Droit des assurances Flashcards
Un courtier c’est un représentant ?
oui
principal représentant qui intervienne en matière assurantielle, = la personne qui à la suite d’un sinistre vient constater l’état des dommages.
o Expert en sinistre (l’ajusteur = terme utilisé jadis)
• Auparavant, les représentants d’assurance étaient assujettis à la Loi sur les intermédiaires de marché. Cette loi a été abrogée et remplacée par la Loi sur la distribution des produits et services financiers (LDPSF). Cette nouvelle loi est venue modifier certaines règles. De plus, il y a un an, la Loi sur les assureurs a été adopté et est venue modifier certaines dispositions de la LDPSF et du CCQ.
vrai
• Art. 5 LDPSF : indique ce qu’est un courtier en assurance de dommages. L’agent offre des produits d’assurance venant d’un seul assureur
faux un agent et non courtier
▪ On ne peut pas dire que le courtier ou l’agent est toujours mandataire de l’assureur ou bien du preneur …
vrai
• La notion de représentation implique trois acteurs : le preneur, l’assureur et le représentant. Il y a également 2 contrats :
1 - mandat réel
2 - contrat d’assurance
• Art. 102 LDPSF : on voit à cet article que, pour le paiement de la prime et de l’indemnité, le représentant agit à titre de mandataire de l’assureur
vrai
o Par exemple, une personne se présente chez toi affirmant être un représentant d’une compagnie d’assurance. Vous lui acheter un produit d’assurance et le payer, mais celui-ci n’est pas réellement un représentant de la compagnie qu’il vous a mentionné
• Mandat apparent :
• Mandat apparent : o Deux conditions préliminaires
1) Absence de contrat de mandat réel
• (2) Il doit y avoir un certain lien de droit ou de faits entre le pseudo mandataire et le pseudo mandant
***les règles du mandat apparent ne sont pas applicables à un pseudo mandataire qui n’a jamais eu de lien avec le pseudo mandant.
vrai
• 3 conditions (mandat apparent)
▪ (1) Il doit avoir un « laissé croire » de la part du pseudo mandant (condition positive)
▪ (2) Le tiers qui a contracté doit être de bonne foi (condition positive)
▪ (3) Le pseudo mandant n’a pas pris de mesures/moyens appropriées pour prévenir l’erreur dans des circonstances qui la rendaient prévisible (condition négative)
• Règlement sur l’exercice des activités des représentants : prévoit des formalités que le représentant doit remplir et l’obligeant ainsi de mentionner à l’assuré les conséquences possibles d’une offre de renouvellement du contrat d’assurance ou d’un nouveau contrat d’assurance plus avantageux
Donnez un exemple
o L’une des conséquences de la conclusion d’un nouveau contrat d’assurance est que les délais recommencent.
▪ Par exemple, l’art. 2442 CCQ prévoit que l’assureur peut prévoir une clause d’exclusion pour suicide pour une période de 2 ans maximum dans un contrat d’assurance-vie. Ainsi, même si le contrat initial date de 3 ans, en cas de renouvellement, ce délai accordé à l’assureur recommence pour un autre 2 ans.
• Il peut avoir dans le cadre de la modification/changement d’un produit des obligations pour professionnelle pour le représentant.
• L’interprétation du contrat intervient seulement lorsqu’il y a ambigüité. On n’interprète pas un texte clair : affaire Progressive Homes
vrai
On interprete un texte lorsque celui est clair ?
non
avant de passer par l,atticle 1432, concernant quune clause ambigue s’interpréte en faveur de l’adhérant, il faut regarder les autres articles ? par exemple l’intention commune des parties ?
vrai
Certains affirment qu’au Québec on n’a pas besoin de recourir à cette théorie puisqu’on a les outils nécessaires dans le code. Il y a deux courants jurisprudentiels et doctrinaux, un en faveur de cette théorie, et l’autre en défaveur.
théorie des attentes raisonnables/légitimes
deux courants jurisprudentiels et doctrinaux cocnernant la théorie des attentes raisonnables/légitimes
vrai
• Rappel : les règles relatives à l’intérêt d’assurance sont d’ordre public relative en vertu de l’art. 2414 al. 2 CCQ
faux absolue
o La nécessité de l’intérêt d’assurance s’explique par le fait que l’objectif l’assurance est ……………………………….
o La nécessité de l’intérêt d’assurance s’explique par le fait que l’objectif l’assurance est de verser une indemnité ou une prestation au preneur ou à une autre personne à la suite d’un sinistre ou d’un accident pour l’indemniser et non pour l’enrichir.
o Suivant la conception traditionnelle, il devait s’agir d’un lien essentiellement juridique, actuel et de la nature d’un droit réel.
▪ Selon cette conception, l’actionnaire unique d’une société n’avait pas d’intérêt d’assurance sur les biens de la société car cette dernière a la personnalité juridique distincte.
o Avec la conception moderne,
La conception traditionnelle est incluse dans la conception moderne; la conception moderne est seulement un élargissement de la conception traditionnelle. On peut avoir un intérêt d’assurance sur un bien même si on n’a pas de droit réel sur ce bien, dès lors qu’on a intérêt économique sur ce bien.
▪ Ainsi, suivant la conception traditionnelle, l’actionnaire unique d’une société à l’intérêt d’assurance pour assurer un bien de la société.
faux, moderne
• Art. 2482 CCQ : possibilité d’avoir un intérêt d’assurance pour les biens à venir et les biens incorporels
▪ Il est par exemple possible d’assurer des animaux à venir ou des améliorations locatives faites par un locataire qui seront acquises au locateur à la fin du bail
en assurance de responsabilité
• Tout le monde détient un intérêt d’assurance de responsabilité car tout le monde est susceptible d’engager sa responsabilité civile. Il n’y a donc pas d’article pour l’intérêt d’assurance en assurance responsabilité
dénote 3 définitions au terme « risque » :
- On peut parler de risque lorsqu’on désigne la qualité d’une personne ou d’un bien. Ex : cette personne représente un mauvais risque pour l’entreprise
- On peut employer le terme « risque » pour désigner la probabilité de réalisation d’un évènement. Ex. : il y a beaucoup de risque que cet évènement se produise
- On peut utiliser le terme « risque » pour désigner l’évènement redouté, soit celui pour lequel on veut ou on a contracté un contrat d’assurance. Ex. : je suis assuré pour le risque d’incendie
o Le risque est un évènement
évènement incertain et futur; il ne peut s’être réalisé avant la conclusion du contrat
• Les autorités au Qc par …………………………………………… vont réintroduire le droit civil français au Québec
l’article 8 de l’acte de Québec