diff apprentissage Flashcards

1
Q

*Quelles sont les étapes de réalisation du PI

A

1-Collecte et analyse de la situation
2-Planification des interventions
3-réalisation des interventions
4-Révision des interventions

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2
Q

*1-En quoi consiste la collecte et l’analyse de donné :

A

En procédant à l’évaluation… garder en tête qu’il faut :
• éviter de sauter aux conclusions trop rapidement;
• recueillir plusieurs informations de sources variées;
• référer au PPH et observer les facteurs environnementaux pouvant être liés aux besoins de l’élève;
• faire des liens avec le PFÉQ ou autre programme;
• évaluer tant les aspects reliés aux apprentissages qu’à la socialisation (ou comportement).

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3
Q

Qui participe à l’élaboration ?

A
  • Élève
  • Parents et ou personnes significatives
  • Enseignants
  • Autres professionnels
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4
Q

Différentes façons de faire la collecte de donné:

A

Spontanée et non-instrumentée:

Formelle et instrumentée :

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5
Q

Formelle et instrumentée :

A

Questionnaire, réseau conceptuel, test, enregistrement sonore ou visuel, grille d’observation avec echelle entrevue

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6
Q

Spontanée et non-instrumentée:

A

Questionnemnt, entrevue, échange, discussion, observation, dessin, annotations

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7
Q

Comment consigner l’information ?

A

Élève: Portfolio , journal de bord

Enseignant: Journal de bord, dossier anecdotique, plan d’intervention

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8
Q

Qui y participe? :

A

Enseignant, enseignant et l’élève, élève-lui meme, élève entre eux , orthopédagogue , parents , TES, psychoed

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9
Q

2-En quoi consiste la planification des inteventions :

A

• Permet de décrire clairement les forces, les besoins et les
difficultés de l’élève.
• Permet d’opérationnaliser les objectifs et les moyens.
• Facilite l’évaluation des interventions et la révision du PI.

  • Le PI-document est comme un PROCÈS-VERBAL
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10
Q

Comment rédiger de bons objectifs?

A
  • Comportement observable (verbe d’action et formulation poisitive)
  • Mesurable (comment observer le progrès ou l’absence de progrès- fréquence, seuil de réussite, etc ex 1 fois sur 2)
  • Situaté dans le temps (D’ici la fin de l’année)
  • Court et précis
  • Réaliste
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11
Q

3-En quoi consiste la réalisation des interventions ?

A
  • Informer les acteurs de la mise en place des moyens.
  • Évaluer les progrès de l’élève de façon continue.
  • Ajuster les interventions en fonction de la situation de l’élève.
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12
Q

4-En quoi consiste la révision du plan d’intervention?

A

Révision tant du PI-document que du processus.

Évaluation transparente du processus.
Révision périodique.

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13
Q

Quels sont les difficultés associées à la démarche du PI (PROCESSUS)

A
  • Surcharge des tâches administratives
  • Manque de précision dans les objectifs
  • Personnel scolaire peu préparé
  • PI pas assez utilisé au quotidien
  • Les élèves ne se sentent pas assez impliqués
  • Difficile à utiliser au quotidien
  • Souvent non révisé
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14
Q

OBJECTIF et doccument:

A

Objectifs peu précis
Difficile de déterminer le nb idéal d’objectifs
les forces ne rendent pas compte des apprentissages ou capacité de l’élève sur le plan des apprentissage
Plus centrer sur le comportement
Souvent les PI sont incomplets

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15
Q

• Compréhension des définitions et des distinctions entre difficultés et troubles d’apprentissage.

A

Selon le MELS tu peux avoir un trouble d’apprentissage sans être en difficulté si tu a assez de stratégie pour rencontrer les exigences et les attentes de fin de cycles.
Donc, pour dire qu’un élève a une difficulté d’apprentissage, il avoir un retard scolaire.

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16
Q

Quest ce qu’un élève en diff

A

Elève en difficulté est en retard selon la norme scolaire du PFEQ (doit être en retard en math ou francais Progession des apprentissages)

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17
Q

qu’est ce qu’un élève avec un trouble

A

Un trouble : c’est une difficulté neurologique et non-acquise

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18
Q

La différence entre difficulté et trouble:

A

Difficulté: temporaire ou ponctuelle et c’est systémique (en constant changement et évolution selon les différents facteurs de risque : individuel, environnement, scolaire)
Trouble: Persistant et permanent dans le temps

En tant qu’enseignant on doit faire preuve de différenciation pédagogique et savoir si notre élève a un trouble ou une difficulté et intervenir en fonction de

1-Temporaires ou ponctuelles.

2-Permanents et persistants.

1-Peuvent être liées à des retards dus à des facteurs environnementaux ou circonstanciels (ex. : situation familiale, de classe, de vie).

2-D’origine neurodéveloppementale.

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19
Q

encore diff en trouble et diff

A

1-Peuvent être des obstacles transitoires et peuvent disparaître si on met en place un enseignement ou une intervention approprié

2-Affectent une/plusieurs fonctions neurologiques de façon permanente. Peuvent s’atténuer par une intervention appropriée

1-Liées à des facteurs de l’environnement :

  • expérience scolaire;
  • conditions et culture familiales;
  • conditions et culture sociales;
  • vie affective;
  • concept de soi;

2-Difficultés pouvant se situer sur le plan de : • mémoire de travail;
• lecture et écriture;
• orthographe;
• mathématiques;
• communication (organisation du discours et de la pensée); • coordination;

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20
Q

Connaissance du processus diagnostic et de la définition de la dysphasie.

A
  • Concerne les aspects expressif ou expressif et réceptif du langage.
  • Affecte l’abstraction, la généralisation, la mémoire, l’attention, la perception, la compréhension.
  • Pas la résultante d’une déficience intellectuelle ou auditive, ni d’un trouble moteur affectant la parole, ni du bilinguisme, ni d’un trouble du spectre de l’autisme.
  • Diagnostic possible à partir de 6 ans (pour éviter la confusion avec un retard de langage en bas âge).
  • Engendre souvent des situations de handicap et l’isolement social.
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21
Q

Pk c’est long avant d’avoir le diagnostic de la dysphasie?

A

parce qu’on doit procéder par élimination pas une DI, pas un retard, pas une dyslexie) On ne peut pas diagnostiquer avant 6 ans pcq ca pourrait être un retard de langage. Le langage n’est pas complêtement développer avant 6 ans.
C’est pas seulement ne pas pouvoir parler c’est la compréhension et l’expression du message.
Difficulté au niveau de la sémantique: sens des mot ou réponse adéquate a une question

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22
Q

Difficulté au niveau pragmatique:

A

utilisation approprié du langage

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23
Q

Dysphaie à évaluer :

A

Morphologie, syntaxe, sémantique, phonologie, pragmatique

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24
Q

Sphère 1 TSA

A

Communication et interactions sociales:

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25
Q

Communication et interactions sociales:

A

Réciprocité sociale ou émotionnelle :
Communication non-verbale :
Établir et maintenir une relation avec autrui:
*Diffcultés liées aux intraction :

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26
Q

Réciprocité sociale ou émotionnelle :

A

*Initier les interactions * Entretenir une conservation

27
Q

Communication non-verbale :

A
  • Compréhension du non-verbal des autres et contact visuel et langage corporel
28
Q

Établir et maintenir une relation avec autrui:

A
  • Adapter les comportements aux différents contextes * Diffculté à partager un jeu imaginatif et à se faire des amis *Apparence d’absence d’intéret pour autrui
29
Q

*Diffcultés liées aux intraction :

A

Peut éprouver difficulté à :
échanger avec les autres
Maintenir une conversation sur un sujet
comprendre l’ironie, le sarcasme, les blagues, les messages implicites ou abstraits
Interpreter un message à l’oral ou à l’écrit
Participer à des jeux abstrait (comme chat et souris)
regarder dans les yeux

30
Q

Sphère 2 tsa

A

Comportements, activités ou intérêt restreints et répétitifs

31
Q

Comportements, activités ou intérêt restreints et répétitifs

A

Discours utilisation d’objets ou mouvements stéréotypés ou répétifs :

Attachement excessif à des routines :

Intérêts restreints:

hyper- ou hypo-réactivité à des stimuli sensoriels :

32
Q

Discours utilisation d’objets ou mouvements stéréotypés ou répétifs :

A

stéréotypies motrices ou utilisation répétitive des objets

Écholalie ou usage de phrases idiosyncrasiques

33
Q

Attachement excessif à des routines :

A

Insistance à suivre le même trajet, questionnements répétifs, détresse extrême à des petits changements

34
Q

Intérêts restreints:

A

préoccupations à l’égard d’objets inhabituels, intérêts excessivement circonscrit

35
Q

hyper- ou hypo-réactivité à des stimuli sensoriels :

A

ndifférence à la douleur, à la chaleur, au froid. Réponses négatives à des sons, des textures, des odeurs.

36
Q

Trois niveaux de soutien TSA

A
  • nécessite de soutien
  • nécessite un soutien subtantiel
  • nécessite un soutien très substantiel
37
Q

Manifestations générales en classe possible TSA

A

Difficultés liées à la catégorisation, la conceptualisation, la généralisation et au transfert des apprentissages.

Difficultés possibles sur le plan de la conhérence centrale:

38
Q

Difficultés liées à la catégorisation, la conceptualisation, la généralisation et au transfert des apprentissages.

A
  • Lenteur d’exécution.
  • Difficulté à discriminer ce qui n’est pas important.
  • Difficulté à prendre des notes.
39
Q

Difficultés possibles sur le plan de la conhérence centrale:

A

Difficultés à filtrer l’information qui provient des différents sens
• Concentration sur les détails.
• Selon certains, ce serait dû à une supériorité dans le traitement local plutôt qu’un problème dans le traitement global.

Ce n’est pas impossible pour les élèves ayant un TSA d’avoir accès à un traitement global, il faut leur montrer explicitement comment le faire.

40
Q

Difficultés POSSIBLES sur le plan des fonctions exécutives

A

• Attention
Dérangés par les stimuli de l’environnement.
• Planification
Difficulté à planifier ce dont ils ont besoin pour un cours ou pour une tâche.
• Organisation
Souvent très désorganisés dans leur matériel et leur casier. Peuvent oublier et perdre beaucoup leurs choses.

41
Q

autre diffpossible TSA

A

Résolution de problèmes
Difficulté à voir qu’il existe plusieurs façons de résoudre un problème. • Inhibition
Faible filtre social (comportements et paroles). Difficulté à cesser une activité en cours.

Mémoire de travail
Traitement de l’information (buts et sous-buts)
Difficulté à résoudre des problèmes.
Besoin d’une grande similitude pour reconnaître des situations semblables. Besoin de questions très claires.
Arrive facilement à repérer des régularités.
Maitrise bien des informations hiérarchisées.

42
Q

Difficultés POSSIBLES liées aux interactions.

A

Peut éprouver des difficultés à…
• échangeraveclespairs;
• initieretmainteniruneconversationsurunsujet donné;
• réaliserdessituationsd’écriture;
Ex. 1 : Décrire les émotions des personnages
Ex. 2 : Se mettre à la place du récepteur
• interpréter,enlectureparexemple.

43
Q

Théorie de l’esprit TSA

A

C’estlacapacitéàreconnaîtrequelesautresontdes pensées différentes des nôtres.
Baron, Leslie et Frith, 1985

• Lespersonnesquiontundéficitdelathéoriedel’esprit n’arrivent pas à « interpréter le comportement d’autrui en fonction d’une intention », elles se fient seulement aux comportements visibles pour le faire

44
Q

La déficience MOTRICE affecte les mouvements des personnes qui peuvent avoir de la difficulté à:

A

marcher (ou être dans l’incapacité de marcher);
rester longtemps debout
tenir des objets
se pencher
lever un bras (ou être dans l’incapacité de le faire)

45
Q

def defficience mot

A

*Certaines déficiences sont stables, d’autres déficiences sont évolutives.
La déficience motrice est d’origine : nerveuse, musculaire ou ostéo-articulaire.

46
Q

Recommandation: deff mot

A

Accessibilité du milieu :
• sans escalier ou avec le moins de marches ou paliers possible;
• prévoir une rampe d’accès ou un ascenseur;
• portes automatisées ou personne disponible pour l’ouverture des portes.

Transport scolaire :
• prévision d’un transport adapté nécessaire pour certains enfants (par autobus et taxi adapté).

47
Q

recommandation déplacement deff mot

A

Déplacements :
• éviter la cohue;
• diminuer les déplacements inutiles;
• limiter l’utilisation de l’escalier;
• utilisation systématique de la main courante;
• aide au transport du sac d’école ou prévoir les livres en double (qui restent à la maison);
• supervision des déplacements (arrivée et départ ou sur surface enneigée ou glacée);
• prévoir la classe au rez-de-chaussée.

48
Q

recommed Éducation physique et activité sclaire

A

• participation selon les capacités, avec évaluation sur cette participation plutôt que sur les résultats.

Activités scolaires :
• diminuer le nombre d’exercices qui évaluent une même matière;
• fournir des photocopies de notes;
• pupitre adapté qui permet à l’élève d’être bien assis, les pieds solidement appuyés;
• rangement accessible pour les effets scolaires;
• accès à un poste de travail informatique.

49
Q

La déficience ORGANIQUE affecte les fonctions vitales en lien avec le fonctionnement

A

de la respiration;
de la circulation sanguine;
des organes vitaux;
des fonctions génito-urinaires;
*En grande majorité, ce sont des maladies chroniques
Exemple: Asthme • Diabète • Maladies intestinales • Troubles cardiaques

50
Q

def Déficience VISUELLE:

A
  • la réduction de l’acuité visuelle à 6/21 ou moins, c’est-à- dire de l’habileté à percevoir visuellement les détails de près ou de loin;
  • la réduction du champ de vision (ou champ visuel de moins de 60°);
51
Q

def Être fonctionnellement voyant :

A

• cette personne utilisera sa vision résiduelle pour effectuer ses tâches
(ex.: lire les caractères noirs).

52
Q

Être fonctionnellement aveugle (ou non-voyant) :

A

• cette personne utilisera ses sens du toucher et de l’ouïe pour effectuer ses tâches
(ex.: écouter pour se déplacer, lire le Braille).

53
Q

Principaux types de surdité (3):

A
  1. De transmission (ou conductive);
  2. Neurosensorielle (ou de perception);
  3. Mixte
54
Q
  1. De transmission (ou conductive);
A

Oreille interne: aspect mécanique qui ne fonctionne pas

55
Q
  1. Neurosensorielle (ou de perception);
A

Transformation des sons (envoyé en signaux) est bien transmis au cerveau mais la transformation neurosensorielle ne se fait pas. Le décodage ne se fait pas dans la cochlée (partie auditive de l’oreille interne)

56
Q

Manifestation de la déficience auditive

A

Communication : réception expression lié
Rendement scolaire: surtout lecture et écirture
Socialisation et affectivité : Inéraction et inclusion

57
Q

Modes de communication (3)

A

Oralisme:
Langage gestuel:

Communication totale:

58
Q

Communication totale:

A

Ensemble des moyens: résidu auditif pour accompagner la parole, lecture labiale, code gestuel.

Pidgin (système linguistique formé de la LSQ et du français) ou français signé.

59
Q

Langage gestuel:

A

Utilisation exclusive de gestes pour communiquer

Aucune utilisation de l’audition

Recours à la langue des signes du Québec (LSQ)

Nécessite parfois un interprète

60
Q

Oralisme:

A

Priorité donnée à la communication orale

Utilisation du résidu auditif

Lecture labiale

Gestes naturels

Possibilité d’utiliser le langage parlé complété

61
Q
  1. CARACTÉRISTIQUES DU MILIEU ÉDUCATIF
A

Structure organisationnelle: influence sur le sentiment d’appartenanc d’une équipe (climat, efficacité des réunions)
Politiques de l’école
Commission scolaire
Leadership
Pratiques : Espace ouvert (porte ouverte) = ouverture et partage
Ressources

62
Q
  1. CARACTÉRISTIQUES DU PERSONNEL SCOLAIRE
A

Formation: individuelle, complémentaire
Expérience : expérience de collaboration
Compétences

63
Q
  1. SENTIMENT D’EFFICACITÉ PERSONNELLE
A

Apport dans un travail d’équipe.
Partage des expertises, des responsabilités, des objectifs et des savoirs.
Stabilité du personnel

64
Q
  1. ATTITUDES & CROYANCES
A

Tous les individus sont influencé par leur pratique. Tant positif que négatif.