Diderot Flashcards

1
Q

Essais sur la peinture, salon de 1765

A

“Touche-moi, étonne- moi, déchire-moi, fais-moi tressaillir, pleurer, frémir, m’indigner d’abord ; tu recréeras mes yeux après, si tu peux “

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2
Q

Date de parution de l’éloge de richardson

A

1762

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3
Q

R Dempf, Diderot et le roman ou le Demon de la présence

A

Ce n’est plus le lecteur qui s’empare de l’oeuvre, c’est l’œuvre qui s’empare du lecteur

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4
Q

Écriture du roman

A

1760

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5
Q

Le paradoxe du comédien

A

Comédien de l’extase, provoque une émotion intense au prix d’un suspens de sa propre sensibilité

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6
Q

Exemple d’incohérence narrative

A

“Voilà ce que je vous disais alors, mais hélas elle n’est plus, et je reste seule “

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7
Q

1772 Essai Sur les femmes

A

Sensibilité sexuelle féminine spécifique d’autant plus susceptible de dévoiements

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8
Q

Florence lotterie sur la duplicité du roman

A

Poétique de la “gaze”

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9
Q

Lettre à son frère l’abbé Diderot en 1760

A

La contrainte fera de l’homme un hypocrite s’il est faible, un martyr s’il est courageux

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10
Q

Romancier dans l’éloge de Richard son

A

C’est lui qui porte le flambeau au fond de la caverne

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11
Q

Lettre à Meister de 1780

A

On a “jamais écrit une plus effrayante satire des couvents”

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12
Q

Préface tirée de la Correspondance littéraire (1770)

A

Secourez-moi Monsieur secourez-moi; c’est une bonne œuvre dont vous vous souviendrez avec satisfaction tant que vous vivrez et que Dieu récompensera dans ce monde ou dans l’autre.

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13
Q

Lettre de Mme Madin a Croismare sur le roman lui meme

A

Que je vive ou que je meure, je veux qu’on sache tout ce que j’ai souffert “

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14
Q

Louis Sébastien Mercier, Tableau de Paris, chapitre “couvents, religieuses”

A

On apprend aux novices a craindre le demon, tellement qu’elles désapprennent à aimer Dieu.

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15
Q

Marivaux, Vie de Marianne 1742

A

Je ne fus moi-même qu’une spectatrice stupide de l’engagement éternel que je pris

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16
Q

Sade, Juliette ou les prosperites du vice (1800)

A

Je n’ai pas besoin de vous dire que le penchant à la volupté est, dans les femmes recluses, l’unique mobile de leur intimité; ce N’est pas la vertu qui les lie, c’est le foutre

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17
Q

Article Mariage de l’Encyclopedie.

A

Tous les praticiens conviennent que les différents symptômes de vapeurs ou d’affections hystériques qui attaquent les filles ou les veuves sont une suite de la privation du mariage.

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18
Q

Salons de 1761, sur un tableau du martyre de Saint Victor, image de fanatisme

A

L’affreuse mais la belle poésie !

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19
Q

Salons de 1767 sur l’obscurité

A

La clarté est bonne pour convaincre, elle ne vaut rien pour émouvoir

20
Q

Éloge de Richardson, sur vertu morale du roman

A

À chaque ligne il fait préférer le sort de la vertu opprimée au sort du vice triomphant

21
Q

Réception ; Andrieux, la décade philosophique littéraire et politique, 1796

A

Ce singulier et attachant ouvrage restera comme un monument de ce qu’étaient autrefois les couvents, fléau né de l’ignorance et du fanatisme en délire

22
Q

La Harpe dans Le Mémorial, 1797

A

C’est encore une maladresse du philosophe de se montrer derrière le personnage ; c’est Suzanne qui raconte et souvent Diderot qu’on entend

23
Q

Andrieux, la décade philo littérature et politique sur le passage avec la mere du couvent d’Arpajô

A

La sœur Suzanne raconte ces ordures avec tant de simplicité, de naïveté et d’innocence, qu’elle n’en paraît pas souillée un moment

24
Q

Supplément au voyage de Bougainville

A

Orou offre à l’aumônier de dormir avec une de ses filles “Je ne sais ce que c’est que la chose que tu appelles religion ; mais je ne puis qu’en penser mal, puisqu’elle t’empêche de goûter un plaisir innocent, auquel nature, notre souveraine maîtresse nous invite tous; de donner l’existence a un de tes semblables

25
Q

Ces mémoires ou … Début

A

Ces mémoire où je peins une partie de mes malheurs sans talent et sans art, avec la naïveté d’un enfants de mon âge et la franchise de mon caractère

26
Q

Cela est écrit

A

Cela est écrit partout et partout de la même manière

27
Q

Ce que dit la mere du premier couvent

A

Je n’ai jamais attiré personne en religion, c’est un état où Dieu nous appelle, il est très dangereux de mêler Sa voix à la sienne

28
Q

Que Voulez-vous devenir ?

A

Que voulez-vous devenir ?–Tout excepté religieuse. Je ne veux pas être je ne le serai pas.

29
Q

Mais dites-moi pourquoi cette idée épouvante ?

A

C’est que je ne sais où aller ; c’est que je suis jeune et sans expérience ; c’est que je crains la misère, les hommes et le vice ; c’est que j’ai toujours vécu renfermé et que si J’étais hors de Paris, je me croirais perdue dans le monde. Tout cela n’est peut-être pas vrai, mais c’est ce que je sens

30
Q

Suzanne se met à savoir ce qui se passe quand elle dort

A

Je dormais, et ce pendant cette sainte femme allait dans les corridors

31
Q

Deuxième prise d’habits

A

Je n’entendais rien de ce qu’on disait autour de moi, j’étais presque réduit à l’état d’automates.

32
Q

Reconnaît qu’elle dépasse les bornes

A

J’eus bientôt l’air et peut être un peu le jeu d’une factieuse

33
Q

Je m’étais échappé

A

Je m’étais échappé en proposant discret sur l’intimité suspect de quelques une des favorites

34
Q

L’acharnement

A

L’acharnement à tourmenter à perdre cela ce dans le monde, il ne se lasse point dans les cloître

35
Q

Sur Sainte Suzanne demande pardon à Dieu

A

Mon dieu, je vous demande pardon des fautes que j’ai faite, comme vous le demandates sur la croix pour moi

36
Q

Ursule demande à Suzanne pourquoi elle a une aversion pour la religion

A

Je la sens cette aversion, je l’apportai en naissant et elle ne me quittera pas. Je finirai par être une mauvaise religieuse, il faut prévenir ce moment

37
Q

Si j’avais eu quelques hypocrisie

A

Si j’avais eu quelques penchant à l’hypocrisie ou au fanatisme et que j’eusse voulu jouer un rôle dans la maison, je ne doute point qu’il ne m’eût réussi, mon âme s’allume facilement, s’exalte, se touche

38
Q

Suzanne séquestrer après avoir renier ses vœux

A

Quelle profonde sagesse il y avait dans ce que l’aveugle philosophie appelle la folie de la Croix.

39
Q

Devant le vicaire

A

Je ne suis pas venu pour accuser, mais pour me défendre

40
Q

Je vous entends, monsieur le marquis

A

Je vous entends vous, Monsieur le marquis et la plupart de ceux qui liront ces mémoires : « Des horreurs six multipliés, si variée, si continue ! Une suite d’atrocités si rechercher dans des âmes religieuse ! Cela n’est pas vrai semblable » diront-ils, dites-vous ; Et j’en conviens ; mais cela est vrai

41
Q

Voilà l’effet de la retraite

A

L’homme est né pour la société

42
Q

Apres que mere *** lui a demandé si elle avait deja eu des désirs

A

Qu’elle est innocente ! -

oh, il est vrai, chère Mère, que je le suis beaucoup, et que j’aimerais mieux mourir que de cesser de l’être

43
Q

Dom Morel

A

Où est donc le mal de s’aimer, de se le dire, de celui de témoigner ? Cela est si doux !–Il est vrai dit Dom Morel en levant les yeux sur moi qu’il avait toujours tenu baisser tais que je parlais

44
Q

Va écouter à la porte

A

Et bien, que suite vous ?–Vous ne devenez pas ?… Non, vous êtes trop honnête pour cela. […]Oh pour cela oui, cela est fort mal

45
Q

Ps

A

Je m’etais montrée à chaque ligne aussi malheureuse à la vérité que je l’étais, mais beaucoup plus aimable que je ne le suis […] Plus de facilité à les séduire que les toucher… Je suis une femme, peut-être un peu coquette, que Sais-je ? Mais c’est naturellement et sans artifice.