistante de ressentir des émotions positives (ex : amour, joie, satisfaction).
- État émotionnel négatif persistant (peur, horreur, colère, culpabilité ou honte).
Le critère E de l’ÉSPT se définit comme suit : Symptômes persistants d’ ________ ________, incluant au moins deux des symptômes suivants.
Remplissez les cases vides et nommez 4 des 6 symptômes possibles.
Mots manquants : activation neurovégétative.
- Hypervigilance.
- Poblèmes de sommeil.
- Problèmes de concentration.
- Irritabilité, crises de colères, agression verbale/ physique envers des personnes/ objets.
Pour l’ÉSPT, la perturbation doit durer moins de 1 mois? Vrai ou faux.
Faux, c’est plus de 1 mois.
Vrai ou faux? Plus le traumatisme survient tôt, plus le risque d’un ÉSPT augmente?
Vrai.
Quel type d’individu est plus à risque de développer un ÉSPT s’il est exposé à un événement traumatisant?
Les individus qui ont déjà aux prises avec des problèmes de santé mentale.
Quels sont les deux éléments à garder en tête lorsqu’on évalue une personne ayant un ÉSPT?
Risque suicidaire et troubles du sommeil.
Comment peut-on diférencier l’ÉSPT de l’état de stress aigu? (3 éléments)
La durée, la proximité temporelle de l’événement traumatisant et la présentation des symptômes.
La durée de l’état de stress aigu est de maximum 1 mois et dans l’ÉSPT c’est PLUS qu’un mois.
De plus, dans l’état de stress aigu, les symptômes surviennent peu de temps après les événements.
Puis, la présentation des symptômes est similaire, mais dans l’état de stress aigu, il n’est PAS nécessaire qu’il y ait au moins un symptôme dans chacune des catégories (intrusion, évitement, altération cognitive…)
L’affirmation qui suit est-elle juste? L’état de stress aigu peut évoluer en un ÉSPT.
Oui, mais la relation n’est pas assurée.
Vrai ou faux. Une nouvelle personne dans le domaine qui ne connait rien de l’ÉSPT est la meilleure personne pour intervenir avec des personnes souffrant de ce trouble?
Faux. Les rencontres de suivi devraient toujours être effectuées avec des intervenants formés et expérimentés pour ce type d’intervention.
Vai ou faux? Les meilleures interventions sont font rapidement et l’intervenant donne des solutions au client?
Faux. Les meilleures interventions sont étalées sur plusieurs rencontres, suivent le rythme de l’individu et favorisent la mise en place par l’individu de ses mécanismes d’adaptation et la sollicitation de ses ressources.
Ce critère A correspond à quel trouble?
Symptômes émotionnels et comportementaux en réponse à un stresseur identifiable et ce dans les 3 mois suivant la survenue ou l’apparition de ce stresseur.
Trouble de l’adaptation
Le ctitère B du trouble de l’adaptation se définit comme suit : Les symptômes sont cliniquement significatifs et répondent à au moins un des deux symptômes suivants. Quels sont les deux symptômes?
- Détresse marquée et disproportionnelle à la sévérité /intensité du stresseur.
- Altération significative du fonctionnement.
Le trouble de l’adaptation est-il un trouble d’exclusion? Vrai ou faux.
Vrai.
Lorsque le stresseur est terminé dans un trouble de l’adaptation, combien de temps les symptômes peuvent persister?
Pas plus de 6 mois.
Est-ce que le trouble de l’adaptation est fréquent?
Oui, c’est le diagnostic le plus souvent rencontré dans le contexte de consultation psychiatrique.
Vrai ou faux. Le trouble de l’adaptation est une porte d’entrée pour des soins ou un suivi.
Vrai.
Quel est le meilleur traitement pour un trouble de l’adaptation?
Favoriser les interventions psychosociales. Aider la personne à mobiliser ses ressources d’adaptation.
Quels sont les trois types d’insomnie?
- Initiation.
- Maintien.
- Éveils hâtifs.
Lequel des types d’insomnie est le plus fréquent chez les jeunes?
Imsomnie d’initiation.
L’insomnie est une insatisfaction marquée en lien avec la ________ ou la _______ du sommeil.
Quantité ou qualité.